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Channel: AFRIQUE REDACTION . L'information en continu ! Afrique au cœur de l’actualité...Infos News sur la RDC, les brèves de la dernière minute. Synthèse sur l’actu internationale. rdcongo-kinshasa, Nord et Sud KIVU, Kinshasa, Bas Congo, Dongo, Equateur, Maniema, Lubumbashi, les deux Kasai. Rédacteur en Chef : BONGOS Roger
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Actualité RDC: embarquement des expulsés de Brazzaville à destination de leurs provinces

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Crée le 25-07-2014  - 12H05 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER.. BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE INTERNATIONALE .  Mis à jourvendredi le 25-07-2014 -12H10 PAR :RADIO OKAPI

Dortoir des expulsés de Brazzaville le 23/05/2014 au site de transit à Kinshasa-Maluku. Radio Okapi/Ph. John Bompengo

Les expulsés de Brazzaville qui doivent rentrer dans les provinces de l’Équateur et en Province Orientale ont commencé jeudi 24 juillet à embarquer à bord du bateau MB/Kimbiob, au port de Maluku. Ce bateau d’une capacité de 500 passagers a été affrété par le ministère des Affaires sociales, avec le soutien de l’Armée du salut, de la Croix-rouge et de l’ONG Care international. Le secrétaire général de ce ministère, Laurent Tshelu, estime que le départ du navire sera donné vendredi matin.

 

« Tous ceux de Mbuji-Mayi partiront aussi vendredi. Le samedi et le dimanche, ce sera au tour de ceux de Lubumbashi. Ceux de Kindu regagneront leurs milieux d’origine lundi. Jusque là, c’est le programme que nous avons », a affirmé Laurent Tshelu.

Il a indiqué que ceux de Kinshasa seront les derniers à regagner leurs familles d’origine.

« Ils sont à 1562 personnes. On a déjà enregistré leurs adresses d’origine dans les différentes communes de Kinshasa. Au moment venu, nous aligneront les bus et recevront leurs titres aux mêmes titres que ceux des provinces », a-t-il assuré.

Sur base d’un quota de quatre personnes par famille, les délégués de l’Armée du salut remettent 20 boites de sardines, 10 kg de riz, 3 paquets de biscuits vitaminés et 24 bouteilles d’eau.

Le ministère des Affaires sociales, de son côté, a remis aux voyageurs du lait et une enveloppe de 18 000 francs congolais (20 dollars américains).

561 expulsés doivent embarquer à bord de ce navire. Leur voyage devrait durer en moyenne 3 semaines.

Après le départ de tous les expulsés, le site de Maluku pourra être fermé d’ici 10 à 12 jours, a annoncé le ministre.

Selon les derniers chiffres donnés en mai dernier par l’ambassadeur de l’Union européenne, Michel Dumont, 130 000 ressortissants de la République démocratique du Congo sont revenus du Congo-Brazzaville depuis le début de l’opération dénommée « Mbata ya mikolo » ou « Gifle des aînés » lancée en début du mois d’avril.


Actualité Matadi: les policiers de circulation appelés à s’abstenir de toute tracasserie

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Crée le 25-07-2014  - 12H05 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER.. BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE INTERNATIONALE .  Mis à jourvendredi le 25-07-2014 -12H10 PAR :RADIO OKAPI

 
 
 
Un roulage sur le boulevard du 30 juin à Kinshasa, 2006.

Le commandant de la Police de circulation routière (PCR) du Bas-Congo, le commissaire principal-adjoint Johnny-Désiré Kamanga, appelle les policiers de circulation routière (PCR) de son bataillon à ne pas tracasser les chauffeurs. Il a lancé son appel, jeudi 24 juillet, au cours de sa première parade, à Matadi, chef-lieu du Bas-Congo. Johnny-Désiré Kamanga appelle au respect strict des instructions en matière de la réglementation routière:

«Je demande aux policiers de circulation routière d’être disciplinés. Il faut qu’ils soient courtois et qu’ils changent des comportements vis-à-vis des chauffeurs. Les usagers de la route ne sont pas nos adversaires. Nous devons d’abord les éduquer avant de les arrêter. On ne doit pas confisquer les documents des automobilistes».

Le commandant du bataillon de la PCR au Bas-Congo a lancé une mise en garde contre les policiers qui tenteront d’aller à l’encontre de ses recommandations.

Pour Johnny-Désiré Kamanga, il est temps que les policiers de circulation routière s’habillent de manière propre pour ne pas ternir l’image de ce corps au Bas-Congo.

«Les policiers de circulation routière doivent être propres et respecter les principes de la circulation routière. Je vais exécuter à la lettre ces recommandations et je vais sanctionner tout contrevenant», a-t-il ajouté.

En septembre dernier, les policiers de cicrculation routière étaient accusés de rançonner des chauffeurs taxi de cette province. Ces policiers exigeaient 300 francs congolais (0.32 dollar américain) à chaque chauffeur toutes les fois qu’ils étaient contrôlés dans la journée.

Actualité Sud-Kivu: plus de 37 000 enfants vaccinés contre la rougeole à Kahele

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Crée le 25-07-2014  - 12H05 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER.. BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE INTERNATIONALE .  Mis à jourvendredi le 25-07-2014 -12H10 PAR :RADIO OKAPI

 
 
 
Enfant recevant un vaccin contre la rougeole lors d'une campagne de vaccination. Sudan, 2004. Photo MSF

L’ONG Médecins sans frontière (MSF/Espagne) a vacciné en trios semaines, plus de 37 000 enfants de zéro à 15 ans contre la rougeole dans l’axe montagneux du territoire de Kalehe (Sud-Kivu). Le coordonnateur de cette structure internationale, Aissani Abdoul, a indiqué que son personnel a rencontré plusieurs difficultés sur terrain pour réussir cette opération:

Nous sommes arrivés dans des villages extrêmement difficiles d’accès, où il fallait marcher à pieds, transporter les vaccins ainsi que les matériels”.

Il a salué le courage et la ténacité de ses équipes sur terrain.

Après la campagne de vaccination, Aissani Abdoul a annoncé les opérations de prise en charge gratuite en faveur des malades de cette partie du Sud-Kivu.

«Nous prévoyons des prises en charge gratuite et si les cas nous dépassent, on va organiser un système de référence pour les transférer à Minova ou à Goma», a-t-il expliqué.

Cette campagne de vaccination s’est déroulée notamment dans les centres de santé des localités Numbi, Change, Delumbishi et de Tusunguti, dans le groupement de Ziralo, en collaboration avec le bureau central de zone de santé.

L’ONG MSF avait vacciné, en 2013, plus d’un million cent mille enfants de 6 mois à 15 ans contre la rougeole et soigné près de 30 000 autres contre cette maladie sur l’ensemble du pays.

D’après MSF, la rougeole a causé, en 2013, la mort de plus de 4 500 personnes, principalement des enfants âgés de moins de 5 ans, dans le pays.

Actualité Caf-C1: Al Hilal séjourne à Kinshasa, Mazembe au Caire

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Crée le 25-07-2014  - 12H05 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER.. BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE INTERNATIONALE .  Mis à jourvendredi le 25-07-2014 -12H10 PAR :RADIO OKAPI

 
 
Début du match entre l’As.V Club (vert noire) de la RDC contre Zamālek (blanc) de l’Egypte à la première mi-temps le 18/05/2014 au stade Tata Raphael à Kinshasa, dans le cadre de la ligue des champions 2014 de la CAF. Radio Okapi/Ph. John Bompengo

L’équipe soudanaise d’Al Hilal Ondurman séjourne depuis jeudi 24 juillet à Kinshasa pour disputer le match de la 4e journée-phase de groupes (A) de la Ligue des champions de la Caf. Cette rencontre est fixée au dimanche 27 juillet au stade Tata Raphael face à l’As VClub. La délégation soudaine est composée d’une quarantaine de personnes dont 18 joueurs. A Hilal a procédé vendredi 25 juillet à la reconnaissance du terrai au lieu de 24 heures avant le match comme prévoit  la réglementation de la Fédération internationale de football association (Fifa).

La raison de cette reconnaissance hâtive est que le stade Tata Raphaël servira de cadre au match-aller de la deuxième journée des éliminatoires de la Can U-17 entre la RDC et le Nigeria, sous l’arbitrage du kenyan Davies Ogenche Omweno.

Au march aller, VClub avait tenu Al Hilal en échec à Karthoum (1-1).

L’autre représentant congolais à la Ligues des champions de la Caf, Mazembe séjourne au Caire (Egypte) pour disputer son match de la 4è journée, le dimanche 27 juillet, contre Zamalek.

Le club égyptien compte sur ses nouveaux joueurs, après le départ de son capitaine Abdel-Wahed Al-Sayed, du défenseur chevronné Mahmoud Fathallah et de l’attaquant Ahmad Gaafar.

Mazembe est en tête du groupe A avec 6 points, suivi de l’As VClub (4 points), ex-aequo avec Al Hilal (4 points) et Zamalek (3 points).

