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Channel: AFRIQUE REDACTION . L'information en continu ! Afrique au cœur de l’actualité...Infos News sur la RDC, les brèves de la dernière minute. Synthèse sur l’actu internationale. rdcongo-kinshasa, Nord et Sud KIVU, Kinshasa, Bas Congo, Dongo, Equateur, Maniema, Lubumbashi, les deux Kasai. Rédacteur en Chef : BONGOS Roger
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Actualité De plus en plus de migrants venus d'Afrique subsaharienne s'établissent au Maroc

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Crée LE 28-08-2014  - 00H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE jeudi  le 28-08-2014 - 10H30 PAR : ARTV NEWS

 

 

 

 

 

                                              
                                                                         

Le Maroc est un pays attractif pour des immigrés venus de différents pays africains. La présence subsaharienne sur le sol marocain est de plus en plus visible, vu le nombre important des contingents de migrants qui choisissent de s'installer dans différentes villes du Maroc, notamment dans les métropoles telles que Casablanca, Rabat, Tanger.

Cette présence subsaharienne intervient dans un contexte particulier. En effet, depuis le début des années 1990, le Maroc, qui à l'origine était connu comme un pays d'émigration, est de plus en plus traversé par des migrants subsahariens en route vers l'Europe. Les difficultés rencontrées aujourd'hui pour arriver au vieux continent contribuent entre autres à une installation de ces migrants de transit au Maroc.

Ces migrants sont originaires d'une quarantaine d'Etats africains. La majorité d'entre eux, selon le ministère de l'Intérieur marocain, sont originaires du Mali, du Sénégal, de la Gambie, du Nigeria et du Ghana. Certains viennent même de pays lointains tels que l'Éthiopie, la Somalie, Djibouti et l'Erythrée. A ces émigrés s'ajoutent un nombre considérable d'étudiants. L'effectif des étudiants subsahariens s'accroît considérablement depuis quelques années. Aujourd'hui, les effectifs de ces étudiants fréquentant des établissements publics et privés sont estimés à plus de 10.000.

Selon une étude réalisée conjointement par le Centre d'Etudes et de Recherches Démographiques (CERED) du Maroc et le Conseil de la communauté marocaine à l'étranger (CCME), ces émigrés trouvent parfois de petits emplois occasionnels dans le secteur informel : la construction, l'agriculture et la vente ambulante. Aussi, ils sont plus souvent recrutés par des particuliers plutôt que par des entreprises. Quant à l'accès au marché formel du travail, il reste conditionné par l'obtention de documents valables. Dans les grandes villes marocaines, les migrants économiques sont en concurrence avec les nationaux pour un nombre restreint d'emplois manuels.

Pour humaniser les conditions de leur vie, le roi marocain Mohamed VI a, en septembre 2013, donné des instructions au gouvernement marocain pour faire cesser les refoulements et autres tracasseries auxquels les migrants africains sont confrontés. Le roi a également ordonné la régularisation de certaines catégories des migrants sans papier, en majorité des subsahariens, résidant illégalement depuis de nombreuses années dans plusieurs villes du pays. Ils seraient, selon le ministère marocain de l'Intérieur, entre 25.000 et 40.000, et la plupart ont choisi de s'installer au Maroc.

Entre le 1er janvier et le 31 décembre 2014, les immigrants établis illégalement au Maroc pourront régulariser leur situation. Il s'agit, selon le ministère chargé des Marocains résidant à l'étranger et des Affaires de la Migration, des étrangers conjoints de ressortissants marocains justifiant d'au moins 2 ans de vie commune, des étrangers conjoints d'autres étrangers en résidence régulière au Maroc et justifiant d'au moins 4 ans de vie commune, des enfants issus des deux cas susvisés, des étrangers disposant de contrats de travail effectifs d'au moins 2 ans, des étrangers justifiant de 5 ans de résidence continue au Maroc, et des étrangers atteints de maladies graves et se trouvant sur le territoire national avant le 31 décembre 2013.

Le ministre marocain de l'Intérieur, Mohamed Hassad, avait indiqué que les conditions d'éligibilité à la régularisation demeurent plus flexibles et moins exigeantes que celles imposées par d'autres pays d'accueil de migrants. La même source précise que, "la loi relative au séjour des étrangers au Maroc accorde toutes les garanties nécessaires à ces personnes et confère une protection particulière aux femmes enceintes et aux mineurs".


Actualité Guinée : l'opposition accuse le gouvernement d'indifférence dans la gestion de l'Ebola

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Crée LE 28-08-2014  - 00H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE jeudi  le 28-08-2014 - 10H30 PAR : ARTV NEWS

                                                                     

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Les partis politiques regroupés au sein de l'opposition républicaine ont fustigé mercredi l'indifférence du gouvernement et la mauvaise gestion de la maladie à virus Ebola qui sévit actuellement dans le pays et qui a fait déjà plus de 600 morts dans le pays.

Au cours d'une rencontre avec la presse locale, le porte-parole de l'opposition républicaine et député nationale Aboubacar Sylla, a affirmé que la fièvre Ebola n'est pas une fatalité, mais qu'une mauvaise politique de gestion sanitaire a favorisé la propagation de la maladie dans les différentes régions naturelles du pays.

Pour les leaders de l'opposition, l'isolement de la Guinée s'explique par le fait que le pouvoir en place n'a pas pris des dispositions présentatives et préliminaires, afin de contrer l'épidémie d'Ebola dans la première localité touchée.

"Nous invitons les autorités guinéennes à mettre à disposition des moyens suffisants pour la lutte contre la fièvre Ebola", a dit M. Sylla, avant d'ajouter qu'il y a une nécessité aujourd'hui d'agir "bien et vite" pour sauver les populations guinéennes, qui ont payé un sérieux prix face à cette épidémie.

