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Channel: AFRIQUE REDACTION . L'information en continu ! Afrique au cœur de l’actualité...Infos News sur la RDC, les brèves de la dernière minute. Synthèse sur l’actu internationale. rdcongo-kinshasa, Nord et Sud KIVU, Kinshasa, Bas Congo, Dongo, Equateur, Maniema, Lubumbashi, les deux Kasai. Rédacteur en Chef : BONGOS Roger
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La Société Civile Congolaise au SG de l'ONU Elections : recompter les voix ou organiser un 2ème tour

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Crée le 10-02-2012-  12h45 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | TAGS: RDC, ETIENNE TSHISEKEDI, JOSEPH KABILA, VIOL RDC, FDLR, MASSACRE, ELECTIONS RDC, CENI, AFRIQUE. Mis à jour le vendredi 10-02-2012 - 13H05 AFRIQUE REDACTION PAR : LE PHARE

Dans une lettre datée du 07 février 2012, la Société Civile Congolaise regroupée au sein de l'AETA (Agir pour les Elections Transparentes et Apaisés) interpelle le Secrétaire de l'ONU, Ban Ki-Moon, au sujet de la crise multiforme qui prévaut en République Démocratique du Congo, et dont la plis redoutable est d'ordre politique. Pour ce qui est du volet politique, le pays baigne dans une ambiance délétère provoquée par les contestations et les frustrations post-électorales.

Les activistes de la Société Civile font savoir au numéro un des Nations Unies que la RD Congo court le risque d'une implosion aux conséquences difficiles à prévoir. Il n'y a, selon eux, qu'une thérapeutique pour résoudre la crise la politique, c'est le retour à la vérité des urnes. Aussi, dans ce créneaux proposent-ils une alternative : faire recompter les voix tant pour les élections présidentielle que législatives ou organiser un 2me tour couplé pour les mêmes scrutins.

Afin de garantir leur transparence et leur crédibilité, le Secrétaire Général de l'ONU est appelé à solliciter, auprès du Conseil de Sécurité, la certification des résultats par la Monusco.

Ban Ki-Moon est invité personnellement à s'investir pour aider les Congolais à sortir de la crise. Compte tenu de la gravité de la situation, la Société Civile Congolaise pense que la communauté internationale ne devrait plus tergiverser et agir dans un délai minimum de six mois.

Comme pour apporter de l'eau au moulin des organisations non gouvernementales battant pavillon « AETA », l'on apprend qu'un nouveau Dialogue Intercongolais, à format très réduit, est en chantier du côté de Bruxelles, sous la médiation de l'ancien président ghanéen Kuffuor et du pasteur congolais exilé en Belgique Moka. L'initiative, dit-on serait parrainée par l'Union Africaine.

On laisse entendre que 7 délégués de la Majorité Présidentielle, 7 de l'Opposition et 7 autres de la Société Civile devraient se retrouver à la mi-mars dans la capitale belge, pour examiner les voies et moyens de sortir la RDC du bourbier post-électoral. Il est même prévu un second round à Accra (Ghana) et un troisième et dernier à Kinshasa. C'est là, croit-on, une indication fort significative sur l'effectivité de la crise politique congolaise, que d'aucuns semblent banaliser, pour des intérêts personnels, alors que l'intérêt général commande qu'aucun paramètre du malaise post-électoral ne soit négligé. Ci-dessous, te texte de la missive.

A Son Excellence Monsieur Ban Ki-Moon Secrétaire Général des Nations Unies/New York

Objet : Lettre de la Société Civile Congolaise au SG des Nations Unies sur la Crise POst-Electorale en RDC

Monsieur le Secrétaire Général,

Au moment où votre Représentant Spécial en RDC du Congo s'apprête à vous présenter son rapport périodique, il nous a paru utile de vous faire part de l'évaluation, par la Société civile congolaise de la situation post-électorale comme elle prévaut actuellement. La situation générale du pays est caractérisée par une profonde crise sur les plans politique et institutionnel, socioéconomique ainsi que sur le plan des droits de l'homme et des libertés fondamentales.

Néanmoins nous voulons mettre l'accent sur le plan politique, plus particulièrement en ce qui concerne la crise post-électorale. Il sied en effet d'informer à votre déférente connaissance que les congolais vivent une situation bicéphale à la tête du pays : « D'une part, un président légal mais non légitime et un autre président légitime mais non légal. »

Notre conclusion est que si une attention particulière n'est pas portée sur cette situation, la paix et la sécurité peuvent être sérieusement affectées pour de longues années à venir, non seulement en RDC, mais- aussi dans la sous-région. Il ne serait pas exagéré de parler d'une future IIe Guerre africaine où plusieurs armées africaines se confronteront. Dès leurs origines, les Nations Unies sont une institution sur laquelle reposent la paix et la sécurité des populations et des nations. C'est dans ce cadre que se situe la mission actuelle de la MONUSCO que le peuple congolais apprécie à sa juste mesure. Au moment où les crises financières poussent à l'austérité et bousculent les économies mondiales, il suffirait aujourd'hui de consacrer un peu plus de ressources financières et en hommes en vue d'un effort supplémentaire pour éviter de faire face demain à une situation qui deviendra incontrôlable et plus coûteuse. 

Point n'est besoin de revenir aux graves constats du chaos et à l'ampleur incommensurable de la fraude qui ont caractérisé la préparation, l'organisation, le dépouillement et la proclamation/publication des résultats de élections présidentielles et législatives du 28 novembre 2011 en RDC. Le manque de crédibilité de ces élections a été reconnu par tous les observateurs : l'Union européenne, le Centre Carter, les observateurs nationaux, les observateurs de l'Eglise Catholique, pour citer que ceux-là.

Le fait est qu'aujourd'hui la grande majorité du peuple congolais ne se reconnaît pas dans les résultats publiés comme étant ceux des votes auxquels ils ont pris part. Les témoins ne reconnaissent pas la grande partie des procès-verbaux officiels d'aujourd'hui comme étant ceux sur lesquels ils avaient apposé leur signature.

Les résultats de ces élections -présidentielles et législatives- sont aujourd'hui contestés par les principaux partis de l'opposition et par plusieurs candidats, y compris certains membres des partis de la coalition gouvernementale. La Commission Electorale Nationale Indépendante, CENI, a failli à sa mission d'organiser les élections libres, transparentes et crédibles et ne mérite plus, de ce fait, la confiance des acteurs politiques et de la population congolaise.

La Conférence Nationale des Evêques Catholiques du Congo (CENCO) par sa Déclaration de l'assemblée plénière extraordinaire de janvier 2012 et la Société Civile ont lancé un appel en vue d'un dialogue national. Jusqu'à ce jour, malgré la gravité et l'ampleur de la situation, la MONUSCO s'est bornée à des voeux, appelant à ne pas recourir à la violence et à poursuivre les revendications par les canaux institutionnels, c.à.d. les cours et tribunaux connus pour leur manque de neutralité et de transparence.

On ne peut pas enfermer les uns e résidence surveillée, leur demandant de suivre une procédure caduque, pendant que d'aucuns envisagent déjà de mettre en place le processus de la mise en place des institutions résultant des élections frauduleuses. Profitant de la présentation du rapport du Représentant du Secrétaire général, nous vous proposons de saisir cette occasion pour lancer une initiative efficace en vue de sortir de la crise post-électorale en RDC. A cette fin nous soumettons à votre attention les propositions ci-après de la Société Civile congolaise :

Le Conseil de Sécurité et Secrétaire général doivent :

- Accorder à la MONUSCO le mandat d'observation électorale et de certification des résultats;

- Obtenir au préalable la mise sur pied d'un nouveau Bureau crédible et intègre à la CENI en remplacement de la vieille équipe en fonction actuellement et y inclure la société civile;

- Appliquer toute solution aux élections présidentielles et législatives sans les séparer;

- Exiger la divulgation par la CENI de l'ensemble des PV tels qu'affichés le soir du scrutin;

- Demander clairement et fortement au gouvernement de garantir la libre expression démocratique du peuple congolais, notamment la liberté de manifester;

- Obtenir pour l'ONU le mandat d'observation électorale et de certification des résultats;

- Décider entre les 2 options ci-après :

1. recompter les votes;

2. organiser un deuxième tour de vote pour les présidentielle et législatives qui sera combiné avec les élections locales et provinciales. Celles-ci pourraient avoir lieu dans un délai de 6 mois; plutôt qu'en mars 2012 pour ne pas bâcler encore les Opérations;

- Protéger les principaux responsables de l'opposition au moyen d'un cordon de sécurité fait de gardiens armés sélectionnés de commun accord avec les personnes à protéger. Plus spécifiquement, la sécurité de M. Etienne Tshisekedi doit être assurée par un contingent de l'ONU;

- Assurer la liberté de mouvement et d'expression de tous les responsables politiques.

