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Channel: AFRIQUE REDACTION . L'information en continu ! Afrique au cœur de l’actualité...Infos News sur la RDC, les brèves de la dernière minute. Synthèse sur l’actu internationale. rdcongo-kinshasa, Nord et Sud KIVU, Kinshasa, Bas Congo, Dongo, Equateur, Maniema, Lubumbashi, les deux Kasai. Rédacteur en Chef : BONGOS Roger
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Démantèlement des Sim Box en RDC : le bilan d’Agelis-Télécom jugé insuffisant

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  Démantèlement des Sim Box en RDC : le bilan d’Agelis-Télécom jugé insuffisant

Le bilan de l’entreprise Agelis-Télécom, chargée depuis plus de 2 ans par le gouvernement congolais de démanteler les Sim Box, est jugé insuffisant. A l’issue des concertations économiques clôturées lundi 2 mars à Kinshasa, il s’avère que la firme franco-américaine a démantelé moins de 2% de ce réseau mafieux consistant à transformer des appels longues distances venant de l’étranger en appel locaux, créant ainsi un important manque à gagner au trésor public en termes de taxes. Du côté des télécoms, on explique notamment la persistance des Sim Box par la présence de certains officiels congolais dans ce réseau mafieux.

Selon le contrat signé en novembre 2012 entre le gouvernement congolais et Agelis-Télécom, cette dernière est chargée de mettre fin à la fraude téléphonique qui, selon l’ex-ministre des PT-NTIC, Trymphon Kinkiey Mulumba, fait perdre chaque mois près de 12 millions de dollars américains au trésor public.

En contrepartie, le gouvernement a accordé à Agelis-Télécom 3 centimes de dollars sur chaque minute entrant en RDC, soit 0,03 dollar américain.

Cependant, depuis plus de deux ans, Agelis-Télécom n’a démantelé que quatre réseaux Sim Box alors qu’il en existe une centaine, selon les opérateurs de téléphonie.

Une de ces Sim Box démantelé était installé à Macampagne, dans la commune de Ngaliema, et trois autres dans la commune de la Gombe, précisément au quartier GB, au niveau de Batetela, et derrière l’hôtel de ville de Kinshasa.

Selon certains opérateurs téléphoniques, deux raisons sont la base de l’inefficacité d’Agelis-Télécom : d’abord, ses équipements détecteraient ces appels entrants en retard, ensuite, l’entreprise buterait contre la même pesanteur officielle que rencontrent trop souvent ces télécoms.

Pourtant, ces opérateurs téléphoniques assurent savoir où se trouvent ces Sim box, mais se disent incapables de les démanteler.

Selon eux, la majorité de cette mafia est entretenue par certains officiels congolais qui brassent ainsi frauduleusement de millions de dollars au détriment du trésor public. ​


Thomas Lubanga, ancien chef milicien de l'Ituri lors d'une audience à La Cour pénale internationale Affaire Thomas Lubanga: la CPI décide d’indemniser les victimes

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Thomas Lubanga, ancien chef milicien de l'Ituri lors d'une audience à La Cour pénale internationale Affaire Thomas Lubanga: la CPI décide d’indemniser les victimes

La Cour pénale internationale (CPI) va amorcer dans six mois le processus d’indemnisation des victimes dans l’affaire qui opposait, jusque-là, le procureur contre Thomas Lubanga, ancien milicien congolais. La Chambre d’appel de la CPI l’a decidé mardi 3 mars au cours d’une audience publique à La Haye. Elle a modifié l’ordonnance de la Chambre de première instance du 7 août 2012 et a chargé le Fonds au profit des victimes (FPV) de préparer la mise en œuvre de ces réparations.

Au mois de septembre 2015, le Fonds au profit des victimes, une structure permanente de la CPI, devra apprêter le projet de plan de mise en œuvre de réparation collective. Ce projet devrait comprendre une estimation du montant nécessaire à la réparation du préjudice causé par les crimes dont Thomas Lubanga a été reconnu coupable.