Actualité Le personnel d'Air Madagascar s'élève contre la liste noire de l'UE

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Crée LE 28-08-2014  - 00H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE jeudi  le 28-08-2014 - 16H30 PAR : ARTV NEWS

 

 

 

                              

 

 

Les employés de Air Madagascar sont en grève depuis mardi pour manifester leur " mécontentement" vis-à-vis de l'Union européenne (UE) qui maintient depuis plus de deux ans et demi la compagnie aérienne malgache dans sa "liste noire", selon un communiqué publié mercredi par les syndicats des employés de la compagnie.

Air Madagascar a été placée dans l'annexe B de la "liste noire" depuis 2011, annexe qui impose des restrictions d'exploitations dans l'UE. Paris et Marseille sont les deux seules destinations européennes de la compagnie.

"Les syndicats ont adopté une position commune qui est de manifester notre mécontentement face à l'annexe B, que nous jugeons être un outil utilisé par la partie française afin de monopoliser la ligne Madagascar-France", indique le communiqué.

Depuis mardi, les employés ont aussi manifesté à l'aéroport international d'Ivato à Antananarivo pour réclamer la suppression de Air Madagascar de la liste noire de l'UE.

"Lever l'annexe B ou pas de vols en provenance de France", a-t- on lu sur les banderoles brandies par les manifestants.

Par ailleurs, un avion de Air France en provenance de Paris, qui devait atterrir à Antananrivo mardi soir, a été dérouté vers la Réunion, parce que l'assistance au sol n'a pas été fournie.

Actualité Sierra Leone: l'OMS rappelle son personnel de Kailahun rappelle son personnel de Kailahun

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Crée LE 28-08-2014  - 00H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE jeudi  le 28-08-2014 - 16H30 PAR : ARTV NEWS

 

 

                                      
                                                   

 

 

L'Organisation mondiale de la santé (OMS) a déclaré mardi avoir rappelé provisoirement son personnel médical de Kailahun, district de l'est de la Sierra Leone, à Freetown, capitale du pays, après la contamination d'un de ses employés au cours du week-end.

"C'était la chose responsable à faire. L'équipe terrain a traversé un moment traumatisant à cause de cet incident", a expliqué le nouveau représentant de l'OMS en Sierra Leone, Daniel Kertesz.

L'OMS a envoyé une équipe mardi à Kailahun près de la frontière avec la Guinée afin de comprendre comment un de ses employés a été contaminé. D'après l'OMS, ce dernier va bientôt être rapatrié.

"Nous reconnaissons que cela interrompra le travail sur le terrain sur le court terme, mais cela garantira la protection de notre personnel soignant et aidera la communauté sur le long terme ", a expliqué Dr Kertesz. "Nous faisons en sorte de pouvoir retourner sur le terrain le plus rapidement possible".

Une fois l'enquête achevée et des mesures appropriées prises, l'OMS renverra une équipe à Kailahun.

Actualité Togo : créaction d'un Observatoire sur la discrimination des personnes vivant avec le VIH

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Crée LE 28-08-2014  - 00H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE jeudi  le 28-08-2014 - 16H30 PAR : ARTV NEWS

 

 

 

                                                                  

 

Un Observatoire sur la stigmatisation et la discrimination des personnes vivant avec le VIH (PVVIH) sera bientôt opérationnel au Togo, ayant comme objectif de combattre la situation d'isolement de cette couche sociale vulnérable, a-t-on appris mercredi auprès du Réseau des personnes infectées par le virus (RAS+Togo) et du Conseil National de Lutte contre le Sida et les Infections Sexuellement Transmissibles (CNLS-IST).

Un comité de suivi sera chargé d'élaborer toutes les stratégies pour la mise en place de toutes les activités de riposte à la stigmatisation.

Selon le professeur Vincent Pitché, président du RAS+Togo, à part le comité de suivi, il est prévu un secrétariat technique qui sera assuré par des personnes vivant avec le VIH/SIDA et qui seront appuyées par quelque 150 bénévoles.

Ces bénévoles proviendront également des personnels des structures publiques, privées, associatives et religieuses, qui s' emploieront à remonter et accompagner les personnes infectées en cas de stigmatisation et de discrimination. Ils bénéficieront de l' appui des magistrats, des chefs traditionnels, des chefs des services de sécurité et des responsables des comités de développement des quartiers.

La coopération entre le gouvernement et les organisations de la société civile a permis d'entraîner une baisse sensible du taux de prévalence au Togo au cours des dernières années

Actualité La RDC frappée par le virus Ebola de type Zaïre (Centre de recherches basé au Gabon)

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Crée LE 28-08-2014  - 00H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE jeudi  le 28-08-2014 - 16H30 PAR : ARTV NEWS

 

                                                                         


La République démocratique du Congo (RDC) est frappée par le virus Ebola de type Zaïre, a déclaré récemment Eric Leroi, directeur général du Centre international de recherches médicales de Franceville (CIRMF), le centre de référence en Afrique centrale retenu par l'OMS en matière de recherches contre ce dangereux virus.

"On a confirmé les résultats obtenu par Kinshasa (capitale de RDC). Et nous avons confirmé les résultats positifs au virus Ebola de type zaïre", a déclaré le docteur Leroi basé au Gabon.

"Concernant la souche elle-même, on est obligé d'attendre les résultats du séquençage, c'est-à-dire la caractérisation de toutes les séquences du génome du virus. Le test nous a montré qu'il s'agit de l'espèce zaïre, mais pour avoir une caractérisation plus fine de la souche, nous sommes obligés d'attendre le séquençage du génome que nous aurons, je l'espère, ce week-end", a dit le chercheur français.

Le CIRFM a effectué des recherches sur 8 échantillons biologiques reçus de l'Institut national de recherches dominicales de Kinshasa (INRD). Sur ces 8 échantillons provenant de la zone touchée, 6 se sont révélés positifs au virus Ebola, et 2 sont négatifs.