Fait à Kinshasa, le 07 février 2012 


Equateur: les députés provinciaux s’insurgent contre l’arrestation de leur collègue

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Crée le 10-02-2012-  14h45 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | TAGS: RDC, ETIENNE TSHISEKEDI, JOSEPH KABILA, VIOL RDC, FDLR, MASSACRE, ELECTIONS RDC, CENI, AFRIQUE. Mis à jour le vendredi 10-02-2012 - 15H00 AFRIQUE REDACTION PAR : ARTV -RADIOOKAPI

Une vue du centre ville de Mbandaka dans la province de l'Equateur (RDC) .Une vue du centre ville de Mbandaka dans la province de l’Equateur (RDC) .

 

Les députés provinciaux de l’Equateur ont déploré, ce vendredi 10 février, l’arrestation de leur collègue, Octave Mowengo, élu de la circonscription de Bongandanga, par l’auditorat militaire de garnison de Lisala.


Ces députés mécontents accusent un élément de la Force navale d’avoir exigé la ration alimentaire à leur collègue qui voulait embarquer des sacs de maïs dans un bateau accosté au port de Lisala.


Une dispute s’en serait suivie et l’arme de guerre que détenait le militaire serait tombée à l’eau.


Informé, le parquet militaire de Lisala a dépêché sur place des éléments de l’auditorat qui ont mis la main sur le député provincial.


Le porte-parole des députés en colère, l’honorable Kuku dénonce cette arrestation, expliquant que son collègue jouit de l’immunité parlementaire:

«Dans tous les cas de figure, quel que soit le problème, notre collègue ne pouvait pas être traité de cette manière là. Nous demandons sa libération immédiate et sans condition parce qu’il est en exercice de ses fonctions et il est protégé par les dispositions de l’article 107 de la Constitution telle que révisée à ce jour».

L’article 107 de la constitution stipule en effet:

«Aucun parlementaire ne peut être poursuivi, recherché, arrêté, détenu ou jugé en raison des opinions ou votes émis par lui dans l’exercice de ses fonctions.

Aucun parlementaire ne peut, en cours de sessions, être poursuivi ou arrêté, sauf en cas de flagrant délit, qu’avec l’autorisation de l’Assemblée nationale ou du Sénat, selon le cas.

En dehors de sessions, aucun parlementaire ne peut être arrêté qu’avec l’autorisation du Bureau de l’Assemblée nationale ou du Bureau du Sénat, sauf en cas de flagrant délit, de poursuites autorisées ou de condamnation définitive.(…)»

L’Etat-major du quatrième regroupement de la Force navale qui a reconnu cette arrestation reproche au député provincial, en état d’ivresse, d’avoir voulu embarquer sa cargaison de maïs en dehors des heures de service. Le militaire de la Force navale en poste s’y serait qu’opposé.

Bas-Congo: une cargaison de maïs périmé saisie à Lukula

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Crée le 10-02-2012-  12h45 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | TAGS: RDC, ETIENNE TSHISEKEDI, JOSEPH KABILA, VIOL RDC, FDLR, MASSACRE, ELECTIONS RDC, CENI, AFRIQUE. Mis à jour le vendredi 10-02-2012 - 15H00 AFRIQUE REDACTION PAR : ARTV-RADIOOKAPI

L’Office Congolais de Contrôle (OCC) a saisi plus de deux mille huit cent sacs de maïs ces trois derniers jours à Lufu situé à 150 Kilomètre de Matadi (Bas-Congo). Selon le chef d’agence de l’OCC/Lukula, cette cargaison, déclarée impropre à la consommation est entreposée dans ces dépôts en attendant les résultats des analyses qu’effectue  le laboratoire de l’OCC à Matadi.


Certains de ces sacs de semoule de maïs n’ont pas d’étiquettes et d’autres ont des dates de péremption dépassées.  

                                           

 « Quand l’inspecteur de l’OCC remarque que la période de validité est déjà dépassée. Il a tout intérêt en dehors de l’analyse  de saisir les produits à partir de ces éléments primaires », a déclaré Théophile Selubanzite Kadi, le chef d’agence de l’OCC/Lukula pour justifier cette saisie.


 Seules les analyses du laboratoire détermineront le sort à réserver à ces marchandises, a-t-il précisé, rappelant que l’OCC est saisisseur et  n’a pas qualité de détruire ce lot de maïs.


 Ce lot de semoule de maïs sera mis à la disposition de la justice si les analyses confirment qu’il est impropre à la consommation, indique ce responsable de l’OCC.


Produit en Uruguay, ce maïs provenait de Luanda en Angola. Les propriétaires de ces marchandises avariées ont tenté de les écouler sur le territoire congolais au marché de Lufu à la frontière entre la République démocratique du Congo et l’Angola. 


 Le chef d’agence a affirmé qu’une alerte a été lancée à tous les postes pour décourager toute tentative de faire entrer frauduleusement ces maïs avariés en RDC car une grande quantité est restée en Angola.


Unikin: les étudiants déplorent l’achat obligatoire des syllabus

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Crée le 10-02-2012-  12h45 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | TAGS: RDC, ETIENNE TSHISEKEDI, JOSEPH KABILA, VIOL RDC, FDLR, MASSACRE, ELECTIONS RDC, CENI, AFRIQUE. Mis à jour le vendredi 10-02-2012 - 15H00 AFRIQUE REDACTION PAR : ARTV-RADIOOKAPI

Une vue du site de l'Université de Kinshasa (Unikin), 18/01/2011.Une vue du site de l’Université de Kinshasa (Unikin), 18/01/2011.

 

Les professeurs de l’Université de Kinshasa (Unikin) ont trouvé une astuce pour obliger les étudiants à acheter les syllabus, les textes imprimés reprenant l’essentiel des cours. Ils y incorporent les énoncés des travaux pratiques. Les étudiants qui n’achètent pas de syllabus ne peuvent donc pas prendre part à ces travaux pratiques. 

Aucune faculté n’est épargnée par ce phénomène qui concerne près de mille cours, disent des étudiants rencontrés sur le campus de l’Unikin.

Officiellement, l’achat de ces syllabus ne revêt pas de caractère obligatoire. Mais, la contrainte est plus subtile, comme l’explique cet étudiant qui a requis l’anonymat:

«C’est facultatif mais un peu obligatoire parce qu’il y a un travail pratique là dedans et il n’y a personne qui peut admettre de rater ce travail qui peut rapporter six points».

Selon lui, certains syllabus coûtent dix, quinze, vingt voire quarante cinq dollars américains.

«Si tu n’achètes pas, tu auras de problème pour la réussite. Ce sont des problèmes que nous avons ici», renchérit un autre étudiant.

Ce problème n’est pas nouveau. Il est apparu il y a quelques années. Tout le monde en est informé, tous le condamnent. Mais rien n’est fait pour le stopper.

A ce sujet, le président de l’Association des professeurs de l’Unikin (Apukin), le professeur Kitombole a déclaré:

«L’Apukin ne soutient pas cette pratique car l’étudiant doit évoluer dans un milieu de livres. On ne doit pas mettre les TP (NDLR: travaux pratiques) et obliger les étudiants à acheter le syllabus parce que le TP est là dedans. Non. C’est un phénomène qu’on doit combattre pour qu’il ne prenne pas de l’ampleur».

Selon des sources universitaires, l’actuel comité de gestion de l’Unikin a même publié, au début de cette année académique, une circulaire interdisant cette pratique. Sans succès.

RD Congo – Le président de la Banque mondiale refuse d’alimenter le budget de la République Démocratique du Congo

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Crée le 10-02-2012-  16h15 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | TAGS: RDC, ETIENNE TSHISEKEDI, JOSEPH KABILA, VIOL RDC, FDLR, MASSACRE, ELECTIONS RDC, CENI, AFRIQUE. Mis à jour le vendredi 10-02-2012 - 16H20 AFRIQUE REDACTION PAR : ARTV

Le président de la Banque mondiale Robert Zoellick a affirmé jeudi qu’il s’opposait à l’idée de contribuer au budget général de la République démocratique du Congo (RDC), qu’il a citée comme un exemple de pays où les contrôles démocratiques lui semblent insuffisants.
“Parfois nous travaillons dans des situations où le contexte politique global est frustrant, mais où nous devons décider si nous conduisons des projets qui peuvent s’occuper de nutrition élémentaire, ou des besoins humains de base, ou du HIV et du sida, ou de la malaria”, a expliqué M. Zoellick lors d’une conférence à Pittsburgh (Etats-Unis) retransmise sur internet.

