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Cour pénale internationale : Calixte Mbarushimana dans l'attente de la décision des juges

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Créé le 25 -09-2011 à 13 h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le diamche 25-09-2011 à  13h05 | AFRIQUE REDACTION PAR : LES DEPECHES DE BRAZZAVILLE

Le procureur Moreno O'campo a présenté des preuves « claires » de l'implication de l'accusé dans quinze attaques commises par les rebelles rwandais en 2009. Au terme de quatre jours d'audience, le leader des Forces démocratiques pour la libération du Rwanda (FDLR) attend de connaître la décision des juges de la chambre préliminaire de la Cour pénale internationale (CPI), confirmant ou pas les charges portées contre sa personne par l'accusation. L'affaire est prise en délibéré depuis le 21 septembre, après l'audition des conclusions finales et la décision des juges ne sera pas rendue avant plusieurs semaines.
 
Le procureur de la CPI, Luis Moreno O'campo,  a présenté au cours des dernières audiences des preuves de l'implication directe de Calixte Mbarushimana dans quinze attaques commises par les FDLR en 2009 dont la cible était la population civile. Il a estimé que l'objectif de ces attaques était de faire chanter les autorités congolaises et rwandaises en vue d'obtenir une part de pouvoir au Rwanda.

Le procureur Moreno a assuré avoir récolté, lors d'une perquisition au domicile de l'accusé, de nombreuses archives établissant le lien entre le secrétaire exécutif des FDLR et les crimes sur le terrain. Il note à cet effet que la présence de Calixte Mbarushima en France ne lui a pas empêché de poursuivre ses activités à la tête de son groupe rebelle. 

Par contre, l'argumentaire du procureur est rejeté par la défense du secrétaire exécutif des FDLR qui considère l'absence de son client sur le champ des opérations comme la preuve suffisante de son innocence. Elle a estimé que l'appartenance aux FDLR n'était pas un crime en soi et dénoncé la tentative du procureur de «criminaliser la liberté d'expression».

Poursuivi pour crimes contre l'humanité et crimes de guerre commis en 2009 dans les Kivu, à l'est de la RDC, Calixte Mbarushimana a été arrêté à Paris, en France, en octobre 2010. Il s'y était réfugié depuis 2002.

Jules Tambwe Itagali


LA BALKANISATION DE LA RDC ? LE LEADER DE LA RESISTANCE CONGOLAISE LE PROF. JULIEN CIAKUDIA RASSURE LE PEUPLE CONGOLAIS

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Créé le 25 -09-2011 à 13 h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le diamche 25-09-2011 à  13h05 | AFRIQUE REDACTION PAR : Julien Ciakudia Sr

LA BALKANISATION DE LA RDC ? LE PATRIOTE RASSEMBLEUR CONGOLAIS ET LEADER DE LA RESISTANCE PATRIOTIQUE CONGOLAISE MONDIALE, LE PROF. JULIEN CIAKUDIA RASSURE LE PEUPLE CONGOLAIS.

Julien Ciakudia Sr

Ces derniers jours de Septembre 2011,  a nos dernières sorties remarquées a la télévision Shot One au micro du

journaliste Boni Tongomo, avec deux émissions d’une haute portée concernant les questions majeures sur la vie de la nation Congolaise posées aux candidats patriotes aux élections prévues en Novembre 2011, les collabos et autres

chantres du tutsi power, sans arguments de reposes se sont contacte d’aller ressusciter « un coup de gueule » du prof Julien Ciakudia de 2004, qu’ilsprésente comme si c’était un document d’actualité 2011.

 

Fautes d’arguments de réponses aux questions majeurs du Prof. Julien Ciakudia concernant la vie de la nation congolaise sous occupation tutsi power du génocidaire Paul Kagame, ces traitres et collabos congolais et leurs

complices tutsi se content de manipuler l’opinion congolaise a l’intérieur comme a l’extérieur dans le seul but de salir la réputation et la notoriété de ce patriote rassembleur et digne fils du pays qui aiment tant son peuple et sa

nation, le Prof. Julien Ciakudia, Président national de l’Union des Patriotes Résistants pour la Libération totale du Congo et leader Charismatique de la Résistance Patriotique Congolaise Mondiale.

 

Ce coup de gueule est permit en politique après une expérience on ne peu plus  triste du digne fils du pays en la

personne du Prof Julien Ciakudia qui a donne son temps, son énergie et son argent au combat de libération du peuple Congolais pendant plus ou moins 35 ans aujourd’hui, et une grande partie de celle-ci une vingtaine d’années souvent

passées entre deux avions  d’un lobbying international intense dans les capitales de 3 continents (Amérique –USA et

canada), Europe et Afrique pour combattre la pire de dictature que l’Afrique n’ai connue a savoir Mobutu et les mobutuistes véreux qui juraient eux pendant 32 ans de leur règne que par l’ oppression de tout un  peuple et la destruction totale du tissu économique du Zaïre.

 

Il faudra pour comprendre la quintessence de ce vidéo produit en 2004 a Londres d ;en scuter le contexte selon une chronologie des événements d’histoire immédiate qui qualifie la qualité du nationaliste , patriote et de rassembleur qui a tant aime son pays et son peuple au point ou il a sacrifie sa jeunesse et sa famille entière pour l’intérêt supérieur de la nation congolaise toute entière dans le but de plaider a travers les parlements, gouvernements et institutions du  monde  entier un Congo voulu libre des oppresseurs mobutuistes, un Congo libre de toute occupation étrangère et un Congo libre, fort et bénéfique avant tout pour ses filles et ses fils qui devraient jouir sans contrainte des richesses de son sol et sous sol.

Une fois le changement intervenue en mai 1997 avec l’avènement de l’AFDL et de LD KABILA, le prof. Julien Ciakudia est retourne de son exile au Royaume de Norvège afin de  contribuer a la grandeur du Congo usant de son carnet d’adresses très fournis, chose que la coalition tutsi power et les tribalistes « nationalistes » Katangais n’ont pas

permis.

 

A l’instar des tribalistes Ngbandi autour de leur Marechal isole a Gbadolite et plus tard conduit dans la tombe, Le «  nationaliste » Laurent Désire Kabila qu’entourait ses frères de tribu balubakat Mwenze Kongolo, Gaetan Kakudji et autres sous la commande politico-militaire et sécuritaire de leurs collabos du tutsi power Bizima Karah…ogozi, Azarias Ruberwa, Bugera, James Kabarebe, Moise Nyarugabo tous fondateur du RCD  avec sa guerre d’occupation un an apres la prise du pouvoir de LD Kabila. Ces derniers ont tout fait pour torpiller notre projet très  important de 13 millions de dollars américains, dédié à la promotion de la culture démocratique et de la bonne

gouvernance par le biais de formation  de la population a la base. Ce projet de l’ ONG internationale  FREEDOM FLAG FOUNDATION (FFF) initie pendant notre exile a Oslo et  déjà discuter et approuve par le bureau du Programme des Nations Unis pour le Développement a New York que dirigeaient Mr James Speth, Administrateur et Madame Searlif

Johnson aujourd’hui Présidente du Liberia, a l’époque  Administrateur Adjoint du PNUD en charge de l’Afrique.

 

Pour des raisons tribales a la suite du génocide des Kasaiens au Katanga qui venait d’intervenir quelques peu d’années avant la prise du pouvoir des Katangais infiltre par les hommes haineux comme le « John Numbi ancien tueur a gage des Kasaiens sous UFERI de Nguz et de Kyungu wa Kumwanza. 

 

Ainsi, une fois au pouvoir en mai 1997, et sous les conseils de criminels de l’UFERI incorpores dans la politique, l’armée, la police, la sécurité et la diplomatie, Les nouveaux locateurs Katangais du palais de la nation Congolaise et leurs suppôts tutsi rwandais se liguèrent pour n’est pas approuver et accorder la signature du gouvernement au projet en juillet 1997. Ceci  malgré de demandes et  démarches multiple du ResRep du PNUD et de moi–même auprès du cabinet du Chef de l’Etat LD KABILA et du ministre des Affaires Etrangères de Bizima Karah avec son directeur de cabinet Azarias Ruberwa.

 

Il sied de noter que lors de l’audience m’accorde dans ses bureaux a mon arrivée a Kinshasa en Juillet 1997, S.E. Mr Djallo, le  Représentant Résidant du PNUD a Kinshasa m’avait déjà rassuré de la recommandation positive pour le financement du projet reçue de New York de la part du Secrétaire General des Nations Unies, et deux Administrateurs

Principaux du PNUD ci-haut mentionnes.

 

Il a fallu bien entendu le quitus du gouvernement de la RDC pour permettre aux Nations-Unies de pouvoir financer la totalité du projet et le début de travaux a travers le pays entier encore en ce moment sous e contrôle du pouvoir de Kinshasa avant le déclenchement de la  guerre d’agression du 02.08.1998 par les tutsi rwandais hier collaborateurs de Mzee L.D. Kabila .

 

Voici comment, pour des raisons tribales, un projet si important concernant notre contribution modeste a la vie de la nation et un effort de  donner du travail aux Congolais a travers le pays en renforçant la capacité de la culture démocratique, les droits humains et de la bonne gouvernance pour le développement durable de toute la nation a travers la population a la base a été simplement anéanti et la notre ONG internationale Freedom Flag Foundation (FFF)  neutralisée.

 

A la prise de Pouvoir d’alias Joseph Kabila de 2011, nous avons une fois encore réimplanté nos bureaux de FFF sur l’avenue Kasa-Vubu et encore une fois, nous nous sommes bute au même traitement tribal de la part de nos compatriotes Katangais et Lubakat.

 

Aux regards de ce qui précède, il faudrait noter une montée de plus en plus du tribalisme et du népotisme dans le comportement et attitude  des gouvernants Congolais  a Kinshasa capitale de la RDC pendant le mobutuisme et aussi après le changement politique des années 1997 a ce jour.

 

Notre séjour permanent a Kinshasa après un long exile a Oslo, Norvège, était une déception quasi totale  comme

quoi : Apres le mobuisme égal plus que le mobutuisme.

 

Vous noterez en passant que je suis arrivée en Amérique du Nord, comme étudiant a l’Université de Montréal au Canada a 19 ans d’âge et qu’une grande  partie de ma vie est passe en occident plus de 30 ans de ma vie d’homme et je n’avais pas bien connu mon pays le Zaire et toutes ces habitudes tribales que je venais de vivre chez certains des

gouvernants au sommet de l’Etat de mon pays.  

 

Déçu de cette expérience malheureuse d’exclusion dans mon propre pays après autant d’années d’un travail intense de patriote convaincu dans l’amour pour mon pays et dans l’abnégation totale , dans l’intérêt supérieur de toute une

nation en souffrance et  un peuple plus que misérable, nous avons dépensé temps et argent pour accompagner sans arrière pensée, la grandeur et la dignité du Congolais… 

 

Vous comprendrais chers compatriotes dans cette expérience de frustration et de déception on a parfois un sentiment de révolte et de démission. Dans cette  souffrance interne, le cri de l’opprime, se conçoit comme une crise de colère qui conduit parfois a un coup de gueule pour tester la reaction de la majorité de Congolais , une interpellation ultime,

sans pour autant aller jusqu’a sacrifier l’essentiel de ce qu’on a tant aime, ce pourquoi on s’est battu pour toute une vie a travers le monde, le Congo notre Cher pays et beau pays que nous avons aime tant et que nous  continuons a aimer tant.

