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Channel: AFRIQUE REDACTION . L'information en continu ! Afrique au cœur de l’actualité...Infos News sur la RDC, les brèves de la dernière minute. Synthèse sur l’actu internationale. rdcongo-kinshasa, Nord et Sud KIVU, Kinshasa, Bas Congo, Dongo, Equateur, Maniema, Lubumbashi, les deux Kasai. Rédacteur en Chef : BONGOS Roger
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RDC : Shabani Jacquemain de l'UDPS doit aider la justice congolaise a enquêter sur les preuves retrouvées dans son rapport

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Crée le 14-02-2012-  11h30 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le mardi 14-02-2012 - 12H10 AFRIQUE REDACTION PAR : ARTV


Jacquemain Shabani, secrétaire général de l'Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS) est invité à coopérer avec la justice congolaise sur toutes les preuves retrouvées dans son rapport, son téléphone portable et sans ordinateur (lap top) lors de son interpellation par les services de la Direction générale de migrations (DGM) à l'aéroport de Ndjili.

Selon le ministre de la Communication et Médias, Lambert Mende, « les services de la (DGM) sont tombés sur des documents qui nécessitent des enquêtes approfondies. Il y a d'abord des photos. Plus d'une centaine, 127 exactement annexées au rapport sur "le massacre des Congolais innocents", ces photos vont des personnes décapitées, femmes violées, une matrice du tract invitant les militaires à la désobéissance. Cette matrice a été retrouvée dans le lap top de Jacquemain Shabani ».


Les services compétents de la RD Congo attendent que le secrétaire général de l'UDPS le donne des légendes bien précises sur les photos retrouvées dans son rapport afin de permettre à la justice de mener les investigations et de retrouver les auteurs de ce massacre ainsi que les lieux.


A cet effet le ministre congolais de l'Information rapporte que. M. Shabani n'avait pas encore donné de renseignement à ce sujet. Pour sa part, Albert Moleka, directeur du cabinet d'Etienne Tshisekedi nie les accusations portées contre le secrétaire général de l'UDPS et dénonce la fouille des objets de Shabani en son  absence.


Signalons que M. Shabani a été interpellé dans la nuit du mardi 8 février par les services de la DGM et empêché à l'aéroport de Ndjili d'effectuer un voyage vers l'Europe.



Régime aux abois : Jacquemin Shabani accusé d’atteinte à la sûreté de l’Etat Maitre Serge Mayamba Massaka. Radio Okapi/ Ph. John Bompengo

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Crée le 14-02-2012-  12h20 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le mardi 14-02-2012 - 12H30 AFRIQUE REDACTION PAR :artv - radiookapi

Maitre Serge Mayamba Massaka. Radio Okapi/ Ph. John Bompengo

Le gouvernement congolais accuse le secrétaire général des l’UDPS, Jacquemain Shabani d’être l’auteur ou le coauteur des tracts qui circulent dans les garnisons militaires et des policiers demandant aux éléments de l’ordre de désobéir à l’autorité publique. Dans une interview accordée ce lundi 13 février à Radio Okapi, Lambert Mende Omalanga, ministre de la Communication et des médias a affirmé que les services de migration ont  retrouvé dans l’ordinateur portable de Jacquemin Shabani la matrice de ces tracts et plusieurs autres documents dont des photos faisant état des violations graves des droits de l’homme pendant la période électorale en RDC.

Lambert Mende indique que la justice congolaise va inviter Jacquemain Shabani pour l’entendre à ce sujet.

Par ailleurs, le porte-parole du gouvernement rejette les accusations de torture dont Jacquemain Shabani aurait été victime lors de son interpellation à l’aéroport de N’djili au moment où il s’apprêtait à prendre un avion qui devait l’amener à Berlin via Bruxelles.

En réaction, Albert Moleka, le directeur du cabinet du président National de l’UDPS dénonce la fouille des objets de Jacquemin Shabani en son absence. Il nie les accusations d’atteinte à la sûreté nationale portées contre Jacquemain Shabani.

Albert Moleka confirme que Jacquemain Shabani a été torturé par les agents de renseignement et devrait passer un examen de scanner ce lundi.

  • Comment analyser ces accusations?

Invités:

Me Serge Mayamba, Secrétaire national de l’Udps chargé des relations avec les forces  politiques et sociales.

Me Célestin Tunda Ya Kasende, Secrétaire exécutif du Pprd chargé du processus électoral.

Professeur Félicien Kabamba, Chercheur au Centre d’études politiques de l’Université de Kinshasa.


Vous pouvez laisser votre commentaire ou poser une question en nous écrivant à l’adresse suivante: dec@radiookapi.net


Vous pouvez aussi nous appeler au numéro (+243) 818906678 ou nous envoyer un SMS  au (+243) 810515778


N’oubliez pas de joindre  à tous vos messages un numéro de téléphone (+ le préfixe du pays où vous résidez) pour que nous puissions vous rappeler en cas de besoin.


Aussi, vous pouvez désormais réagir à cette émission en nous écrivant à notre page Facebook Dialogue entre congolais-Radio Okapi.


Koffi Olomidé interpellé à Paris

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Crée le 14-02-2012-  12h30 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le mardi 14-02-2012 - 12H32 AFRIQUE REDACTION PAR :ARTV-RADIOOKAPI

 

Le chanteur congolais Koffi Olomidé a été interpellé à Paris lundi 13 février 2012. Il est poursuivi pour viol sur mineures, séquestration, actes de barbarie en bande organisée et trafic d’êtres humains par le tribunal de Nanterre.

 

L’artiste est arrivé à l’aéroport Roissy Charles de Gaule (Paris) lundi matin. Il a été aussitôt interpellé par la police des frontières qui l’a remis à la police judiciaire.


 Koffi Olomidé n’a plus séjourné à Paris depuis2009. A l’époque, alors qu’il n’avait pas encore été formellement mis en examen et que le juge s’apprêtait à le faire, il s’était échappé du Palais de justice de Nanterre pensant qu’il allait être incarcéré.


 Depuis son retour en RDC, l’artiste n’avait plus voyagé avec son groupe pour des prestations scéniques à l’étranger. Il avait en revanche multiplié des concerts à Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo, où il exécutait les œuvres de ses prédécesseurs. Ainsi, on l’a vu chanté les répertoires de Tabu Ley, Lutumba Simaro et ses propres tubes qui l’ont porté sur la scène africaine.