“Faut-il que nous le fassions ou pas? C’est le genre de questions qu’on doit essayer de trancher avec les partenaires internationaux”, a-t-il poursuivi.
“La RDC est un bon exemple. Donc il y a des choses comme par exemple le fait que nous ne fournirons pas de soutien simple au budget sans contre-pouvoirs, mais nous conduisons divers types de projets d’investissement dans l’éducation ou [...] le paludisme”, a rappelé le président de la Banque mondiale.
“Ce sont les zones grises du développement”, a-t-il considéré, citant également des pays “post-conflit” comme l’Afghanistan, Haïti et le Liberia.
“Il s’agit de comprendre l’économie politique et les institutions dans tous les pays avec lesquels on travaille, et il faut être pragmatique quant à ce qui fonctionne. Et honnêtement je n’ai pas de réticences pour dire que si l’argent a des chances de se faire voler, ou si c’est un contexte où des gens ont des chances de se faire blesser dans le processus, alors nous ne le ferons pas”, a-t-il indiqué.
D’après son site internet, la Banque mondiale a une trentaine de projets actifs en RDC, dont sept approuvés en 2011. L’un de ceux-ci cherche à améliorer l’organisation de l’Etat et de l’administration, entre autres en modernisant la gestion de la fonction publique.
© AFP

A la suite de la torture de son Secrétaire Général, Jacquemain Shabani L'Udps va en justice

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 Crée le 10-02-2012-  16h15 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | TAGS: RDC, ETIENNE TSHISEKEDI, JOSEPH KABILA, VIOL RDC, FDLR, MASSACRE, ELECTIONS RDC, CENI, AFRIQUE. Mis à jour le vendredi 10-02-2012 - 20H40 AFRIQUE REDACTION PAR :L EVEIL

 

 

Le secrétaire général de l'Udps, Jacquemain Shabani, a été empêché, dans la nuit de mardi à mercredi 8 février à l'aéroport de Ndjili, d'effectuer un voyage à Berlin, en Allemagne, où il était invité à intervenir au parlement de ce pays au nom et pour le compte de son président, Etienne Tshisekedi. D'après Raymond Kahungu, secrétaire général adjoint, Shabani a déclaré à la migration qu'il détenait une enveloppe dans laquelle

il y avait un passeport à remettre à quelqu'un à Bruxelles. La Dgm a confisqué ce document, et le voyageur a continué les formalités d'embarquement. Au niveau de l'Anr, il a été bloqué et, ensuite, conduit dans les locaux de ce service à la Gombe où il subira une séance de torture par des personnes cagoulées jusqu'à 3 heures du matin, l'heure de son abandon, sanguinolent, meurtri et dévêtu. Il a été conduit dans un centre hospitalier où il a été admis en soins intensifs suite aux blessures et traumatismes dus à cette torture. En plus, il aurait détenu des documents subversifs. En fait, nous dit-on, il s'agissait du rapport sur les dernières élections chaotiques qui se sont déroulées au pays ainsi que quelques images sur les violations des droits humains. S'il est vrai que Shabani n'avait pas besoin de se promener avec de tels documents dès lors que l'homme blanc a allégé la vie sur la terre avec l'Internet où l'on peut stocker tout ce qui peut être considéré comme compromettant sans être inquiété, à moins qu'il l'ait fait expressément pour se taper une large visibilité sur le plan international, l'Anr n'aurait pas dû s'adonner à un tel exercice qui discrédite le pays. Pourquoi ne pas saisir le passeport et lesdits documents et le laisser partir au lieu de donner, encore une foie, la sale image des services de sécurité comme du temps de la dictature? Au moment de boucler la présente, nous apprenons que l'Udps s'apprête à porter plainte en justice contre l'Anr pour les tortures infligées à son secrétaire général et pour l'avoir empêché de voyager. D'après Raymond Kahungu Mbemba, le traitement infligé à Jacquemain Shabani est disproportionné par rapport à la faute commise. L'ordre des avocats, dont Shabani est membre, aurait promis d'en faire autant.

                                                                                                              L'EVEIL

La Céni de tous les dangers veut se regarder dans un miroir

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Crée le 10-02-2012-  16h15 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | TAGS: RDC, ETIENNE TSHISEKEDI, JOSEPH KABILA, VIOL RDC, FDLR, MASSACRE, ELECTIONS RDC, CENI, AFRIQUE. Mis à jour le vendredi 10-02-2012 - 20H40 AFRIQUE REDACTION PAR : LE SOFT

 

La Céni fait face à un problème moral. De son attitude future dépendra l'avenir du processus de démocratisation du pays. Le problème? Les résultats du scrutin législatif qu'elle a publiés, répondent-ils vraiment aux normes et aux procédures de compilation édictées par elle-même, et tiennent-ils compte de tous les cas de contestation des candidats ?

La Commission électorale nationale indépendante a annoncé qu'elle se livrera pendant la deuxième quinzaine du mois de février à une auto évaluation de la première opération du processus électoral, à savoir les scrutins présidentiel et législatif du 28 novembre 2011. C'est un secret de polichinelle que cette opération a été, entachée d'innombrables irrégularités. Et c'est frappant pour les Législatives... La plupart des missions d'observation électorale doutent de la crédibilité des élections. L'Église catholique de la R-dC appelle à la démission du bureau de la Céni au cas où elle ne prendrait pas en compte toutes les preuves tangibles des flagrances aux dernières élections. Le commun des R-dCongolais pense qu'il faut tout recommencer pour sauver l'image du pays... Il reste que la Céni se mette désormais du côté du bon sens en tenant compte de tout ce qui lui est fait comme critique. Du coup, se pose la question de savoir si la Céni, après son auto-examen, va se remettre en question! Toutes les critiques, toutes les préoccupations enregistrées, jusque-là, ramènent à une seule réalité : la responsabilité morale de la Céni dans l'organisation des élections du 28 novembre 2011. Question: celle-ci est- elle engagée?

LA DERNIÈRE LIGNE DROITE.

Conformément à l'alinéa 2 de l'article 73 de la loi électorale, les candidats qui ont d'éventuelles contestations, devront désormais se référer à la Cour suprême de justice faisant office de la Cour constitutionnelle. La CSJ a deux mois pour éplucher les recours dans le cadre du contentieux électoral. Logiquement, il devrait y en avoir en masse, selon des observateurs, au regard des dénonciations (de fraude, tricherie, corruption, bourrage d'urnes, etc.) des candidats. S'agissant spécialement de ces dénonciations en rapport avec les procédures de compilation où nombre de candidats croient être délibérément victimes de manipulation par les agents commis dans les centres locaux de compilation des résultats, mais aussi par le bureau de la Céni, le président de la Céni, Daniel Ngoy Mulunda Nianga, a déclaré que son institution «faisait siennes toutes les préoccupations des acteurs politiques toutes tendances confondues». Ce qui justifie le train de mesures que le bureau de la Céni a arrêtées pour... se faire bonne conscience. Par exemple, tirant les conséquences des actes de violences perpétrés contre ses installations ou ses agents par les candidats ou leurs militants et tenant compte des cas avérés de substitution des résultats de certains candidats dans les CLCR, le bureau de la Céni a décidé de «se réserver de proclamer les résultats provisoires et de proposer à la Cour suprême de justice l'annulation des élections législatives» dans certaines' circonscriptions. Notamment à Kiri (Bandundu), Ikela (Equateur), Punia (Maniema), Masisi (Nord-Kivu), Kole et Lomela (Kasaï oriental), Demba (Kasaï occidental). Par ailleurs, le bureau de la Céni a décidé de déférer devant la CSJ «les candidats ayant proféré des menaces ou posé des actes de violence à l'endroit des agents électoraux, ou encore ceux ayant commis des actes de destruction et autres voies de fait, sur les installations de la Céni». Il s'agit d'Alphonse Ngandu Katunda et Biayi Mutoke pour «coups et blessures, injures publiques et menace de mort contre les agents électoraux le jour du scrutin et pendant toute la période de traitement des résultats dans la circonscription de Ngandajika»; Delly Sesanga Hipungu Dja Kaseng Kapitu pour «pillage et violence provoqués par lui et ses partisans dans des bureaux de vote, destruction des documents et matériels électoraux le jour du vote et pour destruction des installations de télécommunication (V-SAT) de l'antenne locale de la Céni dans la circonscription de Luiza»; Jean Beya wa Kabenga pour des «actes irréguliers constatés par le PV de l'OPJ de la Police nationale congolaise de, Dibaya»; Sévérin Bamany Mobely pour «incidents et violences provoqués par lui dans certains BVD de la circonscription de Yumbi». Il s'agit aussi de Fidèle Likinda Bolom'Elenge pour «violences provoquées par lui et ses partisans dans des bureaux de vote, destruction des documents et matériels électoraux le jour du vote» et pour «coups et blessures volontaires contre le' chef d'antenne locale de la Céni dans la circonscription d'Ikela»; Jean Marie Gapemonoko Lobodumba pour «incitation à la haine et menaces avec usage d'armes à feu dans la circonscription de Kungu»; Félix Bosekota Mbana pour «pillage et violence provoqués par lui et ses partisans dans des bureaux de vote, et au CLCR dans la circonscription de Boende»; Jean Claude Baende Etafe Eliko pour «violences provoquées par lui et ses partisans dans des bureaux de vote, dans les circonscriptions de Mbandaka, Makanza et Bikoro»; Kalombo Tshinkenke, Lukono Sowa, Kamba Tshishimbi, Mulamba Mushame et Ibrahim Mujiani pour «avoir perpétré des violences dans la circonscription de Demba spécialement à Bena Leka en molestant publiquement Mme Ngalula Kalala»; et Dieudonné Nkishi Kazadi pour «avoir été à l'origine des violences, des menaces et des actes de pillage des BVD et matériels électoraux». Même si certains d'entre eux (comme Delly Sessanga, Jean Claude Baende, Jean Marie Gapemonoko) sont élus, a précisé Ngoy Mulunda, «la Céni se réserve de les proclamer élus et s'en remet à la justice jusqu'à ce qu'un jugement soit rendu en vue de leur validation ou invalidation et pour toutes autres poursuites appropriées».