Actualité Mort du Libérien présentant des symptômes d'Ebola au Nigeria

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Crée le 25-07-2014  - 12H05 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER.. BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE INTERNATIONALE .  Mis à jourvendredi le 25-07-2014 -12H10 PAR :RADIO OKAPI

                                                                        

                                                         Mort du Libérien présentant des symptômes d'Ebola au Nigeria

Le patient, âgé de 40 ans, est arrivé de Monrovia via Lomé, au Togo, dans la capitale économique nigériane dimanche et il a été hospitalisé suite à de violents vomissements et diarrhées.

Il a été mis en quarantaine parce que les symptômes qu'il présentait sont associés au virus Ebola, qui a déjà tué plus de 600 personnes depuis le début de l'épidémie en Afrique de l'Ouest il y a quelques mois, dont 127 au Liberia.

"Le Libérien est mort", a déclaré un responsable du département de santé de l'Etat de Lagos qui a requis l'anonymat. "Nous continuons à enquêter sur les circonstances de sa mort".

S'il est confirmé, il s'agit du premier cas d'Ebola au Nigeria.

Des prélèvements de sang sont analysés au laboratoire de virologie de Lagos, dans un laboratoire à l'étranger et à l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) à Dakar.

Selon la conseillière spéciale pour la santé auprès du gouvernement de l'Etat de Lagos, "la priorité, dans l'immédiat, est de ne pas semer la panique".

Un dispositif d'urgence a été déployé à Lagos, a-t-elle ajouté, et on tente de retrouver "ceux qui ont pu être en contact avec cet homme afin de prévenir les risques d'infection".

Lagos compte quelque 20 millions d'habitants et peu d'infrastructures médicales. Selon les experts, une épidémie d'Ebola dans une telle mégalopole serait bien plus difficile à maîtriser que dans les milieux ruraux.

Selon de nouvelles données de l'OMS vendredi, le bilan de l'épidémie de fièvre hémorragique en grande partie due au virus Ebola continue de s'aggraver avec près de 1.100 cas et 660 morts, dont 28 décès entre les 18 et 20 juillet, en Guinée, au Liberia et au Sierra Leone.

Ce virus de la famille des filoviridae (filovirus) se transmet par contact direct avec le sang, les liquides biologiques ou les tissus de personnes ou d'animaux infectés.

Il n'y a pas de vaccin homologué contre la fièvre Ebola, qui se manifeste par des hémorragies, des vomissements et des diarrhées.

Actualité Revue de la presse rd-congolaise

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Crée le 25-07-2014  - 12H05 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER.. BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE INTERNATIONALE .  Mis à jourvendredi le 25-07-2014 -12H10 PAR :ARTV NEWS

 

                                                       Revue de la presse rd-congolaise

Agence congolaise de presse

Le ministre des Ressources hydrauliques et électricité, Bruno Kapandji Kalala, s'est dit satisfait de l'engagement pris par les candidats développeurs à construire, dans le délai, la centrale hydroélectrique d'Inga 3 de 4.800 mégawatts, par la mobilisation des fonds évalués à 12 milliards USD, à la clôture, jeudi, de l' atelier d'échange d'informations sur le projet d'Inga tenu du 22 au 24 juillet à Kinshasa. Les résultats de l'atelier seront transmis aux bureaux d'études pour adapter le calendrier par rapport aux échéances de 2015 et 2020 qui prévoient, respectivement, la pose de la première pierre et la production du premier mégawatt. M. Bruno Kapandji a rappelé la volonté du gouvernement de réaliser le projet de développement intégral du site d'Inga (40.000 MW) dans le but de fournir aux populations et aux industriels une énergie fiable. C'est aussi un projet de base, selon le ministre, pour créer l'unité africaine par des interconnexions régionales à travers des autoroutes de l'énergie au départ de la RDC.

La Prospérité

Des discussions qui, dès le départ, ont failli tourner au vinaigre, se sont, finalement, soldées par un franc succès, à Brazzaville. Les parties prenantes dont les éléments de la Seleka qui présentaient, comme il fallait s'y attendre, des exigences extrémistes, ont plié l'échine devant les vertus de l'arbre à palabre ainsi planté, pour ramener de l'ordre dans la boutique. Depuis le départ de Michel Djotodja et l'arrivée de Mme Cathérine Samba Sanza, la situation est restée très corsée, à Bangui. Avec des effets pervers sur des villes et territoires voisins, dans la partie Nord-Est de la RDC. Des nombreux réfugiés, venus sur la pointe des pieds en RDC à la suite des affres dues aux affrontements à l'arme lourde et légère, n'attendraient pas moins bien qu'un retour au calme dans leur pays, pour s'y retrouver. La signature, ce jeudi 24 juillet 2014, à Brazzaville, au Congo voisin, d'un accord de cessation des hostilités et violences est un pas de plus franchi dans la normalisation du climat politique à Bangui. Des efforts supplémentaires sont, certes, à conjuguer, pour sceller le pacte de réconciliation entre frères et soeurs centrafricains. Voilà pourquoi, Denis Sassou N'guesso, Babacar Gaye, Abdoulaye Bathily et Soumeylou Boubèye Maiga, sous la médiation de laquelle ces laborieuses négociations se sont déroulées, devront encore agir, pour la suite des événements, avec la tenue, déjà annoncée, d'un forum de réconciliation nationale.

L'Avenir

Dans une déclaration politique rendue publique hier, la Majorité présidentielle rappelle à certains compatriotes, notamment à ceux de l'Opposition qui manipulent les insurgés de tous bords, que plus jamais dans notre pays, un individu ou un groupe d'individus ne devrait exercer le pouvoir par les armes. Pour cette famille politique dont le Chef de l'Etat est l'Autorité morale, l'infiltration du camp Tshatshi par les inciviques sans foi ni loi, instrumentalisés par quelques opérateurs politiques, est d'autant plus incompréhensible que personne ne peut tolérer que les mêmes faits infractionnels soient perpétrés contre la République, alors que la loi sur l'amnistie est d'application depuis sa promulgation.

 

RDC : LE DRAME DE LA KABILIE AVEC SON PANTIN DU PRÉSIDENT " FAITS ET CHIFFRES DE L'EST DE LA RDC "

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Crée le 25-07-2014  - 19H05 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER.. BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE INTERNATIONALE .  Mis à jourvendredi le 25-07-2014 -19H10 PAR :ARTV NEWS


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Entre janvier et fin mai 2014 en République démocratique du Congo :

Face aux constantes allégations de violations du droit international humanitaire, le CICR a rappelé aux porteurs d’armes la protection dont jouissent les civils en vertu de cette branche du droit, et ce, par le biais d’une cinquantaine de démarches (écrites et orales) portant sur les violations qui lui avaient été signalées.

Au total, 240 enfants non accompagnés, dont 84 avaient été enrôlés à un moment donné par des forces ou des groupes armés, ont été réunis avec leur famille en République démocratique du Congo ou dans des pays voisins.

En tout, 640 civils et porteurs d’armes blessés par arme ont bénéficié d’une prise en charge médicale et/ou chirurgicale, grâce au soutien apporté par le CICR à 7 hôpitaux et à 14 autres centres de soins.

Près de 84 000 personnes ont pu recevoir des soins de santé primaires, tandis que 1 860 victimes de violences sexuelles et/ou ayant subi des traumatismes dans le cadre des conflits au Kivu ou des violentes attaques dans la Province orientale ont reçu un soutien psychosocial.

Au total, 104 000 personnes déplacées ou ayant regagné leur foyer ont reçu des articles ménagers de première nécessité (directement ou via un système de bons), tandis que 14 500 personnes ont bénéficié de distributions de vivres dans des régions touchées par les conflits.

Plus de 17 000 détenus ont été visités par le CICR et ont reçu une assistance, dont des soins médicaux, un soutien nutritionnel et des articles d’hygiène ; certains lieux de détention ont en outre bénéficié de travaux de rénovation, ce qui a contribué à améliorer les conditions de vie des détenus.

Ce n'est que les faits, pas de polémique...



Roger BONGOS

Tadla Azilal L’AREF organise la cérémonie d’excellence.

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Crée le 26-07-2014  - 00H05 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER.. BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE INTERNATIONALE .  Mis à joursamedi le 26-07-2014 -00H50 PAR :ARTV NEWS

 

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En présence du Wali de la région Tadla Azilal et Gouverneur de la province de Beni Mellal, Mohamed Fanid, du Directeur de L’AREF de Tadla Azilal,… l’AREF a organisé la cérémonie d’excellence, Mardi 22 juillet, au siège de l’annexe de l’AREF, à Beni Mellal.

