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Etats-Unis : L'armée de Terre va supprimer 40 000 postes de militaires http://t.co/H0R8xaGRNV AFRIQUE REDACTION.TV (@afriqueredac) July 08, 2015 journal en ligne traitant l'actualité africaine et international en toute liberté et objectivité. Les informations...

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Le sud de l'Algérie touché par des violences intercommunautaires http://t.co/dRdgZX87k1 AFRIQUE REDACTION.TV (@afriqueredac) July 08, 2015 journal en ligne traitant l'actualité africaine et international en toute liberté et objectivité. Les informations...

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Le Soudan du Sud a quatre ans, dont 18 mois de guerre http://t.co/MpxUXiSZQT AFRIQUE REDACTION.TV (@afriqueredac) July 08, 2015 Le Soudan du Sud marque jeudi le quatrième anniversaire de son indépendance affublé d'un triste qualificatif de l'ONU : le...

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Berlusconi condamné à trois ans de prison http://t.co/xiTMo8TCat AFRIQUE REDACTION.TV (@afriqueredac) July 08, 2015 journal en ligne traitant l'actualité africaine et international en toute liberté et objectivité. Les informations en continu, des brèves...

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France: nouvelle victoire pour Jean-Marie Le Pen http://t.co/0FVWaVlcRn AFRIQUE REDACTION.TV (@afriqueredac) July 08, 2015 La justice française a infligé mercredi un nouveau revers à la présidente du Front national, Marine Le Pen, dans le combat qui l'oppose...

Le grand defi : Retour de Denis Mukwege, le docteur qui soigne les femmes violées

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Retour de Denis Mukwege, le docteur qui soigne les femmes violées

Crée le 15-01-2013 18H00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le mardi 15-01-2013 - 18H40 PAR : ARTV NEWS

Le gynécologue Denis Mukwege, réputé pour son aide aux nombreuses femmes violées dans l'Est de la République démocratique du Congo, et qui avait quitté la ville après une tentative d'assassinat à Bukavu (est), est rentré lundi dans son pays, a constaté l'AFP.

Retour de Denis Mukwege, le docteur qui soigne les femmes violées

 

© AFP. Le gynécologue Denis Mukwege à son retour en République démocratique du Congo, le 14 janvier 2013

Le Dr Mukwege avait été agressé le 25 octobre et l'un de ses domestiques avait été tué. Il s'était réfugié en Suède puis en Belgique, où il séjournait avec sa famille jusqu'à son retour.


Cette agression avait provoqué de vives condamnations locales et internationales. Une enquête a été ouverte.


A son arrivée le médecin a expliqué qu'il était revenu pour dire" non à la violence sexuelle, non à la guerre et non à la balkanisation de la RDC". "Toute la communauté internationale est derrière nous" a-t-il ajouté après avoir passé plusieurs semaines en Europe.


Lundi matin, des milliers d'habitants de la ville - portant notamment des tee-shirts sur lesquels on pouvait lire "Bienvenue Dr Mukwege" - sont allés accueillir le médecin à l'aéroport de Kavumu, à une vingtaine de kilomètres du centre-ville, a constaté l'AFP.

Des calicots avec pour message "Nous réclamons la paix et la justice dans l'unité", "Nous réclamons le retour sans condition du Dr Mukwege", ou encore "Bienvenue chez toi, Dr Mukwege" ont été accrochés sur les grandes artères de la ville.

La Mission de l'ONU pour la stabilisation de la RDC (Monusco) a mis en place un "dispositif spécial composé de notre police et de nos militaires"," pour accueillir le médecin, a dit à l'AFP Madnodje Mounoubai, porte-parole de la Monusco. Ce dispositif a escorté le Dr Mukwege chez lui avec la police nationale, selon le porte-parole.

Le médecin avait conditionné en novembre son retour à l'assurance d'une "sécurité suffisante".

"Nous allons renforcer les patrouilles que nous faisons (...) autour de son domicile et autour de l'hôpital de Panzi", a expliqué Madnodje Mounoubai.

"Les autorités provinciales ont promis une garde au médecin et il ne traitera plus seul les malades: il sera toujours assisté par un assistant (...) pour sa sécurité", avait pour sa part indiqué samedi à la presse Antoine Nfundiko, médecin-directeur par intérim de l'hôpital.

Il avait ajouté que le gynécologue serait logé "au sein de l'hôpital de Panzi dès son retour à Bukavu" et qu'il serait toujours en présence d'un assistant.

