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Martin FAYULU, serait-il un bon président de la transition ? L'éveil patriotique dans son apogée, grâce à l'effort de tous sauf... Le Congo ne sera plus comme avant...

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Martin FAYULU en compagnie des manifestants, dehors !
Martin FAYULU en compagnie des manifestants, dehors !

Martin FAYULU, serait-il un bon président de la transition ? L'éveil patriotique dans son apogée, grâce à l'effort de tous, sauf... Le Congo ne sera plus comme avant...


Après la révolte post électorale de 2011, avec des conséquences graves imputées au discours d'un certain leader incontesté, qui devient aujourd'hui contesté, nous demandait de rentrer dans nos berceaux, pour une hibernation forcée. Cette attitude irresponsable peut être de compromis avec le pouvoir d'occupation, avait gravement retardé, le soulèvement populaire qui est d'actualité aujourd'hui.

Les mauvaises langues, interpréteront cet appel d'aller faire "dodo" dans nos couffins, comme étant un désaveu de la part de celui qui incarnait le combat dans toute sa splendeur. Aujourd'hui, il remet la couche, le couvercle pour nous demander d'aller se fourvoyer dans un dialogue avec le criminel patenté de Kingakati.

Les voix se sont levées pour fustiger son attitude irresponsable, oubliant le carnage pré et post-électoraux, fauchant la vie de ceux qui faisaient confiance à l'UDPS, et à son leader croulant dans sa forfaiture manifeste. Plus de 4000 manifestants, combattants y compris, ont perdu la vie dans des conditions similaires à celles de la semaine noire maculée du 19 au 22 janviers 2015.

Enlèvements, assassinats ciblés, des tirs tendus, à bout portant sur les manifestants pacifiques réclamant leur vote piétiné. Les leçons de cette période triste, au regard de la cruauté dans son apogée exercée sur la population, l'opposition avait trouvé dans cette pratique martiale inhumaine, dictatoriale de 2011 quelques failles.

Ces failles répertoriées, étudiées à la loupe par les stratèges de "Sauvons le Congo", ont été fatales pour ce régime qui gère la RDC par défi. Fort de son impunité et en ayant quelques soutiens indéfectibles de leurs amis de la communauté internationale en complicité avec les multinationales qui sévissent dans toute l'étendue du territoire congolais.

Le régime caporal de Kingakati, a cru bon de renouveler son exploit macabre en toute impunité, lors de la présentation du projet de loi, proposé par Evariste BOSHAB (père d'un criminel en fuite), aux deux chambres, haute et basse. Une proposition de loi contestée et décriée à l’image de son caractère liberticide, qui priverait la liberté des congolais, touchant particulièrement l'article 8 de la loi électorale. (ndlr) Tout était fin prêt pour canarder, ceux qui oseraient aller à l'encontre de leurs velléités tendant vers l'éternisassions de leur pouvoir.

C'était sans compter, dans la détermination sans précédent du collectif « sauvons le Congo » cher à Martin Fayulu, Franck Diongo, JC Vuemba, et les 25 autres, qui ont fait un travail de terrain, de porte- à- porte qui met en évidence leur patriotisme et l'amour de leur Nation en danger. En exorcisant, le danger, en côtoyant durant ces périodes de troubles graves, la mort. Faisant fi à leurs « petites vies »...

Echec et Mat, le régime en place, s'est trouvé dans un piège où leurs amis, des fidèles complices ont quitté le navire fantôme, qui dérivait dangereusement, avec en prime, la condamnation unanime de ladite communauté internationale qui d’ailleurs, a une très grande vertu, de changer son casaque au gré de l'évolution météorologique.

Champion dans l’exercice d'équilibre, des parfaits d’équilibristes. Comme la tempête soufflait fortement, ils se sont mis à l'abri en évitant de se faire emporter par cet ouragan qui frappait la RDC, la semaine dernière. Une semaine noire qui rentre dans les annales du combat patriotique contre l'imposture en RDC. Que la CPI faille ouvrir une enquête préliminaire sur les massacres perpétrés durant cette semaine noire, on ne peut que saluer cette initiative, In Fine, que les responsables, les instigateurs de cet acte odieux contre la population civile, soient tous sans exception, devant leur responsabilité.

Martin FAYULU n’en démordre pas, et réclame sans concession, aucune, le départ de celui qui est à la tête de cet escadron de la mort, celui qu’on appelle Joseph KABILA. Ce qui est aujourd'hui nécessaire, c'est indubitablement, la mise en place d'un gouvernement de transition qui permettrait la RDC, d'être sur les rails, afin de préparer dans un climat de sérénité pour les prochaines échéances électorales.

