Quantcast
Channel: AFRIQUE REDACTION . L'information en continu ! Afrique au cœur de l’actualité...Infos News sur la RDC, les brèves de la dernière minute. Synthèse sur l’actu internationale. rdcongo-kinshasa, Nord et Sud KIVU, Kinshasa, Bas Congo, Dongo, Equateur, Maniema, Lubumbashi, les deux Kasai. Rédacteur en Chef : BONGOS Roger
Viewing all 14381 articles
Browse latest View live

Actualité Djibouti va créer un organisme d'évaluation de l'action gouvernementale

0
0

Crée LE 22-09-2014  - 05H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE lundi  le 22-09-2014 - 0

8H39 PAR :ARTV NEWS

 

                                                                         

 

 

Djibouti va créer un organisme d'évaluation et de suivi de l'action gouvernementale à l'initiative du président djiboutien Ismail Omar Guelleh, qui consiste à développer une culture du suivi et de l'évaluation pour diagnostiquer les faiblesses et les lacunes de l'administration djiboutienne et y apporter les corrections nécessaires.

Un rapport d'évaluation de l'action gouvernementale remis au président Guelleh évoque "l'absence avérée et dommageable d'une culture et des pratiques de suivi et d'évaluation de l'action de l' administration centrale dans tous les départements ministériels ", selon un communiqué de la présidentielle djiboutienne publié dimanche.

Le rapport avait pour but de réaliser une évaluation objective et transparente de l'action gouvernementale et d'identifier et recommander les actions prioritaires et correctrices à entreprendre.

Let travail avait été confié à de plus de 130 personnalités dont des cadres supérieurs de l'Administration publique centrale, des parlementaires et des représentants du secteur privé ainsi que des préfets, des élus locaux et des figures de la société civile djiboutienne.

"Le premier souci des administrateurs doit être leurs usagers. Ils doivent connaître leurs préoccupations, leurs apporter les réponses nécessaires pour lever leurs inquiétudes et mettre fin à leurs frustrations", a indiqué le président Guelleh, cité dans les colonnes du quotidien djiboutien La Nation.

Pour lui, l'efficacité de l'administration publique doit se mesurer aux délais légaux pour obtenir des documents ou des actes officiels, dont notamment les pièces d'identité, les passeports, les récépissés de création d'entreprises.

"C'est le rôle de tous les responsables d'administrations de s' assurer que ces délais soient les plus courts possibles", a-t-il souligné.


Actualité Algérie : le chef de l'Etat préside une réunion sur la sécurité aux frontières

0
0

Crée LE 22-09-2014  - 05H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE lundi  le 22-09-2014 - 0

8H39 PAR :ARTV NEWS

 

                                                                          

La situation sécuritaire aux frontières sud et est de l'Algérie ainsi que les efforts de paix déployés par ce pays d'Afrique du Nord pour résoudre la crise qui sévit au Mali et en Libye a été le thème d'une réunion présidée dimanche à Alger par le président Abdelaziz Bouteflika, selon un communiqué de la présidence de la République.

Ont pris part à cette rencontre de haut niveau, des responsables civils et militaires dont le Premier ministre Abdelmalek Sellal et le vice-ministre de la Défense nationale, chef d'état-major de l'Armée nationale populaire, Ahmed Gaïd Salah, ajoute-on de même source.

La situation en Libye a été à l'ordre du jour de la visite effectuée le 13 septembre dernier à Alger par le chef d'état-major des armées françaises, le général Pierre de Villiers.

Sur cette question, la France n'écarte pas l'éventualité de prendre des mesures militaires en Libye pour chasser les groupes extrémistes, alors que l'Algérie est toujours en faveur d'une solution pacifique. Car une intervention militaire de plus dans la sous-région sahélo-saharienne pousserait les djihadistes à s'infiltrer sur son territoire.

Pour éviter un tel scenario, l'Algérie se dit prête à accueillir un dialogue de paix inter-libyen similaire à celui qu'elle a parrainé entre différentes factions maliennes, sans pour autant verser dans ce qui pourrait être considéré comme de l'ingérence dans les affaires internes de la Libye voisine.

Actualité Bataille de l’article 220 : les catholiques passent aux actes

0
0

Crée LE 22-09-2014  - 05H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE lundi  le 22-09-2014 - 18H19 PAR :LE PHARE 

                                                                       Bataille de l’article 220 : les catholiques passent aux actes

 

 

 


Ils l’avaient annoncé depuis Rome dans une lettre datée du 14 septembre 2014 adressée aux fidèles catholiques et à tous les hommes de bonne volonté. A partir du dimanche 21 septembre, la sensibilisation des chrétiens catholiques contre la révision constitutionnelle et particulièrement celle des articles verrouillés devait démarrer sur toute l’étendue du territoire national. Ceux qui avaient pensé que la réaction vigoureuse du gouvernement contre la déclaration des Evêques de la République Démocratique du Congo allait refroidir les ardeurs des princes de l’Eglise catholique romaine devraient certainement mal les connaître. Ils devraient avoir mal lu leur détermination déjà soulignée par eux-mêmes lorsqu’ils rappellent le témoignage jusqu’au martyre des apôtres Pierre et Paul ainsi que celui de la Bienheureuse Marie Clémentine Anuarite Nengapeta assassinée il y a cinquante ans par les Simbas opérant pour le compte de la République Populaire du Congo (Kisangani, ex-Stanleyville).

Hier dimanche, dans toutes les églises catholiques du pays, le mot d’ordre des Evêques a été suivi. Le message intitulé « Protégeons la Nation » a été lu à l’intention des millions des fidèles à toutes les messes. La position de l’Eglise catholique a ainsi été soulignée. Il s’agit de l’opposition claire et nette à toute modification de l’article 220, article verrouillé de la Constitution qui stipule que : « La forme républicaine de l’Etat, le principe du suffrage universel, la forme représentative du Gouvernement, le nombre et la durée des mandats du Président de la République, l’indépendance du Pouvoir judiciaire, le pluralisme politique et syndical ne peuvent faire l’objet d’aucune révision constitutionnelle ».

A l’Eglise Saint Jean-Apôtre de la Cité Mama Mobutu, diocèse de Kisantu, dans la commune de Mont-Ngafula, le message des Evêques appelant à protéger la Nation a été lu par le Curé qui s’est engagé, aussitôt la lecture terminée, à le disponibiliser à l’intention de toutes les communautés ecclésiales et évangéliques de base et ce, conformément au mot d’ordre des Evêques instruisant les curés et catéchistes de sensibiliser les chrétiens dans les CEVB, les Mouvements d’Action catholique, et les groupes à charisme propre. Toutefois, le Curé a demandé que la lettre des Evêques soit lue par les responsables de toutes ces communautés dans son esprit et dans sa lettre, sans trop de commentaires.

