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Channel: AFRIQUE REDACTION . L'information en continu ! Afrique au cœur de l’actualité...Infos News sur la RDC, les brèves de la dernière minute. Synthèse sur l’actu internationale. rdcongo-kinshasa, Nord et Sud KIVU, Kinshasa, Bas Congo, Dongo, Equateur, Maniema, Lubumbashi, les deux Kasai. Rédacteur en Chef : BONGOS Roger
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Incarcéré à Kinshasa, il écrit son livre sur un GSM

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Crée le 02-02-2012-  21h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le jeudi 02-01-2012 - 21H29 AFRIQUE REDACTION PAR : LIBRE.BE

 

'RDC: chaos après une indépendance annoncée', publié aux éditions Epée&Chemins, sera présenté dès le 15 février par le centre Wallonie-Bruxelles de Kinshasa.
Depuis septembre 2009, l'avocat congolais Firmin Yangambi est incarcéré dans une prison kinoise: 20 ans de détention pour possession d'armes de guerre et tentative d'organisation d'un mouvement insurrectionnel. Du fond de sa geôle, l'homme n'entend pas laisser s'éteindre sa voix et dénonce, sur plus de 300 pages, "l'imposture du règne de Kabila".

'RDC: chaos après une indépendance annoncée', publié aux éditions Epée&Chemins, sera présenté dès le 15 février par le centre Wallonie-Bruxelles de Kinshasa annonce LeVif/L'express. Un ouvrage qui a la particularité d'avoir été intégralement écrit sur un téléphone portable. De plus, l'auteur incarcéré n'a eu accès à aucune documentation véritable pour étayer ses propos.


Violences sexuelles: 41 cas portés au tribunal de grande instance de Mbandaka en 2011

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Crée le 02-02-2012-  23h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le jeudi 02-01-2012 - 23H29 AFRIQUE REDACTION PAR : ARTV

 

 – Une femme victime de viol.
       Une femme victime de viol.

Le Bureau conjoint des Nations unies aux droits de l’Homme (HCDH) a organisé, mercredi 1er janvier  au Quartier général de la Monusco à Mbandaka, la réunion de la commission judiciaire de lutte contre l’impunité des violences sexuelles.

 

Selon le Tribunal de grande instance (TGI) de cette ville de l’Equateur, en 2011, quarante et un cas de viols ont été portés en justice.  


Les discussions ont tourné autour de l’échange des informations sur le traitement des cas de viols dans les juridictions civiles et  militaires. Selon le TGI de Mbandaka, l’année dernière, au total quarante et un cas de viols ont été portés en justice, dont six jugements ont été rendus avec des condamnations et un acquittement. Trente-quatre dossiers sont en cours d’instruction, a poursuivi la même source. 

Le parquet près le TGI a fait état de onze dossiers de viols, dont il a été saisi au mois de janvier 2012. Quant à la police de protection de l’enfant et de lutte contre l’impunité des violences sexuelles, elle a affirmé avoir été saisie de quatorze cas de viols, dont douze viennent d’être transférés au parquet de grande instance de Mbandaka. 

Quelques recommandations ont été  formulées  à  l’issue de cette rencontre. Il s’agit notamment de renforcer la collecte des  données sur les violences sexuelles  en vue d’outiller et de faciliter  la justice à  réprimer  les présumés auteurs de viols conformément à  la loi en vigueur en RDC. 

Les ONG  ont été appelées à collaborer avec la justice pour identifier et documenter les cas de viols. Et il a été demandé au Bureau conjoint des Nations unies aux droits de l’Homme d’associer à la réunion de la commission de lutte contre les violences sexuelles les délégués des autres services  qui interviennent dans cette lutte. 

Sous la présidence du premier président de la cour d’Appel,  la rencontre a connu la participation des ONG des droits de l’Homme, des autorités judicaires tant civiles que  militaires et celles dela Police nationale congolaise (PNC).

Le mardi à l'ISTA : La MONUSCO expliquée aux Congolais

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Crée le 03-02-2012-  23h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour levendredi 03-01-2012 - 00H29 AFRIQUE REDACTION PAR : la tempete des tropiques

La MONUSCO souffre d'un déficit de compréhension auprès des Congolais. La mission onusienne a voulu réparer cette tare en initiant une séance d'information à l'ISTA. De jeunes leaders d'opinion en ont profité pour s'informer et parfois faire connaître leurs états d'âme.

La Mission de l'Organisation des Nations Unies pour la Stabilisation en République Démocratique du Congo (MCNUSCO) a initié, le mardi 31 janvier à l'Institut Supérieur des Techniques Appliquées (ISTA), une séance d'information ayant pour thème “ La résolution 1991-Mandat et rôle de la MONUSCO en RD Congo ». Il s'agissait pour cet organisme d'expliquer à un parterre de leaders d'opinion, choisis essentiellement parmi des étudiants, ses missions et défis depuis son arrivée en République Démocratique du Congo.

La coordinatrice Unite Outreach de la division de l'information publique-MONUSCO, Aissatou Laba Touré, a dans son intervention, fait connaître le mandat de la MONUSCO, cherché à le vulgariser et le faire mieux comprendre par l'audience. L'intervenante a expliqué que le Conseil de Sécurité des Nations Unies avait installé la MONUSCO le 28 mai 2010 avec sa résolution 1925. Elle prenait la place de la MONUC, qui avait oeuvré pendant près de dix années.

Mme Touré a signalé que pour accompagner le gouvernement congolais dans son action, le conseil de sécurité, dans sa résolution 1991 du 28 juin 2011, a insisté sur divers points comme l'appui au processus électoral, l'élaboration et la mise en oeuvre d'une stratégie de sécurité nationale et la lutte contre les groupes armés comme l'Armée de Résistance du Seigneur (LRA). L'oratrice a parlé du mandat de la MONUSCO, s'étendant jusqu'au 30 juin 2012. L'intervenante a tenu à nuancer son propos, rappelant que le mandat initial de la MONUC était de six mois. Elle aussi détaillé le contenu du mandat de la mission onusienne et sa structure.

La RD Congo victime de ses richesses

Daniel Ruiz, de la division des affaires politiques, a relevé qu'il n'existe pas de modèle unique de paix dans le monde. Avec franchise l'homme a abordé les écueils à la paix en RDC déclarant par exemple que” le problème du Congo est qu'il y a des richesses qui sont convoitées par les multinationales “. Refusant de nommer les pillards, il a toutefois reconnu que tout le monde avait des soupçons.

Mayal Tshabuila, du bureau conjoint des Nations Unies aux Droits de l'Homme (BCNUDH) a survolé l'histoire moderne des droits humains. Il a raconté les efforts entrepris par son bureau pour les faire respecter en RD Congo.

Abdramane Ouattara a présenté la police de la MONUSCO, d'un effectif total de 322 unités, appartenant à 25 nationalités. Le capitaine de gendarmerie malien a expliqué que la mission onusienne s'emploie à appuyer la Police Nationale Congolaise dans sa tâche de former et réorganiser ses troupes. Son collègue El Hadj Belco Diallo a détaillé efforts entrepris par les Nations Unies pour par exemple réfectionner des installations de la PNC ou le déploiement de policiers à l'Est du pays. Alima Coulibaly a pour sa part insisté sur le fait que la responsabilité du maintien de l'ordre en RD Congo incombe aux policiers congolais.

