Quantcast
Channel: AFRIQUE REDACTION . L'information en continu ! Afrique au cœur de l’actualité...Infos News sur la RDC, les brèves de la dernière minute. Synthèse sur l’actu internationale. rdcongo-kinshasa, Nord et Sud KIVU, Kinshasa, Bas Congo, Dongo, Equateur, Maniema, Lubumbashi, les deux Kasai. Rédacteur en Chef : BONGOS Roger
Viewing all 14381 articles
Browse latest View live

Actualité Eliminatoires CAN 2015, RD-CONGO – Côte d’IVOIRE : Florent Ibenge convoque 28 joueurs

0
0

Crée LE 30-09-2014  - 03H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE mardi  le 30-09-2014 - 05H30 PAR : AFRICA NEWS

Eliminatoires CAN 2015, RD-CONGO – Côte d’IVOIRE : Florent Ibenge convoque 28 joueurs

Le sélectionneur national de football de la RDC, Florent Ibenge a présélectionné vingt-huit joueurs pour le match de la troisième journée -groupe D des éliminatoires de la Can- Maroc 2015. Ce match est prévu le vendredi 10 octobre au stade Tata Raphaël de Kinshasa contre les Eléphants de la Côte d’Ivoire.

Sur cette liste, on retrouve douze joueurs évoluant au pays dont sept de Vclub.

Anatole Ngamukol (Grasshopper Zurich/Suisse) et Clarck N’sikulu (T.Evian/France) signeront leur première sélection avec les Léopards s’ils répondaient à l’invitation du coach congolais.
Le regroupement est prévu le 5 octobre à Kinshasa.

La liste de 28 joueurs se présente comme suit :

Gardiens:
1. Robert Kidiaba (TP Mazembe)
2. Hervé Lomboto (AS V.Club)
3. Nicaise Kundimbana (Anderlecht/Belgique)

Défenseurs:
4. Jean Kasusula (TP Mazembe)
5. IssamaMpeko (Kabuscorp/ Angola)
6. Patou Ebunga (AS V Club)
7. Cedric Mongongu (Évian Thonon Gaillard/France)
8. Joël Kimwaki (TP Mazembe)
9. Chancel Mbemba (Anderlecht/Belgique)
10. Gabriel Zakwani (Peterborough United Fc/Angleterre)
11. Mabele Bawaka (AS V club)

Milieux :
12.  Distel Zola (Châteauroux/France)
13.  Cédric Makiadi (Werder de Brême/Allemagne)
14.  Youssouf Mulumbu (West Bromich/ Angleterre)
15.  Ntela Kalema (AC Léopards de Dolisie / R.Congo)
16.  Guy Lusadisu  (AS V Club)
17.  Lema Mabidi (AS V Club)
18.Neeskens Kebano (Charleroi/Belgique)

Attaquants :
19.  Junior Kabananga (Bruges/ Belgique)
20.  Firmin Mubele (AS V Club)
21.  Héritier Luvumbu (AS V club)
22.  Clarck Nsikulu (T.Evian/ France)
23.  Yannick Bolasie (Crystal Palace/ Angleterre)
24.  Dark Kabangu (FC MK)
25.  Jérémie Bokila (Terek/Russie)
26.  Cédric Mabwati (Ossasuna/ Espagne)
27.  Merikani Mpangi (TP Mazembe)
28. Anatole Ngamukol (Grasshopper Zurich)


Actualité Traversée Kinshasa-Brazzaville : le visa supprimé

0
0

Crée LE 30-09-2014  - 03H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE mardi  le 30-09-2014 - 05H30 PAR : AFRICA NEWS

 

                                       http://7sur7.cd/new/wp-content/uploads/2014/09/brzza-681x400.jpg

 

 

Plus de visa pour les Kinois désireux de se rendre à Brazzaville. Il en est de même pour les Brazzavillois à destination de Kinshasa. Désormais, les peuples des deux rives devront exhiber un « laissez-passer » aux services commis aussi bien au beach Ngobila qu’au port fluvial de Brazzaville. Cette décision ressort du travail d’une Commission mixte mise sur pieds par les deux gouvernements dans le but de normaliser les rapports de coopération bilatérale entre Kinshasa et Brazzaville.

La commission mixte a rendu ses conclusions, le jeudi 25 septembre, au ministre de l’Intérieur de la RDC, Richard Muyej. Les informations en notre possession font état de la suppression du visa uniquement pour les populations de Kinshasa qui se rendraient à Brazzaville et vice versa.
Plus de 130 000 « Zaïrois » (Congolais de Kinshasa), ont été expulsés du Congo-Brazzaville en avril 2014. Ils étaient devenus indésirables de l’autre côté du fleuve Congo, pour séjour irrégulier, selon la police brazzavilloise. De leur côté, craignant des représailles, les quelque centaines de Brazzavillois établis à Kinshasa, dont de nombreux étudiants avaient décidé volontairement de regagner leur pays, selon des responsables kinois.
Depuis, les rapports se sont détériorés entre les deux capitales les plus rapprochées du monde. Le laissez-passer a été remplacé par un visa pour une traversée de quelques minutes seulement. Et les effets de la rupture des échanges commerciaux sont aujourd’hui ressentis avec douleur sur les deux rives. Il y a une semaine à Kinshasa, les présidents Joseph Kabila et Denis Sassou-Nguesso se sont retrouvés pour en parler. Une commission mixte a été mise en place pour chercher une voie de sortie. Une semaine après, les retombées positives de cette rencontre au sommet des deux Etats, commencent à se faire sentir.
Cependant, avec le laissez-passer, on ne pourra plus aller au-delà des deux capitales, autrement il faudra solliciter un visa de séjour. Quelques divergences subsistent toutefois quant aux contentieux sur les biens perdus et les violences qui avaient accompagné l’opération  » Mbata ya bakolo « ,  » La gifle des aînés  » en lingala. Une opération policière menée début avril 2014 où des violations présumées des droits de l’homme ont été commises lors de l’expulsion de ressortissants de la RDC vivant au Congo. Rachidi MABANDU

BENI MELLAL : L’inter culturalité au service d’un enseignement de qualité.

0
0

Crée LE 30-09-2014  - 03H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE mardi  le 30-09-2014 - 10H30 PAR : ARTV NEWS

 

015.JPG

BENI MELLAL

 

L’inter culturalité au service d’un enseignement de qualité.

