Quantcast
Channel: AFRIQUE REDACTION . L'information en continu ! Afrique au cœur de l’actualité...Infos News sur la RDC, les brèves de la dernière minute. Synthèse sur l’actu internationale. rdcongo-kinshasa, Nord et Sud KIVU, Kinshasa, Bas Congo, Dongo, Equateur, Maniema, Lubumbashi, les deux Kasai. Rédacteur en Chef : BONGOS Roger
Viewing all 14381 articles
Browse latest View live

Brésil: un autocar tombe dans un ravin, au moins 42 morts


Amérique Latine : L’UNASUR rejette les sanctions américaines contre le Venezuela

Inde : religieuse de 75 ans violée en Inde

La communauté internationale réunie au Japon pour mieux prévenir les catastrophes naturelles

USA : Les toilettes d’un Wal-Mart servaient de laboratoire de cristal meth

Attentats de Paris: le magasin casher rouvre ses portes

Une planche originale d’Astérix vendue aux enchères pour les victimes de Charlie Hebdo

Syrie: Washington doit négocier avec Assad, admet Kerry


La Syrie entre dans sa cinquième année de conflit

SYRIE: LES JIHADISTES AVAIENT CRÉÉ UN « GUANTANAMO » POUR LEURS OTAGES

RDC échec du gouvernement : Insécurité grandissante à Kinshasa. Bandalungwa, une fille échappe à...

Syrie: Washington doit négocier avec Assad, admet Kerry

Russie : Selon Poutine, la Russie était « prête » il y a un an à mettre en alerte ses forces...

RDC: arrestation des leaders de Y’en a marre (Sénégal) et du Balai citoyen(Burkina Faso) . Info RFI

Nigéria: Boko Haram incendie une centaine de maisons


Brésil: 1,5 million de manifestants contre Dilma Rousseff

RDC: Albert Moleka quitte la coquille vide de l’UDPS, une boutique familiale

0
0
RDC: Albert Moleka quitte la coquille vide de l’UDPS, une boutique familiale

L’ancien directeur de cabinet d’Etienne Tshisekedi, Albert Moleka, a quitté l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), le parti de l’opposant historique. Il a fait consigner vendredi 13 mars au greffe comptable du Tribunal de grande instance de Matete le cachet sec et le spécimen de signature du président de ce parti de l’opposition qu’il détenait encore.

« J’ai pris congé de l’UDPS/Tshisekedi après avoir passé 6 ans au sein du cabinet du président Etienne Tshiskedi et après une trentaine d’années d’activités en tant que simple combattant [militant, ndlr]. Je ne fais plus partie de l’UDPS », a annoncé Albert Moleka.

Interrogé sur les raisons de son départ du parti d’Etienne Tshisekedi, il a répondu :

« Je crois qu’il y a un temps pour chaque chose. Il arrive des moments dans la vie où vous pensez, vous sentez que pour pouvoir accomplir votre destinée ou les objectifs que vous vous assignez surtout par rapport à votre pays et par rapport à vos concitoyens, qui demandent que vous changiez de direction afin d’être plus à même d’accomplir les tâches qui vous serons assignées. »

Albert Moleka affirme ne pas avoir créé de nouveau parti politique.

« Je me donne encore un temps de réflexion », fait-il savoir.

Ce qui l’attire le plus, indique-t-il, « c’est de travailler avec et pour la population d’une manière pratique ».

Des activités africains arrêtés à Kinshasa

0
0
 Des activités africains arrêtés à Kinshasa

Les leaders des mouvements sénégalais Y’en a marre, burkinabè Balai citoyen et congolais la Lucha et Filimbi, ont été interpellés ce dimanche après une conférence de presse. Les activistes seraient détenus par les services de renseignements congolais (ANR).

Fadel Barro, leader du mouvement Y’en A Marre à la Conférence de Presse de lancement de Filimbi à Kinshasa © DR

Plusieurs mouvements citoyens africains s’étaient donnés rendez-vous ce dimanche à Kinshasa pour le lancement d’une plateforme congolaise, Filimbi. Des membres du mouvement Y’en a marre, venus de Dakar, de Balai citoyen, du Burkina Faso, ou encore des Congolais de la Lucha, se rencontraient à Eloko Ya Makasi, dans le quartier de Masina. Une conférence qui a tourné court, avec l’arrivée de l’armée (des membres de la Garde républicaine selon certaines sources) et d’hommes en civils, venus interpellés les participants.

