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Channel: AFRIQUE REDACTION . L'information en continu ! Afrique au cœur de l’actualité...Infos News sur la RDC, les brèves de la dernière minute. Synthèse sur l’actu internationale. rdcongo-kinshasa, Nord et Sud KIVU, Kinshasa, Bas Congo, Dongo, Equateur, Maniema, Lubumbashi, les deux Kasai. Rédacteur en Chef : BONGOS Roger
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Actualité LANCE LE WEEK-END DERNIER Le "Front populaire" annonce déjà ses couleurs !

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Crée le 28-07-2014  - 11H05 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER.. BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE INTERNATIONALE .  Mis à jourlundi le 28-07-2014 -11H20 PAR : FORUM DES AS           

                                                             

Le " Front populaire " contre la révision constitutionnelle n’a pas attendu longtemps pour annoncer ses intentions dans l’arène politique congolaise. Partis, regroupements et personnalités politiques, syndicats, organisations professionnelles, mouvements associatifs…

regroupés au sein de la nouvelle plate-forme ont juré tous de barrer la routé à toute initiative de révision de la Constitution.

Vendredi dernier, les ténors du " Front populaire " ont mis les points sur les "i". Manière pour eux de montrer clairement leur position " qui n’est pas celle de partager le pouvoir avec la Majorité ". En revanche, ils entendent défendre les préoccupations majeures qui ont présidé à l’élaboration de l’architecture institutionnelle prévue par la Constitution. Il s’agit d’assurer le fonctionnement harmonieux des institutions de l’Etat, éviter les conflits, instaurer un Etat de droit, contrer toute tentative de dérive dictatoriale…et surtout assurer l’alternance démocratique.


Au cours de cette cérémonie de sortie officielle du " Front populaire ", Lisanga Bonganga, son modérateur, a dénoncé la tentative de la Majorité de réviser la Constitution " selon leur volonté ". " Certes, on nous dira que la Constitution est révisable. Nous affirmons que la Constitution est avant tout l’expression d’une volonté politique ", reconnaît-t-il. Paraphrasant l’ambassadeur de France en RDC, Lisanga Bonganga a fait savoir que "derrière la Constitution, il y a son fondement qui est le consensus national autour des règles communément admises de fonctionnement de la société et des pouvoirs publics ".


Ainsi, ce membre de l’Opposition républicaine a fait savoir que " la révision d’une Constitution doit être le fruit d’un consensus national et non une initiative unilatérale et sectaire qui a pour but la personnalisation du pouvoir, c’est-à-dire le retour à la dictature". Dans ce chapitre, Lisanga rappelle que " ce consensus national a été réalisé au terme des Concertations nationales qui, dans une recommandation pertinente, a décidé de ne ni réviser ni changer la Constitution du 18 février 2006 pour ne pas rompre le pacte républicain… ". " Et le président Kabila a fait sienne cette recommandation, comme d’ailleurs tous les autres devant le Parlement réuni en congrès", dixit Lisanga.


Face aux différentes remarques faites à l’endroit de la Commission électorale nationale indépendante (CENI) aussi bien par les Opposants, l’Eglise catholique, que la société civile… Lisanga pense qu’il y a encore moyen de " sauver les élections à venir ". Les délégués à la convention de l’Opposition républicaine avaient résolu, rappelle-t-il¸ " que le cycle électoral 2016 doit commencer par la présidentielle et les législatives puis les provinciales, sénatoriales et des gouverneurs de provinces. Ils ont, à ce titre, même proposé un calendrier électoral global tel qu’exigé par la Communauté internationale qui, comme tout le monde le sait, finance les élections dans notre pays ".


Compte tenu de ces paramètres, le "Front populaire" se fixe comme objectif de réunir tous les congolais s’opposant à la révision constitutionnelle. Non seulement il est contre la révision de la Constitution, le " Front populaire" poursuit entre autre objectifs, la mise en place d’une réelle administration électorale pour les élections libres, démocratiques, transparentes et crédibles ". A ce titre, soutient Lisanga, le FP s’inscrit dans une démarche citoyenne pour défendre les dispositions pertinentes de la Constitution. Rachidi MABANDU


Actualité Province Orientale : la société civile dénonce l’impunité des violeurs à Yanonge

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Crée le 29-07-2014  - 11H05 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER.. BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE INTERNATIONALE .  Mis à jourmardi le 29-07-2014 -13H20 PAR : RADIO OKAPI        

 

 

 

 

 
 
 
Une femme victime de viol.

Le président de la société civile de Yanonge, Bernard Bobili, réclame l’arrestation des auteurs de viols dans ce  poste d’encadrement administratif de la Province Orientale. Il a demandé lundi 28 juillet aux autorités de la police nationale d’implanter une unité de police spéciale de l’enfance pour lutter contre le viol des  mineurs. 

Le président de la société civile de Yanonge indique que le dernier cas de viol enregistré dans ce poste d’encadrement administratif s’est produit la semaine dernière au village Bolongo. Une fille âgée de 8 ans aurait été violée par un homme de près de 30 ans. La petite fille se rendait à une source d’eau lorsqu’elle a été violée.

Bernard Bobili accuse l’auteur de ce viol d’un autre viol sur un garçon de 5 ans.

La société civile de Yanonge fait aussi état de deux filles âgées respectivement de 14 et 15 ans engrossées par deux hommes adultes. Le chef de poste d’encadrement administratif, Innocent Malenga, confirme cette information.

Il parle de plusieurs autres cas de viols répertoriés par le service de genre famille et enfant de son entité. Mais il dit attendre le rapport complet de ce service pour avoir le chiffre exact.

De leur côté, les responsables de la société civile parle de 10 cas de viol enregistrés en moins d’un mois.

Actualité Province Orientale: la Fec exige la réhabilitation du pont Awoo sur la route Mahagi-Bunia

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Crée le 29-07-2014  - 11H05 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER.. BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE INTERNATIONALE .  Mis à jourmardi le 29-07-2014 -13H20 PAR : RADIO OKAPI        

 

 

 

 

 

                                                                  Le pont Lindi à Bafwasende écroulé à cause des véhicules qui ne respectaient pas leur tonnage

 

 

La Fédération des entreprises du Congo (Fec) dans le territoire de Mahagi (Province Orientale) déplore l’état de dégradation du pont Awoo sur la route rationale 27 sur l’axe Mahagi-Bunia. Dans une lettre adressée au directeur provincial du Fonds national d’entretien routier (Foner) à Bunia et rendue publique lundi 28 juillet à Mahagi, la Fec indique que cet ouvrage présente un danger permanent pour les usagers. Selon la même source, ce pont n’a jamais été réhabilité malgré plusieurs appels du comité de suivi d’entretien des routes du territoire de Mahagi au Foner. 

Le pont Awoo délabré a déjà été à l’origine de plusieurs accidents. Selon la Fec de Mahagi, plusieurs véhicules transportant des marchandises des opérateurs économiques locaux se sont renversés à cet endroit. D’énormes pertes en marchandises ont été enregistrées.

La destruction de ce pont risque de couper en deux la route Mahagi-Bunia d’ici quelques jours, prévient la Fec. Pour cette organisation, pareille situation pourrait entrainer plusieurs problèmes d’approvisionnement en vivres et en produits manufacturés dans les deux entités.

Le vice-président de la Fec, Abeditho Uroci, évoque aussi les difficultés que pourrait rencontrer le Foner dans la maximisation des recettes.  Il invite l’invite à se saisir rapidement de ce dossier pour réhabiliter ce pont.

Les responsables du Foner restent pour le moment injoignables.

Mais, l’administrateur du territoire de Mahagi qui est aussi président du comité local de suivi d’entretien des routes appelle la Fec au calme. Jean Bosco Ngamubiem Essese affirme que le Foner a déjà débloqué les fonds pour la réhabilitation de ce pont. Les travaux seront exécutés par l’Office des routes après entretien avec les autorités de la province, a-t-il précisé.

 

Actualité RDC : Lancer de tracts pour pousser les rebelles ougandais à se rendre

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Crée le 29-07-2014  - 11H05 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER.. BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE INTERNATIONALE .  Mis à jourmardi le 29-07-2014 -13H20 PAR : ARTV NEWS 

 


                                                                   RDC : Lancer de tracts pour pousser les rebelles ougandais à se rendre

L'opération a débuté en juin. Les derniers lancers ont eu lieu lundi et ont ciblé une poche de la province du Nord-Kivu où l'ADF (Forces alliées démocratiques) s'est retranchée suite à une grande offensive de l'armée et de la Mission de l'ONU (Monusco) commencée en janvier.

"C'est dans la dynamique de la reddition volontaire et afin d'éviter une offensive qui pourrait coûter beaucoup de vies humaines que nous lançons ces tracts", a expliqué à l'AFP le lieutenant-colonel Felix-Prosper Basse, porte-parole de la Monusco, qui fournit notamment l'hélicoptère.

La société civile (associations, organisations, syndicats...) de la région, frontalière de l'Ouganda estime que près de 900 personnes sont encore aux mains de la rébellion de Jamil Mukulu, un chrétien converti à l'islam visé par des sanctions de l'ONU depuis 2011 et de l'Union européenne depuis 2012.