 

Une table ronde a été organisée à l’annexe de l’AREF de Tadla Azilal, à Beni Mellal, jeudi 25 septembre 2014. Elle s’assigne comme objectif de réviser les curricula scolaires en optique internationale et interculturelle en Italie comme au Maroc

 

 

«  L’objectif de cette table ronde est de réviser les curricula scolaires en optique internationale et interculturelle en Italie comme au Maroc. A Progettomondo.mlal, comme ONG, nous sommes convaincus que l’école doit représenter la maison de tout le monde qui est tenue d’accueillir et de former tout le monde. On voudrait créer une dynamique de réseau dans le cadre de l’inter culturalité, d’initier un travail sur la base de la réciprocité. Cette rencontre s’assigne donc comme objectif de revoir certaines approches, d’échanger les expériences en matière d’éducation. On est en train de réfléchir sur des parcours d’histoire et de géographie qui soient adaptés à des classes multiculturelles et sur des instruments nouveaux et alternatifs d’intégration des jeunes étrangers comme la musique et le sport. …. » a déclaré Richard Grieco , représentant de PMM, lors de la table ronde qui a été organisée à l’annexe de l’AREF de Tadla Azilal, à Beni Mellal, jeudi 25 septembre 2014.

A l’inauguration de cette fête culturelle, M .Yakoubi Mustapha, chargé du projet, a présenté un aperçu succinct sur les grands objectifs de cette table ronde regroupant un grand nombre d’enseignants italiens et marocains.

Au début de cette rencontre, Abdelmoumen Talib, Directeur de l’AREF (Académie régionale de l’Education et de Formation) a présenté un aperçu très intéressant sur le système éducatif  marocain et sur le bilan positif qui a été concrétisé au niveau de la région…

Par la suite, Lahcen Aalla , Médiateur culturel a présenté la méthodologie de travail et a invité les participants à former trois groupes . Trois ateliers ont été à l’ordre du jour, à savoir le plurilinguisme : défis et ressource éducative, instruments alternatifs d’intégration : musique, sport… et parcours d’histoire et géographie au sein de classes multiculturelles.

 

SAIF FRIX

 

BENI MELLAL


RDC: le projet de budget 2015 chiffré à environ 9 milliards USD

0
0

Crée LE 30-09-2014  - 03H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE mardi  le 30-09-2014 - 10H30 PAR : RADIOOKAPI

 

Le premier ministre, Matata Ponyo Mapon et les membres de son gouvernement le 15/04/2013 au palais du Peuple à Kinshasa, lors d’une plénière à l’assemblée nationale. Radio Okapi/Ph. John Bompengo

Le Premier ministre Matata Ponyo a déposé, lundi 29 septembre au bureau de l’Assemblée nationale, le projet de budget de l’État exercice 2015. Ce budget avoisine les 9 milliards de dollars américains.

 

 

«Le budget de l’État congolais n’était que de 300 millions de dollars américains. Aujourd’hui, nous avons un budget qui avoisine les 9 milliards de dollars américains. Donc, c’est des progrès qui sont réalisés. Nous devons en tenir compte», a déclaré à la presse Augustin Matata Ponyo. Le Premier ministre a cependant reconnu que ce budget reste modeste par rapport aux potentialités de la RDC.

«C’est pour la première fois depuis des dizaines d’années qu’un projet de budget est déposé au cours du mois de septembre. Des efforts sont en train d’être fournis progressivement et nous pensons que, dans les exercices budgétaires prochains, le gouvernement devrait davantage se positionner dans le temps imparti», a par ailleurs signalé Matata Ponyo.

Le budget de l’exercice précédent se chiffrait à un peu plus de 8 milliards de dollars américains. Bien que déjà déposé à l’Assemblée nationale, l’examen du budget 2015 devra intervenir après celui de la loi de reddition des comptes de l’exercice 2013.

Déraillement de Kipukwe : deux corps encore coincés sous les wagons

0
0

Crée LE 30-09-2014  - 11H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE mardi  le 30-09-2014 - 11H30 PAR : RADIOOKAPI

 

 

Un train de la Société nationale de chemin de fer (SNCC)Un train de la Société nationale de chemin de fer (SNCC)

Les corps de deux victimes du déraillement de train survenu dimanche 28 septembre à Kipukwe, dans le Katanga, sont encore coincés sous les wagons couchés sur les rails. Ce drame a aussi fait une dizaine de blessés dont quatre très gravement. Le médecin chef de zone de santé de Kipukwe assure que les blessés ont été conduits à l’hôpital où ils reçoivent des soins.

 

 Des dizaines de volontaires, parmi les habitants, se disent prêts à dégager ces corps. Pour le chef de poste d’encadrement administratif de Kipukwe, ces corps seront retirés de dessous de wagons seulement après le constat de l’autorité judiciaire.

Sur place à Kipukwe, les agents de la SNCC tentent de dégager les rails afin d’y remettre les wagons, dont trois sont toujours couchés sur la voie, et un quatrième s’est éloigné des rails.

Les éléments de la Police nationale congolaise se trouvent également sur le lieu du drame.

La présidente de la société civile de Kipukwe appelle les autorités du district à l’enterrement des corps des victimes. Selon lui, ces corps risquent de se décomposer.

Le commissaire de district du Haut Lomami, Dady Mulunda, dit attendre l’ordre de la levée des corps de la part du magistrat de parquet de Kamina.

Les raisons de cet accident, qui a causé la mort de trois personnes et une dizaine de blessés, ne sont pas encore connues.

Katanga: peine de mort promise aux voleurs des câbles électriques

0
0

Crée LE 30-09-2014  - 12H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE mardi  le 30-09-2014 - 12H10 PAR : AFRICA NEWS

Raccordement cables courants SNELRaccordement cables courants SNEL

Désormais le vol des câbles électriques ne sera plus traité que comme une infraction de vol qualifié. Les voleurs qui opèrent en bande organisée seront plutôt poursuivis pour association de malfaiteurs, une infraction passible de la peine de mort. Caïphe Useni Sefu, procureur général du Katanga a appelé mardi 30 septembre les habitants de cette province à collaborer avec la justice pour mettre la main sur ces voleurs qui plongent des quartiers entiers dans le noir. 

 

Caïphe Useni Sefu affirme qu’il ne s’agit pas de transformation d’une infraction mais plutôt de sa requalification. D’après lui, les voleurs des câbles opèrent de plus en plus en association. Or, argumente-t-il, la loi congolaise punit l’association des malfaiteurs pour atteinte à la propriété à la peine de mort.

Les câbles électriques sont la propriété de la société nationale d’électricité. Et des malfaiteurs opérant en bande ont réussi à volé 600 m, voire 2 km des câbles électriques. L’obscurité dans laquelle des quartiers entiers sont plongés, consécutivement à ces vols, constitue un terreau favorable aux crimes.

En parallèle de l'Assemblée Générale de l'ONU, l'Economie sociale et solidaire (ESS) franchit une nouvelle étape dans sa reconnaissance internationale

0
0

Crée LE 30-09-2014  - 12H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE mardi  le 30-09-2014 - 12H10 PAR : ARTV NEWS



Quelques participants et organisateurs lors des Vèmes Rencontres du Mont-Blanc

Les Rencontres du Mont-Blanc (RMB) – Forum International des Dirigeants de l’Economie Sociale et Solidaire

Le lancement du Groupe Pilote International de l'ESS qui a eu lieu le 22 septembre au sein de l'ONU à New-York en parallèle à l'AG, est une reconnaissance forte de l'ESS par un nombre croissant d'États, des agences de l'ONU, de grandes organisations internationales comme celles réunissant les Villes et les organisations de l’ESS, et plus largement par les organisations de la société civile. 