Denis Mukwege a fondé l'hôpital et la fondation de Panzi pour aider les femmes violées dans l'Est de la RDC. Chaque année, le programme de lutte contre les violences sexuelles, le plus important de l'hôpital, reçoit 3.000 femmes.

Son nom a été suggéré plusieurs fois pour le Prix Nobel de la paix. Il a notamment reçu le prix de l'ONU pour les droits humains

Centrafrique : La rébellion confirme le choix de Tiangaye comme Premier ministre

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Crée le 15-01-2013 18H00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le mardi 15-01-2013 - 18H40 PAR : ARTV NEWS

La rébellion du Séléka a confirmé mardi la désignation par l'opposition - démocratique et armée - de l'avocat Nicolas Tiangaye comme futur Premier ministre du gouvernement d'union nationale de la Centrafrique, ouvrant la voie à sa nomination par le président François Bozizé.

Centrafrique : La rébellion confirme le choix de Tiangaye comme Premier ministre

 

© AFP Guy-Gervais Kitina. L'avocat Nicolas Tiangaye s'adresse à la presse après une rencontre avec le président congolais Denis Sassou Nguesso le 15 janvier 2013 à Brazzaville

 


"Nous venons de confirmer (le choix de) M. Tiangaye comme Premier ministre. C’est le futur Premier ministre, il n’y a plus d’objection", a déclaré le chef du Séléka Michel Djotodia à sa sortie à Brazzaville d'une audience avec le président congolais Denis Sassou Nguesso, qui dirige le Comité de suivi de l'accord de paix de Libreville.

Les négociations dans la capitale gabonaise avaient réuni la semaine dernière le pouvoir, l'opposition politique et les rebelles qui avaient conquis une grande partie du pays après leur soulèvement le 10 décembre.

L'accord de sortie de crise signé vendredi à Libreville prévoit "un nouveau Premier ministre issu de l'opposition". Dimanche soir, Josué Binoua, le ministre de l'Administration territoriale du gouvernement démis la veille, avait déclaré que le président Bozizé, informé de la désignation de Me Tiangaye par l'opposition démocratique, attendait d'être informé "par écrit" du nom proposé par les rebelles avant de le nommer.

L'annonce depuis Brazzaville après une entrevue avec Denis Sassou semble donc lever le principal obstacle à la nomination de Me Tiangaye, "le président Bozizé jouant un peu sur les mots pour retarder la nomination de Tiangaye qu'il n'apprécie pas", a souligné un observateur avisé.

"Nous sortons de cette entrevue avec beaucoup d’optimisme quant à l’avenir de notre pays. Il n’y a plus de dissensions parce que l’accord de Libreville a prévu que le Premier ministre doit être issu de l’opposition démocratique et l’opposition démocratique m’a désigné à l’unanimité. Cela a été approuvé par la coalition Séléka", a commenté Me Tiangaye.

"Je vais rentrer avec le Séléka à Bangui qui va confirmer la proposition faite par l’opposition démocratique", a-t-il précisé.

De source de la délégation de Me Tiangaye, les rebelles et lui rentreront mardi en fin d'après-midi à Bangui.

Depuis Paris, Guy Simplice Kodegue, ancien porte-parole du président défunt Ange-Félix Patassé, s'est aussi rangé à ce choix, assurant "apporter personnellement un appui politique sur le fond à la candidature de Nicolas Tiangaye" bien que " la procédure de désignation n'a pas été respectée".

Toutefois, l'ancien ministre de la Défense Jean-Jacques Demafouth, qui a dirigé le comité de suivi des accords de Démobilisation, désarmement et réinsertion (DDR) des anciens combattants, a jeté un pavé dans la mare, en se proposant "comme recours".

Il affirme être soutenu par d'ex-rebelles adhérant aux anciens accords de paix (opposition politico-militaire non combattante) et des partis politiques ne faisant pas partie de la coalition d'opposition que M. Tiangaye coordonne et assure que "des hommes sur le terrain sont contre cette nomination".

Selon un observateur, "cette candidature a toutefois peu de chance d'aboutir, le président Sassou devant vraisemblablement appuyer la candidature de Tiangaye conformément à l'accord de Libreville".

Le président Bozizé devrait donc nommer Me Tiangaye dans les heures qui suivent l'arrivée de la délégation opposition-rebelles à Bangui. Selon l'accord de Libreville, il n'aura pas le pouvoir de le révoquer par la suite.