Les positions sur la question de révision ou non de la Constitution n’ont donc pas bougé. La Majorité a confirmé sa détermination d’aller jusqu’au bout de sa logique et les anti-révisionnistes n’en démordent pas. Comme il s’agit d’un débat démocratique, il faut espérer que toutes les parties auront le droit de s’exprimer et que nul ne sera tenté par des attitudes putschistes qui consistent à museler les opinions qu’on ne partage pas.<>

Actualité Analyse et réflexion sur la problématique d’une révision constitutionnelle

0
0

 

 

 

 

Crée LE 22-09-2014  - 05H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE lundi  le 22-09-2014 - 18H19 PAR :PHARE

 

                                                                        Analyse et réflexion sur la problématique d’une révision constitutionnelle

En marge de la cérémonie de remise des brevets aux observateurs électoraux à long terme, la Nouvelle société civile congolaise (NSCC) a animé le samedi 20 septembre 2014, une conférence-débat sur la révision constitutionnelle en son siège dans la commune de Kasa-Vubu. Ce débat était axé sur les thèmes suivants : – Révision de la Constitution : mobilisation sociale et rôle de la population, exposé par l’Abbé Richard Mugaruka ; – Révision de la Constitution : Enjeu et rôle de la société civile congolaise, animé par l’Abbé José Mpundu.

Dans son mot d’introduction, Jonas Tshombela, coordonnateur de la SNCC, a indiqué que sa plateforme s’est engagée à mobiliser la population sur la question des élections prochaines et attirer son attention sur le débat autour de la révision de la Constitution.

C’est dans ce cadre que la NSCC a formé 51 observateurs électoraux dans les modules de la sensibilisation, de l’éducation civique et de l’observation électorale à long terme, qui seront répartis dans les différentes communes de Kinshasa, a-t-il indiqué.

Prenant la parole, l’Abbé Richard Mugaruke a interpellé les autorités en place suite à leur tentative de réviser la Constitution. Il a estimé que cette démarche ne vise qu’à élaborer des lois pour préserver les intérêts personnels d’un individu ou d’une classe politique bien définie. « Notre pays est une République et non une monarchie. La RDC appartient au peuple et n’est pas une propriété privée», a-t-il laissé entendre. Il a demandé aux autorités en place de respecter l’article 220 de la Constitution.

De son côté, dans ce même ordre d’idée, l’abbé José Mpundu, a fait savoir que le vrai problème de la RDC est qu’elle est toujours sous l’emprise des occidentaux.

Dans son analyse, José Mpundu a démontré que toutes les constitutions que le Congo a eu jusqu’à ce jour sont venues d’ailleurs. Celle de 1960 est la copie conforme de la Constitution belge et la dernière qui nous régit a été écrite par eux-mêmes. « Nos constitutions ont été taillées sur mesures, par des étrangers qui nous dirigent indirectement. Et ce sont eux qui nous ont donné une Constitution qui demande à tout moment des révisions… », révèle-t-il.

Il a indiqué que la première tentative de révision de cette constitution date du 5 novembre 2007, où les bureaux de l’Assemblée Nationale étaient saisis de ce projet initié par Kalala Tshibangu. Mais cette tentative avait avorté suite à la mobilisation de l’opinion publique interne qu’externe, a fait savoir José Mpundu. La deuxième tentative, a-t-il poursuivi, intervient en 2009 sur initiative du directeur de cabinet du chef de l’Etat. Celui-ci avait saisi l’Assemblée Nationale pour qu’on révise le mandat présidentiel, la composition judiciaire, etc. Elle avait également été avortée suite à la contestation de l’opposition et de forces vives de la Nation. Continuant sa réflexion, la troisième tentative qui a réussi à être révisée remonte du 10 janvier 2011. En suivant l’histoire de cette révision, noté José Mpundu, nous remarquerons qu’elle a été menée de manière cavalière et expéditive. En conclusion, il a souligné que le vrai problème de la RDC ne concerne que le pouvoir, qui selon lui, est conçu comme un moyen d’avoir et non pour servir. L’abbé José Mpundu va plus loin en affirmant que la caractéristique du comportement du Congolais face au pouvoir n’est rien que la peur. « Ceux qui sont au pouvoir ont peur de quitter parce que ressentant la peur de perdre (biens matériels, richesses,..). C’est ainsi qu’ils veulent le garder. Ils s’accrochent aussi au pouvoir parce qu’ils ont peur de ce qui peut leur arriver ». L’Abbé José Mpundu a estimé que les Congolais doivent tout d’abord s’engager à mener une véritable lutte de libération en ayant leur propre Constitution. Selon lui, ce combat doit être axé sur 3 point essentiels : – Avoir une vision commune du Congo que nous voulons ; – Faire un portrait-robot des personnes qui peuvent porter cette vision et se poser la question de savoir qui sont ces personnes ; – Réfléchir sur nos ressources de financement propres pour sortir de la situation de de main tendue vers l’étranger. «C’est alors qu’on sera libre et on pourra parler de la démocratie, Constitution, élection,… », a-t-ilconclu.

LA LUTTE CONTRE DES PRODUITS PHARMACEUTIQUES CONTREFAITS EN AFRIQUE

0
0

Crée LE 22-09-2014  - 05H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE lundi  le 22-09-2014 - 08H39 PAR :ARTV NEWS

 

Snapshot_5.png

L'OMD et l'IRACM s'attaquent à l'invasion des produits pharmaceutiques illicites et/ou contrefaits en Afrique...

113 millions de produits pharmaceutiques illicites et/ou contrefaits interceptés, potentiellement dangereux pour la santé

Dates de l’opération
Du 21 mai au 4 juin 2014.
3 jours de formation suivis de 10 jours d’intervention douanière.

Régions concernées
Sud, Ouest et Est de l’Afrique, soit 14 pays.

Pays
Afrique du Sud, Angola, Bénin, Cameroun, République Démocratique du Congo, Côte d’Ivoire, Gabon, Ghana, Kenya, Mozambique, Namibie, Sénégal, Tanzanie, Togo.

