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Channel: AFRIQUE REDACTION . L'information en continu ! Afrique au cœur de l’actualité...Infos News sur la RDC, les brèves de la dernière minute. Synthèse sur l’actu internationale. rdcongo-kinshasa, Nord et Sud KIVU, Kinshasa, Bas Congo, Dongo, Equateur, Maniema, Lubumbashi, les deux Kasai. Rédacteur en Chef : BONGOS Roger
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RDC: FACE AUX REBELLES RWANDAIS, L’ARMÉE PROGRESSE SANS VRAI COMBAT

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SÉNÉGAL: WADE REMUE CIEL ET TERRE POUR LIBÉRER SON FILS KARIM

CÔTE D’IVOIRE: GRAND-MESSE POUR L’INVESTITURE DU CANDIDAT OUATTARA

France: le Front national arrive troisième aux départementales

MALI: AQMI DÉCAPITE UN CIVIL MALIEN ACCUSÉ DE TRAVAILLER POUR LA FRANCE

Bus Esprit de vie : plus de 2,5 millions de dollars déjà recouvrés

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Bus Esprit de vie : plus de 2,5 millions de dollars déjà recouvrés

Six mois après la mise en circulation des bus dits «esprits de vie», le projet se porte bien. C’est le jugement émis par Justin Kalumba, le ministre des Transports et voies de communication, samedi 21 mars, à l’occasion de l’évaluation de ce partenariat public-privé. D’après lui, l’Etat congolais a déjà recouvré 2,5 millions de dollars qui devront permettre de commander soixante nouveaux bus.

« Le premier lot de 250 bus est totalement en circulation à ce jour. En termes de remboursement nous sommes au-delà de 2,5 millions de dollars américains. Lorsqu’on voudra commander de nouveaux bus avec la contrepartie du gouvernement, nous sommes capables de commander 60 nouveaux bus. Ce qui signifie que le programme a commencé à se recycler. Si nous continuons à être sérieux sur un long terme, nous allons renouveler le parc au niveau de Kinshasa », a déclaré Justin Kalumba.

Pour les 250 minibus octroyés à crédit aux privés, membres de l’APVECO (l’Association des propriétaires des véhicules), le gouvernement congolais avait déboursé un peu plus de 14 millions de dollars.

C’est en septembre 2014 que le gouvernement a accordé les tout premiers bus Hyundai à crédit aux privés pour résoudre de façon progressive la question de la mobilité urbaine à Kinshasa. Les acquéreurs ont versé à l’acquisition 15% des 57 000 dollars américains qu’ils devront payer mensuellement sur une période de quatre ans.

L’appellation « esprit de vie » attribuée à ces véhicules vise à les distinguer des fourgonnettes souvent en mauvais état technique surnommées « esprit de mort » qui relient les différents quartiers de la capitale de la RDC.

Province Orientale: 47 détenus de la prison de Bunia transférés à Osio

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Province Orientale: 47 détenus de la prison de Bunia transférés à Osio

Quarante-sept détenus de la prison centrale de Bunia ont été transférés, samedi 21 mars, à celle de d’Osio à une vingtaine de km de la ville de Kisangani (Province Orientale). Le ministre de l’Intérieur de la Province Orientale, Hubert Molisho qui a assisté à cette cérémonie indique qu’il s’agit d’une première vague de ces prisonniers transférés vers cet établissement pénitentiaire proche du chef-lieu de la Province Orientale.

Selon le ministre, cette politique vise à désengorger la prison centrale de Bunia qui heberge actuellement plus de 1 200 pensionnaires, au lieu d’environ 250.

Au cours du voyage, le gouvernement de la Province affirme avoir prévu la prise en charge alimentaire des détenus.

«La surpopulation, le délabrement de cette prison ne nous permet pas à garder un grand nombre de détenus. Il faut les transférer dans un centre pénitentiaire beaucoup plus sécurisé que celui d’ici», a souligné Hubert Molisho.

