Crée le 03-02-2012- 14h50 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE
PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le vendredi 03-01-2012 - 14H59 AFRIQUE REDACTION PAR : LE POTENTIEL
Le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, procédera à la présentation devant le Conseil de sécurité du rapport sur les activités de la Mission des Nations unies
sur la stabilisation du Congo (Monusco), le 7 février 2012. C’est dans ce cadre qu’il faut placer le voyage qu’effectue depuis mardi à New York, le représentant spécial du secrétaire général de
l’ONU en République démocratique du Congo, Roger Meece. Avant cette date, Roger Meece se consacre à effectuer une série de consultations en rapport avec sa mission dans notre pays.
La nouvelle orientation de la Monusco, rapporte l’ACP, accorde une importance plus accrue à la consolidation de la paix pour raffermir et faire avancer la
stabilisation du pays, a-t-on appris mercredi du siège de la Mission onusienne à Kinshasa. Le Conseil de sécurité a décidé de prolonger jusqu’au 30 juin 2012, le mandat de la Monusco qui doit
être axée sur deux priorités majeures, à savoir la protection des civils, la stabilisation et la consolidation de la paix.
C’est dans ce contexte que le secrétaire adjoint de l’ONU chargé des opérations de maintien de la paix, Hervé Ladsous, a séjourné du 24 au 27 janvier en RDC pour
une visite de travail, après sa prise des fonctions, il y a plus de deux mois.
A Kinshasa, Hervé Ladsous avait eu des rencontres avec des autorités politiques, des membres du Bureau de la Commission électorale nationale indépendante (CENI) et
des représentants des partis de l’opposition. Il a eu aussi des séances de travail avec les responsables du système des Nations unies en RDC.
Le chef du département des opérations de maintien de la paix s’était également rendu à Goma, au Nord-Kivu, pour s’enquérir des progrès réalisés dans la sécurisation
et le programme de stabilisation de l’Est, ainsi que les défis à relever pour le futur. Il avait lancé un appel aux hommes politiques afin d’initier des échanges pour résoudre les
différends.
Stéphane Etinga