Ceux qui ont été les artisans des massacres de la population, du 19 janvier à ce jour, devraient de fait, être hors-jeu, et se mettre à la disposition de la justice pour acte de trahison contre la population et la Nation congolaise. Martin FAYULU est plus à même au regard de sa maîtrise de la situation, de conduire cette transition qui pacifiera cet immense pays en proie depuis trois décennies des crises récurrentes inhérentes à ses richesses auxquelles, sa population n'en profite pas. En mettant préalablement en contribution, la diaspora, la société civile, toute la classe politique dans son ensemble, hormis ceux qui ont été accusés des crimes contre l'humanité, de forfaiture, de crime économique, afin de mettre l'accent sur un effort coordonné, patriotique en vue de recouvrer un semblant, état de droit en RDC.

De préserver la Nation congolaise, tout en toilettant ladite constitution de 2006, constitution bancale de Liège, portant le nom d'un des fossoyeurs de la RDC, Louis Michel. Le soufflet ne devrait pas retomber, et il faudra accentuer la pression pour demander le départ de ce régime qui a criminalisé toutes les institutions au profit de leurs ventres et intérêts obscurs que le congolais lambda ne maîtrise nullement, les tenants et aboutissants de choses qui se trament en arrière plan. Les massacres massifs perpétrés au cours de ces deux décennies, ne doivent pas au nom de ceux qui sont tombés, restés impunis. Le président Barack OBAMA, à travers son ambassadeur en RDC a menacé KENGO WA DONDO et AUBIN MINAKU de la CPI, s’ils venaient à faire passer leur fichue loi.

Les congolais se réjouissent de cette initiative et prennent acte de cette compassion à l’égard de la population meurtrie. Mais il n’en demeure pas moins, que le cas de Joseph KABILA n’est pas encore réglé. Les congolais veulent un signal clair et fort de l’administration américaine et celle de la France, pour mettre fin à cette dictature particulièrement barbare au sein de la communauté des Nations.

La diaspora congolaise, par rapport à ses multiples actions visibles de sensibilisation tous azimuts, doit pointer du doigt l'essentiel du combat en faisant un Gateway, une communion avec les leaders avérés de l'opposition, de la société civile qui œuvrent pour que ce fruit mur despotique tombe.

A travers, les actions qui ont été le fer de lance, de cette victoire caractérisée et incontestable de l’opposition, nous avons tous d’ailleurs, observés les vrais opposants et ceux qui portent ces habits d'opposants. Le pot aux roses a été découvert, lors de cette semaine noire maculée. D’autres ont subi, la foudre de la Justice comme le cas de notre cher Bâtonnier Jean Claude MUYAMBO. Les autres sous le sifflement des balles traçantes de la kabilie, étaient aux côtés des manifestants.
Les uns confinés me semble –t-il dans leurs résidences respectives prétextant leur détention illégale. Et afin, les autres qui étaient sous les feux des projecteurs de la presse pour capitaliser ces actions conjointes, afin de se valoriser et d'en tirer des dividendes personnelles. Tout cela n'est qu'est un écran géant de fumée et sent pas bon du tout !

Une question à 10 centimes, pourquoi cette affaire de Wivine Moleka surgit aujourd'hui, pour cacher quoi donc ? S'ils veulent mettre Vital KAMERHE en prison, allez y, mais ne prenez pas les enfants du bon Dieu pour des canards sauvages...( Chiche !)

Qu'il aille en prison au moins, là, il aura les vrais connaissances du combat patriotique, la matière, chez celui qui croupit gratuitement à Malaka, pour un crime imaginaire, Diomi NDONGALA, que Vital KAMERHE n'a jamais soutenu dans son "combat"

Ne m'accusez surtout pas de faire de la récup, j'ai été le premier de l'avoir invité dans la diaspora moi et Freddy Mulongo pour une conférence avec les combattants, patriotes et activistes..

voir ces liens

http://www.afriqueredaction.com/article-ajes-pari-reussi-avec-martin-fayulu-72446711.html

https://www.youtube.com/watch?v=17Tf99BovSw​

http://www.dailymotion.com/video/xiicxg_le-grand-oral-de-martin-fayulu-dans-la-diaspora-avec-dtp-dynamique-tshisekedi-president_news​
Roger BONGOS


Génial ce gars

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C'était il y a quelques semaines dans +D'AFRIQUE Omar Defunzu décrypte des expressions africaines tout en imitant des accents : on s’y croirait !

Une tragédie de l' UA ( Utérus Artificiel) nous y arriverons...

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Une tragédie de l' UA ( Utérus Artificiel) nous y arriverons...

Le monde va très mal, il faudra se méfier, vous les parents et femmes qui veulent avoir des enfants assistés médicalement, compte tenu de vos difficultés de procréer...Regardez attentivement cette vidéo, vous aurez froid dans le dos...