En première instance, Lubanga n’a pas été rendu personnellement responsable des réparations en raison de son état actuel d’indigence. Mais en appel, la Chambre estime que c’était une erreur.

L’ancien criminel de guerre de l’Ituri pourrait être amené à apporter sa quote-part aux réparations. Les animateurs du Fonds s’accorderont avec les avocats des victimes pour proposer une somme censée couvrir l’ensemble du dédommagement financier pour les victimes.

Selon l’arrêt relatif aux principes et procédures applicables en matière de réparations des victimes, rendu mardi, il est envisagé d’apporter aux victimes des services médicaux. Il s’agit notamment des soins psychiatriques et psychologiques, en plus d’une aide à la réhabilitation en général, au logement, à l’éducation et à la formation.

Le 14 mars 2012, Thomas Lubanga avait été reconnu coupable des crimes de guerre pour avoir procédé à l’enrôlement et à la conscription d’enfants de moins de 15 ans et les avoir fait participer activement à des hostilités en Ituri (Province Orientale). ​

Direction encore Marseille en first class

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Direction encore Marseille en first class

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On aura le soleil de la canebiere...

Bongos Roger added 7 new photos to the album:...

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Bongos Roger added 7 new photos to the album:...

Bongos Roger added 7 new photos to the album: MARSEILLE L'ARRIERE PAYS. TRES JOLI PAYSAGE.

Le coucher du soleil à Marseille sur mon balcon,...

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Le coucher du soleil à Marseille sur mon balcon,...

Le coucher du soleil à Marseille sur mon balcon, un délice...Dieu est grand !

Coucher de soleil un spectable naturel de la création divine. Rendons grâce à Dieu

Coucher de Soleil au-dessus du Golfe de Tarente.Un coucher de Soleil au-dessus de l'océan vu de l'espace, photographié à partir de la Station spatiale internationale.

Le terminateur est clairement visible.
Le coucher du Soleil est le moment où le Soleil disparaît derrière l'horizon, dans la direction de l'Ouest. Il s'agit d'un phénomène quotidien causé par la rotation de la Terre.

L'expression coucher de Soleil ne décrit qu'une apparence, car le Soleil ne se couche pas, c'est le mouvement de rotation de la Terre qui donne cette impression.

I posted 17 photos on Facebook...

Tanzanie: Wentworth prélève 5,6 millions $ de sa facilité de prêt pour le gaz de Rovuma

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 Tanzanie: Wentworth prélève 5,6 millions $ de sa facilité de prêt pour le gaz de Rovuma

(Agence Ecofin) – Wentworth Resources Ltd, détenant 11,59% d’intérêt dans les opérations de mise en valeur et de production dans la concession onshore Rovuma, a prélevé 5,6 millions $ de sa facilité de prêt de 20 millions $ auprès de TIB Development Bank Ltd. Les fonds serviront à faire face aux besoins généraux en matière de fonds de roulement et à relever sensiblement les liquidités à court terme de la compagnie, a souligné le 4 mars le pétro-gazier coté à Londres et à Oslo.

La compagnie énergétique s’attend à financer avec le solde de la facilité de prêt les activités de mise en valeur de la concession Mnazi Bay, notamment le forage du puits de développement MB-4 et la construction des infrastructures qui relieront les champs gaziers existants au gazoduc de l’Etat tanzanien, planifiées pour le premier semestre 2015.

Elle projette de financer à partir des flux de trésorerie internes sa quote-part des coûts des activités de développement prévues dans la seconde moitié de l’année.

