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Channel: AFRIQUE REDACTION . L'information en continu ! Afrique au cœur de l’actualité...Infos News sur la RDC, les brèves de la dernière minute. Synthèse sur l’actu internationale. rdcongo-kinshasa, Nord et Sud KIVU, Kinshasa, Bas Congo, Dongo, Equateur, Maniema, Lubumbashi, les deux Kasai. Rédacteur en Chef : BONGOS Roger
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TSUNAMI POLITICO–MEDIATIQUE : Boshab le tricheur, voleur et mytho largue ses Atalaku

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Crée le 05-03-2012- 18h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le lundi 05-03-2012 - 18H10 AFRIQUE REDACTION PAR : AFRICA NEWS



Au lieu de nier les faits et d’en apporter les preuves, les Atalaku de Boshab se complaisent dans les injures et les attaques personnelles. En réalité, ils luttent contre la vérité mais elle les enfonce. Ce sont des personnages plus ou moins sarcastiques qui ont défilé toute la semaine dernière sur les plateaux des télévisions et les studios des radios de Kinshasa pour tenter d’intervenir, tant bien que mal et plus mal que bien, dans l’affaire de détournement présumé des deniers publics à l’Assemblée nationale, passant le clair de leur temps à injurier AfricaNews, ses responsables et tous ceux qui, de loin ou de près, auraient un lien avec le prestigieux Trihebdomadaire.

Les Atalaku boshabubuesques ont presque tous un dénominateur commun. Ce sont des personnes qui ont déjà échoué à une élection et qui ont trahi dans un passé récent. Le premier à passer au scanner est l’ancien député Musemena Gaston, qui a lu le communiqué du parti auquel appartient Evariste Boshab. De lui, on sait qu’il est de la première promotion en sciences politico-administratives à l’Université de Kisangani, et qu’il serait passé dans les services qui l’ont en réalité aidé à se faire élire député au cours de la législature qui s’est achevée. C’est à cet homme qu’a été confié le rôle que devaient jouer d’autres secrétaires nationaux autrement plus outillés. D’abord, le fait que ce soit le parti qui réagisse à une accusation portée contre le président d’une institution nationale pose problème. Le parti dont l’ancien speaker est le secrétaire général est une affaire privée. Il devait même s’interdire de se prononcer tant que la justice n’a encore rien dit sur cette affaire. Et comme le parti n’a jamais été cité dans le dossier, son intervention devient inopportune. En justice, on appellerait cela défaut de qualité. AfricaNews est un journal républicain qui ne s’attaque pas aux individus, mais dénonce les mauvaises pratiques dans le chef de ceux qui sont investis d’un pouvoir public. Et de deux, le fait que ce soit Musemena qui ait pris la parole montre bien qu’on veut lui faire jouer un rôle de sous-fifre, qu’il est effectivement. Les gros poissons, secrétaires nationaux eux aussi, ont certainement compris qu’ils ne pouvaient pas se dévaluer à ce point. Les professeurs PPRD Toussaint Tshilombo et Emile Bongeli savent comment est né AfricaNews et à qui il appartient. Ministres de l’information, c’est à leur époque que nous avons entamé les démarches et obtenu le récépissé, le précieux sésame qui justifie notre existence. Et de trois, une réunion d’un parti politique à laquelle on dénombre plus d’un membre d’autres formations et dont le communiqué semble ne mentionner que ce parti seul pose problème. Que sont venus faire les PPPD Shé Okitundu et MIP Colette Tshomba, candidats élus ou malheureux sous la bannière d’autres partis politiques, à une réunion de ce parti-là? Ce n’est pas notre problème de toutes les façons.