 

« L’AREF de Tadla Azilal a organisé la cérémonie d’excellence pour rendre un vibrant hommage aux excellents élèves. C’est une occasion de magnifier les efforts louables déployés par le corps enseignant et administratif de la région qui a toujours l’habitude de réaliser les résultats escomptés. C’est une occasion aussi de remercier vivement tous les partenaires de l’AREF, les élus, les autorités locales, le Conseil régional, le Conseil provincial…pour leur soutien et leur accompagnement sans oublier le rôle incontournable de l’INDH qui a joué un rôle incontestable dans le soutien social des apprenants sur le plan du transport scolaire, des cantines, des internats… Qui plus est, c’est grâce à un grand nombre de partenariats qu’on a réussi à lutter contre l’abandon et le décrochage scolaire…. » a déclaré Abdelmoumen Talib, Directeur de l’AREF de Tadla Azilal, lors de l’organisation de la cérémonie d’excellence au siège de l’annexe de l’AREF , le 22/7/2014, à Beni Mellal.

 

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Chaque année, l’AREF de Tadla Azilal a l’habitude d’organiser ce genre de cérémonie dans le dessein d’inciter les autres élèves à conjuguer plus d’efforts pour aller de l’avant. « Il est de notre devoir de rendre hommage à ces élèves qui ont excellé dans leurs études. C’est une occasion de remercier M le Wali de Tadla Azilal et tous les acteurs concernés par cette consécration réalisée au niveau des concours nationaux, des examens… » Et d’ajouter « Nous sommes arrivés à réduite le taux de l’abandon scolaire et à réaliser d’énormes progrès au niveau du nombre des élèves admis. Ainsi, le taux de réussite au Bac, au niveau de Tadla Azilal, 2013/2014, a été de 61,22% au moment où le taux réalisé au niveau national a été de 53%. En outre, les examens du Bac, pendant les deux sessions, sont passés dans des conditions favorables. Et l’AREF a organisé un grand nombre de rencontres, avec différents acteurs, de partenaires sociaux, économiques… » a souligné M . Talib.

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SAID FRIX

BENI MELLAL

MAROC


Actualité Kisangani : la journée ville morte pour protester contre l’arrivée des FDLR n’a pas été suivie

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Crée le 26-07-2014  - 00H05 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER.. BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE INTERNATIONALE .  Mis à joursamedi le 26-07-2014 -11H20 PAR :RADIO OKAPI

 


Tolekistes (toleka) à Kisangani, 2002.

L’opération «Kisangani ville morte» prévue vendredi 25 juillet dans cette ville n’a pas été suivi. La Société civile avait initié ce mouvement pour protester contre l’annonce de l’hébergement provisoire des rebelles rwandais des FDLR dans la capitale de la Province Orientale. Pour le maire de la ville, l’échec de cette opération signifie que la population boyomaise est derrière son gouvernement.

 Les habitants de Kisangani n’ont pas suivi le mot d’ordre de la société civile et toutes les activités se sont déroulées comme d’habitude.

La circulation d’hommes, comme de véhicules, est restée la même dans les rues boyomaises. Les magasins et boutiques ont ouvert leurs portes et le même engouement que d’habitude a été observé au marché central de Kisangani.

Cependant, en prévision d’une éventuelle manifestation, des éléments de la police nationale congolaise avaient été déployés dans plusieurs endroits du centre ville, jugés stratégiques.

Les organisateurs de cette opération ont affirmé reconnaître son échec. Mercredi dernier, ils avaient publié un communiqué de presse pour annoncer l’opération «Kisangani, ville morte» ce vendredi.

Pour les vingt trois signataires de ce document, cet appel était une invitation à la population à dire non au cantonnement des éléments de FDLR à Kisangani.

ls estiment que Kisangani a déjà suffisamment subi les affres de la guerre pour être encore exposée à la présence de ces forces négatives.

Le porte-parole du gouvernement, Lambert Mende Omalanga, est arrivé vendredi à Kisangani. Il devrait échanger avec les délégations des organisations de la société civile de la Province Orientale, de l’Equateur, du Nord et du Sud-Kivu, au sujet du redéploiement de ces ex combattants.

GEOPOLITIQUE / LA RUSSIE ISOLEE SUR LA SCENE INTERNATIONALE ?

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Crée le 26-07-2014  - 11H05 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER.. BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE INTERNATIONALE .  Mis à joursamedi le 26-07-2014 -11H20 PAR : ARTV NEWS

 

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Mikhail Gamandiy-Egorov pour EODE Think Tank /

Avec La Voix de la Russie - EODE Press Office / 2014 07 25 /

www.eode.org

https://www.facebook.com/EODE.Think.Tank

 

Difficile à dire si ceux qui avaient parlé encore tout récemment d’isoler la Russie sur la scène internationale se sentent ridicules ou non (après tout ils sont bien habitués à l’être ces derniers temps), mais vraisemblablement ils le devraient…

 

LA TOURNÉE DE VLADIMIR POUTINE EN AMÉRIQUE LATINE

 

La tournée de Vladimir Poutine en Amérique latine est un succès. Un grand succès. Et une nouvelle grande victoire géopolitique. De la même manière que celle qui a suivi la visite du président russe en Chine, en mai dernier. Cette dernière avait alors définitivement confirmé l’alliance entre la Russie et la Chine, en dépit des « efforts » occidentaux à saper cette alliance. Cette visite a pour rappel permis non seulement d’obtenir une nouvelle grande victoire géopolitique à la Russie mais également et sur le plan économique, a confirmé la diversification majeure de ses relations dans le domaine économique, notamment en ce qui concerne les livraisons de gaz, et qui a résulté en la signature d’un contrat gazier historique, prévoyant l’approvisionnement en gaz russe de l’Empire du Milieu pour les 30 prochaines années.

 

LA RUSSIE ET LA CHINE : UNE VISION COMMUNE SUR L’AVENIR DU MONDE

 

La meilleure réponse qui soit à l’Union européenne qui d’une manière infatigable (et comme toujours sous pression étasunienne) parlait de la nécessité d’une plus grande « indépendance énergétique » de l’UE vis-à-vis de la Russie (sans avoir véritablement de plan B). La Russie, elle, a préféré prendre les devants et l’initiative, et en signant ledit accord historique avec la Chine, a diversifié, et de quelle manière, son portefeuille clientèle. Après tout, les affaires sont les affaires. Mais en général, et étant quelqu’un pour qui l’entreprenariat n’est pas étranger, je peux dire qu’il est toujours préférable de faire des affaires avec quelqu’un dont on partage une vision commune et des valeurs proches. Justement, la Russie et la Chine (sans oublier les autres pays des BRICS) partagent largement une vision commune sur l’avenir du monde et les relations internationales.

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LA RUSSIE DE RETOUR A CUBA

 

Pour revenir à l’Amérique latine, cette visite du leader russe fait déjà grand bruit dans le monde entier, l’Occident ne faisant pas exception. Avant d’arriver à Cuba, première étape de cette tournée latino-américaine, Vladimir Poutine a signé le décret annulant 90% de la dette de Cuba (datant de l’époque soviétique) d’un montant total de 35 milliards de dollars. Les 10% restant vont être remboursés par Cuba sur une période de dix ans, pour ensuite être réinvestis par la Russie à Cuba, dans bon nombre de projets communs. L’un de ces projets concerne la coopération dans le domaine pétrolier, en l’occurrence la recherche et l’exploitation pétrolière dans le golfe du Mexique. L’autre aspect de la coopération bilatérale concernera la création d’une base de ravitaillement à Cuba pour les navires russes. Comme l’a souligné le président russe à l’agence de presse internationale cubaine Prensa Latina,la coopération entre la Russie et Cuba revêt un caractère stratégique et est orientée sur le long terme. Vladimir Poutine a par ailleurs rencontré le Comandante et leader charismatique de la révolution cubaine, Fidel Castro, avec lequel il a eu un long entretien privé, qui a porté sur les questions internationales et l’état de l’économie mondiale.

 

ARGENTINE ET BRESIL

 

La prochaine escale devait être l’Argentine, autre partenaire stratégique de la Russie dans la région, mais le président russe a décidé de modifier légèrement le plan de sa tournée, afin de passer d’abord par le Nicaragua, pays ami et allié de longue date de la Russie. Le président nicaraguayen Daniel Ortega a personnellement rencontré Vladimir Poutine à l’aéroport. Les discussions ont porté sur grand nombre de projets communs, dont la livraison de matériels agricoles russes, le déploiement des stations au sol du système russe de positionnement par satellites GLONASS sur le territoire du Nicaragua, la coopération dans le domaine de la pharmacologie, ainsi que la création d’une base d’approvisionnement de navires russes.

Après donc le Nicaragua, le président russe se rendra comme prévu en Argentine où il rencontrera la présidente du pays Cristina Fernandez de Kirchner. Les relations russo-argentines actuelles sur le plan politique, économique, commercial et culturel battent leur plein et ne cessent d’aller de l’avant.

 

Après l’Argentine, Poutine se rendra au Brésil, leader de la région, également partenaire stratégique de la Russie et membre des BRICS. Au Brésil, plusieurs rencontres sont prévues, les deux pays ayant d’importants projets économiques communs et une vision très proche sur l’actualité internationale. Par ailleurs, le président russe assistera à la finale de la Coupe du monde de football au Stade Maracana, à Rio de Janeiro. Le Brésil passera alors le relais à la Russie, qui accueillera la prochaine Coupe du monde de 2018.