Des groupes armés toujours actifs

Le colonel Prosper-Félix Basse a quant à lui, grâce à des projections, illustré a présence des diverses forces négatives sur le territoire congolais. L'officier supérieur sénégalais a rappelé le mandat des près de 20 000 soldats des forces de l'ONU stationnés dans la RDC. Deux membres de la division électorale de la MONUSCO ont relevé l'effort titanesque consenti pour la tenue du scrutin, rien qu'au regard de la logistique mobilisée.

Signalons que c'est le secrétaire général académique de l'ISTA, le professeur Kidiamboko, qui a accueilli la délégation de la MONUSCO. La Mission onusienne était représentée au plus haut niveau par le directeur Division de l'information publique, Manoodge Munubay. L'assistance a eu l'occasion d'apprécier les “Ave Maria“ de Schubert et Calluccini interprétés successivement par Pascal Buzangu et Madeleine Matayo qu'accompagnait au synthétiseur Boris Musondoli. Le public a aussi pu être édifié sur les droits humains en suivant un sketch.

                                                                                                 Yves MITONDO

Katanga : Grâce à l'amélioration de la production agricole, Sandoa connaît la chute des prix sur le marché !

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Crée le 03-02-2012-  5h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour levendredi 03-01-2012 - 05H29 AFRIQUE REDACTION PAR : LE PALMARES

 

L'amélioration de la production agricole, ces deux dernières années, a fait chuter les prix des produits sur le marché dans le territoire de Sandoa, au Katanga. Selon l'inspecteur au développement rural de ce territoire, cette production est passée de quarante à quatre-vingt dix pourcents.

Il attribue cette performance entre autre, à l'encadrement des paysans et à l'usage des tractions bovines, des semences améliorées fournies par le Projet pour la réhabilitation du secteur agricole et rural (Presar).

Cette situation a réjouis la population et les opérateurs économiques de cette partie de la République :

“Actuellement à Sandoa, chaque mois, chaque année on a l'abondance sur terrain. On partait à Dilolo pour s'approvisionner en riz maintenant on produit localement. Le prix du riz s'est amélioré”.

Cette production agricole est constituée des produits tels que le riz, le maïs, l'arachide et l'haricot.

Cette année, la production est évaluée à 250 tonnes. Il y a deux ans, cette production était de 300 tonnes.

Comparée aux années antérieures, la production de ces deux dernières saisons est estimée à près de 90 pourcents.

L'abondance de la production à Sandoa contraste avec la dégradation des routes de desserte agricole qui complique la tâche à d'autres opérateurs économiques d'aller s'approvisionner sur place à Sandoa.

                                                                                                               LP/Ro

Ituri : L'exploitation de l'or a baissé de 50% en 2011 !

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Crée le 03-02-2012-  5h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour levendredi 03-01-2012 - 05H29 AFRIQUE REDACTION PAR : LE PALMARES

 

 

Cinquante-huit kilogrammes d'or ont été exportés en 2011 contre cent quinze en 2010 en Ituri dans la Province Orientale, une baisse de 50%. Le délégué permanent du Centre l'évaluation, d'expertise et de certification des substances minérales et semi précieuses (Ceec), Erick Yamba l'a déclaré mardi 1er février. Selon lui, cette baisse est due à la fermeture de la société de Kilomoto (Sokimo) depuis mai 2011 et la suspension des activités des comptoirs d'achat d'or agrées tels que Congo performance développement (Coped) en 2010 et Karmila en septembre 2011. Erick Yamba a précisé que ces comptoirs ont fermé suite au taux élevé de l'exportation des colis d'or fixé à 3,25% en RDC contre 1% dans les pays limitrophes.

Pour l'Association des négociants d'or de l'Ituri, la fermeture de ces comptoirs agréés implantés en Ituri favorise donc la sortie frauduleuse d'or.

Ce trafic frauduleux inquiète, le commissaire de district de l'Ituri ad intérim, Adroma Fataki qui promet de convoquer le responsable de la Sokimo, une entreprise qui exploite de l'or, pour tenter de trouver une solution. “Je dois immédiatement convoquer le responsable de la Sokimo pour m'acquérir de cette situation. Quand les petits revendeurs d'or viennent ici et qu'ils ne trouvent pas de comptoirs, ça va favoriser la sortie frauduleuse de l'or.” Le Directeur Général intérimaire de la Sokimo, Michel Makaba, a déclare que les démarches sont encours pour la réouverture de ce comptoir avec de nouveaux partenaires.

                                                                                                               LP/Ro

LA CENI AYANT ANNULE LES RESULTATS DU CLCR DE DEMBA L'UE interpelle la Cour suprême de justice

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Crée le 03-02-2012-  5h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour levendredi 03-01-2012 - 05H29 AFRIQUE REDACTION PAR : CONGO NOUVEAU


 

Décidément, la question liée au traitement des résultats des élections du 28 novembre 2011 en RDC n'a pas encore fini de faire couler de la salive dans les milieux occidentaux qui sont restés silencieux face l'issue peu heureuse de ce scrutin pourtant dénoncée vigoureusement par les observateurs. L'Union européenne (UE), elle, vient de préconiser un dialogue franc entre le pouvoir et l'opposition pour sortir de la crise institutionnelle actuelle. Cette volonté a été exprimée mardi 31 janvier 2012 par le principal coordonnateur de l'UE dans la région des Grands Lacs, Koen Vervaeke, dans la capitale congolaise à l'issue de sa rencontre avec Evariste Boshab, le président de l'Assemblée nationale. Pour le diplomate de l'Union européenne, «la seule sortie de crise actuelle en RDC réside dans le dialogue entre le pouvoir et l'opposition », a-t-il dit, soulignant que les contentieux électoraux issus des scrutins du 28 novembre 2011 doivent être traités avec rigueur, sans complaisance et dans la transparence. Koen Vervaeke a réitéré à la même occasion, le soutien de son institution à la RDC et émis le voeu de voir la Cour suprême de justice qui fait l'office de la Cour constitutionnelle dire le droit et rien que le droit en faveur de la transparence des urnes. Ce message du diplomate européen rejoint la volonté de tous les Congolais qui, au regard de la manière laxiste et partisane dont le contentieux électoral de la présidentielle a été traité, ont cessé de croire vraiment au sérieux de la Cour suprême de justice. Ce manque de confiance à la CSJ va de plus en plus croissant surtout dans les cercles des milliers des candidats malheureux aux législatives qui s'estiment injustement victimisés par la CENI et ont promis de saisir la haute Cour pour obtenir réparation.

                                                                                                                  LM

Kamerhe prépare le terrain pour Tshisekedi à Addis-Abeba

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Crée le 03-02-2012-  5h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour levendredi 03-01-2012 - 05H29 AFRIQUE REDACTION PAR : CONGO NOUVEAU

Une polémique est née dans la presse kinoise autour du voyage que Vital Kamerhe, ancien président de l'Assemblée nationale et candidat à la dernière élection présidentielle, vient d'effectuer à Addis-Abeba, en Ethiopie.

Selon un confrère de la place, le président national de l'Union pour la Nation Congolaise (UNC) et sa délégation auraient été éconduits. Pour sa part, LA Prospérité affirme que Vital Kamerhe est parvenu à rencontrer quinze présidents africains au siège de l'Union Africaine (UA). Débat.