Le 30 septembre 2014 – En parallèle de l’Assemblée Générale de l’ONU, le 22 septembre, s’est tenue la 1ère réunion du Groupe pilote international de l’ESS, soutenue par le gouvernement français. Les Etats membres du groupe pilote (France, Equateur, Maroc, Luxembourg, Colombie, Québec) ont réaffirmé leur engagement à collaborer pour élaborer et promouvoir des politiques publiques en faveur de l’ESS, aux niveaux local, régional et international. Par ailleurs, plusieurs représentants d’Etats non encore membres, également présents dans la salle, ont annoncé la volonté de leur pays à rejoindre le groupe pilote.

Une étude comparative des lois ESS dans le monde conduite par le Comité Scientifique des RMB a été présentée dans sa version préliminaire lors de cette réunion par le Pr. Abdou Salam Fall, Président dudit Comité. Ce document a permis de poser les bases d’un travail de soutien aux politiques publiques en faveur de l’ESS à mener avec les différentes parties prenantes du groupe pilote, qui étaient toutes représentées : Etats, Institutions Internationales et Organisations de la Société Civile du secteur de l’ESS. 

D’ores et déjà, un certain nombre d’objectifs clés ont été identifiés, dont la participation de l’ESS à un nouveau modèle de développement et à l’élaboration de solutions relatives au changement climatique, sa nécessaire inscription dans l’Agenda des villes et dans les politiques d’urbanisation … Thèmes sur lesquels les RMB pourront dorénavant travailler en collaboration et sur le long terme avec plusieurs agences de l’ONU (UN-Habitat, CNUCED, UN-NGLS, PNUD) rencontrées sur place.

Lors de cette réunion, l’ESS est clairement apparue comme un outil complet et innovant capable de répondre aux défis de notre société. Une session d'organisation des travaux du Groupe Pilote va ainsi être prochainement programmée et des réunions régulières sur ces thèmes se tiendront désormais afin de mettre en œuvre études et actions. Le Groupe Pilote de l’ESS est aujourd’hui lancé, nul doute que d’autres Etats rejoindront prochainement cette initiative, faisant ainsi grandir davantage la reconnaissance du rôle de l’ESS dans les grands défis internationaux actuels.

 

France: le Sénat devrait rebasculer à droite, avec la candidature de G. Larcher

0
0

Crée LE 30-09-2014  - 12H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE mardi  le 30-09-2014 - 16H10 PAR : FREDDY MULONGO

Le passage du Sénat à droite à mi-mandat de François Hollande serait un mauvais signal politique, surtout au moment où Nicolas Sarkozy se lance pour la présidentielle de 2017. Au total, sur 348 sénateurs, 178 sénateurs dans la moitié des départements seront renouvelés par un collège de 87.500 grands électeurs. A noter que le vote est obligatoire. Un 179ème siège est mis en jeu, celui du centriste Jean Arthuis (Mayenne), qui a démissionné après avoir été élu au Parlement européen.

Un sénateur FN pourrait faire son entrée au Palais du Luxembourg à l'issue de l'élection de dimanche, une première. Le Sénat devrait rebasculer à droite dimanche, lors du renouvellement de la moitié des sièges de la Haute assemblée, ce qui constituerait le troisième revers électoral de la gauche cette année, après les municipales et les européennes. C'est en effet le résultat des municipales qui est déterminant pour ces élections: les sénateurs sont élus au suffrage indirect par un collège de grands électeurs représentant à 95% les communes. "Les municipales sont le premier tour des sénatoriales", dit-on à la Haute Assemblée.

De la même manière, un sénateur Front national pourrait faire pour la première fois son entrée au Palais du Luxembourg, après les succès du parti d'extrême droite en mars, en particulier dans le sud-est. "Un probable, deux possibles", pronostique le vice-président du parti Florian Philippot.

Toutefois, les conséquences d'un Sénat d'opposition pour le gouvernement seraient minimes. En cas de désaccord entre les deux chambres sur un texte législatif, c'est toujours l'Assemblée qui a le dernier mot. Les choses seraient simplement rendues plus compliquées avec un Sénat de droite qui utiliserait toutes les ficelles procédurières pour retarder l'adoption des textes auxquels il serait hostile.

Sénateur UMP des Yvelines, Gérard Larcher est candidat à la présidence du Sénat, fonction qu'il a déjà occupé de 2008 à 2011.

Gérard Larcher et Freddy Mulongo. Photo Réveil FM International, archives

Roger Bongos-Afrique Rédaction et Gérard Larcher. Photo Réveil FM international

Le sénateur Jean-Pierre Chevenement et Freddy Mulongo. Photo Réveil FM International, archives

"Elus refroidis"

Six mois après la raclée des municipales, "le climat s'est empiré", juge un poids-lourd socialiste au Sénat. "Outre la situation nationale, les élus sont refroidis par la réforme territoriale, celle des rythmes scolaires, ou la baisse des ressources financières des collectivités". Les affaires Trierweiler et Thévenoud, dont l'épouse était la plus proche collaboratrice du président du Sénat sortant Jean-Pierre Bel (PS), ont encore plombé l'ambiance.

La gauche avait remporté les sénatoriales pour la première en septembre 2011, une victoire qualifiée d'"historique" avant celle de François Hollande à la présidentielle huit mois plus tard.

Avec 177 sénateurs, la gauche - PS, RDSE (à majorité PRG), communistes et écologistes - était devenue majoritaire, la majorité absolue étant de 175 sièges. Elle avait ensuite élu au plateau, la présidence du Sénat, Jean-Pierre Bel, aux dépens de Gérard Larcher, le président UMP sortant. La droite de son côté détient 168 sénateurs, plusieurs sièges étant vacants. Il lui faut donc gagner sept sièges pour remporter la majorité.

Cette année sont renouvelés les sénateurs des départements compris, par ordre alphabétique, entre l'Ain et l'Indre, puis du Bas-Rhin à l'Yonne, hors ceux de l'Ile-de-France, ainsi que ceux de Guyane, de Polynésie française, de Saint-Barthélemy, de Saint-Martin, des Iles Wallis et Futuna, et un en Mayenne.

Les sénateurs sont élus au scrutin majoritaire à deux tours dans les départements qui ont un ou deux sénateurs (59 sénateurs en tout), proportionnel ailleurs (119). Outre Jean Arthuis, plusieurs personnalités tirent leur révérence du Palais du Luxembourg: l'ancien président du Sénat Christian Poncelet, élu des Vosges, qui met fin à une carrière parlementaire commencée en 1962, l'ancien ministre de François Mitterrand, Jean-Pierre Chevènement, président d'honneur du MRC et représentant du Territoire de Belfort, ou l'ancien maire de Rennes Edmond Hervé.