 

Pas de balkanisation, pas de division, pas d’occupation tel et notre serment de patriote pour notre Congo mais pas aussi de tribalisme et surtout pas du  népotisme  comme mode de gouvernance non plus.

 

A mes détracteurs, je pose cette question : depuis ce coup de gueule que vous exposer aujourd’hui sans situer son propre contexte, voudriez vous allez plus loin pour révéler un deuxième survenu après notre introspection qui nous a

redynamiser dans les sens de servir a jamais notre Pays le Congo.

 

Autant des réactions positives des  patriotes Congolais a travers le monde,  autant d’encouragements des amis et amies et compatriotes Congolais du monde qui nous ont console et supporté et ramener au pas pour continuer le bon combat engage depuis de nombreuses années de notre vie sur terre.

 

Voudriez-vous, vous collabos, traitres et autres génocidaires occupants sortir un autre vidéo du rassembleur patriote Prof. Julien Ciakudia qui abonderait dans le même  sens de vos pensées destructives de manipulation de masse ?

 

Bande de criminels génocidaires sanguinaires, vampires et traitres au service du tutsi power, vous vous engagez la,  dans un chemin plus que glissant pour diviser et neutraliser l’élan de la résistance patriotique congolaise mondiale en

s’attaquant sans arguments au nouveau DE Gaule son leader charismatique incontesté le Prof. Julien Ciakudia. 

Retenez vous les criminels encore impunis, que votre temps est compte et que le flambeau du combat pour notre libération totale ne s’éteindra jamais aussi longtemps que vos crimes abominables, violations massives des droits

humains et viols, vols, pillages ne cesseront une fois pour toute dans notre pays la RDC.

 

Comme pour Charles De Gaule dans une France occupe par les Nazi, De Londres, anime par notre sentiment patriotique et un amour certain pour notre pays la RDC,  nous avons donc lance un mouvement de résistance patriotique congolaise mondiale afin de neutraliser vos stratégies et ambitions  des vautours  criminels qu’encouragent le duo génocidaire sanguinaire Paul Kagame et Alias joseph Kabila.  

 

En réponse, dans votre fouille, vous vous êtes contente de ressuscite un vieux document sans en expliquez le contexte et les motivations que vous avez déployé a travers le net pour le distribuer a travers le monde croyant que le peuple Congolais sera naïf , manipulable et jouera votre jeu d’occupation de notre territoire

national. Votre  seul but : jouer avec le sentiment d’un peuple que vous avez toujours qualifie de moins intelligents et moins habille afin de perpétré a jamais votre main mise sur nos riches naturelles et stratégiques que vous piler sans remord tout en humiliant notre peule que vous tuer, génocider, violer dans toute impunité.

 

Hôtez donc vos masques car rien de tout cela ne peut corroborer vos mensonges et manipulations ? Le Prof. Julien Ciakudia est et restera fidele a ses engagements du départ au chevet du Congo malade et occupe, il se battra pour toujours et debout usant des son intelligences, stratégies, relations, argents, énergies et temps pour qu’a jamais le Congo et son peuple ne puissent continuer a croupir aux dictes d’un pouvoir d’occupation étrangère quel qu’il soit tutsi ou autres.

 

Nous nous  battrons a jamais pour un Congo uni, libre totalement et prospère…voila depuis lors et a la demande de la

majorité des congolais patriotes du monde entier et a notre propre convenance guidée par notre ferme esprit de leader rassembleur, résistant, combattant de la liberté et de patriote, nous restons convaincu que le Congo dans son unissons sortira bientôt de l’ornière avec l’engament de tous ses fils et filles.

Les reisistants patriotes et les camarades combattants de la liberte ainsi que tous nos compatrites Congolais allumeront avec nous pour l’éternité la grande flamme de la résistance patriotique congolaise mondiale au centre de Kinshasa et au centre de  chaque province du pays uni et totalementlibre de toute occupation etrangere, sous la grande bannière de combat patriotique de liberation totale aujourd’hui imposer au monde tout entier par LA RESISTANCE PATRIOTIQUE CONGOLAISE MONDIALE ET  l’UNION DE PATRIOTES RESISTANTS POUR LA LIBERATION TOTALE DU CONGO (UPR) contre toute tentative de BALKANISATION DU TERRITOIRE NATIONAL CONGOLAIS.

 

LA PATRIE OU LA MORT !

 

LA TRAHISON OU LA PENDAISON PUBLIQUE !

 

A LUTTA CONTINUA VICTORIA ES CERTA

 

MAIN SUR LE CŒUR AVEC DIEU NOUS VAINCRONS !

 

RDC VIVA

 

RDC VIVA

 

RDC VIVA VIVA VIVA

 

RDC TOTALEMENT LIBRE DE L’OCCUPATION ETRANGERE

Législatives 2011 : " La grande tricherie" Surnombre des candidats PPRD en Ituri, la malice du pouvoir mise à nu

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Créé le 25 -09-2011 à 19 h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le dimanche 25 -09-2011 à  19h05 | AFRIQUE REDACTION PAR : LE MILLENAIRE

 

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Législatives 2011 : Surnombre des candidats PPRD en Ituri, la malice du pouvoir mise à nu

La publication de la liste provisoire des candidats aux prochaines élections législatives a fait l’effet d’une surprise dans le district de l’Ituri. Le parti présidentiel, le PPRD, a aligné plus des candidats que ne l’exige la nouvelle loi électorale en vigueur.   Dans chaque circonscription électorale, le PPRD a présenté  des candidats  dont le nombre est supérieur à celui des sièges disputés et cela, en violation de la loi. Ce parti politique a aligné 10 candidats à Irumu en lieu et place de 5, 14 candidats à Djugu en lieu et place de 7, 14 candidats à Mahagi en lieu et place de 7, 10 candidats à Aru en lieu et place de 5 et 4 candidats à Mambasa en lieu et place de 2.  De nombreux représentants des partis politiques de l’Ituri considèrent que le PPRD est tombé dans son propre piège.   Ce parti initié par Joseph Kabila, dans son souci de s’assurer le plus grand nombre des députés nationaux, s’est arrangé pour présenter ses candidatures en Ituri dans trois partis politiques créés pour les besoins de la cause.

 

Il s’agit du PPRD, du PPPD et du RRC.  Les mandataires du PPRD venus de Kinshasa pour présenter les listes de leurs candidats avaient surpris leurs militants en leur annonçant que certains cadres du PPRD seraient présentés comme candidats du PPPD et du RRC. Sugabo Gbulabo et Upio Kakura  ont rangé  les candidatures de leurs membres du PPRD sur trois listes, question de maximiser les chances de rafler plusieurs sièges.  Des responsables et cadres  du PPRD en Ituri  se sont ainsi retrouvés sur les listes du PPRD, du PPPD et du RRC.  Les deux derniers  partis politiques auraient été créés de toutes pièces par les hommes du PPRD pour de besoin électoraliste. C’est cela qui est  à  la base du surnombre des candidats PPRD sur la liste publiée par la CENI, cette organisation ayant, sans doute, commis une erreur matérielle en confondant PPRD et PPPD.

 

 

Les politiques de l’Ituri savent tous que le PPRD a aligné le triple des candidats exigés par la loi électorale en usant de ce subterfuge. La même stratégie a été utilisée aussi par le MSR, un autre parti politique proche du pouvoir. Ce parti politique cher à Pierre Lumbi a aussi aligné ses candidats sous deux dénominations : le MSR et le MCR. Ce qui fait qu’en réalité, le parti politique MSR a présenté, dans toutes les circonscriptions électorales de l’ITURI le double des candidats exigés par la loi. Il n’est pas normal que des hommes et femmes connus en Ituri pour leur activisme dans le PPRD et le MSR se retrouvent sur des listes d’autres partis politiques.  Parmi ces hommes et femmes recrutes vaille que vaille, il y en a même qui n’avaient pas d’ambitions politiques.

 

Cette tricherie maligne du PPRD et du MSR présage de ce que pourraient être l’attitude du pouvoir en place si les résultats des urnes arrivaient à  lui être défavorables.La Cour Suprême devrait, pense-t-on à  Bunia, se pencher sur ce cas. Identifier ces partis politiques ainsi que leurs initiateurs. Et voir s’il y a adéquation entre les listes de candidatures et les partis politiques dans lesquels évoluent réellement ces candidats.  En usant de cet astuce, le PPRD  donne la preuve qu’il redoute de faire perdre à  la coalition actuellement au pouvoir le contrôle du future parlement congolais.C’est clair que le pouvoir se bat pour s’assurer une majorité parlementaire à tout prix.A vos gardes donc.

Joska  

 

Le verdict des urnes

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 Créé le 26-09-2011 à 10h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le lundi  26-09-2011 à  16h10 | AFRIQUE REDACTION PAR :LE  POTENTIEL


 


Tous sont disposés à accepter le verdict des urnes. Tous le clament dans leurs déclarations publiques. Le chef de l’Etat l’a fait devant les membres de sa famille politique à Kingakati. Pour Joseph Kabila, les élections du 28 novembre 2011 doivent se passer dans un climat apaisé. D’ailleurs, le cycle électoral est une obligation constitutionnelle. A échéance de cinq ans, les mandats des dirigeants doivent être renouvelés par le souverain primaire.

Du côté de l’Opposition, l’on a embouché le même langage d’apaisement. Déterminés à assurer l’alternance, l’Opposition, dans sa pluralité, compte reprendre le témoin des mains de l’actuelle Majorité, de manière tout aussi «apaisée». Pour tout justifier, l’Opposition affirme que toutes les revendications allant de l’accès au serveur central, en passant par le comptage manuel sont une démarche démocratique visant à rendre toutes contestations sans objet.

La position de la Commission électorale nationale indépendante est également un signal fort de sa détermination de ne favoriser personne lors de prochains votes. En acceptant de faire auditer le fichier électoral à travers l’accès au serveur central, la CENI est disposée à jouer à fonds le jeu de la transparence tous azimuts. Ce qui revient aussi à démontrer les bonnes dispositions pour s’assurer d’une issue apaisée des élections. Toutes les parties sont visiblement acquises à l’apaisement et à l’acceptation du verdict des urnes.

D’où viendrait alors le danger ? Il faut le chercher ailleurs, loin des acteurs apparents. Toute la préparation psychologique actuelle doit participer d’une volonté de regarder dans la même direction, celle des intérêts majeurs des Congolaises et des Congolais pris dans leur diversité. La tenue des élections présidentielle, législatives et autres, à intervalle de 5 ans est le signe de maturité de tout un peuple longtemps soumis à la dictature.

L’acceptation du verdict des urnes est également considérée comme l’acceptation de la démocratie dans sa compréhension universelle. Le souverain primaire à qui la parole est remise, usera de son pouvoir dans l’ultime objectif de voir sa volonté se réaliser avec espoir de requalifier son vécu quotidien. Tous ceux qui vont concourir sont avertis. Il ne suffit pas de prendre part aux scrutins, il faut aussi en accepter préalablement les règles du jeu. L’issue apaisée ou pas des élections dépendra donc du degré de responsabilité des acteurs impliqués. Le peuple étant appelé à trancher que personne ne s’oppose à sa volonté, par quelques manœuvres que ce soit : violence ou malice.