 

LA « RUSSIE ISOLEE » : UN FANTASME OCCIDENTAL

 

Pour finir, revenons à ce que nous avons dit au début. Certains n’ont toujours pas froid aux yeux de se ridiculiser constamment. C’est leur droit. Mais franchement et après cette tournée latino-américaine du leader russe, on a vraiment de quoi à se poser des questions sur l’état mental de certains leaders occidentaux et plus globalement de l’élite politique occidentale, ainsi que de leurs marionnettes.

 

Quant aux amis de la Russie, ils ne manquent pas : Cuba, le Nicaragua, l’Argentine, le Brésil, sans oublier bien sûr les autres alliés de la Russie que sont le Venezuela, la Bolivie, l’Equateur ou encore l’Uruguay, et le tout uniquement dans le cadre d’une région, en l’occurrence l’Amérique latine. Cela sans parler des alliés et partenaires stratégiques de la Russie au niveau de l’Union eurasienne avec les pays issus de l’Empire russe et l’ex-URSS. Sans parler des poids lourds que sont la Chine et l’Inde, ainsi que les autres pays des BRICS. Sans parler des amis de la Russie en Afrique et dans le monde arabe. Et quelqu’un parle encore « d’isoler » la Russie ?

 

A ce rythme, ceux qui parlent constamment et d’une manière hystérique, d’isoler tout le monde (tout en restant une minorité) finiront très rapidement eux-mêmes isolés. Et c’est leur choix. La dure réalité, pour cette même minorité, du nouveau monde. Un nouveau monde qu’ils finiront par accepter, qu’ils le veuillent ou non…

 

Mikhail GAMANDIY-EGOROV

Actualité La RDC appelée à sauvegarder ses frontières héritées de la colonisation

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Crée le 27-07-2014  - 12H05 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER.. BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE INTERNATIONALE .  Mis à jourdimanche le 27-07-2014 -12H20 PAR :RADIO OKAPI

 
 
 
Soldats rwandais et congolais suivent une escarmouche à la frontière des deux pays où au moins un militaires des FARDC a été tué le 5 novembre 2012. © MONUSCO/Sylvain Liechti

Face aux éventuelles tentatives révisionnistes des frontières héritées des colonisations en Afrique, les gouvernants congolais sont appelés à ne pas tomber dans le piège des puissances multinationales. Cet appel a été lancé par Media 7, la Conscience nationale congolaise et l’Institut congolais de recherche et de développement scientifique au cours d’une conférence-débat que ces structures ont organisée samedi 26 juillet à Kinshasa, sous le thème: «La question des frontières africaines, cas de la RDC». 

Il existe une étude initiée par l’Union africaine et qui risque de toucher à l’intangibilité des frontières africaines, a révélé le responsable de Media 7, Freddy Mulumba. Il pense qu’il est temps de conscientiser les dirigeants congolais face à cette problématique.

Il s’agit de «faire pression sur nos dirigeants. Ils peuvent céder sur d’ [autres matières]. Mais sur les frontières, qu’ils sachent que les Congolaise doivent être au courant de ce qui se passe. Ils ne peuvent pas engager le pays sans que les Congolais soient au courant», a-t-il affirmé.

Le colonel Nestor Lubiku, directeur-chef de service à la commission permanente des frontières de la RDC a présenté l’état des lieux des frontières congolaises, les enjeux géostratégiques des ressources naturelles ainsi que leur gestion.

«Les puissances coloniales ont fait leur travail. Mais en nous léguant les frontières, elles nous ont légué certains problèmes, que nous devons résoudre nous-mêmes Africains [...] En négociant et non en nous faisant la guerre», a-t-il proposé.

Les frontières en RDC qui sont naturelles sont plus importantes que celles artificielles ou conventionnées, fruit d’une entente entre voisins plus particulièrement au Nord dans le Sud du Soudan et au Sud entre la Zambie de Kaunda et le Zaïre de Mobutu.

Actualité Equateur : l’Unadef condamne l’attaque du camp Tshatshi

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Crée le 27-07-2014  - 12H05 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER.. BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE INTERNATIONALE .  Mis à jourdimanche le 27-07-2014 -12H20 PAR :RADIO OKAPI

 
 
 
Des éléments de la police militaire en patrouille non loin de la RTNC, la télévision publique attaquée le 30/12/2013 matin des jeunes gens armés. Radio Okapi/Ph. John Bompengo

L’Union nationale des démocrates fédéralistes (Unadef) de Muando Simba a condamné l’attaque du camp Tshatshi qui a eu lieu mardi dernier. Le présdent de ce parti Muando Simba s’est ainsi exprimé samedi 26 juillet à Kinshasa au cours d’une rencontre avec les jeunes de son part. Il a aussi félicité la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) pour l’organisation de la législative partielle à Befale en Equateur. 

« Nous condamnons fermement cet acte. Au moment om se déploie pas mal de programmes de développement, on a besoin de sécurité. C’est pourquoi l’Unadef considère qu’il faut lutter par tous les moyens contre cette insécurité surtout que cela provient des mains noires qui ne veulent pas d’élections », a affirmé Muando Simba.

Le camp colonel Tshatshi a été attaqué mardi 22 juillet par un groupe d’hommes armés de machettes et de revolvers, d’après des sources officielles. Ils ont été maîtrisés par les forces alors qu’ils tentaient de faire incursion dans ce camp militaire, siège du ministère congolais de la Défense.

« L’Unadef considère qu’il faut lutter contre cette insécurité. Il faut la stopper », a déclaré Muando Simba.

Évoquant la question du calendrier des élections prochaines publié par la Ceni, Muando Simba a appelé la population à faire confiance cette institution citoyenne.

« La Ceni est une institution indépendante. C’est elle qui apprécie quel type de calendrier il faut présenter. Actuellement, nous avons un calendrier séquentiel que la Ceni nous a présenté », a ajouté Muando Simba.

Le calendrier de la Ceni annonçant des élections entre 2014 et 2016 ne crée pas l’unanimité. Des partis de l’opposition et la communauté internationale le critiquent et exigent « un calendrier complet ».

 

Actualité La 3è édition du Festival des solidarités fixée du 30 octobre au 2 novembre à Kinshasa

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Les femmes du ballet Pende exhibant un pas de danse au festival socioculturel de la Tshangu

La 3ème édition du Festival des solidarités est fixée du 30 octobre au 2 novembre à Kinshasa. Placé sous le thème: «Le renouveau pour un nouveau Congo», cette édition servira de croisement entre le Festival de Bukavu (Fesbu), celui de Lubumbashi et de Kinshasa pour renforcer la solidarité entre les artistes de ces trois provinces.

Ce festival offre l’opportunité au public des quartiers populaires de la capitale congolaise d’accéder facilement aux spectacles culturels (musiques, danses et théâtre).

Le lancement officiel de ce festival avait eu lieu dimanche 13 juillet à l’Espace Tam Tam, au quartier Yolo Sud, commune de Kalamu.

Actualité -12H20 PAR :ARTV NEWS Mali: Rien que "des petits morceaux" et des débris sur la scène du crash

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Crée le 27-07-2014  - 12H05 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER.. BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE INTERNATIONALE .  Mis à jourdimanche le 27-07-2014 -12H20 PAR :ARTV NEWS

                          Mali: Rien que "des petits morceaux" et des débris sur la scène du crash     

Selon lui, il n'y reste "pas grand-chose" de l'appareil".

"J'avais deux de mes frères, ma belle-soeur et mes petits neveux dans l'avion", ainsi qu'"une amie qui les accompagnait", explique M. Somda dans un entretien avec des journalistes de l'AFP et de Radio France Internationale (RFI) à Ouagadougou, peu après son retour du Mali.

Sur place, "nous avons (vu) des débris d'avion. Des petits morceaux, pas grand-chose pour reconnaître un avion", affirme ce quadragénaire qui, en racontant son voyage, n'a pas pu contenir ses larmes.

Pourtant, précise-t-il, "je ressens un certain soulagement" à l'issue de la visite car "maintenant, je sais où sont mes frères. C'est très important pour moi de savoir que cet endroit est leur tombe".

Le vol AH5017 d'Air Algérie est parti de la capitale burkinabè dans la nuit de mercredi à jeudi mais n'a jamais atteint sa destination, Alger. Il s'est écrasé 50 minutes après le décollage pour une raison encore inconnue samedi.

Il n'y a eu aucun survivant parmi les 118 personnes à bord, dont six membres d'équipage. Parmi les 112 passagers, figuraient 54 Français, 23 Burkinabè, huit Libanais, six Algériens et des ressortissants de plusieurs autres pays.

Les causes du crash n'ont pas encore été déterminées. Plusieurs spécialistes ont évoqué les mauvaises conditions météorologiques.

- Le choc -

Samedi matin, Eugène Somda a été transporté sur le site de l'accident par le gouvernement burkinabè. Un voyage effectué en hélicoptère avec le Libanais Méroué Hamed, un responsable du consulat de France à Ouagadougou ainsi que quelques journalistes, dont un photographe de l'AFP.