Ports maritimes
Abidjan, Cotonou, Dakar, Dar es Salam, Douala, Durban, Le Cap, Libreville, Lomé, Luanda, Maputo, Matadi, Mombasa, Tema, Walvis Bay.

La sécurité et la santé des populations africaines sont gravement menacées par l’invasion de produits pharmaceutiques illicites et/ou contrefaits, souvent dangereux. Face à la progression de ce trafic, particulièrement inquiétant, les douanes sont en première ligne pour stopper les importations illégales et protéger les consommateurs.

L’Institut International de Recherche Anti-Contrefaçon de Médicaments (IRACM) et l’Organisation mondiale des douanes (OMD) ont décidé d’unir leurs forces pour la troisième année consécutive et d’organiser une nouvelle opération douanière d’envergure de lutte contre le trafic de produits menaçant la santé et la sécurité des consommateurs dans 14 pays d’Afrique du sud, de l’ouest et de l’est sous la dénomination « opération Biyela 2 » .

L’opération Biyela 2 a mobilisé 14 administrations douanières africaines durant dix jours, du 26 mai au 4 juin 2014, afin de contrôler simultanément les cargaisons susceptibles de contenir des produits de santé illicites et/ou contrefaits dangereux pour la santé des populations locales.

Parmi les 118 millions d’articles interceptés, 113 719 528 étaient des produits pharmaceutiques illicites et/ou contrefaits, soit 95% des articles. La majeure partie de ces interceptions ont eu lieu au Bénin, en Tanzanie et en République Démocratique du Congo. La plupart des cargaisons interceptées provenaient de Chine ou d’Inde.

Parmi les médicaments bloqués par les douaniers africains, une majorité concerne des traitements de première nécessité (32% d’antalgiques, 17% d’anti-inflammatoires, 5% d’antibiotiques), mais aussi des traitements de fond (17% des produits interceptés étaient des antituberculeux).

L’opération a également permis de détecter pour la première fois et de manière significative des produits vétérinaires illicites : plus d’un million d’injectables au Bénin, plus d’un million de comprimés et d’ampoules au Mozambique, et plus de 100 000 injectables au Togo.

Le trafic considérable de médicaments illicites et contrefaits en Afrique est en aggravation constante.

Comme pour toutes les activités illégales, il est particulièrement difficile d’estimer avec précision l’ampleur du trafic de faux médicaments. Cependant, à travers le prisme de trois années de coopération entre l’Organisation mondiale des douanes et l’Institut International de Recherche Anti-Contrefaçon de Médicaments, il est possible de proposer une photographie partielle de l’évolution de ce trafic dans plusieurs pays d’Afrique.

Ainsi, en un peu plus de 3 années de partenariat, les 3 opérations menées dans les grands ports maritimes d’Afrique (Vice Grips 2, Biyela 1 et Biyela 2) ont permis l’interception de près de 756 millions de produits pharmaceutiques illicites et/ou contrefaits, d’une valeur estimée à plus de 370 millions de dollars US, et leur blocage aux portes du continent.

Parce que le trafic de médicaments illicites et contrefaits s’aggrave et nous menace tous, l’IRACM et l’OMD se mobilisent ensemble depuis 3 ans, en soutenant des interceptions de conteneurs en Afrique, où sont visées les populations les plus défavorisées, afin de mettre en échec la stratégie des trafiquants.

La fréquence des cas et le volume des lots interceptés par les douaniers, l’élargissement des gammes de produits pharmaceutiques contrefaits pouvant aller de l’antitussif aux antidiabétiques, en passant par les contraceptifs ou les antibiotiques, la « qualité » des contrefaçons, l’évolution des techniques de fraude et des routes du trafic : autant d’indicateurs en cours d’analyse et qui tendent à démontrer que, loin de faiblir, le trafic de faux médicaments est en progression continuelle.

« Ce type d’actions douanières est primordial. Les douanes sont le premier rempart contre l’invasion des médicaments contrefaits, mais le combat doit se jouer également à d’autres niveaux : judiciaire et législatif notamment. Nous avons à faire à des voyous, des mafieux, des trafiquants sans scrupules. Il est impératif que l’ensemble des autorités nationales et internationales en prennent enfin conscience et se mobilisent pour protéger la vie des patients.» déclare Bernard Leroy, Directeur de l’IRACM.

Une guerre contre le trafic de faux médicaments : le combat ne s’arrête pas aux frontières.

Comme toutes les activités criminelles, le trafic de contrefaçons de médicaments s’enracine là où le terrain est le plus propice : appareils législatifs inadaptés, entraide judiciaire inexistante, populations mal informées, pénurie de médicaments, complexité des chaînes d’approvisionnement, manque de structures de régulation et de moyens de contrôle, corruption, etc. Autant de facteurs qui font que l’action aux frontières, seule, ne peut venir à bout d’un tel fléau.

L’Institut International de Recherche Anti-Contrefaçon de Médicaments travaille activement sur la mise au point de lois modèles destinées à aider les Etats à remonter les filières, punir les trafiquants, saisir leurs avoirs, et ainsi à mieux combattre le trafic de faux médicaments.

Roger BONGOS
Déjeuner de presse au Restaurant " Drouant " , 16-18 place Gaillon. 75002 Paris. Le 22 septembre 2014 à 12 heures 30'
Interviews réalisées par Roger BONGOS
Snapshot_4.pngRoger BONGOS  et Bernard LEROY Directeur de l'IRACM
Snapshot_1.png
Snapshot_2.png
Snapshot_0.png

Le grand reporter Roger BONGOS est partout dans tous les fronts, dans tous les endroits, là où on parle de son cher continent...

0
0

Crée LE 20-09-2014  - 05H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE samedi  le 20-09-2014 - 08H39 PAR :ARTV NEWS

ARTV-NEWS---NOUVEAU-0824.JPG

Un panafricanisme engagé et convaincu qui vient de réaliser, une prouesse, une performance, 23 interviews de présidents africains depuis le début de cette année et ce n'est pas fini. 

Il vous donne rendez-vous à Dakar au mois de novembre 2014, pour le prochain sommet de la francophonie où son tableau de chasse sera étoffé... 

Son envoyé spécial est aux Etats Unis à New-York pour couvrir la conférence sur le climat de Ban Kin Moon, convoquée avant celle de Paris (Cop 21) en décembre 2015...

