Créé l 19-12-2011- 04h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le lundi 19-12-2011 04H00 AFRIQUE REDACTION PAR:GROUPE FORUM CONGOCITIZEN
Kabila ne doit pas nous voler notre victoire au vu et au su de la fameuse communauté internationale qui agit en complice (en
callabos). La Tunisie annoncée par UDPS lundi et Mardi.
Ne soyons pas dupes mes amis, nous devons engager des actions appropriées. Un travail de terrain doit être fait auprès des militaires et des policiers. Il faut attirer des militaires et des policiers congolais.
Nous devons les convaincre comme en Tunisie de ne pas obéir à ce Rwandais, de ne pas attaquer des congolais non collabos, de soutenir cette révolution, d'utiliser si nécessaire leurs armes contre les ennemis de notre peuple, les collabos de Kabila et les différents mercenaires que ce rwandais a amené au Congo.
Nous devons copier et agir comme les américains qui n’ont pas attendu personne pour en finir avec Oussama Ben Laden, leur ennemi juré. Oussama a été abattu au Pakistan sans l’avis ou la permission des pakistanais car ces derniers étaient des callobos de monsieur Oussama. Les américains ont agi avec force. C’est notre tour de se prendre en mains et d’agir comme des peuples responsables.
Toute action qui vise à déstabiliser l’ennemi est encouragée. Des braves kinois ont déjà montré leur capacité de réagir. En 1998, des soldats rwandais venus du Bakongo pour éliminer Mzee Kabila avaient été brulés sous les yeux du monde entier.
Des mercenaires actuellement à Kinshasa ne connaissent pas cette capitale. Nous sommes capables, c’est maintenant ou jamais, nous devons libérer notre pays entre les mains de ces étrangers.
La communauté internationale fait partie des collabos de Kabila. A part des discours vides et sans résultats, ils n’ont rien fait depuis le debut des élections jusqu’à présent.
Nous devons faire comme des Tunisiens qui ont mis leur président dehors à la surprise générale de l’ambassadeur français en Tunisie et Sarkozy qui continuaient à soutenir Ben Ali et n’avaient pas vu venir son départ.
Nous devons interpeler les membres de nos familles et nos amis qui sont des policiers ou des militaires. Nous devons leur dire de rejoindre cette révolution de notre peuple. Ils doivent agir en mémoire du jeune congolais qui s'est immolé et aux noms de milliers de martyrs tombés pour un État des droits au Congo. Kabila ne doit pas nous voler notre victoire.
Ne soyons pas dupes mes amis, nous devons engager des actions appropriées. Un travail de terrain doit être fait auprès des militaires et des policiers. Il faut attirer des militaires et des policiers congolais.
Nous devons les convaincre comme en Tunisie de ne pas obéir à ce Rwandais, de ne pas attaquer des congolais non collabos, de soutenir cette révolution, d'utiliser si nécessaire leurs armes contre les ennemis de notre peuple, les collabos de Kabila et les différents mercenaires que ce rwandais a amené au Congo.
Nous devons copier et agir comme les américains qui n’ont pas attendu personne pour en finir avec Oussama Ben Laden, leur ennemi juré. Oussama a été abattu au Pakistan sans l’avis ou la permission des pakistanais car ces derniers étaient des callobos de monsieur Oussama. Les américains ont agi avec force. C’est notre tour de se prendre en mains et d’agir comme des peuples responsables.
Toute action qui vise à déstabiliser l’ennemi est encouragée. Des braves kinois ont déjà montré leur capacité de réagir. En 1998, des soldats rwandais venus du Bakongo pour éliminer Mzee Kabila avaient été brulés sous les yeux du monde entier.
Des mercenaires actuellement à Kinshasa ne connaissent pas cette capitale. Nous sommes capables, c’est maintenant ou jamais, nous devons libérer notre pays entre les mains de ces étrangers.
La communauté internationale fait partie des collabos de Kabila. A part des discours vides et sans résultats, ils n’ont rien fait depuis le debut des élections jusqu’à présent.
Nous devons faire comme des Tunisiens qui ont mis leur président dehors à la surprise générale de l’ambassadeur français en Tunisie et Sarkozy qui continuaient à soutenir Ben Ali et n’avaient pas vu venir son départ.
Nous devons interpeler les membres de nos familles et nos amis qui sont des policiers ou des militaires. Nous devons leur dire de rejoindre cette révolution de notre peuple. Ils doivent agir en mémoire du jeune congolais qui s'est immolé et aux noms de milliers de martyrs tombés pour un État des droits au Congo. Kabila ne doit pas nous voler notre victoire.