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Channel: AFRIQUE REDACTION . L'information en continu ! Afrique au cœur de l’actualité...Infos News sur la RDC, les brèves de la dernière minute. Synthèse sur l’actu internationale. rdcongo-kinshasa, Nord et Sud KIVU, Kinshasa, Bas Congo, Dongo, Equateur, Maniema, Lubumbashi, les deux Kasai. Rédacteur en Chef : BONGOS Roger
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Le fantôme de Kadhafi plane toujours ! Etats-Unis: enquête sur Goldman Sachs pour ses liens avec l'ex-régime de Kadhafi

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Crée LE 19-09-2014  - 05H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE vendredi  le 19-09-2014 - 08H39 PAR :ARTV NEWS

 

Le siège de la banque Goldman Sachs à New York | AFP/Archives | Stan Honda

Les autorités américaines enquêtent sur les moyens que la banque Goldman Sachs aurait utilisés pour s'attirer les faveurs du fonds souverain libyen sous le règne de l'ex-dictateur Mouammar Kadhafi, rapporte le Wall Street Journal jeudi.

Les investigations, menées par le gendarme boursier américain (SEC), portent principalement sur un stage que la banque avait décidé d'accorder en 2008 au frère de Mustafa Zarti, un ex-dignitaire du régime qui était alors le chef adjoint du Fonds souverain libyen, assure le quotidien des affaires.

Cette décision avait été prise alors que Goldman Sachs était engagée dans des opérations avec le Fonds libyen à hauteur de 1 milliard de dollars mais à un moment où les relations entre les deux partenaires "commençaient à se détériorer", affirme le Wall Street Journal.

Les enquêteurs cherchent à savoir si le stage a été accordé en l'échange de contreparties et pourquoi son bénéficiaire, Hatem Zarti, a été autorisé à rester dans la banque pendant un an, soit "bien après la fin de son stage", assure le journal qui dit s'appuyer sur une source proche du dossier.

Interrogé par le quotidien, un porte-parole de la banque a démenti tout lien entre ce stage et le Fonds libyen.

Selon le Wall Street Journal, la SEC passe également au crible des voyages que des responsables des investissements libyens auraient effectués à Londres et au Maroc aux frais de Goldman Sachs.

Aux termes de la législation en vigueur aux Etats-Unis, les entreprises américaines ne sont pas autorisées à offrir de l'argent ou des objets de valeur à des responsables étrangers afin de décrocher des contrats.

Un autre géant de Wall Street, JPMorgan Chase, est déjà visé par une enquête similaire aux Etats-Unis portant sur l'embauche d'enfants de hauts responsables chinois qui aurait pu être utilisée pour favoriser les relations d'affaires de la banque avec Pékin.

 

 


Quand un vent d'Afrique souffle sur la robe traditionnelle bavaroise

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Crée LE 19-09-2014  - 05H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE vendredi  le 19-09-2014 - 08H39 PAR :ARTV NEWS

 

La créatrice Rahmee Wetterich présente quelques unes de ses robes traditionnelles bavaroises en tissus africains, à Munich, le 15 septembre 2014 | AFP | Christof Stache

 

Deux créatrices d'origine camerounaise installées en Allemagne se taillent un beau succès en réinventant à partir de flamboyants tissus africains la robe traditionnelle bavaroise, la "Dirndl", célèbre dans le monde entier grâce à l'Oktoberfest dont la 181e édition débute samedi à Munich.

 

"Nous voulions relier les cultures", explique à l'AFP Rahmée Wetterich, 49 ans, qui a créé avec sa sœur, Marie Darouiche, 61 ans, sa griffe de "Dirndl à l'Africaine", baptisée "Noh-Nee" qui signifie en swahili "cadeau de Dieu".

 

C'est presque par hasard qu'elles se sont lancées dans cet étonnant projet de mariage stylistique. Une idée qui ressemble au destin de ces deux femmes arrivées par accident en Bavière il y a maintenant plus de 35 ans.

 

Nées au Cameroun, elles sont passées dans les années 70 par Munich avec leur famille parce que l'un de leurs frères musiciens s'y trouvait. Elles n'en sont finalement jamais reparties alors que leur parcours devait les mener vers la France.

 

"Ma mère était couturière et nous avons grandi dans les tissus, il y en avait partout à la maison", raconte Mme Wetterich, décoratrice d'intérieur de formation. "Marie a toujours aimé les étoffes, notamment les foulards africains, les pagnes, elle a appris la couture avec ma mère et c'est devenu son métier. Et elle a toujours gardé en tête cette connexion à l'Afrique, à ces tissus qui la fascinaient".

 

Ensuite, ce sont "nos enfants qui baignent dans cette atmosphère de mélanges culturels qui nous ont dit: mais pourquoi ne faites-vous pas une Dirndl?", explique encore en riant la cadette des deux sœurs, mariée à un Bavarois.

 

A l'occasion d'une exposition, elles ont présenté un prototype et des admiratrices sont venues leur demander où se procurer le surprenant modèle. Ainsi est né "Noh-Nee". "On a commencé dans un bureau puis au printemps 2011, on a ouvert un magasin dans le nord de Munich, un peu caché, dans une cour intérieure. Depuis mars-avril, nous sommes vraiment dans le centre, dans une rue très cool".

 

Apparue à la fin du 19e siècle, la Dirndl, robe à corset étroit et jupe large couverte d'un petit tablier, est notamment portée à l'occasion de l'Oktoberfest, plus grande fête populaire du monde, mais elle peut aussi l'être dans d'autres occasions festives, dans le sud de l'Allemagne mais aussi en Suisse ou en Autriche.

 

Elle obéit à des codes stricts que les deux sœurs ont tenu à scrupuleusement respecter. "Nous avons consulté une couturière bavaroise spécialisée pour nous retrouver véritablement dans la tradition, nous voulions aller à l'original, apprendre à connaître cette culture".