 En janvier dernier à la sortie d’Abracadabra, son vingtième album, l’artiste avait assuré qu’il allait se rendre en France pour répondre à la justice de ce pays, clamant son innocence. Koffi Olomidé avait alors affirmé que ses anciennes danseuses qui l’ont traîné devant les juges l’ont fait pour des raisons d’asile afin d’obtenir facilement de permis de séjour en terre française.

 

 

Koffi Olomide, star de la Rumba et du Ndombolo, n’est pas le premier artiste congolais à faire l’objet des poursuites judiciaires en France. Récemment, le chanteur Félix Wazekwa avait été condamné à une peine de 2 ans de prison avec sursis dans une affaire de trafic d’êtres humains.


 Rappelons également qu’en 2003, Papa Wemba un autre chanteur congolais suspecté d’être au cœur d’une affaire de trafic de visas et d’aide à l’immigration clandestine, à travers ses tournées musicales entre la RDC, la Belgique et la France avait été interpellé à Paris le 17 février 2003 et maintenu en détention pendant trois mois et demi.


 Le 16 novembre 2004, le tribunal correctionnel français de Bobigny le condamnera à trente mois de prison, dont quatre fermes déjà purgés en 2003, et 10 000 euros d’amende pour « aide au séjour irrégulier de clandestins sous couvert de ses activités musicales ».


Suspension de l'autorisation de survol de Air Katanga et Katanga Wings

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Crée le 14-02-2012-  12h30 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le mardi 14-02-2012 - 12H35 AFRIQUE REDACTION PAR :ARTV

Le ministre congolais des Transports et voies de communication, Joseph Martin Kitumba a décisidé lundi de suspendre provisoirement l' autorisation d' atterrissage et de survol accordée aux compagnies Air Katanga et Katanga Wings en attendant les conclusions de

Suspension de l'autorisation de survol de Air Katanga et Katanga Wings

l'enquête à mener pour élucider les causes du crash survenu le 12 février 2012 à l' aéroport de Kavumu, dans la province du Sud-Kivu (est).

Cette décision a été prise à l'issue d'une rencontre du ministre Kitumba avec les responsables de la Régie des voies aériennes (RVA), de l' Autorité de l' aviation civile de la RDC (AAC) et du groupe

d'études de transports (GET).

Pour le ministre Kitumba, cette réunion avait pour objectif d' analyser les causes de ce crash et de prendre des mesures conservatoires en vue d' éviter des crashes du genre.

Une commission mixte d’enquête comprenant, d'experts congolais et américains sera mise en place pour élucider les causes du crash de l' aéronef de fabrication américaine.

Selon le directeur général ai de la RVA, Justin Okana, l'aéronef avait décollé de Lubumbashi pour Kinshasa avec escale à Bukavu à l' aéroport de Kavumu. C'est suite à un mauvais atterrissage que ce crash est survenu, a-t-il fait savoir.

Selon M. Okana, la piste de l'aéroport de Kavumu mesure 2.000 m, alors que l'aéronef n' a utilisé que 800 m pour l' atterrissage, ce qui, a-t-il estimé, est insuffisant pour arrêter cet aéronef, qui a terminé sa course dans un ravin.

"En rapport à l' enquête qui sera menée, l'AAC essaiera dans un premier temps à reconstituer les faits, notamment retrouver la boite noire et la bande enregistreur des dernières communications entre le pilote et la tour de contrôle qui sont des indices indispensables pour élucider les causes du crash", a indiqué le directeur général adjoint de l'AAC Hyppolite Mwaka.

Le député congolais Augustin Katumba Mwanke, le pilote et son co-pilote américains sont parmi les personnes ayant trouvé la mort dans l'accident. Le ministre des Finances Augustin Matata Ponyo,

l'ambassadeur itinérant Antoine Ghonda et le gouverneur Marcelin Cisambo qui étaient à bord l'ont échappé belle.

La Francophonie confirme la tenue de son 14e sommet en RDC

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Crée le 14-02-2012-  12h30 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le mardi 14-02-2012 - 12H39 AFRIQUE REDACTION PAR :ARTV-RADIOOKAPI

Abdou Diouf, Secrétaire général de la Francophonie et Raymond Tshibanda, Président de la Conférence ministérielle de la Francophonie, ministre de la Coopération internationale et régionale de la RDC, à l’occasion de la 27e session de la CMF. Cyril Bailleul / OIFAbdou Diouf, Secrétaire général de la Francophonie et Raymond Tshibanda, Président de la Conférence ministérielle de la Francophonie, ministre de la Coopération internationale et régionale de la RDC, à l’occasion de la 27e session de la CMF. Cyril Bailleul / OIF

Le 14e sommet de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) prévu du 12 au 14 octobre 2012 en RDC « aura bel et bien lieu à Kinshasa et aux dates prévues », a confirmé lundi 13 février le Conseiller spécial du secrétaire général de l’OIF et chargé de l’organisation des sommets, Ousmane Paye. Il a exclu l’idée de report ou d’annulation de ce sommet.


A la question de savoir si l’OIF pourrait annuler ou transférer l’organisation de ce sommet dans un autre pays dans l’hypothèse où elle constaterait qu’il ne peut plus se tenir à Kinshasa comme prévu, Ousmane Paye a déclaré :

«On ne l’envisage pas du tout. D’abord, je suis les meilleurs pour la RDC. Je suis très optimiste quant au dialogue qui va prévaloir. Donc, on ne réfléchit absolument pas à autre chose qu’à l’organisation du sommet [de Kinshasa] et tout se fait dans cette direction. »

Il a indiqué que la mission qu’il a conduite dernièrement à Kinshasa avait pour objet « d’évaluer la capacité de la RDC d’organiser ce sommet. Cette capacité est avérée. »


Dans un communiqué daté du vendredi 20 janvier, le Secrétaire général de la Francophonie, Abdou Diouf, avait recommandé l’apaisement et le respect des principes démocratiques dans la poursuite du processus électoral en RDC. Selon le texte, l’OIF offrait sa disponibilité d’accompagnement, précisant qu’elle ne prend position en faveur d’aucune partie au processus électoral. Par la même occasion, Abdou Diouf avait prôné un dialogue inclusif pour calmer les tensions postélectorales dans ce pays.


Cette déclaration avait suscité des réactions diverses au sein de la classe politique congolaise. Le sénateur Henri-Thomas Lokondo de la majorité avait indiqué que « quand le Secrétaire général de l’Organisation internationale de la francophonie dit que le processus électoral doit être observé avec rigueur, il veut diplomatiquement dire que le processus est bancal et que nous [la RDC] sommes mis sous la loupe».