C'est la septième épidémie de fièvre Ebola que connaît la RDC depuis la découverte du virus il y a 40 ans dans le pays.

Actualité RDC : experts et médicaments à Djera pour riposter contre Ebola

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Crée LE 28-08-2014  - 00H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE jeudi  le 28-08-2014 - 16H30 PAR : ARTV NEWS

 

                                                                    

 

 

 

 


La riposte contre l'épidémie de la maladie à virus Ebola à Djera, dans la province de l'Equateur, dans le nord de la RDC, où plusieurs cas ont été notifiés, ne s' est pas faite attendre.

Le ministre rd-congolais de la Santé publique, Félix Kabange, a déclaré mercredi que l'on a enregistré six cas confimés, 13 cas probables et 23 cas suspects dans cette région. 11 personnes sont actuellement isolées. Six nouveaux prélèvements ont été faits en plus de huit déjà examinés et 168 contacts sont identifiés et suivis.

Une première équipe d'experts, composée d'épidémiologistes, de psychothérapeutes, de psychologues cliniciens, de spécialistes en assainissement, ayant à sa tête le Directeur de direction chargée de la maladie au ministère de la Santé publique, le Dr Benoit Kebela, est parti mercredi après-midi pour Lokolia, où des cas confirmés ont été enregistrés, avec un important lot de médicaments.

D'après le Dr Kebela, qui avait séjouré en Guinée avec des experts rd-congolais en Guinnée pour l'aider à organiser la lutte contre Ebola, il est possible de contenir cette épidémie dans l'Equateur et d'arrêter la propagation du virus, avec les moyens dont dispose le gouvernement.

"Nous avons organisé la même riposte en 2012 à Isiro en province Oriental où s'était déclarée une épidémie de la maladie à virus Ebola. (...) Le grand défi est celui d'arrêter la transmission du virus Ebola", a-t-il souligné.

Le ministre de la Santé publique a déclaré que "nous pouvons y arriver car nous avons connu l'épidémie de Kikwit (ville dans l'ouest de la RDC qui a connu une épidémie d'Ebola en 1995, ndlr) que je peux appeler une épidémie à milieu ouvert", précisant que le territoire de Boende, auquelle appartient Djera, est "un milieu fermé".

"C'est un coin qui a moins de contacts avec d'autres milieux. Je pense qu'avec cette faveur si on travaille avec tout les moyens qu'il faut nous arrêterons cette épidémie et nous y arriverons", a- t-il déclaré.

Le ministre a promis de rejoindre cette équipe d'experts dans 72 heures avec un autre lot des médicaments et de matériels de protection, ajoutant que c'est à Lokolia où sera installé le quartier général chargé de coordonner la lutte contre Ebola à Djera.

 

 

 

 

Actualité Le Nigeria confirme deux nouveaux cas d'Ebola

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Crée LE 28-08-2014  - 00H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE jeudi  le 28-08-2014 - 16H30 PAR : ARTV NEWS

 

 

                                               
                                                                        

Le Nigeria a confirmé jeudi que deux nouveaux cas d'Ebola avaient été signalés dans un Etat dans le sud du pays, portant à trois le nombre total de patients actuellement sous traitement.

Le ministre nigérian de la Santé, Onyebuchi Chukwu, a indiqué que les deux nouveaux cas avaient été identifiés à Port Harcourt, chef-lieu de l'Etat de Rivers riche en pétrole, portant le nombre total de cas confirmés au Nigeria à 15.

Le ministre a indiqué à la presse à Abuja, la capitale nigériane, que le gouvernement ferait tout son possible pour contenir la maladie et qu'il s'agissait de la première fois qu'un cas d'Ebola était confirmé en dehors de Lagos depuis que le Libérien-Américain Patrick Sawyer a introduit le virus au Nigeria en juillet.

Mercredi, le ministre a indiqué que malgré les efforts visant à contrôler l'épidémie d'Ebola et à réduire le nombre de patients sous traitement, le Nigeria était encore très à risque.

Sur les 15 cas d'infection par le virus Ebola au Nigeria, cinq personnes sont mortes, sept patients ont été pris en charge avec succès et sont sortis du centre de traitement et trois patients sont actuellement sous traitement, selon les nouvelles statistiques officielles.


Actualité Côte d'Ivoire : la mission onusienne se prépare à la sécurisation des élections de 2015

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Crée LE 29-08-2014  - 00H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE vendredi  le 29-08-2014 - 09H30 PAR : ARTV NEWS

 

                                                        

 

Le chef des opérations des forces de l'Opération des nations-unies en Côte d'Ivoire (ONUCI) Sébastien Leitner a indiqué jeudi à Abidjan que la mission onusienne se prépare à la sécurisation des élections prévues dans le pays en 2015.

Selon M. Leitner qui accordait un entretien à des médias, les forces onusiennes ont entamé dans cette perspective des manoeuvres militaires à Gagnoa au centre-ouest du pays.

"En dépit de la réduction de ses effectifs, l'ONUCI reste opérationnelle. Il faut noter que nous agissons dans le cadre de la protection de la population civile", a-t-il précisé.

"L'ONUCI se tient prête à assurer cette mission de protéger la population. Nous sommes au top niveau de notre capacité opérationnelle", a-t-il souligné.

La série des élections débutera en octobre 2015 en Côte d' Ivoire avec le scrutin présidentiel.

Pour plusieurs observateurs, ces élections qui ont un enjeu important doivent se dérouler dans un climat apaisé afin de tourner de manière définitive la parenthèse de la crise et de la violence consécutives aux élections de 2010 et 2011.

Les forces de sécurité ivoiriennes s'activent pour une sécurisation optimale du scrutin, avec l'appui des partenaires dont l'ONU qui a déployé des Casques bleus dans le pays depuis 2002 après l'éclatement d'une crise militaro-politique.