Uploaded by Voyage Spirituel on 2014-10-09.

RDC Equateur : nouvel afflux des réfugiés centrafricains

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 RDC Equateur : nouvel afflux des réfugiés centrafricains

Environ 30 000 réfugiés centrafricains fuyant les combats dans leur pays sont arrivés en Equateur depuis le mois de décembre 2014. Le bureau du Haut commissariat pour les réfugiés (HCR) en RDC tient ces chiffres de la Direction générale de migration (DGM). Le HCR indique travailler pour assurer la prise en charge de ces nouveaux réfugiés. D’autres vagues de réfugiés centrafricains ont été enregistrées l’année passée dans la même province. Ces personnes fuient l’instabilité dans leur pays.

« Depuis le mois décembre 2014, nous avons été informés d’un nouvel afflux de réfugiés centrafricains dans le Nord de la RDC plus précisément dans le territoire de Bosobolo. La DGM parle d’un afflux de quelque 30 000 réfugiés centrafricains qui seraient arrivés dans le Nord du territoire de Bosobolo », affirme Céline Schmitt, porte-parole de la représentation régionale du HCR.

Elle indique que ces réfugiés ont créé une vingtaine de sites spontanés au bord de la rivière Ubangi qui sépare la RDC et la Centrafrique.

Céline Schmitt explique que l’une des solutions suggérées pour venir en aide à ses nouveaux réfugiés est la création d’un nouveau camp.

« Une mission part la semaine prochaine pour commencer à voir de façon concrète comment on peut créer un autre camp. Quels sont les terrains disponibles. Comment aménager cela rapidement pour pouvoir relocaliser les réfugiés loin de la frontière », détaille la porte-parole du HCR.

Plusieurs milliers de réfugiés centrafricains ont fui leur pays ces dernières années à cause de l’instabilité et de la violence qui y prévaut depuis le départ de l’ex-président François Bozize. Des milices s’affrontent régulièrement dans les villes de ce pays, causant le départ des milliers de personnes dont certains ont trouvé refuge en RDC.​

Can 2015 : Bokila et Mbokani primés

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  Can 2015 : Bokila et Mbokani primés

Jeremy Bokila, auteur du but égalisateur de la RDC face à la Tunisie (1-1), lundi 26 janvier à la CAN, a été élu homme de ce match tandis que le passeur décisif Dieumerci Mbokani a été élu pour la deuxième fois au cours de ce tournoi joueur fair-play. Qualifiée pour les quarts de finale, la RDC affrontera le Congo-Brazzaville, samedi 31 janvier, à Bata.

Le buteur congolais Bokila (66’) qui a pris la place de Cédric Mabwati cinq minutes avant, a été plus déterminant lors de ce match. Sur une déviation de la tête de Mbokani, Bokila venait d’entrer en jeu a contrôlé le ballon de son genou gauche avant d’enchainer du même pied, laissant ainsi le portier tunisien immobile sur sa ligne. Cette unique réalisation congolaise allait suffire pour décrocher le ticket du quart de finale :

«Ça fait du bien d’être qualifié. On savait que le match allait être dur. Grâce à Dieu, on est qualifié. Comme ça cette qualification va ramener la paix au pays», s’est réjoui Bokila.

Dieumerci Mbokani, primé pour la seconde fois dans la même catégorie, après le match contre la Zambie (1-1), promet de travailler davantage pour aller le plus loin possible dans cette Can.

«Je suis très fier de travailler dans ce groupe et je dois encore travailler pour le prochain match. Je sais que ça ne sera pas facile avec Claude Le Roy, il faut qu’on travailleur autrement avec l’entraineur Ibenge et je pense qu’on va gagner», a déclaré Dieumerci Mbokani.

La RDC et la Tunisie, dos à dos à Bata (1-1), se sont qualifiées pour les quarts de finale de la Can 2015.

Les Aigles de Carthage terminent en tête de ce groupe A (5 points) devant la RDC (3), qui devance seulement au nombre de buts marqués le Cap-Vert, auteur d’un nul vierge face à la Zambie à Ebebiyin.

Boko Haram: où en est le déploiement de l'armée tchadienne?

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 Boko Haram: où en est le déploiement de l'armée tchadienne?

Le 16 janvier dernier, le Tchad envoyait un contingent au Cameroun pour combattre Boko Haram. Dans le même temps, le président Déby annonçait sa volonté de voir l'armée tchadienne reconquérir la ville de Baga au Nigeria occupée par les islamistes depuis le 3 janvier. Où en est-on du déploiement tchadien ?