En 1991, le sommet de la francophonie qui aurait du se tenir en RDC pour la toute première fois avait été délocalisé pour des raisons politiques.

 


Les refugiés congolais vivant au Gabon manifestent une grève de faim au siège du HCR à Libreville

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Crée le 14-02-2012-  12h30 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le mardi 14-02-2012 - 12H42 AFRIQUE REDACTION PAR :ARTV

Les réfugiés congolais vivant au Gabon manifestent lundi au siège du Haut Commissariat pour les Réfugiés (HCR) de Libreville une grève de faim, sollicitant la réinstallation dans un autre pays.

 

Les manifestants réclament, entre autre, la remise de leur statut de réfugiés dont la date délais fixée par le gouvernement gabonais pour le 31 janvier dernier.

Munis de leurs bagages, les réfugiés et demandeurs d'asile vivant au Gabon depuis la guerre civile qui a secoué la République du Congo entre 1997 et 1999, passent la nuit à la belle étoile.


"Nous demandons au HCR de nous faire partir d'ici, car nous n'avons plus un papier qui nous protège au Gabon", a déclaré l'un des réfugiés.

Selon le communiqué du gouvernement, les personnes en attente de réinstallation au Congo disposaient d'un délai de 80 jours, pour rejoindre leur destination, après avoir bénéficié d'un premier délai expiré depuis juillet dernier.


Passé cette phase, l'ensemble des personnes concernées par cette décision doit pouvoir présenter un titre de séjour ou un document qui justifie de leur présence en terre gabonaise, précise cette source.

En décembre dernier, dans un commun accord entre le gouvernement gabonais, le HCR et le gouvernement congolais, le Gabon avait accepté que les réfugiés congolais puissent choisir de rentrer librement dans leur pays ou qu'ils fassent une demande d'asile qui sera appréciée par les autorités gabonaises.

Sur cette base, le gouvernement gabonais avait lancé une phase d'examen de dossiers devant permettre aux réfugiés de bénéficier d'un statut de migrant au Gabon qui a abouti à la reconduction du statut de réfugié.

Depuis plus de 15 ans, le Gabon abrite environ dix mille réfugiés et demandeurs d'asile congolais qui ont fui la dernière guerre civile dans leur pays.

Des agriculteurs appellent à abattre ou éloigner les hippopotames en divagation au Sud-Kivu

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Crée le 14-02-2012-  12h30 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le mardi 14-02-2012 - 12H45 AFRIQUE REDACTION PAR :ARTV

Les agriculteurs de la localité de Luvungi dans la plaine de la Ruzizi et de Kilomoni, dans le territoire d'Uvira au Sud-Kivu (Est de la RDC) ont demandé aux responsables de l'Institut congolais pour la conservation de la nature (ICCN) d' abattre où d' éloigner les hippopotames en divagation dans leurs champs.

Des agriculteurs appellent à abattre ou éloigner les hippopotames en divagation au Sud-Kivu

"Les hippopotames détruisent nos champs et attaquent les hommes, occasionnant d' énormes dégâts", a déclaré la population locale dans une lettre adressée à l' ICCN.

L' administrateur du territoire d' Uvira au Sud-Kivu, Wabunga Singa Zébédée, avait lancé un appel, le 6 février dernier, à la population locale à ne pas attaquer mai à protégerles hippopotames, espèce rare en RDC.

Les hippopotames viennent s' émouvoir dans les champs des paysans, parce que l' environnement a été détruit, a-t-il indiqué.

Foot: les Zambiens champions d’Afrique avec des joueurs de Mazembe

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Crée le 14-02-2012-  12h50 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le mardi 14-02-2012 - 12H57 AFRIQUE REDACTION PAR : ARTV-RADIOOKAPI

Un moment de joie immense pour les joueurs du TP Mazembe (Ph. Arch.)Un moment de joie immense pour les joueurs du TP Mazembe (Ph. Arch.)

 

Les Chipolopolos Boys de la Zambie ont remporté, dimanche 12 février à Libreville, la 28è édition de la Coupe d’Afrique des nations, disputée conjointement au Gabon et en Guinée équatoriale. Les poulains de l’entraîneur français Savoyard Hervé Renard sont ainsi venus à bout des Eléphants ivoiriens à l’issue de séance des tirs aux buts (8-7).


 La ville congolaise de Lubumbashi a fêté cette victoire. Six joueurs de la sélection nationale zambienne évoluent dans le club congolais du TP. Mazembe.


Ce sacre a été chaleureusement accueilli par de nombreux habitants de Lubumbashi, ville frontalière de la Zambie. Ils sont restés scotchés devant leurs petits écrans jusque tard dans la nuit pour connaître l’épilogue de cette grand-messe du football africain.


Le tir au but réussi du Zambien Sunzu Stopila du TP Mazembe est venu libérer les émotions qui allaient grandissantes laissant ainsi place aux Vuvuzela et aux cris de joie qui ont brisé le silence de la nuit.

Pour la plupart des sportifs, le sacre de la Zambie est aussi celui des Lushois comme l’explique ce supporter:

«Comme je suis natif congolais, on est en proximité avec la Zambie je suis hyper satisfait avec le dernier but de Sunzu Stopila, notre joueur de Mazembe. Formidable, les Zambiens nous ont fait une fierté terrible. Ca vient consoler les Congolais vu qu’il y a plusieurs joueurs de Mazembe qui ont joué. Nous sommes dans la joie pour cette victoire zambienne qui est la victoire de l’Afrique centrale, l’Afrique du Sud».

L’issue du match a donc confirmé les pronostics de la plupart des Lushois qui pointaient déjà les Tshipolopolo boys comme favoris de cette finale.

Les Eléphants de la Côte d’Ivoire ont échoué une nouvelle fois, comme en 2006, après des ratés de Kolo Touré et Gervinho lors de la séance des tirs au but.


Il y a 20 ans, la Côte d’Ivoire triomphait sur le sol sénégalais, célébrant alors aux dépens du Ghana sa toute première – et unique à ce jour – Coupe d’Afrique des Nations.


Il y a 19 ans, la Zambie vivait un véritable drame national, perdant dans un crash aérien toute une sélection – exception faite de son joueur vedette, Kalusha, le seul alors à ne pas évoluer au pays.


Ce jour tragique d’avril 1993, les Chipolopolos qui se rendaient à Dakar ont été fauchés dans leur vol au large de Libreville, la capitale du Gabonais. La victoire de ce dimanche 12 avril a été dédiée à tous ces joueurs disparus.