Il s’agit d’un programme du gouvernement congolais soutenu par l’Union européenne, la Belgique et la Suède.

Le coordonnateur de ce programme, Hubert Nzakimwena, a indiqué que son organisation vise à soutenir les autorités dans la lutte contre le surpeuplement des maisons carcérales en RDC :

«Le transferts des détenues a été voulu par les autorités. Il est tout à fait normal que nous l’exécutions et nous continuerons à le faire si nous sommes sollicités à ce sens. Le maitre d’œuvre de ce programme, c’est le ministre de la Justice ».

Exécuté depuis 2012 dans les deux Kivu, l’Ituri, le cout total de ce programme de 18 millions d’euros.

Elections provinciales : la date de dépôt des candidatures approche

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Elections provinciales : la date de dépôt des candidatures approche

La Commission électorale nationale indépendante (Ceni) s’active pour commencer à recevoir les candidatures aux élections provinciales, à partir du 15 avril, conformément son calendrier électoral. Pendant ce temps, certains partis de la majorité présidentielle se disent prêts pour ce rendez-vous, alors certains opposants continuent de rejeter ce calendrier le jugeant incohérent et irréaliste.

«Nous avons toujours été près pour les élections parce que nous, nous croyons aux vertus démocratiques. Et le PPRD est en train de se préparer sérieusement et surtout pour les élections locales provinciales, législatives présidentielles. Donc, toutes ces élections sont prises au sérieux par le PPRD qui respecte le calendrier de la Ceni», déclare Gaston Musemena, cadre de la Majorité présidentielle.

De son côté, Me Alexis Lenga, secrétaire général du MLC en charge des fédérations affirme que l’opposition reste vigilante et peaufine également ses stratégies quant au processus électoral.

«En 2011, le MLC avait aligné les candidats députés provinciaux jusqu’au niveau local. Le MLC ne peut qu’actualiser la liste électorale pour ses candidats qui étaient préparés bien avant 2011», a-t-il indiqué.


Province Orientale: paralysie des services publics à Baye

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Province Orientale: paralysie des services publics à Baye

Les activités tournent, depuis trois jours, au ralenti dans les services étatiques de Baye, poste d’encadrement administratif dans le territoire de Bondo, à plus de 500 km de Kisangani (Province Orientale). Le chef de poste de mines de Baye accuse des agents et fonctionnaires de cette contrée d’avoir abandonné leurs bureaux pour chercher de l’argent d’une autre manière dans un puits d’or découvert reccemment.

La société civile locale qui dénonce ce mouvement irrégulier des agents de l’Etat vers les carrières d’or affirme qu’il s’agit notamment des services de l’environnement, de la DGM, des hydrocarbures, de la police ainsi que l’armée.

Selon la même source, une fois qu’il y a découverte d’un puits d’or dans cette contrée, ces agents ont l’habitude d’abandonner leurs postes de travail pour se présenter dans les carrières d’exploitation artisanale d’or.

Ces agents obtiennent illégalement quelques grammes d’or auprès des creuseurs artisanaux. Le chef de poste de Mines à Baye qualifie d’inacceptable cette situation.

Pour lui, la présence d’un grand nombre d’agents de l’Etat dans les foyers miniers perturbent le bon fonctionnement des activités et poussent certains exploitants artisanaux à travailler dans la clandestinité.

A (re) Lire: Province Orientale: les militaires quittent une carrière minière à Baye

Selon ce responsable des Mines, certains des agents de l’Etat qui avaient abandonné leurs postes de travail ont commencé à y retourner petit à petit vendredi et d’autres sont encore la carrière d’or.

On rappelle que quatre personnes avaient trouvé la mort, en septembre 2014, dans le foyer minier de Matali, au poste d’Etat de Baye, en territoire de Bondo.