"Les combattants sont déjà affaiblis, leur capacité de nuisance amoindrie et ils prennent les otages en bouclier humain. On ne veut pas lancer une dernière offensive sur eux tant qu'ils sont avec des innocents", souligne le lieutenant-colonel Olivier Hamuli, porte-parole de l'armée.

Le tract est traduit dans plusieurs langues et complète les appels relayés sur les radios communautaires. En plus de l'appel à la reddition et à la libération des otages, il demande à la population de se désolidariser de l'ADF, avec qui les civils doivent collaborer de gré ou de force.

L'ADF est présente depuis 1995 dans la région des montagnes du Rwenzori (sud-ouest de l'Ouganda). Bien organisée, rompue aux enlèvements, elle endoctrine ses otages et se finance grâce au trafic de bois et d'or.

Cette rébellion ougandaise présente en RDC n'a mené aucune attaque d'envergure en Ouganda depuis plus de dix ans.

Début juillet, le Conseil de sécurité de l'ONU a décidé d'imposer des sanctions - embargo sur les armes, gel des avoirs, interdiction de voyager - à l'ADF. Les Etats-Unis l'ont placée sur leur liste d'organisations terroristes dès 2001.

Le lieutenant-colonel Basse a précisé que des tracts ont par le passé été utilisés pour sensibiliser une sanglante rébellion ougandaise active en Province orientale (Nord-Est): la LRA, l'Armée de résistance du seigneur de Joseph Kony, recherché par la Cour pénale internationale.

Actualité Liberia : Fermeture partielle des frontières pour contenir l'épidémie d'Ebola

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Crée le 29-07-2014  - 11H05 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER.. BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE INTERNATIONALE .  Mis à jourmardi le 29-07-2014 -13H20 PAR : ARTV NEWS 

 

                                                     Liberia : Fermeture partielle des frontières pour contenir l'épidémie d'Ebola

Cette épidémie, en cours depuis le début de l'année, s'est déclarée en Guinée avant d'affecter le Liberia puis la Sierra Leone, trois pays voisins qui, au 23 juillet, totalisaient 1.201 cas dont 672 mortels, selon le dernier bilan de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS).

Sur ce total, d'après l'OMS, 249 cas dont 129 mortels ont été signalés au Liberia. Ce week-end, une ONG humanitaire américaine a annoncé y avoir placé en quarantaine deux Américains, dont un médecin, engagés dans la lutte contre l'épidémie et qui y ont été contaminés.

Sept des quinze provinces du pays sont affectées, a indiqué dimanche la présidente libérienne Ellen Johnson Sirleaf.

Pour tenter de stopper la propagation de l'épidémie, a-t-elle annoncé, "toutes les frontières du Liberia seront fermées à l'exception des principaux points d'entrée" dans cet Etat, ayant aussi pour voisin la Côte d'Ivoire et dont les région sud sont bordées par l'océan Atlantique.

Les points d'entrée qui ne sont pas concernés par la mesure de fermeture sont l'aéroport international Roberts de Monrovia, l'aéroport James Spriggs Payne (de moindre importance, à Monrovia), et trois importants postes d'accès terrestres aux frontières avec la Guinée et la Sierra Leone.

En outre, selon Mme Sirleaf, le dispositif de surveillance sanitaire sera renforcé, avec des tests de dépistage de l'Ebola obligatoire avant de quitter le Liberia ou d'y entrer. Les rassemblements publics sont également interdits jusqu'à nouvel ordre, y compris les manifestations politiques, et les communautés affectées seront mises en quarantaine.

Le virus Ebola se transmet par contact direct avec le sang, les liquides biologiques ou les tissus de personnes ou d'animaux infectés. La fièvre hémorragique qu'il provoque se manifeste par des hémorragies, des vomissements et des diarrhées. Son taux de mortalité peut aller de 25 à 90% chez l'homme et il n'y a pas de vaccin homologué contre elle.

Mais "plus vite (un malade) est pris en charge par les équipes soignantes, plus il a de chances de s'en sortir", a souligné Tarik Jasarevic, porte-parole de l'OMS.

- "Nous sommes stressés" -

En Guinée, selon le bilan de l'OMS, 427 cas dont 319 mortels avaient été comptabilisés au 23 juin. Mais dans ce pays, "la situation s'est stabilisée dans certaines régions", a estimé la semaine dernière l'organisation Médecins sans frontières (MSF), très active en Afrique de l'Ouest dans la lutte contre l'épidémie.

Les plus fortes appréhensions des acteurs de la lutte concernent actuellement la Sierra Leone qui, selon MSF, est devenue "le nouvel épicentre de l'épidémie". Au 23 juillet, il y était dénombré 525 cas dont 224 mortels, en grande partie dans des localités de l'est du pays.

Motif supplémentaire d'inquiétude, la capitale, Freetown, auparavant épargnée, a enregistré son premier cas confirmé d'Ebola la semaine dernière: une femme de 32 ans qui avait été admise à l'hôpital et en a été retirée de force par ses parents et est décédée samedi.

D'après les autorités, son domicile et tous ceux qui y résident ont été placés en quarantaine pour 21 jours.

Mais à Freetown, beaucoup de résidents disent craindre que le virus ne se soit déjà propagé dans la ville et ont commencé à changer leurs habitudes pour réduire les risques de contamination, selon des témoignages recueillis par un journaliste de l'AFP.

On se serre moins les mains, des rassemblements publics ont été annulés, des restaurants ont installé des solutions chlorées. Et dans les établissements funéraires, on manipule désormais les corps avec beaucoup de prudence, selon un responsable de l'un d'eux qui avoue: "Avec le virus Ebola, nous sommes stressés".

Autre développement inquiétant, l'annonce par le Nigeria du premier cas confirmé d'Ebola sur son sol, un Libérien décédé de fièvre Ebola à Lagos.

Le pays a indiqué samedi avoir placé tous ses ports et aéroports en alerte. La principale compagnie aérienne nigériane Arik a suspendu ses liaisons avec le Liberia et la Sierra Leone en raison de l'épidémie d'Ebola.

 

Actualité Fin de séjour du vice-président de la Banque Mondiale en RDC : Makhtar Diop invite Matata à ne pas dormir sur ses lauriers

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Crée le 29-07-2014  - 11H05 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER.. BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE INTERNATIONALE .  Mis à jourmardi le 29-07-2014 -16H20 PAR : LE PHARE 

 

 

 

                                                            
Makhtar Diop, vice-président de la Banque Mondiale(BM) région Afrique a clôturé, dimanche 27 juillet 2014, sa visite officielle en République démocratique du Congo.

Durant son séjour, il a rencontré le Premier ministre Augustin MatataPonyo sur fond d’un échange sur les avancées réalisées par la RDC dans la voie de son redressement économique et social, les projets financés par la BM et les perspectives à venir.
            Outre cette entrevue avec le Premier ministre, le vice-président de la Banque mondiale a signé le vendredi 25 juillet au Grand Hôtel Kinshasa deux importants accords relatifs au financement de la 5ème phase du réseau des télécommunications à haut  débit en Afrique centrale et le Projet d’urgence basé sur le genre, les  violences sexuelles et la santé des femmes dans la partie Est du pays pour une enveloppe globale de ± 200 millions de dollars américains.
            Après cette signature, la partie congolaise sous la conduite du ministre délégué aux Finances Patrice KitebiKibol M’Vul en présence des ministres du Plan, de l’Environnement, de l’Economie et Commerce, du Portefeuille, des Hydrocarbures, Genre, Famille et Enfant, des Mines, PT & NTIC et du vice-ministre du Budget,  a convié le vice-président de la Banque mondiale et sa délégation a prendre part au Séminaire sur le cadre macroéconomique  organisé au Salon Lubumbashi.
            Parmi les invités, on a noté la présence du secrétaire exécutif du Copirep, Alex Nkusu, dont la structure est la cheville ouvrière de la réforme des entreprises publiques, dossier qui tient particulièrement à cœur le gouvernement congolais et la Banque mondiale quant à son aboutissement heureux.