En effet, en marge du sommet de l'Union Africaine (UA) qui s'est tenue dernièrement dans la capitale éthiopienne, Vital Kamerhe avait conduit une délégation de l'Opposition composée de Félix Tshisekedi (fils du leader de l'Union pour la Démocratie et le Progrès Social) et de Martin Fayulu (le président de l'Ecidé).

Comme pour répondre aux uns et autres, le leader de l'UNC a déclaré, à son retour, mardi 31 janvier 2012 à Kinshasa, que «certains chefs d'Etat africains sont plus que favorables pour le recomptage des voix des élections présidentielle et législatives en RDC». Candidat malheureux au dernier scrutin présidentiel, l'ancien président de l'Assemblée nationale a affirmé avoir rencontré plus de quinze chefs d'Etat africains à qui il dit avoir remis un mémorandum demandant ce recomptage des voix.

Il y a lieu de rappeler, à ce sujet, que le recomptage des voix est réclamé par une frange de l'opposition congolaise, qui considère que le double scrutin du 28 novembre avait été entaché de beaucoup d' irrégularités. Les leaders de l'Opposition refusent, jusque-là, d'admettre les résultats de la présidentielle tels qu'annoncés par la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI), le 9 décembre 2011, et confirmés par la Cour suprême de justice (CSJ).

A la tête d'une délégation parallèle?

A l'auto-proclamation d'Etienne Tshisekedi comme Président élu de la République Démocratique du Congo, certaines sources indiquaient que Vital Kamerhe -qui ne reconnaît pas l'a victoire de Joseph Kabila à la dernière présidentielle aurait conduit une délégation parallèle à celle conduite par le ministre congolais des Affaires étrangères. Répondant à ceux qui soutiennent cette thèse, le président de l'UNC a eu ces mots : «Nous ne sommes pas allés avec la prétention de siéger Nous ne sommes pas des perturbateurs. Nous savons lire le droit international et à quel niveau s'arrêtent nos prérogatives. Mais (...) en tant qu'ancien candidat président de la République, je pouvais me permettre (...) de rencontrer un certain nombre des chefs d'Etat, les sensibiliser sur la situation d'un grand pays d'Afrique, avec neuf voisins, pour qu'ils ne viennent pas courir après les événements».

Vers un dialogue inclusif ?

Secrétaire général de l'Organisation Internationale de la Francophonie (OIF) et ancien président du Sénégal, Abdou Diouf appelle l'organisation d'un dialogue inclusif en RDC afin de trouver une solution à la crise post-électorale et d'assurer le respect des principes démocratiques dans la poursuite du processus électoral en RDC.

Il semble la tenue de ce dialogue soit hypothétique. Dans le camp de Joseph Kabila on se dit être prêts à dialoguer avec les autres acteurs politiques congolais, mars seulement au sein des institutions. Du côté du parti d'Etienne Tshisekedi on s'oppose carrément à l'initiative de l'ancien président sénégalais. «Etienne Tshisekedi a été élu le 28 novembre 2011 par l'ensemble du peuple congolais, soutiennent les proches du lider maximo. Avec qui et pourquoi va-t-il négocier?»

                                                                                                Thomas NABOR


DECLARE PERSONNE INDESIRABLE PAR LA HAUTE DIRECTION POLITIQUE DU PALU Godefroid Mayobo déballé sur la place publique !

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Crée le 03-02-2012-  5h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour levendredi 03-01-2012 - 05H29 AFRIQUE REDACTION PAR : CONGO NOUVEAU

 

Il a essayé de se défendre mais ses contre-vérités n'ont pas résisté aux arguments pertinents de ses pourfendeurs qui le présentent comme un homme dangereux qui s'était ingénié à détruire de l'intérieur.

La tenue des élections majeurs du 28 novembre 2011 amis  à découvert le feu qui couvait sous le cendre depuis quelques années au sein du Parti Lumumbiste Unifié.

En effet, malgré tous les soins apportés aux préparatifs desdites élections que tous les membres effectifs et les sympathisants attendaient avec fièvre, le PALU a terminé la course avec de très mauvais résultats.

Cette déconfiture électorale inattendue aura pour conséquence immédiate la relégation de ce parti à l'arrière-plan sur l'échiquier politique tenu par la Majorité présidentielle et à partir duquel seront discutées les modalités de participation de partis alliés au prochain gouvernement !

Mais comment le PALU en est-il arrivé à ces mauvais résultats alors qu'avant la tenue de ces scrutins tout semblait baigner dans l'huile tant au sommet qu'à la base de ce parti ?

Cette question lancinante trouve sa juste réponse dans les attitudes et comportements et aussi dans les actes posés par ceux qui avaient eu à gérer au quotidien les affaires de ce parti conformément à ses statuts et règlement !

Pour la plupart de membres effectifs du parti cher à Antoine Gizenga Funji tous les malheurs qui se sont abattus sur celui-ci sont à attribuer principalement aux ambitions démesurées, a l'égoïsme et à l'incompétence d'un homme bien identifié. Il s'agit, on s'en doutait, de Godefroid Mayobo, ancien ministre d'Etat près l'office du Premier ministre devenu par la suite secrétaire permanent et porte-parole du parti.

Mais alors que toute la base du PALU s'accorde à dénoncer publiquement les maux dont Godefroid Mayobo se rend coupable pour mettre cette formation politique à genoux ; ce denier se défend autant que faire se peut en arguant notamment qu'il est la victime désignée d'un vaste complot ourdi par une caste constituée des PENDE !

Tout laisse voir que l'heure est grave au PALU où un arbitrage rapide est requis pour sauver ce qui est encore possible d'y sauver mais une meilleure compréhension de la situation à partir de la genèse peut faciliter les choses. D'où l'importance du texte polémique ci-après que les militants du Palu originaire de l'Est du pays ont fait parvenir à la rédaction de notre organe de presse pour éclairer l'opinion publique sur cette troublante question de leadership politique.

                                                                                                  Antoine Botshili


Rebondissements du procès de Jean-Pierre Bemba à la CPI Thambwe Mwamba, Olivier Kamitatu et José Endundo bientôt à la CPI

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Crée le 03-02-2012-  5h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour levendredi 03-01-2012 - 05H29 AFRIQUE REDACTION PAR : CONGO NOUVEAU

A la Cour pénale internationale, que les mauvaises langues qualifient de «Cour politique internationale», le procureur argentin, Luis Moreno Ocampo qui quitte son poste au mois de juin 2012, va laisser un lourd hypothèque. Il s'agit du dossier concernant Jean-Pierre Bemba, ancien vice-président de la République et président du Mouvement de libération du Congo-MLC. La République centrafricaine ayant retiré la plainte

qu'elle avait déposée auprès de cette instance judiciaire l'accusé se retrouve sans plaignant jusqu'à ce jour. Ce qui étonne tout le monde est donc le fait qu'il soit retenu à la Haye alors qu'il aurait dû être relâché depuis très longtemps. Au point que les observateurs sont d'avis que ce sont les autorités congolaises qui se seraient arrangées avec le procureur partant pour l'y garder et l'empêcher de se présenter à la dernière élection présidentielle. Ce qui ne serait pas tout à fait loin de la réalité quand on sait que dans sa déposition devant les juges de la CPI, le procureur général de la République centrafricaine avait clairement laissé entendre que pour son pays, cette affaire était classée. Tout le reste n'est qu'un gros montage politique congolais.