Actualité Le CICR signe un accord avec le gouvernement soudanais sur les relations bilatérales

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Crée LE 29-08-2014  - 00H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE vendredi  le 29-08-2014 - 09H30 PAR : ARTV NEWS

 

 

 

 

                                                                      

 

Le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) et le ministère soudanais des Affaires étrangères ont signé jeudi un accord nouvellement révisé sur les relations bilatérales, selon un communiqué publié par le CICR dont le siège se trouve à Genève.

Le document juridique officialise les relations entre les autorités soudanaises et le CICR, et remplacera l'accord de 1984.

Les autorités soudanaises ont suspendu les activités du CICR au Soudan début février, évoquant des problèmes techniques, et demandé au CICR de revoir l'accord qui définit le statut juridique et diplomatique de l'institution dans le pays, selon le communiqué.

Actuellement, le CICR discute avec les autorités soudanaises des modalités pratiques en vue de redémarrer ses opérations humanitaires dans le pays. "Les négociations ont été constructives ces dernières semaines et la signature d'un nouvel accord est une étape positive et essentielle vers la reprise de notre action humanitaire au Soudan", a déclaré Jean-Christophe Sandoz, à la tête de la délégation du CICR au Soudan, espérant "conclure prochainement" ces discussions.

"Ce document juridique régit la coopération entre les autorités soudanaises et le CICR. Il renforce le statut juridique et diplomatique du CICR dans le pays, et continue aussi de reconnaître le mandat du CICR, qui est d'apporter assistance et protection aux victimes des conflits armés", a ajouté M. Sandoz.

Le CICR travaille au Soudan depuis 1978. En 2013, près de 1,5 million de personnes au Soudan ont bénéficié de l'aide de cette organisation humanitaire.

Actualité Togo : renouvellement de la Cour consituttionnelle en prélude à la présidentielle 2015

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Crée LE 29-08-2014  - 00H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE vendredi  le 29-08-2014 - 09H30 PAR : ARTV NEWS

 

                                                        

 

Dans la perspective de l'élection présidentielle de 2015, le président de l'Assemblée nationale, Dama Dramani, lance un appel à candidature pour le renouvellement de la Cour constitutionnelle.

Selon un communiqué rendu public dans le quotidien officiel Togo Presse, cet appel à candidature intervient alors que le mandat des membres de la Cour actuellement en exercice prend fin en septembre.

L'Assemblée nationale doit élire six membres de cette cour, dont trois pour elle-même et trois pour le Sénat constitutionnellement prévu mais non encore mis en place. Les trois autres membres sont nommés par le chef de l'Etat comme le prévoit la Constitution.

La Cour constitutionnelle est la plus haute juridiction en matière constitutionnelle. Il statue en premier et dernier ressort et ses décisions ne sont pas susceptibles de recours

Elle proclame définitivement les résultats de toutes les consultations électorales et sur les recours formés par les candidats ou partis à un scrutin après la publication des résultats provisoires par la Commission électorale nationale indépendante (CENI), et les décisions qu'il prend dans ces situations sont inattaquables.

La Cour a également compétence pour statuer sur les recours en inconstitutionnalité d'une loi quelconque de République, formulés par une institution, une organisation ou un simple citoyen.

Actualité Afrique du Sud : la cour ordonne la remise des "enregistrements espions" sur les accusations de corruption contre Zuma

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Crée LE 29-08-2014  - 00H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE vendredi  le 29-08-2014 - 09H30 PAR : ARTV NEWS

                                                                 

 

 

 

 

La Cour d'appel sud-africaine a ordonné jeudi la remise des enregistrements espions concernant les accusations de corruption pesant sur le président Jacob Zuma.

La cour a rejeté la demande de M. Zuma qui tentait d'empêcher la publication de ces enregistrements. D'après le jugement, le ministère public a cinq jours pour remettre les enregistrements espions et les enregistrements concernant la décision d'abandonner les charges d'accusation contre M. Zuma.

Les bandes contiendraient les enregistrements montrant pourquoi la décision a été prise de changer plus de 700 chefs d'accusation de corruption contre M. Zuma, le permettant de devenir président.

M. Zuma est accusé de fraudes et de corruption dans un accord avec Thint, une compagnie d'armement, avant de devenir président en 2009.

L'équipe juridique de M. Zuma a contesté les accusations via des représentations confidentielles remises au ministère public en février 2009.

Le 6 avril 2009, juste avant l'élection nationale, le directeur national des Poursuites publiques d'alors, Mokotedi Mpshe, avait annoncé "un abus de procédure" pendant les enquêtes, et la fin des poursuites.

Jacob Zuma, élu président de l'African National Congress (ANC) en 2008, est devenu président après cette élection en 2009.

Suite au verdict rendu jeudi, l'Alliance démocratique (DA, opposition) a déclaré que l'ordre de la cour "est encourageante car elle donne à tous les Sud-Africains la confiance qu'il existe des institutions dans notre démocratie qui continuent de défendre nos droits selon la constitution, même si nous devons entreprendre un long processus pour y arriver"

Actualité Nigeria: un médecin ayant soigné un patient d'Ebola décède à Port Harcourt

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Crée LE 29-08-2014  - 00H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE vendredi  le 29-08-2014 - 09H30 PAR : ARTV NEWS

 

                                                                  

Un médecin nigérian en contact avec des patients contaminés par Ebola est décédé récemment de la maladie dans la ville de Port Harcourt, chef-lieu de l'Etat de Rivers riche en pétrole, portant le nombre de victimes du virus mortel à six dans le pays, ont annoncé jeudi les autorités sanitaires nigérianes.

Le médecin est décédé le 22 août, mais la nouvelle de sa mort vient à peine d'être révélée aux autorités, selon le ministère nigérian de la Santé, Onyebuchi Chukwu.