Kitebi dans la manœuvre

          En marge de ce séminaire sur le cadre macroéconomique, le ministre délégué aux Finances, Patric Kitebi a fait un survol rapide de la situation particulièrement préoccupante qui était celle de la RDC il y a quelques années caractérisée par une inflation à 5 chiffres et aux conséquences incalculables et qui a désespéré plus d’un.
  S’appuyant sur deux graphiques représentant l’évolution du taux de croissance et du taux d’inflation, il a démontré, chiffres à l’appui, que sur une période de 14 ans, la RDC n’a connu que 2 années de croissance positive et 12 années perdues avec un taux d’inflation culminant à 10.000 % en 1993. Des efforts entrepris, après des réformes, ont permis de ramener l’inflation en 2001 à 135 %. « Elle était certes élevée, mais elle a montré le chemin parcouru dans la voie de l’assainissement en s’engageant à mettre un terme à la politique budgétaire laxiste, qui a caractérisé la gestion des finances publiques des années durant. Des politiques restrictives seront mises sur pied, couplées à des réformes courageuses qui vont permettre de casser l’hyperinflation, sans oublier l’assainissement du secteur bancaire et la promulgation des codes miniers, forestier et des investissements » a expliqué l’argentier national.
Mais en dépit de ces efforts, reconnaîtra Patrice Kitebi, on n’observait pas toujours de grande stabilité dans les principaux agrégats macroéconomiques d’où le lancement d’une 3ème période dans le redressement caractérisée par un ouvrage budgétaire proscrivant tout recours aux avances bancaires, le renforcement du dispositif de suivi, l’introduction de la TVA, la rationalisation des dépenses, la bancarisation de la paie des fonctionnaires etc.
            Le secteur financier n’a pas non plus échappé à ces transformations, les infrastructures pareillement, un endettement prudent proscrivant les dettes non concessionnelles, une amélioration des réserves monétaires, les réformes budgétaire, fiduciaire, comptable, de trésorerie… des finances publiques pour atteindre un taux d’inflation de 1,07 % en 2013, le plus bas depuis 1960. L’on a ensuite assisté à une réorientation de la politique du gouvernement par une amélioration des programmes sociaux, de santé-éducation, amélioration de la mobilité (création de Transco), règlement des arriérés SNCC, la  réduction drastique débiteur qui a décru de 70 % à 12 % aujourd’hui. Malgré cette embellie Patric Kitebi a reconnu que les défis sont  encore nombreux. Voilà pourquoi il a  réaffirmé la  politique de l’accélération du climat des affaires, la poursuite de la réhabilitation des infrastructures et la diversification de l’économie qui est aujourd’hui soutenu à 35 % par les mines.
            Pour y parvenir, pense le ministre, il faut impulser deux secteurs clés  à savoir : l’agriculture et le PMI.
En conclusion, la RDC a tourné le dos aux années perdues. Mais les défis sont immenses pour quelle parvienne à l’émergence. Il a sollicité la collaboration de la Banque mondiale, qui jusqu’ici n’a pas fait défaut, pour l’émergence d’un entreprenariat national (Projet pro-routes  parcs agro-industriels…)

La réponse de Makhtar Diop

            En guise de réponse, le vice-président de la Banque mondiale/Région Afrique a salué les performances réalisées par la RDC qui est parvenue à ramener le taux d’inflation qui était de 45 % en 2009 à moins de 1 % en 2014. Performance assez rare qui s’est en outre accompagnée d’une croissance alors qu’habituellement cela aurait plutôt mené à un ralentissement de l’économie. Makhtar Diop a salué aussi cette reprise simultanée accompagné d’une réduction des déficits tout en maintenant la dollarisation. Pour lui, une telle croissance avec réduction des dépenses publiques et accumulation des réserves monétaires est quelque chose d’intéressant et à étudier.
            Il n’a pas loupé l’occasion pour saluer cette volonté de créativité de la partie congolaise surtout le fait d’observer cette discipline sans programme avec le Fonds monétaire internationale. Ce qui  constitue en fait un saut qualitatif internationalement  reconnu.
            Après les fleurs, Makhtar Diop a émis des souhaits allant dans le sens de l’amélioration de la situation présente. Il a ainsi proposé l’amélioration des efforts pour résoudre le  gap de 13 % relevé par la FMI. Ce qui paraît, pense-t-il un objectif raisonnable. Il a souhaité l’élargissement de la base fiscale, l’augmentation de l’investissement privé, la consolidation de l’ajustement fiscal qui doit être consolidé (dettes antérieures et  croisés). L’amélioration du volet santé.
            D’autres pistes ont été abordées dont celle d’amener le secteur privé dans les infrastructures, dans l’agriculture cas du parc agro-industriel de BukangaLonzo, poursuivre la réforme des entreprises publiques etc.
            TshiekeBukasa

Actualité TGI/Gombe : un chef coutumier crée la confusion entre deux acheteurs

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Crée le 29-07-2014  - 11H05 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER.. BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE INTERNATIONALE .  Mis à jourmardi le 29-07-2014 -16H20 PAR : LE PHARE

 

 

                                                               
Une confusion règne entre les acheteurs de la parcelle située sur Mbanza-Boma, n°230, au quartier Badiadingi, dans la commune de Mont-Ngafula, à cause du chef coutumier Malona. 

Il est cité comme l’élément à avoir vendu deux fois la même parcelle, alors qu’il n’avait plus, qualité de poser un tel acte.
         Le Tribunal de Grande Instance de Gombe est saisi sous le RC 105.715, par la requête de  la partie civile NginduMbutant, pour mettre de l’ordre dans cette affaire.  Après avoir entendu les versions contradictoires de toutes les parties au procès, le tribunal a pris cette cause en délibéré pour son jugement à intervenir dans le délai légal. Il y a leu de préciser qu’il y a une épreuve de force entre les acheteurs NginduMbutant, Ngenzoni, Ndongala et consorts. Tous se disent propriétaires sur base des actes de vente qu’ils avaient signés avec le chef coutumier  Mamona.
         D’après sa plainte, le colonel Ngindu, sollicite le déguerpissement de tous ceux qui habitent la parcelle en conflit au motif qu’ils n’ont pas qualité. Selon ses avocats, seul leur client est propriétaire du lieu querellé sur base des actes de propriété qu’il détient depuis 1993. Il a également son certificat d’enregistrement. Sa parcelle a été spoliée après son départ en exil à l’étranger à l’entrée de l’AFDL.  C’est en 2005, à son retour, qu’il avait trouvé des inconnus dans ladite parcelle, alors qu’ils n’ont pas des titres authentiques.
         A son tour, la partie NgezoniDebe, a demandé au tribunal de rejeter l’action sous examen au motif qu’elle n’est pas fondée. La même partie a par le truchement de ses conseils indiqué qu’elle avait acheté cette parcelle  auprès de l’épouse de feu NdongalaLusende dans la régularité jusqu’à ce qu’il avait réussi à obtenir son certificat d’enregistrement. S’il faut attaquer ce n’est pas lui mais plutôt sa vendeuse.
         Mme NdongalaLusende a soutenu que ladite parcelle  est une propriété exclusive de son feu mari. Raison pour laquelle, elle en tant que co-propriétaire avait vendu une portion à  l’actuel défendeur. Son mari avait obtenu ce patrimoine en 1991 bien avant la partie  Ngindu. On tient compte de l’antériorité des actes de propriété parce qu’une parcelle ne peut pas faire l’objet d’une vente par plusieurs acquéreurs. « Que la partie civile  puisse recontacter le chef-coutumier Mamona en tant que vendeur commun», a indiqué le conseil de Ndongala.
Cet avocat a demandé 50.000 dollars  de dommages et intérêts pour procès téméraire et véxatoire.
         Les pièces n’étant pas communiquées au ministère public pour rendre son avis sur le banc, l’organe de la loi a demandé  cette communication aux parties pour son avis écrit.
Murka

 

Actualite Fin du Ramadan : Les Musulmans pour l’unité des habitants de la RDC

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Crée le 29-07-2014  - 11H05 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER.. BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE INTERNATIONALE .  Mis à jourmardi le 29-07-2014 -16H20 PAR : LE PHARE

 

 

                                                                

 

Débuté depuis un mois, le ramadan a vécu, dans le monde et en RD Congo plus particulièrement. La cérémonie de clôture s’est déroulée en tout lieu où le jeûne a été observé le lundi 28 juillet.

Dans la ville de Kinshasa, des milliers de Musulmans se sont rendus tôt le matin au stade Tata Raphaël pour commémorer l’événement par la prière.
La communauté musulmane étant éparpillée à travers la RDC, les provinces ont, elles aussi, marqué l’événement d’un cachet spécial. Ce qui fait que dans la province du Maniema, un message clair a été lancé en direction du peuple congolais à l’occasion de la fin du ramadan. Officiant de la cérémonie organisé à la mosquée centrale de Kasuku, l’un des cinq sites de la ville de Kindu, Cheikhali Mwinyi, a fait observer que “ tout musulman doit cultiver l’unité dans sa diversité “. Et d’ajouter, dans notre pays, rien ne pourra marcher sans l’unité”.
Ce message de paix et de cohabitation pacifique comporte une valeur universelle intrinsèque. D’autant plus que sous d’autres cieux, en République du Centre Afrique (RCA) plus précisément, la cohabitation entre musulmans et chrétiens est loin d’être pacifique.
De nombreux autres pays d’Afrique vivent la même réalité, malheureusement. Tournant ses regards dans le monde, Cheikh Ali Mwiny a indiqué en plus que le saint Coran révèle que l’islam est la religion de l’unité des peuples.
Vouloir devenir musulman, il faut vivre dans l’unité car notre Dieu est unique, notre religion est unique et notre prophète est unique. Notre livre aussi est unique. Tout celui qui n’a pas cet esprit dans l’islam est considéré comme malade et doit prier pour avoir l’esprit dans l’islam.
Intervenant de la sorte à la radio okapi, Cheikh Ali Mwiny a eu des mots justes. Le message qui comporte une valeur morale en soi, est sans nul doute rassembleur, appelant à l’unité.
Quant à la ligue des jeunes musulmans pour le réveil de la conscience, le ramadan est un événement de taille qui mérite son pesant d’or. La ligue des jeunes a, par conséquent, demandé au gouvernement de reconnaître le ramadan et la fête de sacrifice (Tabaski) comme des jours fériés.
Ils se sont exprimés en ces termes : “ Nous demandons à l’Etat congolais, qui est un Etat laïc, de reconnaître officiellement dans les prochaines années ces deux fêtes “. C’est par la bouche du conseiller religieux de cette ligue, Radjabu Kabala Hassani que cette demande a été formulée.
G.O


Actualité Aubin Minaku appelé à ne pas peser pour la révision de la Constitution

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Crée le 29-07-2014  - 11H05 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER.. BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE INTERNATIONALE .  Mis à jourmardi le 29-07-2014 -16H20 PAR : LA TEMPETE DES TROPIQUES

 

 

                                                        
“En démocratie, la majorité ne peut pas tout se permettre “, a dit Me Jean Claude Katende, président national de I’ASADHO dans une tribune, pour réagir à l’interview du président de l’Assemblée nationale par rapport à la

modification de la constitution en vue de permettre à Joseph Kabila de briguer un troisième mandat alors que la loi fondamentale le lui interdit.
 