Ils sont pressés d'en découdre avec Boko Haram et n'ont pas l'intention de s'éterniser au Cameroun. Voilà ce que disent les diplomates occidentaux et les journalistes qui ont pris le pouls du contingent tchadien parti au Cameroun le 16 janvier. Ce contingent, équipé de chars, de blindés et d'armes lourdes est positionné à Maltam, non loin de la frontière avec le Nigeria. Parallèlement, un autre contingent tchadien a contourné le lac Tchad et se trouve à la frontière entre le Niger et le Nigeria. Avec ce dispositif en étau, l'armée tchadienne est prête pour reconquérir la ville nigériane de Baga, occupée depuis le 3 janvier par Boko Haram.

Mais si les Tchadiens sont prêts à en découdre, rien ne dit que le Nigeria leur donnera le feu vert pour entrer sur son territoire avant quelques semaines. Certes, Ndjamena semble considérer avoir une autorisation de principe de Goodluck Jonathan, mais à deux semaines de l'élection présidentielle, on voit mal le numéro un nigérian accepter qu'une armée étrangère vienne sur son sol régler un problème qu'il n'a pas su régler lui-même. L'effet politique serait désastreux pour un homme qui brigue un second mandat présidentiel. Pour les semaines à venir donc, l'armée tchadienne devrait être réduite à poursuivre la surveillance de la zone frontalière en compagnie des bataillons camerounais.

Bénin: la liste électorale est consultable sur internet

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Bénin: la liste électorale est consultable sur internet

La version provisoire de la Liste électorale permanente informatisée (Lepi) est disponible depuis lundi. Elle comporte les informations sur 4 541 097 citoyennes et citoyens en âge de voter. Si elle n’est pas encore affichée dans tous les bureaux de vote, elle est en revanche consultable sur internet. C’est une première depuis la mise en place de la Lepi en 2011.

Pour ceux qui ont la possibilité d’aller sur internet, et qui disposent en plus d'une bonne connexion, il est possible de vérifier les données sur le site du Cos-Lepi, l’organe chargé d’actualiser la liste. Dès lundi, de nombreux Béninois ont pu constater qu’elle était effectivement en ligne.

En revanche, pour la majorité des citoyens qui doivent se rendre dans les bureaux de vote, l’affichage de la liste papier a démarré plus lentement, mais c’est en cours.

Le but de cette opération est de permettre aux Béninois inscrits une dernière vérification. Ils auront du 5 au 14 février pour faire des réclamations, mais pas sur internet, seulement dans les centres de vote. Après traitement, c’est Lepi qui sortira : elle sera remise à la Commission électorale nationale autonome en vue des élections législatives d’avril et des scrutins locaux de mai, rendue publique, en attendant sa mise en ligne.

En tout cas, la disponibilité de la liste provisoire sur internet marque un tournant : c’est la première fois, dans le processus de correction, que le Cos-Lépi respecte la date qu’il avait annoncée et c’est la première fois depuis la mise en place de la Liste informatisée en 2011 qu’il y a une version électronique, comme le prévoit la loi.

RDC Après de la promulgation de la loi électorale : La balle dans le camp de Malumalu

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RDC Après de la promulgation de la loi électorale : La balle dans le camp de Malumalu

Mais le gouvernement doit donner des moyens pour l’organisation de ce scrutin, malgré la promesse de la communauté internationale en appui financier.

Aussitôt la loi électorale votée au niveau du Parlement, elle vient d’être promulguée par le chef de I’Etat Joseph Kabila, après la vérification de sa conformité à la Cour constitutionnelle. La balle est désormais dans le camp de l’abbé Malumalu qui doit respecter sa parole et ne pas tomber dans le jeu des politiciens qui ne tiennent qu’à leurs intérêts personnels plutôt que privilégier le bien- être de la population.

En effet, la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) avait annoncé que 2015 sera une année électorale. C’est dans ce cadre qu’elle avait publié, en mai 2014, le calendrier partiel des élections urbaines, municipales et locales prévues au cours de cette année, mais contesté, à cette époque, par une partie de la classe politique, notamment celle de l’opposition.

Cette classe politique ainsi que de nombreuses organisations de la société civile avaient exigé la publication du calendrier électoral global dans le cadre du cycle électoral 2013 – 2016. La communauté internationale était allée plus loin en conditionnant même son soutien, notamment financier, à la publication du calendrier global.

La Ceni qui avait trouvé fondées les exigences de cette classe politique, des organisations de la société civile et la communauté internationale, attendait, à cet effet, l’adoption au niveau du Parlement, de la loi électorale dont le projet était en examen dans les deux chambres.

Ainsi, le projet dé loi électorale a été adopté à l’Assemblée nationale et au Sénat, cela malgré les incidents survenus pendant son examen en première lecture à la chambre basse. Il a fallu l’intervention du Sénat qui a amélioré le texte, à l’occurrence l’alinéa 3 de l’article 8 de cette loi électorale, pour que les Congolais se calment.

