Crée le 11-03-2012- 06h10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le dimanche 11-03-2012 - 06H22 AFRIQUE REDACTION PAR : ROGER BONGOS

 

Cher Rolain MENA

Il est toujours plus facile de susciter la colère d'un homme que de l'appeler à la raison. Avec mon profond respect pour ta personne, je tiens à répondre d'une manière claire à ta lettre ouverte. Je t'ai toujours dit que ta place n'est pas dans cette marre à crocodiles, le culte de personnalité est omniprésent dans ce que je peux appeler un foutoir organisé ( APARECO).

Je tiens également à te rappeler mes préoccupations que j'eusse eu lors de notre dernière rencontre à propos de votre caisse de résonance, la radio de mille collines BENDELE. Je t'avais posé une seule question sur les motivations de cette « radio » à vouloir à chaque fois diaboliser et indexer les vrais combattants qui se battent corps et âmes pour leur patrie. Une partie de réponse a été distillée lors de ton intervention sur cette même radio.

Je n'ai jamais été satisfait de ta réplique qui au demeurant m'a forgé dans mes convictions que cette radio est bien œuvre d'une criante division de la diaspora.

Dis moi, cher Mena, quelle est la motivation de Bendele à vouloir taper à chaque fois sur une résistance montante ?

J'ai mis en ligne un article signé par un correspondant à Brazzaville sur la mort de BOYENGA citant ses sources, en particulier les commentaires d'un de vos « cadres ». Qu'est ce que j'ai eu comme réponse, les insultes qui se traduisaient par vos habituelles supputations !

Je suis rédacteur en chef d'un site qui fait un score 60 000 visites par jour et j'ai des correspondants dans plusieurs capitales. Si jamais, un de mes correspondants trahissait ses obligations, Afrique Rédaction est là pour vous accordez un droit de réponse dans les règles de l'art et également de faire son méa-culpa. Ce que votre APARECO a pu faire, montre clairement votre insuffisance en matière rédactionnelle et le désir maladif et manifeste de créer la zizanie dans l'esprit de gens. A qui profite cette division ?

J'insiste sur le caractère révoltant de la démarche de votre soit-disant politicard de pacotille qui ne maîtrise nullement la grande diplomatie au regard de sa litanie nauséabonde publiée sur votre Site APARECO. Un parfait goujat qui se contredit à chaque ligne de sa touaille.

Parlant d'Honoré Ngbanda, oui avec insistance, je ne porte pas cet homme dans mon cœur, étant la conséquence directe lui et son mentor Mobutu de l'avènement des Rwandais sur notre sol et la suite, vous la connaissez !

Quand cet individu (sic), parle de son pardon à l'endroit des Congolais, qui a pu accepter son pardon ? Vous, moi ou une portion de cette communauté ou encore son agglomérat et conglomérat de son club de fans ?

Dans ma spiritualité, le principe d'un pardon expiatoire réside sur trois principes :

Demander fermement pardon de ses actes commises avec regret ;
De jurer de n'est plus s'aventurer sur ce chemin ;
Et enfin de dédommager les victimes directes et collatérales de ses turpitudes ou forfaits...

Qu'à t-il fait cet bonimenteur et manipulateur professionnel ?

Entre nous soit dit, dans la bible que votre patron se cache derrière et aussi dans le coran, la loi du talion existe bel et bien ! Appliquons là...

En lisant ces élucubrations dans l’œil du patriote et on s'aperçoit qu'il n'a jamais abandonné ses méthodes de barbouzes. Ou est-il son pardon ?

Pour terminer, cher Rolain MENA, je te porte toujours dans mon cœur pour ta grande tolérance et intelligence. Dès je rentre de mon voyage, je viendrai te rendre visite dans ton établissement, afin de partager un verre ensemble.

Pour ce qui me concerne, Honoré Ngbanda est un homme du passé ( Out )

Cordialement

Roger BONGOS

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Monsieur BONGOS,
Cher Roger,

C'est avec confusion que je constate votre croisade infraliminale contre l'APARECO en général et contre notre leader le Président Honoré NGBANDA en particulier, que vous n'avez apparemment jamais porté dans votre cœur. Ce qui est votre droit le plus absolu, et personne ne vous le renie.

Confusion non seulement au vu des liens de camaraderies qui nous unissent et dont je ne me cache nullement, mais également au vu du travail patriotique de sensibilisation à la cause Congolaise que nous avons effectué ensemble au travers de votre média, Afrique rédaction, dont je suis un fervent lecteur. A ce niveau-là, vous abattez un très bon travail et je suis fier de vous côtoyer !