Wentworth Resources Ltd explore avec ses partenaires, dont la compagnie américaine Anadarko Petroleum Corporation, une superficie de plus de 12 700 km2 dans le bassin Rovuma à fort potentiel et détient deux champs de production de gaz naturel en Tanzanie.

http://www.agenceecofin.com/gaz-naturel/0503-27081-tanzanie-wentworth-preleve-5-6-millions-de-sa-facilite-de-pret-pour-le-gaz-de-rovuma

L’harmonisation et l’appropriation de la stratégie de participation politique de la femme recommandées

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 L’harmonisation et l’appropriation de la stratégie de participation politique de la femme recommandées

Les participants aux travaux du Forum sur le leadership politique féminin en République Démocratique du Congo ont recommandé aux organisateurs de ces travaux, dont le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD), d’organiser un atelier d’harmonisation, d’appropriation et de validation de la stratégie nationale de participation politique de la femme congolaise.

Les participants ont formulé cette recommandation à l’issue des travaux de ce Forum organisé du 3 au 4 mars dans un hôtel de la Gombe, une commune de la ville de Kinshasa, par le PNUD en collaboration avec le Centre régional de recherche et de documentation sur le genre dans la région des Grands Lacs (CERED-GL), sous le haut patronage du ministère du Genre, famille et enfant.

Ils ont expliqué que le Forum sur le leadership politique féminin a permis d’approfondir les assises du Forum des ministres du Genre et qu’à ce point de vue, l’atelier d’harmonisation, d’appropriation et de validation aura pour objectif d’aider les participants à toutes ces deux rencontres à avoir la même compréhension de toutes les conclusions arrêtées au sortir de chacune de ces assises.

Après l’harmonisation, le texte de la stratégie nationale de participation politique de la femme sera remis à la ministre du Genre, famille et enfant pour être amené au Conseil des ministres qui va l’adopter.

Le contenu de ce texte n’a pas été dévoilé. Lors de la clôture des travaux du Forum sur le leadership politique féminin, la ministre du Genre, de la famille et de l’enfant a, dans son discours lu par son directeur de cabinet, déclaré que son ministère est satisfait des résultats de cette rencontre, auxquels il souscrit totalement.

La ministre Bijoux Mushitu Kat a émis le vœu de voir ce genre de forums se multiplier car, la femme congolaise doit être préparée à participer en toute conscience à la vie politique.

Elle a également souhaité, dans cette perspective, l’instauration d’un cadre de concertation permanente entre le ministère et les femmes en vue de faciliter des échanges fructueux.

Par Marcel Tshishiku


Mme Lydie Koumat-Guéret, journaliste de formation...

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Mme Lydie Koumat-Guéret, journaliste de formation...

Mme Lydie Koumat-Guéret, journaliste de formation et spécialiste en communication (de l'ISCOM, Institut Supérieur de Communication de Lyon et de l'Université Sorbonne Nouvelle Paris IV avec un Master 2 professionnel en Communication des Entreprises et des Institutions)

Longtemps consultante en communication auprès des Nations Unies, elle a été Chargée de communication à la Conférence Internationale sur la Région des Grands Lacs au Burundi, Spécialiste en communication au Centre Régional du PNUD (Programme des Nations Unies pour le Développement) à Dakar.

Elle dirige aujourd'hui et depuis 1996 mon Agence de Communication ACC, Agence Centrafricaine de Communication "Un Autre Regard".

Depuis l'avènement de la Séléka en 2013 en RCA, elle est activiste et milite pour la Paix, la Réconciliation et la Rupture en Centrafrique. Elle a mise en place fin 2013, le MCR, le Mouvement Centrafricain pour la Rupture. Elle assume le poste de, la Vice-Présidente, Chargée des Relations Extérieures. Enfin, elle a animé la Rubrique Centrafrique du Journal en ligne Opinion Internationale.

Interviewée par Roger BONGOS, elle nous parle de la RDC avec le conflit qui existerait avec le Rwanda, de la Centrafrique et du Congo-Brazzaville.

Une activiste, journaliste, Mme Lydie KOUMAT-GUERET, dit tout et assume ses propos sur la RDC,...