L'affaire qui opposait à la Cour pénale internationale le sénateur congolais Jean-Pierre Bemba et le gouvernement centrafricain, date de plus de deux ans aujourd'hui. Le leader du Mouvement de libération du Congo était accusé en tant que commandant en chef, des erreurs que ses troupes auraient commises à Bangui pendant le conflit armé qui opposait en 2002 et début 2003, l'ancien chef de l'Etat, Ange-Félix Patassé, aujourd'hui décédé, à l'actuel président de la République, François Bozizé. A cette époque, l'on avait parlé des violations de droits humains. Bien que ne se trouvant pas physiquement dans la capitale située en face du territoire de Mobayi-Mbongo, du côté de la République démocratique du Congo, Jean-Pierre Bemba était poursuivi en sa qualité de président de cet ancien mouvement rebelle. A Kinshasa, l'on s'était saisi de l'affaire pour enfoncer davantage celui qui apparaît, pour le camp au pouvoir, comme un adversaire redoutable. C'est ainsi qu'un journaliste bien connu serait même envoyé secrètement à Bangui pour filmer les probables victimes et constituer un document sonore à envoyer au procureur. Pendant ce temps, le chargé de communication du bureau de représentation en RDC de la CPI va multiplier communiqués et interviews dans la presse locale en vue de culpabiliser le sénateur congolais. Pour cette raison, l'on n'était pas très surpris de constater que les démarches entreprises par les élus de la province de l'Equateur auprès des milieux officiels pour défendre un citoyen congolais se solderont par un mutisme total.

Retrait de la plainte centrafricaine

Au cours des audiences, la solide défense de Bemba va s'employer à détruire tous les arguments présentés et par le procureur et par la partie centrafricaine. Au point qu'à un moment donné, les juges de la chambre préliminaire vont simplement ordonner son relâchement. Les avocats démontrent que dans ce dossier, Bemba ne peut en aucun cas être incriminé d'autant plus que ses éléments qui se trouvaient à Bangui, étaient placés sous le commandement du chef de l'Etat de l'époque. Et que c'est plutôt lui qui devait être poursuivi pour des crimes éventuels commis pendant le conflit. Pendant ce temps, Bemba prenait part, loin du pays, à des négociations politiques. De plus, à leur retour de Bangui, les éléments qui s'étaient rendus coupables de faits répréhensibles avaient été jugés et sévèrement sanctionnés par le président du MLC. Un dossier dans ce sens avait été envoyé au secrétaire général des Nations unies de l'époque, le Ghanéen Koffi Annan. Enfin, avant de voler au secours de Patassé en conflit ouvert avec son ancien chef d'Etat major général, Jean-Pierre Bemba avait pris soin d'informer l'Elysée. Ce qui montre que du côté du MLC, tout avait été fait dans la transparence totale.

En fin de compte, la Cour criminelle de Bangui qui va se pencher sur ce dossier, conclura à l'innocence du sénateur congolais. C'est ainsi qu'un juge d'instruction à l'époque des faits sera expédié auprès de la CPI pour retirer la plainte, suivi du procureur général du même pays qui va crever l'abcès en déclarant publiquement que pour la RCA, le dossier n'existait plus. Et que si Bemba n'est pas libéré, c'est qu'il s'agirait d'un gros montage politique congolais. Un véritable pavé dans la marre ! Devant cette terrible réalité, l'on assistera à une réelle agitation dans certains milieux politiques à Kinshasa. Une chaîne de radio périphérique va ainsi annoncer l'attaque dont trois anciens hauts cadres du MLC auraient été victimes. L'on fait savoir que des armes avaient crépité dans les résidences de Thambwe Mamba, Olivier Kamitatu et José Endundo. Des hommes qui prenaient des décisions pendant la période de rébellion, et dont l'un d'eux, Olivier Kamitatu, alors secrétaire général du mouvement, avait signé l'accord d'envoi de troupes à Bangui. Pour eux, ladite opération aurait été menée par des partisans de Bemba pour les empêcher de quitter le pays et d'aller témoigner à charge à la CPI. Cependant, jusqu'à présent, l'enquête qui aurait été ouverte sur cette affaire n'a jamais abouti. Ce qui fait douter de sa véracité. Quoi qu'il en soit, après le retrait de la Centrafrique, l'affaire Bemba risque de revêtir dans les prochains jours, le caractère politico-congolais. L'on apprend que les trois hommes précités pourraient être interpellés par la CPI pour leur implication de loin ou de près dans l'arrestation de leur ancien leader et de son transfèrement à la Haye. Les arroseurs qui coulaient des jours tranquilles dans les allées du pouvoir, risquent donc de se retrouver à la place de celui qu'ils auraient trahi pour des raisons évidentes.

                                                                                                                Astre

RDC : 3 morts et 2 rescapés, bilan du crash de l'Antonov 28 dans l'est du pays

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Crée le 03-02-2012-  5h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour levendredi 03-01-2012 - 05H29 AFRIQUE REDACTION PAR : CONGO NOUVEAU

 

RDC : 3 morts et 2 rescapés, bilan du crash de l'Antonov 28 dans l'est du paysLe crash de l'Antonov 28 de la compagnie TRACEP Congo de Bukavu, survenu le 30 janvier 2012 dans la forêt de Namoya, située dans la province du Maniema (est de la RDC), a coûté la vie à 3 des 5 personnes à bord, a affirmé jeudi le ministre provincial des Transports et Voies de communication du Sud-Kivu, Laban Kyalangalilwa
 

Les trois victimes sont le pilote, le co-pilote et un passager alors que deux autres passagers s'en sont tirés avec des blessures.

L'aéronef provenait de l'aéroport de Kavumu, à Bukavu, dans la province du Sud-Kivu (est), à destination de la province du Maniema (est), avec une quantité importante des marchandises.

D'après M. Kyalangalilwa, l'accident serait dû à de mauvaises conditions atmosphériques.

La RDC est toujours accusée d'entretenir un parc aéronautique vieux et de manquer de rigueur dans l'entretien et le contrôle technique de ses avions ainsi que dans la vérification des licences professionnelles.

Les compagnies aériennes congolaises figurent sur la liste noire de l'Union européenne (UE).

Le rapport de la Monusco sur la RDC sera présenté le 7 février 2012

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Crée le 03-02-2012-  14h50 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le vendredi 03-01-2012 - 14H59 AFRIQUE REDACTION PAR : LE POTENTIEL



Le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, procédera à la présentation devant le Conseil de sécurité du rapport sur les activités de la Mission des Nations unies sur la stabilisation du Congo (Monusco), le 7 février 2012. C’est dans ce cadre qu’il faut placer le voyage qu’effectue depuis mardi à New York, le représentant spécial du secrétaire général de l’ONU en République démocratique du Congo, Roger Meece. Avant cette date, Roger Meece se consacre à effectuer une série de consultations en rapport avec sa mission dans notre pays.

La nouvelle orientation de la Monusco, rapporte l’ACP, accorde une importance plus accrue à la consolidation de la paix pour raffermir et faire avancer la stabilisation du pays, a-t-on appris mercredi du siège de la Mission onusienne à Kinshasa. Le Conseil de sécurité a décidé de prolonger jusqu’au 30 juin 2012, le mandat de la Monusco qui doit être axée sur deux priorités majeures, à savoir la protection des civils, la stabilisation et la consolidation de la paix.