 

Forum d’Addis- Abeba sur la paix et la sécurité en RDC - Kakese Malela invite la classe politique congolaise au sens de responsabilité

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Créé le 26-09-2011 à 10h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le lundi  26-09-2011 à  16h10 | AFRIQUE REDACTION PAR :LE  POTENTIEL



Les travaux du Forum sur « le processus électoral et les perspectives de paix et de sécurité en RDC » organisés par l’IPSS de l’Université d’Addis- Abeba à l’attention des acteurs politiques congolais s’ouvrent, ce lundi 26 septembre en Ethiopie. La tenue de ce Forum a suscité des réactions en sens divers. La dernière enregistrée est celle de Kakese Malela qui invite les acteurs politiques de son pays à prendre, eux-mêmes, le destin du Congo en mains, au lieu de toujours recourir au concours des autres.

« Le processus électoral et les perspectives de paix et de sécurité en RDC ». Tel est le thème du Forum organisé, du 26 au 27 septembre, à Addis- Abeba (Ethiopie), par l’Institut d’étude de paix et de sécurité (IPSS) de l’Université d’Addis- Abeba, à l’attention des acteurs politiques congolais.

A en croire les organisateurs, ces assises ont pour objectif : permettre aux principaux acteurs du processus électoral en République démocratique du Congo de réfléchir sur les perspectives de paix et de sécurité en RDC. Pour eux, « ce Forum se veut un lieu et un moment d’échange et de réflexion sur la recherche de solutions aux défis électoraux auxquels la RDC fait face ». Plusieurs leaders et représentants de différentes formations politiques congolais participent à ce Forum.

Si la convocation de cette rencontre a été saluée par certains acteurs politiques congolais, tel n’est pas l’avis du Dr. Kakese Malela François Nicéphore, président national de l’Union pour le Réveil et le Développement du Congo (URDC).

Pour le leader de l’URDC, les politiciens congolais doivent prendre eux-mêmes le destin de la RDC en mains et se forcer à résoudre à leur niveau les problèmes qui se posent au pays, au lieu de se replier toujours sur l’apport des autres. Une façon pour lui, de faire voir à la face du monde qu’en dépit de 51 ans d’indépendance, « les acteurs politiques congolais ne sont pas capables de trouver de solution durable à leurs problèmes ».

Pour son véritable décollage, « la RDC a besoin d’une nouvelle classe politique capable d’apporter un sang nouveau au pays », a-t-il souligné. Et de noter que le Congo n’a pas besoin des politiciens qui prennent tout un peuple en otage pour des intérêts égoïstes. L’ancienne colonie belge a besoin d’une classe politique soucieuse de léguer un Congo prospère et pacifié à la postérité.

Se dépouiller du vieil homme

Se confiant à la presse, François Kakese Malela a rappelé que la RDC a accédé à l’indépendance quand il avait encore 3 ans. Aujourd’hui, il totalise 55 ans et s’aperçoit que son pays est loin de décoller, à cause de l’attitude qu’affiche les hommes politiques congolais depuis des années. Pire encore, la RDC se confie même aux pays qui ont moins de 30 ans d’indépendance pour recevoir des leçons sur la gestion du pays, s’étonne le président national de l’URDC.

A ses yeux, le Congo représente un spectacle désolent à travers le monde, malgré ses multiples richesses et ressources humaines qu’il regorge. Depuis plus ou moins quatorze ans, les opérateurs politiques congolais sont toujours à la recherche des solutions miracles de leur pays à l’étranger. A ce sujet, il a évoqué les cas des Accords de paix de Lusaka et le Dialogue intercongolais négocié en Afrique du Sud-Kivu. Ces exemples et tant d’autres prouvent à suffisance que les Congolais ne sont pas eux-mêmes capables de s’entendre, indique le candidat de l’URDC à la présidentielle 2011. Par conséquent, il invite les politiques de la RDC à se dépouiller de leur vieil homme s’ils aiment réellement leur pays, a-t-il insisté.

Parlant de la rencontre d’Addis-Abeba, il s’interroge sur de nouvelles leçons que les politiques congolais veulent avoir et qu’ils n’ont jamais reçues ailleurs au sujet de la paix et la sécurité dans leur pays ?

Pourquoi ne pas suivre l’exemple de l’Afrique du Sud qui, en dépit de divergences d’opinions et d’idéologies de l’époque est, à en croire Kakese, parvenue à l’unité du pays et à l’amélioration du bien-être des populations sud-africaines. Le pays de l’Apartheid est devenu pour lui, un modèle de la démocratie en Afrique. Un autre pays cité en exemple, c’est le Ghana, qui grâce aux efforts fournis par les Ghanéens eux-mêmes, est parvenu à instaurer le pays et la sécurité dans cet Etat.

Par ailleurs, le président de l’URDC s’étonne du fait que le Forum d’Addis-Abeba se tient au lendemain du discours prononcé par le chef de l’Etat dans lequel il a indiqué que la paix et la sécurité sont instaurées sur l’ensemble du territoire national. Curieusement, on dénombre quelques représentants de la famille politique du président de la République aux assises de la capitale éthiopienne, a fait remarquer Kakese Malela.

A noter que l’Institut d’étude de paix et de sécurité est un partenaire de l’Union africaine (UA).

T.M.E.

Au regard de pléthore des candidats députés - Le système de bulletin unique demeure un casse-tête pour la CENI

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 Créé le 26-09-2011 à 10h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le lundi  26-09-2011 à  16h55 | AFRIQUE REDACTION PAR :LE  POTENTIEL

 



La Commission électorale nationale indépendante vient de réaliser provisoirement un record pour le nombre de candidatures aux législatives nationales 2011 : 19.497 candidats députés pour 500 sièges prévus à l’Assemblée nationale. Cette institution d’appui à la démocratie dispose de 169 circonscriptions électorales et de 62.000 bureaux de vote sur l’ensemble du territoire national.

Le rapporteur de la CENI, Matthieu Mpita, a au cours du dernier point de presse hebdomadaire de son institution à Kinshasa, laissé entendre que tous les candidats à la députation nationale tiennent qu’outre la case à cocher, leurs photos et les logos de leurs partis politiques soient publiés dans les bulletins de vote.

En effet, la Constitution recommande à la CENI de placer les photos des candidats, le logo de leur parti, et laisser une place pour cocher le bulletin de vote. Mais au regard de ce nombre pléthorique des candidats députés, il est évident que le système de bulletin unique demeure sans doute un casse-tête pour la Commission électorale nationale indépendante.

Matthieu Mpita n’avait pas caché les inquiétudes de son institution et les difficultés qu’éprouvent les maquettistes et imprimeurs de ces « plus grands bulletins de vote du monde » qui sont produits en Afrique du Sud.

« L’impression de ces bulletins de vote doit coûter à la CENI des prix additionnels, et plus de 60 affrètements d’avions pour les transporter », a-t-il renseigné. Avant d’ajouter : « Nos experts sont toujours entre les deux avions Afrique du Sud-RDC, le jeudi 22 septembre, nos techniciens sont venus de l’Afrique du Sud ; sauf imprévu, les autres vont y retourner ce lundi ou mardi, toujours pour surveiller de nuit tout comme de jour, les travaux d’impression de bulletins de vote ».

Selon un expert de la CENI, ces bulletins seront imprimés au format A2 devant l’affluence de candidats aux législatives nationales. « Ce format représente quatre fois la taille d’une feuille de papier standard et sa taille est de 42 centimètres sur 60 », a-t-il précisé.

Il faudra donc placer 1 489 photos, logo du parti, nom du parti, nom du candidat et case à cocher sur un bulletin de vote, sur plusieurs pages évidemment. Après l'avoir coché, l’électeur devra plier ce méga bulletin en quatre avant de le glisser dans l’urne, qui sera aussi beaucoup plus grande que la normale.

L.C

 

Avec 30.000 observateurs - Elections 2011 : l’Eglise catholique s’implique

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 Créé le 26-09-2011 à 10h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le lundi  26-09-2011 à  16h55| AFRIQUE REDACTION PAR :LE  POTENTIEL

 



Selon la Conférence épiscopale nationale du Congo (CENCO) les élections ne sont « pacifiques » que si elles sont « crédibles ». Pour prendre la mesure de la crédibilité et de la transparence des scrutins du 28 novembre 2011, l’Eglise catholique dispose de plus de 30.000 observateurs électoraux. Ces derniers, hommes et femmes bien formés, seront présents dans les bureaux de vote disséminés sur l’ensemble du territoire national.


Pourquoi voter ? Pour qui voter ? La double question trouble encore l’électeur congolais à la veille des élections prévues le 28 novembre 2011. Pour éclairer le citoyen sur le profil d’un bon candidat et sur le bien-fondé du vote, l’Eglise catholique en RDC a choisi d’assurer une éducation civique et électorale de la population. La cérémonie solennelle d’ouverture a été lancée le vendredi 23 septembre à Kinshasa par le président de la Conférence épiscopale nationale du Congo (CENCO) Mgr Nicolas Djomo.

Cette campagne de sensibilisation et de mobilisation des populations pour les élections crédibles et apaisées a commencé par une formation des formateurs en éduction civique et électorale de Kinshasa. Elle va s’étendre très prochainement à l’ensemble du territoire national. Pour l’Eglise catholique, cette campagne contribuera, à coup sûr, à rendre aux enfants de Dieu leur dignité.

A terme, la CENCO compte fournir environ trente mille (30.000) observateurs de prochains scrutins. Cette annonce intervient juste après celle faite par l’Union européenne qui enverra, elle aussi, 120 observateurs. C’est dire toute l’importance que les partenaires accordent au processus électoral en cours en RDC.

La mission de formation et de sensibilisation est confiée à la commission épiscopale «Justice et Paix» de l’Eglise catholique. Elle cible quasiment toutes les catégories sociales du pays, notamment les hommes de Dieu, les représentants des partis politiques et les acteurs d’ONG et de la Société civile. Car, c’est à eux qu’incombe la lourde tâche de sensibiliser les populations en apportant une ébauche sur la double question : «pourquoi voter ?» et «pour qui voter ?».

«Notre action touche tous les Congolais sans distinction, sans discrimination», a souligné Mgr Nicolas Djomo. L’évêque de Tshumbe a rappelé que la présente initiative répond aux multiples messages d’apaisement lancés par les évêques en vue de l’organisation des élections crédibles et démocratiques. «Je me réjouis aujourd’hui que les messages de la CENCO aient été traduits en programme concret et cohérent de sensibilisation à l’éducation civique pour le bien-être des populations congolaises», s’est félicité le prélat catholique. Il s’ensuit que l’Eglise catholique reste convaincue que les élections ne sont pacifiques que dans la mesure où elles sont crédibles, transparentes et démocratiques.

Avant de déclarer «ouverte» la campagne de sensibilisation, le président de la CENCO a expliqué le bien-fondé de cette action : «Nous faisons l’éveil de la conscience de tout citoyen congolais : ceux qui auront à élire et les élus. Ce que l’on vise c’est l’amélioration des conditions de vie des Congolais. Pour ça, la condition essentielle, c’est la paix. Lorsqu’on a la paix, on donne une chance à la démocratie, à la croissance économique.» C’est donc un appel à la conscience des Congolais qui ont un contrat social qui consiste à faire de ce pays «viable et intéressant pour tout le monde» que lancent les évêques.

La gouvernance détermine le vote

Dressant une sorte de bilan de l’action de l’Eglise de ces dernières années, la secrétaire exécutive de la Commission épiscopale «Justice et Paix», Sœur Marie-Bernard Alima, a indiqué que l’engagement de l’Eglise à l’éducation civique et électorale est une notion permanente et non improvisée. L’Eglise a signé, dernièrement, avec les ministères de la Décentralisation et des Finances un protocole d’accord sur la décentralisation et sur la culture fiscale.