Afrique Rédaction reste et demeura incontournable avant l'arrivée prochaine du Site, 3 en 1 " Afrique Continent " co-géré par Freddy Mulongo et Roger BONGOS

Actualité Bénin : vers la modernisation du système de rémunération dans la fonction publique

0
0

 

 

Crée LE 23-09-2014  - 05H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE mardi  le 23-09-2014 - 08H19 PAR :ARTV NEWS

 

 

 

                                                               

 

 

 

 

Le gouvernement béninois envisage d'élaborer une loi-cadre portant modernisation du système de rémunération dans la fonction publique béninoise en vue de ramener la paix sociale dans l'administration, a-t-on appris lundi de sources officielles à Cotonou.

"Cette loi-cadre vise à doter le Bénin d'une disposition qui permette d'améliorer la gouvernance, le pilotage, le fonctionnement et les performances du système de rémunération dans la fonction publique et, partant, de contribuer à l'accroissement du degré de motivation des agents publics au travail et de maîtriser la masse salariale", a indiqué Marcel de Souza, ministre du Développement, de l'Analyse économique et de la Prospective ( MDAEP), lors d'une séance d'échange avec les partenaires sociaux et les experts du monde de travail du Bénin sur la masse salariale et ses déterminants.

Il a indiqué que les revendications ayant trait à une amélioration des revenus ont beaucoup agité l'administration publique béninoise au cours de ces dernières années.

"Depuis quelques années, l'administration béninoise est confrontée à une agitation persistante résultant du mécontentement grandissant des agents de l'Etat de toutes catégories et de tous secteurs", a-t-il déploré, regrettant que cette insatisfaction se traduise par des mouvements de grèves incessants sur des périodes de plus en plus longues.

Pour ce responsable politique, ces grèves sont pour l'essentiel motivées par des revendications ayant trait à une amélioration des revenus, à travers la revalorisation de la grille salariale d'une part, et le paiement de primes et d'indemnités sous diverses dénominations d'autre part.

En réaction à ces mouvements, a-t-il poursuivi, les gouvernements successifs ont pris des mesures pour satisfaire les agents, soit par l'augmentation de la valeur du point d'indice soit par l'attribution de primes ou d'indemnité d'abord par secteur, et tout récemment, à tous les secteurs.

"Mais le constat est que, loin de ramener la paix sociale dans l'administration, ces mesures ont eu pour effet immédiat d'étendre les mouvements de protestations à des secteurs qui étaient considérés comme stables et aussi à des secteurs hautement sociaux tels que celui de la santé et de l'éducation", a-t-il déploré.

Actualité Piraterie : le commandant en chef de l'opération européenne Atalante en visite à Djibouti

0
0

Crée LE 23-09-2014  - 05H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE mardi  le 23-09-2014 - 08H19 PAR :ARTV NEWS

 

 

                                                               

 

 

Le nouveau commandant en chef de l'opération européenne de lutte contre la piraterie maritime "Atalante", le général de division Martin Smith, détaché des Royal Marines britanniques, est arrivé lundi à Djibouti pour une visite de travail des deux jours.

Le général Smith, qui a pris la tête de l'opération Atalante il y a moins d'un mois, aura des entretiens avec les autorités djiboutiennes et rencontrera les troupes placées sous son commandement, notamment les équipages des avions de patrouille maritime P3 Orion espagnol et allemand, le détachement de l'armée serbe qui a pour mission de protéger les navires du Programme alimentaire mondial (PAM) transportant de l'aide alimentaire à la population somalienne.

L'opération Atalante de l'Union européenne, active depuis 2009, ayant son quartier général à Djibouti, vise à lutter contre la piraterie au large des côtes somaliennes, dans le golfe d'Aden et dans l'océan Indien.

Selon les chiffres disponibles, depuis la mise en place de cette opération, près de 130 pirates ont été capturés et condamnés, alors qu'une vingtaine d'autres doit encore être jugés.

Des navires italiens, espagnols, allemands, néerlandais et belges sont en ce moment engagés en mer dans le cadre de l' opération Atalante avec Djibouti comme principal point d'appui d'Atalante.


Actualité Cap-Vert : prédominance des femmes dans le nouveau gouvernement

0
0

Crée LE 23-09-2014  - 05H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE mardi  le 23-09-2014 - 08H19 PAR :ARTV NEWS

 

                                                                     

 

Le gouvernement du Cap-Vert compte maintenant un plus grand nombre de femmes que d'hommes, onze contre huit, à la suite d'un remaniement ministériel, a fait remarquer lundi le Premier ministre capverdien, José Maria Neves.

Cette prédominance des femmes est "un gros gain" pour le pays, a estimé M. Neves en s'adressant aux journalistes après la cérémonie de prestation de serment des nouveaux ministres devant le président de la République, Jorge Carlos Fonseca.

"C'est un gros gain pour le Cap-Vert, mais aussi pour les femmes capverdiennes et un signal que nous donnons à la société de continuer à travailler dans cette direction", a affirmé le Premier ministre.

Les personnalités nouvellement nommées sont Leonesa Fortes, ministre du Tourisme, de l'Investissement et du Développement des Affaires, la diplomate Maria Jesus Miranda qui revient au gouvernement comme Secrétaire d'État aux Affaires étrangères et Esana de Carvalho, nommée Secrétaire d'État adjointe de la ministre des Finances, Cristina Duarte.

Le gouvernement compte encore sept autres femmes : Cristina Fontes Lima (Santé), Cristian Hopffer Almada (Jeunesse, l'Emploi), Marisa Morais (Administration intérieure), Fernanda Marques ( Éducation et Sport), Eva Ortet (Développement rural), Fernanda Fernandes (Communautés), Sara Lopes (Infrastructure et Economie maritime).

Ont également prêté serment Jorge Tolentino (Affaires étrangères), Rui Semedo (Affaires parlementaires et la Défense nationale) et Démmis Almeida (ministre de la Présidence du Conseil des ministres et des médias).

Selon le Premier ministre cap-verdien, le remaniement signifie que le gouvernement continuera à travailler pour l'égalité des sexes dans le pays.

Le renforcement de l'équipe des finances se justifie, a-t-il ajouté "par les réformes en cours, y compris des privatisations".

Quant au renforcement du secteur des investissements et de développement des affaires, il a pour objectif d'attirer des investissements directs étrangers, de stimuler le secteur privé, de lever les contraintes existantes et de permettre un plus grand développement de l'entreprise, a conclu le chef du gouvernement.