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TANZANIE: QUATRE PERSONNES CONDAMNÉES À MORT POUR LE MEURTRE D’UNE ALBINOS

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Affaire Fiston saï saï : le Ministère public requiert 20 ans de prison

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 Affaire Fiston saï saï : le Ministère public requiert 20 ans de prison

(KINSHASA)- Après des audiences marathon, le ministère public a requis jeudi 20 ans de prison ferme contre l’artiste comédien, Fiston Mafinga mieux connu sous le sobriquet de saï saï et au payement des dommages
et intérêts de l’ordre d’un million de Franc congolais. De son coté, la partie civile a demandé 100 mille dollars pour les préjudices causés à la fille violée. En réaction, la défense a rejeté en bloc l’aavis de l’organe de la loi et la demande de la partie civile estimant qu’il n’y avait pas des preuves sur le prétendu viol. Les avocats de Fiston Mafinga ont, par contre, appelé les juges à acquitter simplement leur client victime d’un montage grossier. L’affaire a été prise en délibéré et le verdict sera rendu dans le délai de la loi. Mais cependant, le mystère demeure entier sur le vrai âge de la fille qui aurait été violée par l’artiste comédien Fiston Mafinga. Le rapport des experts de la société Vodacom sur l’enregistrement des abonnés avait clairement indiqué que la prétendue fille violée avait 21 ans. Le ministère public et la partie civile ont
rejeté, sans ménagement, le rapport. Outre le problème de l’âge, le tribunal de grande instance de la Gombe qui siégeait en chambre foraine à la prison de Makala n’a pas pu se faire aussi l’idée si le viol a été commis ou pas d’autant plus que le rapport du deuxième médecin exigé par la partie civile et l’accusation n’a pas été
explicite. Une semaine avant, un autre médecin avait attesté dans son rapport qu’il n’y avait pas viol. Le ministère public et la partie civile avaient, toutes deux, dit non à ce rapport exigeant au tribunal de recourir à un deuxième médecin pour déterminer s’il y a eu viol ou pas. Après avoir écouté les deux parties, le tribunal de grande instance de la Gombe est appelé à dire bon droit et éviter de se faire influence par les deux camps.


Elections : la Ceni disqualifie les nouveaux majeurs pour 2015

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Elections : la Ceni disqualifie les nouveaux majeurs pour 2015

Le verdict de la CENI (Commission Electorale Nationale Indépendante) est finalement tombé hier jeudi 05 mars 2015 au sujet de nouveaux majeurs. Selon son Rapporteur, Jean-Pierre Kalamba, qui répondait à une requête venue des membres de l’Opposition basés au Maniema, les jeunes congolais âgés de 18 à 22 ans sont définitivement disqualifiés pour les élections locales, municipales, urbaines et législatives provinciales programmées en octobre 2015.
A l’en croire, cette décision est en conformité avec l’article de la Loi électorale, laquelle ne prend en compte que ceux qui répondent au statut de « majeur » à la date de la clôture de l’identification et de l’enrôlement. Pour le cas d’espèce, cette opération était déjà bouclée en 2011. Il rappelle aussi qu’en son temps, la CENI et ses partenaires (partis politiques, société civile) s’étaient mis d’accord pour un enrôlement électoral, en lieu et place d’un recensement général, susceptible de prendre trop de temps et de consommer trop d’argent.

L’unique ouverture laissée aux nouveaux majeurs, c’est de se faire enrôler entre les mois de janvier et de mars 2016, en vue de leur participation aux élections présidentielle et législatives nationales du 27 novembre 2016.
Le Rapporteur de la CENI soutient que la répartition des sièges des députés provinciaux sera faite sur pied du fichier électoral établi en 2011. Par conséquent, l’intégration de nouveaux majeurs aurait pour effet de tout chambouler et de provoquer le retour à la case départ. Il a fait savoir aussi que cette institution place les élections locales, municipales, urbaines et législatives dans la corbeille des « arriérés législatifs », lesquels ne concernent pas des citoyens qui n’étaient que des mineurs en 2011, au moment de l’identification et de l’enrôlement des électeurs.