 

Côté tissus, "Noh-Nee" se tourne vers des étoffes africaines (wax, kitenge ou khanga) "classiques, avec des motifs qui datent parfois de 80 ou 100 ans".

 

- Tradition rafraîchie -

 

Ce mélange des savoir-faire a rencontré un véritable succès, à l'heure où le costume traditionnel redevenait à la mode, en Bavière, lui apportant un petit extra de modernité. "Nous n'avons pas changé la tradition mais nous l'avons rafraîchie", estime Mme Wetterich.

 

"La coupe de base (de la Dirndl) peut toujours être réinterprétée, c'est aussi peut-être pour ça que (cette robe) fonctionne si bien, il y a en a pour tous les goûts", explique à l'AFP Simone Egger, de l'Institut du folklore et d'ethnologie européenne de l'Université de Munich. "Parallèlement, cette +Dirndl à l'africaine+ témoigne de la diversité de nos sociétés urbaines".

 

"Nous avons de tout comme clientes, des femmes du monde de la culture, celles qui aiment l'Afrique, mais aussi celles qui ont porté la Dirndl enfant et qui ne voulaient plus la porter, éprouvant même une aversion", décrit Mme Wetterich.

 

Il y a aussi "des femmes qui ont vécu à l'étranger, ne se sentent peut-être plus vraiment bavaroises mais qui le sont malgré tout. Elles disent: "ah enfin, je peux de nouveau porter mon propre +tracht+ (costume traditionnel)", poursuit-elle.

 

"Il y a une certaine fascination autour du fait que nous ayons rapporté ces tissus qui sont si liés à l'Afrique et qu'il puissent aussi bien être connectés avec la tradition d'ici".

 

L'an passé, elles ont produit "quelques centaines" de robes. Chaque modèle - dont le prix est compris entre 500 et 1.100 euros - est réalisé par Marie Darouiche dans son atelier où travaillent quatre à cinq personnes, puis les robes sont intégralement produites dans les environs de Passau, près de la frontière autrichienne.

 

Totalement bavaroise, la "Dirndl à l'africaine" a également "un petit côté français", confie Rahmée Wetterich. "On a rajouté un jupon avec une petite dentelle très chic" qui, normalement, n'existe pas. C'est un petit hommage à leur nationalité: les deux fondatrices de Noh-Nee sont en effet françaises.

 

Elles le doivent à leur père syrien devenu français dans la Légion étrangère avec laquelle il avait rejoint le Cameroun dans les années 1960, et où il a rencontré leur mère.

 

Le jupon séduit beaucoup: "Les clientes adorent", dit Rahmée Wetterich qui, pour une fois, s'exprime en français. En général, quand elle parle de la Dirndl, cette robe qui reste tellement bavaroise, elle préfère parler allemand.

 

- See more at: http://www.izf.net/afp/quand-un-vent-dafrique-souffle-sur-robe-traditionnelle-bavaroise#sthash.bibUIEhx.dpuf

Actualité Tchad : 150 soldats anti-terroristes formés par les Etats-Unis

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Crée LE 19-09-2014  - 05H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE vendredi  le 19-09-2014 - 08H39 PAR :ARTV NEWS

 

 

 

                                                                    

 

 

Une formation de 150 éléments du Groupement spécial anti-terroriste du Tchad en équipements logistiques, financée et assurée par les Etats-Unis, s' est achevée jeudi dans la capitale tchadienne.

La formation, qui a duré 45 jours, s'est déroulée autour de plusieurs modules, tels le secourisme, la sécurité des convois et la mécanique auto.

Pour rendre opérationnel le Groupement, le gouvernement américain a offert cinquante-huit véhicules, dont trente-neuf tout- terrain pour le transport de troupes, quatre ambulances, trois véhicules de maintenance et dix autres citernes et deux gros porteurs.

Cet équipement et cette formation "aideront le Tchad à répondre aux besoins de sécurité domestique et régionale", a déclaré James Knight, ambassadeur des Etats-Unis au Tchad qui considère ce pays d'Afrique sahélienne comme "un partenaire clé dans la sécurité régionale".

Le général Temlengar, de l'Etat-major des armées tchadiennes, a loué la parfaite coopération entre son pays et les Etats-Unis d' Amérique. "Depuis sa création, le Groupement spécial anti- terroriste tchadien a réalisé de grandes prouesses de sécurité au pays et en Afrique, avec les conseils avisés des forces spéciales américaines. La montée en puissance des forces obscurantistes impose à nos Etats de conjuguer leurs efforts", a indiqué le haut gradé tchadien.

Depuis son intervention, en 2013, dans la lutte contre les narcotrafiquants et les djihadistes au nord-Mali, le Tchad reste très actif dans la lutte contre l'insécurité et le terrorisme au Sahel.

N'Djaména, la capitale du Tchad, a été choisi comme plate-forme, centre d'opérations à partir duquel Français, Américains, Anglais et les autres pays de la sous-région mènent, depuis plusieurs mois, des actions concertées, combinées et coordonnées pour éradiquer la secte Boko Haram qui sévit au Nigéria.

La France a également choisi la capitale tchadienne comme centre névralgique de son nouveau dispositif militaire dans la bande sahélo-saharienne, baptisé "Barkhane" et opérationnel depuis le 1er août 2014.

Actualité Le Parlement libyen demande au Premier ministre de former un gouvernement de crise resserré

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Crée LE 19-09-2014  - 05H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE vendredi  le 19-09-2014 - 08H39 PAR :ARTV NEWS


                                                                  

 

 

 

Le Parlement libyen a demandé jeudi au Premier ministre Abdallah al-Thinni de former un gouvernement de crise resserré, a indiqué jeudi un porte-parole du Parlement.