Selon l’administrateur de ce territoire, Floribert Ekili, une seule personne seulement était sortie indemne dans cet accident.

Muzito : la RDC, un Etat sans provinces

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Muzito : la RDC, un Etat sans provinces

Tout et son contraire aura été dit sur le découpage territorial. Des débats jusqu’ici aussi passionnés que désincarnés s’emparent du microcosme politique.

Prenant l’exact contrepied de ce magma de polémiques d’où sort plus de chaleur que de lumière, un acteur politique de premier plan doublé d’économiste analyse froidement la problématique de l’installation de nouvelles provinces. Ce, à l’aune à la fois de l’expérience du régionalisme constitutionnel en cours avec les 11 provinces et en faisant des projections sur les capacités contributives réelles des futures provinces.

Chiffres et tableaux à l’appui, Adolphe Muzito, c’est de lui qu’il s’agit, ne tombe ni dans un optimisme béat ni non plus dans un pessimisme de principe. L’ancien Premier ministre et ministre du Budget sait de quoi il parle lorsqu’il met en garde contre d’autres coquilles vides à l’instar des 11 provinces et des Entités territoriales décentralisées (ETD) actuelles.

L’existence effective d’une province s’appréhende à travers la réalité des pouvoirs et des compétences que lui confère la Constitution ainsi que des ressources financières que celle-ci lui a dévolues.
Dans la perspective de l’installation des nouvelles provinces, la problématique aujourd’hui nous conduit à évaluer :
1) Où le pays en est avec son programme de régionalisme constitutionnel et de la décentralisation avec les 11 provinces actuellement opérationnelles.
2) Dans quelle mesure le passage aux 26 provinces peut s’enrichir de l’expérience des 11 actuelles.
Cette évaluation peut se faire à travers :
1) la mise en place des lois et textes réglementaires comme cadre de référence pour la matérialisation du processus du régionalisme constitutionnel et de la décentralisation ;
2) les transferts par le Gouvernement central au profit des provinces et des entités décentralisées, des pouvoirs leur dévolus par la Constitution, principalement dans les domaines de compétences exclusives, à savoir : l’enseignement primaire et secondaire, l’agriculture, la santé et les affaires coutumières ;
3) la rétrocession des 40 % des recettes à caractère national, par le Gouvernement central aux provinces et ETD en couverture :
» des dépenses de fonctionnement des institutions provinciales et des ETD ;
» des dépenses des rémunérations du personnel de l’EPSP, de l’Agriculture, de la Santé et des Affaires coutumières ;
» des dépenses d’investissements se rapportant à ces 4 domaines de compétences exclusives.
Les constats à ce jour sur toutes ces questions sont les suivants :
1) En matière de mise en place de lois et textes réglementaires comme cadre de référence
Les 11 provinces et les entités territoriales décentralisées ne disposent pas encore d’un cadre légal pour le recrutement et la carrière de leur personnel au sein de la fonction publique provinciale ou locale.
Jusqu’à ce jour, les provinces fonctionnent sans caisse de péréquation nécessaire pour le financement des investissements dans les provinces à faible capacité fiscale contributive.
Le statut des chefs coutumiers, maillons importants dans la mise en œuvre apaisée de la décentralisation, n’est pas encore défini.
Dans de nombreux cas, les lois publiées doivent encore connaître des mesures d’application par voie réglementaire.
2) En matière de transfert des pouvoirs par le Gouvernement central au profit de provinces.
Les provinces sont restées à ce jour toujours privées de leurs pouvoirs politiques et administratifs tels que leur dévolus par la Constitution.
Comme dit ci-haut, la loi sur la fonction publique provinciale n’est toujours pas édictée par les instances nationales.