Actualité La Côte d'Ivoire harmonise son plan de lutte contre Ebola avec les pays de la sous-région

0
0

Crée LE 23-09-2014  - 05H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE mardi  le 23-09-2014 - 08H19 PAR :ARTV NEWS

 

 

 

                                                       

Au total 10 pays "à risques" en Afrique prennent part à Abidjan à un atelier régional de deux jours pour harmoniser et renforcer leurs plans nationaux de préparation et de riposte face à la maladie à virus Ebola qui sévit dans la sous-région ouest africaine.

L'atelier, initié par l'ambassade des Etats-Unis en Côte d'Ivoire, a été ouvert lundi et est animé par des experts du Centre de contrôle et de prévention des maladies (CDC) de l'agence internationale américaine pour le développement USAID.

Il vise à "renforcer les plans de préparation, favoriser le dialogue de santé publique sur la préparation des pays et la collaboration pour faire face à cette crise régionale et éviter une propagation à plus grande échelle".

"Une approche régionale forte est cruciale pour contenir l'épidémie parce que les maladies n'ont pas de frontières politiques", a déclaré à l'ouverture des travaux, l'ambassadeur des Etats-Unis, Terence McCulley.

"Le gouvernement ivoirien a pris de nombreuses mesures pour faire face à une épidémie d'Ebola mais cet atelier permettra une meilleure collaboration avec les agences gouvernementales d'autres pays de la région de sorte à ce que le partage de connaissance, d'expériences, et la collaboration puise permettre de contrôler l'épidémie", a-t-il ajouté.

Le directeur de l'Institut national d'hygiène publique (INHP), Simplice Dégnan, représentant le ministre ivoirien de la Santé, a également indiqué que l'atelier va permettre d'"unir les efforts et les actions pour donner une réponse sous-régionale à ce fléau à travers l'harmonisation des plans nations d'action et de lutte".

"La lutte contre Ebola ne peut plus être l'affaire d'un pays vu le niveau de propagation et de victimes occasionnées", a souligné M. Degnan.

Le dernier bilan de l'OMS indique que l'épidémie en cours en Guinée, au Liberia, en Sierra Leone et au Nigeria a fait plus de 2. 600 morts sur 5.500 personnes contaminées.

La protection sanitaire du personnel médical, les techniques d'isolation et de mise en quarantaine, la prévention et le contrôle des infections, l'identification des contacts, le dépistage et le suivi ainsi que la communication et la mobilisation sociale figure parmi les sujets qui sont abordés par l'atelier.

Des représentants de la Côte d'Ivoire, du Burkina Faso du Bénin, du Togo, du Niger, du Mali, de la Guinée-Bissau, de la Mauritanie auxquels se sont joints des représentants du Cameroun et du Tchad participent à l'atelier.

Actualité Libye : un gouvernement de crise approuvé le parlement

0
0

Crée LE 23-09-2014  - 05H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE mardi  le 23-09-2014 - 08H19 PAR :ARTV NEWS

 

 

                                                           

 

Le parlement libyen a approuvé lundi le nouveau cabinet du Premier ministre Abdallah al-Thinni, formant un gouvernement de crise en vue de régler l'actuelle crise politique qui ébranle le pays.

Selon le porte-parole du parlement, Bohachim Faraj, le gouvernement de M. al-Thinni a gagné la confiance de la Chambre des représentants, en recueillant 110 des 112 voix exprimées par les députés présents à la session.

Le cabinet, qui compte treize postes, comprend trois vice-Premiers ministres en plus des dix ministres. Cependant, le poste de ministre de la Défense renste vacant.

Il n'y a pas de ministère du Pétrole dans le nouveau cabinet. Selon des députés, le secteur pétrolier sera géré par la société étatique National Oil Corp.

Précédemment, la Chambre des représentants avait rejeté deux fois la proposition de M. al-Thinni de former un cabinet élargi avec 16 ministres.

La Libye connaît une escalade drastique de la violence depuis le mois de mai, où des activistes islamistes et des miliciens laïques alliés au gouvernement étaient engagés dans des affrontements meurtriers dans les principales villes comme Tripoli, Benghazi et Gharyan.

Selon des analystes, le nouveau gouvernement de M. al-Thinni pourrait demeurer intransigeant à l'égard des groupes armés islamistes, car il a écarté plus tôt toute négociation avec les factions armées islamistes.

Actualité Sierra Leone : la campagne d'isolement a été un succès, dit le président Koroma

0
0

Crée LE 23-09-2014  - 05H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE mardi  le 23-09-2014 - 14H19 PAR :ARTV NEWS

 

                                                                               

 

 

Le président de Sierra Leone Ernest Bai Koroma a déclaré que la campagne d'isolement de trois jours baptisée "restez chez vous", organisée du 19 au 21 septembre pour lutter contre le virus Ebola, était un "grand succès".

Le gouvernement a atteint "un succès d'environ 80 %", a indiqué dimanche le président Koroma, qui a félicité l'ensemble de la population pour son respect des consignes.

Le déroulement de la campagne inspire une certaine confiance dans le système de santé, a-t-il dit, observant que les gens signalaient de leur propre initiative les personnes malades ou décédées.

Il a invité les habitants à planifier et travailler ensemble, à se coordonner correctement et à écouter les conseils des autorités sanitaires.

"Nous ne succomberons pas à l'Ebola", a-t-il réaffirmé, souhaitant que le pays revienne à la normale. "Nous nous efforcerons de maintenir les efforts déployés jusqu'à présent", a déclaré le président.

"Nous ne devons pas nous reposer sur nos lauriers, nous devons améliorer notre approche de la réponse au virus et avec l'aide de nos partenaires de pays développés nous ouvrirons davantage de centres d'accueil et de traitement dans presque tous les districts pour éviter d'avoir à transporter les cas présumés d'Ebola loin de l'axe de Kenema pour effectuer les tests et soins", a déclaré le chef d'État.

Toutefois, le président s'est réjoui d'observer que les centres d'accueil avaient été établir dans un certain nombre d'endroits, précisant que près de 200 centaines de lits avaient déjà été attribués au traitement des cas suspectés d'infection de l'Ebola.

Il a révélé que l'opération récente avait également permis d' identifier un certain nombre d'enterrements secrets dans la plupart des régions du pays. Il a également observé que cette opération avait permis de renforcer la sécurité dans le système de santé du pays.

Le directeur de la communication au sein du ministère de la Santé et membre du Centre d'opérations d'urgence (E.O.C.), Sidi Yayah Tunis, a révélé que le nombre de cas confirmés pendant la période d'isolement du pays de trois jours s'était élevé à 128 dans l'ensemble du pays.