La commission paritaire des deux chambres avait extirpé tout simplement l’alinéa à problème. C’est ainsi qu’elle a été envoyée au chef de I’Etat qui l’a promulguée dans un temps record, depuis le 26 janvier dernier. Rien n’empêche, pour le moment, à la Ceni de publier le calendrier global des toutes les élections dans le pays. Ce calendrier est donc très attendu par les différentes parties prenantes au processus électoral.

Outres les partis politiques, notamment de l’opposition, les Etats-Unis d’Amérique attendent, eux- aussi, la publication du fameux calendrier, pendant que les autres pays occidentaux, comme la Belgique, voient à travers la promulgation de la loi électorale les jalons être posés pour des élections libres, justes, démocratiques, transparentes et apaisées.

Une chose est vraie, la Ceni va publier le reste du calendrier des élections, mais le gouvernement doit donner les moyens pour l’organisation de différentes échéances électorales dans le respect du délai constitutionnel. Aussi, une fois le calendrier électoral global publié, des pays occidentaux accompagneront la RDC comme promis, notamment sur le plan financier, dans la tenue des élections.

Par LKT


Des trafiquants chinois maquilleraient de vraies...

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Des trafiquants chinois maquilleraient de vraies...

Des trafiquants chinois maquilleraient de vraies armes en jouets pour enfants.

LE COMPLOT AMERCANO FRANÇAIS EN AFRIQUE OTAN AFRICOM ARMEE FRANÇAISE

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Rédacteur en chef : BONGOS Roger Tél. : 00 33 6 52 75 40 90
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RDC- Kinshasa : Trafics de prostituées ! Liban connexion, industrie pédo-pornographique à moindre...

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RDC- Kinshasa : Trafics de prostituées ! Liban connexion, industrie pédo-pornographique à moindre coût, rapporte gros...

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RDC Traque des FDLR : « C’est le temps de commencer les opérations », affirme Kobler

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RDC    Traque des FDLR : « C’est le temps de commencer les opérations », affirme Kobler

Le chef de la Monusco, Martin Kobler, a affirmé mercredi 28 janvier qu’il était « temps de lancer les opérations [militaires] conjointes contre les rebelles rwandais des FDLR basés dans l’Est de la République démocratique du Congo (RDC). Il l’a déclaré dans une interview à Radio Okapi.

« Il faut commencer bientôt. Parce que tout le monde est impatient. Le Conseil de sécurité est impatient! La population est impatiente. Je viens de la conférence de presse de Radio Okapi de tout à l’heure, les journalistes sont impatients: ils communiquent les sentiments de la population », a indiqué Martin Kobler avant de s’envoler pour Addis-Abeba où il prend part au sommet de l’Union africaine.

Pour le représentant spécial du secrétaire général des Nations unies en RDC, le processus de démobilisation volontaire des FDLR a échoué.

« Le processus de désarmement volontaire à échoué! Il a échoué ! Maintenant, c’est vraiment le temps de commencer les opérations », a ajouté Martin Kobler.

Il a reconnu que ce serait « beaucoup plus compliqué contre les FDLR » comparativement aux opérations contre le M23.

« Mais [ce n’est] pas impossible! Il faut vraiment conquérir des villages, des territoires entiers qu’ils occupent. Alors, il faut commencer. Parce que, même si ça va durer, Ce n’est pas possible de garder les FDLR », a poursuivi Martin Kobler.

Le chef de la Monusco a également indiqué qu’il va faire le même rapport aux chefs d’Etat africains qui se réunissent, dès ce vendredi, au sommet de l’Union africaine, à Addis-Abeba, en Ethiopie.

Après plusieurs appels au désarmement volontaire, les FDLR n’avaient pas déposé les armes. La Conférence internationale pour la région de grands lacs (CIRGL) et la Communauté des Etats de l’Afrique australe (SADC) leur avaient accordé un ultimatum de six mois qui a expiré le 2 janvier.

Mais à cette date, le gouvernement congolais affirmait que l’option militaire était désormais devenue inévitable face à ces rebelles hutus rwandais. A la date buttoir du vendredi 2 janvier 2015, le Kinshasa a fait remarquer que le nombre de ceux qui ont désarmé ne «représente que 26 % de l’effectif total de combattants FDLR présents en RDC évalués à 1300 en octobre 2012 par l’équipe militaire d’évaluation, organe mis sur pied à cet effet par le sommet de Chef d’Etats et de Gouvernement de la CIRGL et composé des experts militaires de cette organisation régionale.»