M. Chukwu a déclaré aux journalistes que le gouvernement ferait de son mieux pour contenir la maladie, indiquant que c'est la première fois qu'une victime d'Ebola est confirmée à l'extérieur de Lagos depuis que le patient zéro, Patrick Sawyer, a introduit le virus au Nigeria le mois dernier.

L'officiel a expliqué aux journalistes à Abuja, capitale du Nigeria, que le médecin a contracté la maladie après avoir soigné un patient qui était entré en contact avec Patrick Sawyer.

Il a ajouté que le premier contact de M. Sawyer avait échappé à l'équipe de surveillance du gouvernement en juillet et s'était rendu à Port Harcourt, où il a consulté le médecin décédé.

Aussi, 70 autres contacts sont désormais suivis, enregistrés et placés sous surveillance, a expliqué le ministre, indiquant qu'affichant des symptômes, la femme du médecin avait été placée en quarantaine en attendant les résultats des tests en laboratoire.

Actualité Kotakoli : la société civile attend une réaction des autorités

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Crée LE 29-08-2014  - 00H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE vendredi  le 29-08-2014 - 12H30 PAR : ARTV NEWS

 

                                                             
Depuis que les troubles ont débuté à Kotakoli dimanche dernier avec en prime l’enterrement vivant d’un concitoyen, coupable ou pas, la tension continue à être perceptible dans cette cité. Les choses ne semblent pas vraiment évoluer dans le sens de la traque de vrais coupables qui continuent à courir.

On a toujours pas tiré au clair cette situation dramatique, mêlée à une affaire de sorcellerie où des sources ont rapporté que six jeunes seraient morts dans des conditions mystérieuses et non expliquées.
 
Cette affaire, nous apprend-on, sent le soufre minier et la lutte pour le contrôle foncier entre le groupement de Dondo et celui voisin de Kotakoli, sur fond de la contestation de l’autorité coutumière par une frange de la jeunesse qui s’est rebellée contre l’autorité établie.
A voir de plus près, les autorités locales qui, vivent dans la crainte et dans une situation explosive donnent l’impression d’avoir été abandonnées à elles-mêmes.
Sans moyen de l’Etat, elles ne peuvent pas agir efficacement pour le retour de la paix sociale qui fait cruellement aux villageois qui ne peuvent plus vaquer librement à leurs occupations.
Cela bien que le district a réussi à envoyer sur place la police d’intervention rapide qui a préventivement mis la main, mercredi 27 août, l’effet sur sept jeunes de Ndekere afin d’empêcher que cette affaire ne fasse de métastase et ne contamine le reste de la contrée.
Près d’une semaine après cette vindicte populaire à l’endroit du chef de la localité de Mbao, l’opinion et la société civile en particulier sont sidérées et consternées de n’enregistrer aucune réaction musclée de la part des autorités tant du gouvernement central à Kinshasa et que du gouvernement provincial à Mbandaka.
La Cour d’appel de la même juridiction est restée bras croisés, et sans réaction. On dirait que l’on ne veut pas éteindre à temps cet incendie et qu’on attend qu’il y ait d’autres victimes innocentes pour réagir.
D’ordinaire, de manière concertée, toutes ses instances agiraient en concert afin de tenter de cerner les tenants et les aboutissants de ce drame, dans le but de traduire à la fois les coupables en justice, réhabiliter ceux qui doivent l’être et pacifier les esprits. A ce jour, rien de cela n’est fait.
D’autre part, pour que les esprits se clament réellement, il faut que ministère des Mines envoie sur place une commission de ses experts, géologues et autres pour inspecter le lieux afin d’arrêter une fois pour toutes la spéculation et la surenchère et faire tomber la tension entre les deux communautés voisines qui ont toujours vécu ensemble sans heurts.
Et s’il s’avérait que ce site regorgerait d’un quelconque trésor, il faudrait qu’en toute responsabilité son exploitation serve à désenclaver cette partie du pays dépourvue d’infrastructures.
Il ne faut pas que tous les vautours miniers s’abattent sur ‘ce trésor, comme c’est déjà le cas ailleurs, pour priver les véritables ayants-droit de jouir de richesses de leur sous-sol.
VAN

Actualité Sud-Kivu : 15 Maï-Maï Yakutumba tués lors d’un accrochage contre les FARDC à Fizi

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Crée LE 29-08-2014  - 00H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE vendredi  le 29-08-2014 - 12H30 PAR : LA TEMPETE DES TROPIQUES

 

 

                                                     
Les Forces armées de la RDC ont abattu quinze Maï-Maï Yakutumba le mardi 26 août, près des localités Lubomo et Mwayenga, en territoire de Fizi, au Sud-Kivu. C’était lors d’un accrochage.

Selon le commandant second du 1004e régiment des FARDC basé Baraka, Anaphos Baburwa, deux pirogues des assaillants ont coulé dans le lac Tanganyika, avec à bord une vingtaine d’hommes en plus d’une importante cargaison d’armes et de munitions, ainsi que de rations alimentaires.
Les FARDC affirment également avoir touché par balle un chef milicien connu sous le nom de « Dragua ».
Des sources militaires de la région affirment par ailleurs qu’un officier des renseignements de la force navale a été tué dans ces combats. De son côté, le commandant réfractaire Yakutumba ne reconnait aucun mort de son côté.
 