MONTRER PATTE BLANCHE.

Mais cela suffit-il de dédouaner la Céni de toutes les critiques sur les irrégularités constatées?

«L'Assemblée nationale ne dispose que de 500 sièges à pourvoir et qu'il est normal que les contestations prennent de l'ampleur car sur 18.865 candidats enregistrés, 18.365 sont censés perdre et sont donc à tort ou à raison des potentiels contestataires», se justifie Ngoy Mulunda. Qui en appelle à «une éthique électorale congolaise qui devra amener les acteurs politiques à reconnaître avec fair-play les résultats issus des urnes». Et pour se faire bonne conscience: «Au- delà de la formation qui a pourtant été bien assurée par des formateurs qualifiés, les agents incriminés sont certes des agents Céni, mais sont dans la plupart des cas des temporaires, recrutés parfois pour deux semaines et sur qui la Céni n'a malheureusement pas d'emprise ni sur le plan administratif ni sur le plan de la paie qui est assurée par le projet PNUD PACE. La Céni entend soumettre à la prochaine évaluation le mode de recrutement de cette catégorie d'agents jouant pourtant un rôle crucial mais sans lien contractuel solide. Toutefois, il y a à regretter que la plupart des corrupteurs se sont malheureusement recrutés parmi les 18.865 candidats à la députation nationale.

Ce fléau de corruption mérite d'être combattu pour donner de chance à ceux qui ont réellement mérité la confiance du souverain primaire». Aveu d'échec ou d'impuissance? Le politologue Jean Marie Kidinda estime que les travaux d'auto évaluation de la Céni - qui réuniront autour des membres de son bureau, les cadres de la Céni et les experts de l'assistance électorale internationale : MONUSCO, PNUD/PACE, IFES, NDI, ECF/SADC et autres membres du Comité de partenariat - ressemblent plutôt à une sorte de palabre à l'ombre des politiciens. «Les ratés du départ n'ont pu que conduire à une crise de confiance à l'arrivée. Si ces travaux d'auto évaluation n'ont pas pour objectif de proposer un ensemble de solutions destinées à renforcer la cohésion nationale, sanctionner les tricheurs, la suite ne pourra qu'être hypothéquée», fait remarquer le professeur Kidinda.

La suite, ce sont les élections provinciales, municipales et locales. La Céni a annoncé le report à une date ultérieure du début de l'opération de réception et traitement des candidatures à la députation provinciale, initialement prévue le 23 janvier 2012. Un calendrier électoral révisé sera publié après la session d'évaluation du processus. «À quoi cet exercice aura- t-il servi si la Céni ne fait pas amende honorable, ne se remet pas en cause? Autant dire que si on veut que la population aille encore voter, maintenant qu'elle a le sentiment qu'on lui a volé ses élections par la Céni, c'est sur ce point capital de la responsabilité male de cette dernière qu'elle doit désormais travailler», souligne Jean Marie Kidinda.

                                                                                                  TONY NGANGA

LE VENDREDI 10 FEVRIER 2012, LIEGE A ETE LE CENTRE DE LA REFLEXION SUR LE CONGO NOUVEAU

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Crée le 11-02-2012-  03h15 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | TAGS: RDC, ETIENNE TSHISEKEDI, JOSEPH KABILA, VIOL RDC, FDLR, MASSACRE, ELECTIONS RDC, CENI, AFRIQUE. Mis à jour le samedi 11-02-2012 - 03H20 AFRIQUE REDACTION PAR : ROGER BONGOS

 

 

La conférence sur la problématique de la RDC organisée ce vendredi 10 février 2012 à 19 heures 30 par les Grands combattants de Liège a été pour le moins qu'on puisse le dire, une très grande soirée thématique.

 

On a abordé le cas spécifique sur la résolution et la sortie de crise en faisant la pression sur les parrains de l'oligarchie qui sévit en RDC...De couper l'herbe sous les pieds de Louis MICHEL, Didier REYNDERS, André FLAHAUT etc, les fossoyeurs de la Nation Congolaise...

 

Des invités de qualité, à l'occurrence des Kivutiens qui ont intervenu sur les viols perpétrés dans le KIVU, ce qu'ils ont vécu et les témoignages émouvants des victimes de ce drame.

 

Le Député Laurent Louis du MLD ( Mouvement pour la Liberté et la Démocratie ) a fait état de son projet de résolution qui présentera prochainement au parlement Belge sur le génocide colonial au Congo et il ne va pas sur le dos de la cuillère!

 

Des questions de fonds sur le drame affreux que les Congolais vivent, ont été abordées et débattues dans toute intelligence. Les jeunes Combattants de Liège sous l'impulsion de Papitcho OLEGHAN, ont été à la hauteur de cette tâche périlleuse. Pari gagné, la salle était comble, remplie comme un œuf.

 

Dans cette rencontre on apercevra un parterre de taille, une sommité avec des illustres noms comme celui de Monsieur MBUYI, coordinateur de l'UDPS BENELUX, de TSHIBUABUA, ancien Gouverneur de KANANGA. De l'ancien intendant du feu Maréchal MOBUTU, Monsieur Guy MERISONE, de Gérard TUMBA, ancien Ministre du gouvernement 1+4 et tant d'autres.

 

Quelques personnalités Belges ont fait aussi le déplacement afin de cerner clairement la problématique Congolaise qu'ils connaissent déjà! Ont-ils été dépêchés par leurs bases respectives pour prendre la température ? Dans leurs interventions, on avait l'impression que le vent commençait à tourner vers une approche électoraliste. L’intervention de Paul THUNISSEN proche du parti populaire Belge a été la preuve de cette option.

 

Une seule chose cependant est certaine, les élections multiples de 2014 en Belgique se joueront également sur les questions de la RDC et les Congolais de la Belgique ne veulent plus rester des figurants de secondes zones, plutôt des véritables acteurs de cette nouvelle mise en scène politico- mafieuse de caste en Belgique. Elle ne se jouera plus sans eux ! Leurs voix compteront et également leurs participations actives en tant qu'acteurs politiques. Qui dit mieux !

 

Celui qui ne mettra pas une bribe de parcelle de revendications Congolaises dans son programme risquerait de chuter de haut. Les Belgo-Congolais résolus en découdre avec ceux qui négligeront cet aspect de choses. Les leçons douloureuses tirées de leurs anciens alliés tels que le parti socialiste, MR etc, ont été dur à avaler.

 

La déception est grande d'autant plus que ces alliés ont failli en soutenant l'insoutenable, hold-up électoral en RDC et la pilule ne passe toujours pas au sein de cette communauté épouvantablement frustrée de cette victoire volée à son peuple! En tout état de cause, cette soirée du vendredi 10 février 2012 à Liège centre, la ville Didier Reynders a été instructive pour tous. Chacun est sorti de cette conférence avec un sentiment patriotique requinqué!