Si des éléments de la rébellion ont maintes fois réclamé le portefeuille de la Défense du futur gouvernement, M. Djotodia s'est montré mesuré: "Le partage des portefeuilles est une échéance à venir. Il est trop tôt pour dire si oui ou non nous réclamons la Défense. Après la formation du gouvernement on verra comment procéder au regroupement et au retrait de nos troupes".

La rébellion, qui n'a pas obtenu le départ de Bozizé et a fait la concession sur le poste de Premier ministre, devrait obtenir sinon ce portefeuille, au moins des ministères clé du futur gouvernement.

Villepin - Mali : Non, la guerre, ce n’est pas la France !

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Crée le 16-01-2013 10H00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le mercredi 16-01-2013 - 10H40 PAR : ARTV NEWS

Gilles Devers

 

photo: francetvinfo.fr
photo: francetvinfo.fr

Vous êtes au gouvernement et les affaires vont mal ? Alors, rien ne vaut une bonne guerre contre le terrorisme. Donc, installez-vous devant une tenture bleu foncé, avec un drapeau pas trop loin, mais un peu en vrac, comme si on était sous un bivouac, et prenez un ton grave pour dire « terrorisme », avec une tête fatiguée comme si vous reveniez du front. Dans la phrase suivante, dites « islamistes », d’un air accablé et en regardant la caméra droit dans les yeux. C’est essentiel. Ensuite, annoncez que vous relevez d’un cran le Plan Vigipirate. Si avec ça vous ne prenez par 5 points dans les sondages, c’est à désespérer.

Hier, il y a eu une centaine de morts dans la bataille - presque égalitaire - entre les bombardements aériens et les 4x4 des djihadistes, et si tout continue à de rythme, on considérera dans quelques jours Monsieur Hollande François comme un chef de guerre... Chacun ses critères, chacun ses choix.

Ma réponse est simple : c’est non ! Ils nous prennent pour des bugnes, mais voyez-vous, on n’est pas obligé de solder son cerveau.  

Ceux qui ces jours-ci sont pourchassés au Nord du Mali sont des crapules, et ils ont signé leur programme : violence, désespoir et partition des Etats. Aucun projet, à part foutre la merde,… et en s’en prenant au Mali, l'un des plus faibles de la région. 200 000 personnes ont fui le Nord du Mali. Oki. Mais qui a instauté leur pouvoir ? 

Pour commencer, un petit coup d'oeil à la carte du Mali...

 

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Placé sur la carte de l'Afrique 

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Connaissez-vous un pays avec des frontières aussi aberrantes, issues de la décolonisation ?

Depuis des années, la crainte était que cet immense Nord devienne incontrôlable, alors que tant de facteurs – climat, population, économie, chasses gardées politiques – le distingue du Sud.

Lors de la très illégale guerre occidentale en Libye, on redoutait que les largages d’armes et le financement des milices armées, conduisent à l’éclatement de la Libye, ou atteignent l’Algérie ou le Niger. Ces pays ont tenus, et les mercenaires sont allés au plus simple : le Nord du Mali. C’est dire qu’on sait d’où ils viennent et qui les a financés. C'est dire qu’ils sont la création des mêmes qui nous chantent aujourd’hui « la guerre contre le terrorisme ». 

La France de Foccart avait adorré le crapuleux Moussa Traoré, de 1968 à 1991, avant de s’accommoder d’Amadou Toumani Touré, vanté comme héros de la démocratie, et aujourd’hui planqué bienheureux avec son trésor au Sénégal. Des pouvoirs soutenus avec ferveur par la France, pour la défense de ses intérets, et peu importe s'ils enselevissaient le pays. 

Aujourd'hui, on reste dans cette lignée. Monsieur Hollande François, qui a fait de beaux discours sur la fin de la Francafrique, a tout avalé en trente secondes pour faire le beau, et voler au secours d’un gouvernement malien en déconfiture. Le jeu sinistre continue.

On ne me piégera pas sur le thème : « Tu aurais préféré les US, les Chinois ou le triomphe des djihadistes ? » Non, je préférerais que la coalition US-GB-France n’ait pas fait le choix de déstabiliser l’Afrique du Nord-Est pour dégager Kadhafi en vue de s’assurer le contrôle du pétrole libyen. Je préfèrerais qu’on respecte les peuples, au lieu d’imposer un ordre venu de l’extérieur, et qui engendre toujours la destruction des sociétés. C'est une leçon permanente, et rapellée dans l’histoire récente depuis le Vietnam. Respecter les peuples, tout le monde sait le faire. Le seul problème, c’est qu’il n’y a pas que de l’eau dans le sous-sol libyen,… alors la vie des peuples devient secondaire.