RDC : le chef d’Etat-major général de l’armée visite les troupes à Beni

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   RDC : le chef d’Etat-major général de l’armée visite les troupes à Beni

Le chef d’État-major général de l’armée congolaise, général Didier Etumba, séjourne dans la ville de Beni depuis mercredi 28 janvier. Accompagné de plusieurs généraux des Forces armées de la RDC, il a affirmé être venu visiter les troupes déployées dans cette zone qui a connu des massacres des civils entre octobre et novembre 2014. Une opération conjointe FARDC-Monusco y est actuellement menée.

Avant d’arriver à Beni, le chef d’État-major général des FARDC a effectué une visite de quelques heures à Rwindi, une localité située dans le parc national des Virunga, au Sud-ouest de Goma.

Le général Didier Etumba est notamment accompagné du général Dieudonné Amuli, chef d’État-major général adjoint chargé des opérations et des renseignements, du général Prosper Nabiolwa, sous-chef d’État-major chargé des opérations ainsi que du général Delphin Kahimbi, le patron des renseignements au sein de l’armée congolaise.

« Je suis chef d’État-major général des Forces armées. Je vais là où il y a des troupes. Et il y a des troupes ici à Beni », a-t-il déclaré à son arrivée dans la ville, sans en dire davantage sur les raisons de sa visite.

Mais selon certaines sources militaires, la mission du chef d’État-major général des FARDC à Beni se fait en prévision du lancement prochain des opérations militaires contre les rebelles rwandais des FDLR.

Interrogé à ce sujet, le général Didier Etumba a répondu de façon laconique : «Vous serez informés en temps opportun.»

Le chef d’État-major général de l’armée congolaise séjourne à Beni pendant que les FARDC et la Monusco poursuivent les opérations conjointes contre les rebelles ougandais des ADF actifs dans la zone. Ces combattants sont accusés d’être responsables des massacres commis contre des civils dans le territoire de Beni. Entre octobre et novembre 2014, la société civile locale a enregistré 250 personnes tuées par des présumés ADF.

RDC « Made in Congo » : une campagne pour promouvoir l’industrie locale en RDC

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Le gouvernement congolais a lancé, lundi 26 janvier, la campagne «Made in Congo» destinée à promouvoir les biens et services produits en RDC. Le ministre de l’Industrie, Germain Kambinga, a entamé lundi dernier une tournée dans certaines usines de la capitale.

Devant le ministre, des entrepreneurs locaux ont dénoncé la multiplicité des taxes et la concurrence déloyale, favorisée, selon eux, par l’Etat congolais lui-même.

Germain Kambinga a saisi l’occasion, lui, pour expliquer aux entrepreneurs congolais le bien-fondé de la campagne initiée par le gouvernemental:

«La démarche qui est la nôtre dans le cadre de « Made in Congo », c’est précisément de mettre en lumière toutes ces potentialités industrielles pour informer le peuple congolais et nous réveiller un peu plus nous, gouvernement dans nos responsabilités de soutien».

Lire aussi: RDC: les jeunes invités à s’investir dans «l’auto-entrepreneuriat »

Le ministre a indiqué qu’à travers «Made in Congo», le gouvernement entend promouvoir l’industrie congolaise et exprimer son souci d’accompagner les entrepreneurs congolais.

« Les accompagner, c’est notre responsabilité : sur le plan de l’encadrement fiscal, sur le plan de la protection vis-à-vis de la concurrence déloyale, sur le plan de facilités diverses dont ils peuvent avoir besoin en règle générale», a poursuivi Germain Kambinga.

Il a par ailleurs invité les Congolais à consommer les produits locaux pour permettre aux Congolais qui travaillent dans ces industries de garder leurs emplois.

« Protégeons nos usines, protégeons notre industrie. Aidons notre industrie à prospérer. Acheter congolais est un acte patriotique, est une contribution à l’essor industriel, à l’essor économique national», a jouté Germain Kambinga.

Le ministre a tour à tour visité Fameco, Tissakin, Upak, Marsavco, Dispromalt et Peloustore.


RDC Kinshasa : la baisse du prix de carburant est « peu significative », selon le syndicat Eco

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RDC  Kinshasa : la baisse du prix de carburant est « peu significative », selon le syndicat Eco

La baisse du prix de carburant à la pompe à Kinshasa est « peu significative et tardive », a déclaré mercredi 28 janvier le président du syndicat Eveil de la conscience ouvrière (Eco), Lambert Osango. Il a expliqué qu’il y a une grande disproportion entre la baisse sur le plan international de 60% et la baisse de 5% effectuée à la pompe au niveau national.