Les Zambiens ont remporté pour la première fois de leur histoire ce trophée continental après les ratés de 1974 contre l’ex-Zaïre et 1994 contre le Nigria.


Pendant que le corps de Katumba Mwanke est rapatrié à Lubumbashi via Kinshasa Matata, Ghonda, Chisambo évacués en Afrique du Sud

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Crée le 14-02-2012-  13h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le mardi 14-02-2012 - 13H10 AFRIQUE REDACTION PAR :ARTV

 

"Joseph Kabila" visiblement en convalescence a rendu hommage à son ancien collaborateur


Le gouverneur de la province du Sud-Kivu, Marcellin Chisambo, le ministre des Finances Matata Mponyo ainsi que l'ambassadeur itinérant Antoine Ghonda, gravement blessés suite au crash qui s'est produit dimanche dernier, ont été évacués, depuis hier lundi 13 février, en Afrique du Sud, pour des soins appropriés.

Quant à l'honorable Katumba Mwanke, décédé sur le coup, son corps est arrivé hier, vers midi, à Kinshasa, avant de reprendre l'avion pour la ville de Lubumbashi.

Des officiels et des membres de la famille du défunt ont accueilli la dépouille à l'aéroport international de N'djili. Le cortège funèbre a immédiatement pris la direction du siège du Parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie (PPRD) où les camarades de la famille politique du défunt devraient lui rendre un dernier hommage.

 

Delà, il s'est dirigé vers la résidence privée du défunt. C'est à cette étape que "Joseph Kabila", s'est personnellement déplacé pour déposer sa gerbe de fleur et consoler la veuve et les enfants.


C'était sous une pluie battante. Une sortie médiatique qui a surpris plusieurs Congolais qui ont suivi ces images sur la télévision nationale, après plus de 45 jours de folles rumeurs autour de sa santé, mais ce qui est certain, il n'a pas convaincu les Congolais pour son état de santé.

Après quelques heures de recueillement, le cortège a pris la direction du Palais du peuple, lieu du travail du disparu. C'est de là qu'il a finalement pris la direction de l'aéroport international de N'djili pour être rapatrié à Lubumbashi, chef-lieu du Katanga, province d'origine du « Tout puissant » Katumba Mwanke.

Selon le programme, ce dernier sera enterré ce jeudi 16 février à Pweto, son territoire natal. Des sources renseignent que les activités dans ce territoire sont restées paralysées durant toute la journée d'hier, suite au décès de ce député qu'on vient de réélire dans cette circonscription électorale.

Boutique, magasins, écoles … n'ont pas fonctionné. Les habitants de ce coin retiennent de lui qu'il a initié des projets d'électrification, d'adduction d'eau potable, de construction de routes, de l'aéroport et des écoles. - C'est donc une énorme perte pour eux. C'est vraiment terrible, la désinformation en RDC..

Quant aux pilote et copilote, de nationalité sud-africaine, décédés eux aussi dans ce crash, leurs corps ont également été rapatriés en Afrique du Sud.

Le chargé de communication du gouverneur du Sud-Kivu a transmis un message rassurant et d'apaisement de son chef, indiquant que « son état n'est pas aussi grave qu'on le rapporte à travers la ville ».

                                                                                                LEFILS MATADY

Province Orientale: près de 100 000 personnes exploitent illégalement de l’or à Mongwalu

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Crée le 14-02-2012-  13h10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le mardi 14-02-2012 - 13H15 AFRIQUE REDACTION PAR :ARTV

Des lingots d'or entreposés. Ph. Corbis 

Des lingots d’or entreposés. Ph. Corbis


 

Le service des Mines du district de l’Ituri accuse près de cent mille orpailleurs d’exporter frauduleusement de l’or de la zone minière de Mongwalu, à 86 km au Nord-Ouest de Bunia (Province Orientale) vers les pays voisins. Elles sont établies dans les zones d’exploitation de la société minière de l’or de Kilo-Moto (Sokimo) dont une partie est sous la responsabilité de la sud-africaine Anglo Gold Kilo (AGK). 

Le service des Mines du district reconnaît cette situation et accuse l’entreprise minière sud-africaine Anglo Gold Kilo (AGK), d’empêcher les services de l’Etat d’accéder dans le site minier.

«L’AGK ne veut pas la présence des services de Mines dans sa concession. L’exploitation artisanale ne peut pas avoir lieu là bas. L’AGK est entrain de violer la loi», a dénoncé le chef de ce service des Mines, Simon-Pierre Bolombo, faisant allusion au code minier qui stipule que :

«Lorsqu’une concession appartient à plusieurs personnes ou à une société, les indivisaires ou la société doivent, quand ils en sont requis par le préfet, justifier qu’il est pourvu, par une convention spéciale, à ce que les travaux d’exploitation soient soumis à une direction unique et coordonnés dans un intérêt commun».

Le chef de la Cité de Mongwalu, Jean-Pierre Bikilisende, a également déploré que toute la production de l’or de cette zone puisse échapper au circuit officiel de traçabilité, profitant ainsi aux pays limitrophes.

«Jusque là, il y a un problème dans la production. Le circuit de traçabilité de l’or n’est pas encore bien défini. Il faut qu’on arrive à maitriser le circuit de commercialisation de notre or qui ne fait qu’enrichir les pays voisins», a-t-il souhaité.

Du côté de l’entreprise AGK, aucun responsable n’a été joignable pour éclairer l’opinion sur ce dossier.

La Cité de Mongwalu est une zone minière qui vit essentiellement des activités d’exploitation et commercialisation de l’or.

Situation confuse hier à Kisantu ! *Chasse aux Chinois et Indo-pakistanais : un mort et quatre blessés

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Crée le 14-02-2012-  13h10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE.Mis à jour le mardi 14-02-2012 - 15H15 AFRIQUE REDACTION PAR :  LE PHARE

 

 

 

*Slogans hostiles au pouvoir central : la secte « Vuvamu » sur les traces de BDK ?
La petite cité de Kisantu, dans le Bas-Congo, à environ 120 km de Kinshasa, a connu une journée très chaude hier lundi 13 février 201 2. A en croire plusieurs sources indépendantes, des jeunes-gens se réclamant de l'Eglise « Vuvamu » du pasteur Nkusu, après s'être rassemblés devant le siège de leur église, se sont répandus travers la cité commerciale de Kimbala, munis d'armes blanches. Leurs cibles principales étaient des commerçants étrangers, notamment chinois et indopakistanais, accusés de réaliser des gains facile sur le dos des Congolais, de leur faire la concurrence déloyale, de les mal payer, de se livrer au petit commerce au mépris des textes légaux, de ne rien apporter au développement de leur contrée.