Pour les évêques catholiques, la question des élections est intimement liée à la bonne gouvernance. Ils estiment que les élections ne constituent pas une fin en soi. «Les élections doivent contribuer à l’amélioration des vies des populations», a lancé le président de la CENCO.

Un diagnostic lucide a permis de constater que les causes des crises successives en 50 ans, sont liées au fait que le Congolais n’est pas placé au centre des actions des politiciens. «Il est venu le temps de changer de mentalité, en mettant l’homme au centre de toute action politique». L’Eglise est d’avis qu’il y a d’énormes défis à relever à la base. C’est ce que les évêques appellent «questions de gouvernance». Il s’agit notamment de l’eau, l’électricité, de même que du droit à la santé, à l’éducation, à la justice distributive et équitable. Pour toutes ces questions non résolues, l’Eglise catholique invite la population d’aller voter. «Pour ou contre, il faut voter, car chaque voix compte ; chaque voix coûte».

La problématique ainsi posée de dresser le profil d’un bon candidat, afin que les «brebis galeuses» soient écartées de la course et que tous les pêcheurs en eaux troubles ne reviennent plus appâter les populations qu’ils ont affamées à souhait.

Comment juger un bon candidat ? Les évêques esquissent une ébauche de réponse : «Celui qui inscrit son action politique dans une vision et une pratique du pouvoir politiques conformes aux idéaux de l’indépendance et des sociétés démocratiques». Selon eux, «celui qui considère le pouvoir politique comme un service du bien commun, qui appréhende les responsabilités publiques dans la logique du partage des avantages économiques au bénéfice de la population doit être considéré comme un bon candidat».

Bref, pour l’Eglise catholique, il faut voter pour un candidat soucieux du bien commun, compétent, intègre, honnête ; qui n’est pas un commissionnaire ; dont l’horizon politique dépasse les limites étroites du clan, de la tribu, de la province ; qui n’est pas classé parmi les malfaiteurs du pays. Ce profil, la commission épiscopale «Justice et Paix» l’avait déjà rendu public dans son feuillet «Ensemble pour un Etat de droit», de juillet 2011.

 

Elections 2011 - Laurent Batumona : ‘’ la Majorité est en danger !’’

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 Créé le 26-09-2011 à 10h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le lundi  26-09-2011 à  16h55| AFRIQUE REDACTION PAR :LA PROSPERITE


Sans détours, Laurent Batumona parle du processus électoral en cours en RD. Congo. En acteur politique majeur, Laurent Batumona devenu Président National du Mouvement de Solidarité pour le Changement, après un parcours de quelques années au sein du Rassemblement Congolais pour la Démocratie d’Azarias Ruberwa, répond, ici, à toutes les questions sur les enjeux électoraux, les alliances présentes et futures. Il n’exclut pas la persistance de tensions entre l’Udps, le Pprd et les autres partis politiques autour de résultats des élections tant que l’opacité, longtemps décriée par l’Opposition, sur le contenu du fichier électoral, le serveur central ainsi que certains préalables, n’aura pas été fumigée. A tout prendre, Batumona croit en la célérité et la sagacité de tous les partis du centre, pour la création d’une méga plateforme politique non teintée de coloration ‘’Majorité ‘’ ou ‘’Opposition’’. Une plate-forme sans laquelle la patrie ne saurait se soustraire des affres de la bipolarisation de la vie politique congolaise. D’après lui, Mobutu est d’ailleurs de retour, avec la résurrection de ces clivages pernicieux : deux familles politiques engagées dans un duel aux couteaux alors que le peuple congolais, lui, est appelé, le 28 novembre prochain, à se choisir librement ses vrais dirigeants de demain et à se doter des institutions stables. Laurent Batumona ne voit la Majorité en danger qu’à la seule condition que les candidats Présidents issus de l’Opposition, fassent un bloc compact face à Kabila. Au cas contraire, ce serait la ruine des espoirs pour l’alternance au pouvoir d’Etat, au lendemain des scrutins. Au passage, l’homme fort du MSC se dit candidat à la Députation Nationale. Il sera également candidat à la Députation Provinciale. Il sera, enfin, candidat Sénateur. C’est en fin de ce cycle qu’il prendra ses vraies marques. Du reste, le travail interne se poursuit. Le MSC s’implante et s’enracine au Bas-Congo, Bandundu et au Katanga. Des cadres récemment recrutés sont soumis à des séances d’endoctrinement idéologique, à la moule d’idées faites d’un écart équidistant vis-à-vis de la Majorité et de l’Opposition. Les candidats du MSC sont en ordre de bataille. Ils n’attendent, selon lui, que le coup d’envoi, pour se lancer dans la campagne électorale. Le moral est au beau fixe, le nombre de 19.000 candidats à la Députation pour 500 sièges, ne les impressionne guère. Le MSC, en dépit de tout, est prêt à se couper en quatre, à se battre jusqu’à la moelle épinière, pour l’emporter. Objectif ? Arracher plus de sièges au Parlement, pour peser lourd sur la scène politique de demain.

Le coup de sifflet de Daniel Ngoy, le 28 octobre, l’en déterminera. Lisez ! Scrutez ! Découvrez les idées de Laurent Batumona qui, manifestement, a décidé de prendre à bras le corps le destin du Congo ! L’interview, ci-après, en dit long. La Prospérité : Bonjour Honorable ! Laurent Batumona : Bonjour Ngoyi Marcel ! La Pros : Nous savons que vous avez quitté le RCD et que vous avez créé votre propre parti, le MSC. Aujourd’hui, il se développe au pays, une série d’alliances. Où est-ce qu’on peut situer votre formation politique par rapport au clivage Majorité- Opposition ? L.B : Je voulais qu’on puisse débattre cette question à la fin de notre entretien. Mais, je voulais d’abord dire que nous avons effectué notre sortie officielle au mois de juin. Comme vous l’aviez annoncé dans votre journal, j’ai fait des tournées d’implantation et d’exploration. D’implantation, par rapport aux fédérations, c’est- à –dire, les provinces de notre pays ainsi que les sections (villes, communes et territoires). J’avais quitté Kinshasa pour Matadi. Je peux vous dire que nous avons installé les sections à Kasangulu, Madimba, Kisantu, Mbanza-Ngungu, Kimpese, Songololo, Matadi, Kinza-Mvuete, Boma, Muanda et à Seke-Banza, sauf à Tshela. C’est pour dire qu’à travers ces installations des comités sectionnaires, des comités fédéraux, nous avions eu à recruter des cadres parmi lesquels nous avons présenté un certain nombre de candidats à la députation nationale dans tous les territoires que je viens de citer tout à l’heure. Cette situation permettra d’implanter le parti avec leur apport et de recruter les cadres qui, à leur tour, sont en train de recruter les membres. Nous voulons gagner dans cette province du Bas-Congo. La Province est regroupée en 3 fédérations. Il y a la fédération de Matadi, la fédération du Bas-fleuve et la fédération des Cataractes et Lukaya. Nous avons aligné des candidats pratiquement dans tous les territoires, sauf à Lukula. A Tshela, nous n’avons pas aligné de candidats. Ça c’est l’étape du Bas-Congo. J’ai fait la même tournée dans le Bandundu. J’ai commencé par Mbankana, Mombata, Kwango, Lukangalonzo, Kenge, Masianguna, Masimanimba, Kikwit, Musangu, Idiofa, Bagata. C’est la même tournée avec les mêmes objectifs : Implanter le parti et recruter les cadres et membres. Là aussi, nous avons 3 fédérations : la fédération de Kwango, la fédération de Kwilu et la fédération de Maï-Ndombe. Ce n’est qu’à Maï-Ndombe où nous n’avons pas aligné de candidats. Mais, dans tout le reste, nous avons des candidats suivant le nombre de sièges sauf, à Popo-Kabaka et à Bulungu. J’ai fait la même tournée dans le Katanga où nous avions proposé 3 fédérations : la ville de Lubumbashi est une fédération, une fédération de Lualaba et une troisième fédération est envisagée.

Là aussi, c’était le même exercice. Nous avons implanté le parti, en recrutant les cadres qui, à leur tour, sont en train de recruter les membres et présenter aussi les candidats des différentes juridictions. Là, nous avons aussi aligné des candidats, sauf dans les territoires de Kongolo, Lualaba et de Kolwezi parce je viens de lire le rapport qui m’est parvenu et je n’ai pas fini son analyse. Mais, il est vrai que dans ces 3 provinces où j’ai fait des tournées, nous avons aligné des candidats. Mais, il y a aussi la fédération de l’Equateur. Nous avons aligné des candidats à Boende, Basankusu et à Gemena. A la fédération de Sud-Kivu, nous avons aligné un candidat à Bukavu parce le Président Fédéral que nous avions choisi est parti en voyage aux Etats-Unis et nous allons nous rattraper en ce qui concerne les députés provinciaux. Ce n’est que dans la Province Orientale et le Maniema qu’on n’a pas aligné de candidats. Mais, dans tout le reste, au Kasaï Oriental, Mbuji-Mayi, Sankuru, Kasaï Occidental, Tshikapa, Kananga, Kamonia, Tshikapa-Ville, c’est chose faite. Voilà, en deux mots, ce que nous avons abattu comme travail sur le plan de la visibilité du parti pour son implantation et enfin, sur le plan de la prospection des candidats. Nous sommes prêts pour la compétition électorale. La Pros : Avec combien de candidats, au total ? LB : Permettez, je viens de rentrer d’un voyage. Je ne suis pas encore arrivé à cumuler tout ce nombre des candidats. Je crois que d’ici la fin de la journée, je vous donnerai la réponse. La Pros : Et, si nous regardons de près, ce travail est interne par rapport au parti. Le Mouvement de Solidarité pour le Changement a-t-il des relations avec les autres partis frères. Est-ce que vous avez pris des contacts avec différentes formations politiques ? LB : Monsieur le journaliste, je crois que si vous lisez le dépliant de notre parti, vous constaterez que nous sommes neutres. Ni de l’Opposition, ni de la Majorité. Mais, il est vrai que nous sommes un jeune parti. Nous travaillons chaque jour pour son implantation et sa visibilité. Face aux enjeux, nous sommes là. Etant donné que des consultations sont encore embryonnaires, je ne peux pas dire quelle est notre position. Mais, j’en appelle à certains partis ici, j’ai eu à lire ou regarder à travers la télévision, beaucoup de candidats ou partis qui se déclarent indépendants. J’ai entendu parler de M. Kakese Malela, candidat à la présidentielle, qui se dit, lui aussi, du centre. Nous sommes conscients qu’en politique, les négociations sont toujours utiles, surtout en ce moment précis. Mais, nous sommes en train d’appeler les partis qui veulent nous rejoindre pour que nous puissions créer une plateforme des centristes, où nous serons des juges pour sanctionner la Majorité et l’Opposition. La Pros : En tant qu’acteur majeur de la politique de notre pays, vous avez assisté dernièrement à une vive tension entre les combattants de l’UDPS et les militants du PPRD. Quelles leçons en avez-vous tirées et quels conseils pouvez-vous donner ? LB : Merci. Les premiers incidents ont eu lieu quand j’étais à Lubumbashi. Il y avait une marche à laquelle j’ai assisté où les militants de l’UDPS/Lubumbashi marchaient vers le bureau de la CENI, pour dénoncer la tricherie et le fait de ne pas afficher la liste électorale. Ils voulaient bousculer la CENI pour que le serveur central soit consulté par tout le monde.