A l'arrivée sur les lieux, après un peu plus d'une heure de vol, ce fut le choc pour les proches des victimes. Eugène Somda, portant un sac au dos, s'est agenouillé et a prié. Méroué Hamed regardait en silence, l'air grave.

Vu du ciel, le site est une zone désolée et sèche parsemée d'arbustes dont certains ont les feuilles jaunies. 

On peut y voir des traces noires, comme après un incendie, et un peu plus loin des véhicules militaires forment un cercle autour d'une zone. Ce sont les militaires français, maliens et de la mission de l'ONU au Mali, la Minusma, chargés de "sécuriser" le site, explique-t-on côté burkinabè.

Le sol est jonché de débris, sur plusieurs dizaines de mètres. Certains des arbustes sont devenus des branchages calcinés. Dans l'air, flotte une odeur de carburant.

Tout cela fait une vision que "beaucoup ne pourront pas supporter, c'est assez difficile, estime Eugène Somda, indiquant que de nombreux proches de victimes souhaitent se rendre sur le site du crash. 

"On veut bien aller (sur place pour) savoir, mais est-ce qu'on est prêt à supporter ce qu'on verra?", demande-t-il, en appelant à soutenir les familles des disparus.

De retour à Ouagadougou, Méroué Hamed a aussi été sollicité pour une déclaration, il s'est dit incapable de s'exprimer.

A Paris, à l'issue d'une rencontre avec des proches des victimes françaises, le président français François Hollande a assuré que "les familles qui le voudront" seront accompagnées, "le moment venu", sur le site du crash.

Actualité La RDC, pire élève en matière de sécurité aérienne

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Crée le 27-07-2014  - 12H05 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER.. BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE INTERNATIONALE .  Mis à jourdimanche le 27-07-2014 -12H20 PAR :RFI

 

                                                           

Alors que l’accident du vol Air Algérie rouvre le débat sur le manque de capacité des Etats africains à sécuriser l’espace aérien sur le continent, en RDC, le pire élève en la matière, des experts se sont réunis pendant trois jours :

objectif, faire l’état des besoins pour améliorer la sécurité aérienne dans ce pays où les crash d’avion sont monnaie courante.

Sur les 54 aéroports que possède l’immense pays (et dont une cinquantaine est effectivement en fonction) qu’est la République démocratique du Congo, pas un seul n’est certifié conforme par l’Organisation de l’aviation civile internationale. Idem avec ses compagnies aériennes qui figurent toutes sur la liste noire de l’Union européenne. Près de 20 ans d’absence de contrôles et d’investissement dans le secteur expliquent le triste état de l’aviation congolaise. Les aéroports sont vétustes et sous-équipés. Exemple : seule une dizaine de pistes d’atterrissage ont un système d’approche via satellite. Pour les autres, l’approche se fait uniquement à la vue.

L’Etat désormais prend des mesures. En mars, par exemple, 14 compagnies ont été clouées au sol car jugées trop dangereuses. Mais pour remonter la pente, les besoins sont immenses, comme l’explique Noro Rabefaniraka, experte en transport à la Banque mondiale : « Si je prends l’aéroport de Goma, l’investissement nécessaire utile maintenant est de l’ordre de 35 millions de dollars, Goma étant le 3e ou le 4e aéroport du pays. Donc je ne parle même pas de celui de Kinshasa qui est plus grand encore et dont les besoins sont encore plus grands ».

En 2010, la Banque mondiale a attribué 255 millions de dollars à la RDC pour rénover le secteur du transport. Mais là-dessus, seuls 15 millions vont à l’aérien, le reste devant servir à rénover les routes et le train, en mauvais état également. La Banque a promis plus de ressources mais d’autres bailleurs doivent suivre. L’objectif est de répondre à 60% des critères de sécurité aérienne d’ici fin 2017.


( VIDEO) RCK et Alliés :qui pourra contester leur occupation de terrain dans les actions patriotiques pour que le combat ne meurt jamais dans la diaspora...?

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Crée le 27-07-2014  - 16H05 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER.. BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE INTERNATIONALE .  Mis à jourdimanche le 27-07-2014 -16H20 PAR :ARTV NEWS

 

RCK-LE-19-JUILLET-PAS-DE-CONCERT.jpg

RCK et autres collectifs , le 19 Juillet 2014 en action dans la région parisienne en interdisant une soirée- concert ( Un concert déguisé en soirée dansante )

 

Le général de Gaulle maniait bien l'art de la formule. Certaines de ses phrases ont marqué les esprits et l'histoire de France. Retour sur la réplique culte de l'ancien chef d'Etat mort il y a quarante-trois ans.

 

" Quoi qu'il arrive, la flamme de la résistance française ne doit pas s'éteindre et ne s'éteindra pas. " C'est par cette fameuse phrase que le général de Gaulle a conclu l'appel à la résistance du 18 juin 1940 émis de Londres.

 

André Malraux disait une phrase qui reflète mieux ce que les RCK et les collectifs qui marchent avec eux, main dans la main font. Il disait, je cite : « Le courage est une chose qui s'organise, qui vit et qui meurt, qu'il faut entretenir comme les fusils. »

 

Le RCK dit en substance « tant que le pays ne sera jamais libéré, pas de concert, la résistance jusqu'à la mort ». Ils prônent également, « le soulèvement populaire ». Qu'aujourd'hui, celui qu'on appelle Joseph KABILA redoute cet état esprit inoculé comme un sérum dans l'esprit ( veines) de Congolais par RCK. De peur de terminer sa vie comme Samuel Doe, il fomente des simulacres de coups d'Etat à la lumière de ce qu'il vient de livrer comme spectacle macabre au vu et au su de tout le monde au Camp militaire Tshatshi.

victimes4.jpg

les sacrifiés du 30 décembre 2013 à Kinshasa- RDC


La liste s'allonge avec les sacrifiés du 30 décembre 2013, bis repetita, nous avons à présent les sacrifiés du 22 juillet 2014 du camp militaire Tshatshi. Sont tous mis, sur le compte de la peur de quitter le pouvoir du criminel patenté de Kingakati, qui d'ailleurs, multiplie ses intimidations maladroitement organisées avant son départ irrémédiable du 19 décembre 2016. L'alternative à son entêtement de s'éterniser au pouvoir sera, « le soulèvement populaire » que prône le RCK et ses amis. Un discours repris comme un refrain par tout le monde aujourd'hui.

 

CAMP-MILITAIRE-TSHATSHI-1.jpgles sacrifiés du 22 juillet 2014 à Kinshasa- RDC

 

Le discours d'un leader incontesté dans la diaspora combattante qui dans une cabale cousue de fil blanc a failli emporté, un des vaillants combattants du RCK...Victime de ceux qui veulent, la mort de ce combat !

 

Ce qui s'est passé le 30 décembre 2013 et aujourd'hui, le 22 juillet 2014 fait croire à la complicité passive de la communauté internationale, donneur de leçons.

CAMP-MILITAIRE-TSHATSHI-2.jpgles sacrifiés du 22 juillet 2014 à Kinshasa- RDC

 

Mais que fait-elle, cette communauté internationale, qui dans sa quête du pseudo démocratie en Afrique, nous bassine avec ses principes inféodés truffés des considérations mercantiles qui serviraient que leur cause dans une Europe en perte de vitesse. Non, les principes qu'elle préconise, à l'occurrence, les droits de l'homme , a des certaines variantes à leur égard.

 

Les morts des uns, ne sont pas du tout égaux aux morts des autres. Pas du tout égaux dans la vie, que dans la mort ! Bottant en touche de fait, la déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789 qui d'ailleurs symbolise le combat des résistants combattants Kongolais, RCK en sigle.

 

RCK et autres collectifs , le 19 Juillet 2014 en action dans la région parisienne en interdisant une soirée concert ( Un concert déguisé en soirée dansante )


En reprenant la phrase mythique d'André Malraux « Le courage est une chose qui s'organise, qui vit et qui meurt, qu'il faut entretenir comme les fusils. » Le RCK et ses alliés qui bossent en synergie ensemble, font de ce combat pour la libération de la RDC, un combat digne et louable à l'instar de ce qui se passe, là où les droits de l'homme et la liberté sont bafoués.

 

Le soir du 19 juillet 2014, ces collectifs très actifs ont fait montre d'un patriotisme sans faille, ni violence en interdisant un concert, déguisé en soirée dansante. Mais les combattants veillent au grain !

 

Loin du combat spectacle qui « starise » certains moutons noirs du combat, qui dans leur médiocrité sapent ce combat avec une culture empruntée aux mobutistes, la génération Mobutu. Que leur maître, un rescapé fuyant ses responsabilités, crimes graves en RDC contre l'humanité, rompu dans le mensonge, dans la manipulation et la bêtise, de surcroit avec ses 1, 2, 3, 4, ou 5 èm colonne n'ont jamais tiré un coup de feu, se targue à donner de leçons aux uns et aux autres en divisant pour mieux régner, les combattants, en distillant son venin de la division avec des méthodes de barbouze, afin de permettre à ses amis qui au demeurant sont proches du pouvoir de porter celui qui s'appelle Joseph KABILA au delà de 2016...