Les mêmes sources ont fait état d'une véritable chasse à l'homme déclenchée contre ces expatriés d'origine asiatique, aussi bien dans leurs maisons de commerce que dans leurs habitations. Quatre blessés graves ont été enregistrés. Un sujet indo-pakistanais, aurait été donné pour mort, sans autre précision.

Selon des sources locales, ces jeunes adeptes de l'église «Vuvamu », sigle qui se traduit en kikongo par «Vutuka vana mpambu wa vidila» (traduction française «Rentres au niveau du carrefour où tu as perdu ton chemin), scandaient également sur leur passage des slogans hostiles aux hommes au pouvoir à Kinshasa, coupables à leurs yeux d'avoir vendu le pays aux étrangers. Certains réclamaient même le respect de la vérité des urnes et la passation du pouvoir d'Etat aux compatriotes ayant réellement gagné dans les urnes, aussi bien au niveau de la présidentielle que des législatives nationales.

Des revendications en rapport avec l'indépendance de la province du Kongo central ont également été entendues.

L'appel de la Commissaire de District assistante 

Contactée par Le Phare, la Commissaire de District assistante de la Lukaya, Mme Henriette, a confirmé la manifestation violente organisée à travers la cité de Kimbala par des jeunes-gens appartenant à l'Eglise « Vuvamu ». Elle a reconnu aussi des actes de brutalité commis sur des commerçants chinois et indopakistanais, dont quatre ont été blessés. L'un d'entre eux a été même évacué sur Kinshasa compte tenu de la gravité de son état.

Mais cette autorité a démenti la rumeur ayant fait état de la mort d'un sujet indopakistanais. A l'en croire, aucun décès n'a été enregistré. Mme Henriette a contesté par ailleurs la version selon laquelle les manifestants auraient lancé des slogans hostiles au pouvoir. Selon elle, les revendications des adeptes de « Vuvamu » sont demeurées strictement économiques et commerciales. La police, a-t-elle indiqué, a rapidement maîtrisé la situation.

Sur les traces de Bundu dia Kongo ? 

Les observateurs, au vu du discours anti- étranger, développé par les membres de l'église « Vuvamu » se demandent si cette dernière n'est pas en train de marcher sur les traces de la célèbre secte « Bundu dia Kongo » du gourou et député national Ne Muanda Nsemi, dissoute en 2007 par une décision gouvernementale, et muée aujourd'hui en un parti politique dénommé Bundu dia Mayala, dont la demande d'agrément moisit depuis plus d'une année dans les tiroirs du ministère de l'Intérieur. La traque aux Chinois et Indopakistanais rappelle à beaucoup la chasse aux « non originaires » orchestrée contre des Congolais originaires d'autres provinces du pays et sommés de regagner Kinshasa ou leurs milieux d'origine, sous peine des sévices corporels.

Il semble que le pasteur Nkusu, leur chef spirituel, aurait la même vision que Ne Muanda semi et la feue héroïne « Ne Kongo» Kimpa Vita, à savoir la libération du Kongo Central du joug du pouvoir de Kinshasa et de la mainmise des expatriés.

Peu s'en faut qu'il se mette à réclamer tout bonnement l'indépendance de cette province, comme le gourou de Bundu dia Kongo entre 2001 et 2007.

Les autorités centrales devraient creuser le fond du problème des jeunes de Kisantu. Les analystes politique, tout en condamnant le caractère violent et xénophobe de la manifestation de Kisantu, n'en relèvent pas moins l'expression des frustrations nées des attentes d'une population minée par La misère, la famine, le manque d'emploi… bref des problèmes sociaux insolubles. Face à un avenir qui ne fait que s'assombrir, les boucs émissaires sont tout désignés : des Chinois et Indopakistanais qui ont envahi le secteur du petit commerce. Il y a aussi, en filigrane, des déceptions résultant des tripatouillages des résultats des élections présidentielle et législatives du 28 novembre 2012. Mis ensemble, le cocktail économique et commercial a donné ce qu'il a donné hier à Kisantu. C'est une interpellation pour la future législature qui s'apprête à gouverner la République entre 2011 et 2016.

                                                                                                                 Kimp 

Maintien et renforcement de l'appui stratégique des FARDC Le programme d'action 2012, Eusec-RDC/Ministère de la Défense actualisé

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Crée le 14-02-2012-  13h10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le mardi 14-02-2012 - 15H15 AFRIQUE REDACTION PAR :  LE PHARE

 

Le ministre de la Défense Nationale et des Anciens Combattants de la République Démocratique du Congo, Charles Mwando Nsimba a signé vendredi 10 février dernier, le programme d'actions 2012 avec l'Eusec sur le maintien et le renforcement de l'appui au niveau stratégique pour la réussite de la réforme du secteur de la sécurité au pays.

Dans son mot de circonstance, le chef de la mission EUSEC/RDC, M. Antonio Martins, a déclaré que la présente cérémonie est simple mais de grande signification. Cela prouve que le partenariat entre le ministère de la Défense Nationale et des Anciens Combattants de la RDC et l'Eusec est en bonne santé.

Ainsi, a-t-il dit, l'Eusec a mis à la disposition du cabinet du ministre et de l'Etat-major Général des FARDC, deux Colonels Brevetés d'Etat-major de l'Eusec (BM), comme experts d'Eusec. Ces experts vont participer aux différents groupes de travail qui viennent d'être mis en place en application du récent Arrêté Ministériel.

Il n'a pas hésité un seul instant de réaffirmé l'appui constant d'Eusec et de l'ensemble de l'Union Européenne pour la réussite du processus de longue haleine que constitue la réforme du secteur de la sécurité.

Le ministre Charles Mwando Nsimba, a profité de l'occasion pour présenter ses voeux de nouvel an à la délégation de l'Eusec et a réitéré la volonté de la RDC de renforcer la coopération avec cette mission européenne d'assistance à la réforme du secteur de la sécurité en RD Congo. Cela dans la mesure où ces deux parties attend mettre en application les différents axes de cette reforme à la faveur de la promulgation des lois organiques des FARDC y afférentes.