Des Atalaku agités
D’autres délégués de Boshab ont choisi de s’attaquer à nous à travers nos confrères, cherchant ainsi à diviser la profession. Nous sommes en pleine stratégie de semer la confusion au sein de la corporation pour en tirer profit. Pour y parvenir, Boshab a jeté son dévolu sur deux personnages très controversés : le très sinistrement médiatique Yves Kisombe, et le propagandiste Louis d’OrBalakelayi. L’un et l’autre pouvant être présentés comme des agitateurs reconnus. En effet, l’Atalaku Yves Kisombe, après avoir rendu de loyaux services à Jean-Pierre Bemba, en le noyant le plus profondément que possible, s’en est allé prêter main forte au secrétaire général du Parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie -PPRD-, comme si, au sein de ce parti, les cadres sont tous devenus subitement incompétents. Le transfuge Yves Kisombe, dont la réputation d’homme politique le plus «vulgaire» de la législature passée a dépassé les frontières nationales, n’a pas résisté à la tentation de l’injure facile pour laquelle il a déjà reçu plusieurs médailles. La .plus importante étant sa non- réélection aux législatives nationales. Le «ivre qui sombre» qui, il y a quelques cinq mois, a été au centre d’un scandale médiatique, et qui avait vécu dans sa propre chair un embargo médiatique, n’a pas tiré les leçons de son agitation. En faisant cette nouvelle sortie, il vient de chanter son propre requiem politique. Mais on le comprend, le pauvre «Ivre qui a sombré... aux élections»! Il doit à Evariste Boshab et son épouse la rupture de l’embargo médiatique dont il avait été gratifié en récompense des insanités prononcées contre une journaliste de TVS1. N’ayant pas digéré son échec à une élection où il aurait pu se faire élire, honnêtement ou non, le fils Kisombe, qui porte un prestigieux nom, a décidé de rendre l’ascenseur à l’ancien speaker de l’Assemblée nationale. Mais, un vieil adage d’une éternelle actualité renseigne que quiconque a bu boira. Versatile, Yves Kisombe a trahi celui qui l’a emmené en politique et qu’il appelait, le Chairman. Il trahira encore son nouveau maître.

Lutter contre la vérité

L’autre Atalaku est pareil, Ancien journaliste devenu propagandiste et frappé d’incompatibilité, Louis d’Or Balakelayi, dont l’histoire récente est plaine d’épisodes de trahison, ne surprend plus personne depuis que, grâce à un puissant coup de pouce de Boshab, il est entré par la petite porte à la Radiotélévision nationale congolaise -RTNC- comme présentateur de JT. Après avoir fait des misères à celui qui lui avait ouvert les portes de la vie citadine, son ancien patron du Groupe l’Avenir, le conseiller en communication- journaliste de l’ex-président de l’Assemblée nationale, a quitté sur la pointe des pieds une autre chaîne de télévision, CONGO WEB. Grâce à son agitation, il a réussi à enfoncer son patron Evariste Boshab de qui il aurait une peur bleue. Louis d’Or obéit au doigt et l’oeil à son mentor, en faisant semblant de lui servir de conseiller. Ses propres collaborateurs, Balekelayi ne les consulte jamais. Résultats : des droits de réponse mal dirigés et mal ficelés, des discours atypiques comme celui prononcé par Boshab aux funérailles de l’honorable Katumba, une attitude de suffisance affichée devant les députés et les journalistes, etc. C’est vrai, Louis d’Or est un agité. Il l’a encore démontré il y a 48 heures sur les antennes de Télé 50 et pas plus tard que hier dimanche au cours de la grande édition du journal de 20 heures sur la RTNC. Le propagandiste Balekelayi a raté le début du journal et le lancement de plusieurs éléments de VTR, parce qu’agité. Il a fait le journal le plus long de l’année, se faisant même un malin plaisir de terminer par un communiqué du parti soutenant un secrétaire général jamais mis en cause dans les médias en tant que tel. Un jour avant, Louis d’Or s’était fait descendre par un confrère sur lé plateau de Télé 50 lorsque, voulant prendre la défense de Boshab, il affirmait qu’il s’agissait d’une cabale. Il ne se souvenait plus qu’il y a un an, lorsque la liste des députés absentéistes avait été rendue publique par CONGONEWS, les députés incriminés avaient menacé son patron Evariste Boshab d’avoir vendu la mèche au confrère. Michel-Hugues Mukebayi Nkoso, qui le lui rappelait sur le plateau, avait alors été convoqué à l’Assemblée nationale pour y être entendu. Louis d’Or connaît la suite de cette affaire. S’il était encore journaliste, il n’aurait même pas conseillé à son patron d’avancer ces inepties comme argument. C’est trop faible que de chercher des boucs-émissaires au sein de la classe politique. En réalité, les Atalaku largués par Boshab dont de faux syndicalistes de l’Assemblée nationale dénoncés par les vrais —lire article en page 4- se battent contre la vérité. Toute l’opinion sait que le Tri- hebdomadaire AfricaNews est du bon côté. Et ce n’est pas fini.
                                                                                                          Natine K.


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