Les parlementaires ont demandé à M. Thinni de proposer un nouveau cabinet constitué de six ministres, axé sur les affaires étrangères, l'intérieur, la défense, la santé, l'éducation et la gouvernance locale, a précisé à Xinhua le parlementaire Tariq Saqr al-Jorushi. Il a précisé que 85 des 103 représentants à la chambre avaient approuvé cette décision.

Hier, la Chambre des représentants a rejeté la proposition de M. Thinni, qui envisageait un gouvernement élargi comptant 16 ministres.

La Libye est confrontée à une escalade de violences depuis mai. Dans les grandes villes telles que Tripoli, Benghazi et Gharyan, des affrontements meurtriers font rage entre des groupes armés islamistes et des milices pro-gouvernementales de tendance laïque.

Lundi, M. Thinni a exclu de négocier avec les factions islamistes armées, en particulier avec la coalition de l'Aube libyenne, et il a indiqué que le gouvernement lancerait de nouvelles attaques pour l'éliminer.

M. Thinni et les parlementaires ont dû évacuer la capitale en raison des combats. Ils se sont exilés dans la ville de Tobrouk, dans l'est du pays.

Actualité Nigeria : Jonathan sera l'unique candidat du parti au pouvour à la présidentielle

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Crée LE 19-09-2014  - 05H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE vendredi  le 19-09-2014 - 08H39 PAR :ARTV NEWS

 

 

 

                                                                  

 

 

 

 

Le Parti populaire démocratique (PDP), au pouvoir au Nigeria, a annoncé jeudi que le président Goodluck Jonathan serait son unique candidat à l'élection présidentielle de 2015.

Les dirigeants du parti au pouvoir ont fait connaître cette décision à l'issue d'une réunion du Conseil exécutif national (NEC) du PDP, jeudi après-midi, déclarant que M. Jonathan avait été adopté à l'unanimité pour poursuivre son "programme de transformation" du pays.

Annonçant cette décision à la presse, Shuaib Oyedokun, chef du parti et porte-parole du NEC, a indiqué que le Bureau des mandataires (BoT), considéré comme la conscience du parti, avait validé cette désignation.

Cela implique qu'aucun autre membre du parti au pouvoir n'aura la possibilité de participer au scrutin présidentiel contre M. Jonathan.

L'ex-président du PDP, Haliru Bello, en soumettant la motion de soutien de M. Jonathan, a affirmé que "le président Jonathan a assumé ses fonctions de manière satisfaisante comme en témoignent tous les organes du parti".

"Par conséquent, pour le bien du Nigeria et pour poursuivre le bon travail que le PDP effectue pour ce pays, je propose que le NEC soutienne la candidature du président Jonathan en tant que candidat du parti lors de l'élection de 2015", a-t-il déclaré.

S'exprimant après la réunion du PDP, le président du Sénat david Mark a déclaré que le groupe parlementaire du PDP à l'Assemblée nationale avait décidé qu'un président en place et en fonction "devrait avoir une chance de continuer à faire encore mieux".

Actualité Nigéria : l'armée déclare arrêter un haut commandant de Boko Haram

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Crée LE 19-09-2014  - 05H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE vendredi  le 19-09-2014 - 08H39 PAR :ARTV NEWS

 

 

 

 

                                                                         

 

 

L'armée nigériane a arrêté un haut commandant de la secte Boko Haram, blâmé pour la mort de centaines de personnes depuis 2009, a déclaré jeudi l'autorité de la défense du pays.

Le commandant, dont l'identité reste inconnue, a été capturé mercredi dans l'opération, et reçoit un traitement dans un établissement militaire, indique un communiqué de l'armée.

60 combattants de la secte Boko Haram sont morts dans l'opération que l'armée gouvernementale a menée à Konduga, de l'Etat de Borno (nord), ajoute le communiqué.

Actualité Ouganda : le Premier ministre limogé par le président

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Crée LE 19-09-2014  - 05H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE vendredi  le 19-09-2014 - 08H39 PAR :ARTV NEWS

 

 

 


                                     

 

Sept membres d''une délégation de sensibilisation gouvernementale contre le virus Ebola ont été assassinés jeudi dans la région de N'Zérékoré, à un millier de kilomètres au sud de Conakry, capitale guinéenne, a déclaré jeudi le ministre guinéen de la Communication Alhousseiny Makanéra.

L'incident a eu lieu mardi dernier lors d'une cérémonie de sensibilisation contre le virus Ebola.

Les corps des sept victimes ont été retrouvés dans une fosse commune dans la mission de recherche menée par le procureur de la République et les autorités administratives et sécuritaires à Wamé, village située à 50 km de N'Zérékoré, lieu du drame, selon M. Makanéra qui s'exprimait à la radio publique.

A ce jour, deux personnes de la délégation gouvernementale sont encore portées disparus et des recherches continuent.

La délégation était conduite par le gouverneur de la région administrative de N'Zérékoré, Lanceï Condé, et qui sillonnait les villages pour des séances de sensibilisation à l'endroit des populations sur l'existence de la fièvre Ebola.

Parmi les personnes tuées figurent le sous-préfet de Wamé, le directeur général adjoint de l'hôpital régional, le directeur préfectoral de la santé, le responsable d'un centre médical cathodique de la ville.

Six personnes soupçonnées d'être membres de la bande de malfrat ont été arrêtées par les services de sécurité de la région. L'enquêtes continue pour retrouver les autres assaillants.

M. Makanéra s'est rendu sur les lieux de l'incident avec une délégation gouvernementale, en compagnie de son homologue de la Santé Rémy Lamah.

Cet incident est le résultat de "manipulation orchestrée par des individus animés de mauvaises intentions", a-t-il ajouté.