                                                                                             Bibiche Mungungu

Maniema : JED s'insurge contre l'interdiction des émissions à téléphone ouvert par le gouverneur de province, et appelle à ne pas obéir à un ordre injuste et illégal

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Crée le 14-02-2012-  13h10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le mardi 14-02-2012 - 15H15 AFRIQUE REDACTION PAR :  LE PHARE

 

Dans une lettre adressée, jeudi 9 février 2012, à M. Pascal Tutu Salumu, gouverneur de la province du Maniema, Journaliste en danger (JED) lui a demandé de faire preuve de la plus grande retenue en respectant scrupuleusement la liberté d'expression et le droit à l'information de la population, et en levant sans conditions la mesure, qu'il a prise mardi 7 février 2012, contre Radio Télévision Kindu Maniema (RTKM) portant l'interdiction formelle d'organiser des émissions à téléphone ouvert.

M. Tutu Salumu a, malencontreusement, justifié sa décision prise contre la RTKM en arguant : « … après plusieurs rappels à l'ordre, je vous signifie que désormais il vous est strictement interdit d'organiser des émissions à téléphone ouvert...compte tenue des dérapages dont vos animateurs sont auteurs et qui vont à l'encontre de l'éthique et de la déontologie professionnelle, ainsi que de la réglementation en vigueur …“. Pour JED, ces accusations ne sont étayées par aucun fait précis et la sanction prise ne repose sur aucun prescrit de la loi.

Dans cette lettre dont copies ont été réservées notamment au Vice-premier ministre, ministre de l'intérieur et Sécurité ; au Ministre de la Communication et des Médias ; et au Président du Conseil Supérieur de l'Audiovisuel et de la Communication (CSAC), JED a exprimé sa totale désapprobation contre les multiples interférences et menaces que M. Tutu Salumu s'évertue à proférer depuis longtemps contre les journalistes et médias de la province sous sa commande. Pour JED, ces actes et menaces sont symptomatiques de sa propension à abuser de son pouvoir pour empêcher les médias de faire leur travail, en violation de la Constitution et des lois de la République qui garantissent, sans ambages, la liberté de la presse, corolaire de la liberté d'expression et d'opinion.

JED a également rappelé à M. Tutu Salumu qu'aucun texte de loi ne lui reconnaît le droit et la compétence, ni aux “services spécialisés “, de connaître des manquements à l'éthique et à la déontologie professionnelle, qui sont des prérogatives dévolues aux seules instances d'autorégulation et de régulation des médias, en l'occurrence le CSAC.

JED écrit également que cette menace contre RTKM n'est pas sans rappeler d'autres atteintes graves à la liberté de la presse que le Gouverneur de province e multiplié pendant la période électorale, notamment, la suspension, de Radio Communautaire Tujenge Kabambare (RCTK) qu'il a levée deux mois après, en invoquant sa “ clémence “, et l'interdiction faite à toutes les stations de radio de relayer des éditions d'informations produites par les chaînes étrangères, à savoir RFI, BBC et Africa N°1.

Ces actes et menaces donne de M. Pascal Tutu Salumu l'image d'un des pires ennemis de la liberté de la presse en RD Congo.

JED encourage, par conséquent, les responsables des médias de la province du Maniema à ne pas obéir aux ordres injustes et manifestement illégaux.

Des dossiers judiciaires traînent pour insuffisance de juges d’enfants à Lubumbashi

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Crée le 14-02-2012-  13h10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le mardi 14-02-2012 - 15H15 AFRIQUE REDACTION PAR :  RADIO OKAPI
Enfants de la rue

 

Le tribunal pour enfants de Lubumbashi (Katanga) a rendu 99 décisions sur 229 dossiers enregistrés d’avril 2011 en janvier 2012. L’insuffisance du nombre de juges reste un problème majeur pour le fonctionnement de cette institution installée dans la capitale du Katanga depuis une année. Le président du tribunal pour enfants de Lubumbashi, Emery Puna, a déploré cette situation, lundi 13 février, à l’issue de la réunion de la coordination provinciale de la justice pour mineurs. 

Si le tribunal pour enfants du chef-lieu du Katanga est actuellement doté d’un bâtiment spacieux, le président de ce tribunal siège encore seul alors que les dossiers en appel nécessitent la présence de trois juges.

Dans le lot d’infractions commises par ces mineurs, le viol arrive en tête avec quatre-vingt-seize cas, suivi du vol avec quatre vingt quatre cas et des coups et blessures en troisième position avec quarante-neuf cas.

La tranche d’âge des enfants qui commettent des délits varie entre dix et dix-sept ans.

Une réunion d’évaluation sur le fonctionnement des tribunaux pour enfants en RDC est prévue la semaine prochaine à Kinshasa.

«De là, sortira peut-être une solution sur les effectifs des juges dans ces institutions judiciaires», espère le juge Puna.

Goma: 32 enfants en détention manquent de nourriture et de soins médicaux

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Crée le 14-02-2012-  13h10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le mardi 14-02-2012 - 15H15 AFRIQUE REDACTION PAR :  RADIO OKAPI

 
Vue de la ville de Goma.alVue de la ville de Goma.al

 

Trente-deux enfants auteurs des délits placés actuellement à l’Etablissement de garde et d’éducation de l’Etat (EGEE), à Goma (Nord-Kivu), ne sont plus pris en charge depuis la fin du projet d’appui de l’Unicef, il y a six mois. C’est ce qu’a affirmé, mardi 14 février, le responsable de cet établissement pénitentiaire. 

Placés dans un pavillon du complexe pénitentiaire de Munzenze, ces enfants n’ont pas de nourriture, ni de subventions pour leur prise en charge alimentaire et médicale.

«Nous sommes confrontés au problème de manque de subvention qui nous permet d’acheter la nourriture et nous n’avons pas un service médical approprié pour la meilleure prise en charge des enfants en conflit avec la loi», se plaint Victor Supira, le responsable de cet établissement pénitentiaire pour enfant.

Les responsables provinciaux des services pénitentiaires reconnaissent ce problème.

Ils indiquent toutefois que la situation de ces enfants est à l’étude au niveau des autorités provinciales.

Rappelons que depuis le début de fonctionnement de l’EGEE à Goma l’année dernière, seul le Fonds des Nations unies pour l’enfance (l’Unicef), a pris en charge ces enfants pendant six mois dans un projet qui est arrivé à terme.


Province Orientale: les corps sans vie de 2 élèves retrouvés dans une école à Djugu

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Crée le 14-02-2012-  13h10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le mardi 14-02-2012 - 15H15 AFRIQUE REDACTION PAR :  RADIO OKAPI

En rouge (A), le territoire de Djugu dans le disctrict de l'Ituri, province Orientale (RDC).