Sur un sujet qui fait 90% de consensus dans les sondages et alors que nos soldats sont engagés, il ne faut pas attendre la moindre analyse sincère des hommes politiques dans le bain. Mais pour ceux qui sont sortis du bain, ça devient plus intéressant. Et quand il s’agit du premier ministre qui avait signé avec notre ami Chirac le dernier acte fort de la politique étrangère française, en refusant de participer à la guerre en Irak, ça devient très intéressant.

Voici ce texte, publié hier par Dominique de Villepin dans le JDD.

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Non, la guerre, ce n’est pas la France

Le Mali, pays ami, s’effondre. Les djihadistes avancent vers le sud, l’urgence est là.

Mais ne cédons pas au réflexe de la guerre pour la guerre. L’unanimisme des va-t-en-guerre, la précipitation apparente, le déjà-vu des arguments de la "guerre contre le terrorisme"  m’inquiètent. Ce n’est pas la France. Tirons les leçons de la décennie des guerres perdues, en Afghanistan, en Irak, en Libye.

Jamais ces guerres n’ont bâti un Etat solide et démocratique. Au contraire, elles favorisent les séparatismes, les Etats faillis, la loi d’airain des milices armées.

Jamais ces guerres n’ont permis de venir à bout de terroristes essaimant dans la région. Au contraire, elles légitiment les plus radicaux.

Jamais ces guerres n’ont permis la paix régionale. Au contraire, l’intervention occidentale permet à chacun de se défausser de ses responsabilités.

Pire encore, ces guerres sont un engrenage. Chacune crée les conditions de la suivante. Elles sont les batailles d’une seule et même guerre qui fait tache d’huile, de l’Irak vers la Libye et la Syrie, de la Libye vers le Mali en inondant le Sahara d’armes de contrebande. Il faut en finir.

Au Mali, aucune des conditions de la réussite n’est réunie.

Nous nous battrons à l’aveuglette, faute de but de guerre. Arrêter la progression des djihadistes vers le sud, reconquérir le nord du pays, éradiquer les bases d’AQMI sont autant de guerres différentes.

Nous nous battrons seuls, faute de partenaire malien solide. Eviction du président en mars et du premier ministre en décembre, effondrement d’une armée malienne divisée, défaillance générale de l’Etat, sur qui nous appuierons-nous?

Nous nous battrons dans le vide, faute  d’appui régional solide. La Communauté des Etats de l’Afrique Occidentale reste en arrière de la main et l’Algérie a marqué ses réticences.

Un processus politique est seul capable d’amener la paix au Mali.

Il faut une dynamique nationale pour reconstruire l’Etat malien. Misons sur l’union nationale, les pressions sur la junte militaire et un processus de garanties démocratiques et de l’Etat de droit à travers des politiques de coopération fortes.

Il faut aussi une dynamique régionale, en  mobilisant l’acteur central qu’est l’Algérie et la CEDEAO en faveur d’un plan de stabilisation du Sahel.

Il faut enfin une dynamique politique pour négocier en isolant les islamistes en ralliant les touaregs à une solution raisonnable.

Comment le virus néoconservateur a-t-il pu gagner ainsi tous les esprits? Non, la guerre ce n’est pas la France. Il est temps d’en finir avec une décennie de guerres perdues. Il y a dix ans, presque jour pour jour, nous étions réunis à l’ONU pour intensifier la lutte contre le terrorisme. Deux mois plus tard commençait l’intervention en Irak. Je n’ai depuis jamais cessé de m’engager pour la résolution politique des crises et contre le cercle vicieux de la force. Aujourd’hui notre pays peut ouvrir la voie pour sortir de l’impasse guerrière, si elle invente un nouveau modèle d’engagement, fondé sur les réalités de l’histoire, sur les aspirations des peuples et le respect des identités.  Telle est la responsabilité de la France devant l’histoire.

http://lesactualitesdudroit.20minutes-blogs.fr/

Une hôtesse de l'air a le droit d'arborer un signe chrétien

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Crée le 16-01-2013 10H00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le mercredi 16-01-2013 - 10H40 PAR : ARTV NEWS



Une hôtesse de l'air a le droit d'arborer un signe chrétien
La Cour européenne des droits de l'Homme (CEDH) a condamné la Grande-Bretagne pour discrimination envers une hôtesse de l'air de British Airways. Celle-ci s'était vu refuser le droit d'arborer une croix chrétienne.