 

Roger BONGOS

Rédacteur en chef de l'Afrique Rédaction

 



Kasaï-Oriental : la viande de chien se vend comme des petits pains à Mwene-Ditu

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Crée le 11-02-2012-  03h15 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | TAGS: RDC, ETIENNE TSHISEKEDI, JOSEPH KABILA, VIOL RDC, FDLR, MASSACRE, ELECTIONS RDC, CENI, AFRIQUE. Mis à jour le samedi 11-02-2012 - 12H10 AFRIQUE REDACTION PAR :RADIO OKAPI

Les points de vente et de consommation de la viande de chien se sont multipliés dans la ville de Mwene-Ditu, à 132 Km au Sud de Mbuji-Mayi, dans le Kasaï Oriental. Depuis les fêtes de fin d’année, des jeunes abattent des chiens et en vendent la viande dans les coins des rues. Le responsable du bureau de quarantaine de la ville craint une nouvelle montée de la rage canine.

 Les points de vente de cette viande servent en même temps de points de consommation. On la surnomme « Tshibelabela » et c’est aujourd’hui la plus consommée de toutes les viandes à Mwene Ditu.

Selon le bureau de la quarantaine animale de Mwene Ditu, le manque de ferme et de boucherie justifierait l’augmentation de la consommation de cette viande. La même source déplore le fait que ces chiens sont abattus sans contrôle préalable. Pour le Dr Jean Oscar Mbuyi, responsable de ce bureau, les conditions d’abattage et de cuisson de cette viande exposent à la rage canine.

La morsure ou la griffure d’un chien enragé, le léchage de plaie, la manipulation d’objets tranchants souillés et de la viande et la consommation de viande mal cuite sont des voies de contamination de la rage canine, explique le médecin vétérinaire.

Le Dr Jean Oscar Mbuyi prévient qu’il n’existe pas de traitement curatif de la rage canine, une fois la maladie déclarée. Son cabinet a enregistré environ quatre-vingts cas ces deux dernières années.

Côte d'Ivoire : Alassane Ouattara en visite au Gabon

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Crée le 11-02-2012-  03h15 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | TAGS: RDC, ETIENNE TSHISEKEDI, JOSEPH KABILA, VIOL RDC, FDLR, MASSACRE, ELECTIONS RDC, CENI, AFRIQUE. Mis à jour le samedi 11-02-2012 - 03H20 AFRIQUE REDACTION PAR :AFRIQUINFOS

 

Côte d'Ivoire : Alassane Ouattara en visite au Gabon Le président ivoirien Alassane Ouattara devrait quitter Abidjan samedi à la mi-journée pour Libreville, au Gabon, dans le cadre d'une visite d'amitié et de travail.

 Selon la présidence ivoirienne, le départ de M. Ouattara est prévu "ce samedi à 11h00" (locale et GMT).Un conseil des ministres tenu mercredi avait annoncé que M. Ouattara profiterait de cette " visite de travail et d'amitié" pour assister dimanche à la finale de la Coupe d'Afrique des nations de football à laquelle a accédé la sélection ivoirienne.

Après le Gabon, Alassane Ouattara se rendra au Burkina Faso où il prendra part lundi à la Conférence sur l'éducation organisée par l'Association pour le dévelop

Afrique : le choléra fait 2.912 décès en 2011

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Crée le 11-02-2012-  03h15 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | TAGS: RDC, ETIENNE TSHISEKEDI, JOSEPH KABILA, VIOL RDC, FDLR, MASSACRE, ELECTIONS RDC, CENI, AFRIQUE. Mis à jour le samedi 11-02-2012 - 03H20 AFRIQUE REDACTION PAR :AFRIQUINFOS

 Le choléra a occasionné 2. 912 décès sur 105.222 cas en 2011 dans la région africaine, a affirmé le directeur régional de l'OMS pour l'Afrique, le Dr Luis Gomes Sambo, vendredi à Brazzavi

"Parmi les maladies infectieuses responsables d'un nombre de cas et de décès élevés, on pourrait citer le choléra, la méningite et les fièvres virales hémorragiques. A titre d'exemple, en 2011, 25 pays de la région (africaine) sur un total de 46 pays ont rapporté 105.222 cas de choléra et 2.912 décès", a précisé le Dr Sambo au cours d'une réunion avec les membres du corps diplomatique accrédités au Congo.

Selon lui, un renforcement des actions de prévention et de lutte contre le choléra réduirait significativement le nombre et l' ampleur des épidémies.

"Ces actions devront comprendre, entre autres, l'amélioration des conditions d'hygiène, l'accroissement de l'accès à l'eau potable, une prise en charge adéquate des cas, l'implication de toutes les couches de la société, ainsi qu'une coordination multisectorielle des actions de prévention", a-t-il suggéré.

Gabon : liste électorale biométrique dès 2013

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Crée le 11-02-2012-  03h15 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | TAGS: RDC, ETIENNE TSHISEKEDI, JOSEPH KABILA, VIOL RDC, FDLR, MASSACRE, ELECTIONS RDC, CENI, AFRIQUE. Mis à jour le samedi 11-02-2012 - 03H20 AFRIQUE REDACTION PAR :AFRIQUINFOS

 

Le ministre gabonais de l'intérieur, Jean François Ndongou a annoncé vendredi soir à Libreville que le gouvernement de son pays a décidé d'introduire la biométrie dans le processus électorale dès 2013.

 

"Compte tenu du planning des échéances électorales locales de 2013, le projet devra être dimensionné pour permettre la publication des listes électorales au début de l'année 2013", a notamment affirmé le ministre dans une déclaration officielle.

La décision du gouvernement ouvre le chantier d'une refonte totale de la liste électorale tant vilipendée par l'opposition.

"Nous allons procéder à une refonte totale de ce que nous appelons aujourd'hui liste électorale", a ajouté M. Ndongou.

"Nous avons une liste électorale qui comporte le nom, le prénom, la date de naissance et les ascendants des compatriotes. Nous allons ajouter à cette liste des données biométriques à savoir : empreintes digitales et la photo", a-t-il affirmé sans préciser le coût d'une telle opération.

Il y a plusieurs années que l'opposition gabonaise attendait cette décision. Les négociations sur la question ont souvent échoué par manque d'une loi encadrant l'introduction de la biométrie dans le processus électoral. L'ancien opposant historique, Pierre Mamboundou avait fini par écrire un projet de loi qui a été adopté quelques mois avant son décès.

Une frange importante de l'opposition a boycotté les dernières élections législatives sous slogan "Pas de biométrie, pas d’élections".

Congo : Lancement en avril des travaux de la nouvelle université

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Crée le 11-02-2012-  03h15 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | TAGS: RDC, ETIENNE TSHISEKEDI, JOSEPH KABILA, VIOL RDC, FDLR, MASSACRE, ELECTIONS RDC, CENI, AFRIQUE. Mis à jour le samedi 11-02-2012 - 03H20 AFRIQUE REDACTION PAR :AFRIQUINFOS

Les travaux de construction de la nouvelle université du Congo, dénommée "Université Denis Sassou N'Guesso", vont commencer en avril prochain à Kintélé, dans la banlieue nord de Brazzaville, a-t-on appris vendredi de source gouvernementale.

Le groupe Unicon est en charge des travaux qui prendront fin en 2015. L'université Denis Sassou N'Guesso, la deuxième du genre au Congo, après l'actuelle université Marien Ngouabi, sera construite en deux phases.

La première est celle de construction de la bibliothèque, des bâtiments de résidence pour les enseignants et les étudiants, du restaurant de 2.000 places à l'intérieur et 1.500 à l'extérieur, d' une piscine et d'une salle olympiques, des bâtiments administratifs et techniques, d'un amphithéâtre, des centres commerciaux et médicaux et d'une crèche.

Quant à la seconde phase, elle portera sur l'érection des écoles et facultés (ingénieur, polytechnique, travaux publics, mines, droit, lettres, arts, sciences, économie, gestion, santé, sports etc).

"On veut faire de cette nouvelle université, une université de pointe en Afrique centrale (..) pour que le pays ait ses propres cadres compétents et responsables, ce qui conduira à l'émergence", a déclaré à la presse le Professeur Théophile Obenga.

L'ancienne université Marien Ngouabi, pléthorique aujourd'hui, ne sera pas fermée, mais réhabilitée.