C’est dans ce contexte que le secrétaire adjoint de l’ONU chargé des opérations de maintien de la paix, Hervé Ladsous, a séjourné du 24 au 27 janvier en RDC pour une visite de travail, après sa prise des fonctions, il y a plus de deux mois.

A Kinshasa, Hervé Ladsous avait eu des rencontres avec des autorités politiques, des membres du Bureau de la Commission électorale nationale indépendante (CENI) et des représentants des partis de l’opposition. Il a eu aussi des séances de travail avec les responsables du système des Nations unies en RDC.

Le chef du département des opérations de maintien de la paix s’était également rendu à Goma, au Nord-Kivu, pour s’enquérir des progrès réalisés dans la sécurisation et le programme de stabilisation de l’Est, ainsi que les défis à relever pour le futur. Il avait lancé un appel aux hommes politiques afin d’initier des échanges pour résoudre les différends.
            
 Stéphane Etinga

Goma : L'affrontement entre FARDC et gardes d'un député sortant fait 4 morts

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Crée le 03-02-2012-  14h50 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le vendredi 03-01-2012 - 14H59 AFRIQUE REDACTION PAR : OBSERVATEUR



Quatre personnes ont péri à la suite des affrontements le jeudi 2 février entre les Forces armées de la RDC (FARDC) et la garde rapprochée du député sortant Dieudonné Bakungu Mitondeke à Goma, chef-lieu de la province du Nord-Kivu, à en croire une source basée à Goma. Des sources sur place indiquent que deux militaires, un policier qui assurait la garde du député et un autre venu avec les militaires...
Le jeudi 2 février, l'échange des tirs entre les Forces armées de la RDC (FARDC) et les éléments de la garde rapprochée du député sortant Dieudonné Bakungu Mitondeke, à Goma (Nord-Kivu), a fait quatre morts.

Des sources locales citées par notre source ont indiqué que deux militaires, un policier qui assurait la garde du député et un autre venu avec les militaires ont été tués. Plusieurs militaires des FARDC auraient également été blessés.

Tout serait parti, selon des témoins, lorsque des militaires FARDC auraient encerclé la résidence du député à 4 heures locales du matin pour y faire une perquisition. Une discussion se serait suivie entre les éléments de la garde rapprochée du député sortant et les militaires qui ont fini par échanger des tirs.

Les FARDC accusent Dieudonné Bakungu de détenir illégalement des armes et d'entretenir une milice privée. Le député sortant rejette toutes ces accusations.

Candidat aux législatives du 28 novembre 2011 dans la circonscription de Masisi au Nord-Kivu sous les couleurs de l'Union pour la nation congolaise (UNC) de Vital Kamerhe, Dieudonné Bakungu Mitondeke attend d'être fixé sur son sort car les scrutins ont été annulés dans toute sa circonscription de Masisi, faute de compilation de résultats de plus de quatre-vingts centres de vote.

Kléber Kungu

350 « shegués » déversés dans la rue chaque mois à Kinshasa Thérèse Olenga interpellée

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Crée le 03-02-2012-  14h50 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le vendredi 03-01-2012 - 15H09 AFRIQUE REDACTION PAR : LE PHARE

 

D'après les statistiques réalisées par le REEJER (Réseau oeuvrant dans l'encadrement des enfants de la rue à Kinshasa) dans la ville province de Kinshasa, 350 enfants sont déversés chaque mois dans la rue. Cette révélation troublante a été faite au cours d'un grand débat portant sur «les enfants des rues : une blessure de la société congolaise» organisé le mardi 31 janvier 2012, par l'ambassade de France, à l'institut français halle de la Gombe Parmi les intervenants, on a noté la présence de la ministre provinciale Marie-Thérèse Olenga ; de Daudet Mputu Ilua, président du tribunal pour enfants de Kinshasa ; de Remi Mafu, coordonnateur du REEJER ; de Fanie Kamweni, éducatrice sociale ; ainsi que du professeur Florentin Azia, chef du département orientation scolaire à l'UPN.

D'entrée de jeu, l'organisateur du débat a balancé un document filmique tourné à Kinshasa par la Monusco, mettant en scène les enfants des rues de Kinshasa généralement taxés «des sorciers» racontant les raisons de leur départ du toit familial. Actuellement a-t-on appris, près de 100 à 150 millions d'enfants dans le monde sont en situation des rues dont la moitié en Amérique du sud, 30 millions en Asie, 5 millions en Afrique repartis dans les capitales telles que Kinshasa, Kampala, Kigali, etc.

A cet effet, au cours de la période allant de janvier à octobre 2011, la ville province de Kinshasa a enregistré près de 2500 nouveaux enfants des rues dont 14000 ont moins de 18 ans, ¼ sont les filles et se prostituent à 90%, 80% de ces jeunes se livrent à la consommation de la drogue.

Face à la montée en flèche de ce phénomène dangereux, la ministre Olenga rassure que cette situation retient l'attention du numéro 1 de la ville et que la prise en charge des enfants des rues constitue le 5ième axe prioritaire du gouvernement provincial, consacré la protection civile, la formation professionnelle, et la réinsertion sociale. Dans l'optique de les occuper, une centaine d'eux se sont, vus confier l'assainissement de grandes artères de la capitale, en raison de 3,5$ par jour. En outre, elle a fait mention d'un programme ambitieux de son ministère visant à occuper au moins 1200 enfants des rues par le même travail dans les mois à venir; en précisant que ces travaux d'assainissement ne concernent que les jeunes ayant atteint l'âge de la majorité.

A quand un programme de récupération pour les « sheguées mineurs» et quel avenir réserve t-on aux «nouveaux sheguées» qui naissent chaque jour ? Les initiatives appropriées devant permettre de désamorcer bette bombe à retardement ne semble pas encore rencontrer une politique claire dans la matière de la part des décideurs politiques. L'essentiel des actions menées sur terrain sont le fruit du labeur des ONG locales qui sont à pied d'oeuvre dans la ville ; et à ce niveau apparaît de sérieux problèmes de centralisation et de canalisation des efforts encore disparates de ces ONG, a reconnu madame Olenga.

Mais bien avant cela, le professeur Florentin Ilua a souligné l'importance de clarifier le concept «enfants des rues» et a soutenu que quatre catégorisations sont à considérer les enfants de la rue, les enfants dans la rue, les enfants à la rue, les désoeuvrés et les mendiants. Suite au taux de chômage élevé, et à la prolifération des églises qui pourchassent les démons partout, la solidarité africaine ne fonctionne presque plus, et de ce fait plusieurs enfants se retrouvent dans la rue. Alors que dans la tradition africaine, l'enfant n'appartient pas qu'à son géniteur mais aussi aux oncles, tantes, et par extension à toute la communauté, a indiqué le professeur.

De son côté le président du tribunal pour enfants de Kinshasa a rappelé la mission de sa juridiction dans la protection des enfants en situation des rues par les mécanismes appropriés prévus par la loi. Parmi les enfants en situation des rues, la loi congolaise reconnaît les enfants dits sorciers, les orphelins, les enfants sujet de mécontentement à l'égard des parents, ainsi que les vagabonds, à renseigné le juge ILUA. Par ailleurs, il a exhorté les différents ONG locales qui oeuvrent dans ce domaine, à travailler dans la légalité, en ce qui concerne notamment la réunification familiale de ces jeunes.