En revanche, l'ancien ministre de Jacques Chirac François Baroin, candidat dans l'Aube, est assuré d'y faire son entrée pour la première fois Jean-Pierre Bel a annoncé de son côté qu'il renonçait à la vie politique. Outre Gérard Larcher, l'ancien Premier ministre UMP Jean-Pierre Raffarin, le président du groupe PS Didier Guillaume, le sénateur UMP Philippe Marini et la centriste Nathalie Goulet briguent pour le moment sa succession. L'élection du président du Sénat aura lieu le 1er octobre, premier acte du mandat des nouveaux sénateurs.

L'élection du président du Sénat aura lieu le 1er octobre, premier acte du mandat des nouveaux sénateurs.

Actualité Bonne gouvernance: la RDC gagne 4 places sur l’indice Ibrahim

0
0

Crée LE 01-10-2014  - 03H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE mercredi  le 01-10-2014 - 05H30 PAR : RADIO OKAPI

 

 

 

L’indice Ibrahim de la gouvernance africaine classe, pour l’année 2014, la République démocratique du Congo à la 47ieme place sur un classement de 52 pays, avec la note de 34.1%. Le rapport indique que le pays s’est amélioré de 0,8% en 5 ans, notamment dans le secteur socioéconomique, et qu’il accuse encore des faiblesses dans les secteurs de la sécurité et Etat de droit. De son côté, le porte-parole du Gouvernement estime qu’il «n’ y a pas plusieurs pays qui peuvent garantir à leurs citoyens les mêmes libertés.» 

La RDC a gagné quatre places par rapport à l’année 2013, où elle a été classée à la 51ème place. Elle talonne  ainsi la Guinée-Bissau (33,2%), le Tchad (32,3%), l’Érythrée (29,8%), la RCA (24,8%) et la Somalie (8,6%). Île Maurice arrive en tête avec 81,7%, selon l’indice Ibrahim 2014.

Abdoulie Janneh, chargé des relations de la Fondation Mo Ibrahim avec les gouvernements et les institutions en Afrique, a affirmé que la RDC devrait encore fournir des efforts notamment dans les secteurs de la sécurité et de l’Etat de droit.

«On prend sécurité et Etat de droit, il y a une nette détérioration,  puis on prend participation et droits humains, là aussi il y a une détérioration», a-t-elle déclaré.

Il a en revanche reconnu que la RDC a fourni d’énormes efforts dans le secteur du  développement socio économiques ainsi que le  développement humain.

«C’est la totalité de tout ces quatre [secteurs] là qui font le score. Donc  ça ne veut pas  dire que la performance est si mauvaise. Mais ça veut dire qu’il y a certains endroits qui demandent peut-être un peu plus d’amélioration », a expliqué Abdoulie Janneh.

Contre les intérêts nationaux

En réaction, le porte-parole du gouvernement congolais, Lambert Mende, considère le classement de Mo Ibrahim comme quelque chose de positif, étant donné que la RDC a plutôt avancé.

Il estime cependant que des rapports établis par des ONG sont souvent biaisés et ne répondent pas aux intérêts de la RDC.

«Peu importe le fait qu’il parle d’amélioration ou pas. Nous ne pensons pas que nous devons nous regarder avec les yeux des autres. Non ! Mo Ibrahim n’a pas une souveraineté sur nous», a-t-il déclaré.

Lambert Mende préfère s’en tenir au rapport fait chaque année par le chef de l’Etat devant les parlementaires réunis en congrès:

«Les évaluations, c’est ce qui se passe au Parlement, à chaque élection, et nous préférons nous en tenir là [...] En ce qui concerne l’Etat de droit, je ne pense pas qu’il y a plusieurs pays qui peuvent garantir à leurs citoyens les mêmes libertés.»

L’indice Mo Ibrahim fournit une évaluation annuelle de l’état de la gouvernance sur le continent africain. La fondation Mo Ibrahim existe depuis 8 ans et œuvre dans le domaine du leadership et de la gouvernance en Afrique en proposant des outils visant à améliorer ces secteurs.

Actualité Des réseaux de contrefacteurs démantelés à Kinshasa

0
0

Crée LE 01-10-2014  - 03H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE mercredi  le 01-10-2014 - 05H30 PAR : RADIO OKAPI

 

 

Des billets de dollars américains (photo archives). 

La Police nationale congolaise (PNC) a présenté mardi 30 septembre au ministre de l’Intérieur des membres des quatre réseaux des présumés «criminels économiques» qui ont été démantelés dans la ville de Kinshasa. Il s’agit des personnes spécialisées dans la contrefaçon des signes monétaires tant nationaux qu’étrangers, selon la police. Celle-ci affirme avoir saisi sur ces personnes  des masses importantes de billets contrefaits de francs congolais de grosses coupures et des billets de cent dollars américains. 

Le ministre de l’Intérieur, Richard Muyej, a souligné la nécessité de poursuivre les investigations pour appréhender d’autres contrefacteurs:

«C’est grave ce que l’on vient de constater ici ! Ces inciviques seront mis à la disposition de la police et l’enquête devra se poursuivre pour mettre la main sur les autres qui sont en fuite et surtout essayer d’identifier leurs complices ; parce que la similitude avec les vrais billets de banque nous effraye quand même un peu.»

Selon lui, des efforts devraient être fournis par la police «pour savoir quel montage [ces contrefacteurs] élaborent pour arriver à de tels résultats

Ces personnes ont indiqué, d’après toujours le ministre Muyej, que les faux billets en leur possession ont été  fabriqués dans des pays étrangers, notamment en Angola. «Nous vérifions tout cela», a-t-il poursuivi, avant de féliciter les services policiers de la RDC pour ces arrestations de nature à décourager les autres contrefacteurs.

Actualité RDC: moratoire reconduit sur l’adoption d’enfants à l’étrange

0
0

 

Crée LE 01-10-2014  - 03H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE mercredi  le 01-10-2014 - 12H30 PAR : RFI

 

 

 

 

                             RDC: moratoire reconduit sur l’adoption d’enfants à l’étrange

La République démocratique du Congo a décidé de geler la sortie d’enfants congolais adoptés par des couples étrangers. La Direction générale de migration (DGM) avait suspendu le 25 septembre 2013 la délivrance d’autorisations de sortie pour les enfants adoptés à l’étranger. A l’époque, la DGM, avait indiqué que cette suspension pourrait durer jusqu’à douze mois. Les autorités ont décidé de la maintenir « jusqu’à nouvel ordre ».