La cour estime que les tribunaux britanniques, qui ont débouté cette hôtesse anglo-égyptienne de ses recours contre son employeur, n'ont pas ménagé un juste équilibre entre son désir de manifester sa foi et la volonté de la compagnie d'imposer un code vestimentaire. Elle relève que des employés d'autres religions pouvaient au même moment porter un foulard islamique ou un turban sikh et que la croix chrétienne, comme l'étoile de David, ont été finalement autorisées pour les hôtesses de l'air à partir de 2007.

L'hôtesse, qui s'était vu proposer un emploi administratif qu'elle avait refusé, préférant quitter la compagnie jusqu'au changement du règlement survenu quelques mois après son départ, obtient 2000 euros en réparation de son préjudice moral.
Trois autres cas déboutés

Trois autres chrétiens britanniques, qui s'estimaient également victimes de discrimination dans leur vie professionnelle, ont en revanche été déboutés.

Dans le cas d'une infirmière qui se plaignait également de ne pouvoir porter sa croix autour du cou durant ses heures de service, les juges de Strasbourg estiment que les raisons de sécurité invoquées par l'employeur sont plus importantes que son souhait de manifester sa religion.

Leur raisonnement est le même concernant une femme officier d'Etat civil qui refusait de célébrer les partenariats civils entre personnes homosexuelles et une troisième femme, qui refusait de conseiller les couples homosexuels au sein d'une association qui le formait comme psycho-sexothérapeute.

L'un et l'autre mettaient en avant leur droit à "l'objection de conscience" au nom de leur foi chrétienne. "La politique de leurs employeurs poursuivait le but légitime de garantir les droits d'autrui, tels que ceux des couples de même sexe, qui sont aussi garantis par la Convention européenne des droits de l'homme", estime la Cour.

 

http://www.romandie.com/news/n/Une_hse_de_l_air_a_le_droit_d_arborer_un_signe_chren_RP_150120131459-24-306583.asp


En Centrafrique comme, hier, en Côte d’Ivoire ?

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Crée le 16-01-2013 10H00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le mercredi 16-01-2013 - 10H40 PAR : ARTV NEWS

A y regarder de près, le conflit en République centrafricaine est, à bien des égards, un remake de la crise ivoirienne. (Par Francis Kpatindé)

En Centrafrique comme, hier, en Côte d’Ivoire ?

 

Le président François Bozizé et le Premier ministre pressenti, l'ancien bâtonnier de l'ordre des avocats, Nicolas Tiangaye.


Les événements qui se sont déroulés en décembre en République centrafricaine ont finalement un air de déjà vu. Les similarités sont pour le moins troublantes avec la situation qui a prévalu en Côte d’Ivoire à partir du dernier trimestre de 2002. Profitant de l’absence du chef de l’Etat, Laurent Gbagbo, en visite officielle en Italie, de jeunes militaires ont essayé, en vain, de prendre le pouvoir avant de battre en retraite vers Bouaké, dans le centre, et de prendre le contrôle de la moitié nord du pays. Le président Gbagbo, rentré précipitamment de Rome, réussira à préserver son emprise sur ce que certains appellent encore aujourd’hui la « Côte d’Ivoire utile », un raccourci pour désigner une zone englobant Yamoussoukro, la capitale politique et administrative, une bonne partie de l’Ouest, dont le port cacaoyer de San Pedro, l’Est et, surtout, le Sud où plastronne la mégapole d’Abidjan.

En Centrafrique, au terme d’une offensive fulgurante, la rébellion de la Seleka (coalition, en sango) s’est appropriée l’essentiel d’un pays pratiquement deux fois plus grand que la Côte d’Ivoire, laissant au régime du président François Bozizé - maigre consolation - une bande de terre centrale menant directement à Bangui, « la coquette », surnom de ce gros village qui sert de capitale à la Centrafrique.

Jusqu’au dénouement de la crise ivoirienne, le 11  avril 2011, les rebelles n’ont jamais cédé une once de la portion du territoire qu’ils contrôlaient. On voit mal, dans ces conditions, la Seleka, rétrocéder, sans garanties et réelles contreparties, ses conquêtes au pouvoir central, au risque de fragiliser sa prééminence et de perdre son unique moyen de pression sur Bangui, d’autant plus que François Bozizé, qui a perdu une bataille et non pas la guerre, n’a sans doute pas dit son dernier mot. A l’image de Gbagbo, il contrôle l’agglomération où se trouvent concentrés les attributs apparents de tout pouvoir qui se respecte : le Palais de la Renaissance, le Parlement, les ministères, la radio et la télévision nationales, l’Aéroport international Mpoko et les chancelleries étrangères. Il conserve jusqu’à terme (2016) le fauteuil présidentiel, même si l’Accord politique de Libreville rétrocède nombre de prérogatives du « domaine réservé » au Premier ministre issu de l’opposition.