Cohésion nationale menacée

L’opinion constate que la CENI a pris la liberté d’exclure des scrutins d’octobre 2015, des millions de jeunes congolais nés entre 1994 et 1998, à la fois en tant que candidats et électeurs, puisque dans ce pays, on peut postuler à un mandat électif à compter de l’âge de 18 ans. Cette décision unilatérale de priver des millions de compatriotes de leur droit civil viole la Constitution, en son article 5, alinéa 5 qui stipule : « Sans préjudices des dispositions des articles 72, 102 et 106 de la présente Constitution, sont électeurs et éligibles, dans les conditions déterminées par la loi, tous les Congolais de deux sexes, âgés de dix-huit ans révolus et jouissant de leurs droits civils et politiques ».
Logiquement, les « nouveaux majeurs » ne devraient pas être exclus des scrutins car ils répondent aux critères requis pour être candidats ou électeurs. Si la CENI n’a pas prévu d’opérations d’enrôlement et d’identification en 2015, elle devrait trouver le moyen de prévenir les graves préjudices moraux qu’elle cause à cette catégorie de citoyens.
D’aucuns pensent que pour leur rendre justice, le moindre mal serait de postposer les élections locales, municipales, urbaines et législatives provinciales, comme le suggère de nombreux acteurs politiques de l’Opposition, de la Majorité présidentielle et de la Société civile.
Ce serait dangereux, dans le chef de la CENI, de mettre une croix sur des millions de citoyens qui ont leur mot à dire dans le choix de leurs futurs élus. Car, si les « exclus » s’avisent à ne pas se reconnaître dans les députés provinciaux ainsi que les sénateurs et gouverneurs que les précités seraient appelés à élire au second degré, on risque d’assister à une terrible fracture sociale au sein de la société congolaise, à Kinshasa comme en provinces.
A l’heure où l’on parle de la construction de la cohésion nationale, la politique d’exclusion des pans entiers des citoyens, surtout jeunes, devrait être absolument évitée. C’est le lieu d’exhorter la CENI à ne pas aller vite en besogne et à éviter la voie de la facilité dans la gestion de nouveaux majeurs. En tant que « pouvoir organisateur » des élections, elle a l’obligation de faire participer aux scrutins tous les ayants-droit constitutionnellement reconnus comme tels. Une disposition de la Loi électorale ne peut pas restreinte les droits civils et politiques des citoyens. Qu’on n’attende pas un énième mouvement des masses populaires pour corriger ce qui s’apparente à une injustice flagrante. Kimp

Affaire Christopher Ngoyi Mutamba : l’audience renvoyée au 18 mars

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 Affaire Christopher Ngoyi Mutamba : l’audience renvoyée au 18 mars

Le mercredi 4 Mars dernier, la première audience de l’activiste des droits de l’homme, Christopher Ngoyi Mutamba a eu lieu à la prison centrale de Makala, après que le parquet ait fait fixer son affaires devant le Tribunal de Grande Instance de Matete ; sous RP 4966.Christopher Ngoyi n’ayant pas été notifié de cette date d’audience, c’est-à- dire dans le délai de la loi, le Tribunal s’est déclaré non saisi à son égard et a renvoyé l’affaire au 18 mars, pour régulariser la procédure. Il y a lieu de signaler que la détention de ce défenseur des droits de l’homme est devenue irrégulière depuis le 27 Février 2015.

Dans ce dossier, la République Démocratique du Congo s’est constituée partie civile et s’était faite représentée par un collectif de dix avocats coordonné par le Bâtonnier du Barreau de Kinshasa/ Gombe, Me Mukendi, l’ancien Bâtonnier du Barreau de Kananga et Député national, Ambroise Kamukuny et l’ancien Bâtonnier du Barreau de Bandundu, Me Mbere.