Il s’en suit que, les provinces ainsi que les entités administratives décentralisées, ne disposent toujours pas de leurs personnels propres. Elles utilisent toujours les personnels des services décentrés de l’Etat, même pour les domaines relevant de leur compétence exclusive.
Le Gouvernement central, à travers ses Ministres de la Santé, de l’Enseignement primaire et secondaire, de l’Agriculture et en charge des affaires coutumières, continue à gérer lesdits pouvoirs.
C’est ainsi que, les pouvoirs de nomination, de révocation, de promotion des personnels de ces quatre secteurs ainsi que ceux de fixation des salaires, de mécanisation, d’engagement, de liquidation et d’ordonnancement de ceux-ci pour les enseignants, les médecins, les infirmiers, les agronomes, les chefs de groupement, etc. relèvent toujours du Gouvernement central.
Cette concentration du pouvoir par le Gouvernement central rend inefficace son action et alourdit les procédures administratives et affaiblit l’action de l’Etat sur le social, domaines de prédilection des provinces.
Il en est de même de la gestion, de la construction et de la réhabilitation des hôpitaux, des écoles et des centres agro-pastoraux ainsi que des routes de dessertes agricoles et des crédits budgétaires y relatifs. Cet état des choses conduit à l’accaparement des ressources budgétaires par Kinshasa et à sa substitution aux pouvoirs locaux pour bien d’initiatives.
3) En matière de rétrocession de 40% des recettes à caractère national, par le Gouvernement central au profit de provinces :
Sur un montant total représentant le 40 % des recettes à caractère national, montant inscrit au budget de l’Etat chaque année et dû aux provinces et entités décentralisées, celles-ci ne reçoivent en moyenne que de 10%.
La quasi-totalité restante est toujours gérée par le Gouvernement central, elle se rapporte aux crédits d’investissement au profit des provinces et entités décentralisées et aux salaires se rapportant à leurs domaines de compétence exclusive (enseignants, personnels de la santé, de l’agriculture et des affaires coutumières).
En effet, dans la période allant de 2011 à 2015, le Gouvernement Central a alloué chaque année, aux provinces, au titre de crédit de fonctionnement (au profit des rémunérations et fonctionnement de membres des gouvernements provinciaux, des assemblées provinciales et de toutes les entités décentralisées) sur les 40% de recettes à caractère national, un montant fixe de 214 milliards de Francs congolais (241 milliards de Francs congolais en 2015) et ce, malgré l’accroissement de recettes courantes durant la même période, lesquelles sont passées de 3.067 milliards de Francs congolais en 2011 à 5.392 milliards de Francs congolais en 2015, soit un accroissement de 76%.
Ainsi, avec un taux moyen d’exécution budgétaire de 80% de crédits relatifs à la rétrocession, les provinces ne bénéficient que de 9% de leur part de recettes à caractère national, le reste de l’enveloppe (Rémunérations de secteurs à compétence exclusive et investissements) étant géré par le Gouvernement Central.
S’il faut tenir compte du fait que ces crédits servent à financer les dépenses de fonctionnement, les rémunérations du personnel politique et la rétrocession aux ETD, le non réajustement de ces crédits depuis 3 ans préjudicie les ETD qui sont privées de moyens de fonctionnement.
Ce qui est dit ci haut est illustré dans les tableaux ci-après :
Comme on le voit, si les provinces globalement ont encaissé ou géré en 2011 6% des ressources à caractère national au lieu de 40 %, dans la suite de la période allant de 2012 à 2015, elles n’ont encaissé qu’environs 4%.
Le Gouvernement central prévoit de gérer en 2015, pour compte des provinces, les 1.791 milliards de francs congolais, au titre des crédits de rémunérations (688 milliards de francs congolais) et d’investissements (1.103 milliards francs congolais).