Laurent Gbagbo a eu plusieurs Premier ministres proches ou franchement de l’opposition : Seydou Elimane Diarra, Charles Konan Banny et Guillaume Soro. François Bozizé a dorénavant comme chef du gouvernement Me Nicolas Tiangaye, jusque-là coordonnateur des neuf partis politiques de l’opposition républicaine.

Abidjan a eu Charles Blé Goudé et ses « patriotes » du Congrès panafricain des jeunes patriotes (COJEP), des groupes d’autodéfense chargés de protéger la patrie (et Laurent Gbagbo) face au « diktat » des Nations unies et de l’ancienne puissance coloniale, la France. S’inspirant du précédent ivoirien, Bangui a également les siens, regroupés dans une Coalition citoyenne contre les rébellions armées (COCORA). Répondant aux mots d’ordre de leur chef, Lévy Yakité, ils ont, au plus fort de la crise, érigé des barrages dans la capitale, soumise, surtout la nuit, à leur bon-vouloir, avant d’en accepter le démantèlement dès l’annonce de l’arrivée sur place d’un fort contingent de soldats sud-africains.

Et ce n’est pas tout. A ses débuts, et avant de se fondre dans une structure unique baptisée les Forces Nouvelles, la rébellion ivoirienne était trigonocéphale : le Mouvement patriotique de Côte d’Ivoire (MPCI), le Mouvement populaire ivoirien pour le grand Ouest (MPIGO) et le Mouvement pour la justice et la paix (MJP), contrôlant, chacun, une principauté dans le septentrion et la région Ouest. Cette dispersion et les rivalités entre comzones (commandants de zones) susciteront de vives tensions, parfois accompagnées de purges violentes, à l’image de la liquidation, sans autre forme de procès, de Félix Doh, le chef de file du MPIGO, en avril 2003.

La Seleka a préféré, pour ce qui la concerne, partir à la bataille en rang serré, regroupée dans une coalition hétéroclite de six ou sept mouvements militaro-politiques. Pour autant, elle n’est pas épargnée par les velléités schismatiques et les querelles de chefs, comme en attestent les récentes algarades entre le porte-parole de la coalition, Eric Neris Massi, 41 ans, et le jeune coordonnateur et délégué pour l’Europe de la Convention patriotique pour le salut du kodro (CPSK, composante de la Seleka), Nelson Ndjadder, 22 ans. Cette passe d’armes à mettre sur le compte d’une question de préséance donne un avant-goût des tiraillements à venir.  

Les protagonistes de la crise ivoirienne eurent les assises de Linas-Marcoussis, un centre d’entraînement pour rugbymen, en région parisienne, censées trouver une issue à la crise. Les Centrafricains – c’est l’époque qui le veut – ont préféré d’emblée se retrouver en terre africaine, à Libreville. Marcoussis et les différentes réunions d’Accra n’ont pas empêché que la crise ivoirienne connaisse un épilogue sanglant. Les Centrafricains sauront-ils, eux, en faire l’économie ?

Après avoir longtemps pratiqué l’omerta sur ses soutiens politiques et ses bailleurs de fonds étrangers, l’ex-rébellion ivoirienne admet désormais, mezza-voce, beaucoup devoir au Burkina, qui lui a servi de sanctuaire. La Seleka laisse planer, elle aussi, le doute sur tout ce qui touche à la genèse du mouvement, à ses parrains, au profil de ses différents chefs, l’origine des armes et des équipements qui lui ont permis, en quelques semaines, de prendre le contrôle d’une grande partie du territoire centrafricain. Certains évoquent, sans en apporter la preuve, la « complicité » du Soudan avec la rébellion et « l’ambiguïté » du Tchad vis-à-vis de François Bozizé, que Ndjaména contribua à installer par les armes au pouvoir en 2003, avant de se brouiller avec lui les mois précédents l’avènement de la Seleka. « Les prolongements extérieurs de la rébellion ivoirienne étaient identifiables, c’est moins le cas en République centrafricaine », analyse Albert Bourgi, professeur de Droit public à l’Université de Reims, au nord-est de la France.