Un an déjà s’est écoulé depuis le début du moratoire sur l’adoption des enfants de la RDC par des étrangers. La reconduction de cette décision veut tout simplement dire que les enquêtes doivent être poursuivies sur les allégations d’une seconde adoption dans les pays de destination.

On parle également de l’adoption des enfants par des couples d’homosexuels. Chose inadmissible en RDC, « un pays qui ne reconnaît pas le mariage entre personnes de même sexe », explique un député.

Des circuits parallèles mis en place

L’origine même des enfants destinés à l’adoption pose aussi problème. Tout récemment, la Direction générale de migration (DGM) a découvert que certains enfants en partance pour les Etats-Unis ont tout simplement été vendus par des proches parents les faisant passer pour des enfants sans famille. Lire la suite sur: http://www.rfi.fr/afrique/20140929-rdc-autorites-reconduisent-moratoire-…
- See more at: http://fr.africatime.com/republique_democratique_du_congo/articles/rdc-moratoire-reconduit-sur-ladoption-denfants-letranger#sthash.RzK5ZyvD.dpuf

Actualité Bataille pour la révision constitutionnelle : Trahisons et reniements au Katanga !

0
0

Crée LE 01-10-2014  - 03H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE mercredi  le 01-10-2014 - 12H30 PAR : LE PALMARES

 


           Bataille pour la révision constitutionnelle : Trahisons et reniements au Katanga !

Dans la bataille autour de la révision constitutionnelle, la Société civile du Katanga s’est, dès les premiers instants et ouvertement, prononcée contre toute révision. Ce son discordant avait provoqué une onde de choc dont les effets se sont faits ressentir jusqu’à Kinshasa. Pendant que l’opinion nationale scrutait l’horizon, une autre dissidence s’est déclarée à Lubmbashi dans le chef du président de la Scde, Jean-Claude Muyambo, membre de la Majorité présidentielle.

 

Ayant pris l’ampleur ique tout le monde connaît, la situation du Katanga a demandé que l’ons’y penche en vue de comprendre ce qui se passe dans cette province reconnue comme le bastiion légitime de la Majorité et du pouvoir.

 

Corps et biens

 

Après plusieurs recoupements, nous sommes parvenus à percer le mystère. La fronde animée au Katanga bénéficie de soutiens actifs dans l’ombre. Des personnalités ayant gravité dans l’entourage du pouvoir et devenues aigries par la suite, alimentent le front anti-révision au Katanga.

 

Beaucoup parmi ces personnalités ont très mal pris leur départ des affaires et se sont mis à exiger de nouvelles fonctions. N’ayant pas été satisfaites, elles se sont lancées dans u odieux chantage. Le débat autour de la révision constitutionnelle leur sert ainsi de terrain de prédilection pour régler des comptes à leur famille politique.

 

Incapables de se prononcer en public, ces personnages battent une campagne très active dans les coulisses et font en vue de compliquer la tâche à leur famille politique. Ils font le tour dans divers cercles fermés, instillent le doute et pratiquement la rébellion. Ils opèrent exactement comme un venin sournois.

 

C’est ce puissant lobby de la contestation qui a instrumentalisé à coups d’argent les acteurs qui ont pris la parole en public pour se prononcer contre la révision. Des informations sûres renseignent que même Muyambo a été pris en charge par ledit lobby.

 

La Majorité présidentielle a ainsi des adversaires internes plus redoutables que les opposants qui agissent au grand jour. L’histoire des systèmes politiques à travers le mond, nous renseigne que rien n’est plus dangereux pour un système que le ver qui se trouve dans un fruit.

 

Les vers qui rongent la Majorité au Katanga sont d’autant plus dangereux qu’ils sont aigris et hargneux. Le jour, ils se réunissent et communient avec leurs pairs et la nuit, ils s’activent à creuser la tombe de leur famille politique. Fort des moyens dont ils disposent, ils sont décidés à faire échec à cette dernière.

 

Il est donc impérieux pour les troupes kabilistes de tenir compte de l’interpellation de l’un des leurs qui a sollicité un débat interne autour de la révision constitutionnelle. A la lumière de la situation sur le terrain, ce débat est à entendre au sens le plus large du terme. C’est-à-dire qu’il devra aller jusqu’à traiter des questions pendantes et fâcheuses qui menacent la cohésion destroupes. Si elle ne se résout pas à faire un état des lieux interne sans complaisance, la Majorité doit se préparer à sombrer corps et biens.

LP

Actualité RDC: une organisation de la société civile s’inquiète de la situation au Sud-Kivu

0
0

Crée LE 01-10-2014  - 03H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE mercredi  le 01-10-2014 - 12H30 PAR : RFI 


RDC: une organisation de la société civile s’inquiète de la situation au Sud-Kivu

 

En République démocratique du Congo, l’UCPDHO, l’Union chrétienne pour le progrès et la défense des droits de l’homme, dénonce une situation des droits de l’homme très inquiétante dans les territoires d’Uvira et de Fizi au Sud-Kivu, à la frontière avec le Burundi.

Au Sud-Kivu, les attaques contre les défenseurs des droits de l’homme, c’est un peu l’arbre qui cache la forêt. Selon l’organisation locale basée à Uvira, c’est bien parce qu’ils cherchent à enquêter sur la recrudescence d’exactions commises qu’ils sont pris pour cibles. Comme à Mutarule où plusieurs activistes ont été menacés de mort et un autre a été tué dans les jours qui ont suivi un massacre qui a fait une trentaine de morts au mois de juin. Ou encore à Kiliba Onds, où d’autres membres de la société civile ont été menacés pour avoir dénoncé la présence et les exactions commises par les militaires burundais.

Parmi les premiers responsables de ces exactions : les groupes armés et notamment des rebelles burundais se revendiquant des FNL. « Ils sont sur les hauts plateaux et règnent en maîtres, explique un militant des droits de l’homme. On ne comprend pas ce que fait l’armée burundaise dans la plaine de la Ruzizi si ce n’est des tracasseries », ajoute-t-il avant de conclure qu’elle n’avait pas fait d’opérations contre les rebelles depuis des mois.

Mise en cause également : l’armée congolaise, la police et l’agence nationale des renseignements. Mais pour L’UCPDHO, il ne faut pas se tromper de cible ; les défenseurs des droits humains ne travaillent pas contre les forces de l’ordre ou les groupes armés, mais pour le bien de la population. Aucun des membres de cette organisation de la société civile n’a souhaité être interviewé par peur de représailles.

Feuilleton Sarkozy-Kadhafi : le tête-à-tête qui a tout changé. Un boulet qui fera tomber Sarko !