Que peut-on conclure ?
10 ans après, nous pouvons conclure à un demi-échec du programme de mise en place du régionalisme constitutionnel et de la décentralisation en faveur de 11 provinces actuelles et de leurs ETD, qui sont restées des coquilles vides, sans pouvoir et sans ressources financières.
Cet état de chose est dû, moins à une incapacité technique des dirigeants et de leurs experts, qu’à l’absence :
- de volonté politique ;
- de culture démocratique caractérisée par la propension des dirigeants nationaux à concentrer et à centraliser le pouvoir ;
- de vision politique.
Dans ces conditions, le passage de 11 à 26 provinces est-il opportun ?
Nous serons tenté de dire oui, mais sous réserve d’une nouvelle vision comme gage d’un transfert réel des pouvoirs et des ressources au profit des provinces et de leurs ETD. Car, il ne servirait à rien de continuer à créer de provinces-coquilles vides.
Quels préalables pour la nouvelle étape ?
Au delà de procédures administratives et politiques prévues par la loi de programmation portant modalités d’installation des nouvelles provinces, il existe des préalables de fond qu’il faut remplir pour un meilleur passage de 11 à 26 provinces.
Nous en parlerons à la prochaine édition. Adolphe MUZITO

Ngaliema : Des » lampes chinoises » pour pallier l’insuffisance de l’électricité

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 Ngaliema : Des  » lampes chinoises  » pour pallier l’insuffisance de l’électricité

A Ngaliema, des » lampes chinoises » sont de plus en plus utilisées. Le recours à ces lustres fonctionnant à piles et à la portée de toutes les bourses se justifie par les délestages du courant électrique dont les quartiers de cette commune de Kinshasa sont sevrés. Chaque jour qui passe, des magasins appartenant aux Chinois épuisent plusieurs stocks parfois au grand bonheur des revendeurs.

» L’électricité devient un jeu de lumière « . C’est en ces termes que les populations de Ngaliema qualifient le courant. Plusieurs quartiers de ce coin de la capitale ne vivent qu’au rythme des délestages. La saturation des câbles, l’approvisionnement de plusieurs foyers par une seule ligne d’énergie…, à en croire certains agents de la Société nationale d’électricité (Snel) œuvrant dans cette partie de la ville, expliquent que les populations ne soient pas bien servies en électricité.
M. Claude Muyamuna, vendeur dans une boucherie, déclare que le courant à Ngaliema n’est pas stable. » Nous avons plusieurs lignes d’électricité pour garder les vivres frais pour gagner notre clientèle et pour que nos marchandises ne pourrissent pas » fait-il savoir. Quant à Mme Chantal Mayamba, mère de famille et commerçante » le seul moyen de résoudre l’instabilité de l’électricité c’est de donner les moyens à la Snel. Il ne faut pas que nous la population nous multiplions des stratégies pour avoir à tout prix du courant « .
Bien que Ngaliema connaisse plusieurs jours de délestage mensuellement, le montant des factures de la Snel ne baissent pas. » Le montant est toujours très élevé pendant que la consommation du courant est faible « , fait remarquer Cedrick Zola, étudiant à l’UPN. « Nous payons chaque mois environ 12.000 fc et de fois la Snel va au-delà alors que nous recourons souvent à la braise pour faire la cuisine « , reconnaît Mme Georgine Ditina.
Nos efforts d’interroger les responsables de la Snel à la Direction de Binza/Ozone se sont avérés nuls dans la mesure où ils n’ont pas voulu répondre à nos questions. Néanmoins, certaines sources ont affirmé que la Société d’électricité s’attèele à remedier au manque de courant à Ngaliema. D’ailleurs, précisent-elles, « d’importantes quantités de disjoncteurs, câbles, transformateurs… seront bientôt mise, à la disposition des agences de la Snel dans la commune « . il serait aussi prévu l’identification de toutes les maisons connectées à l’électricité, l’augmentation des points de secours ou points de sectionnement (PS) qui délimitent les pannes. Sarah NDOMBELE/ Stagiaire/UPN

Barumbu et Kinshasa sont parmi les coins de…

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 Barumbu et Kinshasa sont parmi les coins de…

Barumbu et Kinshasa sont parmi les coins de la capitale où l’eau courante ne manque. A l’occasion de la journée mondiale de l’eau, célébrée le 22 mars de chaque année, la population de ces des deux communes témoigne. Micro-baladeur.