Dans une déclaration officielle publiée le même jour, le Premier ministre guinéen Said Fofana condamne "avec la plus ferme énergie" cet assassinat.

Il a promis qu'une réponse judiciaire sera apportée à ces " assassinats crapuleux", annonçant l'interpellation de six personnes dans le cadre de l'enquête.

"Le gouvernement condamne avec la plus ferme énergie l'assassinat des citoyens guinéens, dont les représentants de l'Etat dans l'exercice de leur fonction", a indiqué M. Fofana.

Cet acte "criminel" témoigne d'une "cruauté intolérable et injustifiable" quelque soit les circonstances, a-t-il dit.

Il a également indiqué que l'acte est autant plus regrettable qu'il intervient au moment où la communauté internationale se mobilise pour aider les pays affectés à lutter contre la maladie à virus Ebola.

"Le gouvernement assure que ces crimes ne resterons pas impunis et recevrons une réponse ferme", a ajouté le Premier ministre.

Il a invité les populations guinéennes à rester soudées face à la dure épreuve de lutte contre la maladie d'Ebola.

Jusqu'au 13 septembre, le nombre cumulé des cas en Guinée était de 909 (726 confirmés), dont 571 décès, sur l'ensemble des préfectures touchées, selon le ministère guinéen de la Santé publique.

Actualité RDC : 206 personnes retrouvent la liberté grâce à l'amnistie

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Crée LE 19-09-2014  - 05H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE vendredi  le 19-09-2014 - 08H39 PAR :ARTV NEWS


                                                                        

La loi d'amnistie, promulgué le 11 février 2014 par le président rd-congolais Joseph Kabila, vient de permettre à 206 détenus de retrouver la liberté, a annoncé jeudi le ministre rd-congolais des Médias et porte-parole du gouvernement, Lambert Mende, lors d'une conférence de presse.

Ce sixième groupe de bénéficiaires de la loi d'amnistie comprennent entre autres des membres du Mouvement du 23 mars (M23, ex-rébellion), de l'Armée de résistance populaire (ARP), du groupe Mizele de Matadi, du PARECO/Nord-Kivu et de l'APCLS.

M. Mende a rassuré que l'admission au bénéficie de l'amnistie concerne uniquement "ceux de nos compatriotes en conflit avec la loi et qui se sont soumis à la l'obligation de signer l'acte d'engagement indiquant qu'ils ne se compromettront plus dans des actions violentes contre leur propre pays".

Le président Joseph Kabila a promulgué la loi d'amnistie pour ceux qui étaient impliqués dans les faits insurrectionnels, les faits de guerre et infractions politiques du 18 février 2006 au 20 décembre 2013. La loi prévoit un délai de six mois pour son exécution.

 


La douche écossaise évitée de peu mais…

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Crée LE 19-09-2014  - 05H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE vendredi  le 19-09-2014 - 08H39 PAR :ARTV NEWS

 

Non

Finalement le « non » à l’indépendance de l’Ecosse l’a emporté. « Nous avons évité de peu la douche écossaise, une bonne nouvelle pour les Ecossais, les Britanniques et pour l’Europe. Mais il s’agit aussi clairement d’un sérieux avertissement : d’une part pour Cameron, pyromane dans la grange européenne, qui devra lourdement se remettre en question, et d’autre part pour l’Europe qui, plus que jamais, doit mettre en avant des valeurs solidaires et citoyennes » explique Marc Tarabella, chef de la délégation PS au Parlement européen.

 

Le message indépendantiste

 

Les indépendantistes ont fait miroiter un maintien de leur entité dans l'Union européenne, et auraient voulu continuer de bénéficier de la livre sterling. Ce n’était qu’un miroir aux alouettes, une promesse intenable sans raz-de-marée social et économique.

Les indépendantistes, qu’ils soient britanniques, belges ou espagnols refusent le principe de solidarité ou d’égalité, valeurs chères à l’Europe. Ces politiques de rejet sont contraires à l’esprit de l’Union.

 

Un soulagement

 

Ce « non » est d’abord un soulagement, celui d’éviter un effet domino et un encouragement soutenu à tous les séparatistes et autres eurosceptiques.

 

«  Il faudra retenir et prendre en compte pour les autorités le souhait des Ecossais qui veulent plus de solidarité, plus d'égalité, moins d'austérité, et moins de City. Une chose est certaine : les Ecossais méritent un premier ministre Britannique qui soit à l’écoute de leurs besoins et qui cesse ces jeux politiques qui mettent à mal la solidarité, qu’elle soit britannique ou européenne » explique Marie Arena Eurodéputée PS.

 

Un avertissement pour l’Europe

 

« Le message écossais est une bonne nouvelle », explique l’Eurodéputé Hugues Bayet. « Mais il est aussiun avertissement, un signal envoyé à l’Europe pour plus de solidarité, plus d’égalité. La politique d’austérité est à l’origine de beaucoup de frustrations, celles-là même qui mènent à un repli sur soi et donc à des envies séparatistes.   »

 

C’est aussi un message clair qui va dans le sens des revendications de nos Eurodéputés socialistes : l’instauration d’un salaire minimum européen, la mise en place d’outils de relance et de création d’emplois, l’instauration d’une taxe sur les transactions financières, une lutte efficace contre le dumping social,…  

 

Cameron pyromane !

 

Une victoire du « oui » à l'indépendance écossaise aurait augmenté de manière significative les chances d'un « non » à l'Union européenne lors du référendum que David Cameron, fort peu stratège, a promis s'il est réélu l'an prochain.´

 

« David Cameron doit sérieusement se remettre en question politiquement et professionnellement. Pour rappel, c’est lui qui a proposé ce referendum là où les Ecossais ne demandaient qu’un peu plus de pouvoir et de compétences propres.