En fin de partie, l'assistance était conviée à visiter une exposition merveilleuse de 27 clichés photographiques, réalisés à Kigali par les enfants des rues. Le mot de la fin de l'organisateur était celui d'inviter le public kinois à participer à un débat de haute facture qui sera consacré à « la femme dans la société congolaise» le mardi 27 mars prochain à la Halle de la Gombe.

                                                                                                Eddy SIMBUNGU

Comme le CLCR n'a pas publié les résultats de tous les bureaux de vote L'UFC demande l'annulation des élections législatives de la Tshangu

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Crée le 03-02-2012-  15h20 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le vendredi 03-01-2012 - 15H39 AFRIQUE REDACTION PAR : LE PHARE

Les contestations ne cessent de pleuvoir sur la table de la Cour Suprême de Justice concernant les élections législatives. Elles proviennent de tous les camps, de l'opposition comme de la majorité présidentielle sortante et s'articulent essentiellement sur des cas de fraudes, irrégularités, bourrages des urnes. Après la mise en garde contre la CENI qui a déféré l'un de ses hauts cadres devant la Justice pour des faits imaginaires en bloquant la publication des élus du territoire de Ndemba au Kasaï Occidental, l'Union des Forces du changement de Léon KENGO Wa Dondo vient de saisir le bureau de la CENI pour dénoncer des irrégularités perpétrées dans la circonscription de la Lukunga.

Selon la lettre de la 2ème vice-présidente de ce parti à la CENI, les résultats publiés par la circonscription de la Tshangu sont incomplets car ils ne concernent que 2.572 procès-verbaux de dépouillement alors qu'il y en avait eu 3.184. En d'autres termes, a indiqué Me Annie BALAYI Kapajika, il y a eu 612 résultats non compilés alors que les élections se sont bien déroulées sans incident majeur. En tout et pour tout, 214.200 électeurs prévus dans ces bureaux n'ont pas été pris en compte sachant que le nombre d'électeurs prévus par bureau de vote s'élève à 350.

Pour l'UFC, si l'on calcule les suffrages valablement exprimés et non compilés en tenant compte du taux de participation qui était de l'ordre de 55,31%, l'on se trouve en face des 118.474 suffrages valablement exprimés non pris en compte représentant 3 sièges pour un quo efficient électoral de 35.562. Pour l'UFC, ces irrégularités ont affecté l'impartialité de la CENI, la fiabilité et la transparence de son système et surtout la sincérité de ses préposés ayant oeuvré dans le Centre local de compilation des résultats.

Par voie de conséquence, au cas où la CENI se trouverait dans l'incapacité de réunir tous les bulletins de vote, le parti cher à Léon Kengo exige l'annulation des résultats partiels publiés par le bureau du Centre local d compilation des Résultats de Tshangu le 31 janvier dernier. Au cas contraire, la CENI devra procéder au recomptage des voix des élections législatives par bureau de vote.

La colère des membres de ce parti de l'opposition n'est pas le fait du hasard. Ces irrégularités ne pouvaient que se produire du fait du trafic d'influence auquel ont recouru des proches collaborateurs du bureau de la CENI sur les préposés affectés au Centre de compilation local des résultats. A titre d'exemple, le 1er février dernier, on avait assisté à la FIKIN, indique-t-on dans cette lettre, à des échanges verbaux acerbes entre la secrétaire du président Ngoyi Mulunda et le conseiller du professeur Jacques DJOLI, ci-devant vice-président et cela en présence de tous les témoins.

                                                                                                                  F.M.

JETE A MAKALA SANS MOTIF VALABLE Jacques Chalupa prisonnier politique

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Crée le 03-02-2012-  15h40 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le vendredi 03-01-2012 - 15H49 AFRIQUE REDACTION PAR : LE PHARE

 

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L'arrestation suivie de la détention de CHALUPA vient remettre sur la sellette la question de la nationalité congolaise qui a été l'un des prétextes du déclenchement de la guerre de l'AFDL en 1996. Un prétexte né du fameux rapport de la commission VANGU Mabweni qui avait fait croire aux populations congolaises d'origine rwandaise que leur nationalité leur avait été retirée par une lecture sélective de la loi sur la nationalité de 1981.

Au-delà de cela, l'affaire CHALUPA revient sans le savoir sur une crise qui avait éclaté tout au début de cette législature finissante avec le rejet de la candidature du député national du MLC, en l'occurrence Alex KANDE Mupompa sur la liste des candidats gouverneurs pour la province du Kasaï Occidental, au motif qu'il détenait la nationalité belge.

A l'issue d'une séance plénière fort houleuse dans l'hémicycle de la Commune de Lingwala, José MAKILA, député du MLC pour la circonscription de Gemena sortira de ses gongs pour déclarer du haut de la tribune de la salle des Congrès qu'il allait rendre publiques des listes de hautes personnalités politiques, militaires, judiciaires et autres détenant aussi des nationalités étrangères.

Ces déclarations provoquèrent un véritable Tsunami dans le microcosme politique et certains noms d'hommes politiques exerçant des hautes fonctions dans les institutions de la République commencèrent à circuler sous le manteau à travers la capta le. Le bureau de l'assemblée nationale présidée à l'époque par Vital KAMERHE suspendit les travaux de la session ordinaire convoqua une réunion spéciale à laquelle prirent part les présidents des groupes parlementaires fraîchement installés en vue de débattre sur cette affaire fort délicate. La solution trouvée fut de nature politique car elle aboutit à une formule alambiquée d'un moratoire sur la nationalité congolaise pour permettre à tous ceux qui détenaient des nationalités étrangères de se mettre en règle avec la loi congolaise sur la nationalité qui est proclamée une et exclusive. Le calme revint au Palais du Peuple mais ce moratoire court encore alors qu'il devait être limité, à trois mois.

Deux poids deux mesures

Tous ceux qui détenaient d'autres nationalités étrangères n'ont jamais été appréhendés ni jetés à la prison de Makala comme c'est le cas aujourd'hui de l'infortuné CHALUPA qui a été arrêté comme un malfrat par des éléments de la Police d'intervention Spéciale devant son bureau de travail à Kingabwa. Preuve s'il en faut une que cette affaire sent un chantage éhonté à caractère politique sur un homme à cause de ses couleurs politiques tout au long de cette campagne électorale. On sait à ce sujet qu'un des hauts responsables du Parquet Général près la Cour d'Appel de la Gombe avait été dénoncé de détenir la nationalité belge. Il prit la fuite via Brazzaville et retourna au pays après avoir renoncé à cette nationalité et cela sans en apporter la preuve. Il a repris sa place parmi les hauts magistrats du Parquet Général de la République et vient de se présenter aux élections législatives du 28 novembre dernier sans être inquiété le moins du mode. Des cas de ce genre sont légion car il en existe jusque dans d'autres institutions de la République et beaucoup d'entre eux n'ont jamais renoncé à leurs nationalités étrangères. Il y a deux an, un député membre du MLC avait été condamne par la justice du Rwanda pour abus des biens sociaux. Cette affaire provoqua un débat houleux à l'assemblée nationale qui se termina en eau de boudin lorsque les autorités rwandaises répondirent par voie officielle que cette personnalité détenait la nationalité rwandaise. Cet homme continue à croupir dans les geôles du Rwanda où il purge sa peine de six ans de prion ferme. Ses biens meules et immeubles ont été confisqués par la justice de ce pays voisin de l'Est sans que la RDC ne lève le moindre petit doigt.