Les corps sans vie de deux élèves âgés de 6 et 16 ans ont été retrouvés, dimanche 12 février, dans la cour de leur école au village de Tchasikpa, groupement de Beliba, situé à environ 50 km, au Nord de Bunia, en territoire de Djugu.

Jusque ce mardi matin, les autorités locales déclaraient ignorer les circonstances qui ont conduit à la mort de ces deux enfants. Les auteurs de cet acte ignoble courent toujours, le mobile et les circonstances du crime demeurent inconnus.

Depuis dimanche soir, des policiers en provenance de Jina situé à 5 km du lieu où les corps ont été retrouvés, ont été dépêchés pour mener des enquêtes sur ce crime, affirme la même source.

Ce drame intrigue la société civile de l’Ituri qui indique que généralement dans le groupement Beliba, le calme a toujours régné, contrairement à d’autres coins du territoire de Djugu où des scènes de violence ont souvent été rapportées.

Les zones d'ombre sur la vidéo de l'apparition de « Joseph KABILA »

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Crée le 15-02-2012-  00h10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le mercredi 15-02-2012 - 00H15 AFRIQUE REDACTION PAR : ROGER BONGOS

 
Les obsèques de Katumba Mwake

En analysant cette vidéo je suis arrivé à une simple conclusion au regard de ce que je viens de voir plus d'une dizaine de fois.

1. Quand homme de cette trempe vient de partir, protocolairement, le Président qui était son ami et proche collaboration ne devrait pas passer 3 minutes 45' aux obsèques de cet homme ;

2. Pour le respect de la veuve et ses 3 filles, celui ci devrait s’asseoir à leurs côtés pour les réconforter, non être loin de la dépouille à un angle qui n'a rien à voir avec la grandeur de l’événement ;

3. Aussi chose étonnante, les angles des caméras de la télévision nationale avait seulement, un seul plan, Or, dans ces genres de cérémonie, trois caméras sont nécessaires la meilleure couverture à savoir : Une caméra pour l'angle en plongé, une en face et l'autre sur le côté ; On voyait qu'une seule caméra qui faisait le zoom d'une manière amateur;

4. Le soit-disant président devrait s’asseoir obligatoirement devant la dépouille ( en face ) ce qui se fait partout. Regardez sur le net, et vous en serez convaincus. S'asseoir avec la veuve et ses trois filles pour les consoler ;

5. Comment peut-il s'asseoir loin de la dépouille de son ami ? Comment les caméras n'ont pas filmer le plan sur le cercueil et sa photo, Parce que en revenant de l'aéroport (corbillard), une photo de Katumba Mwake occupée une place prépondérante ;

6. Un président qui perd son fidèle allié doit, nécessairement de faire un petit mot de circonstance comme à l’accoutumer dans les pays dits civilisés ;
7. Comment peut on voir à ses côtés, Dan GELTNER, qui est-il pour la RDC ?

La gerbe de Joseph KABILA n'a pas été immortalisé, pourquoi donc ?

Je pense et j'en suis convaincu, que c'est un vulgaire montage ces images qui jette encore des doutes dans mon esprit et surtout chez des personnes averties. Montrez ces images à un spécialiste, vous serez édifiés.

Cela étant dit, en écoutant les commentaires de présentateur, on sentait bien un vide dans la couverture de cet événement. Il dira quelque chose qui m'a profondément choqué sur les riverains de Matongé. Je cite que KABILA n'est pas de ce milieu là...

C'est à vous de comprendre cette phrase qui montre insuffisance ce que je viens de voir comme parodie. Il y a anguille sous roche...Je dis et répète, au vu des éléments présentés, j'ai des doutes !

Comme katumba a été élevé au rang d'héros au même titre que Lumumba et LDK pourquoi cette cérémonie était-elle bâclée ?

Admettons que ça soit lui même en personne , pourquoi a-t-il resté 3 minutes, a-t-il toujours sa tête ? J'en suis persuadé que non !

Roger BONGOS

La vidéo en question ( la pomme de discorde )


La vidéo en question ( la pomme de discorde )

http://www.youtube.com/watch?v=YeE9EQoifoo

Vérité des urnes : Les femmes acquises au changement fin prêtes

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Crée le 15-02-2012-  00h10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le mercredi 15-02-2012 - 14H35 AFRIQUE REDACTION PAR : LE PHARE

 

 


«C’est la femme qui construit la maison. Elle est appelée à lutter et à militer pour une cause juste, majeure et avantageuse pour le bien-être de sa Nation. Que les femmes s’impliquent dans cette lutte qui trouve son expression dans cette marche du 16 février 2012 organisée par l’Eglise catholique. Car l’avenir du Congo en dépend» a indiqué Mme Pascaline KUDURA. Telle est la déclaration de la communauté des femmes de l’opposition politique congolaise dénommée «Femme acquises au changement ». Cet appel à la prise de conscience de la situation du pays lancés aux femmes congolaises est intervenu hier 14 février au cours d’une rencontre des cadres de l’opposition tenue au Centre d’accueille protestant.
Cette structure politique demande à toutes les mamans congolaises vivant sur le sol congolais et celles de la diaspora de se lever et de participer massivement à la relève du pays qui est en phase très très critique. Cependant, elles prient les militaires et policiers de ne pas déranger ou encore disperser les manifestants car toutes les revendications formulées par l’Eglise Catholique et l’Opposition sont aussi en leur faveur.
« Tirer sur les manifestants n’est pas une solution mais la solution. La CENI et la Cour Suprême s’amendent et donnent la vraie vérité des urnes. La Constitution et la Loi Électorale reconnaissent à la population le droit de contester les résultats publiés si elle constate qu’ils sont faux», a indiqué une femme dans l’anonymat.
Cependant, les Femmes acquises au changement invitent tous les Congolais et Congolaises, jeunes, enfants, adultes... à participer massivement à la marche du 16 février, car tous ensemble, nous constituons une force».
                                                                                                Dorcas NSOMUE

Marche du 16 février : « Toges Noires » salue et appuie la démarche de l’Eglise Catholique

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Crée le 15-02-2012-  00h10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le mercredi 15-02-2012 - 14H35 AFRIQUE REDACTION PAR : LE PHARE

TOGES NOIRES, organisation de promotion et de défense des Droits de l’Homme et de développement Démocratique, salue et appuie la démarche de l’Eglise Catholique du Congo quant à l’organisation de la marche pacifique des chrétiens prévue ce 16 février en vue d’exiger la vérité des urnes sur les élections du 28 novembre dernier.