C’est aussi Cameron qui a proposé comme Commissaire européen un candidat anti-Europe (pudiquement appelé eurosceptique). David Cameron joue au pyromane dans la grange européenne et met en danger ses concitoyens ainsi que tous les Européens ! » tempête le chef de délégation PS Marc Tarabella.

 

Conclusion

 

« La décision des Ecossais est une bonne nouvelle pour les Européens et une preuve que la solidarité peut l’emporter. Mais ne retenir que cela serait dangereux. Il s’agit  aussi clairement d’un avertissement : une Europe plus solidaire, plus juste, plus sociale et plus citoyenne est indispensable faire taire les politiques de rejet des indépendantistes et des eurosceptiques. Sans cela, l’éclatement européen ne sera pas enrayé mais juste reporté ! » conclut la délégation des Eurodéputés PS.

 

Emmanuel Foulon

Responsable communication

PS - Parlement Européen

Actualité Le Tchad dénonce une discrimination contre son contingent au Mali

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Le Tchad a dénoncé des " pratiques discriminatoires" dont les casques bleus tchadiens font l'objet au Mali, du fait qu'ils n'ont pas bénéficié de relève, et donné une smeaine à la Mission internationale des Nations Unies pour la stabilité au Mali (Minusma) pour opérer les relèves nécessaires.

Le ministre tchadien de la Communication et porte-parole du gouvernementle, Hassan Sylla Bakari, a déclaré vendredi que le gouvernement tchadien interpelle les responsables de la Minusma et les invitent à "un traitement juste et équitable" de tous les contingents mobilisés dans le cadre de cette opération.

Les soldats tchadiens, déployés au Mali en janvier 2013 relèvent, relève depuis le 1er juillet 2014 de la Minusma.

Depuis lors, le gouvernement tchadien constate que son contingent garde toujours ses positions au nord du Mali et ne bénéficie d'aucune relève, indique un communiqué du gouvernement tchadien.

"Pire, notre contingent éprouve des difficultés énormes pour assurer sa logistique, sa mobilité et son alimentation", a déclaér M. Bakari.

Il a prévenu que son pays "ne saurait continuer à observer sans réagir ces pratiques discriminatoires dont fait l'objet son contingent" et ne saurait accepter que ses troupes soient utilisées "comme bouclier aux autres forces de la Minusma positionnées plus en retrait".

"Un délai d'une semaine est accordé à la Minusma pour opérer les relèves nécessaires et mettre à la disposition du contingent tchadien tous les moyens destinés à l'accomplissement de sa mission. Passé ce délai, le Tchad se réserve le droit de prendre des mesures qui s'imposent", a averti le oministre de la Communication.

Dimanche, cinq casques bleus tchadiens ont été tués et plusieurs autres blessés lorsque leur véhicule a sauté sur une mine aux environs d'Aguelhoc, au nord du Mali.

Depuis le début du mois en cours, dix soldats tchadiens sont tombés dans cette zone située près de la frontière algérienne.

Actualité L'ONU condamne une nouvelle attaque meurtrière contre des Casques bleus tchadiens

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Le secrétaire général des Nations Unies, Ban Ki-moon, et le Conseil de sécurité ont fermement condamné vendredi une attaque qui a tué cinq Casques bleus tchadiens de la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations Unies pour la stabilisation au Mali (MINUSMA), la veille dans le nord du Mali.

Trois autres casques bleus ont également été blessés lorsque le véhicule dans lequel ils se trouvaient a été touché par un engin explosif improvisé. Cette attaque qui a eu lieu près d'Aguelhok, dans la région de Kidal, porte à 21 le nombre de Casques bleus tués et à 84 le nombre de soldats de la paix blessés par des engins explosifs au Mali depuis le début de la mission le 1er juillet 2013.

Dans une déclaration à la presse publié par son porte-parole, le secrétaire général "appelle les groupes armés réunis à Alger à passer immédiatement aux actes suite à leur déclaration de vouloir collaborer avec la MINUSMA dans la prévention de ces attaques lâches, conformément à leur engagement du 16 septembre. Ces attaques constantes contre les Nations Unies doivent cesser immédiatement".

Le secrétaire général "réitère la détermination des Nations Unies à appuyer le peuple malien dans sa recherche de la paix. Il exprime ses sincères condoléances aux familles des courageux casques bleus tués, et souhaite une convalescence rapide à tous les blessés. Il exprime également sa profonde reconnaissance au gouvernement et au peuple tchadiens pour leur engagement sans faille envers la paix et la sécurité au Mali ", ajoute la délcaration.

Dans une déclaration à la presse, les membres du Conseil de sécurité ont également fermement condamné cette attaque. Ils ont présenté leurs condoléances aux familles des victimes, au gouvernement et au peuple du Tchad, ainsi qu'à la MINUSMA.

Les membres du Conseil de sécurité "ont salué les Casques bleus tchadiens pour leurs sacrifices et leurs efforts sans relâche au sein de la MINUSMA", précise la déclaration.

Actualité Début d'une campagne de vaccination d'enfants contre la polio dans huit pays d'Afrique centrale

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Le Gabon s'est arrimé vendredi à sept autres pays d'Afrique centrale pour lancer le 2ème passage de la campagne synchronisée de vaccination contre la poliomyélite.

Le lancement officiel de la campagne a eu lieu au Centre de santé Mère et Enfant de la Peyrie, à Libreville, où le Premier ministre Daniel Ona Ondo a versé les deux premières gouttes du vaccin dans la bouche d'un bébé.

Dans les huit pays concernés (Angola, Cameroun, Centrafrique, Congo, Gabon, Guinée Equatoriale, RDC et Tchad), 35,4 millions d' enfants de 0 à 15 ans vont recevoir chacun deux gouttes du vaccin au cours de la campagne de trois jours est coordonnée par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) et l'Unicef.