 

Travaille-t-il pour la résistance ou pour la Kabilie ? La question reste posée au regard de son inimitié observée, ci et là contre ceux qui se battent réellement pour le renouveau de la RDC. Tout en ayant dans sa petite conscience que si la RDC venait de se libérer, rendra des comptes au souverain primaire qui attend toujours le début de la vérité sur le massacre du 16 février 1992. Le massacre dit « des chrétiens ». Qui en est l'auteur ? Il faudra que la justice statue, qu'elle soit dite. Non dans une salle en 2005 à Montreuil où cet intrus a soit-disant demandé pardon...

 

Dans la grande spiritualité, il est dit pour sa gouverne; pour que le pardon ne soit accepté, il faut trois principes expiatoires simples à savoir :

1. Reconnaître ses fautes, ses crimes, ses erreurs ; ce qu'il a essayé de faire cet ennemi du combat ;

 

2. Prendre l'engagement de n'est plus recommencer ; ce qu'il fait sciemment en distillant ses venins de la division dans le combat. Où il a également renvoyé plusieurs de ses affidés à l'échafaud. Ses agents, sacrifiés et livrés via le Congo-Brazzaville à ses ennemis d'hier. Certaines allégations émanant des services de renseignement français, l'accuse de fricoter avec l'intelligence de la Kabilie. Allez y comprendre quelque chose ;

 

3. Pour terminer, la réparation judiciaire ou la réparation tout court !

A-t-il fait le nécessaire pour apporter la réparation aux vies fauchées quand il fut ministre et chef de renseignement ? J.P. BEMBA, n'a-t-il pas été emprisonné pour des crimes qu'il n'a pas directement commis ? Un ancien ministre français n'a-t-il pas été condamné pour la question du sang contaminé ?

 

« L'affaire du sang contaminé est un scandale ayant touché plusieurs pays dans les années 1980 et 1990 relativement à des infections ayant eu lieu par des transfusions sanguines. En raison de mesures de sécurité inexistantes ou inefficaces, plusieurs personnes ont été contaminées par le virus du Sida ou de l'hépatite C à la suite d'une transfusion sanguine. »

 

Loin s'en faut, tant que ces principes ne seront pas acquis ou respectés, cet homme qui se réclame d'être le père de la résistance, ne doit pas « l'ouvrir » dans la diaspora. Il n'a aucun droit de cité partout où les congolais se réunissent et se battent à la lumière de ses casseroles très bruyantes.

 

Dieu merci, nous avons le RCK et les collectifs qui travaillent ensemble, font de la sorte que ce combat ne reste pas sur le Net où les invectives et ragots fusent entre groupes et groupuscules qui se bouffent les nez pour des broutilles orchestrés par ces ennemis du combat désignés.

 

Les anciens amis de traité de Nice, nous montrent un spectacle à la hauteur de leur maturité politique où le tribalisme distillé par ces groupes font de la diaspora congolaise, une diaspora minée par des considérations ethno-tribales. Qui en est la cause ? Suivez mon regard !

 

RCK est une exception qui confirme la regle qu'il y a encore des gens qui se battent réellement pour le Kongo avec un « K » de Kimpa Vita, Simon Kimbangu et Lumumba.

« Certaines personnes font des promesses pour le plaisir de les briser.»

citation de William Hazlitt...

 

Roger BONGOS

Sarkozy au Congo : les dessous d'une conférence embarrassante...

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Crée le 27-07-2014  - 16H05 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER.. BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE INTERNATIONALE .  Mis à jourdimanche le 27-07-2014 -16H20 PAR :ARTV NEWS   - Par Fabrice Arfi et Marine Turchi


L'ancien président français a été copieusement rémunéré par Forbes Afrique pour une conférence controversée, donnée le 25 juillet au Congo, en présence de l'autocrate Denis Sassou Nguesso. Selon plusieurs documents judiciaires obtenus par Mediapart, le directeur de la société propriétaire du magazine est aujourd'hui suspecté par la police française d'être un homme de paille du clan Sassou dans plusieurs opérations de détournements de fonds pouvant atteindre 60 millions d'euros.

 

Où a-t-il encore mis les pieds ? Avant un possible retour politique à la rentrée en France, c’est chez le très controversé président congolais Denis Sassou Nguesso que Nicolas Sarkozy a fait cette semaine un discret et très rémunérateur aller-retour, comme plusieurs médias s'en sont fait l'écho ces dernières 48 heures. L’ancien chef de l’État s’est en effet rendu, vendredi 25 juillet, au Congo-Brazzaville, pour une intervention au Forum économique Forbes, organisé par le magazine Forbes Afrique, en présence de Sassou Nguesso.

D'après un organisateur, qui s'est confié à Mediapart sous le couvert de l'anonymat, Nicolas Sarkozy a été directement rémunéré par Forbes – certains avancent la somme de 100 000 euros –, dont le président-fondateur, l'homme d'affaires Lucien Ebata, est un proche du président congolais.

Nicolas Sarkozy accueilli au forum par Lucien Ebaba, le 25 juillet 2014.Nicolas Sarkozy accueilli au forum par Lucien Ebaba, le 25 juillet 2014. © Bernardin Dondos / Mediapart

Mais la présence d'un autre personnage-clé dans la galaxie de Forbes Afrique pourrait s'avérer embarrassante pour Nicolas Sarkozy, déjà empêtré dans de nombreuses affaires financières en France. Selon plusieurs documents judiciaires obtenus par Mediapart, le directeur de la société propriétaire du magazine, F. Afrique Medias Holding SA, domiciliée en Suisse, est aujourd'hui suspecté par la police française d'être un homme de paille du clan Sassou dans plusieurs opérations de corruption et de détournements de fonds pouvant atteindre 60 millions d'euros. L'homme s'appelle Philippe Chironi. C'est un Français, établi à Nyon, en Suisse. 

La venue au Congo de Nicolas Sarkozy, présenté comme l’invité vedette de cette troisième édition, a été tenue secrète jusqu’au dernier moment par Forbes. Arrivé vendredi midi, l’ancien président de la République a répondu pendant vingt minutes aux questions de la journaliste de TV5 Monde, Denise Epoté, sur l'estrade d'une salle de conférences dépendant du ministère des affaires étrangères congolais. L’équipe de Nicolas Sarkozy avait expressément demandé que cette intervention ne soit pas filmée. La consigne a été rappelée aux journalistes par les organisateurs.

 

Sassou Nguesso écoutant l'intervention de Nicolas Sarkozy, le 25 juuillet.Sassou Nguesso écoutant l'intervention de Nicolas Sarkozy, le 25 juuillet. © Bernardin Dondos / Mediapart

Entre deux allusions à sa candidature à la présidence de l'UMP – « Parler en public, ça me donne des idées… », a-t-il lâché en conclusion –, l’ex-président français a salué son « ami » Sassou Nguesso, qui l’écoutait, assis sur un trône aux côtés d’autres chefs d’État africains. Une adresse « amicale » et « chaleureuse », d'après plusieurs témoins. Il a ensuite participé au dîner de gala à la table du président congolais et de ses homologues du Niger, du Gabon et de Guinée.

 

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Nicolas Sarkozy dînant à la table de Sassou Nguesso, le 25 juillet.Nicolas Sarkozy dînant à la table de Sassou Nguesso, le 25 juillet. © Bernardin Dondos / Mediapart

Le fait que Sassou Nguesso soit visé par plusieurs enquêtes judiciaires en France, dans l’affaire dite « des disparus du Beach » et celle des « Biens mal acquis », n’a pas empêché Nicolas Sarkozy de s’afficher à ses côtés. À 70 ans, dont 35 passés à la tête de ce pays pétrolier d’Afrique centrale, l’autocrate Sassou Nguesso continue de cultiver d'impressionnants réseaux politiques et d'affaires en France, à droite comme à gauche. Forbes Afrique, déclinaison africaine francophone du célèbre magazine américain, apparaît incontestablement comme l'un de ses nouveaux leviers d'influence.

Derrière Forbes Afrique, on trouve donc un homme d’affaires congolais proche du pouvoir : Lucien Ebata, patron du groupe pétrolier Orion Oil. Mais le fondateur et PDG de Forbes Afrique n'est pas le seul à entretenir des liens étroits avec Sassou Nguesso. Entre Forbes et Sassou, les connections sont nombreuses, notamment par l'entremise de Philippe Chironi.

La consultation du registre du commerce et des sociétés suisse ne laisse d'ailleurs aucun doute sur les liens entre Lucien Ebata, qui a invité Nicolas Sarkozy au Congo, et Philippe Chironi, que ce soit dans le domaine pétrolier ou dans celui des médias, avec Forbes Afrique. Philippe Chironi ne souhaite actuellement faire aucun commentaire tant que des procédures judiciaires sont en cours. Il faut dire que les découvertes, depuis un an, de la police parisienne, en marge de l'affaire des « Biens mal acquis », qui vise le patrimoine faramineux en France de plusieurs dignitaires africains (dont Sassou Nguesso), ont de quoi le gêner.