Par ailleurs, les chiffres cumulés publiés par le ministère de la Santé en collaboration avec le rapport de l'E.O.C. indiquent que 374 personnes ont survécu à la maladie et sont sorties de l' hôpital jusqu'à présent, tandis que le nombre cumulé de morts de l'Ebola s'élève à 501 et le nombre de cas conformés au 21 septembre était de 1.696.

Actualité Ebola : la première équipe de l'UA arrive au Liberia

0
0

Crée LE 23-09-2014  - 05H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE mardi  le 23-09-2014 - 14H19 PAR :ARTV NEWS

 

 

 

                                                                    

 

 

 

 

 

La première équipe de l'Union africaine (UA) contre le virus Ebola en Afrique de l'ouest est arrivée à Monrovia, la capitale du Libéria.

L'équipe devrait passer à l'action en fournissant leur soutien au gouvernement libérien dans la lutte contre le virus Ebola, note un communiqué de l'UA publié lundi.

Le chef adjoint du protocole au ministère libérien des Affaires étrangères a apprécié la volonté de l'équipe et l'a encouragée à vaincre ce qu'il a appelé "la guerre Ebola".

Les redéploiements aux différents comtés du Liberia devraient commencer bientôt, indique le communiqué.

Le communiqué indique par ailleurs que la présidente de la Commission de l'UA, Nkosazana Dlamini-Zuma, et le secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-moon, ont discuté dimanche de la nécessité d'améliorer le financement et la mobilisation du personnel médical pour intensifier la lutte contre la maladie à virus Ebola qui affecte la Guinée, le Libéria et la Sierra Leone.

Lors de leur entretien tenu avant l'ouverture de la 69e session de l'Assemblée générale des Nations Unies à New York, Mme Dlamini- Zuma et M. Ban ont convenu de coordonner les différentes initiatives et d'accroître les efforts de sensibilisation pour relever les défis psychologiques et la fausse conception autour de la maladie

Actualité Cameroun : décès d'une militante de la défense des droits des malades du sida

0
0

Crée LE 23-09-2014  - 05H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE mardi  le 23-09-2014 - 14H19 PAR :ARTV NEWS

 


                                                       

 

 

Une Camerounaise militante de la défense des droits des malades du sida, Huguette Atchomou, 37 ans, contaminée après avoir été mariée à un homme infecté dont le statut lui avait été caché, est décédée lundi à Yaoundé après une longue souffrance liée au manque de soins dû à un diagnostic erroné sur sa résistance au traitement.

La jeune femme, mère de deux enfants sains, dont un petit garçon de 9 ans et une petite fille de près de 5 ans nés d'une union avec leur père lui aussi sain, contrairement à leurs deux aînés n'ayant pas survécu à leur géniteur porteur du VIH et décédé trois ans après son mariage forcé avec Huguette, a rendu l'âme après deux jours d'hospitalisation dans une clinique privée de Yaoundé, selon ses proches.

C'était à la suite d'une nouvelle dégradation soudaine de son état de santé, deux mois après la récente hospitalisation en juillet,précise-t-on.

"Elle n'avait plus de traitement depuis deux mois. Le traitement qu'elle prenait ne le convenait pas : les ARV ( antirétroviraux) de deuxième ligne. Elle devait être en troisième ligne", a confié à Xinhua un membre de son entourage sous couvert d'anonymat un membre de son entourage.

Huguette Atchomou, dépistée séropositive au VIH en 1996, avait été déclarée par des examens cliniques à Yaoundé résistante à ce traitement, avant de découvrir qu'elle faisait l'objet d'un diagnostic erroné par d'autres examens réalisés en Afrique du Sud en 2012, à en croire cette source issue de son association "Espoir et vie Cameroun" créée en 2007.

Elle faisait partie depuis 2002 d'à peu près la moitié des quelque 570.000 malades sous traitement ARV recensés par les autorités sanitaires camerounaises, après avoir "fait la maladie jusqu'à la phase terminale", selon ses propres termes.

Très courageuse, elle avait pris l'habitude de témoigner, sans pudeur, à visage découvert dans les médias dont Xinhua en 2010 sur son statut.

Par le biais de son association, membre du Réseau camerounais des associations des personnes vivant avec le VIH/sida (RéCAP), elle menait des activités de sensibilisation sur cette pandémie dans des établissements scolaires et des églises.

"Mon histoire est longue. Je suis originaire du Nord. On m'a donnée en mariage précoce à un homme qui était déjà malade, à qui il fallait faire un enfant", avait-elle relaté à Xinhua. Ce conjoint décède trois ans plus tard, suivis des deux enfants issus du couple.

Avec son nouveau partenaire dépisté séronégatif, elle retrouve l'espoir, d'où le nom de son association. De cette union naissent deux autres enfants qui échappent eux aussi à la maladie.

D'une prévalence estimée à 4,3% en 2013 de la population totale répartie entre 5,6% chez les femmes et 2,9% chez les hommes, le Cameroun est classé pays à épidémie généralisée où les besoins de financement se révèlent importants.

Ces besoins se chiffraient à 27 milliards de francs CFA (54 millions de dollars américains) en 2013 par exemple pour l'achat des ARV de première et deuxième lignes en faveur de plus de 120. 000 malades sur environ 570.000 personnes éligibles. Les ruptures des stocks de médicaments sont courantes.

Actualité Le Kenya va créer une université numérique

0
0

Crée LE 23-09-2014  - 05H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE mardi  le 23-09-2014 - 14H19 PAR :ARTV NEWS

 

 

 

 

                                                               

Le Kenya a mis en place une infrastructure de soutien et a embauché du personnel qualifié pour mettre en place une université numérique qui aura des centres satellites dans tous les comtés, ont indiqué des responsables lundi.

Le secrétaire principal à l'éducation Belio Kipsang a déclaré que l'Université nationale utilisera des plates-formes numériques pour accroître l'accès à l'enseignement supérieur parmi les jeunes.

"Le gouvernement a investi dans la technologie de l'information et de la communication (TIC) afin de renforcer la formation en ligne", a déclaré M. Kipsang.

Le ministère de l'Education avait déjà formé un groupe de travail pour étudier la viabilité d'une université numérique. Les membres de l'Équipe spéciale ont noté que le Kenya avait une infrastructure adéquate et le capital humain pour faciliter la mise en place d'une université virtuelle.   Selon M. Kipsang, l'université numérique permettra à un grand nombre de personnes d'avoir accès à l'enseignement supérieur abordable et pratique.