C’était un mercredi et je crois qu’à Kinshasa, je me rappelle, il y avait le même mouvement. Par la suite, il y a eu encore d’autres mouvements lors du dépôt de la candidature du Président Etienne Tshisekedi, où il y avait des casses au siège du PPRD et le lendemain ou dans la même soirée, il y a eu un incendie à la RLTV et même, plus tard, au siège de l’Udps, à Limeté. Je sais que le pouvoir s’arrache et c’est pour cela qu’il y a l’organisation des élections. Et, si certains préalables ne sont pas réunis, il est vrai que la pression puisse demeurer parce que le pouvoir estime rester au pouvoir et l’Opposition veut assurer l’alternance. Voilà pourquoi, il y a des frictions là-dessus. A mon avis, elles seront continuelles jusqu’après les élections. Les turbulences vont demeurer parce que la Majorité estime qu’elle est au pouvoir. Elle a tous les atouts, pour y demeurer par rapport aux ressources financières dont elle dispose, par rapport aux différents cadres qui sont dans la gestion de la chose publique. Ils ont la possibilité d’emmagasiner des ressources financières suffisantes, pour aligner leurs candidats en ordre de bataille. Et, l’Opposition n’a que la parole, l’expression pour pouvoir se déterminer. Voilà pourquoi, en plus de l’expression par la parole, il y aussi l’expression à travers des manifestations. Quand ils n’obtiennent pas gain de cause, ils ont le droit, ils ont raison de pouvoir faire pression. Il est vrai, selon une certaine opinion que le pouvoir peut se retrouver en ballottage par rapport à des alliances si l’Opposition y va en bloc, contre la Majorité. Certainement que les candidats Présidents de la République issus de l’Opposition vont, au finish, se regrouper. Et, s’ils se regroupaient, ce serait au danger pour la Majorité. Si vous lisez le tableau, l’alliance Kamerhe, Ne Mwanda Nsemi au niveau du Bas-Congo. Kinshasa, c’est pratiquement le fief de l’Opposition, à mon avis. Le Bandundu, le Palu est en ballottage, parce que leurs Députés n’ont rien apporté dans leurs fiefs électoraux. Je vous le confirme parce que j’ai parcouru la province. C’est pour cela que le Palu a estimé bon d’aligner d’autres candidats que ceux qui étaient là, comme Députés d’aujourd’hui. C’est parce qu’ils sont en ballottage. Si je prends l’exemple de Masimanimba qui se trouve être mon fief d’origine, Masimanimba a apporté au Palu 5 Députés sur six. Et, dans les 5 députés, il n’y a aucune réalisation dans le territoire de Masimanimba. Donc, aujourd’hui, Masi a vomi le Palu. C’est pour dire que le Bandundu aujourd’hui, le Palu pourrait disposer de 35 % de chance alors qu’il en avait 95 %. C’est ainsi que je dis que la Majorité est en danger. S’il n’y a pas de tricherie, elle risque de perdre. C’est pour cela que l’Opposition fait pression sur la CENI, sur le serveur central pour qu’il soit partagé ou consulté par tout le monde. Et non seulement ça, la publication du fichier électoral posera problème. Il est vrai que le fichier de 2006 comporte des décès, des gens qui sont en mouvement à travers le pays ou dans le monde. Aujourd’hui, à l’Est, les FDLR se sont accaparées de certains fiefs électoraux. Ce n’est pas un tabou, Marcel, que je suis en train de regarder par rapport à la population concernée. C’est une évidence : la Majorité sera en difficulté, si les candidats de l’Opposition se mettent ensemble.

La Pros : Pour vous, les élections apaisées, c’est un leurre ? LB : les élections apaisées, pour moi, disons que c’est un souci de tous. Tout le monde veut qu’il y ait des élections apaisées. Mais, concrètement, ce ne sera pas possible, par rapport aux signaux que je viens d’énoncer. La Pros : Quel est l’intérêt aujourd’hui pour les partis politiques de signer le code de bonne conduite ? Je ne sais pas si le MSC l’a signé, comme les autres ? LB : Regardez ! C’est par rapport à la télévision. Les gens veulent prouver qu’ils s’alignent sur un principe. Mais, le fond, l’intérieur est tout le contraire. Le code de bonne conduite, c’est vrai que l’UDPS qui se sent être réellement comme parti autonome, pose des préalables. Aussi longtemps que la CENI ne répondra pas à ces préalables, l’Udps n’y verra aucun d’intérêt. Pourquoi vont-ils signer le code de bonne conduite dans ces conditions là ? Donc, ils n’ont pas de raison. Les autres là, signent par apparence…(Rires). La Pros : Et, même là, ils ont désigné des politiques au lieu de techniciens pour l’audit du serveur central. N’est-ce pas là, une nouvelle distraction ? LB : A mon avis, les politiques ne seront pas seuls. Ils seront accompagnés de techniciens, pour déceler les différents jeux de cache-cache qui peuvent être enregistrés. Il est vrai que j’ai discuté avec des techniciens…de notre famille politique. Ils me disent que le vrai problème, c’est le serveur central. Donc, l’UDPS ou l?


Candidat Député national à Kabinda - Alain Lubamba, l’ennemi de la mauvaise gouvernance ! Lundi, 26 Septembre 2011 07:00 8 Commentaires Envoyer En marge du dépôt de sa candidature à la Députa

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 Créé le 26-09-2011 à 10h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le lundi  26-09-2011 à  16h55| AFRIQUE REDACTION PAR :LA PROSPERITE

 

 



En marge du dépôt de sa candidature à la Députation Nationale à Kabinda, dans le Kasaï-Oriental, M. Alain Lubamba, Vice-ministre honoraire aux Affaires Etrangères et au Budget, PCA au CEEC, a adressé un important message à des milliers de compatriotes qui, affirme-t-il, croient et ont confiance en lui. Tout simplement, argumente-t-il, parce qu’il incarne des valeurs fondamentales de notre société. ‘‘Les gens me suivent d’abord parce que je suis un de leur et donc, un homme issu de la masse. Ceci étant, je connais leurs problèmes, leurs attentes et je sais comment obtenir des résultats durables’’, a-t-il déclaré, avant de soutenir qu’il a des pensées politiques fraîches, novatrices et des idées nouvelles pour des réponses appropriées. Le temps est donc arrivé, a-t-il dit, pour que le peuple impose, dans les affaires publiques, une nouvelle génération dynamique et accessible, avec des nouvelles perspectives pour un Congo meilleur. Alain Lubamba a promis d’être cet infatigable défenseur des droits humains et des droits économiques : d’être l’ennemi le plus farouche des abus et de la mauvaise gouvernance. Mieux, le député qui se battra pour le bonheur et l’intérêt de tous. Aussi, appelle-t-il les électeurs de Kabinda à voter pour lui mais également pour Joseph Kabila pour le triomphe du renouveau politique, économique et social; de même que pour la poursuite de l’œuvre de la consolidation de la paix, du désenclavement du pays afin de promouvoir la production agricole et l’évacuation des produits agricoles vers les grands centres urbains et faciliter la libre circulation des biens et des personnes ; ainsi que du développement des infrastructures, secteur porteur de croissance économique. Ci-après, l’intégralité de la déclaration de M. Lubamba Alain lors du dépôt de sa candidature à la députation nationale à Kabinda.

La déclaration de Monsieur Alain LUBAMBA WA LUBAMBA à l occasion du dépôt de sa candidature à la députation nationale Par Alain Lubamba Wa Lubamba, vendredi 23 septembre 2011, 09:16 Vu mon expérience dans la gestion des affaires de l’Etat, ainsi que ma connaissance des attentes de nos populations, Moi, Alain Lubamba Wa Lubamba serai non seulement mieux positionné pour être le porteur de la voix du peuple congolais particulièrement celle du peuple songyé à l’Assemblée Nationale, mais aussi celui qui s’assurera auprès des institutions étatiques et paraétatiques de la bonne gouvernance pour mieux répondre aux attentes du peuple congolais. M’assurer de l’amélioration progressive des conditions socio-économiques sera ma priorité. Dynamique, ambitieux, innovateur, fédérateur, visionnaire donc capable d’anticiper l’avenir politique, Je suis un leader avec un cœur droit et des idées claires au service du peuple. Toujours dans ma quête active du bien-être de notre population, il y a quelques leaders d’antan ou actuels qui sont mes modèles. Ils me fascinent, m’inspirent et motivent mon combat politique. Je me réfère au Seigneur Jésus-Christ de Nazareth. Lorsqu’on lui posait une quelconque question, il répondait toujours avec l’esprit de service : comment être le premier, tout en étant le dernier ou le serviteur de tous. Il a même dit qu’il était venu pour servir et non pour être servi ». Pour moi, son dernier repas pascal résume toute sa philosophie du leadership au service des autres. Il lava les pieds de ses disciples et leur dit : « De même que je l’ai fait pour vous, faîtes-le les uns pour les autres ». Il parlait toujours de l’avenir. Il n’a cessé d’encourager les gens, non seulement à changer eux-mêmes, mais à convertir les autres et leur environnement. Inspiré par cette philosophie du Christ, lors de mon enrôlement à KABINDA, activité au cours de laquelle une foule immense m’accompagnait, j’ai refusé, contrairement aux habitudes, de monter sur le « tshipoyi » qui m’avait été présenté pour la circonstance par mes partisans. Estimant qu’il me revenait à moi en tant que serviteur de la population, de porter cette population sur le « tshipoyi » ou les épaules, et non le contraire. Je m’intéresse aussi à Martin Luther King. Grand visionnaire et défendeur des droits humains qui a marqué son époque, a dédié sa vie pour les sans voix, les opprimés et les laissés pour compte. Ce rêve qu’un jour les hommes ne seraient plus jugés selon leur couleur de peau mais selon la qualité de leur personnalité. Il avait le regard fixé vers l’avenir. J’ai toujours pensé également à Nelson MANDELA, un homme politique qui a passé presque vingt-huit ans en prison à cause de sa lutte pour la liberté et pour une société Sud-Africaine plus juste. Il fut libéré et malgré les atrocités vécues, il n’a pas manifesté de colère, et encore moins la vengeance. Au contraire, il en est sorti avec le désir de servir sa patrie.