RDC : une épidémie de rougeole tue 42 enfants au centre-est du pays

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Crée le 11-02-2012-  03h15 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | TAGS: RDC, ETIENNE TSHISEKEDI, JOSEPH KABILA, VIOL RDC, FDLR, MASSACRE, ELECTIONS RDC, CENI, AFRIQUE. Mis à jour le samedi 11-02-2012 - 03H20 AFRIQUE REDACTION PAR :AFRIQUINFOS

Quarante deux enfants de 6 mois à 10 ans sont décédés des suites d'une épidémie de rougeole qui sévit depuis le mois derrnier dans la localité d'Ohale, située dans le territoire de Lubefu, district de Sankuru, au Kasaï- Oriental (centre-est de la RDC), a déclaré vendredi à la presse, le médecin chef de zone de santé de Minga, le Dr Merveille Nkombo.

 

M. Kombo qui a affirmé avoir dépêché une équipe d'infirmiers sur place pour des soins préventifs, a annoncé que d'autres interventions éventuelles du district sanitaire basé à Lodja ainsi que de la division provinciale de la santé à Mbuji-Mayi, sont attendues sur place.

Un SOS avait été lancé mercredi dernier par le député Emery Okundji, élu de la circonscription de cette partie de la RDC, qui a également fait savoir que 200 enfants étaient menacés par l' épidémie de la rougeole sévissant dans cette région.

Action civilo-militaire pour le Siroco en escale au Congo

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Crée le 11-02-2012-  03h15 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | TAGS: RDC, ETIENNE TSHISEKEDI, JOSEPH KABILA, VIOL RDC, FDLR, MASSACRE, ELECTIONS RDC, CENI, AFRIQUE. Mis à jour le samedi 11-02-2012 - 03H20 AFRIQUE REDACTION PAR :AFRIQUINFOS

Action civilo-militaire pour le Siroco en escale au CongoPOINTE NOIRE (@ 2012 Marine nationale) Dans le cadre de la mission Corymbe 112, lors de son escale à Pointe-Noire, une partie de l’équipage du TCD Siroco a participé durant trois jours à la rénovation des bâtiments de l’école primaire Jean-Félix Tchicaya située dans le centre ville de Pointe-Noire.

Les travaux de rénovation des deux bâtiments de l’école se sont déroulés les 22, 23 et 24 janvier 2012. Chaque jour, une quinzaine de marins se sont rendus sur place afin de mener à bien les travaux nécessaires (réparation de toiture, rénovation de plafonds et travaux de peinture).

Grâce à cette action civilo-militaire, les enfants de l’école vont pouvoir étudier dans des bâtiments en meilleur état.


Hold up électoral: La communauté congolaise marche sur Berlin

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Crée le 11-02-2012-  18h05 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | TAGS: RDC, ETIENNE TSHISEKEDI, JOSEPH KABILA, VIOL RDC, FDLR, MASSACRE, ELECTIONS RDC, CENI, AFRIQUE. Mis à jour le samedi 11-02-2012 - 18H10 AFRIQUE REDACTION PAR :Lumbamba Kanyiki

Marche de BerlinLe vendredi, 10.02.2012,  la communauté congolaise s'était donné rendez-vous à Berlin pour une méga-marche contre le hold up électoral de monsieur Kabila. Par une température glaciale tournant autour de -14°C, ils sont partis sur les coups de onze heures, de la gare centrale de Berlin, brandissant  calicots,  banderoles et un cercueil de Kabila.   Certains autres avaient porté des T-Shirts à l'effugie du président Tshisekedi au-dessus de leurs manteaux. Tous chantaient et dansaient au rythme des "Kabila zonga sima, Tshisekedi Kende liboso" et de "Ya Tshitshi zongisa ye na Rwanda" , accompagnés des tam-tams dans une ambiance électrique, inconnue des Berlinois jusque-là.

Suivant leur programme, ils ont fait une première halte pour faire passer leur message devant la porte de Brandenbourg où plusieurs ambassades se trouvent. Ils y ont manifesté leur ras-le bol contre cette communauté dite internationale qui ne dit rien devant les atrocités commises par le pouvoir de Kabila. 

Ils se sont, ensuite, arrêtés devant  le parlement allemand (Deutsche Bundestag), chantant, brandissant leurs message aux fonctionnaires et parlementaires qui regardaient à travers les fenêtres. Les manifestants ont terminé leur marche devant le cabinet de la chancelière allemande, Angela Merkel, gardé par un dispositif important de la police. Après  y avoir remis leur mémo, ils ont scandé longuement "Angela, Kabila muss gehen!" ce qui veut littéralement dire "Angela, Kabila doit partir".

Plusieurs chefs des délégations venues de tous les coins de la République Fédérale d'Allemagne ont manifesté la volonté de continuer la lutte jusqu'à ce que Kabila dégage.

Enfin, les manifestants se sont séparés,  en se donnant rendez-vous pour une autre marche qui aura lieu ce 16 février à Bonn. Les observateurs de la diaspora congolaise relèvent que les marches successives organisées à travers le monde renforcent le sentiment patriotique des Congolaises et des Congolais. D'où plus rien ne sera comme avant.

Lumbamba Kanyiki

Billet. DES HORS-LA-LOI POUR LEGIFERER EN RD CONGO

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Crée le 11-02-2012-  18h45 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | TAGS: RDC, ETIENNE TSHISEKEDI, JOSEPH KABILA, VIOL RDC, FDLR, MASSACRE, ELECTIONS RDC, CENI, AFRIQUE. Mis à jour le samedi 11-02-2012 - 18H40 AFRIQUE REDACTION PAR : CHEIK FITA

 

Cheik FITA DSCF4212 Le 28 novembre 2011, Il y a eu en RD Congo, des élections législatives, et une élection présidentielle toutes, caractérisées par une fraude à très grande échelle : De tous les quatre coins de la république, des dénonciations de fraude ont fusé: bourrage des urnes, corruption, falsifications des procès-verbaux à tous les niveaux.

Après le scandale de la présidentielle avec ses containers de bulletins de votes pré-cochés  au profit de monsieur Joseph Kabila le président sortant, voici la honte des législatives.

Des près de 500 personnes proclamées élues par la  CENI, commission électorale nationale indépendante, la majorité l’a été par des voies malhonnêtes. Preuve, le nombre de contestations introduites auprès de la cour suprême de justice : 168 circonscriptions sur 169 concernées … 340 candidats élus contestés sur 500. Au stade actuel, les portes du parlement sont largement ouvertes à des tricheurs, des magouilleurs… De véritables hors-la-loi.

Trois préoccupations apparaissent:

a)     Quel visage la CENI se prépare-t-elle à donner au pouvoir législatif ?

b)    Quelles en seraient les conséquences ?

c)     Est-ce profitable pour le pays? Si non, quelle issue souhaitable ou envisageable ?

Le parlement

La cour suprême de justice va entrer dans la danse. Après sa complaisance lors du recours contre les résultats de la présidentielle, à quoi pourrait-on s’attendre pour les législatives ?

Dans les meilleurs des cas, à moins mauvais, et encore.

La raison ?

Depuis belle lurette :

1.     Monsieur Joseph Kabila avait intériorisé et planifié son maintien au pouvoir, quoiqu’il arrive, quoiqu’il en coûte.

2.     Par d’innombrables signaux, monsieur Joseph Kabila a prouvé qu’il était tout sauf un démocrate. Le plus fort de ces signaux est celui-ci : la phobie de la contradiction. Elle lui semble  politiquement mortelle, au point qu’elle est souvent évitée, écartée d’office.

Des exemples : deux campagnes électorales présidentielles sans débat télévisé contradictoire, pas de meeting au mythique stade des martyrs, véritable thermomètre d’ancrage dans l’opinion, attaque armée contre son challenger de 2006, monsieur Jean-Pierre Bemba Gombo, séquestration et privation de mouvement de monsieur Tshisekedi, son challenger de  2011, confiscation des médias publics et même plasticage de quelques rares médias pro-opposition… Sans compter le tripatouillage constitutionnel.

Le visage de la législature 2011 générée par la CENI apparaît comme ayant été commanditée par Monsieur Joseph Kabila afin de disposer d’un parlement à sa solde.

« Majorité Présidentielle »

Dans le plan de fraude généralisée, hormis les partis satellites de la législature écoulée, un nouvel élément est apparu sans attirer beaucoup d’attention : la création d’un parti politique dénommé PPPD, véritable clone du PPRD, parti présidentiel. Tapis dans l’ombre, il sera actionné le moment venu. Créé quelques semaines avant la campagne électorale, inconnu jusqu’à ce jour, il a placé plus de candidats et dans plus de circonscriptions que l’UDPS, le plus grand parti de l’opposition. Et au final, le PPPD a obtenu 29 députés, devenant ainsi le troisième parti du pays ! Avec quelles ressources ? Puisées dans la caisse de l’état ou pas ?