Dans un procès-verbal du 19 juin 2013, un commandant de police de l'Office central pour la répression de la grande délinquance financière (OCRGDF) dresse un état des lieux accablant de ses activités financières : « M. Chironi a ouvert plusieurs comptes bancaires auprès d'établissements financiers (…) au nom de sociétés qui ont leur siège en territoire offshore (Maurice, Seychelles, Iles Marshall, Hong Kong…). Des transactions pour plusieurs millions d'euros ont été effectuées – 60 millions d'euros – dont l'origine pourrait être illicite. Ces fonds pourraient en effet provenir de délits de corruption commis en Afrique, Congo-Brazzaville plus précisément. »

Or, d'après les constatations de la police et de Tracfin, le service de renseignement du ministère des finances, une bonne partie de cet argent, évaporé des caisses de l'État congolais, s'est retrouvée ensuite sur les comptes de plusieurs membres du clan Sassou, après avoir transité par les sociétés-taxis de M. Chironi ou directement par son intermédiaire.

Parmi les bénéficiaires identifiés par l'enquête, on peut citer Antoinette Sassou Nguesso, la femme du président congolais, Julienne Olga Johnson, sa fille, Guy Johnson, son gendre, André Okombi Salissa, un ancien ministre congolais, ou Jean-Jacques Bouya, le délégué général aux grands travaux (d'où les 60 millions ont été transférés)…

LE CAMEROUN ENTRE DANS LA ZONE DES TEMPETES...

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Crée le 27-07-2014  - 22H05 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER.. BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE INTERNATIONALE .  Mis à jourdimanche le 27-07-2014 -22H20 PAR : ARTV NEWS

 

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Cameroun: l’épouse d’un vice-Premier ministre enlevée, Boko Haram accusé …

Des membres présumés du groupe islamiste nigérian Boko Haram ont enlevé dimanche l’épouse d’un vice-Premier ministre camerounais et un chef traditionnel lors d’une nouvelle attaque meurtrière contre une localité de l’Extrême-nord du Cameroun, à majorité musulmane, qui a fait au moins six morts. Les menaces sur « l’éclatement du Cameroun », comme disent avec gourmandise les analystes occidentaux, se précisent …

 

QUE SAIT-ON DES EVENEMENTS DANS LE NORD-EST DU CAMEROUN ?

 

Les islamistes armés nigérians de «Boko Haram, avec leurs soutiens trouble et occultes par les services secrets occidentaux, ont enlevé beaucoup de personnes», a indiqué une source policière de la région, dont «la femme du vice-Premier ministre (chargé des relations avec le Parlement, Amadou Ali) et plusieurs gendarmes». Vers cinq heures (04h00 GMT), il y a eu «deux attaques simultanées» à Kolofota, localité proche de la frontière avec le Nigeria, visant «le palais du sultan de Kolofata, Seiny Boukar Lamine, et la maison d’Amadou Ali», a expliqué à l’AFP un proche de la famille du sultan. «Quatre personnes, dont le petit frère du sultan ont été tués (alors que) lui, son épouse et ses enfants ont été enlevés», a rapporté ce proche s’exprimant sous couvert d’anonymat.

 

«Les Boko Haram ont enlevé beaucoup de personnes», a indiqué de son côté une source policière de la région, sous couvert d’anonymat, ajoutant: «il y a le sultan, la femme du vice-Premier ministre et plusieurs gendarmes». Selon cette source policière, «quatre civils et deux gendarmes ont été tués» lors des attaques attribuées à Boko Haram, dont les combattants ont également dérobé des véhicules au domicile du vice-Premier ministre, selon la même source.

 

DES SCENES DE GUERRE AVEC FRAPPES DE L’AVIATION !

 

Plus tôt dimanche, un officier de police établi dans la région avait indiqué que la localité de Kolofata avait été attaquée tôt dimanche matin. «Les avions de chasse sont entrés en scène. Il y a eu des bombardements dans la zone», après cette attaque avait ajouté cet officier. Aucun bilan d’éventuelles victimes de ces bombardements n’était disponible dimanche en fin de journée. De source policière, «de nombreux renforts» de l’armée ont été déployés dans la zone, dont des soldats du BIR (Bataillon d’intervention rapide, unité d’élite de l’armée camerounaise).

 

CAMEROUN – NIGERIA : LA DESTABILISATION EN COURS

 

La situation est extrêmement tendue actuellement dans l’extrême-nord du Cameroun où les islamistes nigérians multiplient des attaques contre des militaires et des civils. Jeudi soir, deux militaires camerounais ont déjà été tués dans cette région lors d’un affrontement avec des combattants de Boko Haram qui ont attaqué un village frontalier.

 

Le Cameroun, comme d’autres pays de la région, a renforcé récemment sa lutte contre Boko Haram, après l’indignation internationale qui avait suivi l’enlèvement de plus de 200 lycéennes nigérianes le 14 avril (affaire troubles, où une bonne part des filles enlevées semble être membres ou sympathisantes de la milice islamiste).

 

Les islamistes de Boko Haram ont longtemps considéré cette région frontalière comme un refuge, une zone propice aux enlèvements d’étrangers, mais aussi un territoire de transit et d’approvisionnement en armes et explosifs. Depuis 2009, les insurgés de Boko Haram mènent au Nigeria une sanglante insurrection qui a fait des milliers de morts (plus de 2.000 depuis début 2014) et qui déborde sur les pays voisins.

 

Ainsi, ce dimanche encore, une kamikaze se dirigeant vers une grande université de Kano, dans le nord du Nigeria, avec une bombe dissimulée sous son hijab, s’est fait exploser au moment de son interpellation, blessant cinq policiers, selon la police nigériane. «Une femme kamikaze a été isolée alors qu’elle marchait en direction de l’entrée de l’université» du nord-ouest, à Kano, a rapporté à l’AFP Frank Mba, le porte-parole de la police nigériane. «Les policiers de garde l’ont isolée» à cause de son comportement inhabituel. Et ils s’apprêtaient à faire appel à des collègues féminines pour la fouiller, quand la kamikaze a déclenché une bombe dissimulée sous son hijab, se tuant et faisant cinq blessés parmi les policiers présents, a-t-il expliqué.

 

Face au développement de l’insurrection islamiste qui menace la stabilité de la région, les voisins du Nigeria ont renforcé leur coopération militaire, avec le soutien intéressés des Occidentaux - particulièrement de la France, des Etats-Unis et du Royaume uni - et ont déployé des renforts au frontières, notamment le Cameroun. Une fois de plus, la pseudo « guerre au terrorisme » sert de porte d’entrée aux armées et aux conseillers occidentaux. Islamisme radical djihadiste : a qui profite le crime ?

 

Luc MICHEL

Actualité PROMESSES DU VICE-PRESIDENT MAKHTAR DIOP A KINSHASA RDC : des millions de la Banque mondiale vont pleuvoir !

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Crée le 28-07-2014  - 11H05 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER.. BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE INTERNATIONALE .  Mis à jourlundi le 28-07-2014 -11H20 PAR : FORUM DES AS

 

                                                       

"Je quitte la République démocratique du Congo avec de bonnes impressions". Ces mots optimistes, lâchés hier par Makhtar Diop, le Vice-président du Groupe de la Banque mondiale, sont assez éloquents. Eloquents pour traduire le satisfecit de son institution face aux performances économiques enregistrées en RDC ces dernières années.

Face à la presse hier dimanche 27 juillet à Kinshasa, au terme de sa mission de cinq jours en territoire congolais, le Sénégalais Makhtar Diop s’est montré visiblement encouragé par les efforts entrepris par la Gouvernement congolais. Tenant d’ailleurs sa conférence de presse à la Primature aux côtés du Premier ministre Matata Ponyo, avec qui il s’est au préalable entretenu, après son tête-à-tête avec Joseph Kabila, le numéro 2 du Groupe de la Banque mondiale a apprécié le bond économique enregistré, soulignant que ses propos n’ont rien de flatterie.


"Je dis ce que j’ai vu, rapporte-t-il. Je ne suis pas là pour couvrir d’éloges qui que ce soit, mais plutôt pour dire la vérité. Et c’est vrai que le Congo a fait un ajustement structurel très important". Makhtar Diop salue à cet effet le progrès enregistré par l’Exécutif congolais qui est parvenu, en quelques années, à réduire l’inflation galopante de 46% à 1%, en procédant en même temps à une croissance économique de l’ordre de 7% à 8%. L’ancien ministre sénégalais de l’économie et des finances se plaît même d’apprendre que l’équipe Matata s’est engagée à relever le taux de croissance à 9%.


Le Vice-président du Groupe de la Banque mondiale se réjouit, par ailleurs, de constater qu’"il n’y a plus de retard de paiement dans les salaires des agents de l’Etat", que "le budget du secteur éducatif est passé de 6% à 16%" et que celui du secteur de la santé s’est sensiblement amélioré. Bref, des indices qui permettent à la Banque mondiale de croire que la République démocratique du Congo est vraiment sur la bonne voie.