Il m’a paru important d’écrire cette réflexion pour contribuer au débat suscité par les déclarations du Secrétaire Général de la majorité au pouvoir en République Démocratique du Congo. L’impression que lesdites déclarations nous donnent est que pour Monsieur Aubin Minaku, la majorité qu’ils ont à l’Assemblée Nationale leur permet de tout faire, de tout se permettre, de faire réviser la Constitution dans le seul but de conserver le pouvoir”, dit - il. Le président de l’ASADHO estime que la déclaration de Minaku est dangereuse pour la démocratie où seul le peuple gouverne et décide de tout.
En effet, en date du 17 juillet 2014, Aubin Minaku, Secrétaire général de la Majorité présidentielle déclarait : « … le détenteur du pouvoir souverain, c’est le peuple. Et donc, pour toute question majeure aujourd’hui, demain ou après demain, nécessitant une modification des lois de la République, nécessitant une révision de la Constitution, nous les soumettrons à la sanction soit du Congrès, l’article 218 de la Constitution prévoit cette voie, soit du peuple par référendum. Donc, c’est clair, nous tenons à conserver le pouvoir et nous allons tout faire pour conserver le pouvoir par la voie des urnes, comme on l’a fait en 2006 et en 2011. Nous allons respecter la Constitution du 1er au dernier article. Ce respect signifie notamment le respect de sa procédure de révision “. Cette déclaration montre, selon le président de I’ASADHO, que la majorité au pouvoir à Kinshasa croit qu’elle peut tout se permettre peut manipuler le peuple et faire changer la Constitution au gré de ses besoins et humeurs.
 
Pareille déclaration montre aussi que la majorité ne travaille pas à la consolidation de la démocratie en R.D.Congo. Une majorité présidentielle soucieuse de promouvoir la démocratie doit, d’une part, agir en fonction des pouvoirs qui lui sont reconnus, mais elle doit aussi accepter les limites qui sont déjà tracées par la Constitution et les lois de la République, d’autre part “, affirme Katende.
 
Manque de leadership à la MP
 
L’agitation de la majorité présidentielle résiderait dans le fait qu’en dehors du Président Joseph Kabila, cette majorité n’a aucune existence réelle et ne peut gagner l’élection présidentielle 2016 sans supprimer certains principes posés par la constitution, dit le N°1 de l’ASADHO.
Pour rappel, en janvier 2011, la majorité pour conserver le pouvoir avait supprimé le deuxième tour de l’élection du Président alors que le même Président Joseph Kabila avait été élu au deuxième tour de l’élection présidentielle de 2006. Ce deuxième tour a été supprimé pour permettre au président Joseph Kabila de gagner l’élection présidentielle avec n’importe quel pourcentage.
Maintenant comme les seuls obstacles qui empêcheraient la majorité présidentielle de conserver le pouvoir sont les dispositions qui interdisent au président de briguer un troisième mandat, il faut les faire sauter en recourant au referendum. L’Ongdh s’oppose à toute révision des dispositions verrouillées de la constitution en vue de permettre au Président de la République de briguer un troisième mandat.
GKM

Actualité Budget 2015 : le processus d’orientation déclenché : La transparence et la participation citoyenne très souhaitées.

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Crée le 29-07-2014  - 11H05 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER.. BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE INTERNATIONALE .  Mis à jourmardi le 29-07-2014 -16H20 PAR : LA TEMPETE DES TROPIQUES 

                                                                   
Dans le cadre de la préparation de grandes lignes des politiques publiques à inscrire dans la loi de finances 2015, il se tient depuis hier lundi 28 juillet jusqu’au mercredi 30 juillet à l’Hôtel Sultani le séminaire d’orientation budgétaire de 2015.

Au cours de cette session, il sera débattu des politiques publiques prioritaires découlant du programme d’Actions du gouvernement prévu dans le budget de l’Etat. Cette précision se dégage du discours d’ouverture prononcé par le Vice- premier ministre et ministre du Budget, Mukoko Samba, en présence d’un bon nombre des membres du gouvernement, des partenaires bilatéraux et multilatéraux de la RDC, des délégués de la société civile, des animateurs des services générateurs des recettes ainsi que des cadres de l’Administration publique émanant de divers secteurs d’activités, sans oublier des sénateurs et députés nationaux.
 
Selon les explications fournies par le Vice-premier ministre et ministre du Budget, le document de Programmation Budgétaire des Actions du Gouvernement sur lequel se concentrent les participants au séminaire en cours pour son actualisation est appelé sous d’autres cieux « rapport préalable au budget ». Il figure dans les critères du Partenariat Budgétaire International (IBP) parmi les huit documents clés sur la transparence des finances publiques. Mukoko Samba a aussi livré les grandes lignes des politiques, publiques à inscrire dans la loi de finances 2015 telles que programmées dans la Programmation Budgétaire des Actions du Gouvernement (PBAG) 2015— 201 7.11 s’agit de la consolidation de la stabilité macroéconomique, de la promotion d’une croissance forte et de la création d’emplois. En rapport avec ces perspectives économiques, le gouvernement projette d’atteindre un taux de croissance de 10,4% en 2015 et de maintenir l’inflation aux alentours de 3%. Du côté de l’opérationnalisation du DSCRP, la politique budgétaire vise, d’une part, à accroitre le niveau des recettes publiques et, d’autre part, à rationaliser les dépenses publiques et à améliorer à la fois leur qualité et leur composition. Le recours au financement monétaire reste proscrit au sens de la loi, en vue d’assurer le maintien de la stabilité macroéconomique. Ce dans le but de rattraper les écarts constatés par rapport à l’année 2014 en ajustant les parts relatives avec comme objectif, l’amélioration du cadre de vie et des conditions sociales de la population qui demeure la première priorité dans la mise en œuvre du PAG. La part relative des ressources budgétaires y consacrées va connaître; d’après des estimations, une croissance de 22% en moyenne entre 2010 et 2014 à 37% en 2017.
 
Face aux facteurs principaux qui se sont érigés en obstacle à l’action du gouvernement lors de l’exécution de la PBGA en 2012 et au premier trimestre 2013, à savoir le niveau faible des ressources internes mobilisées, la faible traçabilité et capacité d’absorption des ressources extérieures et des difficultés liées à l’absorption des ressources transférées aux provinces, Mukoko Samba insiste pour qu’il soit, au cours du présent séminaire, bien défini la politique ou stratégie de chaque secteur et la perception claire du contenu de celle-ci. De manière à approfondir et à enrichir les stratégies sectorielles programmées avec les ministères prioritaires. Ainsi, pour la période de 2015 à 2017, le projet de lettre d’orientation budgétaire prévoit que les politiques sectorielles essentielles à aligner soient élargies aux secteurs à lois de programmation et à grandes réformes ainsi qu’aux secteurs des transports et du tourisme. En matière de santé, le Gouvernement envisage de réaliser diverses actions pour la période de 2015 à 2017 pour réduire la vulnérabilité, la mortalité et la morbidité dans le pays.
 
Dans le secteur de l’Education, le Gouvernement tient à réaliser les actions contenues dans la stratégie de l’enseignement primaire, secondaire et professionnel ou le Plan intérimaire de l’éducation.
Le secteur de l‘Agriculture et du Développement rural se trouve au centre des préoccupations du Gouvernement du fait d’énormes potentialités dont, il regorge en termes de création d’emplois, de transformation des milieux ruraux et de lutte contre le mouvement migratoire des populations vers des milieux urbains. La lutte contre la pauvreté passant essentiellement par la relance du secteur agricole et rural, e Gouvernement entend intensifier ses efforts dans le souci de permettre à ce secteur de contribuer réellement à la croissance économique et à la création d’emplois. Il est aussi envisagé la création des .richesses en milieu rural par l’amélioration qualitative et quantitative des infrastructures rurales afin d’accroître le taux d’accès à l’eau potable, la desserte en électricité en milieu rural ainsi que l’augmentation de l’accès des paysans aux marchés. L’amélioration des conditions de vie de la population, plus particulièrement dans la fourniture.de l’énergie électrique et la distribution d’eau potable tant dans les agglomérations urbaines que rurales reste une des priorités.
 