Il a même invité ses gardiens de la prison à son investiture à la Présidence de l’Afrique du Sud. Il avait une vision de l’avenir. A l’instar de ces grands hommes, je suis le leader désintéressé au matériel et désireux de rendre service. J’ai une écoute profonde. Des milliers de mes compatriotes croient et ont confiance en moi parce que j’incarne des valeurs fondamentales de notre société. Les gens me suivent d abord parce que je suis un de leur donc un homme issu de la masse. Ceci étant, je connais leurs problèmes, leurs attentes et je sais comment obtenir des résultats durables. J’ai des pensées politiques fraîches, innovatrices et des idées nouvelles pour des réponses appropriées. Le temps est donc arrivé pour que le peuple impose, dans les affaires publiques, une nouvelle génération dynamique et accessible, avec des nouvelles perspectives pour un Congo meilleur, tel est le défi du congolais du 21ième siècle. Je serai l’infatigable défenseur des droits humains et des droits économiques. Je serai l’ennemi le plus farouche des abus et de la mauvaise gouvernance. Mieux, je serai le député qui se battra pour le bonheur et l’intérêt de tous. Le 28 novembre 2011, jour des élections législatives, je m’offrirai au choix des électeurs du territoire de KABINDA. Pour ce faire, j’ai besoin du concours de tous les ressortissants de Kabinda, notamment dans la campagne téléphonique pour ceux des Songye et amis vivant en dehors du territoire de KABINDA et cela, pour le triomphe du renouveau politique, économique et social que nous portons tous. A cette même date du 28 novembre, j’invite et exhorte l’ensemble des congolais à opter pour la continuité de la révolution de la modernisation et de la reconstruction du Congo. L’élan de la transformation du Congo-Kinshasa a déjà pris son envol. Un élan jamais connu et vécu depuis plus de cinq décennies. Il s’agit d’opter à l’élection présidentielle pour Joseph KABILA KABANGE, Candidat à sa propre succession, pour poursuivre l’œuvre de la consolidation de la paix, du désenclavement du pays afin de promouvoir la production agricole et l’évacuation des produits agricoles vers les grands centres urbains et faciliter la libre circulation des biens et des personnes ; ainsi que du développement des infrastructures, secteur porteur de croissance économique. Alain Lubamba wa Lubamba Candidat à la députation nationale 2011 En RDC.


Indus économiques : Congo Futur défie le gouvernement !

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 Créé le 26-09-2011 à 10h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le lundi  26-09-2011 à  16h55| AFRIQUE REDACTION PAR :AFRICANEWS




Ça n’arrive qu’en RD-Congo : un opérateur économique se paie le luxe de narguer le gouvernement au point de refuser de payer les taxes après un – contrôle économique dûment opéré! En- dépit - de la conclusion de l’audit international de Price Waterhouse sollicité et obtenu par Socimex et Congo Futur, ces - gros importateurs réfractaires à l’imposition de USD 60 millions à -laquelle les avait soumis,

après un contrôle des services du ministère de l’Economie, Jean-Marie Bulambo Kilosho, l’ancien ministre de l’Economie passé aux Petites et moyennes entreprise –PME-, Congo Futur n’a jamais consenti à verser ne serait-ce qu’un dollar dans les caisses de l’Etat.
L’approche comptable adoptée par l’auditeur international ayant donné un résultat quasi similaire à celui produit par l’approche économique cher à Bulambo, Socimex et Congo Futur avaient consenti de se conformer aux exigences légales. Socimex a payé une première tranche de USD 3 millions dont USD 142 mille ont été rétrocédés aux agents et fonctionnaires du ministère de l’Economie, qui en savent gré à Bulambo dès, lors que ce redressement sortait de l’ordinaire. Des sources rapportent que  Socimex a versé une deuxième tranche et les agents attendent une fois de plus jouir des bénéfices de la rétrocession. Aucun signal enregistré côté Congo Futur. La société devait certainement être en droit de se réjouir du départ de Bulambo du portefeuille de l’Economie. Néanmoins,  ceci pose le problème de continuité de l’action de l’Etat. Et sur ce point précis, les observateurs affirment que le nouveau locataire du ministère, transfuge de l’ANR, le rigoureux Daruwezi, va user de la même fermeté que son prédécesseur pour faire respecter l’autorité de l’Etat.
Alors que le secteur émet déjà des signaux inquiétants avec la hausse des prix des surgelés, des  économistes sonnent le tocsin, en appellent à la vigilance du nouveau ministre et à l’équité : Congo Futur doit arrêter de défier le gouvernement tout comme des éclaircissements doivent être fournis quant à la hauteur des chiffres du contrôle fiscal effectué au cours de la même période.
                                                                                                           Natine K.

Plan B : réaction de Mbusa Nyamwisi

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 Créé le 26-09-2011 à 10h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le lundi  26-09-2011 à  17h15| AFRIQUE REDACTION PAR :AFRICANEWS

 



J’ai lu avec étonnement l’article intitulé « Une fatWa contre Kabila, le Plan B du trio Kamerhe — Mbusa— Kamitatu » paru à la Une de votre parution n°639 du 20 septembre 2011. Dans cet article, l’auteur s’est évertué à ternir mon image de candidat Président de la République à l’élection du 28 novembre prochain, en m’accusant de participer à un complot ourdi contre le Chef de l’Etat.


De tells imputations pourraient, en cas de récidive, faire l’objet de poursuites judiciaires.
Je constate avec regret que l’article susmentionné Constitue non seulement une provocation mais présage également un projet macabre contre ma personne et contre le électoral.
Il est déplorable qu’AfricaNews s’emploie à détourner l’attention du Peuple congolais en répercutant des élucubrations fondées sur la panique et l’agitation qui s’installent dans les cercles du pouvoir parallèle de Kinshasa depuis ma démission du Gouvernement issu des élections de 2006, l’heure de vérité étant arrivé.
Ces officines, au lieu d’aider te Président de la république à rencontrer les attentes du peuple et de veiller au contenu des discours de leur champion, dévoilent une fois de plus leur incapacité à assurer la réélection loyale de celui-ci, allant jusqu’à envisager de créer une psychose, contrairement aux codes de bonne conduite qui visent l’apaisement du climat électoral.
Ainsi donc, contrairement aux allégations de votre journal et faute de bilan social, la peur de perdre les élections se situe plutôt du côté du pouvoir, sortant, que ses adversaires conviennent ou non d’une candidature commune.
Je prends ici l’opinion nationale et internationale à témoin sur cette manoeuvre d’arrière garde et rappelle que lors de ma conférence de presse du lundi 12 septembre 2011, j’avais déclaré ce qui suit : « Par mon engagement, je veux avant toute chose adresser un message clair : Un autre Congo est possible. La voie de la violence ne peut en aucun cas être empruntée. L’ALTERNANCE EST POSSIBLE PAR LES URNES ». Il est à noter que la dénonciation des maux qui gangrènent les institutions de la République et la société ne doit en rien être assimilée à un attentat, sauf pour ceux qui veulent pérenniser le noyautage de l‘Etat congolais.
Je saisis enfin cette occasion pour inviter le peuple congolais au calme et à la vigilance afin de démasquer ces bourreaux qui veulent faire passer leur chef pour une victime.
Vous voudrez bien, j’en suis convaincu monsieur l’éditeur, publier le présent droit de réponse à la Une de votre publication et convenir avec moi qu’un nouveau Congo est possible dans tous les domaines.
                                                                                 Antipas MBUSA NYAMWISI


Ils ont violé l’article 85 : Députés à invalider

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 Créé le 26-09-2011 à 10h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le lundi  26-09-2011 à  17h15| AFRIQUE REDACTION PAR :AFRICANEWS

 



Ces élus sont appelés à avoir le courage de leur choix. Ils ont volontairement postulé sur les listes des partis autres que ceux qui les ont mandatés au Palais. Ils ont donc démissionné de fait leurs anciennes formations politiqués et doivent, par conséquent, renoncer à leurs mandats respectifs, conformément au Règlement intérieur de l’Assemblée nationale.


Ils vont devoir faire face à leurs propres consciences... et au Règlement intérieur de l’Assemblée nationale; Ils doivent choisir entre leurs anciennes amours et leurs nouvelles formations politiques. Certains députés sont sans nul doute devant le dilemme de leur vie : pour s’être porté candidats sur des listes autres que celles des partis dont ils ont obtenu mandat à l’issue des législatives de juillet 2006 pour siéger à l’Assemblée nationale, ces élus doivent suivre l’exemple de Vital Kamerhe et Pius Mwabilu Mbayu, ces ex-élus PPRD qui ont quitté le parti et renoncé en même temps à leurs mandats respectifs !

Se jeter dans la bataille pour la députation nationale du 28 novembre 2011 devait être une banale formalité pour tous les candidats.
Sauf que l’aventure est en train et de virer au vinaigre pour certains, pas prêts à abandonner le chemin de l’hémicycle de Lingwala mais désormais butés à une dure réalité : se conformer à l’article 85 du Règlement intérieur de l’Assemblée nationale qui contraint tout député ayant librement quitté son parti à renoncer à son mandat parlementaire.
Volontairement ou sans s’en rendre compte, des députés se sont fait surprendre. Pris à leur propre piège.
Ils vont faire parler d’eux auprès de leurs bases et de l’opinion selon qu’ils se plieront ou pas à la volonté du législateur.
Qu’ils le digèrent ou pas, des dizaines voire des centaines d’élus vont se séparer de leurs collègues et laisser la place à leurs suppléants qui n’attendent que cette occasion pour goûter, fut-ce pour les quatre ou cinq mois restants, aux délices d’être honorables.
Et si la logique devait être poussée jusqu’au bout, ce sont les députés suppléants qui, après la validation de leurs mandats, devront bénéficier des indemnités de sortie de toute la législature. Parmi les violeurs de l’article suicide, une vingtaine que les limiers d’AfricaNews ont découverts.
Leurs noms : Delly Sesanga, ancien du MLC, candidat sur la liste ENVOL dans la circonscription de Luiza, au Kasaï occidental, Alex Kande, un autre élu du MLC inscrit sur la liste CAAC dans la même province, notamment dans la ville de Kananga.
Quatre autres ex-élus MLC sont logés à la même enseigne: Faustin Kambala Ilunga, l’actuel président de la commission PAJ de l’Assemblée nationale répertorié sur la liste CAAC, à Tshikapa, Pitchou Bolenge, passé sur la liste MSR à Funa, Yves Kisombe sous le label du Bloc des nationalistes rénové -BNR- à la Lukunga, et Adam Bombole, signalé candidat indépendant à la présidentielle et à la députation nationale.

Entre le marteau de l’ambition et l’enclume de la légalité
Des députés ex-UDEMO sont également pris à ce même piège : Cyrille Manzembele et Ticien Longomo pour le compte de l’Alliance des démocrates mobutistes -ADEMO-, Gape Monoko, parti renforcer le contingent du MSR en Province orientale et Jean-Pierre Kpawili, retrouvé dans le quota de la DDC. La même DDC voit son président national Jean-Marie Ingele Ifoto quitter les Forces du Futur/Camp de la Patrie.
Avec lui ses anciens courtisans Denis Kambayi et Patcho Panda, nouvelles recrues de RRC.
Dans les mêmes rangs de RRC figure aussi Serge Kayembe.
Les trois ont été aperçus à la dernière sortie remarquée de Joseph Kabila à Kinagakati-Buene, à l’Est de Kinshasa. Ancien du RCD, le député de la Tshangu Matadi Neng a Gamanda est passé au MSC comme son compère député provincial de Kinshasa Laurent Batumona. Une dame e signale dans le groupe : Elysée Dimandja, ancienne élue CODECO enregistrée sur la liste UDECF à Funa.
Ces élus ont peut-être pris soin de cacher leur jeu mais les listes provisoires publiées par la CENI les ont dévoilés. Ils sont pris entre le marteau de l’ambition ou de la liberté et l’enclume de la légalité.
D’autres noms sont encore tapis dans l’important portefeuille des noms que la CENI a publié.
Nous nous ferons le devoir de les démasquer et d’en faire écho au souverain primaire, le seul détenteur du vrai pouvoir. A ces honorables députés, qui ont pris la décision de violer, volontairement ou non, leur propre règlement intérieur, l’opinion dit : dégagez! Et avec vous tous les avantages dus à votre rang. L’heure des suppléants, qui auront trimé quatre ans durant, a sonné.
                                                                                                           Natine K.