Actualité Sierra Leone/Ebola : début d'une campagne "stay at home"

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Crée LE 20-09-2014  - 05H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE samedi  le 20-09-2014 - 08H39 PAR :ARTV NEWS

 

 

 

                                                           

La Sierra Leone a lancé une campagne de trois jours "stay at home" (rester à la maison) dans le cadre de la lutte contre la maladie à virus Ebola qui a déjà tué près de 500 personnes dans ce pays ouest-africain.

7.136 équipes, avec quatre membres par équipe, rendront visite à environ 1.500 maisons dans le cadre de la campagne contre le virus Ebola, qui se déroule sur l'ensemble du territoire national.

Plus de 6 millions d'habitants, que compte la population sierra- léonaise, sont toutes restées chez eux. On ne voit ni personne ni véhicule dans les rues, à l'exception des travailleurs de la santé et de l'équipe qui va de maison à maison.

Lançant la campagne jeudi soir, le président sierra-léonais Ernest Bai Koroma a décrit cette maladie comme un grand défi, mais a insisté qu'elle sera vaincue.

"Pour surmonter cette maladie, chacun de nous doit jouer un rôle", a-t-il déclaré, appelant les gens à éviter de manger la viande de brousse, de toucher l'autre et d'aller aux funérailles ainsi que de signaler tout membre de famille qui est malade.

Actualité L'UE va mettre en place un centre régional de sécurité et de santé au Kenya

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Crée LE 20-09-2014  - 05H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE samedi  le 20-09-2014 - 08H39 PAR :ARTV NEWS

 

                                                                           

 

L' Union européenne a annoncé vendredi qu'elle débloquera 65 millions de dollars pour construire un nouveau centre régional de la sécurité et de la santé au Kenya.

L'ambassadeur de l'UE au Kenya, Lodewijk Briet, a déclaré que le centre, qui sera basé à Nairobi, sera utilisé dans la prévention et la gestion d'une attaque chimique, biologique, radiologique ou nucléaire (CBRN).

"Un an après la tragédie Westgate et compte tenu des menaces actuelles telles que le virus Ebola, et travaillant en partenariat avec le Kenya, je suis heureux de confirmer le feu vert pour cette importante installation, qui permettra d'améliorer la réponse à la sécurité et à la catastrophe dans la région", a déclaré M. Briet dans une communiqué publié à Nairobi.

Il a fait savoir que la nouvelle installation fait partie d'une stratégie plus large de la coopération en matière de sécurité que l'UE fournit au Kenya et dans la région, qui inclut la lutte contre l'extrémisme violent et la réduction des armes légères, et une force navale de l'UE pour faire face à la piraterie dans l'océan Indien et pour développer la stabilité en Somalie.

La mise en place du nouveau centre vient au milieu d'une augmentation des attaques terroristes au Kenya.

M. Briet a déclaré que le Kenya a prouvé son rôle de leader régional dans de nombreux domaines, ajoutant que la coopération en matière de sécurité avec l'Europe demeure inébranlable.

"Un programme de formation sera dispensée par des experts de l'UE dans la gestion des catastrophes au cours des deux prochaines années. Le programme est susceptible d'inclure des exercices réels en réponse aux attaques terroristes", a déclaré M. Briet, ajoutant que l'UE donnera des conseils et formera du personnel, tandis que le gouvernement kenyan fournira du personnel et des bureaux pour le centre.

M. Briet a également dit qu'une révision de toutes les lois du Kenya concernant le stockage, le transport et la sécurité des matières CBRN dangereuses devrait être entreprise par le centre.

Il a affirmé que l'UE va bientôt effectuer une évaluation des besoins afin d'acheter d'équipements spécialisés pour la détection des matières dangereuses.

"Travaillant en collaboration avec un certain nombre de ministères et organismes, le centre permettra de former des responsables dans neuf pays africains pour aborder des questions critiques de sécurité et de sûreté, y compris l'adoption des lois sur le double usage de produits chimiques, la lutte contre les pandémies comme le virus Ebola, et les attentats terroristes", a déclaré M. Briet .

Les pays qui seront impliqués dans le centre sont : le Burundi, la République démocratique du Congo, l'Ethiopie, le Ghana, le Kenya, le Rwanda, la Tanzanie, l'Ouganda et la Zambie.

Actualité Afrique du Sud : baisse des crimes les plus graves

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Crée LE 20-09-2014  - 05H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE samedi  le 20-09-2014 - 08H39 PAR :ARTV NEWS


                                                                          

La police sud-africaine a publié vendredi les statistiques de la criminalité pour 2013/ 2014 qui ont montré une baisse générale des crimes les plus graves, mais les autres ont connu une augmentation.

Les statistiques montrent que le viol, qui a longtemps constitué une préoccupation majeure pour le pays, a diminué de 3,6% , tandis que 17 groupes de crimes graves ont diminué de 19,2% au cours des dix dernières années de 2004/5 à 2013/14.

Le commissaire de la police nationale Riah Phiyega a déclaré que les policiers sont en train de gagner la guerre contre le crime.

Elle a déclaré que sur les 17 crimes prioritaires, six ont augmenté, tandis que 11 ont diminué. La possession illégale d'arme à feu a accru de 3,7% grâce aux efforts de détection par la police criminelle.

"Au cours des dix dernières années, les crimes de contact ont réduites de 26,8%, les crimes contre les biens ont diminué de 21%, le grand banditisme a baissé de 21,1%", a-t-elle noté.

La police a également démantelé 35 usines de drogues l'an dernier.

Les statistiques montrent également que 17.068 personnes ont été assassinées dans le pays en 2013.

"La prévalence de l'abus de drogues et d'alcool dans notre communauté est extrêmement préoccupante. Ils ont tendance à se tourner vers un point de production de l'activité criminelle. Nous parlons de chiffres qui ont été vérifiés par le vérificateur général", a souligné le ministre de la Police Nkosinathi Nhleko.