Un détail à surveiller: Tapis dans l’ombre de ce parti clone, une grosse pointure du PPRD, monsieur She Okitundu. Hasard ? Quand avait-il claqué la porte du PPRD ? Calcul planifié de longue date ?

Voilà la « majorité présidentielle » en voie de construction.

 Que peut-on attendre de pareils législateurs ?

Dans tous les pays du monde, la tricherie est toujours sanctionnée : à l’école, dans la circulation routière, par le fisc,  dans le sport, au travail.

Tricher c’est être hors-la-loi.

Voilà donc en RD Congo des hors-la-loi se préparant à légiférer !

Ayant été parachutés au parlement par la volonté de celui qui a financé leur pseudo-campagne, et surtout qui leur aura fourni les moyens pour bourrer les urnes et acheter les agents locaux de la CENI, ces « élus » seront sans plus ni moins une caisse de résonance.

Quelle destination ?

En  contrepartie des services rendus, les complices et usufruitiers de la fraude électorale aux législatives s’emploieront à se répartir les postes du gouvernement ainsi que la direction d’autres institutions de la république et mettre en coupe réglée le pays.

Le pouvoir sortant tend inexorablement à installer en RD Congo des institutions illégitimes, en porte-à-faux avec les aspirations profondes du peuple souverain… Pourvu que Joseph Kabila reste au pouvoir !

Cela est préjudiciable au plus grand nombre, cela est préjudiciable à la république.

Quelle sortie de crise ?

Le hold-up électoral vient d’installer en RD Congo une profonde crise politique.

D’un côté, une bande de hors-la loi et prédateurs ayant confisqué la machine de l’état, d’un autre, des millions d’électeurs réduits à l’ignorance et à la misère, floués, une opposition roulée dans la farine, des centaines de milliers de congolais vivant à l’étranger révoltés par l’imposture, et une société civile au pays dont le rôle étant le recadrage du sens de l’état à savoir: la justice, l’équité sociale. Société civile qui tarde à émerger.

La sortie de la crise, c’est la vérité des urnes. Qui en a intérêt, le pouvoir sortant ? Non.

La population et les forces de l’opposition ? Oui.

Comment obtenir cette vérité des urnes ?

Par de nouvelles stratégies postélectorales. Et dans le lot :

-         Une forte mobilisation des moyens humains et financiers ainsi que la mise en place d’un véritable réseau international d’amis du peuple congolais.

-         Une implication de la population via une éducation civique minimum ainsi que la participation à des actions de masse non-violentes de rejet de l’imposture, de la fraude et de la prédation.

Véritable danger pour la république, les hors-la-loi qui cherchent à devenir législateurs sont près à tout pour s'installer.

 

Cheik Fita

Bruxelles, le 11 février 2011

Décès de la diva de la pop Whitney Houston, la veille des Grammy Awards

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Crée le 12-02-2012-  11h15 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | TAGS: RDC, ETIENNE TSHISEKEDI, JOSEPH KABILA, VIOL RDC, FDLR, MASSACRE, ELECTIONS RDC, CENI, AFRIQUE. Mis à jour le dimanche 1é-02-2012 - 1&H20 AFRIQUE REDACTION PAR : ARTV

 

La chanteuse Whitney Houston sur scène à Las Vegas, le 15 septembre 2004

La chanteuse et actrice américaine Whitney Houston, l'une des artistes pop ayant vendu le plus de disques avant de voir sa carrière sombrer dans la drogue et l'alcool, est morte samedi à 48 ans dans un hôtel de Beverly Hills, la veille de la cérémonie des Grammy Awards.


"A 15H55 (23H55 GMT), Whitney Houston a été déclarée morte au Beverly Hilton Hotel" où elle séjournait, a déclaré un porte-parole de la police de Beverly Hills, le lieutenant Mark Rosen.


Sa mort intervient à la veille des 54e Grammy Awards, les "Oscars" de la musique aux Etats-Unis, qui doivent se tenir dimanche soir à Los Angeles et qu'elle avait remportés à six reprises.


La chanteuse devait participer samedi à une soirée organisée au Beverly Hilton -- l'hôtel où elle a été retrouvée morte -- par le producteur Clive Davis, qui l'avait découverte, en marge des Grammys.


Les causes de la mort de la diva pop restaient indéterminées dans l'immédiat, selon le lieutenant Rosen, et des enquêteurs se trouvaient toujours dans la chambre de la chanteuse samedi soir pour tenter d'en préciser les circonstances.

M. Rosen a précisé que la police avait reçu à 15H43 un appel d'urgence de l'entourage de la chanteuse -- son compagnon, le chanteur de R&B Ray-J, selon CNN -- et qu'ils avaient trouvé son corps gisant par terre, dans sa chambre au quatrième étage.


A leur arrivée, des membres du personnel de sécurité de l'hôtel étaient déjà en train de tenter de la ranimer, sans succès.


De multiples véhicules de police et un laboratoire d'analyse criminelle mobile étaient stationnés devant l'hôtel, tandis que les clients regardaient les informations sur des télévisions installées dans le hall.


Une poignée de fans étaient également rassemblés dans le Beverly Hilton, où la soirée de Clive Davis se tenait malgré tout.


Sur les réseaux sociaux, notamment twitter, les hommages de célébrités et d'anonymes n'ont pas tardé. "J'ai le coeur brisé et suis en pleurs après la mort choquante de mon amie, l'incomparable Mme Whitney Houston", a écrit la chanteuse Mariah Carey.


"Nous avons perdu une autre légende. Mon amour et mes prières vont à la famille de Whitney", a déclaré pour sa part Christina Aguilera, tandis que Rihanna a simplement écrit: "Je n'ai pas de mots! Juste des pleurs".


Les organisateurs des Grammys ont précisé qu'ils allaient opérer des changements dans le programme de la soirée, qui se tient dimanche au Staples Center, et que Jennifer Hudson chanterait un hommage à la chanteuse.


Surnommée "La Voix", Whitney Houston a dominé la scène musicale américaine de pop et de soul dans les années 1980 et 1990, et vendu 170 millions de disques.

Parmi ses plus grands hits figurent "How Will I Know", "Saving all My Love for You" et "I Will Always Love You", chanson phare de l'année 1992 et du film "Bodyguard" où elle partageait l'affiche avec Kevin Costner.


Cousine de Dionne Warwick et fille d'une choriste Cissy Houston, elle était née le 9 août 1963 à Newark (New Jersey) et s'était lancée dans la musique après un peu de mannequinat et des participations à des sitcoms.


Depuis le début des années 2000, des problèmes de toxicomanie ont valu à Whitney Houston de faire souvent la Une de la presse populaire, tandis que son créneau musical a été occupé par des chanteuses plus jeunes comme Mariah Carey puis Beyoncé ou Rihanna.


En 2009, après des années d'absence artistique au cours de laquelle elle a fait parler d'elle autant pour ses démêlés avec la drogue que pour sa carrière, Whitney Houston a publié un nouvel album "I look to you", salué par la critique.


"Je peux résister à la douleur, mais ma vie ne se résume pas à cela", chante-t-elle dans la chanson "Nothin' but love", présente sur son dernier album.


En 2010, elle avait du annuler une partie de sa tournée européenne et être hospitalisée à Paris pour une infection respiratoire et était toujours confrontée à ses démons qui lui ont valu une nouvelle cure de désintoxication au printemps dernier.


Sa dernière apparition publique remonte à jeudi, où elle a été aperçue devant une discothèque d'Hollywood débraillée et désorientée, selon la chaîne ABC. Elle y avait également eu une altercation avec une célébrité de télé-réalité, selon le Hollywood Reporter.

 

 

 


Ottawa infiltré par le Front Patriotique Rwandais : révélation exclusive

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Crée le 12-02-2012-  11h15 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | TAGS: RDC, ETIENNE TSHISEKEDI, JOSEPH KABILA, VIOL RDC, FDLR, MASSACRE, ELECTIONS RDC, CENI, AFRIQUE. Mis à jour le dimanche 1é-02-2012 - 1&H20 AFRIQUE REDACTION PAR : ARTV - Écrit par Bernard Desgagné   

Nous savions déjà que l’immoral gouvernement militaropétrolier d’Ottawa faisait des pieds et des mains pour plaire au dictateur Paul Kagame, au point même de lui livrer en pâture Léon Mugesera, un homme blanchi par la Cour fédérale, mais qui a le défaut d’être un Hutu. On peut sacrifier beaucoup de Hutus et de Congolais sur l’autel des profits de Bay Street. Après tout, ils sont noirs, alors leur vie ne vaut pas cher.

