Crée le 15-03-2012- 23h40 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le jeudi 15-03-2012 - 23H55 AFRIQUE REDACTION PAR : ROGER BONGOS

 

La principale faute humaine qui donne naissance au mal, consiste à voir les choses en dehors de leur relation véritable.

 

Les attaques gratuites emmenant de l'appareil de l'homme qui se réclamerait le père de la résistance offusque plus d'un ! Un raz-le-bol généralisé...

 

Comment peut-on admettre, qu'un père, un patriarche qui bâtit un empire, une dynastie puisse par ses turpitudes saper tous ces efforts consentis pour la cause qu'il revendique la paternité ?

 

J'en appelle à la réflexion profonde des uns et des autres sur ces actes prémédités, orchestrés et planifiés par APARECO qui se réclamerait être le détenteur des clés pour la sortie de crise au Congo. Comment peut-on jeter l'enfant avec l'eau du bain à la lumière de ses méthodes qui sont actuellement contestées dans toute la diaspora ?

 

Un père qui met au monde une progéniture, établi des règles d'usage, une ligne de conduite pour que l'avenir de celle-ci soit assuré et le même orchestre une cabale pour l'affaiblir, allez y comprendre quelque chose.

 

Or, ses rejetons suivent scrupuleusement le chemin tracé par celui qui est la référence par excellence de leur vie. Ils excellent dans le combat au point de dépasser leur professeur en donnant du fil à retorde à un ennemi commun. Un acte gratifiant, récompensé par des brimades et la traîtrise.

 

Et ce même professeur pris d'une soudaine crainte de perdre de sa suprématie, son envergure, torpille par ricochet ( Bendele, œil du patriote, APARECO) ces efforts consentis par les siens. N'est ce pas là, le véritable machiavélisme ?

 

Quel est ce père indigne peut-il se prévaloir aujourd'hui de revendiquer la paternité d'un combat qui par sa ruse plombe le travail qui lui même avait initié à ses chérubins ?

 

Il passe ses mots d'ordre à ses cousins, ses nièces, ses tantes pour semer la discorde au sein de cette même famille sans pour autant lever le petit doigt, pour crever l'abcès qui dévore et gangrène les siens.

 

Il prend le malin plaisir à voir ses enfants en conflit perpétuel, s'entredéchirer, il exulte en cachette, souvent même à la barbe de ses enfants. Que peuvent penser ces enfants là ? Que de la répulsion , le dégoût, la traîtrise et le mépris le plus total.

 

Un père démissionnaire, absent dans des manifestations, Sit-in, débats, des rencontres que ses enfants organisent. Et passe sur sa radio créée à cet effet, pour moraliser ses bambins avec une singerie jubilatoire.

 

Absolument absent pour sa participation dans des souffrances, déboires de sa progéniture. Il se fait toujours représenter par ses (cousins) qui font son jeu. De quel père s'agit-il ?

 

Les affaires peuvent être malhonnête, non parce qu'elles sont des affaires mais en raison de l'éthique qui préside à leur conclusion, ou par suite de l'absence de cette même éthique dans la manière dont elles sont traitées.

 

Et il est plus aisé de discourir sur ce que l'homme n'est pas que sur ce qu'il est. Les critiques sans teneur des Ngbandistes ne m'importe peu, elles ressemblent à mes yeux à la bave de crapaud.

 

Avoir fondé sa vie et sa carrière sur la suspicion et quand on sait que la suspicion est une pellicule intangible mais infâme qui isole les consciences humaines les unes des autres.

 

Et je me demande si APARECO a emprunté un bon chemin vers l'unité de cette résistance qui dans son essence a une réelle crise de paternité, d'un vrai guide. Le guide est aux abonnés absents, qui jouerait à l’arlésienne avec les siens.

 

Ngbanda connaît d'une manière maîtrisée les Congolais, il articule des histoires pour les utiliser comme des pantins. Nos ennemis jouent le même jeu que celui qui se targue à porter l'armure d'un vrai patriote averti. Que de la fumée !