Un concert pourtant autorisé

Trois responsables du mouvement sénégalais Y’en a marre, Fadel Barro, Malal Talla, dit « Fou Malade », Alioune Sané et un responsable du mouvement Balai citoyen, Oscibi Ouédraogo, ont été arrêtés. Des artistes et des activistes congolais, présents à la conférence de presse, ont également été interpellés : Miyangu Kiakwama, Floribert Anzuluni, Ben Kelem, Franck Otete et Sylvain Saluseke. Selon nos informations, une quarantaine de personnes ont été arrêtées. Un concert devait avoir lieu à Tshangu après le lancement du tout nouveau mouvement congolais Filimbi. Des festivités, qui avait été autorisées par les autorités congolaises, la scène avait d’ailleurs été installée. Selon les témoins présents sur place, les activistes ont tous été amenés dans les locaux des services de renseignements congolais (ANR).

Les émeutes de janvier encore « fraîches » à Kinshasa

Les « ateliers » citoyens de Filimbi n’ont pas été appréciés par les autorités congolaises, qui voyaient visiblement d’un mauvais oeil la présence sur son territoire de deux mouvements de contestation très populaires. A Dakar, Y’en a marre avait poussé Abdoulaye Wade vers la sortie, et le Balai citoyen de Ouagadougou, avait mis fin à 27 ans de règne de Blaise Compaoré au Burkina. Quant à la capitale congolaise, elle avait essuyé 3 jours de violente manifestation anti-Kabila mi-janvier 2015. Un souvenir encore un peu trop « frais » pour le régime de Kinshasa.

Christophe RIGAUD – Afrikarabia

Les leaders des mouvements sénégalais Y’en a marre, burkinabè Balai citoyen et congolais la Lucha et Filimbi, ont été interpellés ce dimanche après une conférence de presse. Les activistes seraient détenus par les services de renseignements congolais (ANR).

Fadel Barro, leader du mouvement Y’en A Marre à la Conférence de Presse de lancement de Filimbi à Kinshasa © DR

Plusieurs mouvements citoyens africains s’étaient donnés rendez-vous ce dimanche à Kinshasa pour le lancement d’une plateforme congolaise, Filimbi. Des membres du mouvement Y’en a marre, venus de Dakar, de Balai citoyen, du Burkina Faso, ou encore des Congolais de la Lucha, se rencontraient à Eloko Ya Makasi, dans le quartier de Masina. Une conférence qui a tourné court, avec l’arrivée de l’armée (des membres de la Garde républicaine selon certaines sources) et d’hommes en civils, venus interpellés les participants.

Un concert pourtant autorisé

Trois responsables du mouvement sénégalais Y’en a marre, Fadel Barro, Malal Talla, dit « Fou Malade », Alioune Sané et un responsable du mouvement Balai citoyen, Oscibi Ouédraogo, ont été arrêtés. Des artistes et des activistes congolais, présents à la conférence de presse, ont également été interpellés : Miyangu Kiakwama, Floribert Anzuluni, Ben Kelem, Franck Otete et Sylvain Saluseke. Selon nos informations, une quarantaine de personnes ont été arrêtées. Un concert devait avoir lieu à Tshangu après le lancement du tout nouveau mouvement congolais Filimbi. Des festivités, qui avait été autorisées par les autorités congolaises, la scène avait d’ailleurs été installée. Selon les témoins présents sur place, les activistes ont tous été amenés dans les locaux des services de renseignements congolais (ANR).

Les émeutes de janvier encore « fraîches » à Kinshasa

Les « ateliers » citoyens de Filimbi n’ont pas été appréciés par les autorités congolaises, qui voyaient visiblement d’un mauvais oeil la présence sur son territoire de deux mouvements de contestation très populaires. A Dakar, Y’en a marre avait poussé Abdoulaye Wade vers la sortie, et le Balai citoyen de Ouagadougou, avait mis fin à 27 ans de règne de Blaise Compaoré au Burkina. Quant à la capitale congolaise, elle avait essuyé 3 jours de violente manifestation anti-Kabila mi-janvier 2015. Un souvenir encore un peu trop « frais » pour le régime de Kinshasa.

Christophe RIGAUD – Afrikarabia

Cyclone Pam: le président du Vanuatu appelle le monde à l’aide

Irak: lente progression dans la ville de Tikrit, truffée de bombes

Viewing all 14381 articles
Browse latest View live




Latest Images