Il confirme toutefois avoir enregistré quelques blessés parmi ses éléments et une de ses pirogues touchées par une roquette des FARDC.
Pour l’instant, Yakutumba  affirme, avoir pris le contrôle du lac Tanganyika sur les larges de Lubomo et Mwayenga, après le repli des FARDC. Affirmation rejetée par le commandant des FARDC à Baraka, qui précise que les assaillants se servent de pirogues équipées d’armes lourdes et de moteurs à grande vitesse pour braquer les voyageurs.
En juillet dernier, les Maï-Maï Yakutumba avaient attaqué une position des FARDC à Some, à partir d’une embarcation motorisée. Pour la société civile de Fizi, les affrontements réguliers entre FARDC et miliciens Maï-Maï Yakutumba freinent le développement de ce territoire. Des sources de cette société civile indiquent que plus de 5 000 déplacés ont déjà été enregistrés dans le territoire de Fizi depuis mai dernier, à cause de ces combats.
YVES MITONDO


Actualité Justice et Droits de l’homme : L’affaire Chebeya ce vendredi devant la CSJ

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Crée LE 29-08-2014  - 00H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE vendredi  le 29-08-2014 - 12H30 PAR : LA TEMPETE DES TROPIQUES

 

                                                   
Pour faire avancer le procès, la Cour Suprême de Justice appelée à se prononcer sur deux questions préjudicielles soulevées par les parties civiles après que la Haute Cour Militaire se soit déclarée incompétente à l’audience du 7mai 2013.

Après ta parodie vécue au premier et second degré, les haut Magistrats de la Cour Suprême de Justice (CSJ) ont tout intérêt cette fois à soigner ce vendredi l’image de la justice congolaise dans l’affaire du double assassinat de l’activiste des droits de l’homme Floribert Chebeya et de son chauffeur, tous deux assassinés le 1er Juin 2010 alors qu’ils s’étaient rendus à l’inspection générale de la Police pour répondre à une convocation.
Pour rappel, la Cour Suprême de Justice CSJ siégeant en matière administrative avait organisé une audience publique du procès relatif au double assassinat dans la nuit du 01 au 02 juin 2010, des défenseurs des droits humains Floribert Chebeya Bahizire et Fidèle Bazana Edadi, respectivement ancien Directeur Exécutif et chauffeur, chargé de dispatching, tous deux membres de l’ONGDH La Voix des Sans Voix (VSV).
 
Mais, l’audience publique de ce vendredi intervient trois jours après la confirmation des charges par la justice sénégalaise contre le Major Paul Mwilambwe, ancien chef de la sécurité de John Numbi et l’un des policiers en fuite, condamné par contumace par la justice militaire de la RDC.
 
L’audience de ce jour enrôlée sous le n°R.CONST.256/TSR, met en cause la veuve de Floribert Chebeya et consorts contre le commissaire supérieur principal Mukalayi Wa Mateso et consorts. Quant au général John Numbi Ntambo Banza, considéré comme le suspect N I dans cette affaire du double assassinat de Chebeya et Bazana, il n’y a toujours pas le moindre espoir de voir cet officier être aussi jugé.
 
La CSJ avait été saisie le 13 mai 2013, par le Conseil des parties civiles pour inconstitutionnalité des arrêts avant dire droit rendus par la Haute Cour Militaire (HCM) où se déroule le procès en appel sur l’assassinat des deux membres effectifs précités de la VSV, victimes de l’exécution sommaire et extra judiciaire dans les installations de l’inspection Générale de la Ponce Nationale Congolaise (PNC), actuel Commissariat Général sis, Kinshasa/Lingwala.
 
Mais depuis lors, la CSJ a brillé par un mutisme qui ne se justifie pas, renforçant ainsi la conviction d’absence de volonté politique dans le chef des autorités rdcongolaises de contribuer effectivement à la manifestation de la vérité sur les circonstances réelles de ce double assassinat.
Partie civile dans cette affaire, VSV espère que l’audience publique de ce vendredi 29août2014 devant la Cour Suprême de Justice va contribuer à faire évoluer positivement le dossier.
Avec cette audience, VSV espère que les autorités de la RDCongo en général et celles de la justice en particulier vont enfin donner des signaux forts et rassurants dans le cadre non seulement de la lutte contre l’impunité, mais aussi contre la consécration du régime des intouchables, en procédant effectivement à l’arrestation immédiate et sans condition du général John Numbi Banza Tambo, en sa qualité du suspect n°01 et les exécutants Christian Ngoy Kenga-Kenga ainsi que Jacques Mugabo de l’ignoble assassinat de deux défenseurs des droits humains, en l’occurrence Floribert Chebeya Bahizire et Fidèle Bazana Edadi.
D’après certaines sources basées au Katanga, Christian Kenga-Kenga et Jacques Mugabo circuleraient librement à Lubumbashi, chef-lieu de la province du Katanga où se trouve également le Généra! John Numbi depuis sa suspension parle Conseil Supérieur de la Défense.
Ancien garde du corps de Laurent Nkunda, Jacques Mugabo avait aussi fait partie avec Christian Ngoy du fameux bataillon Simba de triste mémoire Amand d’être récupéré par John Numbi dans la fameuse opération “ Umoja Yetu”.
 
Rappel des faits
 
Dans la nuit du 1er au 2 juin 2010, le corps de Floribert Chebeya fut retrouvé sans vie dans sa voiture à la sortie de Kinshasa. Quant au corps de Fidèle Bazana qui l’accompagnait, il n’a jamais été retrouvé.
 
