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Channel: AFRIQUE REDACTION . L'information en continu ! Afrique au cœur de l’actualité...Infos News sur la RDC, les brèves de la dernière minute. Synthèse sur l’actu internationale. rdcongo-kinshasa, Nord et Sud KIVU, Kinshasa, Bas Congo, Dongo, Equateur, Maniema, Lubumbashi, les deux Kasai. Rédacteur en Chef : BONGOS Roger
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Les collabos et partisans de Joseph Kabila en quête d’asile à Brazzaville

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Créé le 08 -12-2011 à 21h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |   ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le jeudi  08-12-2011 21H00| AFRIQUEREDACTION :bakolo kongo

Au moment où l’imposteur et président sortant Joseph Kabila veut, une fois de plus, s’imposer comme président de la RDC en investissant la capitale Kinshasa avec 20.000 militaires, mercenaires et forces de défense nationale confodues, les dernières nouvelles par rapport à la situation postélectorale en RDC, vont état des collabos du président sortant Joseph Kabila en débandade totale qui tentent par tous les moyens de vider les lieux avant que la bombe de Mulunda Ngoy éclate.


Les sources de vigilance patriotique à Kinshasa rapportent minute par minute à la rédaction de Bakolokongo.com le climat tendu et suicisidaire  qui règne dans la capitale rdcongolaise.Tous les dignitaires du régime défunt de Joseph Kabila sont sous haute surveillance par l’escadron de la mort de Joseph Kabila, de peur de se sauver et le laisser subir seul le châtiment du peuple congolais en ébullition.


En effet, les dignitaires avertis du régime d’occupation de Joseph Kabila qui ont réussi à évacuer leurs familles vers le Congo voisin à Brazzaville avant que la situation s’éclaircisse et se confirme à ce jour, sont les plus chanceux. Actuellement, d’après les sources hôtelières à Brazzaville,  plus de 10.000 membres des familles des dignitaires du régime défunt de Joseph Kabila ont trouvé refuge au Congo voisin de Sassou Nguesso.

 

 

Il s’agit notamment des ministres, sénateurs, députés, conseillers à la présidence de la république, mandataires publics, etc… Les hotels de Brazzaville et environs sont archicombles, certaines familles ont été même obligées de sous loger  d’autres par solidarité, par manque de place dans les hôtels. Certains collabos ont même suplié le président bombardier de la Ceni de patienter encore pour leur permettre de tenter une dernière chance d’évacuer leurs familles à Brazzaville.

 


De Brazzaville, les sources administratives renseignent que la plupart des familles de ces dignitaires ont fait la demande d’asile. Cependant, d’aucuns se demandent à Brazzaville pourquoi tous ces barrons sont-ils entrain de prendre la poudre d’escampette alors qu’ils ont gagné les élections du 28 novembre. Quand, comment et où vont-ils fêter la victoire de leur élection présidentielle ? Mystère. Dans l’attente d’un apaisement de la situation à Kinshasa où l’imposteur Joseph Kabila attend patiemment la proclamation de sa victoire en guise de déclenchement de la guerre contre le peuple congolais, ses collabos espèrent sans conviction regagner le pays.

 


Selon nos sources à Brazzaville, leurs femmes et enfants jurent ne plus regagner le pays par peur d’être victimes de représailles et de règlement de compte  avec la population. Certains confient sans hypocrisie que tout l’entourage de l’imposteur Joseph Kabila  savaient très bien que le peuple congolais en avait déjà marre de leur régime et qu’ils devraient comprendre avant que le pire n’arrive.

 


A Kinshasa, pendant ce temps il revient des sources populaires que la capitale est encerclée par les forces de résistance patriotique, prêtes à capturer le maitre de Kinshasa. Des mouvements suspects sont constatés et signalés dans la capitale. La population a du mal à distinguer les forces régulières à celles de résistance patriotique.

 

 

Tout le monde parle de la fin tragique que doit connaître le régime d’occupation sanguinaire de l’imposteur Joseph Kabila qui ne veut quitter le pouvoir et déguerpir tranquillement  la RDC, malgré le désaveu total du peuple congolais. Les élections sous le pouvoir d’occupation sanguinaire de Joseph Kabila avaient déjà et à plusieurs reprises été dénoncées et rejetées par la grande opinion nationale congolaise. Cette opinion patriotique estime et soutient que les armes doivent parler pour trancher la situation, pour libérer les institutions nationales prises en otage et sauver la jeune démocratie.

 



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