Les crimes de vol commun qui ont augmenté de 0,6%. Les braquages de banque qui avaient diminué de 77, 4% dans le passé a augmenté de 200% l'année dernière. Le braquage de banques est passé de sept à 21 % entre 201/13 et 2013/14.

Même si le vol des camions a augmenté de 6,6% au cours des 10 dernières années, 2004/5-2013/14, il a enregistré une hausse de 5, 1% en 2013/14, a précisé Mme Phiyega.

Le taux d'assassinat a augmenté de 5% alors que les infractions sexuelles en général ont diminué de 5,6%.

Le commissaire de police a dit qu'ils renforçaient la visibilité de police pour réduire les crimes dans le pays. Elle a également appelé le public à collaborer avec la police pour lutter contre la criminalité.

Mme Phiyega a fait savoir que la police se concentre désormais sur le renforcement du système de justice pénale, la démilitarisation et la sécurité des bâtiments en adoptant une approche intégrée


Actualité Tunisie : une première femme candidate officiellement en lice pour la présidentielle de novembre

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Crée LE 21-09-2014  - 05H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE dimanche  le 21-09-2014 - 08H39 PAR :ARTV NEWS

 

 

                                                                       

 

Présidente du Mouvement démocratique pour la réforme et la construction, Emna Mansour Karoui vient de déposer samedi sa candidature à la présidentielle tunisienne, pour ainsi être la première femme officiellement en lice pour la présidence de la République tunisienne.

Femme d'affaires, Mme Karoui a confirmé avoir récolté plus de 12 000 signatures d'électeurs et avoir de grandes chances de remporter la présidentielle.

Jusqu'à présent, seize personnalités politiques et indépendantes ont déjà déposé leur candidatures à la présidentielle tunisienne, dont le scrutin aura lieu le 23 novembre prochain.

Parmi les candidats, figurent l'actuel président de la République, Moncef Marzouki, le président de l'Assemblée constituante, Mustapha Ben Jaâfar ainsi que l'ancien chef du gouvernement post-révolution, Béji Caïd Essebsi et l'ancien ministre des Affaires étrangères (avant la révolution), Kamel Morjane.

D'après le directeur de sa campagne électorale, Adnen Manser, l'actuel chef d'Etat tunisien s'est porté candidat à la présidentielle en tant qu'indépendant.

Dans un communiqué en son nom, M. Marzouki a affirme qu'il poursuivra ses fonctions jusqu'à l'élection d'un nouveau président de la République d'autant qu'il n'acceptera en aucun cas laisser la voie à un "vide" au sommet de l'Etat tunisien.

Les prochaines élections, a t-il insisté en s'adressant aux Tunisiens, seront "des plus décisives pour l'avenir de la Tunisie" non seulement durant les 5 prochaines années mais plutôt pour les décennies qui viennent.

Le dernier délai pour le dépôt des candidatures pour la présidentielle est déjà fixé par l'Instance supérieure indépendante pour les élections (ISIE) pour le 22 septembre courant.

Quant aux favoris de la présidence tunisienne, selon la presse locale, il y a également l'ancien gouverneur de la BCT, Mustapha Kamel Nabli, le président du Parti des Travailleurs (gauche) Hamma Hammami et le leader du Parti républicain, Ahmed Néjib Chebbi (centre droit).

Actualité Les rebelles centrafricains enlèvent 9 personnes dans l'est du Cameroun

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Crée LE 21-09-2014  - 05H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE dimanche  le 21-09-2014 - 08H39 PAR :ARTV NEWS

 

 

 

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Neuf personnes dont un chef de village de l'Est du Cameroun ont été enlevées lors d'un assaut mené samedi matin par les combattants du Front démocratique du peuple centrafricain (FDPC), groupe rebelle créé par Abdoulaye Miskine détenu depuis un an à Yaoundé, a-t-on appris samedi soir d'une source sécuritaire dans la région.

Ces otages, selon cette source, sont des villageois de la localité de Béthanie frontalière de la République centrafricaine ( RCA) et proche des bases du FDPC qui avait pris part au conflit entre l'ex-alliance rebelle de la Séléka et le régime de François Bozizé avant de s'en éloigner au moment de l'offensive finale ayant conduit à la prise du pouvoir de Michel Djotodia le 24 mars 2013 à Bangui.

"Ce sont des personnes qui se rendaient au champ. Le chef du village en fait partie. Comme c'est une zone où les populations vont d'un côté à l'autre de la frontière, les rebelles de Miskine ont profité de cette liberté de mouvements pour mener leur incursion. Pendant des heures, ils ont tiré des obus en direction de notre territoire. Ils réclament la libération de leur chef", a-t-elle relaté.

De son vrai nom Martin Koumtamadji, le général Abdoulaye Miskine est un chef rebelle présenté comme étant originaire du Tchad mais un acteur clé de la lutte armée en RCA.

Il est pour cette raison signataire d'un accord de cessez-le- feu avec l'ex-régime centrafricain de François Bozizé en février 2007 sous le parrainage du défunt dirigeant libyen Mouammar Kadhafi.

Il s'était cependant tenu à l'écart du dialogue intercentrafricain sanctionné par un accord politique pour une sortie de crise dans ce pays pauvre d'Afrique centrale entre ce même pouvoir et ses adversaires dont l'ex-coalition de la Séléka le 11 janvier 2013 à Libreville (Gabon).

Blessé lors d'une attaque de celle-ci contre ses positions quelques semaines plus tard, il s'était réfugié avec une partie de ses hommes à Bertoua, principale ville de l'Est du Cameroun où cette présence avait fini par agacer les autorités de Yaoundé, non contentes des attaques répétées contre les forces de sécurité nationales basées dans cette région.