Le 23 juin-2011, la Cour militaire de Kinshasa/Gombe reconnaissait la responsabilité civile de l’Etat congolais dans l’assassinat de Chebeya, ainsi que dans l’enlèvement et la détention illégale de M. Bazana par plusieurs de ses agents. Elle condamnait aussi cinq des huit policiers prévenus, dont quatre à la peine capitale et un à la prison à perpétuité.
Mais, trois des condamnés à mort étaient en cavale, et trois policiers dont l’instruction avait pourtant révélé le rôle dans la disparition d’éléments de preuve, ont été acquittés.
De hauts responsables de la police, dont le général John Numbi, pourtant suspecté d’être le commanditaire de ces crimes, n’ont pas été convoqués comme prévenus.
Cette situation d’impunité avait remit sérieusement en cause l’indépendance de la justice dans cette affaire.
Le 7 mai 2013, la Haute coùr militaire, saisie en tant que juridiction d’appel, s’était déclarée incompétente pour statuer sur deux questions préjudicielles soulevées par les parties civiles et a décidé de saisir la Cour suprême de justice qui fait office de Cour constitutionnelle, suspendant l’examen de l’appel sans fixer de nouvelle audience.
GKM

Actualité Le Groupe UBA a un nouveau Président du Conseil d’Administration

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Crée LE 29-08-2014  - 00H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE vendredi  le 29-08-2014 - 12H30 PAR : ARTV NEWS

 

 

                                                           
Le Conseil d’Administration de United Bank for Africa (UBA) a annoncé aujourd’hui la nomination de Mr Tony O. Elumelu en tant que son Président. Mr Elumelu succède ainsi à l’Ambassadeur Joe Keshi.

Mr Elumelu est le Président / Directeur Général de Heirs Holdings, la compagnie panafricaine d’investissement, fondée par M. Elumelu en 2010, qui détient des participations dans un certain nombre de grandes entreprises africaines, y compris Transcorp, le plus grand conglomérat nigérian par capitalisation boursière ainsi que UBA. Mr Elumelu a pris sa retraite en tant que Directeur Général du groupe.et Directeur Général de UBA en 2010, suite à l’introduction par la Banque centrale du Nigeria d’une limitation des mandats des directeurs de banques à 10 ans. Il avait servi en tant que Directeur Général du groupe UBA pendant 13 ans, où il a été responsable de la création de UBA telle qu’on la connait aujourd’hui, une institution de services financiers qui a construit une réputation pour l’innovation et la démocratisation des services bancaires et qui désormais s’étend sur l’Afrique, fournissant des services à plus de 10 millions de clients, sur tout le continent ainsi qu’à Londres, Paris et New York.
 
Largement considéré comme l’un des chefs d’entreprise les plus influents en Afrique, Elumelu a développé une réputation pour identifier de la valeur et apporter une orientation d’investissement à long terme et de la discipline dans les secteurs critiques pour le développement de l’Afrique notamment les services financiers, l’énergie, le pétrole, le gaz, l’agro-industrie, l’immobilier et l’hôtellerie. En tant que fondateur de la Fondation Tony Elumelu, une philanthropie basée en Afrique et financée par l’Afrique, M. Elumelu est engagé dans la promotion de l’entreprenariat en Afrique, basée sur la défense de son idéologie, l’Africapitalisme, la philosophie qui prône l’engagement du secteur privé africain dans la transformation économique et sociale du continent.
 
La Présidence de UBA va venir en complément des positions actuelles qu’occupe M. Elumelu au sein des entreprises du portefeuille de Heirs Holdings notamment la Présidence de Transcorp, le plus grand conglomérat nigérian par capitalisation boursière.
 
«La performance de Tony Elumelu en terme de résultats à UBA parle d’elle même. Son retour au Conseil d’Administration apporte une connaissance approfondie et une expérience inégalée de l’industrie des services financiers africains. C’est un privilège de le voir diriger le Conseil à ce stade critique de notre développement «, a déclaré M. Phillips Oduoza, Directeur Général du Groupe / Directeur Général UBA. ».
 
Avec des opérations dans 19 pays africains et une présence à New York, Londres et Paris, UBA est l’une des plus larges institutions de services financiers en Afrique. La Banque a récemment dévoilé son projet Alpha, une feuille de route de 3 ans d’initiatives de transformations clées, destinées à consolider le positionnement stratégique du Groupe et à exploiter pleinement les possibilités offertes par la renaissance économique de l’Afrique et la plate-forme unique du Groupe UBA.
 
Mr Elumelu a fait la déclaration suivante : «Je suis très impatient de retourner au Groupe. UBA représente une opportunité d’investissement énorme, et est à un point d’inflexion dans sa trajectoire de croissance. Nous avons une équipe dirigeante extrêmement puissante et j’ai hâte d’apporter mon expérience et mon énergie, pour guider la stratégie à long terme de -UBA. Les services financiers restent l’un des principaux moteurs de la croissance africaine, à la fois en termes d’inclusion sociale et d’intégration régionale, et le Groupe UBA fournit une plateforme unique pour offrir à la fois une valeur extraordinaire et favoriser la réussite économique de l’Afrique.
 
Je tiens également à remercier mon prédécesseur, l’Ambassadeur Keshi et l’ensemble du conseil d’Administration pour leur contribution à la croissance et le développement de la Banque.

Actualité ONU : instauration de la Journée internationale contre l’impunité des crimes contre les journalistes

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Crée LE 29-08-2014  - 00H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE vendredi  le 29-08-2014 - 12H30 PAR : LE POTENTIEL

 

 

                                                   
La première Journée internationale contre l‟impunité des crimes contre les journalistes sera célébrée le 2 novembre prochain, date que l‟Assemblée générale de l‟Onu vient de fixer pour s‟élever chaque année contre l‟impunité des crimes commis contre les journalistes.