La réhabilitation des réseaux routiers, ferroviaires, maritimes et aériens est aussi un objectif de premier rang pour le Gouvernement en vue de désenclaver le pays et promouvoir la circulation des personnes et des biens et la création des richesses. En matière de tourisme, le Gouvernement se propose d’opérer des investissements indirects et induits relatifs à ce secteur.
 
Tandis qu’en matière des transports, trois axes principaux, à savoir la restauration de la boucle interne, le rétablissement progressif de l’inter-modalité des réseaux et la connectivité aux corridors régionaux, sont retenus.
 
Les Forces armées de la RDC et la Police vont poursuivre leur réforme en vue de maintenir l’intégrité territoriale du pays et de restaurer l’autorité de l’Etat concernant la première catégorie pendant que la seconde doit être rendue plus efficiente dans sa mission de sécurisation des personnes et de leurs biens. La diplomatie, la coopération au développement et la justice ne sont pas oubliées.
L’assainissement des ambassades et postes diplomatiques et le paiement des cotisations internationales sont prévus afin de redorer l’image de marque du pays pendant que l’installation des tribunaux de paix reste cruciale pour la consolidation de l’Etat de droit.
Ce travail de clarification des politiques sectorielles qui est attendu du présent séminaire, le troisième du genre dans le cadre du processus de préparation du budget de l’Etat. Il s’agit, en croire le Vice-Premier ministre et ministre du Budget, d’un exercice légal découlant de l’article 13 de la loi relative aux finances publiques, LOFIP en sigle, qui institue, pour un meilleur encadrement de la politique budgétaire, un débat autour du cadre budgétaire à moyen terme.
 
Selon l’esprit de la LOFIP, ce document qui reprend l’évolution de l’ensemble des dépenses et des recettes du pouvoir central, des provinces et des entités territoriales décentralisées ainsi que l’évolution du solde et de l’endettement doit être débattu au cours de la session budgétaire au Parlement, avant le vote de la loi de finances.
 
Dans le cadre de la progressivité prônée par la LOFIP, le Gouvernement a adopté une approche graduelle sur cette matière. Il a introduit dans la pratique budgétaire congolaise le document dénommé « Programmation Budgétaire des Actions du Gouvernement », PBAG en sigle, comme prélude du cadre budgétaire à moyen terme, ainsi que la lettre d’orientation budgétaire dont la première version a été signée par le Premier ministre Augustin Matata Ponyo, en juin 2013. Il a aussi institué les consultations d’orientations budgétaires dans le cadre du débat d’orientation prévu par la loi. D’où la tenue du présent séminaire répondant aussi à l’esprit et aux pratiques internationales sur la bonne gouvernance financière en vue d’accroître la transparence et la participation citoyenne dans le processus budgétaire étant entendu que le débat d’orientation budgétaire au sens de la loi devrait se dérouler au Parlement lors de la session budgétaire. Il a été démontré que la participation citoyenne à la conception et à, l’exécution du programme gouvernemental contribue à la réussite de celui-ci. L’adhésion des partenaires sociaux aux actions arrêtées par l’Exécutif national permet de rendre judicieux les choix dans la conception des politiques publiques à aligner. Le débat d’orientation donne lieu enfin à l’amélioration de manière générale du processus de formulation du budget par les propositions et recommandations de différentes corporations.
 
Toutes les précisions de Mukoko Samba ont été précédées par le mot de circonstance du Secrétaire général au Budget qui n’a pas tari d’éloges à l’endroit du séminaire qui reste une innovation introduite depuis deux ans dans la préparation du Budget de l’Etat. Les écrits, « Un acte de transparence et participation citoyenne au processus budgétaire » sur la banderole dans la salle de la manifestation à l’Hôtel Sultani ont confirmé par la suite à travers les différentes allocutions l’engagement pris en faveur d’un budget participatif.
MKM

Actualité Kofi Annan et l'Africa Progress Panel appellent à des investissements justes en Afrique

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Crée le 30-07-2014  - 11H05 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER.. BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE INTERNATIONALE .  Mis à jourmercredi le 30-07-2014 -16H20 PAR : ARTV NEWS

 

 

 

 

 

 

                                                               Kofi Annan et l'Africa Progress Panel appellent à des investissements justes en Afrique

 

 L'Africa Progress Panel qui regroupe dix personnalités s'intéressant au développement de l'Afrique alerte les Africains sur la nécessité du redressement des investissements étrangers dans leur économie. A travers le prisme de Stephen Yeboah, ce panel d'experts appelle les Africains à agir, ici et maintenant.

"La mine Ahafo, située dans une forêt dense au centre du Ghana, est exploitée par Newmont Gold Ghana Limited (NGGL), une filiale de l’entreprise américaine Newmont Mining Corporation. Lorsque j’ai visité la région en février 2014, les communautés en charge du site m’ont semblé bien modestes par rapport à l’ampleur des revenus de NGGL : 528 millions de dollars US en 2009, environ 10 % des exportations totales du Ghana et 4,5 % de ses investissements directs étrangers.

La situation de Newmont au Ghana illustre le rôle économique essentiel que jouent les investissements étrangers en Afrique, notamment ceux des entreprises américaines. Elle témoigne également des bénéfices considérables réalisés par les investisseurs étrangers.

En dépit des investissements massifs réalisés en Afrique, la pauvreté y est cependant généralisée, les systèmes éducatifs et de santé sont insuffisants, et des millions d’enfants souffrent de la faim. Comment expliquer un tel écart ? Il est dû en partie au fait que de nombreux investissements ne sont pas réalisés de façon transparente et responsable. Cela entraîne des pertes d’argent considérables pour l’Afrique.

La nécessité de réaliser des investissements justes, éthiques et mutuellement bénéfiques devra être au cœur des discussions du sommet États-Unis – Afrique, un événement historique qui réunira 50 dirigeants africains à Washington DC, du 4 au 6 août 2014. C’est la première fois qu’un président américain en exercice invite autant de chefs d’État et de gouvernement africains, et l’occasion d’établir quelques règles de base en faveur d’investissements éthiques qui profiteront au plus grand nombre d’Africains.

La croissance de l’économie africaine est l’une des plus rapides du monde, avec un taux de croissance moyen de 5 % par an. La région possède de surcroît des ressources naturelles et humaines en abondance et constitue un prodigieux terrain d’investissement. De nos jours, les investissements directs étrangers (IDE) représentent la plus grande source de capital privé en Afrique. La part des projets d’IDE du continent – qui est passée de 774 en 2012 à 750 en 2013 – a atteint un nouveau record au cours de la dernière décennie. L’Afrique dépend aujourd’hui beaucoup moins de l’aide humanitaire qu’il y a dix ans.

 

Cependant, une grande partie de ces investissements cible des secteurs qui ne contribuent pas nécessairement à améliorer l’existence des populations. Les secteurs pétrolier, gazier et minier ont tendance à opérer en vase clos, sans liens réels avec l’économie locale. Qui plus est, l’Afrique fait souvent l’objet d’investissements contraires à l’éthique qui entravent les efforts en faveur de la croissance inclusive, de la réduction de la pauvreté et de l’amélioration de la sécurité alimentaire et nutritionnelle.

On estime par exemple que l’Afrique perd chaque année 5,7 % de son PIB en flux financiers illicites, essentiellement en raison de la fraude fiscale. Le rapport 2013 sur les progrès en Afrique, intitulé Équité et industries extractives en Afrique : pour une gestion au service de tous, révèle comment ces pratiques privent les gouvernements des régions africaines riches en ressources de milliards de dollars pour soutenir le développement.

L’agriculture et la pêche souffrent d’un sous-investissement chronique et d’investissements contraires à l’éthique. D’après le Rapport 2014 sur les progrès en Afrique, Agriculture, pêche et capitaux : comment financer les révolutions verte et bleue de l’Afrique, on estime que le pillage des ressources halieutiques et forestières en raison de la corruption et d’investissements sans scrupules fait perdre à l’Afrique de l’Ouest 1,3 milliard de dollars, sans compter les 17 milliards de dollars US perdus suite aux activités d’exploitation forestière illicites. Kofi Annan, ancien Secrétaire général des Nations Unies et président de l’Africa Progress Panel ajoute que « le pillage des ressources naturelles est du vol organisé sous couvert de commerce. »

L’Afrique doit transformer son économie afin que la croissance bénéficie à tous et réduise la pauvreté et les inégalités. Une telle transformation passe nécessairement par les investissements, mais seulement s’ils sont transparents et justes.

Les investissements éthiques dans l’agriculture sont particulièrement importants, car le potentiel de ce secteur est considérable. Étant donné que les deux-tiers des Africains sont dépendants de l’agriculture, stimuler la production agricole est un moyen très efficace de réduire la pauvreté et les inégalités. « Nous devons considérablement renforcer les secteurs de l’agriculture et de la pêche, car ils fournissent des moyens d’existence à près de deux-tiers des Africains», a déclaré M. Annan".