« Cette réduction aurait dû intervenir depuis très longtemps parce que sur le marché international, la baisse a commencé depuis le mois de juin. Et au jour d’aujourd’hui le baril est passé de 117 $ à 46. Donc c’est même en dessous de la moitié. Et chez nous, la baisse est d’environ 5% », a affirmé Lambert Osango.

Il a souhaité que le gouvernement s’impose devant les pétroliers pour réduire davantage le prix du carburant.

Selon le président d’Eco, les pétroliers ont continué à vendre six mois environ le carburant à un prix élevé alors qu’ils s’approvisionnaient déjà au prix réduit sur le marché international.

« On ne nous dira pas qu’ils [les pétroliers] ont des stocks de plus de 4 mois, non ! Ce qu’ils se sont ravitaillés au prix qui a été revu à la baisse sur le marché international. Mais pourquoi n’avoir pas immédiatement répercuté sur le prix à la pompe ? », s’est interrogé Lambert Osango.

Il a indiqué qu’à Brazzaville, le litre se vend actuellement à 900 Francs (0.97dollar) mais à Kinshasa il revient à 1440 Fc (1.2 dollar)

Partant de cette comparaison, le président d’Eco a proposé que le prix du carburant soit encore revu à la baisse à hauteur de 1000 Fc (1.08 dollar) ou 1100 Fc (1.19 dollar).

[CAN 2015] Tirage entre le Mali et la Guinée: pouvait-on éviter ça?

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 [CAN 2015] Tirage entre le Mali et la Guinée: pouvait-on éviter ça?

C’est par tirage au sort que les équipes de Guinée et du Mali vont être départagées pour la qualification en quarts de finale de la CAN 2015, ce 29 janvier à Malabo. Une procédure rarissime en Coupe d’Afrique des nations de football et qui suscite un vif débat.

De notre envoyé spécial à Malabo,

Les équipes de Guinée et du Mali ont dû mal dormir dans la nuit du mercredi 28 au 29 janvier 2015, en Guinée équatoriale. Après leur match nul 1-1, c’est seulement ce jeudi à 15h TU qu’elles vont être départagées par un tirage au sort effectué dans un hôtel de Malabo, la capitale. En attendant, les joueurs devront faire comme si la CAN 2015 continuait, alors que les Maliens ou les Guinéens seront dans l’avion du retour ce soir ou demain soir…

Lors de ce tirage, un représentant de chaque équipe prendra une boule dans un bocal qui aura soit le numéro 2, soit le numéro 3. Celui qui aura pris la boule 2 (pour deuxième du groupe D) affrontera le Ghana en quarts de finale de la CAN 2015, le 1er février à Malabo. L'autre équipe fera ses bagages, pleine d'amertume.

Ce tirage, prévu en cas d’égalité parfaite entre plusieurs équipes à l’issue du premier tour, devait avoir lieu le soir-même, dans le stade de Malabo. Mais la Commission d’organisation de la Confédération africaine de football (CAF), souveraine en la matière, a changé son fusil d’épaule au dernier moment. Tout d’abord pour éviter une polémique, car Maliens et Guinéens étaient à ce-moment-là à Mongomo, à 170 kilomètres de Malabo, où ils disputaient leur rencontre décisive. Il aurait en effet été étrange de décider du sort des Aigles et du Sily National, en leur absence. D’autre part, la minuscule salle de conférence de presse du stade de Malabo semblait peu adaptée à un événement qui suscite la polémique…

Un nouveau règlement mal adapté

La procédure est en effet rarissime. Elle ne s’est produite que deux fois : en 1972 et en 1988. Cette année-là, notamment, les Algériens avaient gagné à la loterie. Les Ivoiriens, eux, avaient été privés de demi-finales par ce coup du sort.

La CAF aurait pu s’éviter un tel mélodrame si elle n’avait pas modifié le règlement de la Coupe d’Afrique des nations avant cette édition en Guinée équatoriale. Lors de la CAN 2013, par exemple, en cas d’égalité parfaite entre plusieurs équipes, il était prévu qu’on écarte l’équipe/les équipes ayant reçu le plus de cartons jaunes et de cartons rouges.

Au classement du fair-play, la sélection guinéenne aurait d’ailleurs été qualifiée pour les quarts de finale de cette CAN 2015. En effet, la Guinée a récolté seulement deux cartons jaunes contre six pour le Mali…

La CAF a mal mené son affaire. Preuve supplémentaire, la Confédération avait mal traduite la version française du règlement. Elle s’est rendue compte d’une faute de frappe dans l’article 74 – celui sur les critères pour départager plusieurs équipes – le 24 janvier seulement. Soit une semaine après le début de la CAN 2015. La Commission d’organisation a rectifié l’erreur le jour-même. Mais cela n’a pas empêché la CAF de distribuer la mauvaise version du règlement l’après-midi même, aux journalistes présents à Bata…

Pa pasteur ba lamuki ou pas ?