Le chargé de programme communication et information du bureau de l‟Unesco à Kinshasa, Joseph Potopoto cité par Radio Okapi, l‟a annoncé mercredi 27 août au cours de la conférence de presse hebdomadaire de la Monusco à Kinshasa. Selon lui, cette décision fait suite au constat selon lequel au moins 600 journalistes ont été tués à travers le monde durant les dix dernières années. «Cette résolution historique condamne toutes les attaques et la violence contre les journalistes et travailleurs des médias», a-t-il expliqué. Cette journée mondiale devrait également exhorter les Etats membres de l‟Onu à faire tout leur possible pour prévenir la violence contre les journalistes et les professionnels des médias. Il s‟agit «d‟assurer la reddition des comptes, de traduire en justice les responsables des crimes contre les journalistes et travailleurs des médias, et de veiller à ce que les victimes aient accès à des recours effectifs», a-t-il indiqué. L‟Unesco a été chargée de la coordination générale de la commémoration de cette journée, en consultation avec les parties prenantes concernées. Le chargé de programme communication et information du bureau de l‟Unesco a donc annoncé l‟organisation de plusieurs événements pour sensibiliser le monde entier à cette journée. La journée internationale contre l‟impunité des crimes commis contre les journalistes a été initiée le 18 décembre 2013 par l‟Assemblée générale de l‟Onu. A l‟occasion de la journée mondiale de la liberté de la presse célébrée le 3 mai, le secrétaire général de l‟Onu avait regretté qu‟aucun jour ne se passe sans que la liberté de la presse ne soit bafouée à travers le monde. Selon Ban Ki-moon, les journalistes sont enlevés, détenus, battus, voire assassinés à cause des vérités dérangeantes qu‟ils énoncent.

Actualité Guinée : 27 agents des forces de sécurité blessés lors de troubles à N'Zérékoré

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Crée LE 30-08-2014  - 00H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE samedi  le 30-08-2014 - 09H30 PAR : ARTV NEWS

 

 

                                                           

 

 

Dans les incidents survenus jeudi à N'Zérékoré, la plus grande ville de la Guinéee forestière, 27 agents de sécurité ont été blessés, a fait savoir vendredi le gouverneur de la province de N'Zérékoré, Lancei Koulibaly.

Jeudi, des populations ont manifesté contre l'intervention des équipes médicales dans le cadre de la riposte anti-Ebola, dans cette région, située le long des frontières libériennes, autre foyer du virus Ebola.

Le gouverneur de N'Zérékoré, qui s'est exprimait à la radio d'Etat, a déclaré regretter ces incidents provoqués par une "folle rumeur" qu'il a qualifié d'"infondée", selon laquelle des équipes médicales procéderaient à la désinfection du marché central de la ville dans le cadre de la lutte contre la fièvre Ebola.

Des habitants de Dorota, un quartier de la ville, se sont rassemblés pour demander que cette désinfection ne touche pas leur zone d'habitation.

Suite aux incidents violents, les autorités ont instauré un couvre-feu nocturne.

Les autorités guinéennes et leurs partenaires, comme l'OMS et MSF, éprouvent de plus en plus de difficultés dans leur intervention sur le terrain dans le cadre de la riposte contre la fièvre hémorragique Ebola.

Avant ces incidents de N'Zérékoré, le préfet de Macenta, une autre ville de la Guinée forestière, avait été pris en otage mercredi dernier par les populations de la localité de Fassankony, où il était en tournée de sensibilisation avec une équipe médicale.

Il a fallu une intervention des forces de sécurité pour tirer le préfet des mains de ses ravisseurs, qui ont prétendu que l'épidémie d'Ebola n'est qu'une simple "machination" montée par les autorités avec la complicité de certaines ONG étrangères, pour des fins inavouées.

Actualité Afrique du Sud : l'opposition réclame une modification de la loi sur les visas

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Crée LE 30-08-2014  - 00H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE samedi  le 30-08-2014 - 09H30 PAR : ARTV NEWS

 

                                                                 

 

 

 

Le principal parti d'opposition en Afrique du Sud, Alliance démocratique (DA), a lancé vendredi une pétition, demandant au gouvernement de modifier la réglementation en matière de visas qui, selon elle, entrave le développement du tourisme.

Le parti d'opposition a appelé le ministère du Tourisme et le ministère des Affaires intérieures à adopter des lois qui ouvriront la voie à l'introduction de visas électroniques pour les touristes, afin de sauver des emplois.

Selon la nouvelle loi sur les visas qui a pris effet le 26 mai, les demandes de visas ou extensions peuvent maintenant être effectuées dans les missions diplomatiques sud-africaines à l'étranger.

Comme les personnes voulant se rendre en Afrique du Sud sont tenus de demander leur visa en personne, ce sera une difficulté à affronter pour ceux qui vivent dans des pays où il n'y a pas de missions diplomatiques sud-africaines.

En effet, la nouvelle loi a déjà un impact négatif sur le tourisme, les flux de touristes en provenance de pays étrangers étant en baisse.

Des rapports venant de la Chine, l'un des plus grands marchés du tourisme de l'Afrique du Sud, ont confirmé que les emballages de commercialisation liés aux destinations touristiques de l'Afrique du Sud vont prendre fin avant le 1er octobre de cette année en raison de cette difficulté supplémentaire.

Une étude commandée par le Conseil du tourisme et des affaires de l'Afrique du Sud sur l'impact de la nouvelle réglementation en matière d'immigration indique que le pays pourrait perdre 270.000 touristes internationaux et en revanche, le pays perdra 21.000 emplois par an en raison de la réglementation qui coûte au pays 9, 7 milliards de rands (environ 915 millions de dollars) chaque année.

Le tourisme a été identifié dans le Plan national de développement comme un pilote de travail clé pour l'économie du pays. Actuellement, le tourisme soutient un dans tous les 12 emplois en Afrique du Sud.

"Nous croyons que l'introduction de visas électroniques fournira non seulement un moyen réel pour protéger les emplois dans le secteur du tourisme, mais la mesure présentera des avantages significatifs en réduisant les délais d'exécution pour la délivrance des documents de voyage, et sont en effet plus sûr que les autorisations existantes", a déclaré l'Alliance démocratique dans un communiqué.

"L'Alliance démocratique a donc lancé cette pétition en ligne pour permettre à tous les Sud-Africains et ceux vivant à l'étranger d'exprimer leur désapprobation de ces nouvelles réglementations destructrices, et d'exprimer leur soutien à notre proposition de mettre en place des visas électroniques", a déclaré le ministre du Tourisme de la DA, James Vos.

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