D'autres travaux sur ces recherches portant sur l'Afrique figurent à cette adresse: http://africaprogresspanel.org/la-transformation-economique-de-lafrique-passera-par-des-investissements-justes-et-ethiques/.

Actualité Avec la montée en puissance des BRICS, le FMI envisage le changement

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Crée le 30-07-2014  - 11H05 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER.. BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE INTERNATIONALE .  Mis à jourmercredi le 30-07-2014 -16H20 PAR : ARTV NEWS  

                                                            Avec la montée en puissance des BRICS, le FMI envisage le changement

Quand Christine Lagarde, directrice du Fonds monétaire international (FMI), a déclaré en juin qu'elle ne serait pas surprise si le siège du FMI déménageait un jour de Washington à Beijing, ces remarques ont été largement interprétées comme une validation de l'économie chinoise et une expression de sa frustration vis-à-vis de l'échec des Etats-Unis à ratifier la réforme des quotas du FMI qui vise à donner aux économies émergentes plus de poids sur la scène internationale, comme elles le méritent. 

Lors d'une table ronde à l'attention des médias tenue mardi, Mme Lagarde a souligné qu'il n'y a pas de lien entre la manoeuvre des BRICS et la réforme des quotas du FMI qui est actuellement au point mort.

Mais elle a également déclaré qu'avec le nouvel équilibre du pouvoir, il y a un besoin de multiplier les couches des filets de sécurité financiers mondiaux, avant d'ajouter qu'elle était heureuse de voir la coopération et la coordination progresser parmi les piliers de ces réseaux. 

Pour refléter la croissance et l'influence sous-représentées des économies émergentes, la réforme des quotas du FMI appelle à un changement de 6% dans les quotes-parts pour les économies émergentes. Cela propulserait la Chine, dont le vote a moins de poids que ceux des pays du Benelux (Belgique, Pays-Bas et Luxembourg), au rang de troisième plus grand actionnaire. Les actions pour la Russie, l'Inde et le Brésil vont également augmenter.

La réforme, cependant, a été retardée pendant quatre ans car elle est bloquée par le Congrès américain, qui conserve son droit de veto.

"L'échec du Congrès américain à ratifier la réforme des quotas mine la crédibilité de l'institution", a souligné mardi Mme Lagarde.

La question l'obnubilait depuis le début de l'année. Lors de la réunion de printemps du FMI en avril, elle a même laissé entendre l'existence d'un "plan B" si les Etats-Unis ne parvenaient pas à approuver la réforme d'ici la fin de l'année.

Malgré sa frustration, Mme Lagarde a travaillé dur pour que l'organisation forte de 188 membres ne ressente pas les effets négatifs de la réforme qui n'avance pas. Pour cette raison, les économies émergentes ne renonceront pas à leur aspiration à construire un ordre financier mondial plus équilibré.

Mme Lagarde a indiqué que le FMI devrait coopérer avec la nouvelle banque de développement des BRICS.

"L'équilibre des forces a changé. Il y a des affrontements, des puissances économiques qui émergent, se consolident et coopèrent... Le monde devient à la fois global et interdépendant et a probablement besoin de différentes couches pour ces filets de sécurité", a-t-elle souligné à la table ronde.

"Mais je ne vois rien qui est incompatible avec la mission du FMI. La coopération et la coordination entre les piliers des filets de sécurité internationaux, dont le FMI est une pièce centrale, progressent inexorablement. Le FMI pourrait s'y consacrer davantage, et je trouve cela terriblement excitant pour l'avenir", a-t-elle ajouté.

Ce mois de juillet marque le troisième anniversaire de l'arrivée de Mme Lagarde à la tête du FMI. Elle a conduit l'institution à calmer les ardeurs financières des pays européens et à repositionner le travail du FMI pour aborder le changement climatique, l'inégalités des revenus et le rôle des femmes dans la population active - des questions qui n'avaient jamais fait l'objet de recherches de la part du FMI auparavant.

"Le monde a changé autour du FMI, et le FMI a lui-même énormément changé. Il va continuer de changer, et c'est l'un des atouts de cette institution", a-t-elle noté.

 

Actualité Dialogue sur les grossesses précoces dans le monde scolaire au Togo

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Crée le 30-07-2014  - 11H05 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER.. BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE INTERNATIONALE .  Mis à jourmercredi le 30-07-2014 -16H20 PAR : ARTV NEWS          

                                                       Dialogue sur les grossesses précoces dans le monde scolaire au Togo  

Les grandes lignes de cette rencontre à Lomé (à l'Hôtel Sancta Maria) sont condensées dans ce document bâti par le CADERT: "Au Togo, l’éducation de la jeune fille est menacée par des cas de grossesses souvent recensés en milieu scolaire. Entre 2009 et 2012, 5343 cas de grossesses ont été enregistrés sur toute l'étendue du territoire national. Lors de l’année scolaire 2012-2013, près de 7000 grossesses précoces ont été enregistrées.

Le drame dans le milieu éducatif échappe aujourd’hui à tout contrôle avec pour conséquence : des jeunes filles qui écourtent leurs études au détriment des garçons, qui eux  poursuivent leur  cursus scolaire en toute tranquillité. Le phénomène n’épargne pas les enfants. Des petites  filles du cours primaires dont l’âge est souvent compris entre 08 et 12 ans sont aussi victimes de ces grossesses précoces. Il s’agit souvent des rapports sexuels entre enseignants - élèves, élèves - élèves ou un individu externe au système éducatif. Ces dérives graves dans le système éducatif au Togo sont souvent restées impunies même si le législateur togolais a prévu des dispositions légales, des peines allant jusqu’à 10 ans de prison pour les présumés auteurs. Mais, ces textes ne sont nullement respectés et l’éducation de la jeune fille  togolaise est en danger si rien n’est fait pour mettre un frein à ce phénomène.

L’objectif principal de cette journée de rencontre est de discuter avec les acteurs de la protection de l’enfance, des acteurs du système éducatifs, élèves et parents ; des causes, conséquences et approche de solutions aux grossesses en milieu scolaire, afin de formuler des recommandations à l’endroit des acteurs de la protection de la jeune fille scolarisée.

Objectifs

L’objectif principal de cette journée de rencontre est de discuter avec les acteurs de la protection de l’enfance, des acteurs du système éducatifs, élèves et parents ; des causes, conséquences et approche de solutions aux grossesses en milieu scolaire, afin de formuler des recommandations à l’endroit des acteurs de la protection de la jeune fille scolarisée.

 

Résultats attendus

Réduction du taux de grossesses précoces en milieu scolaire; Mise en place d’un plaidoyer pour un renforcement des lois protégeant les jeunes filles en milieu scolaire; Des propositions permettant d’assainir les relations entre les jeunes filles scolarisées et leurs camarades, enseignants et autres acteurs.

Bénéficiaires

Les principaux bénéficiaires de cette journée seront les élèves, les différents ministères de l’enseignement, les parents d’élèves, les ONG et tout le système éducatif, car elle permettra de lancer des réflexions autour des jeunes filles dans le système éducatif togolais.

Méthodologie

Le dialogue se fera autour d’une communication principale et d’un panel, suivis ensuite de questions et réponses des participants, composés d’associations et ONG travaillant dans le milieu scolaire, les organisations internationales spécialisées, les regroupements représentant les enfants, bref de tous les acteurs du secteur".

 

Afriquinfos

Actualité Revue de la presse rd-congolaise

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Crée le 30-07-2014  - 11H05 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER.. BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE INTERNATIONALE .  Mis à jourmercredi le 30-07-2014 -16H20 PAR : ARTV NEWS          

 

                                                                     Revue de la presse rd-congolaise

Le ministre des Affaires étrangères, de la coopération internationale et de la Francophonie, Raymond Tshibanda N' tungamulongo, participe, du 28 au 31 juillet 2014, à Cotonou au Benin, à la Conférence ministérielle sur de nouveaux partenariats pour le renforcement des capacités productives dans les Pays les moins avancés (PMA), sous le thème : "Développer de nouveaux partenariats pour le renforcement des capacités productives des Pays les Moins Avancés". Le chef de la diplomatie congolaise, Raymond Tshibanda, a présidé la session 5 de la séance du mardi, 29 Juillet 2014, sous le thème : "Infrastructures physiques".

L'Avenir

C'est un faux procès de prétendre que la famille politique de Joseph Kabila veut modifier la Constitution, plus spécialement l' article 220, pour permettre à ce dernier de briguer un troisième mandat présidentiel, car ni Joseph Kabila lui-même, ni le Secrétaire général de la Majorité présidentielle, ni même le porte- parole du gouvernement n'a dit que Joseph Kabila est candidat aux élections présidentielles non encore convoquées de 2016. Par rapport à une certaine agitation d'une opposition en débandade, Pius Muabilu, président national du Congrès national Congolais ( CNC) se pose la question de savoir, comment faire confiance à une opposition dont les leaders ne sont jamais unis autour d'un idéal et n'ont de programme en commun que le partage équitable et équilibré du pouvoir ? Quel crédit accorder à une opposition qui est plus préoccupée par la formation du gouvernement de cohésion nationale que par la tenue des prochaines élections ?