Au moment où certains coins de la ville de Kinshasa connaissent les difficultés d’accès à l’eau potable, les habitants des communes de Barumbu ainsi que Kinshasa se réjouissent. » Je ne peux jamais quitter cette commune car depuis que j’habite ici, je n’ai jamais vu l’eau sécher le robinet sauf en cas de travaux. On ne nous laisse pas plus de deux jours sans eau « , affirme Meda Kanyinda, ménagère de 35 ans.
« Sincèrement, je ne savais pas qu’il y a un coin de cette ville où l’on ne pouvait jamais manquer l’eau « , s’exclame pour sa part Josée Lukweji, 47ans. « Du côté où nous habitions, mes enfants et moi, étions tous les jours obligés d’interrompre le sommeil autour de 1heure voire 3heures du matin pour recueillir les gouttelettes d’eau qui essayaient de suinter du robinet », dit-elle. » Depuis que nous avons aménagé dans la commune de Kinshasa, nous sommes tous soulagés du problème d’eau parce que ça devenait plus qu’une corvée surtout pour mes garçons », confie la mère de famille.
Vêtu en bleu de travail, Jean Nsela, 56 ans, lavandier chez un médecin de Barumbu affirme l’air satisfait, » J’ai quitté mon ancienne patronne dans la commune de Ngaliema simplement parce que j’étais tout le temps contraint d’aller chercher de l’eau à une source du quartier avant de faire les travaux ménagers. A Kinshasa et Barumbu on ne manque presque jamais l’eau « , constate-t-il.
Louison Mukendi, 65 ans. « Je ne peux pas aller travailler dans des communes autres que celles de Barumbu ou Kinshasa à cause de l’eau « , avance-t-il. Cuisinier d’un restaurant se trouvant dans la commune de Barumbu, Louison confie » dans mon métier, je supporte très mal m’inquiéter de la quantité d’eau que j’ai en réserve. J’aime cette commune particulièrement parce que je peux facilement laver mes légumes directement à l’eau qui coule au robinet que de puiser dans un récipient… »
S’il y a des endroits dans cette ville qui ne connaissent pas la pénurie d’eau, figurent les communes de Kinshasa, Barumbu, Lingwala.
Pendant que les habitants des communes de Kinshasa et de Barumbu témoignent ne jamais maquer d’eau, ailleurs les Kinois et Kinoises dépensent de l’argent pour s’en a procurée. Lady SIFA

Le ministre de la Santé lance la 2ème phase du programme « Ecole et village assainis »

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Le ministre de la Santé lance la 2ème phase du programme « Ecole et village assainis »

« Eau potable et développement durable » et « les politiques publiques cohérentes et coordonnées pour une gestion rationnelle de l’eau », c’est sous ces deux thèmes international et national que le monde a célébré hier dimanche 22 mars, la journée mondiale de l’eau.