0
0

Crée LE 01-10-2014  - 03H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE mercredi  le 01-10-2014 - 12H30 PAR : FABRICE ARFI ET KARL LASKE DE MEDIAPART

 

Dès son premier voyage officiel en Libye en octobre 2005, Nicolas Sarkozy a demandé un appui financier à Mouammar Kadhafi lors d’une rencontre en tête-à-tête, selon Ziad Takieddine, présent sur place ce jour-là. Peu après, Brice Hortefeux rencontrait secrètement Abdallah Senoussi, acteur clé de la corruption franco-libyenne, lors d’un déplacement à Tripoli. L’enquête des juges permet de reconstituer petit à petit la mise en place d’un financement occulte en 2007.

Ce sont les premières mailles d’un écheveau. Le moment où tout a commencé. Les juges chargés d’enquêter sur le document libyen publié par Mediapart sur le financement occulte du candidat de la droite en 2007 ont recueilli plusieurs témoignages sur le premier voyage officiel de Nicolas Sarkozy en Libye, en octobre 2005. Ce voyage a donné lieu à un tête-à-tête avec Mouammar Kadhafi, au cours duquel le ministre français a demandé sans détour, selon le témoignage du marchand d'armes Ziad Takieddine, un soutien financier pour sa campagne électorale.

L’ancien ambassadeur de France en Libye, Jean-Luc Sibiude, et l’intermédiaire franco-libanais ont évoqué tous deux l’existence de cette rencontre sans témoin, en 2005. Selon l’intermédiaire, peu après ce tête-à-tête, le chef des services secrets intérieurs de Kadhafi, Abdallah Senoussi, lui a demandé d’évaluer le montant de l’aide à apporter à Nicolas Sarkozy, compte tenu de la demande formulée par ce dernier en direct à Kadhafi. Rentré à Paris, Ziad Takieddine a de son propre aveu rencontré Claude Guéant pour se faire préciser le montant d’un financement de campagne présidentielle.

Claude Guéant, Mouammar Kadhafi et Nicolas Sarkozy au temps de la lune de miel franco-libyenne.Claude Guéant, Mouammar Kadhafi et Nicolas Sarkozy au temps de la lune de miel franco-libyenne. © Reuters

Lors de l’enquête, les magistrats ont par ailleurs appris que Brice Hortefeux, le fidèle lieutenant du ministre, avait, trois mois après la visite de Nicolas Sarkozy, rencontré à Tripoli secrètement Abdallah Senoussi, acteur clé de la corruption franco-libyenne, sans en avoir informé les autorités diplomatiques françaises. Ce rendez-vous a eu lieu en compagnie de Ziad Takieddine, qui, après avoir contribué au financement occulte de la droite balladurienne, s’était converti en envoyé spécial des sarkozystes dans plusieurs pays arabes.

La visite officielle de Nicolas Sarkozy en Libye, le 6 octobre 2005, est restée un sujet d’interrogation pour plusieurs témoins. Venu officiellement discuter de lutte contre les flux migratoires, le ministre de l’intérieur n’est pas resté 24 heures sur place. Sa visite éclair avait été précédée par la venue de Claude Guéant, directeur de cabinet du ministre de l’intérieur, quatre jours plus tôt.

Une note préparatoire à ce déplacement rédigée par Takieddine avait de quoi alimenter tous les soupçons. Elle précisait que la visite du bras droit de Sarkozy (et futur n°2 de l’Élysée) était « inhabituelle » et devait « revêtir un caractère secret ». « Pour cette raison, il sera préférable que CG [Claude Guéant – ndlr] se déplace seul et que le déplacement s’effectue “sans fanfare” », écrivait alors l’intermédiaire. Le but ? Avoir « plus d’aise pour évoquer l’autre sujet important, de la manière la plus directe… » D’après des relevés de déplacements obtenus par la justice, Ziad Takieddine s’est rendu à Tripoli pour la première visite du ministre.

Entendu par les juges le 26 février 2014 sur ces premiers contacts Sarkozy-Kadhafi, l’ancien ambassadeur de France en Libye, Jean-Luc Sibiude, a relevé qu’après un premier entretien « élargi » — c’est-à-dire en présence de plusieurs diplomates —, Nicolas Sarkozy et Mouammar Kadhafi ont eu un long tête-à-tête, « peut-être le double de l’entretien élargi », a expliqué le diplomate. « Si j’ai indiqué que l’entretien privé a duré longtemps, c’est parce qu’à la fin de cet entretien, j’avais dit à l’interprète : “Ils ont dû en dire des choses.” Elle avait simplement répondu qu’elle était tenue au secret professionnel », a-t-il ajouté.

L’ancien ambassadeur a mentionné la venue de Claude Guéant quelques jours plus tôt — le samedi 1er octobre —, et sa réunion avec le ministre libyen de l’intérieur à cette occasion. « Je sais qu’il [Claude Guéant - ndlr] a eu d’autres contacts auxquels je n’ai pas participé ; ils ont dû avoir lieu à l’hôtel Corinthia où il résidait. (…) L’hôtel Corinthia est le seul hôtel de classe internationale à Tripoli, c’est d’ailleurs l’hôtel où a logé M. Sarkozy lors de sa visite comme ministre de l’intérieur en 2005, et en tant que président en juillet 2007. »

Un autre membre de l’ambassade, entendu le 30 juin par les gendarmes de la section de recherches de Paris, a confirmé le tête-à-tête Sarkozy-Kadhafi, lors de la visite d’octobre 2005. « Effectivement, cela me revient, il y a pu y avoir un moment sur la fin de l’entretien où l’on nous a demandé de sortir de la tente et où les deux personnages principaux ont pu se retrouver seuls ou avec d’autres personnes », a confié Jean-Guy Pérès, commissaire de police à la retraite, ancien attaché de sécurité intérieure à l’ambassade de France à Tripoli (2005-2008).

Le secret de cette première et mystérieuse conversation a été évoqué par Ziad Takieddine lors de son audition le 13 mars. Chef d’orchestre du rapprochement franco-libyen dès le printemps 2005, le marchand d’armes fut l’organisateur de tous les déplacements de l’équipe Sarkozy en Libye.

LIRE LA SUITE

http://www.mediapart.fr/journal/international/011014/sarkozy-kadhafi-le-tete-tete-qui-tout-change

Devant les juges, l’intermédiaire a d’abord souligné que le 6 octobre 2005, Nicolas Sarkozy avait tenu à visiter les ruines de la maison de Kadhafi, détruite par des frappes aériennes américaines en 1986. Le ministre voulait donner « un signe fort au leader libyen » et « Kadhafi a beaucoup apprécié », a glissé Takieddine qui a signalé l’organisation d’un tête-à-tête entre les deux hommes lors de cette journée. « La visite s’est ensuite poursuivie au palais présidentiel où, en fin de rendez-vous, MM. Sarkozy et Kadhafi se sont entretenus en tête-à-tête sans interprète. »

 

« Le soir même, à l’hôtel, je suis revenu saluer M. Sarkozy avant son départ, j’étais accompagné de M. Senoussi. Nous sommes montés à la suite de M. Sarkozy et nous nous sommes installés dans le salon. M. Guéant était également présent. L’objet de cette discussion était notamment l’arrêt de la condamnation par contumace de M. Senoussi. M. Guéant s’était engagé à plusieurs reprises à ce sujet », a poursuivi Takieddine.