 

     

 

 

 

 

 

Appel patriotique de Roger LUMBALA pour sa télévision RLTV brûlée par les sbires de Joseph KABILA

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Créé le 26-09-2011 à 10h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le lundi  26-09-2011 à  17h15| AFRIQUE REDACTION PAR :ROGER BONGOS

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Roger LUMBALA  Proche d'Etienne TSHISEKEDI ( UDPS)

 

 

Roger LUMBALA est Paris pour rencontrer l'opposition, les Combattants et la société civile pour une meilleure coordination stratégique pour la victoire prochaine d' Etienne TSHISEKEDI aux élections présidentielles.

 

Sa télévision : Radio Lisanga Télévision a été incendiée par les Sbires de Joseph KABILA KANAMBE, la seule télévision qui faisait la promotion de la compagne de Tshisekedi Wa MULUMBA. Aujourd'hui, il vient vers vous, pour votre soutien afin que cette télé rediffuse de nouveau.

 

Apportez votre contribution urgente pour cet outil qui permet de passer le message de l'opposition. Je tiens à vous préciser que Joseph KABILA a sous ses bottes 5 télés : Télé 50; Digital Télé; RTGA; RTVS 1; RTNC...Contact : Roger LUMBALA 07 70 61 31 14...Sans cet appui, je peux vous dire d'après ses propos, le combat sera inégal...

APPEL DE ROGER LUMBALA POUR REDEMARRER SA TELE R.L.TV. BRULEE PAR JOSEPH KABILA

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Créé le 26-09-2011 à 10h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le lundi  26-09-2011 à  21 h15| AFRIQUE REDACTION PAR :ROGER BONGOS

 

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Un appel pathétique et patriotique de Roger LUMBALA pour aider la Télé RLTV d’émettre de nouveau !

 

Si vous souhaitez que les infos passent, que les Congolais qui vivent RDC soient au contact avec la réalité ou les réalités politiques et les manœuvres Kabilistes et Rwandophones lors de ces élections, alors, il faudra vous mobiliser pour apporter votre pierre à l'édifice... Les Congolais parlent beaucoup et réagissent très peu aux élans patriotiques pourquoi, Dieu seul le sait...Je ne veux plus parler de la malédiction !

 

Les élections se gagneront avec les médias pas avec l'Internet ! Les Congolais de la Diaspora ne votent pas, à quoi bon de vous fatiguer sur le Net ?

 

La RDC est souvent plongée dans le noir sans électricité, et 1% de la population a droit seulement à ce privilège, et le combat se joueront en RDC pas dans la diaspora...Vous vous trompez de cible ! La pression, l'activisme de la diaspo oui ! Mais les vrais enjeux c'est en RDC qui se joueront !!!

 

De grâce, épargnez nous vos discours, vos chants sur la victoire d'Etienne Tshisekedi aux prochaines échéances électorales . Une chose est certaine, l'opposition est derrière lui, mais cette opposition a besoin d'un sursaut patriotique des uns et des autres...

 

La liste des matériels qui feront redémarrer la chaîne RLTV est là...C'est à vous de voir ! Après nous allons encore accepter l'inacceptable !

 

Comment pourriez vous imaginer que l'opposition, UDPS y compris ont seulement cotisés pour le soutien de cette chaîne à la hauteur de 520 $ (Martin FAYULU, Diomi NDONGOLA, Oleghan NKOY, J.CVUEMBA, Steve MBIKAYI, Lusanga BONGANGA, Serge MAYAMBA). Je vous rappelle que tous ces noms cités, ont seulement donné la somme de 520$, tous réunies...Quelle honte !

 

Et vous voulez me parlez de la victoire d'Etienne TSHISEKEDI ?

Joseph KABILA d'après les infos qui nous parviennent, il mettrait en jeu 100 millions de $ pour ces élections, qui dit mieux ? La réalité de la RDC n'est pas celle de la DIASPORA..

 

Pour votre gouverne, Joseph KABILA a sous ses bottes des télés caporalisées thuriféraires qui sont :

 

Télé 50; Digital Télé; RTGA; RTVS 1; RTNC...Contact : Roger LUMBALA 07 70 61 31 14 ou 06 61 49 25 07...Sans cet appui, je peux vous dire d'après ses propos, le combat sera inégal...

 

 

Les matériels dont la Télé RLT V a besoin !

 

La liste des matériels pour permettre à la RLTV de rediffuser de nouveau avant la grande campagne électorale en vue des élections présidentielles et législatives en RDC

 

  1. Tables de mixages vidéos avec 4 sorties

  2. 2 tables de mixages audio (de 8 à 36 pistes )

  3. 7 caméras HVD, DVCAM, PANASONIC, CANON

  4. 3 Appareils caméras HDD

  5. Trépieds

  6. Lecteurs DVD, CD

  7. Magnétoscopes

  8. Lumière ( mandarine 2000 à 5 000 Watts)

  9. Micros ( Perche, conférence et cravates)

  10. Ordinateurs ( Imac, PC, Pentium 4 ou plus haut )

  11. Onduleurs

  12. Convertisseurs

  13. Logiciels de montage ( Final cut )

 

Roger BONGOS

Tshikapa : Une évasion de plus

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Créé le 27-09-2011 à 10h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le mardi  27-09-2011 à  11 h05| AFRIQUE REDACTION PAR :LES DEPECHES DE BRAZZAVILLE 



Depuis le début de ce mois, plus de 1000 prisonniers se sont soustraits de leurs lieux de détention en RDC. Après Lubumbashi (Katanga) et Mbandaka (Équateur), le syndrome des évasions dans le pays a atteint la ville de Tshikapa, au Kasaï Occidental, où 114 détenus ont quitté la prison centrale le 25 septembre. Selon l' « Agence Chine nouvelle », l'évasion aurait été favorisée par l'écroulement d'un mur de ladite prison la veille.

L'on compte notamment un prisonnier tué et plusieurs autres blessés lors de l'opération, la troisième du genre depuis le début du mois de septembre. Des sources locales ont précisé, à cet effet, que la personne décédée avait reçu une balle dans la tête lorsqu'elle escaladait le mur de la prison. Cette institution pénitentiaire compte au total 188 prisonniers.

Cette nouvelle évasion apporte de l'eau au moulin de ceux qui ne cessent de critiquer l'absence de sécurité dans les prisons de la RDC. Car en moins d'un mois, ce sont plus de mille prisonniers qui se sont échappés des prisons dont 963 au Katanga. L'état de délabrement avancé des infrastructures et les mauvaises conditions alimentaires seraient notamment à la base de ces évasions.

Selon des rapports des ONG locales et internationales, les institutions pénitentiaires de la RDC sont pour la plupart surpeuplées. Les policiers et autres militaires commis à la sécurité des prisons sont souvent en nombre inférieur et sous équipés pour faire face à des éventualités. C'est notamment pour pallier ces difficultés que le gouvernement avait décidé d'orienter les détenus vers certaines prisons moins peuplés en Équateur, en Province Orientale et au Katanga.    

Notons que l'évasion d'environ un millier de prisonniers de la prison de Kassapa, à Lubumbashi, parmi lesquels le principal chef Mai-Mai Gédéon Kyungu Mutanga et des militaires suspectés d'avoir participé à l'attaque de l'aéroport de Lubumbashi avait suscité une vive polémique au sein de la population. Des voix se sont levées pour exiger la réincarcération du chef Maï Maï, auteur de plusieurs exactions au nord-Katanga.    

Ces évasions sont d'autant plus dangereuses qu'elles interviennent à la veille des élections présidentielle et législatives prévues le 28 novembre et peuvent remettre en cause la sécurité des individus ainsi que de leurs biens dans chacune des villes touchées par ce phénomène.

Jules Tambwe Itagali


Céni : Controverse autour du format des bulletins de vote et la qualité des urnes

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Créé le 27-09-2011 à 10h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le mardi  27-09-2011 à  11 h05| AFRIQUE REDACTION PAR :LES DEPECHES DE BRAZZAVILLE


 

Devant l'affluence de candidats aux législatives nationales, les imprimeurs, les maquettistes et autres fabricants sont mis à contribution pour offrir à la RDC des kits électoraux liés à la spécificité des scrutins. Le décor de l'organisation des élections attendues au mois de novembre est en train, lentement mais sûrement, de se mettre en place avec la publication de la liste définitive des candidats à la députation et à la présidence de la République, suivie par la réception des premiers lots des kits électoraux.
La Commission électorale nationale indépendante (Céni) se livre à une course contre la montre pour se conformer au calendrier électoral sans négliger aucun aspect lié à l'organisation matérielle des scrutins. Là-dessus, il y a quelques soucis à se faire compte tenu de la pléthore des candidatures enregistrées à la députation nationale, laquelle exige de la part de la Céni beaucoup d'imagination pour que la logistique attendue soit réellement à la hauteur de l'enjeu. Avec près de 19 500 candidats députés (un recors par rapport aux 9 632 candidats enregistrés en 2006), il y a lieu de repenser la forme des matériels électoraux disponibles le jour du vote pour ne pas léser certains candidats, pense une certaine opinion.

La difficulté résulte du fait que le bulletin de vote devra impérativement subir quelques modifications en reprenant les noms, les photos, la case à cocher éventuellement par l'électeur ainsi que les logos des partis politiques dont sont membres les candidats députés. Une situation qui se relève un casse-tête pour la Céni qui, d'après certaines langues, s'est finalement vue obligée d'opter pour des bulletins en format A2 - représentant quatre fois la taille d'une feuille de papier standard - avec une dimension de 42 centimètres sur 60.
Outre la grandeur du format et les données devant s'y retrouver telles que citées ci-haut, le pliage dudit bulletin et son introduction dans l'urne posent également problème. « Avec de tels bulletins de vote, il en suffirait juste une dizaine pour remplir une urne de type normal », a ironisé un cadre de l'opposition. Les imprimeurs et maquettistes locaux recensés par la Céni ont été incapables de produire des bulletins de vote de ces dimensions, « sans doute les plus grands que le monde n'ait jamais connus en matière d'élections », ajoute un candidat député sous le sceau de l'anonymat.

« L'impression de ces bulletins de vote doit coûter à la Céni des prix additionnels et plus de 60 affrètements d'avions pour les transporter », a déclaré le rapporteur Matthieu Mpita, au cours du dernier point de presse hebdomadaire de son institution.
C'est dans ce cadre, d'ailleurs, qu'il faudra situer le séjour en Afrique du Sud du vice-président de la Céni, Jacques Djoli, pour finaliser avec l'imprimeur les travaux d'impression des bulletins de vote reprenant les photos de tous les candidats retenus au scrutin de novembre. D'aucuns s'interrogent, en outre, sur le sort du matériel électoral déjà réceptionné par la Céni, notamment les urnes ordinaires dont une grande quantité aurait été acheminée vers les bureaux de vote et autres centres de compilation à l'intérieur du pays. 