La Prospérité

Plus question de se voiler la face. Le credo «L'homme qui fait, détient également le pouvoir de défaire» est sans équivoque. Le Parti du Peuple pour la Reconstruction et la Démocratie (PPRD) en fait sien, et se battra becs et ongles pour sa défense. C'est ce qu'Evariste Boshab Mabuj Mabilenge a dit, hier, mardi 29 juillet 2014, aux militants de son Parti, massés au siège, sur l'avenue Pumbu, à la Gombe. Sans tenir sa langue en bribe, il a présenté laposition du PPRD par ce bout de phrase lapidaire : "(..) le PPRD tirera toutes les conséquences entre une Constitution liée, en son temps, à la paix de brave entre belligérants et, une Constitution dont la mission est de faire de notre pays un Etat émergent". Clair, comme un verre réverbère, le Secrétaire Général du PPRD n'a pas attendu. Evariste Boshab invite chaque membre de son Parti, où qu'il se trouve, à se lancer dans la campagne d'explication de cette position. Il estime que l'heure n'est pas à se prêter aux discours des ennemis de la République, qui multiplient des embûches sur le parcours du peuple congolais et cherchent à s'en approprier, sans en avoir eu le moindre mandat. Mais, que l'heure est plutôt à la mobilisation pour les élections locales, municipales et urbaines, à venir. Ce faisant, il a demandé aux militants candidats de prendre les dispositions utiles, pour passer aux sièges des différentes fédérations afin de vérifier l' orthographe de leurs noms. Car, dans les quinze jours qui suivent, toutes les listes seront transmises au Secrétariat Général du Parti, pour les arbitrages nécessaires, a-t-il fait savoir.

Actualité Revue de la presse ivoirienne

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Crée le 30-07-2014  - 11H05 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER.. BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE INTERNATIONALE .  Mis à jourmercredi le 30-07-2014 -16H20 PAR : ARTV NEWS         

                                                            Revue de la presse ivoirienne

Fraternité Matin

Le président de la République Alassane Ouattara a quitté Abidjan mardi pour le Burkina Faso où il prendra part à la 4e conférence au sommet du Traité d'amitié et de coopération entre les deux pays. Cette rencontre qui a débuté le 27 juillet prendra fin le 30 juillet à Ouagadougou. En début du mois de juillet, les ministres des Affaires étrangères des deux pays avaient, au cours d'une rencontre à Abidjan, validé le rapport ministériel sur la mise en œuvre des décisions et recommandation issues de la précédente rencontre au sommet. Ils avaient également planché sur des textes de 26 projets d'accords qui devraient être signés le 30 juillet par les deux chefs d'Etat dans la capitale burkinabè.

Le Mandat

Le prochain sélectionneur des Eléphants de Côte d'Ivoire sera connu vendredi. Il sera ensuite présenté officiellement dimanche lors de la finale de la Coupe nationale. La date du 31 juillet 2014 est attendue avec beaucoup d'impatience par les Ivoiriens. Le calendrier de la Fédération ivoirienne de football (FIF), dirigée par Augustin Sidy Diallo, indique que ce jour là, le nouveau patron de l'encadrement technique des Eléphants sera connu. A l'appel à candidature le 8 juillet, l'on a enregistré 37 dossiers à la clôture le 14 juillet. Entre le 14 et 21 juillet, un tri a été fait et cinq sélectionneurs ont été retenus. Le vendredi 25 juillet 2014, le comité exécutif de la Fédération ivoirienne de football a procédé à l'analyse des cinq candidatures retenues par le Comité technique de recrutement du sélectionneur national.

L'Inter

La chefferie du village d'Akouédo (banlieue d'Abidjan) a convoqué une réunion de crise le 24 juillet pour examiner de plus près la situation de la décharge et prévoit pour bientôt une manifestation en vue d'interpeller l'Etat de Côte d'Ivoire sur les dangers que court la population de son village, si rien n'est fait dans l'urgence. L'accord qui lie la communauté villageoise d'Akouédo et l'Etat de Côte d'Ivoire sur l'exploitation du site de la décharge a expiré depuis le 30 juin dernier. Cette date marque l'expiration du protocole qui donne carte blanche aux sociétés prestataires de déverser sur le site, les nombreuses ordures ménagères collectées dans le district d'Abidjan.


Actualité Guinée : Le gouvernement décrète une semaine de deuil suite à la bousculade meurtrière

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Crée le 30-07-2014  - 11H05 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER.. BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE INTERNATIONALE .  Mis à jourmercredi le 30-07-2014 -16H20 PAR : ARTV NEWS              

                                                       Guinée : Le gouvernement décrète une semaine de deuil suite à la bousculade meurtrière

''C'est avec consternation et une vive émotion que le gouvernement a appris le drame tragique survenu le 29 juillet 2014 dans la soirée, suite à des mouvements de foule lors d'un événement culturel organisé à une plage de Taouyah'', indique le communiqué sans donner de bilan.

Le gouvernement a précisé qu'en attendant les conclusions de l'enquête, les informations en possession des services de sécurité et de santé font état de mort d'hommes et de plusieurs blessés.

Des sources médicales avaient fait état de plus de 23 morts, dont 13 filles, et 5 blessés.

Les services de santé s'activent en ce moment pour porter secours aux blessés.

Selon le même communiqué, face à cette situation pénible, le président guinéen Alpha Condé a annoncé la suspension du directeur général de l'Agence guinéenne de spectacles et a saisit le procureur de la république, près le Tribunal de première instance de Dixinn, pour mener les enquêtes afin de situer les responsabilités.

Par ailleurs, le chef de l'Etat a engagé les responsables à tous les niveaux afin qu'ils prennent les dispositions nécessaires pour que plus jamais pareil drame ne se reproduise dans le pays.

Pour finir, le président Condé a présenté ses condoléances aux familles des victimes tout en exprimant ses sentiments de compassion aux blessés en cette douloureuse circonstance.

 

Actualité Cap-Vert/Aïd-el-Fitr : La communauté musulmane veut construire une mosquée "présentable"

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Crée le 30-07-2014  - 11H05 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER.. BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE INTERNATIONALE .  Mis à jourmercredi le 30-07-2014 -16H20 PAR : ARTV NEWS              

 

                                                               Cap-Vert/Aïd-el-Fitr : La communauté musulmane veut construire une mosquée "présentable"

Cette volonté a été exprimée à l' occasion de la célébration mardi de l'Aïd-el-Fitr par son représentant, Ahmadou Neka Thian.

"Le Cap-Vert a besoin d'une mosquée plus grande afin que le pays soit en mesure de recevoir, par exemple, un ambassadeur musulman ou une délégation musulmane, puisqu'il n'y a aucun endroit approprié pour pratiquer le culte" (musulman), a-t-il affirmé à Xinhua, ajoutant que 17 pays musulmans travaillent en ce moment au Cap-Vert avec l'association qu' il dirige.

L'association attend, a-t-il dit, la réponse de l'Etat capverdien à sa demande d'une parcelle de terrain afin de construire une grande mosquée, ainsi qu' une école d'enseignement général et de formation professionnelle.

Le responsable religieux a assuré que non seulement les musulmans au Cap-Vert, mais aussi tous les pays africains musulmans vont se mobiliser pour construire cette mosquée.

Selon Neka Thian, la communauté musulmane au Cap-Vert, pays majoritairement catholique, est forte d' environ 4.000 personnes.

Actualité Aïd-el-Fitr : La situation à Gaza au centre des sermons d'imams sénégalais

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Crée le 30-07-2014  - 11H05 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER.. BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE INTERNATIONALE .  Mis à jourmercredi le 30-07-2014 -16H20 PAR : ARTV NEWS          

 

                                                                 Aïd-el-Fitr : La situation à Gaza au centre des sermons d'imams sénégalais

"Nous passons cette fête dans un contexte international difficile, marqué par l'agression israélienne sur le peuple palestinien", a déclaré l'imam Ismaïla Dème qui a dirigé la prière dans une grande mosquée de Pikine dans la banlieue de Dakar.

Le guide religieux a appelé les Etats arabes à s'unir pour défendre leurs frères palestiniens, devant "l'impuissance" de l' ONU et la "complicité" des grandes puissances occidentales.

"Il est temps d'arrêter cette agression israélienne. Il faut que les pays arabes s'unissent pour défendre leurs frères palestiniens. Nos frères palestiniens font face à une agression au vu et su de tout le monde. Il est temps d'arrêter cette agression", a-t-il poursuivi.

"Disons la vérité, ce sont les Etats-Unis et les grandes puissances qui ont donné carte blanche aux Israéliens pour massacrer le peuple palestinien", a indiqué l'imam Dème.

Pour sa part, le Khalife de Médina Baye, un quartier de la ville de Kaolack (centre du Sénégal), Cheikh Ahmet Tidiane Ibrahima Niass, a, dans son sermon, demandé le retour "de la paix et de la dignité humaine" en Palestine, rapporte l'Agence de presse sénégalaise (publique).

De son côté, l'imam de la mosquée omarienne (une des grandes confréries religieuse du pays), Thierno Seydou Nourou Tall, a regretté que ce jour de fête soit "un jour de tristesse" pour ses frères musulmans de la Palestine, qui "subissent nuit et jour les massacres de l'armée israélienne".