 

Tant qu'il n y aura pas de transformation dans cette condition de la nature humaine, on peut s'attendre à ce que la société fasse preuve plus souvent de passion que de sagesse.

 

Ce qui ne caractérise (sic) pas d'ailleurs, l'une des vertus de notre cher patriote Honoré Ngbanda, l'homme sans reproche.

 

Il n' y a pas de venin plus mortel que celui qui s'écoule d'une plume calomnieuse. Il est passé maître dans l'art de calomnier les honnêtes gens qui se battent pour leur patrie.

 

Une décennie et demie à côté d'un fossoyeur de la République, et on devient par orgueil, par déclinaison, soi-même plus royaliste que le roi. C'est fut le cas pour celui qui se réclame, afin de se laver de sa salissure, patron de la résistance Congolaise. Une histoire de l'hôpital qui se moquerait de la charité !

 

Les mauvaises langues diront avant de lancer la pierre sur les autres, faudra t-il  peut-être, regarder la poutre qui est dans son œil avant même de parler de la brindille qui se trouverait dans l’œil de son voisin.

 

Parlons en de ma brindille ! Je fus le conseiller spécial de l’icône internationale Pascal TABU LEY qui fut à son tour le Vice Gouverneur à la ville province de Kinshasa, un bon numéro deux.

 

J'ai toujours gardé le silence pour n'est pas salir cet homme même avec ses défauts, il a indéniablement écrit l'histoire de notre pays, de surcroît diminué par la maladie et ne pourra en aucun aucun cas répondre à mes propos .

 

Aussi par le respect traditionnel bantou et surtout par ce qu'il me disait, qu'il était, le père de 85 enfants qui certains ont mon âge. Il m’appelait de cet effet fiston ! Pour cela je me suis tu, sans répondre aux polémiques sans ni tête ni queue.

 

Il a ses qualités, mais aussi, ses énormes défauts qui se caractérisaient souvent par la cupidité et l’égoïsme effréné. Un homme haut en couleur avec un caractère bien trempé !

 

Ceux qui l'ont côtoyé, cet brillant homme pourront en témoigner. Versatile et quelque fois humaniste selon les quartiers de la lune . En 2005 par un concours de circonstance, j'ai fait la connaissance de cet homme par l'entremise de mon jeune frère, le benjamin de la famille, l'un de ses anciens chanteurs de cet artiste hors pair.

 

J'étais en charge de son nouveau parti de l'époque qu'il avait mis en place par opportunisme, la FDP (Force Du Peuple) pour attirer vers lui le regard ou l'attention de ceux qui devraient prendre la destinée de Congolais en main.

 

J'ai participé activement à son ascension et personne ne pourra nier cela. J'avais mis à sa disposition ma Mercedes-Benz 300 d'un confort exceptionnel à couper le souffle, avec un apport financier important. Un de mes autres jeunes frères était son chauffeur attitré. Je suis de la fratrie de 10 enfants !

 

Un, avait mordu à l’hameçon, un certain Ruberwa, qui voulait par la popularité de cette star, avoir un pied et une visibilité à Kinshasa en se cachant derrière un enfant du pays. Qui a manipulé l'autre ? L'histoire est là pour nous édifier.

 

Il signera une alliance contre nature avec ce monstre Rwandais intelligent certes oui mais avec un faciès qui trahissait sa stature avec un passif de rebelle sans précédent. L'un des responsables des massacres de nos compatriotes sur son parcours qui l'amènera, lui avec sa troupe à Kinshasa.

 

J'ai à plusieurs reprises exhorté Pascal Tabu Ley de rompre ces liens avec ce renégat, rien à faire, l'appât de gain était conséquent. Il me mettra arbitrairement sans me consulter sur la liste de la députation (RCD), comme étant un de ses proches lieutenants.