La demande pour l'enseignement supérieur parmi les jeunes du Kenya exerce une pression sur les installations d'apprentissage.

M. Kipsang a noté que le Kenya possède l'une des plus forte population de jeunes inscrits dans l'enseignement supérieur en Afrique sub-saharienne.

"Le modèle traditionnel de l'apprentissage n'a pas réussi à faire face à un nombre élevé d'étudiants qui cherchent l'enseignement supérieur. Le modèle de l'université ouverte abordera ce goulot d'étranglement", a-t-il déclaré.


Actualité Mozambique : les observateurs militaires vont commencer leur mission le 30 septembre

0
0

 

 

 

Crée LE 24-09-2014  - 05H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE mercredi  le 24-09-2014 - 08H19 PAR :ARTV NEWS

 

 

                                                             

 

 

 

 

 

Les observateurs militaires étrangers invités à surveiller la cessation des hostilités entre le gouvernement mozambicain et l'ancien mouvement rebelle Renamo, le désarmement ainsi que la réintégration sociale des hommes armés de Renamo, commenceront officiellement leur mission le 30 septembre.

La date a été annoncée par les délégations du gouvernement et de Renamo lundi à la fin du 78ème cycle du dialogue entamé au début du mois d'avril 2013.

Neuf pays ont été sollicités pour envoyer des observateurs: le Botswana (qui dirige l'équipe), l'Afrique du Sud, le Zimbabwe, le Kenya, le Cap Vert, l'Italie, le Portugal, la Grande-Bretagne et les Etats-Unis.

A ce jour, seuls les observateurs botswanais, sud-africains, zimbabwéens et italiens sont arrivés dans la capitale Maputo.

Les observateurs du Cap Vert auraient déjà dû arriver, mais le chef de la délégation gouvernementale, le ministre de l'Agriculture José Pacheco, a expliqué qu'ils avaient rencontré des problèmes de connexion de leur vol à Lisbonne.

Il a indiqué que les observateurs déjà sur place au Mozambique travaillaient actuellement à faire en sorte que la logistique soit prête afin d'intégrer le reste de la mission.

M. Pacheco a ajouté que des progrès avaient été réalisés vis-à-vis de l'intégration des membres des "forces restantes" dans les forces armées et la police. Les experts militaires du gouvernement et de Renamo établissent actuellement des listes de membres qui intégreront l'armée et la police.

D'après le chef de la délégation de Renamo, Saimone Macuiana, le statut de la mission sera gouverné par la Convention de Vienne sur les relations diplomatiques entre Etats.

Il y aura en tout 23 observateurs étrangers et 70 observateurs mozambicains (35 du gouvernement et 35 de Renamo). Le commandement central sera à Maputo.

La mission a 135 jours pour mener à bien son travail, mais cette période peut être prolongée.

 

Actualité Burundi : validation d'un plan d'action sur la lutte contre les Violences Basées sur le Genre

0
0

 

Crée LE 24-09-2014  - 05H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE mercredi  le 24-09-2014 - 08H19 PAR :ARTV NEWS

 

                                                                 

 

 

 

 

La Police Nationale du Burundi et les intervenants de la société civile dans la lutte contre les Violences Basées sur le Genre (VBG) ont validé lundi un plan d'action de lutte contre ces violences.

"Notre plan d'action est basé sur trois axes : axe du renforcement institutionnel, axe du renforcement des capacités opérationnelles des membres de la police et l'axe sur les mécanismes de contrôle et de suivi", a indiqué Christine Nsabiyumva, commandant de la police des mineures, de la protection des moeurs et de la lutte contre les VBG.

Elle a ajouté que ce plan d'action devra servir de boussole pour avancer de façon méthodique et planifiée dans la lutte contre les VBG, et partant, arriver à plus de résultats.

Selon Mme Nsabiyumva, c'est un outil de planification et de mobilisation de ressources qui permettra en même temps d'évaluer le progrès accompli grâce aux indicateurs de performance qui sont contenus dans ce document.

Au Burundi comme ailleurs, les VBG connaissent une ampleur nationale et ont été amplifiées par la crise que le pays a traversée.

"La police nationale vient donc de prendre le devant pour juguler ce mal qui prend de plus en plus des allures inquiétantes", a-t-elle fait remarquer.

Le coût indicatif de ce plan d'action, qui s'étend sur la période de 2014-2016, est de 1,7 milliard francs burundais (près de 1,14 million USD).

Actu alité Nigeria : les écoles rouvrent leurs portes à Abuja malgré Ebola

0
0

 

Crée LE 24-09-2014  - 05H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE mercredi  le 24-09-2014 - 08H19 PAR :ARTV NEWS

 

 

 

 


                                                                

Les activités scolaires ont recommencé mardi à toute allure dans les écoles de la capitale nigériane, Abuja, pour une autre session académique, malgré les craintes concernant l'épidémie d'Ebola.

Les étudiants à Abuja ont repris les chemins de l'université lundi mais n'ont débuté les cours que mardi. Les cours étaient interrompus depuis le mois de juillet, juste avant qu'Ebola ne se propage dans le pays par l'intermédiaire du Libéro-américain, Patrick Sawyer.

Au total, 19 cas ont été à ce jour enregistrés au Nigeria, dont sept morts et 12 rétablissements.

Malgré les efforts notables du gouvernement pour contenir le virus, les écoles dans l'Etat de Lagos, au sud-ouest du pays, et dans 14 autres Etats sont toujours fermées. Les gouvernements d'Etat et les enseignants de chaque Etat insistent pour que les établissements scolaires restent fermés jusqu'au mois prochain.

Les écoles dans 20 autres Etats, hormis Abuja, ont également rouvert leurs portes lundi. A Abuja, 45% des étudiants ont repris lundi et 90% mardi.

Pour dissiper les craintes d'une potentielle épidémie d'Ebola dans les écoles, Kabir Usman, secrétaire à l'Education à Abuja, a déclaré que le gouvernement avait fourni tout ce qui est nécessaire pour empêcher la propagation du virus entre les étudiants.

Plus tôt, l'Union des enseignants du Nigeria (NUT) a donné une directive, demandant à ses membres d'éviter toutes les activités académiques jusqu'à ce que le gouvernement accorde les gadgets nécessaires pour assurer leur sécurité et celle des élèves.

Dans une déclaration, la NUT demande que la date de la reprise des cours soit reportée et que les enseignants reçoivent suffisamment de formation sur Ebola avant qu'ils ne retournent à l'école.