C'est l'accusation qui apporte la preuve de l'infraction. 

Selon les avocats de l'infortuné CHALUPA, le Parquet Général de la République ne dispose d'aucune preuve de l'infraction de la détention frauduleuse de la nationalité à charge de l'incriminé. M. CHALUPA a déposé sa carte d'électeur et ses passeports diplomatique et ordinaire qui jusqu'à preuve du contraire constituent les seules preuves de la détention de la nationalité congolaise. Dans ces pièces, il est établi que l'infortuné est né en 1948 à Uvira dans le Sud-Kivu et conformément au principe du « jus solis » ou droit du sol, CHALUPA est congolais d'origine comme Joseph KABILA et Etienne TSHISEKEDI. Car la nationalité congolaise repose sur deux principes fondamentaux, à savoir le « jus solis » et le « jus sanguinis », ou le droit du sol et le droit du sang. C'est le cas particulièrement de NAZEM et STAVROS PAPAIANOU, deux hommes d'affaires célèbres nés au Katanga en RDC des parents étrangers et qui n'ont jamais été inquiétés. En clair, comme le dit le principe de droit commun, à savoir « auctor incumbit probatio » ou l'administration de la preuve incombe à l'accusateur, il revient au Parquet Général de la République d'apporter les preuves de ses accusations et non le contraire. Faute de quoi, l'organe de la loi doit remettre l'infortuné en liberté.

Toute honte bue et visiblement agissant sous la dictée d'une main noire tapie dans l'ombre, et sans en apporter la moindre preuve, le Parquet Général de la République s'acharne sur cet homme pour l'obliger à accepter qu'il est né à Bujumbura au Burundi, ont déclaré les avocats de CHALUPA. On n'est pas encore sorti de l'auberge des violations des lois de la République qui sont pourtant imposables et opposables à tous sans distinction.

                                                                                                                 F.M.


Sud-Kivu : les FARDC intensifient les opérations contre les Maï-Maï Yakutumba

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Crée le 03-02-2012-  18h45 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le vendredi 03-01-2012 - 18H49 AFRIQUE REDACTION PAR :LE POTENTIEL

 

 



Dans le but de combattre l’insécurité, l’armée régulière a intensifié ses opérations contre les Maï-Maï Yakutumba dans la province du Sud-Kivu. Les Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) mènent actuellement d’intenses opérations militaires contre les éléments Maï-Maï Yakutumba, dans la province du Sud-Kivu.

Selon la Monusco, ces miliciens continuent de renforcer leurs positions sur les rivages du lac Tanganyika. Des éléments armés appartenant aux Maï-Maï Nyatura, Maï-Maï Kirikicho et des combattants FDLR ont été aperçus dans le territoire de Kalehe.

Aussi, une vive tension continue-t-elle d’être observée dans les régions au Nord des territoires de Shabunda et de Kalehe.

La Mission onusienne fait remarquer que le 21 janvier 2012, le chef de la Commission nationale des réfugiés et les FARDC ont sollicité l’assistance du commandant de poste opérationnel de la Force de la Monusco de Baraka pour le rapatriement d’environ 225 familles FDLR ayant quitté Lulimba pour Minembwe, mais actuellement en transit aux villages Lumanya, Kichanga et Mukera, situés à proximité du poste onusien. Et depuis le 23 janvier, le bataillon pakistanais de la force de la Monusco escorte et assure la protection des équipes conjointes de protection composées des représentants de la section des Affaires civiles de la Monusco et de l’Organisation pour la coordination des Affaires humanitaires (OCHA), en mission d’évaluation de la situation des déplacés et des besoins humanitaires à Kalongo, Nindja et Ihembe.

Par ailleurs, pour protéger les populations civiles, et empêcher tout incident qui pourrait résulter de la publication des résultats électoraux et de maintenir la vigilance dans les régions jugées potentiellement à risque, la force de la Monusco a lancé, le 24 janvier 2012 la deuxième phase de l’opération « Usalama Imara ». A traduire : Sérénité durable.

Grâce à cette opération, la Monusco dit avoir intensifié des patrouilles et établi 11 postes supplémentaires à travers la province. Le même jour, rapporte, le porte-parole militaire de la Monusco, trois éléments des Forces démocratiques pour la libération du Rwanda (FDLR) se sont rendus sans armes au poste opérationnel de la Force de la Monusco de Kalehe.

De même, un autre poste opérationnel a été déployé à Iganda, situé à 15 km au Nord de Mwenga, dans le but d’assurer la protection des déplacés qui retournent chez eux après les attaques des FDLR dans le territoire de Shabunda.

Pitshou Mulumba

Quid des enlèvements d’ouvriers chinois en Afrique ?

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Crée le 03-02-2012-  18h45 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le vendredi 03-01-2012 - 18H49 AFRIQUE REDACTION PAR :LE POTENTIEL


La question vaut son pesant d’or, tant on sait qu’en mois d’un mois, des dizaines d’ouvriers chinois travaillant sur le continent noir ont été l’objet d’enlèvement et de demande de rançon, notamment au Soudan et en Egypte, suscitant ainsi une réflexion de Chine Nouvelle. Selon l’agence nationale chinois, plusieurs dizaines d’ouvriers chinois ont été enlevés récemment au Soudan et en Egypte, ce qui a nourri les reportages de certains médias occidentaux qui ont mis en cause la stratégie adoptée par les entreprises chinoises ces dernières années consistant, selon eux, à envoyer leur propre main-d’oeuvre à l’étranger, poussant ainsi certains commentateurs à croire que les prises d’otages seraient la conséquence de cette stratégie.

Il est vrai qu’au fur et à mesure du développement de la Chine sur le plan économique, les entreprises chinoises, surtout celles qui sont spécialisées dans la construction des infrastructures, ont commencé à sortir du pays pour exploiter les opportunités offertes par les marchés étrangers.

«Quand les entreprises chinoises du BTP prospectent les marchés extérieurs, l’Afrique apparaît comme un choix incontournable. La raison en est que les marchés dans les pays développés d’Europe et d’Amérique sont presque saturés, alors que beaucoup de pays africains ont un certain retard dans le domaine de la construction des infrastructures.

«Les Africains ont besoin du savoir-faire chinois pour améliorer leurs infrastructures, afin de stimuler leur croissance économique», a commenté He Wenping, une experte sur l’Afrique de l’Académie chinoise des sciences sociales.

De la Somalie dans le Nord-est du continent jusqu’en Angola dans le sud-ouest, de la Mauritanie dans le nord-ouest jusqu’à l’île Maurice dans l’océan Indien, la Chine a participé à plus de 500 projets de travaux en Afrique jusqu’en 2009, d’après le Livre Blanc publié fin 2010 par le gouvernement chinois sur la coopération commerciale sino-africaine.

Plus précisément, la Chine a aidé les pays africains à construire plus de 2 000 km de routes, plus de 3 000 km de chemins de fer, une centaine d’écoles, une soixantaine d’hôpitaux, et a annulé plus de 3 milliards de dollars de dettes en Afrique.