Je ne chercherai pas à rappeler à votre mémoire non déficiente, nos échanges en aparté et les conseils que nous nous sommes prodigués l'un et l'autre, na kuzu, à l'abri des oreilles indiscrètes et des yeux non autorisés mais je regrette amèrement que vous ayez fait le choix unilatéral de briser cette concorde patriotique qui nous unissait. D'autant plus que nous envisagions, sur ma proposition, d'améliorer techniquement notre façon de travailler afin d'être plus efficace au profit des Congolais dépités par tout ce qui se passe au Congo !

Monsieur Bongos,
Cher Roger,

De ce qui précède, je vous demande de mettre un terme à cette façon de faire et de cesser de tirer contre qui que ce soit qui se trouve dans le camp de la Patrie. En effet dans le combat que nous menons les uns et les autres, chacun amène la pierre qu'il est capable de soulever et de placer dans l'édifice de la lutte pour la libération du Congo concomitamment de nos envahisseurs méchants et de nos antivaleurs suicidaires. Grosse, petite, ronde, ovale, lourde ou légère, peu importe son aspect car l'essentiel est de marquer des points contre les fossoyeurs du Congo et d’élever le plus haut possible notre bâtisse afin que les cris de douleurs et de souffrances atroces de la mère patrie soient entendus du monde entier.

C'est ce qui doit nous unir et ce à quoi nous nous attelons les uns et les autres car on récolte uniquement ce que l’on sème. D’où vous vient alors cette bienveillance à introduire le doute et la zizanie au sein des résistants et des combattants scandalisés et révoltés, alors que nous sommes des personnes enclines à nous préoccuper autant du quotidien de nos populations qui tirent le diable par la queue que de leur avenir ?

Cher Roger,

De grâce, ressaisissez-vous et revenez à de meilleurs sentiments.
Faites, pour le bien de nous tous, ce que vous êtes capable de faire le mieux au lieu de vous disperser et de faire de votre média un support servant à régler des comptes au gré de vos humeurs
et selon que vous soyez debout sur le bon ou sur le mauvais pied !

Afin de ne pas être prolixe, je terminerai en vous rappelant que pour des hommes avisés, matures et responsables, Internet n'est pas l'espace approprié pouvant aider à laver son linge sale. Avant de dire quoi que ce soit, ou de poser un acte quelconque, les uns et les autres devront nous poser la question de savoir si cela va servir la Nation et le Peuple dont nous prétendons être soucieux ou alors réconforter nos ennemis, emplis d’assurance grâce à leurs soutiens maffieux.

Enfin, sachez Roger que je suis quelqu'un de fidèle en amitié et que si je me suis permis de vous adresser une lettre ouverte, c'est uniquement pour que vous teniez votre bâton de pèlerin d’une main ferme et à bon escient afin que nous nous soutenions les uns les autres au lieu de nous houspiller à qui mieux mieux.

Et combien je me félicite de cette disposition d'esprit qui nous relie dans le combat que nous menons, et même si je ne suis pas d'accord avec tout ce qui se dit à votre encontre, je ne peux toutefois pas accepté que vous médisiez avec autant de lyrisme sur la plateforme politique dont je suis totalement imprégné de l'action, de la vision, du discours et de l'idéal.

Le Président Honoré NGBANDA (qui décidément empêche plus d’un de sommeiller imperturbablement) n'est pas un homme parfait, mais il travail, avec ses qualités et ses défauts.

Oui, croyez-moi mon cher Roger, il travail et DIEU qui est notre seule et unique JUGE, apprécie à sa juste valeur, depuis 2004 que le leader de l'APARECO s'est mis debout au vu et au su de tout le monde, l'énorme travail d'information, de mobilisation, de conscientisation et de sensibilisation qu'il a abattu.

Respectez cette démarche et de votre côté, je vous invite à suivre ce conseil qui m'a été donné personnellement, un jour pas si lointain, alors que je m'égarai, et qui stipulait exactement ceci :

"Rolain, mon jeune frère, afin d’évoluer en t’améliorant, ne focalise ni sur le qu'en dira-t-on ni sur ce que font les autres de leur côté. Tu n'as d'autre rival et d'autre concurrent que toi même. Souci toi uniquement du bien fondé de tes actes et de tes propos. Fais toujours mieux que ce que tu as fait hier et moins bien que ce que tu feras demain. C'est uniquement comme cela que tu réussiras et que tu avanceras dans tes entreprises."
(Honoré NGBANDA)

TO SOSOLA !

Fraternellement et Patriotiquement

La lutte continue !

Rolain MENA