Le gouverneur de l'Etat de Lagos, Babatunde Fashola, a affirmé comprendre "la peur des enseignants".

"Nous du même côté. Nous sommes tous préoccupés pour la sécurité dans les écoles. Qu'il y ait ou non Ebola, nous devons faire des écoles des lieux sûrs pour les enseignants et les élèves ".

Mardi dernier, le président nigérian Goodluck Jonahtan avait indiqué que le gouvernement avait pris les bonnes mesures pour contenir l'épidémie d'Ebola et exhorté les enseignants à reprendre le travail le 22 septembre.

"Ebola n'est plus une menace au Nigeria et nous devons dire au monde que nous avons été en mesure de le contenir", a-t-il déclaré.

Entretien avec Son Excellence Roberto Natali, Ambassadeur d’Italie au Royaume du Maroc.

0
0

 Crée LE 24-09-2014  - 15H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE mercredi  le 24-09-2014 - 19H19 PAR :ARTV NEWS

 

 

 amas-j--ue--esa.JPG

BENI MELLAL

 

Entretien avec  Son Excellence Roberto Natali, Ambassadeur d’Italie au Royaume du Maroc.

 

Dans cet entretien Son Excellence L’Ambassadeur d’Italie Au Maroc ; M Roberto Natali, nous fait part des objectifs de la visite qu’il vient d’effectuer à la Région Tadla Azilal.

 

« Je trouve que  Tadla Azilal est une région très attirante. Je dois y revenir avec ma famille comme touriste… »

 

 

SAID FRIX : son Excellence, quels sont les objectifs de votre visite à la Région Tadla Azilal ?

Son Excellence Roberto Natali : En premier lieu, je voudrais bien saluer tous les Marocains et les Italiens dans cette  très belle région qui recèle des potentialités agricoles, touristiques, économiques, culturelles… Sur les 650.000 citoyens marocains qui vivent en Italie, un grand nombre vient de cette région. Par conséquent, il s’agit d’une contrée qui est profondément liée à mon pays l’Italie que j’ai l’honneur de représenter au Maroc. La communauté marocaine en Italie est très intégrée. C’est un ensemble de familles qui travaillent dans des conditions favorables en Italie. Malheureusement, ces derniers temps, il y a eu des crises économiques en Italie. Ce qui a contraint certains d’entre eux de revenir au Maroc. Ce sont des gens qui se sont formés en Italie et qui ont des enfants qui ont étudié en Italie et qui sont de retour dans leur région d’origine. Evidemment, il faut les aider maintenant à trouver une situation de travail confortable. Qui plus est, il faut voir s’il est possible d’aider les gens qui sont obligés de se déplacer vers Casablanca pour des raisons administratives. Ainsi, on pense à une solution permettant de recueillir ces gens sur place au lieu de se déplacer jusqu’à Casablanca. Et puis, il y a beaucoup de gens qui sont de retour d’Italie et qui n’ont pas la possibilité de continuer leur formation ; c’est- à - dire qui ont grand besoin de cours en langue italienne. On ne peut pas ouvrir une école mais l’on doit réfléchir  sur une initiative permettant de dispenser les cours précités dans cette région.

 

Que pensez vous de la Région Tadla Azilal d’après vos rencontres avec M le Wali, les autorités locales… ?

Je trouve que c’est une région très attirante. Je dois y revenir avec ma famille comme touriste. On y trouve la belle nature, les montagnes…On m’a dit qu’il y a des lacs, des sites touristiques  et féeriques… Moi, j’aime l’activité du tourisme .Je pense qu’il faut trouver des solutions pour renforcer et valoriser le territoire. Et soyez sûrs que les Italiens seront les premiers touristes à visiter cette belle région. C’est une contrée qui vaut le détour.

 

Son Excellence, votre rencontre avec M le Wali était-elle fructueuse ?

Je remercie beaucoup M le Wali parce qu’il a  accordé une importance primordiale à notre visite. Et j’ai fait de même .J’ai appris beaucoup de choses  de la rencontre que j’ai faite avec M le Wali que je remercie encore une fois. Ainsi, on s’est mis d’accord, moi et M le Wali, de réfléchir sur des choses et sur un nombre d’initiatives qu’on pourrait réaliser. Cependant, on a décidé de prendre un peu de temps avant de faire quoi que ce soit et inchallah, comme vous dites,  après on verra.

 

Propos recueillis par SAID FRIX

BENI MELLAL

MAROC

Actualité Un total de 335 étudiants africains en quarantaine en Russie dans le contexte d'Ebola

0
0

Crée LE 25-09-2014  - 05H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE jeudi  le 25-09-2014 - 08H19 PAR :ARTV NEWS

 

 

                                                                  

 

 

 

 

 

 

 

Un total de 335 étudiants venant des régions à haut risque d'Afrique se trouvent actuellement en quarantaine en Russie pour cause d'Ebola, a rapporté une responsable russe de la santé mercredi.

Un millier de résidents de pays africains ont été mis en quarantaine concernant le virus, et la majorité a pu quitter la quarantaine, a affirmé l'inspectrice sanitaire en chef Anna Popova, citée par l'agence de presse Interfax.

Aucun cas d'Ebola n'a été détecté en Russie, a-t-elle dit, ajoutant que le pays n'était pas exempt de risque à 100 pour cent étant donné les forts flux migratoires.

Les autorités russes sont préparées afin de ne pas laisser le virus se propager dans le pays, avec des contrôles médicaux stricts imposés aux ports d'entrée, a-t-elle poursuivi. Aux aéroports de Moscou, les visiteurs doivent passer par des détecteurs qui sonnent si la température de la personne est supérieure à la normale.

Les scientifiques russes travaillent à un traitement contre le virus Ebola depuis plus de dix ans, a fait savoir Mme Popova.

Le service russe de contrôle pour la sécurité des consommateurs Rospotrebnadzor place tous les nouveaux résidents venant de pays à hauts risques en quarantaine pendant trois semaines.

Selon la dernière mise à jour sur Ebola parue lundi de l'Organisation mondiale de la santé, 5843 cas et 2803 morts ont été rapportés dans le cadre de l'actuelle épidémie en Guinée, au Liberia et en Sierra Leone.

La Russie a envoyé un groupe de huit médecins au mois d'août en Guinée afin d'aider à combattre l'épidémie.

Viewing all 14381 articles
Browse latest View live




Latest Images