Cette année, les musulmans sénégalais ont fêté l'Aïd-el-Fitr à des dates différentes, dimanche, lundi et mardi, en raison de divergence sur l'apparition du croissant lunaire qui marque la fin du mois de Ramadan.

 

Actualité Libye: La France évacue des ressortissants français et britanniques

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Crée le 30-07-2014  - 11H05 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER.. BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE INTERNATIONALE .  Mis à jourmercredi le 30-07-2014 -16H20 PAR : ARTV NEWS

                                                                 Libye: La France évacue des ressortissants français et britanniques

"Le rapatriement des Français" de Libye a été "évoqué" lors du Conseil des ministres, a déclaré le porte-parole devant la presse, précisant que la France avait "rapatrié en même temps (....) des ressortissants britanniques".

L'ambassade de France a recensé et rassemblé 55 Français, a-t-on précisé dans l'entourage du ministre.

"Ils ont été évacués, d'après ce qu'a dit le ministre des Affaires étrangères (Laurent Fabius), par bateau" ainsi "qu'un certain nombre de ressortissants britanniques", a précisé M. Le Foll.

Paris avait demandé lundi à ses ressortissants en Libye - moins d'une centaine - de quitter le pays devant la dégradation de la situation sécuritaire. Ces derniers étaient invités à entrer au plus vite en contact avec l'ambassade de France à Tripoli, chargée de les localiser.

Leur évacuation devait se faire ensuite rapidement, à bord d'un bâtiment de la Marine nationale.

Plusieurs autres pays européens, dont le Royaume-Uni, l'Allemagne, les Pays-Bas et l'Italie, ont également enjoint à leurs ressortissants de quitter le pays.

La situation en Libye s'est fortement dégradée ces derniers jours, notamment autour de l'aéroport de Tripoli, où de violents combats opposant des milices rivales ont déjà fait une centaine de morts et provoqué d'importants dégâts depuis la mi-juillet.

 

 

Actualité Référendum constitutionnel : la Majorité Présidentielle déchire enfin le voile

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Crée le 30-07-2014  - 11H05 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER.. BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE INTERNATIONALE .  Mis à jourmercredi le 30-07-2014 -16H20 PAR : LE PHARE

 

                                                  
Evariste Boshab, Secrétaire général du PPRD, a lancé hier mardi 28 juillet 2014, le plus officiellement du monde, le mot d’ordre à la mobilisation générale des cadres et militants de ce parti en faveur de la révision constitutionnelle.

Lorsqu’un tel message émane de la direction politique du parti-phare de la Majorité Présidentielle, cela implique forcément la mise au pas de tous ses partenaires membres de la famille politique du Chef de l’Etat.
            Une chose est désormais sûre : les « Kabilistes » viennent de déchirer le voile qui couvrait, depuis plusieurs mois, un sujet que certains ont tenté d’ériger en tabou.
Distribution planifiée des rôles ?
            Dans ce feuilleton de la révision Constitution, le modus operandi en chantier au sein de la Majorité Présidentielle fait penser à distribution planifiée des rôles. En revisitant un passé récent, l’on constate que c’est Evariste Boshab, auteur de ce qui paraissait comme un ouvrage controversé, qui avait lancé le premier pavé dans la mare. Ce ballon d’essai, destiné à sonder l’opinion nationale, avait été lancé dans un climat de timidité politique générale dans sa propre famille politique, suite au tollé suscité dans l’opinion par le charcutage intempestif par le Parlement (Sénat et Assemblée Nationale), en janvier 2011, de la Constitution du 18 février 2006.
            A l’époque, le Secrétaire général du PPRD, victime des flèches empoisonnées de l’Opposition et d’une partie de la Société civile, était contraint d’afficher plus sa casquette de professeur d’université que celle de cadre de la Majorité Présidentielle. Les attaques contre son livre étaient si virulentes qu’il avait paru, à un moment donné, comme un homme seul, condamné à défendre tout seul une initiative qui paraissait ne pas avoir reçu le quitus de son « Autorité morale ».
            Lors des Concertations nationales (septembre-octobre 2013), tous les ingrédients semblaient réunis pour faire endosser, par ce forum, l’option de la modification de la Constitution. Mais, contrairement aux attentes des uns et aux craintes des autres, les résolutions et recommandations soumises à la sanction du Chef de l’Etat étaient muettes à ce sujet.
Beaucoup d’eau s’est mise alors à couler sous le pont, laissant l’impression que la Majorité Présidentielle n’était pas partie prenante dans la révision constitutionnelle. A cet effet, Aubin Minaku, Secrétaire général de ce regroupement politique et président de l’Assemblée Nationale, avait juré plusieurs fois à travers les médias tant nationaux qu’internationaux, que le président de la République respecterait les prescrits de la Constitution.
            Le Chef de l’Etat lui-même, au terme d’un « Conclave » organisé dans sa ferme, à Kingankati, avait demandé à ses troupes de se concentrer sur les acquis des deux premières années de son mandat (fin de la guerre à l’Est, cohésion nationale, réconciliation nationale, assainissement du cadre macro-économique, justice et respect des droits de l’homme, changement de mentalités, modernisation des infrastructures de base, relance de la production intérieure, lutte contre le chômage, etc.) et de ne pas se laisser distraire par le débat autour d’un prétendu projet d’amendement de la Constitution.
            Pendant un temps assez long, Aubin Minaku a continué à soutenir que ni le Chef de l’Etat, ni la Majorité Présidentielle, ne toucherait à la Constitution. L’on a cru, qu’il en serait effectivement ainsi, jusqu’à ce que le ministre de l’Intérieur, Richard Muyej, cadre du PPRD et de la famille politique du Chef de l’Etat, ne crée la surprise en prenant la charge de ficeler, pour le compte du gouvernement, quatre projets de lois dont l’un portant révision de la Constitution, sans préciser les matières visées.
            Le débat était ainsi brutalement rouvert au sujet de la révision constitutionnelle, pour finalement se préciser après les propos d’Aubin Minaku lâchés à partir du Canada, et faisant état de l’organisation d’un référendum, au terme duquel le peuple congolais allait se prononcer sur la révision de la Constitution, laquelle devait toucher des matières dites « verrouillées ». De retour au pays, cette personnalité politique a confirmé l’option de la modification de la Constitution, suivie en cela par d’autres cadres de la Majorité Présidentielle, dont Sébastien LuzangaShamandevu, son porte-parole, et Richard Muyej, ministre de l’Intérieur.

Kabila candidat ou pas à un troisième mandat ?

            La position de la Majorité Présidentielle est désormais claire : les articles intangibles de la Constitution peuvent être « déverouillés » par référendum, si telle est la volonté du souverain primaire. La grande énigme reste à savoir si son « Autorité morale » est favorable à pareille initiative. Joseph Kabila aimerait-il se porter candidat à sa propre succession, pour un troisième mandat ? Il est difficile de le savoir. Serait-il au contraire l’otage des « Faucons » qui le pousseraient à solliciter les suffrages populaires après 2016, au risque de perdre leurs privilèges divers découlant de leur présence aux postes de direction et de gestion de la République ? Il est difficile de risquer un pronostic.
            Toujours est-il que les ex-Zaïrois se souviennent des blocages à répétition du processus démocratique orchestrés par les « Mobutistes » entre 1990 et 1997, alors que le maréchal Mobutu avait ouvert les vannes de la démocratisation. On se rappelle aussi qu’après la chute de ce dernier, nombre d’entre eux avaient vu leur fortune fondre comme  neige au soleil, avant que quelques uns ne réussissent à rebondir comme « Kabilistes », après le Dialogue intercongolais et surtout les élections de 2006.

Référendum : la volonté du peuple sera-t-elle respectée ?

En dépit de tout ce qui se dit autour de l’initiative de la Majorité Présidentielle, on retient que le référendum est un exercice constitutionnel. En tant que tel, il est inévitable dès lors qu’un problème national exige d’être tranché par cette voie. Ce qui inquiète, c’est de savoir si la volonté populaire sera scrupuleusement respectée dans les urnes. A ce sujet, la CENI (Commission Electorale Nationale Indépendante) ne donne pas des garanties suffisantes de transparence, en raison notamment de son fameux serveur interdit de tout audit, par les partis politiques et la Société civile de ses kits électoraux qui affichent souvent des statistiques de votants supérieures et celles des électeurs réellement enrôlés, des bureaux de vote et de dépouillement militarisés, où témoins et observateurs sont placés dans l’impossibilité de faire leur travail, des opérations controversées de compilation des résultats même avec le concours des NTIC, etc.
Il y a aussi la question de l’ouverture de l’espace politique à tous les courants d’opinion, de manière à permettre aux « pro » comme aux « anti » révision constitutionnelle de battre campagne à Kinshasa comme aux quatre coins de la République. Si les autorités politiques et administratives aux pouvoirs excessifs et enclins aux abus s’investissent dans la répression systématique des activités des membres de l’Opposition et de la Société Civile dans la mobilisation de l’opinion contre le déverrouillage de la Constitution, on aura sérieusement faussé le jeu démocratique en amont et la vérité des urnes en aval.
Kimp

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