Alain Diasso

Processus électoral : Opposition et majorité réfléchissent sur l'avenir du pays à Addis-Abeba

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Créé le 27-09-2011 à 10h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le mardi  27-09-2011 à  11 h05| AFRIQUE REDACTION PAR :LES DEPECHES DE BRAZZAVILLE


 


Initiée par l'Institut d'études de la paix et de la sécurité, la rencontre vise une large concertation entre les Congolais de tous les horizons autour des grands défis de l'heure. C'est en principe ce 27 septembre que le forum sur la paix et la sécurité en RDC, initié par l'Institut d'études de la paix et de la sécurité (IPSS) de l'université d'Addis-Abeba, en Éthiopie, clôture ses travaux. Les participants à cette rencontre ont eu à débattre du processus électoral et les perspectives de paix et de sécurité dans le pays en cherchant, à travers une réflexion plurielle, à baliser la voie pour la tenue des élections libres, transparentes et apaisées.
En attendant les conclusions de ce forum auquel participent tous les intervenants au processus électoral en cours, d'aucuns pensent que ces assises devraient s'atteler à rassurer la communauté internationale qui continue à redouter l'issue des scrutins pouvant éventuellement déboucher, si on n'y prend garde, sur des contestations et violences postélectorales. D'où la nécessité de ce forum qui a permis aux parties invitées de se mettre d'accord sur les termes de référence devant garantir la transparence des résultats et l'atterrissage en douceur de différents scrutins.

La rencontre d'Addis-Abeba, indique-t-on, s'inscrit dans la droite ligne de celle organisée en Afrique du Sud, ayant accouché d'un code de bonne conduite auquel avaient souscrit tous les participants. Cette fois-ci, il s'agit d'aller au-delà du simple chapelet de bonnes intentions pour dégager des pistes susceptibles d'éloigner le spectre de la violence et de la contestation dans le jeu électoral, de sorte que les résultats reflètent réellement la vérité des urnes. « Les Congolais ont intérêt à ne pas gâcher la nouvelle chance de paix, de démocratie, de cohésion nationale, de saine compétition, de libre choix des élus qui s'offre à eux », commente un analyste qui pense que la rencontre d'Addis-Abeba est d'une portée salutaire compte tenu du fait qu'elle met autour d'une table les différents protagonistes de la scène politique congolaise.

Outre l'enjeu électoral, les participants ont eu aussi la latitude de réfléchir sur le développement de la RDC pour le contrôle efficient de ses immenses richesses via l'instauration d'un leadership responsable. Plusieurs partis et regroupements politiques, tant de l'opposition que de la majorité, sont représentés à Addis-Abeba à l'instar du Parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie, de l'Union pour la démocratie et le progrès social ainsi que de l'Union pour la nation congolaise. La société civile y est représentée par le biais de ses différentes structures spécialisées dans le domaine de l'information et de la communication.
Le ministère de l'Intérieur, sécurité et décentralisation, la Céni, la Monusco, l'Union européenne et l'Union africaine participent également à cette réflexion plurielle.

Alain Diasso

Enseignement supérieur et universitaire : Le dernier lot de véhicules des professeurs bientôt disponible

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Créé le 27-09-2011 à 10h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le mardi  27-09-2011 à  11 h05| AFRIQUE REDACTION PAR :LES DEPECHES DE BRAZZAVILLE

 



La conclusion du marché vient également de reconnaître le rôle d'acheteur au comité exécutif de l'Association de professeurs de l'université de Kinshasa (Apukin). Les résultats de la réunion d'évaluation de l'exécution du contrat de vente des véhicules aux professeurs de l'Enseignement supérieur et universitaire (Esu), tenue la fin de la semaine dernière, ont indiqué que le concessionnaire automobile Auto transport company (ATC) a accepté de livrer le lot restant de véhicules dans un bref délai. Le compte rendu de cette rencontre a aussi indiqué qu'une équipe a été mise en place pour fixer le coût global de chaque véhicule, en tenant compte des intérêts liés au crédit et de l'échéance d'apurement de la dette pour chaque acquérant.

Selon cette restitution faite le 23 septembre, il est reconnu le rôle d'acheteur au comité exécutif de l'Apukin, représentant tous les professeurs de la RDC. Cela implique également, note-t-on, en termes d'initiatives liées à l'achat de ces véhicules, notamment en ce qui concerne les démarches d'exonérations et d'obtention des crédits, des conditions nécessaires pour la commande des 900 véhicules restants et déjà prêts à Johannesburg, en Afrique du Sud.

Dans le compte-rendu, les professeurs ont souligné que l'acquisition de ces véhicules a été rendue possible grâce aux premiers efforts d'amélioration des leurs conditions salariales. Ils ont aussi noté qu'il s'agissait là d'un effort qui est appelé à se poursuivre et à se consolider.

Précisons qu'un malentendu a été observé entre le ministère de l'Esu et l'Apukin à propos de ces véhicules commandés pour les professeurs. L'association a reproché au ministère de chercher à s'approprier la paternité de cette action et de la gérer sans elle. Elle a dénoncé également une magouille qui aurait entouré cette opération avec l'intrusion dans la liste de certaines personnes non reconnues comme professeurs.

Dans les réactions, il a également été souligné, contrairement à ce qui a premièrement transparu, que ces véhicules ne constituent nullement un don du gouvernement ni du président de la République. Il s'est agi, ont indiqué les professeurs, de l'exécution d'un contrat de vente à crédit signé entre leur association et ATC. « L'État n'a joué que le rôle de caution », ont-ils expliqué. Les professeurs ont acquis ces véhicules à crédit auprès du concessionnaire moyennant une retenue à la source de leurs primes académiques.

Lucien Dianzenza

Photo : Des professeurs de l'Esu

Élections : L'apôtre Thierry Bongo contre des consignes de vote au sein des églises de réveil Mardi, 27 Septembre 2011 05:56 0 Commentaires Envoyer Pour l'homme de Dieu, ses pairs doivent s'évite

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Créé le 27-09-2011 à 10h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le mardi  27-09-2011 à  11 h05| AFRIQUE REDACTION PAR :LES DEPECHES DE BRAZZAVILLE

 


Pour l'homme de Dieu, ses pairs doivent s'éviter de manipuler des fidèles en leur imposant des candidats. Dans son réquisitoire, le dirigeant de l'Église de Jésus-Christ sur la terre, l'apôtre Thierry Bongo, a dénoncé, à l'approche des élections, des stratégies montées par des responsables des églises de réveil et des responsables politiques, au nom des adeptes. Selon ce pasteur, cette attitude est une manipulation des fidèles pour des visées égoïstes. Elle rentre, a-t-il dit, dans le cadre des actions des entités et sujets commerciaux qui sont en quête des profits et intérêts égoïstes et non dans la vision des églises. Elle relève aussi, a-t-il noté, de l'exploitation des fidèles.

Ce comportement a permis, a expliqué l'apôtre Thierry Bongo, aux nombreux pasteurs d'obtenir des hommes politiques maisons, véhicules et autres biens, au détriment de leurs fidèles. « Ce sont des hommes d'affaires masqués sous étiquette spirituelle », a-t-il fait remarquer. La conduite qu'il dénonce est également critiquée par plusieurs autres pasteurs qui la qualifient de déviation de leurs pairs.

Pour faire échec au piège tendu aux fidèles par leurs pasteurs, l'apôtre Thierry Bongo a lancé un appel au peuple de Dieu en vue de ne pas suivre des consignes données dans ce sens. À l'en croire, les fidèles et la population tout entière doivent se dire d'abords nationalistes et rechercher le bonheur général. « Votez pour celui qui peut servir les intérêts de tous », a-t-il dit. N'obéissez jamais, a-t-il poursuivi, à ces messages assis sur des arguments spirituels en vue de flatter les politiques pour des intérêts personnels.

Dans ses explications, Thierry Bongo qui se dit au-dessus de la mêlée et lié par aucune alliance continue à soutenir sa neutralité et l'absence de couleur dans sa vision. À son avis, l'église doit jouer son rôle pour le développement du pays et de toute l'humanité. Pour y arriver, soutient-il, elle doit fonder toutes ses actions sur la parole de Dieu.

Lucien Dianzenza

Programme national DDR : Les ex-combattants reçoivent les encouragements du ministère de la Défense nationale

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Créé le 27-09-2011 à 10h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le mardi  27-09-2011 à  11 h05| AFRIQUE REDACTION PAR :LE POTENTIEL


 


La foire exposition des œuvres produites par les ex-combattants démobilisés venus de toutes les provinces de la RDC a pris fin, le dimanche 25 septembre, à Kinshasa. Le représentant du ministre de la Défense nationale et des Anciens combattants a saisi l’occasion pour encourager les exposants pour leur contribution à l’effort de développement du pays.

Les ex-combattants qui ont opté pour la réinsertion dans la vie civile, ont mérité les encouragements du ministre de la Défense nationale et des Anciens combattants, Charles Mwando Nsimba qui, à travers son représentant et directeur de cabinet adjoint, Isidore Kabwe, a procédé à la clôture dimanche au terrain Congo Loisirs de Lingwala, de la foire exposition des œuvres variées de ces démobilisés.

Quatre jours durant, les ex-combattants, venus de toutes les provinces de la RDC, ont exposé des produits de leur travail réalisés dans tous les domaines grâce à l’encadrement des partenaires et agences d’exécution qui sont entre autres CARITAS, BIT, FAO, ADEKOR, INPP, HDW, UNICEF. Il s’agit des produits de l’agriculture, de la pêche et de l’élevage, de la maroquinerie avec des souliers et des babouches qui n’ont rien à envier aux produits importés d’Asie ou d’Occident. Chaque partenaire ou agence d’exécution avait pris en charge la formation des démobilisés pour leur apprendre un métier dont chacun est fier aujourd’hui. C’est le cas d’un exposant qui s’est déclaré très satisfait d’être devenu couturier sans regret. Il se félicite de gagner sa vie au quotidien sans rien demander ailleurs et surtout de payer les études de ses enfants. Selon lui, devenir « tailleur » ou couturier est un métier qu’il avait adoré avant même de devenir soldat.

 Fin du Programme DDR

Dans son mot de clôture de l’exposition où certains produits comme les choux, le riz, le haricot, les poissons frais, les marmites fabriquées artisanalement, les tissus hommes et femmes prêts-à-porter, les ceintures en cuir, les chaises, etc, ont manqué d’acheteurs, Isidore Kabwe a salué les œuvres présentées par les ex-combattants et admiré la capacité de ces derniers pour des réalisations qui s’inscrivent dans le cadre de l’effort de développement de notre pays. Il a ensuite visité les divers stands avant d’assister aux réjouissances populaires avec les invités et les exposants.

Pour sa part, un ex-combattant du Nord-Kivu qui a pris la parole au nom de ses collègues, s’est déclaré surpris de découvrir les talents des démobilisés à travers leurs expositions, et a émis le vœu de voir cette foire exposition organisée dans chaque province.

 Interrogé par « Le Potentiel », Grevisse Ditend, administrateur de l’Unité d’exécution du Programme national de désarmement, démobilisation et réinsertion UEPN-DDR, a déclaré qu’il est possible de faire bénéficier à toutes les provinces d’une exposition foraine des ex-combattants.

Selon lui, cette manifestation qui vient de voir le jour à Kinshasa était prévue initialement dans la ville de Kisangani. Mais, a-t-il précisé, les personnes qui devaient s’occuper de cette organisation ont, malheureusement, trouvé la mort dans le crash de l’avion de la compagnie Hewa Bora.

Il s’est déclaré satisfait de la capacité des réinsérés à produire des œuvres de très bonne qualité tout en remerciant les partenaires pour la formation réussie des ex-combattants du pays. A signaler que le vendredi 30 septembre 2011 prendra fin le Programme DDR sous le financement de la Banque mondiale. Mais d’après M. Ditend, cette coopération va se poursuivre avec d’autres partenaires.

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