Actualité Diomi Ndongala en appelle à l’ONU

0
0

Crée LE 01-10-2014  - 03H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE mercredi  le 01-10-2014 - 12H30 PAR : BBC

                                                        Diomi Ndongala en appelle à l’ONU

Un opposant condamné à dix ans de prison pour viols sur mineures en République démocratique du Congo a déposé une plainte devant le Comité des droits de l’Homme de l’ONU.

Eugène Diomi Ndongala espère que cette instance internationale pourra annuler sa peine.

Dans un communiqué, l’Association congolaise pour l’accès à la justice (Acaj) indique que l’intéressé veut faire reconnaître la « violation des droits fondamentaux » dont il dit avoir été victime.

Le Bureau des droits de l’Homme de l’ONU à Genève a confirmé avoir reçu la plainte.

Il est compétent pour examiner les plaintes de particuliers qui ont épuisé tous les recours disponibles dans leur pays.

Chef du parti, Démocratie chrétienne, M. Ndongala a été condamné en mars à dix ans de prison ferme pour viols sur mineures.


Actualité Les pygmées, les mal aimés de milice Bakata Katanga

0
0

Crée LE 01-10-2014  - 03H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE mercredi  le 01-10-2014 - 12H30 PAR : LE POTENTIEL 

 

 


Les pygmées, les mal aimés de milice Bakata Katanga

La milice Bakata Katanga continue de faire voir de toutes les couleurs aux pygmées des localités  environnant Kabalo-Centre dans la province du Katanga, à plus ou moins 1 000 km au Nord-est de Lubumbashi. Au mois de juillet dernier, huit cents personnes, hommes, femmes et enfants appartenant tous à la communauté pygmée, ont fui les attaques de cette milice bantou.

« Nous sommes poursuivis par des bantous. Armés de lances et de flèches, ils incendient nos cases et menacent de nous exterminer », a raconté, en larmes, Ilemba, un jeune pygmée d’une trentaine d’années, renseigne Infobascongo.net.

Depuis qu’ils sont à Kabalo-Centre, ces pygmées ont vécu dans une école de la générosité de quelques églises et organisations caritatives. « Chaque dimanche, nous organisons une collecte spéciale à l’église afin de leur venir en aide », affirme Sébastien Mutwale, responsable d’une église du réveil au chef-lieu du territoire. Mais ce que les églises et les autres organisations donnent aux pygmées déplacés était loin de satisfaire leurs besoins. Comme l’a reconnu Benjamin Mulezi, point focal du Réseau des populations autochtones et locales pour la gestion des écosystèmes, « tous sont dépourvus du minimum vital et leurs conditions d’existence sont de plus en plus précaires ».

Vieilles rivalités 

Bantous et pygmées s’affrontent régulièrement au Nord-Katanga malgré plusieurs efforts de réconciliation. Coordonnateur de la Voix des minorités indigènes, Georges Mbuyu souligne que les derniers affrontements de juin qui ont fait 10 morts selon l’ONG et deux selon le ministère provincial de l’Intérieur, sont survenus deux semaines seulement après le pacte de paix signé à Manono par les deux parties.

« Quand les pygmées estiment qu’ils sont exploités par des bantou, parfois, ils se révoltent. Et les bantou ne supportent pas leur révolte. Ce qui donne lieu à des heurts, mortels pour la plupart », fait savoir Mulezi. Mais d’autres sources révèlent que certains chefs de villages font tout pour empêcher les pygmées de vivre en communauté de 300, 200, voire 100 individus. Ces chefs utilisent les jeunes de leurs villages regroupés au sein de ce qu’ils appellent communément Forces d’auto-défense populaires pour disperser les pygmées, estimant que, s’ils sont unis, ils constituent une menace.

Briser le cycle de l’’impunité

« Il faut réunir les notables bantou et pygmées du Nord Katanga pour mettre en place ensemble des mécanismes qui favorisent une cohabitation pacifique entre les deux communautés », estime le ministre provincial de l’Intérieur, Juvénal Kitungwa. Après sa mission dans cette partie de la province, il s’est dit inquiet de voir les deux parties ne pas respecter le pacte de paix qu’elles ont signé dans le territoire de Manono début juin.

La proposition du ministre Kitungwa de réunir pour la énième fois ces deux communautés autour d’une table ne rassure pas les défenseurs des droits de l’homme, surtout ceux qui défendent les droits des minorités. Porte-parole de l’ONG Défense des minorités congolaises, Esdras Tshilembi a estimé que, tant que le cycle de l’impunité ne sera pas brisé, c’est peine perdue. « Il faut repérer les commanditaires des attaques contre la communauté pygmée et les transférer devant les instances judiciaires », préconise-t-il. Car « on peut signer mille pactes de non-agression, mais dès lors que les récidivistes auteurs et commanditaires des attaques contre une quelconque communauté ne sont pas sanctionnés de manière exemplaire, rien ne changera sur terrain ».

Actualité Shabunda : la situation sécuritaire demeure instable à Tchombi et Ndese

0
0

Crée LE 01-10-2014  - 03H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE mercredi  le 01-10-2014 - 12H30 PAR : LE POTENTIEL 

 

 


                      Shabunda : la situation sécuritaire demeure instable à Tchombi et Ndese

Au Nord-Kivu, la situation sécuritaire demeure instable à Byangama, Ndese et Tchombi, et perturbe l’accès humanitaire dans ces différentes localités de Shabunda. 

Après les combats ayant opposé les  Forces armées de la RDC (FARDC) aux miliciens Raïa Mutomboki, le 12 septembre dernier, dans le territoire de Shabunda, au Nord-Kivu, la situation sécuritaire demeure toujours instable à Byangama, Ndese et Tchombi.  C’est ce qui ressort d’une publication hebdomadaire du Bureau de coordination des Affaires humanitaires(OCHA)/RDC, avec l’appui du Groupe d’information humanitaire (HIG) parvenue au Potentiel.

Selon la source, cet environnement sécuritaire complique davantage le travail des humanitaires à Byangama, Ndese et Tchombi.

L’insécurité bat son plein dans ces localités au point d’y perturber « l’accès humanitaire et aucune évaluation  humanitaire n’a encore été possible afin de connaître l’ampleur des déplacements forcés de la population et des besoins humanitaires ». La sécurisation effective et continue de la zone pourrait faciliter un retour rapide des déplacés.

En effet, les récents affrontements entre les FARDC et des miliciens Raïa Mutomboki, dans le territoire de Shabunda, ont provoqué le déplacement des populations des localités de Byangama, Lugungu, Ndese et Tchombi. Elles ont fui vers la forêt et les villages environnants.