Devant la foudroyante avancée de la Seleka, le président français, François Hollande, a clairement opposé une fin de non-recevoir à l’appel à l’aide de son homologue centrafricain. Jacques Chirac n’a pas fait autre chose dès l’annonce du coup d’Etat du 19 septembre 2002 en Côte d’Ivoire. Il s’est contenté d’appeler les protagonistes au calme et de demander à Laurent Gbagbo de venir en exil en France, comme pour bien signifier que le sort du turbulent président ivoirien était scellé. Refus poli de l’intéressé qui regagna Abidjan, en plein tumulte, non sans avoir lancé en direction des membres de sa délégation, à Rome : « Qui m’aime me suive ! » On connaît la suite…

RDC: « L’entourage de Laurent Kabila n’avait pas compris sa vision », affirme Jean-Baptiste Sondji

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Crée le 16-01-2013 10H00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le mercredi 16-01-2013 - 10H40 PAR : RADIOOKAPI

Mausolée Laurent Désiré Kabila. Radio Okapi/ Ph. John BompengoMausolée Laurent Désiré Kabila. Radio Okapi/ Ph. John Bompengo

 

16 janvier 2001-16 janvier 2013, cela fait douze ans que Laurent-Désiré Kabila a été assassiné au palais de marbre à Kinshasa par l’un de ses gardes du corps. Il est devenu le troisième président de la RDC après avoir renversé le maréchal Mobutu du pouvoir en 1997. Un de ses collaborateurs, Dr Jean-Baptiste Sondji estime que LD Kabila avait été trahi par son entourage « qui n’a pas du tout compris sa vision jusqu’à maintenant ». 

Ancien ministre de la Santé publique de Laurent Désiré Kabila, Dr Sondji affirme que l’ancien président avait une vision pour transformer la RDC. « Ce qu’on peut retenir de lui ce qu’il était un grand patriote qui avait une grande vision pour le pays et un grand esprit d’indépendance », soutient-il.

Jean-Baptiste Sondji reconnaît cependant que Laurent Désiré Kabila a commis quelques erreurs qui ont précipité sa mort :

« Il a laissé infiltrer dans le système beaucoup de gens qui ne partageaient pas le même point de vue [que lui]. Il n’a pas tenu compte de l’environnement local. (Il n’y pas eu) une évaluation correcte des rapports des forces sur le plan international.»

La même source raconte avoir connu « M’zee » [surnom de l’ancien président] pendant qu’il était étudiant en Europe. «Il était parmi la résistance résiduelle que Mulele avait déclenchée», rappelle-t-il.

La guerre qui a conduit à la chute du régime Mobutu avait éclaté en octobre 1996 à partir du Kivu. Elle était menée par de l’Alliance des forces démocratiques pour la libération du Congo (AFDL) dont Laurent Désiré Kabila était le porte-parole.

« C’est en janvier [1997] qu’un émissaire a été envoyé pour essayer de me convaincre d’être l’antenne de ce mouvement à Kinshasa, jusqu’au moment où ils sont arrivés ici. J’ai rencontré M’zee le jour où on a été nommé au Gouvernement », poursuit le docteur Sondji.

Le président Laurent Désiré Kabila a été assassiné le 16 janvier 2001. Une trentaine personnes avaient été condamnées à mort, au terme d’un procès fleuve. Mais, dans le verdict, le juge avait affirmé que des zones d’ombres persistaient et des enquêtes devraient se poursuivre à ce sujet.  C’est pourquoi un autre ancien collaborateur de l’ancien président, Mwenze Kongolo, avait réclamé, en janvier 2012, la réouverture de ce procès dont il dit qu’«il y avait plus de sentiments personnels que l’envie de chercher la vérité».

Après sa mort, Laurent Désiré Kabila a été proclamé Héros national. Son fils Joseph Kabila lui a succédé au pouvoir.

RDC: Ocha lance un plan d’action humanitaire de 30 millions de dollars pour le Nord-Kivu

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Crée le 16-01-2013 10H00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le mercredi 16-01-2013 - 11H40 PAR : RADIOOKAPI

 

Des déplacés de Mugunga au Nord-Kivu, 24/02/2011..

Le Bureau de coordination pour les affaires humanitaires (Ocha) a lancé un plan d’action pour répondre aux besoins humanitaires dans la province du Nord-Kivu pendant les six prochains mois. Ce plan financé à hauteur de 30 millions de dollars américains doit notamment permettre la prise en charge des milliers déplacés qui ont fui les derniers combats entre les rebelles du M23 et l’armée congolaise. 

