Créé le 05-11-2011 à 11 h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN | ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le samedi 05-11-2011 à 11H 00 | AFRIQUEREDACTION PAR : RB
CC BY SA Zenman. Soro Kigbafory Guillaume
Elle doit être l'organe de direction, de supervision, d'évaluation et de contrôle de la politique nationale des questions de désarmement, de démobilisation, de réinsertion et de réintégration (DDRR) des ex-combattants.
La commission nationale DDRR aura entre autres missions de définir la politique nationale de désarmement, de démobilisation, de réinsertion et de réintégration, d'assurer la coordination et la cohérence des activités des différents acteurs nationaux et internationaux en matière de DDRR, de définir et d'actualiser un "mode opératoire unique" du DDRR.
Elle devra, par ailleurs, faire le plaidoyer pour la mobilisation des ressources auprès des partenaires au développement.
Entre 55.000 et 70.000 personnes issues des ex-Forces armées des Forces nouvelles (FAFN, rébellion du nord), des groupes d'auto-défense, des personnes associées aux Forces républicaines de Côte d'Ivoire (FRCI, nouvelle armée) mais également des "personnes vulnérables et à risque" sont concernées par le processus de désarmement, de démobilisation et de réinsertion.