C'est ce qui explique son arrestation suivie de son transfert en septembre 2013 dans les services de renseignement camerounais à Yaoundé où il reste en détention un an après.

Il y a quelques mois, les combattants du FDPC avaient déjà enlevé une vingtaine de personnes lors d'une attaque contre Garoua- Boulaï, ville camerounaise située près de la frontière avec la Centrafrique, avant de les libérer par la suite après des négociations avec les autorités camerounaises.

Actualité RDC : l'épidémie d'Ebola est "en bonne voie d'être maîtrisée

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Crée LE 22-09-2014  - 05H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE lundi  le 22-09-2014 - 0

8H39 PAR :ARTV NEWS

 


                                                            

 

La maladie à virus Ebola dans la province de l'Equateur, dans le nord de la République démocratique du Congo (RDC), est en voie d'être maîtrisée, indique un communiqué du gouvernement reçu dimanche.

Les pouvoirs publics rd-congolais et leurs partenaires ont réussi à "circonscrire l'épidémie dans son site d'apparition initiale et d'en réduire le taux de contamination", dit le communiqué, ajoutant que "selon le rapport du ministre de la Santé publique, grâce à ces efforts, l'épidémie est en bonne voie d'être maîtrisée".

A la date du 17 septembre, la RDC a enregistré un total cumulé de 71 cas (27 cas confirmés, 26 cas probables, 18 suspects), dont 40 décès (14 confirmés, 26 probables, 9 suspects), poursuit le communiqué citant le ministre de la Santé publique Felix Kabange.

Au cours des dix derniers jours, aucun nouveau cas n'a été confirmé.

Le ministre de la Santé publique s'est félicité de la bonne réceptivité de la population aux conseils et recommandations du personnel médico-sanitaire en charge de la lutte contre le virus Ebola, ajoute le texte.

Samedi, le conseil des ministres a décidé de fournir des moyens supplémentaires afin d'accroître l'efficacité des équipes déployées sur terrain. Fin

L'épidémie actuelle, septième que la RDC a connu depuis 1976, a été officiellement déclarée il y a un mois dans l'aire de santé de Djera, dans le district de la Tshuapa, à 25 km de Boende-centre.

Actualité RDC : deux groupes parlementaires boycottent toute plénière sur la révision de la Constitution

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Crée LE 22-09-2014  - 05H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE lundi  le 22-09-2014 - 08H39 PAR :ARTV NEWS

 

 

                                                   

 

L'Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS) et l'Union pour la nation congolaise ( UNC), principaux partis d'opposition de la RDC, ont annoncé dimanche suspendre la participation de leurs groupes parlementaires à toute plénière qui aura pour objectif de modifier la Constitution de la RDC.

"Nous suspendons notre participation à toute plénière qui aura pour ordre du jour le débat général sur les projets de lois du gouvernement portant organisation des élections ainsi que sur celui ayant trait à la révision de la constitution", indique une déclaration politique de l'opposition lue dimanche par le président du groupe parlementaire UDPS, Samy Badibanga.

"Étant donné que toutes ces initiatives contribuent à la dégradation de l'environnement général des élections avec comme conséquence de vicier dangereusement l'intégrité, la crédibilité et la transparence du processus électoral", estiment les deux groupes parlementaires dans la déclaration.

Selon la déclaration, l'UDPS et l'UNC ont aussi suspendu jusqu'à nouvel ordre leur participation aux activités de la Commission électorale nationale indépendante (CENI).

Actualité Burundi : les Etats-Unis accordent 675.000 USD pour appuyer les élections de 2015

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Crée LE 22-09-2014  - 05H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE lundi  le 22-09-2014 - 0

 

8H39 PAR :ARTV NEWS

 

 

                                                                         

 

 

 

Les Etats-Unis accorderont 675.000 dollars au Burundi pour le soutenir dans la préparation des élections présidentielles, législatives et locales de 2015.

Un accord en la matière a été signé dimanche par le ministre burundais des Relations Extérieures et de la Coopération Internationale, Laurent Kavakure, et l'ambassadeur des Etats-Unis au Burundi, Dawn Liberi. Cet accord s'ajoute à celui qui avait été signé entre les deux parties fin juillet et qui prévoit l'octroi de 3,5 millions de dollars.

D'après un communiqué de l'ambassade des Etats-Unis, le nouvel accord porte à 10,5 millions de dollars l'appui du gouvernement américain pour les élections burundaises de 2015.

A cette occasion, M. Kavakure a déclaré qu'en dépit des efforts déployés, il y a encore "un gap assez important" entre l'enveloppe global de plus de 60 millions de dollars prévus pour l' organisation des scrutins prévus en 2015 et ce qui a été déjà récolté.

"Le gouvernement du Burundi conçoit lui-même de gros efforts pour la réussite de ce processus. C'est ainsi qu'il vient de mobiliser un montant de 7,4 milliards de francs burundais (4,8 millions dollars) pour permettre la mise en place des comités électoraux au niveau provincial et au niveau communal", a-t-il déclaré à Xinhua.

"A l'étape où nous sommes, les opérations se déroulent de manière convenable conformément à l'agenda que s'est fixé la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) en partenariat avec les partenaires tant locaux que bilatérales et multilatérales. Donc, à cette étape, nous n'avons pas d'inquiétude. Vous savez que la mobilisation des fonds est un travail continu", a-t-il dit.

M. Kavakure a fait savoir que le gouvernement envisage d'envoyer une délégation de très haut niveau à New-York pour rencontrer les partenaires de la Commission de la consolidation de la paix pour le Burundi dans une perspective de poursuivre la mobilisation des fonds pour les élections de 2015.

Sur les 60 millions de dollars annoncés par la CENI, les partenaires techniques et financiers ont promis 39 millions, a-t- il précisé.

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