Pour le chargé de l’information publique et du plaidoyer à Ocha, Yvon Edoumou, ce plan d’action constitue « l’une réponse aux derniers événements  qui ont eu lieu dans la province du Nord-Kivu ».

« Nous avons des milliers de personnes qui sont toujours déplacées. Nous avons des milliers d’enfants qui ne vont plus à l’école. Nous faisons face à des cas de choléra et d’autres maladies hydriques », explique-t-il.

Les derniers combats qui ont opposé militaires et rebelles du M23 lors de la dernière offensive de la rébellion en novembre dernier ont contraint des milliers de personnes à quitter leurs localités pour se réfugier dans des camps de déplacés ou des localités lointaines.

De retour d’une mission d’évaluation dans les provinces de Kivu en novembre dernier, le directeur des opérations d’Ocha, John Ging, avait appelé la communauté internationale à financer l’action humanitaire au profit des 1,6 millions de déplacés qui ont fui les combats entre groupes armés dans ces deux provinces de la RDC.

« Nous avons désespérément besoin d’un financement supplémentaire », avait-il déclaré à la presse, expliquant que « sur les 791 millions de dollars que l’ONU et ses partenaires ont demandé en 2012 pour financer leurs opérations humanitaires en RDC, seulement 429 millions avaient été reçus » au moment où il parlait.

RDC : Kinshasa et les rebelles du M23 fixent le programme des négociations

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Crée le 16-01-2013 10H00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le mercredi 16-01-2013 - 18H40 PAR : ARTV-NEWSRDC : Kinshasa et les rebelles du M23 fixent le programme des négociationsFrancois Rucogoza, chef de la délégation du M23 à Kampala, le 8 janvier 2013.

"Les parties ont adopté et signé le programme," a indiqué le bureau du ministre ougandais de la Défense, Crispus Kiyonga, dans un communiqué.

Les pourparlers doivent porter essentiellement sur quatre points: la révision d'un précédent accord de paix, dont l'application, tronquée selon le M23, est à l'origine de la mutinerie de ses hommes, mais aussi des questions de sécurité, des questions socio-économiques et politiques, ainsi que la façon dont sera appliqué tout nouvel accord.

"Les parties vont désormais commencer les négociations des questions importantes du programme", poursuit le texte du ministère ougandais de la Défense.

Les rebelles du Mouvement du 23 mars (M23) sont essentiellement composés d'ex-rebelles tutsi congolais qui avaient été intégrés à l'armée de RDC après la signature de l'accord de paix du 23 mars 2009 (d'où leur nom).

Ils combattent depuis avril l'armée régulière congolaise dans la riche province minière du Nord-Kivu, dans l'est de la RDC. Il y ont réalisé une importante avancée en novembre, en prenant la capitale régionale Goma.

Début décembre, ils ont accepté de se retirer de la ville, en échange de l'ouverture des pourparlers avec le régime de Kinshasa à Kampala. Les négociations ont débuté en décembre, mais piétinent: le fond n'a toujours pas été abordé.

La médiation est orchestrée, au nom des pays voisins des Grands Lacs, par l'Ouganda. Kampala et Kigali sont pourtant accusées -- en dépit de leurs démentis -- de soutenir le M23.

L'est de la RDC, riche en cassitérite, or, coltan et autres minerais, vit depuis des décennies au rythme de conflits régionaux, rébellions et mutineries toutes accusées, comme l'armée régulière, d'exactions contre les populations civiles.

 

USA : Hillary Clinton pourrait devenir aveugle ?

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Crée le 16-01-2013 10H00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le mercredi 16-01-2013 - 13H40 PAR : ARTV-NEWS

Хиллари Клинтон

La secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton risque de perdre la vue. Un caillot de sang qui s’est formé dans la tête de l’ex-première dame d’Amérique pourrait endommager son nerf optique, provoquant la cécité. En outre, en raison du caillot de sang, la secrétaire d'État souffre des pertes de mémoire et des syncopes. Cette information a été rapportée par les médias israéliens qui citent des sources de l’entourage de Clinton.

« Clinton garde ce diagnostic en secret et cherche des moyens de traitement. Elle devra passer un examen médical détaillé pour éliminer les possibilités de cancer. Mais Hillary s’inquiète le plus pour sa vue », précise la source.

Au début de décembre Hillary Clinton souffrait d'une infection intestinale virale. En raison de la déshydratation liée à la maladie, elle a perdu connaissance et est tombée par terre. C’est la commotion cérébrale provoquée par la chute qui a conduit à la formation du caillot de sang.

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