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On marcherait sur la tête

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On marcherait sur la tête

On marcherait sur la tête
Qu'est ce qu'on peut faire avec des tels dérives ?
La fin approche !

CAN: LA GUINÉE QUALIFIÉE APRÈS UN TIRAGE ROCAMBOLESQUE

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 Le président de la CAF Issa Hayatou (c) lors du tirage au sort pour départager la Guinée et le Mali, le 29 janvier 2015 à Malabo | AFP | Issouf Sanogo
Le président de la CAF Issa Hayatou (c) lors du tirage au sort pour départager la Guinée et le Mali, le 29 janvier 2015 à Malabo | AFP | Issouf Sanogo



La Guinée, à égalité parfaite avec le Mali après le premier tour, a été qualifiée au tirage au sort pour les quarts de finale de la CAN-2015, une issue rocambolesque, expédiée en deux minutes et sans huissier, qui ternit l'image de la CAF et de sa compétition-phare.

Les trois rencontres disputées par les Aigles maliens et le Syli National dans le groupe D s'étaient toutes soldées par un résultat identique (1-1) et ce sont donc les Guinéens qui ont remporté la loterie organisée par la Confédération africaine de football (CAF) juste avant une réunion de son comité d'organisation dans un grand hôtel de Malabo, la capitale de la Guinée Equatoriale.

La Guinée termine ainsi 2e de la poule et affrontera au prochain tour le Ghana, vainqueur du groupe C, dimanche à Malabo.

Mais la méthode utilisée et la cérémonie, d'une durée d'à peine deux minutes, ont de quoi écorner la crédibilité de la CAF.

Pas de mains innocentes pour tirer les boules, ni d'huissiers pour veiller à la régularité de la procédure: la lourde charge est revenue à des représentants des deux pays concernés, le président de la Fédération malienne, Boubacar Baba Diarra, et le directeur financier du ministère des Sports guinéen, Amara Dabo.


-'La pire des cruautés'-

Auparavant, c'est le secrétaire général de la CAF, le Marocain Hicham El Amrani, qui avait lui-même introduit dans les boules les deux feuilles portant les inscriptions "2" (synonyme de 2e place de la poule et donc de qualification) et "3" avant de tenter tant bien que mal de mélanger les boules à l'abri des regards.

Une scène surréaliste qui témoigne de l'improvisation totale qui a prévalu dans la préparation du tirage.

Le président de la Fédération malienne n'a d'ailleurs pas manqué de dénoncer le recours au hasard pour départager les deux formations, estimant que cela constituait "la pire des cruautés".

"On aurait préféré perdre sur des critères sportifs mais pas sur des critères extra-sportifs. La CAF doit revoir son mode opératoire", a-t-il affirmé.

"Il faut qu'on revoie le règlement, a-t-il ajouté. On aurait pu imaginer des subterfuges, par exemple au début de la compétition, commencer à compter les corners, le coups francs, jouer sur le fair-play mais pas perdre comme ça."

Interrogé par l'AFP, M. El Amrani a expliqué que le règlement avait été "établi et mis à jour en 2014 et toutes les équipes l'acceptent avant même de débuter la compétition", indiquant que cela faisait partie des "aléas de la compétition".

"Je ne suis pas content de cette situation (...) mais nous n'avons pas le choix", avait déclaré de son côté le président de la CAF Issa Hayatou juste avant le tirage au sort.

- Le critère du fair-play retiré -

La CAF s'est de fait elle-même placée dans une situation des plus inconfortables en réduisant au minimum les critères en cas d'uniformité des résultats entre plusieurs nations.

Selon le règlement de la CAN, les équipes à égalité sont en effet séparées aux matches particuliers entre elles (points, différence de buts, meilleure attaque), puis à la différence de buts générale et à la meilleure attaque générale, un tirage au sort étant prévu en dernier recours.

Or, lors de la CAN-2013, le fair-play entrait en ligne de compte et le pays ayant reçu plus de cartons jaunes ou de cartons rouges était éliminé.

La CAF n'en est pas à son coup d'essai puisqu'elle avait utilisé un tirage au cours de la Coupe d'Afrique en 1988. L'Algérie avait alors accédé aux demi-finales (le tournoi ne comptait que huit participants à l'époque) aux dépens de la Côte d'Ivoire.

Un tel cas de figure s'était également produit en 1990 lors du Mondial en Italie. Mais il s'agissait alors de désigner l'ordre des qualifiés dans un groupe et de départager l'Eire et les Pays-Bas pour les 2e et 3e places. Les Néerlandais s'étaient inclinés mais étaient déjà assurés de leur billet en tant que meilleurs 3e.

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