LE PROJET INGA 3, UNE SOURCE DES REVENUS POUR LA RDC
Une visite éclair au site du Barrage d’Inga 3, dans la province du Bas-Congo, a permis à l’hôte de la RDC d’espérer à des lendemains meilleurs si toutes les ressources sont gérées à bon escient. En mars dernier en effet, le Groupe de la Banque mondiale avait accordé un don de 73,1 millions de dollars pour financer un projet d’assistance technique portant sur le développement du projet hydroélectrique Inga 3 Basse Chute (BC) et d’autres sites de taille moyenne.
"On veut que le barrage d’Inga 3 soit construit de la manière la plus rapide et la plus durable possible, assure Makhtar Diop. Ces travaux devront se dérouler sans avoir des conséquences néfastes sur l’environnement. Et ce serait imprudent de se lancer sur un tel projet sans donner des garanties de transparence dans la gestion des fonds".


Pour le Vice-président du Groupe de la Banque mondiale, le projet Inga 3 tombe à point nommé. "Bien réalisé, en tenant compte de l’expertise technologique, ce projet pourrait transformer, non seulement le Congo, mais aussi tout le continent, estime Makhtar Diop. Inga 2 aura l’avantage de combattre la pauvreté, d’apporter des ressources énergétiques supplémentaires au continent, de jouer un rôle déterminant dans l’intégration régionale et dans le changement climatique".

100 MILLIONS DE DOLLARS POUR LA CONSTRUCTION DES MICRO-BARRAGES
L’hôte de Matata Ponyo assure même que la réalisation à bon escient du projet Inga 3 pourrait apporter beaucoup de devises au Trésor public congolais, une fois l’électricité produite exportée. Makhtar Diop regrette à cet effet la sous exploitation du potentiel énergétique en Afrique. "Nous sommes, dit-il, le seul continent qui n’a pas profité de son potentiel électrique pour appuyer son développement, contrairement à certains pays d’autres continents comme le Canada, le Brésil…".
Selon des proches du Premier ministre Matata, l’émissaire de la Banque mondiale a promis, par ailleurs, de mobiliser 100 millions de dollars pour aider la RDC à construire une dizaine de microcentrales électriques dans les milieux ruraux. Ce qui pourrait stimuler plusieurs pôles de développement à travers le pays.

200 MILLIONS USD POUR APPUYER L’AGRICULTURE
Outre les projets de fournitures électriques, Makhtar Diop s’est rendu hier à 250 km de Kinshasa, précisément à Bukanga-Lonzo, dans la province du Bandundu. Il est allé visiter cet important parc agro-industriel que le Gouvernement congolais veut muer en vaste grenier. Un grenier susceptible, selon le Vice-président du Groupe de la Banque mondiale, de générer près de 10.000 emplois et d’assurer l’autosuffisance alimentaire à la population, freinant ainsi l’élan à l’importation accrue des produits agricoles.


Emerveillé par ce projet porteur, Makhtar Diop a promis de soutenir cette initiative, voire de trouver des fonds pour appuyer le Gouvernement congolais, une fois qu’il sera de retour à Washington. Selon certaines indiscrétions, l’institution de Bretton Woods pourrait mobiliser 100 millions Usd pour appuyer le secteur agricole en RDC et trouver 100 autres millions Usd pour aider l’Exécutif congolais à financer ses projets agricoles.


Un des partenaires principaux du Congo démocratique, la Banque mondiale s’est engagé dans la reconstruction de ce pays à hauteur de 3,5 milliards de dollars. Son portefeuille comprend à ce jour 25 projets en cours d’exécution. "Les relations entre la Banque mondiale et la RDC sont donc excellentes", conclut Makhtar Diop à la veille de son retour à Washington. Yves KALIKAT

Actualité PROVINCE ORIENTALE FDLR : le blocage persiste à Kisangani

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Crée le 28-07-2014  - 11H05 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER.. BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE INTERNATIONALE .  Mis à jourlundi le 28-07-2014 -11H20 PAR : FORUM DES AS

                                                         

* La Société civile rejette les propositions du Gouvernement. Comme annoncé, c’est depuis vendredi dernier que le ministre des Médias et nouvelle citoyenneté, porte-parole du gouvernement, Lambert Mende Omalanga a débarqué dans la métropole Kisangani en Province Orientale.

Objet : la difficile relocalisation dans la ville des miliciens hutu rwandais FDLR, coupables des pires exactions et diverses cruautés contre les populations civiles du Nord et Sud-Kivu depuis 1994, donc pendant 20 ans.

La population par le biais de la Société civile de la province ne veut pas de la présence des FDLR.
Toute la semaine, la tension est montée de plusieurs crans dans la ville qui a connu des bruyantes manifestions publiques et des ville-morte pour en découdre avec ces personnages sans foi ni loi des FDLR.
C’est cette situation délétère que Mende Omalanga est allé décanter sur place. Mais le blocage persiste encore.

DES SOUVENIRS TRES AMERS
Pour la Société civile, les FDLR ne doivent pas arriver à Kisangani. Là même où la population a gardé des souvenirs très amers de tous ces combattants.
Là surtout où il y a eu la guerre entre deux armées étrangères, le Rwanda et l’Ouganda qui s’y sont affrontés à mort, rasant tout au canon, au char d’assaut et à l’artillerie lourde pour le contrôle de la ville. Si à Kinshasa on l’a peut-être oublié, ce n’est pas du tout le cas ici où les Boyomais ont encore frais en mémoire ces douloureux souvenirs de "Kisangani ville-martyr " comme on l’appelait sans aucune intervention de la Communauté internationale.


Aujourd’hui on veut que cette ville là accueille des criminels de guerre comme des FDLR qui sont la cause de toutes les agressions connues à l’Est de la RDC. Pour la Société civile, les FDLR incarnent le calvaire de toutes les populations de l’Est. On ne voit pas comment on peut penser à les cantonner dans une ville qui a souffert de tous genres de bruits de botte comme Kisangani. Il n’en est pas du tout question.


Pourquoi alors ne pas avoir rencontré le ministre Mende pour lui faire part de cette opinion du reste unanimement partagée dans toutes les provinces de la RDC ? La Société civile est mecontente du fait que dans l’agenda du ministre, il a prévu de rencontrer tout le monde au même moment, dans une même salle. Alors qu’eux auraient voulu un tête-à-tête ministre-Société civile au cours duquel il lui aurait livré sa position au vitriol.


Ils estiment que Mende l’a lue sur divers calicots et banderoles déployés dans la ville par la Société civile et exprimant son refus catégorique d’héberger les FDLR en plus on lui a fait déposer le mémorandum de la Société civile. Dans la salle, Mende a pour sa part tenté de faire le plaidoyer du passage des FDLR au camp BASE.


Il reconnaît comme la Société civile que ce sont des criminels qui ont fait souffrir la population. Mais il insisté sur le fait que depuis 20 ans, le Rwanda utilise le prétexte de la présence des FDLR en RDC pour agresser ce pays. Il est question maintenant de lui ôter ce prétexte en renvoyant les FDLR.

C’est ce que le gouvernement est en train de faire par ce plan de relocalisation en attendant leur retour au bercail où dans un pays d’asile à trouver. En attendant, ils bivouaqueront au centre d’instruction d’Irebu, à l’Equateur. Il poursuit que le transit dans la ville de Kisangani est de juste un mois.

MEME HOSTILITE A L’EQUATEUR
Tandis qu’à l’Equateur, le délai est de 6 mois, le temps que le gouvernement leur trouve un pays d’accueil. Levée des boucliers. L’Equateur aussi connaît la même hostilité à l’arrivée des FDLR dans les segments de sa population. Pourtant, là dans le Nord des Bangala, les FDLR n’ont jamais sévi. Leur arrivée est rejetée avec virulence.


C’est cela qui caractérise le dossier de la relocalisation de ces miliciens. Partout, la population demande au gouvernement central de les renvoyer chez eux au Rwanda, unique solution idoine, car ce ne sont pas des Congolais. Toutefois la difficulté surgit quand à Kigali, on fait savoir qu’on n’en veut pas. Ce qui est un artifice pour encourager la poursuite de leur présence en RDC.


A Kisangani, Lambert Mende a aussi la mission d’inspecter le centre d’hébergement aménagé au camp BASE. Même s’il n’y avait eu des manifestations hostiles de la population, les FDLR n’ont pas encore reçu l’ordre de leur hiérarchie d’embarquer dans le 727 affrété depuis une semaine par le gouvernement congolais et qui continue à stationner sur le tarmac de l’aéroport de Kavumu, à Bukavu.


Jusque samedi dernier, ils continueraient à exiger comme préalable avant tout embarquement de visiter d’abord ce site de transit du camp BASE pour apprécier sa viabilité. Victor Birongiro, le Président intérimaire des FDLR relève cette difficulté de l’hostilité qu’il déplore de la population exprimée, selon lui, par la Société civile et les parlementaires. Etrange tout de même. Est-ce des anges qu’il s’agit ? Des enfants de chœur ? Pouvait-il en être autrement avec les FDLR qui sèment mort et désolation sur leur passage au Kivu ? KANDOLO M.

 

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