 

Il subira mes critiques acerbes, ma désapprobation, tout en ouvrant sciemment un conflit sans merci avec celui qui était mon patron et son proche confident. Attiré par l'attrait de l'argent et la gloire, et dans sa conscience de Kinois, il trahira croyant gruger l'autre.

 

Pascal TABY deviendra avec ce mariage de raison, député du RCD (TSHIANGU) à l'assemblée provinciale puis ministre provincial de la culture. Déjeunant à midi avec ceux du PPRD et le soir un dîner avec ceux du RCD. La cruauté rwandaise a eu raison sur sa vie !

 

Mon conflit ouvert avec Tabu Ley débouchera par mon éviction avec fracas, chassé comme un mal propre. Plus tard, je poserai ma candidature en tant qu'indépendant aux élections sénatoriale. Très affaibli par mon état de santé, je jetterai l'éponge cinq semaines plus.

 

La cabale qui a été menée contre ma personne a faillie me précipiter dans la tombe. Je me suis sorti de là tant bien que mal, empoisonné ! Par qui, je n'en sais foutre rien...

 

La France, oui ce pays m'a soigné avec un traitement lourd pendant 15 mois dont un mois jour pour jour hospitalisé à l'hôpital Bichât le 4 septembre 2007. Ceux qui veulent le bulletin de ma santé, je le mettrai à leur disposition.

 

La morale de cette histoire, quand on est pas d'accord avec son chef comme disait un sénateur français Jean Pierre CHEVENEMENT pour n'est pas citer son nom, je cite : Un ministre ferme sa gueule ou il démissionne ! Moi je n'ai jamais fermé ma gueule au nom de ma patrie...

 

Pourquoi Honoré Ngbanda , le puissant conseiller spécial du despote historique Congolais n'a t-il pas démissionné de ses multiples fonctions et responsabilités ? 10 ans après, il balance ses livres à l'eau de rose à qui veut l'attendre pour se dédouaner et travestir la vérité.

 

Moi je peux le dire haut et fort que j'ai tenu tête à Tabu Ley parce que j'ai vu la vérité de l’intérieur ! Je pouvais rester et gagner des millions, mais ma conscience à prévalue sur les intérêts autres que ceux de ma Nation.

 

Raison pour laquelle je me bats aujourd'hui sans relâche contre l'hégémonie Tutsi en RDC, leur crime, viols et la confiscation du pouvoir au détriment du peuple. Quand vous voyez un danger quelque part et au nom du patriotisme vous devriez le dénoncer au prix de votre vie, ce que j'ai fait. Et je continuerai à le faire !

 

Combien de fois, le Vice Gouverneur Pascal TABU avait demandé au Gouverneur de l'époque, KIMBEMBE Mazunga de signer un arrêté pour me virer ? Renseignez vous , Kimbembe ne l'a jamais fait. Pourquoi, je ne suis pas en mesure de vous transcrire ses motivations ou son éthique par rapport à son refus.

 

L’amiral Liwanga nommé le 10 octobre 2006 et prendra ses fonctions le 16 octobre 2006 après le départ de KIMBEMBE à la présidence de la République, en accord avec Tabu Ley, l'arrêté sera signé et me voilà éjecté! Qu'à t-il dit en me virant ? Je t'aurai politiquement ou physiquement... Il a perdu sur ces deux tableaux ! ! !

 

Je tiens à vous préciser que je ne tire pas sur cette haute personnalité qui a marqué l'histoire de notre pays et que je n'arriverai pas à la cheville.

 

Je n'ai pas de leçon de morale à recevoir de Ngbanda ni des Ngbandistes sans jugeote. Ses méthodes n'ont rien à envier à celles des criminels qui sont à la tête du pays en commençant par l'usurpateur, tricheur et imposteur de KANAMBE alias Joseph KABILA utilisent. Qui se ressemblent s'assemblent !

 

Merci tout de même à Honoré Ngbanda pour ses révélations sur l'appartenance et la filiation d’Hippolyte KANAMBE qui sont incontestablement vraies.

 

 

Roger BONGOS