On peut citer en exemple le nouveau Centre de conférence que la Chine a remis à l’Union africaine à Addis-Abeba. Le nouveau Centre de conférence de l’Union africaine est la réalisation d’un projet digne de l’amitié et de la solidarité sino-africaine, a déclaré Jean Ping, président de la commission de l’UA à l’occasion de la cérémonie d’inauguration de ce complexe, «dont la tour est sans doute la plus haute d’Addis-Abeba, irradie dans tous les sens du terme, toute la lumière et les promesses de l’Afrique».

Jetant un regard sur les pratiques d’entreprises d’autres pays étrangers qui se lancent elles aussi sur les marchés hors de leur propres frontières, Mme He a fait remarquer que «l’exportation de la main-d’oeuvre n’est pas un phénomène typiquement chinois, les pays fortement peuplés comme l’Inde et le Pakistan exportent aussi des ouvriers. Les entreprises chinoises ont tendance à utiliser la main-d’oeuvre locale, mais faute de technique et de savoir-faire nécessaires, elles ont dû, pour l’instant, faire appel à leurs compatriotes pour les chantiers en Afrique».

Par ailleurs, en ce qui concerne les entreprises occidentales, leur présence en Afrique est plus importante que celle des entreprises chinoises. La différence entre elles est que les entreprises occidentales se concentrent sur les projets de construction des capacités des gouvernements locaux.

Et les entreprises du BTP occidentales, dans les rares cas quand elles remportent des appels d’offres en Afrique, font en général appel à des sous-traitants locaux.

«C’est pour cette raison qu’on voit très rarement la présence d’ouvriers occidentaux sur les chantiers en Afrique», a expliqué Mme He, qui a ajouté que «les enlèvements d’ouvriers chinois ne sont pas la conséquence de la stratégie des entreprises chinoises» d’envoyer leur main-d’oeuvre à l’étranger.

«Pour s’enrichir, il faut en premier lieu construire des routes», dit un proverbe chinois. Au quotidien, les efforts de la Chine pour aider l’Afrique à améliorer ses infrastructures sont hautement appréciés par les populations locales.

Il faut donc souhaiter que ces efforts fructueux soient maintenus, quels que soient les incidents regrettables susceptibles de survenir occasionnellement.

Matshi/Cn

Kinshasa : Des coopératives peuvent lutter contre la faim !

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Crée le 03-02-2012-  18h45 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le vendredi 03-01-2012 - 18H49 AFRIQUE REDACTION PAR :LE PALMARES

 

Les Nations Unies par le biais du directeur général du Fonds des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), José Graziano Dasilva, avaient déclaré 2012, année internationale des coopératives, reflétant ainsi non seulement un intérêt renouvelé pour leur action mais, aussi la nécessité d'une plus grande sensibilisation à la valeur de leur approché multidimensionnelle, indique un communiqué de presse de la FAO, remis, mercredi à l'ACP.

Selon le document, M Graziano a indiqué que la FAO allait intensifier sa collaboration avec les organisations de producteurs et les coopératives agricoles, alimentaires et rurales qui ont une influence bénéfique sur les petits agriculteurs au niveau organisationnel, économique et social, sur les populations pastorales et tous ceux qui dépendent de la pêche et des forêts pour subvenir à leurs propres besoins.

“La FAO doit pouvoir compter sur les partenaires clés qui constituent des coopératives et des organisations de producteurs fortes afin d'éliminer la faim dont souffrent quelque 925 millions de personnes et de répondre aux nombreux défis auxquels le monde fait face, a-t-il souligné “.

La FAO s'engage à mettre en avant et à partager les preuves de l'impact des coopératives et des organisations de producteurs sur la sécurité alimentaire dans le monde ainsi qu'à renforcer ses liens avec ces groupes, a déclaré M Graziano Dasilva. Par ailleurs, qu'elles soient de petite taille ou qu'elles brassent des millions de dollars au plan mondial, les coopératives opèrent dans tous les secteurs de l'économie, tant urbaine que rurale. L'Alliance internationale des coopératives estime que les coopératives comptent plus de 800 millions de membres. En 2008, les 300 plus grandes coopératives du monde ont réalisé un chiffre d'affaires cumulé de 1.100 milliards USD comparable au Produit intérieur brut (PIB) de nombreux grands pays, rappelle-t-on.

                                                                                                               LP/Acp

Kinshasa : Arrestation d'un groupe de « Kuluna » à Bumbu !

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Crée le 03-02-2012-  18h45 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le vendredi 03-01-2012 - 18H49 AFRIQUE REDACTION PAR :LE PALMARES

La Police nationale congolaise (PNC) a procédé mardi vers quatre heures du matin à l'arrestation d'un groupe de jeunes délinquants communément appelés ”kuluna“, préalablement répertorié et identifié par les services spéciaux, au quartier Kasaï, dans la commune de Bumbu a rapporté mardi à l'ACP, un habitant du coin. Selon la source, l'opération s'est déroulée sans heurts, étant donné que les agents de l'ordre se sont présentés devant les habitations ciblées en citant les noms des personnes visées à se rendre librement. Les parents et les proches des “ kuluna “ concernés, indique la même source, ont assisté impuissants l'opération constituant une véritable interpellation sur la responsabilité des parents envers leurs progénitures. Ces jeunes délinquants s'illustraient par des actes de vandalisme, d'extorsion, de rafle et de vol semant l'insécurité dans ce quartier. Cette opération rentre dans le cadre de la lutte contre le phénomène « kuluna » déclenchée par le ministère de Justice et Droits Humains visant l'arrestation des vrais délinquants à la place des innocents, comme cela a été souvent le cas dans des pareilles circonstances.

                                                                                                               LP/Acp

RD Congo : Le représentant spécial du secrétaire général de l'ONU en RDC en route pour New York !

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Crée le 03-02-2012-  18h45 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le vendredi 03-01-2012 - 18H49 AFRIQUE REDACTION PAR :LE PALMARES



Le représentant spécial du secrétaire général de l'ONU en RDC, Roger Meece, a quitté Kinshasa mardi pour New York où il va entreprendre une série de consultations, avant la présentation du rapport du secrétaire général au Conseil de sécurité sur la Mission de l'ONU pour la stabilisation en RDC (MONUSCO), le 7 février. La nouvelle orientation de la MONUSCO accorde une importance plus accrue à la consolidation de la paix pour raffermir et faire avancer la stabilisation du pays, a-t-on appris mercredi au siège de la Mission onusienne à Kinshasa. Le Conseil de sécurité qui a décidé de prolonger jusqu'au 30 juin 2012 le mandat de la MONUSCO qui devra être axé sur deux priorités majeures : la protection des civils, la stabilisation et la consolidation de la paix. C'est dans ce cadre que le secrétaire général adjoint de l'ONU chargé des opérations de maintien de la paix, Hervé Ladsous, a séjourné du 24 au 27 janvier en RDC pour une visite de travail, après sa prise de fonctions il y a plus de deux mois. A Kinshasa, Hervé Ladsous avait eu des rencontres avec des autorités politiques, des membres du bureau de la CENI et des représentants des partis de l'opposition.

Le chef du département des opérations de maintien de la paix qui s'était rendu à Goma, au Nord-Kivu, avait demandé aux hommes politiques d'avoir des échanges pour résoudre des différends.

                                                                                                             LP/Acp

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