22 Chinois constitués parties civiles

Les 22 Chinois sont également constitués parties civiles et sont représentés par leur avocat. La Défense de Christopher Ngoyi est constituée par un collectif des avocats conduit par l’ancien Bâtonnier Kazadi du Barau de Matete.
Dans la salle d’audience de la prison centrale de Makala, les défenseurs des Droits de l’Homme et plusieurs membres de la société civile et les militants des partis politiques de l’opposition étaient présents, pour encourager Christopher Ngoyi Mutamba.
En effet, le défenseur des droits humains, Christopher Ngoyi, Président national de l’ONG “ Synergie Congo Culture et Développement “ et Coordonnateur de la plateforme ‘ Société civile de la République Démocratique du Congo dans le cadre de ses activités a organisé une sensibilisation de la population sur les revendications citoyennes et en marge du débat démocratique sur la révision du cadre juridique relatif aux élections en RDC.
Ngoyi a multiplié les activités au début janvier 2015, afin de mobiliser la population, pour participer au meeting du 11 janvier, cinq jours avant la session de l’Assemblée nationale devant adopter les modifications de la loi électorale.
Le 17 janvier, l’Assemblée nationale adopte le projet de loi. L’organisation de l’élection présidentielle de 2016 devra maintenant être conditionnée à un recensement national, ce qui risque de repousser la tenue du scrutin et permettre ainsi à l’actuel président de rester plus longtemps au pouvoir. Durant toute la semaine du 19 janvier, Christopher Ngoyi s’était démené, pour organiser des activités démontrant l’expression de la population devant le dossier engageant toute l’avenir de la nation RD Congolaise.

Sévère répression

La répression est sévère : 36 personnes, dont un agent de police, sont tuées à Kinshasa Une vingtaine de victimes ont été touchées mortellement par des balles de la police et de la garde républicaine. C’est ainsi qu’en date du 21janvier 2015 que Christopher Ngoyi a été enlevé vers le 20h00 dans la commune de Kalamu et gardé dans les geôles de l’Agence Nationale des Renseignements. Il a été présenté officiellement devant la presse tant nationale et internationale en présence du Vice Premier Ministre et Ministre de l’intérieur et a été mis à la disposition de la justice, au parquet Général de Matete ; transféré à la prison Centrale de Makala trois jours après.
Par GODE KALONJI MUKENDI

Malaise à la chancellerie des Ordres Nationaux : La délégation syndicale saisit Matata Ponyo

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 Malaise à la chancellerie des Ordres Nationaux : La délégation syndicale saisit Matata Ponyo

Un climat très malsain règne actuellement à la chancellerie des Ordres nationaux dont le responsable, le général Shulungu pour ne pas le citer, se croit tout permis et va jusqu’à proférer des menaces et insultes à l’endroit des syndicalistes de ce service public de l’Etat.
Cela après le mémo que ces derniers ont adressé au président de l’Assemblée nationale le 04 décembre 2014 et dans lequel ils dénoncent des actes de mégestion à la chancellerie des Ordres nationaux.

Au lieu de réunir les représentants des travailleurs de la chancellerie pour tenter de dissiper les discordances, le chancelier des Ordres nationaux, le général Shulungu, a préféré verser dans l’abus de pouvoir en chassant le président de la Délégation syndicale comme un chien et sous une pluie battante. Pourtant, ce responsable syndical est le partenaire attitré du chancelier après les élections syndicales démocratiquement organisées au sein de l’Administration publique, dont les délégués ont été d’ailleurs installés par Arrêté signé par le ministre de la Fonction Publique !

Climat malsain

Ce climat malsain au sein de la chancellerie des Ordres nationaux vient d’être porté à la connaissance du Premier ministre Augustin Matata Ponyo, avec copies pour information au président de la République et aux présidents des deux Chambres du Parlement (l’Assemblée nationale et le Sénat) à travers une correspondance datée du 02 mars 2015 que le président de la Délégation syndicale par Soza Duba, vient d’adresser à l’actuel locataire de la Primature.

La lettre indique aussi que les cadres de l’administration de la chancellerie ont décidé de ne plus participer aux réunions convoquées par le chancelier suite aux menaces de mort que celui- ci a proférées à l’endroit des représentants de travailleurs de ce service de l‘Etat.