A cette occasion, le ministre de la Santé publique a lancé la deuxième phase du « Programme Ecoles et villages assainis » PEVA, en présence de son collègue de l’Energie et ressources hydraulique et de plusieurs partenaires du secteur. Cette cérémonie a eu pour cadre Béatrice Hôtel, le vendredi 20 mars dernier.
La célébration de la journée mondiale de l’eau a coïncidé avec le lancement de la deuxième phase du PEVA. Félix Kabange Numbi a dressé un tableau sombre concernant l’accès à l’eau potable, à des installations hygiéniques propres bien qu’il y a quelques avancées au pays.
Selon le numéro 1 de la Santé, la proportion a augmenté s’agissant de l’accès à une source d’eau potable 50,4%. Quant aux populations qui utilisent des installations améliorées, beaucoup d’efforts doivent être fournis, a souligné le ministre de la Santé, 25, 5% seulement. Concernant les maladies hydriques telles que le cholera et la diarrhée, le ministre Félix Kabange indique que les statistiques sont positives. Le cas de la diarrhée sanglante qui est partie de plus de 20 milles cas en 2013, plus de 25 milles en 2014, pour chuter à plus de 3 milles cas pour le premier trimestre 2015.
C’est ainsi que le ministre de la santé a recommandé que le PEVA soit introduit dans les villages qui ont été touchés par la maladie à Virus à Ebola à Djera en province de l’Équateur.
Abordant la deuxième phase du PEVA, Félix Kabange a déclaré la lutte contre les maladies hydriques. D’après lui, la 2ème phase de PEVA doit améliorer la première en tenant compte de la maintenance des ouvrages, du contrôle technique et du rendement et suivi. Mathy MUSAU

Gouvernement et Intersyndicale d’administration publique d’accord pour la convocation de la commission mixte

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 Gouvernement et Intersyndicale d’administration publique d’accord pour la convocation de la commission mixte

Le ministre de la Fonction publique, Jean-Claude Kibala a eu samedi 21 mars dernier Salon Rouge du ministère des Affaires étrangères des échanges avec les délégués de l’Administration publique représentés par l’Inter syndicat de ladite Administration (INAP). A l’issue de ces échanges, le Gouvernement et le Banc syndical se sont mis d’accord pour la convocation avant le 27 mars de la commission mixte paritaire.

Au cours de ces échanges, le ministre Kibala a d’abord communiqué à l’INAP un certain nombre de problèmes en rapport avec le retard de la convocation de la commission paritaire. Pour lui, un des éléments techniques dans le cahier des charges qui devrait être réalisé par le Gouvernement est la rationalisation des primes et des salaires (politique salariale des agents et fonctionnaires de l’Etat). A cette occasion, le patron de la Fonction publique congolaise a fait part à ses interlocuteurs de l’INAP des propositions du Premier ministre Augustin Matata. A en croire le ministre Kibala, le Premier ministre est d’avis que cette réunion doit se tenir. Car, ce n’est pas seulement le point sur la radicalisation qui sera débattu, mais aussi plusieurs questions doivent être discutées au cours de cette réunion avec les syndicalistes.
Le président de l’INAP, Fidèle Kiyanga a informé le ministre que le seul souci des agents et fonctionnaires de l’Etat reste la convocation de la commission paritaire avant le 27 mars 2015. Car, l’INAP avait prévu à cette date la tenue de l’assemblée générale avec les agents et fonctionnaires de l’Etat.
« Nous souhaitons que la Commission paritaire soit convoquée avant le 27 mars prochain. Que le Premier ministre fasse violence pour son ouverture solennelle et après nous mettrons en place une commission par rapport aux matières qui seront traitées. Les commissions que nous allons mettre sur pied auront un timing de sorte qu’après débats, les délégués rentreront pour nous donner les conclusions de chaque commission », a déclaré le président de l’INAP.
Du côté du ministre Kibala, il s’est dit disponible. Il était d’accord pour la convocation de cette commission paritaire. C’est pour quoi il a demandé à l’INAP qu’il lui répondra demain mardi 24 mars. Alfred LUKAMBIL

1er tour des élections départementales 2015: Allocution de Manuel Valls, Premier ministre


SÉNÉGAL: KARIM WADE CONDAMNÉ À SIX ANS DE PRISON POUR « ENRICHISSEMENT ILLICITE »

APRÈS EBOLA, LA ROUGEOLE MENACE DE FONDRE SUR LE LIBERIA

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RDC : A LWIRO, LA RECHERCHE CONGOLAISE NE MANQUE PAS D’ENTHOUSIASME MAIS DE MOYENS

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AU GABON, QUAND LES GORILLES COHABITENT AVEC L’HOMME

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