En effet, c’est en guise de protestation contre les résultats des élections présidentielle et législatives publiés par la Commission Nationale Electorale et confirmés par le verdict de la Cour Suprême de Justice que l’Eglise Catholique du Congo compte organiser cette marche pacifique. Il ressort que les évêques tout comme l’Archevêque de Kinshasa, dans leurs dernières déclarations, avaient crié haut et fort que les résultats des élections du 28 novembre dernier n’étaient ni conformes à la vérité et ni à la justice.
Dans le but de sauver la patrie, et surtout l’élan démocratique mis à mal par le régime en place depuis le hold up électoral du 28 novembre dernier, « TOGES NOIRES» appelle les diverses composantes de la société civile ainsi que l’ensemble population Congolaise en générale et Kinoise en particulier à adhérer à la démarche de l’Eglise Catholique pour qu’éclaté enfin la vérité des urnes.

Face à ce gui précède, «TOGES NOIRES» recommande ce qui suit :
- au Gouvernement, de se conformer à l’article 26 de la Constitution qui garantit la liberté de manifestation publique tout en prenant des mesures en vu d’encadrer les manifestants durant la marche pacifique du 16 février prochain,
- Aux éléments de la police nationale congolaise et des forces de sécurité, de ne point obéir aux ordres manifestement illégaux visant à réprimer par le sang la marche pacifique du 16 février prochain et de ne point faire usage abusif des gaz lacrymogènes et des tirs à balle réelle ;
-Aux acteurs politiques, de s’activer pleinement dans la dynamique de dialogues de concert avec la société civile, en vue de sauver la jeune démocratie en danger;
- A la communauté internationale, de s’abstenir de toute complaisance face à la situation des violations systématiques des droits de l’homme qui prévaut actuellement en RDC et d’aider le peuple Congolais dans sa démarche de la restauration de la démocratie.- A la MONUSCO, d’assurer pleinement et d’une manière effective et efficace la protection des populations civiles conformément à la résolution 1991 du Conseil de Sécurité.
Fait à Kinshasa, le 14 février 2012
TOGES NOIRES
Joseph SEKABO :
Chargé de communication

Vérité des urnes et démission du Bureau de la Ceni - L’Opposition mobilisée pour le 16 février 2012

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Crée le 15-02-2012-  00h10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le mercredi 15-02-2012 - 14H35 AFRIQUE REDACTION PAR : LE PHARE

 

 




C’est à l’issue d’une large concertation politique organisée, hier mardi 15 février 2012, au centre d’Accueil Protestant, dans la commune de la Gombe, que l’Opposition politique congolaise, toutes tendances confondues, a décidé de participer massivement, demain jeudi 16 février, à la marche des chrétiens visant le rétablissement de la vérité des urnes et la démission du bureau de la Commission Electorale Nationale Indépendante (Ceni).

Plusieurs poids lourds de plate-forme politique étaient présents au rendez-vous, notamment Thomas Luhaka (MLC), Ewanga (UNC), Jean-Claude Vuemba (MPCR), Lisanga Bonganga (CCD), Antipas Mbusa Nyamuisi (RCD/K-ML), Kiakuama (CDC), José Makila …

Dans un document lu par Antipas Mbusa Nyamuisi, l’Opposition politique congolaise a rappelé que le 16 février 1992, le peuple congolais était descendu massivement dans la rue pour réclamer la réouverture de la Conférence Nationale Souveraine, voie obligée pour cheminer vers la démocratisation du pays et l’instauration d’un Etat de droit, après plusieurs décennies caractérises par la dictature du maréchal Mobutu Sese Seko.
Pour les membres de l’Opposition, 20 ans après, ces aspirations légitimes du peuple congolais sont détournées par un hold up électoral planifiée par des forces occultes qui veulent se maintenir au pouvoir contre la volonté du peuple congolais qui appel, de tous ses voeux, le changement de gouvernance dans les institutions de la République.
Pour honorer la mémoire de tous les martyrs de la démocratie tombés le 16 février 1992 suite à l’intolérance politique du régime de la Deuxième République de triste mémoire, dont les vestiges persistent encore aujourd’hui, l’Opposition congolaise a lancé un vibrant appel à tous le fils et filles du Grand Congo pour prendre part à la marche de ce jeudi 16 février organisée par l’Eglise catholique, dans l’intérêt de toute la Nation congolaise.

Elle a souligné que cette marche, outre son volet historique et commémoratif, sera aussi l’occasion pour le peuple congolais de revendiquer la vérité des urnes après les scrutin du 28 novembre qui sont en passe de placer au sommet de l’Etat congolais un pouvoir très contesté par la majorité des Congolais. Compté parmi les grandes victimes du hold up électoral, Etienne Tshisekedi, président national de l’UDPS, était motivé par le fait qu’il était conscient d’être le symbole historique du combat pour la démocratie dans notre pays durant les trente dernières années, lit-on.
Les opposants ont également appelé le peuple congolais à exiger la démission du bureau de la Ceni donc le président est resté attaché à sa famille politique d’origine, se rendant du coup complice des fraudes électorales enregistrées lors des scrutins couplés présidentiel et législatifs du 28 novembre 2011.
L’Opposition politique congolaise a invité les forces de l’ordre censées encadrer cette marche à s’abstenir de toute répression pour permettre à la population d’exercer, dans l’ordre et la discipline, mais en toute indépendance, son droit constitutionnel de s’opposer à tout individu ou groupe d’individu qui cherchent à s’emparer du pouvoir par la force, en défiant le souverain primaire.
Au cours de la même réunion, cette famille politique à joint sa voix à celle des activistes des droits de l’homme pour exiger la levée du « bouclier » armé placé devant la résidence de son leader , Etienne Tshisekedi, et ses environs. Elle a indique que cette mise à résidence surveillée constitue une violation systématique de la Charte universelle des droits de l’homme, dont la RDC a ratifié le texte.
Par ailleurs, l’Opposition a réclamé la libération de tous les prisonniers politiques, notamment Pierre Jacques Chalupa, Gabriel Mokia, Bakungu, Kutino Fernando, etc.
S’agissant de la liberté de presse jusque-là confisquée par le pouvoir en place dans notre pays, alors qu’elle constitue un des baromètres de la démocratie, elle a appelé à la réouverture des chaînes privées actuellement fermées, à savoir RLTV, Canal FUTUR TV et Congo Media Chanel.
                                                                                                   ERIC WEMBA

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