D’après l’ONG IEDA Relief, environ 70% des personnes déplacées de Lugungu seraient retournées chez elles entre le 12 et le 18 septembre suite à l’accalmie liée notamment au redéploiement rapide des troupes gouvernementales. Par contre à Byangama, Ndese et Tchombi, les populations déplacées seraient toujours dans la forêt et craignent d’éventuelles représailles par les groupes armés dans la zone.

Les dernières estimations basées sur les dénombrements sanitaires dans la zone renseignent qu’au moins 8 400 personnes seraient toujours en déplacement.

En raison de l’insécurité et des récents déplacements, les écoles de Byangama, Ndese, Tchombi et Makese sont fermées, retardant la rentrée scolaire pour les enfants.

En marge d’affrontements à Tchombi, cinq maisons auraient été incendiées, trois civils tués et les populations déplacées auraient été victimes de pillages, notamment de leurs articles ménagers essentiels.

L'UMP Gérard Larcher élu président du Sénat

0
0

Crée LE 01-10-2014  - 22H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE mercredi  le 01-10-2014 - 23H30 PAR : REVEIL-FM

Désigné mardi par le groupe UMP, majoritaire à l'issue des élections sénatoriales, le sénateur des Yvelines était assuré d'être élu, mercredi après-midi.

Le nouveau président du Sénat, Gérard Larcher, le 30 septembre 2014 à Paris.

Sans surprise, le sénateur UMP Gérard Larcher a été élu à la présidence de la haute assemblée avec 194 voix, mercredi 1er octobre, retrouvant une fonction qu'il avait déjà exercée de 2008 à 2011. Il a battu au deuxième tour le socialiste Didier Guillaume (124) et la communiste Eliane Assassi (18), seule femme candidate. Mardi, les sénateurs UMP, majoritaires à l'issue des élections sénatoriales, avaient préféré sa candidature à celle de Jean-Pierre Raffarin, ancien Premier ministre, et de Philippe Marini, sénateur de l'Oise. Gérard Larcher, 65 ans, retrouve ainsi la présidence d'une institution qu'il connaît sur le bout des doigts, puisqu'il y a fait son entrée en tant qu'élu des Yvelines dès 1986. Gérard Larcher succède au socialiste Jean-Pierre Bel.

Le nouveau président du Sénat, Gérard Larcher, le 30 septembre 2014 à Paris.

Can 2015: les 29 Eléphants pour affronter les Léopards...

0
0

Crée LE 02-10-2014  - 11H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE jeudi le 02-10-2014 - 15H30 PAR : RADIOOKAPI

 

Terrain du stade Tata Raphaël (ex-stade du 20 mai). Radio Okapi/ Ph. John BompengoTerrain du stade Tata Raphaël (ex-stade du 20 mai). Radio Okapi/ Ph. John Bompengo

Le sélectionneur de l’équipe nationale de football ivoirien, Hervé Renard, a publié ce jeudi 2 octobre une liste de 29 joueurs pour la double confrontation des Eléphants de la Côte d’Ivoire contre les Léopards de la RD Congo, les 11 et 15 octobre pour le compte de la troisième et quatrième journées- groupe D des éliminatoires de la Can 2015. 
Ci-dessous cette liste:

 

Gardiens:
- Gbohouo Sylvain (Sewe San Pedro/CIV)

- Copa Barry (Lokeren /Belgique)
- Sayouba Mande (Stabaek /Norvège)
- Hillel Konaté (Sochaux/France)
- Axel Kacou (St Etienne/France)

Défenseurs:
- Serge Aurier (PSG/France)
- Jean-Daniel Akpa Akpro (Toulouse/France)
- Diarrassouba Ousmane Viera (Rizesport/Turquie)
- Brice DjaDjedje (OM/France)
- Franck Kessie (Stella Abidjan/CIV)
- Lamine Kone (Lorient/France)
- Tiéné Siaka (Montpelier/France)
- Wilfried Kanon (Ado/Hollance)

Milieux:
- Cheikh Tiote (Newcastle/Angleterre)
- Roger Assale (Sewe San Pedro/CIV)
- Yaya Toure (Manchester City/Angleterre)
- Max-Alain Gradel (St Etienne/France)
- Ismael Diomande (St Etienne/France)
- Serey Die (Bale/Suisse)
- Gervinho (AS Rome/Italie)
- Koffi Kouamé Sewe(San Pedro/CIV)
- Jean-Mickael Seri (PacosFerrera/Prtugal)
- Fousseny Koulibaly (Espérance Tunis/Tunisie)

Attaquants:
- Seydou Doumbia (CSKA Moscou/Russie)

- Gadji Tallo (Bastia/France)
- Wilfried Bony (Swansea/Angleterre)
- Salomon Kalou (Hertha Berlin/Allemagne)
- Gohi Bi Cyriac (Anderletch/Belgique)
- Thomas Touré (Bordeaux/France)

En République démocratique du Congo, un médicament « made for Africa »

0
0

Crée LE 02-10-2014  - 11H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE jeudi le 02-10-2014 - 13H30 PAR : LE MONDE

un-test-rapide-d-orientation-diagnostique-permettant-le-dep.jpg

Ce dimanche, à peine la messe achevée, les habitants de Kikobo, un petit village de République démocratique du Congo (RDC), sont attendus pour une tout autre cérémonie. A l’ombre des gigantesques manguiers, une équipe de laborantins a installé un laboratoire de campagne : sur une simple table en bois, deux microscopes, une petite centrifugeuse, des flacons de réactifs, une montagne de petits tubes à essai. La mission de ces blouses blanches qui sillonnent toute l’année la brousse : traquer dans le sang de la population un minuscule parasite à l’origine de la maladie du sommeil (trypanosomiase humaine africaine, dans le jargon scientifique). Inoculé par la piqûre de la célèbre mouche tsé-tsé, il envahit progressivement l’organisme avant de s’attaquer au système nerveux central, jusqu’à tuer le malade.

« On peut rester deux ans sans symptômes précis, avec des épisodes inexpliqués de fièvre souvent interprétés comme des crises de paludisme. Au stade le plus avancé, le comportement est altéré et les symptômes sont confondus avec ceux d’une maladie mentale, voire de la sorcellerie », explique le docteur Crispin Lumbala, du ministère de la santé de RDC. « Le premier réflexe est souvent de s’adresser à un guérisseur, ce qui retarde le diagnostic, et, pendant ce temps, le malade peut transmettre le parasite à son entourage », ajoute le médecin.

En RDC, la moitié des 68 millions d’habitants vivent dans des zones infestées par la mouche tsé-tsé. Entre 5 000 et 6 000 nouveaux cas sont recensés chaque année, sur les 7 000 comptabilisés…

Le Monde

Viewing all 14381 articles
Browse latest View live




Latest Images