 


Nous savions aussi que Kagame, grand patron des mines de l’Est de la RDC, avait des agents dans de nombreux pays, y compris au Canada. Arborant le pavillon des survivants du génocide, ces agents sont d’habiles manipulateurs qui bernent aisément journalistes, fonctionnaires, policiers, juges et simples citoyens au cerveau profondément lavé par des décennies de propagande. Les agents de Kagame conduisent régulièrement d’efficaces opérations de charme dans les médias, opérations qui n’éveillent pas un seul soupçon dans l’esprit du public avide d’histoires humanitaires.

 


Pour Kagame, il est important de rappeler régulièrement l’histoire fausse mais très répandue du génocide planifié par des extrémistes hutus, car cette histoire est son fonds de commerce. C’est ainsi qu’il peut faire avaler n’importe quelle couleuvre à l’opinion publique, dissimuler ses propres crimes de masse, se maintenir au pouvoir et toucher une généreuse rente sur l’exploitation de la cassitérite, du coltan, du cobalt, de l’or et d’autres minerais qui abondent en RDC.


Enfin, nous savions que des agents du Front patriotique rwandais (FPR), l’organisation criminelle dirigée par Paul Kagame, étaient infiltrés jusque dans les structures de l’État fédéral, à Ottawa. Du ministère de la Justice à l’Agence des services frontaliers du Canada, en passant par le ministère des Affaires étrangères et le ministère de la Citoyenneté et de l’Immigration, ils entretiennent dans l’administration toute une psychose autour des génocidaires qui seraient encore des centaines à circuler en toute impunité dans nos rues. Ainsi conditionné, Ottawa met ses ressources au service de la traque des Hutus, à coups de refoulements, d’expulsions, de harcèlement judiciaire et de faux procès.  

Nous savions tout cela, mais nous avons appris encore autre chose cette semaine.

Généralement, les agents pro-Kagame infiltrés dans l’appareil de l’État sont discrets. Toutefois, il y en a un qui a commis récemment une imprudence susceptible de mettre dans l’embarras son patron, le ministre Jason Kenney, spécialiste des fausses cérémonies d’assermentation, qui a ordonné l’extradition du pauvre Léon Mugesera, désormais menotté et condamné à l’avance pour les crimes de ses accusateurs. Cette extradition vaudra bien quelques kilos d’or de plus à une minière canadienne, gracieuseté des violeurs rwandais d’enfants qui sévissent en RDC. Elle vaudra aussi sans doute à M. Kenney le titre d’employé du mois et une généreuse rétribution à venir, quelque part dans le privé. Mais, revenons à nos moutons. Qui est cet agent pro-Kagame?

J’ai reçu cette semaine des courriels m’indiquant qu’on avait ajouté des commentaires au bas d’une chronique de moi intitulée «Rwanda: Sortons du cinéma sur la misère humaine» et publiée il y a environ deux ans, dans le site Vigile. Ces commentaires à retardement sont la plupart du temps le fait de lecteurs qui ne sont pas des assidus du site, mais qui tombent sur l’article après avoir fait une recherche avec Google, par exemple en inscrivant les mots «Desgagné Rwanda cinéma». Les commentaires sont anonymes et m’accusent d’être un «anti-Tutsi». L’auteur affirme être un «Rwandais allergique à la haine de l’autre» qui a entrepris de lire ce qu’il appelle avec ironie mes «chefs-d’oeuvre anti-tutsis». Bref, il fait enquête sur moi dans Internet.

Jusque-là, pas de problème. Ce n’est pas la première fois qu’on me sert ce plat réchauffé. C’est une tentative d’intimidation typique des agents de Kagame. J’en ai subi des dizaines auparavant. L’argumentaire fallacieux destiné à culpabiliser et à stigmatiser est toujours à peu près le même. Les victimes méritent de l’attention seulement si elles sont tutsies. Celui qui remet en question l’histoire convenue et qui pointe un doigt accusateur vers Kagame comme principal responsable est automatiquement un négationniste méritant censure et opprobre, quelle que soit la solidité des preuves dont il étaye son propos. Dire la vérité à propos de Kagame, c’est cultiver la haine de l’autre et manquer de respect envers les survivants du génocide, qui brandissent aussitôt leurs plaies béantes à la face de l’ami des extrémistes hutus et autres interahamwes. 

Bref, le discours des agents du FPR sert à détourner l’attention du sujet des crimes de Kagame et de ses complices. Kagame pourrait être chinois, inuit ou australien, je m’en fiche éperdument. Tout ce que je sais, c’est qu’il a fait tuer des millions de personnes et que les banquettes des Communes et du Sénat du Canada, régime néocolonial dont je voudrais que mon peuple se libère, sont remplies de complices de ce grand criminel.

Je réponds donc à mon détracteur par un commentaire au bas du sien, puis il en rajoute un autre, truffé d’insultes, auquel je choisis de ne pas répondre. Inutile de perdre encore du temps; le type s’enlise davantage dans ses contradictions. N’importe qui peut voir que «Sortons du cinéma sur la misère humaine» n’a rien d’un réquisitoire contre les Tutsis. Au contraire, en plus des Hutus, Kagame a tué plein de Tutsis, qui méritent certainement que la vérité soit connue et que le vrai responsable soit puni.

Tout de même, avant de retourner à mes nombreux autres plats sur le feu, je suis piqué par la curiosité et je cherche à identifier mon allergique. Eurêka! Je tombe sur des traces qu’il a laissées imprudemment dans Internet et qui me permettent de déterminer qu’il s’agit de Richard Batsinduka, conseiller en résolution des conflits au cabinet du sous-ministre de la Citoyenneté et de l’Immigration! 

Quand il n’est pas en train de cultiver sa haute tension artérielle à lire mes articles, M. Batsinduka s’en prend à d’autres iconoclastes qui ne respectent pas l’immunité sacrée de son patron, par exemple à Paul Rusesabagina. Mais surtout, il compose des rapports imbibés de larmes pour laver la conscience de Jason Kenney et de quelques mandarins lorsqu’ils mettent Léon Mugesera à bord de l’avion en partance pour les geôles de Kigali dont on ne revient pas. 

Grâce à M. Batsinduka, nos impôts sont bien employés. Notre argent est au service de Paul Kagame et des oligarques des sociétés minières canadiennes, du reste subventionnées par l’ACDI pour former à moindre cout leurs esclaves en Afrique.

Ottawa est une source inépuisable d’arguments pour l’indépendance du Québec.

Dungu : plusieurs meurtres, vols et pillages attribués aux rebelles de la LRA

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Crée le 12-02-2012-  11h15 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | TAGS: RDC, ETIENNE TSHISEKEDI, JOSEPH KABILA, VIOL RDC, FDLR, MASSACRE, ELECTIONS RDC, CENI, AFRIQUE. Mis à jour le dimanche 12-02-2012 - 11H20 AFRIQUE REDACTION PAR :RADIO OKAPI

La population accuse les rebelles de l’Armée de résistance du Seigneur (LRA) de Joseph Koni d’être les auteurs des meurtres, vols et pillages commis depuis lundi 6 février dans le territoire de Dungu, à 780 Km au Nord-est de Kisangani, en Province Orientale. Vendredi 10 février, dans la localité de Pagulupa, une personne a été tuée, neuf autres enlevées et 1 050 kilos de marchandises emportées. Pour l’administrateur du territoire de Dungu, certains de ces crimes sont commis par des bandits congolais armés, à la recherche de nourriture.

 L’attaque de vendredi dans la localité de Pagulupa par des hommes armés non identifiés s’est soldée par l’enlèvement de deux personnes et le pillage de plusieurs produits agricoles et manufacturés, rapporte la société civile locale.

Un jour avant cette attaque, quatre hommes armés se sont introduits dans la parcelle d’un quinquagénaire dans la localité de Nagero et ont emporté vivres, vêtements et matelas.

Mercredi dernier, six cyclistes fuyant une embuscade tendue par des assaillants dans le village de Nganzi ont abandonné 600 kilos de produits agricoles. Le même jour, trois motards venant d’Ariwara ont perdu 450 kilos de marchandises dans une embuscade tendue à Sambia.

L’administrateur du territoire, qui confirme ces attaques, affirme que mardi dernier, dans le poste de Ngilima, des hommes armés ont tué une personne et enlevé trois autres, avant de les relâcher quelques heures plus tard.

Lundi 6 février, enfin, trois personnes venant du marché sont tombées dans une embuscade tendue par des hommes en armes, dans le village de Nabiapayi, à la frontière avec le Sud-Soudan.

L’autorité territoriale informe que le conseil de sécurité du territoire va faire le point sur toutes ces attaques mardi 13 février prochain.

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