Les agents et cadres de l’administration de la chancellerie (institution de distinction rattachée au Présidence de la République) qui se sentent abandonnés à leur triste sort sollicitent, par cette démarche, la prompte implication du Premier ministre Augustin Matata Ponyo, avant qu’ils n’envisagent l’organisation d’un sit-in à l’instar des agents des autres services de l’Etat.

Selon les sources syndicales, la chancellerie fonctionne sans respecter les principes élémentaires de la bonne gouvernance. Pour preuve, ajoutent-elles, les fonds débloqués par le
Trésor pour le fonctionnement de la chancellerie sont répartis au gré des humeurs de ‘autorité qui s’attribue toujours la part du lion, laissant des miettes à l’administration, soit un million de FC sur les 5 millions de FC alloués mensuellement. Et la raison sans cesse avancée par l’autorité demeure les interminables travaux de peinture réalisés sur les installations de la Chancellerie des Ordres Nationaux.

Mauvaise gestion

Les syndicalistes déplorent aussi la mauvaise gestion des indemnités kilométriques dont le personnel administratif ne bénéficie pas malgré l’approvisionnement mensuel en carburant. Idem aussi pour le don de véhicules pick up de marque Nissan reçus par la

Chancellerie et qui a plus profité aux membres du cabinet du chancelier, alors que trois des cinq directeurs sont toujours à pied. Ils reprochent par ailleurs à l’officier supérieur d’avoir supprimé le comité, des femmes.

Un flou serait aussi entretenu sur les fonds générés par les antennes provinciales de la chancellerie et qui sont transférés à Kinshasa. Voilà quelques exemples sur tant d’autres qui témoignent du mauvais climat social qui règne actuellement à la chancellerie des Ordres nationaux. Le Premier ministre Matata est donc averti.

Par DMK

Alex Kande à l’écoute des journalistes

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Alex Kande à l’écoute des journalistes

L’Union Nationale de Presse Congolaise (UNPC) section Kasaï-Occidental veut obtenir du Chef de l’exécutif un
accompagnement. C’est dans cette optique que le gouverneur de la province du Kasaï-Occidental, Alex Kande Mupompa s’est entretenu avec la délégation l’UNPC/Kasaï-Occidental conduite par leur président Adelly Crispin Kabasubabo. Chez Kande, ces professionnels des médias ont demandé à ce que le gouverneur leur trouve un espace où ils peuvent travailler. Aussi de les soutenir pour leur permettre de mener à bon port la prochaine tournée que l’Union Nationale de la Presse au Congo compte entreprendre. Selon son président sectionnaire, c’est une tournée qui va permettre aux animateurs de l’UNPC Kasaï-Occidental de vulgariser les lois qui régissent la presse en RD-Congo et la déontologie des journalistes. Ce qui témoigne que la section UNPC de ce coin de la République a remarqué des insuffisances dans la manière de faire des professionnels des médias du Kasaï-Occidental. De nos sources à Kananga, nous apprenons que le gouverneur Alex Kande est resté réceptif et a promis d’agir tenant compte des moyens de son gouvernement provincial. Une façon pour cet élu national passé
gouverneur de province de dire aux professionnels des médias de sa province qu’il les a écoutés. La réponse de
l’exécutif provincial s’est accompagné vite des réactions de la part du gouvernement provincial. Quelques
heures après la rencontre UNPC-Kande, le ministre provincial de l’Information, Willy Bilenge a entamé des discussions avec le comitédirecteur de l’Union Nationale de la Presse au Congo dans un seul objectif de
trouver des voies et moyens pouvant permettre au gouvernement provincial de répondre à leurs différentes
préoccupations.

CHRIS WADOL

Aussitôt que je viens de quitter Marseille, je...

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Aussitôt que je viens de quitter Marseille, je...

Aussitôt que je viens de quitter Marseille, je dans le Thalys pour Bonn..tjrs en first class

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