Quantcast
Channel: AFRIQUE REDACTION . L'information en continu ! Afrique au cœur de l’actualité...Infos News sur la RDC, les brèves de la dernière minute. Synthèse sur l’actu internationale. rdcongo-kinshasa, Nord et Sud KIVU, Kinshasa, Bas Congo, Dongo, Equateur, Maniema, Lubumbashi, les deux Kasai. Rédacteur en Chef : BONGOS Roger
Viewing all articles
Browse latest Browse all 14381

Affirmation le ministre Matata Ponyo - Il n’y a pas de blocage dans l’appui du FMI et de la BM au programme économique de la RDC

$
0
0

Créé le 08-10-2011 à 08 h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le samedi 08 -10-2011 à21h15 | AFRIQUE REDACTION PAR :UHURU

 



L’exécution du programme économique du gouvernement dit PEG II avec appui des institutions de Bretton Woods ne souffre d’aucun blocage qui serait dû à un non respect des clauses de partenariat dans le secteur minier, selon le ministre des Finances Matata Ponyo.
Le ministre des Finances, Augustin Matata Mponyo Mapon, ne reconnaît pas l’existence d’un quelconque blocage dans l’exécution du PEG II (Programme économique du gouvernement), entre les institutions de Bretton Woods et le gouvernement de la RDC. Au cours d’un entretien avec la presse, le ministre Matata a indiqué que la question de la gouvernance est sur la table dans toutes les discussions entre le gouvernement et les institutions de Bretton Woods. Il se fait qu’il y a eu des cessions d’actions qui se sont passées dans deux entreprises minières congolaises pour lesquelles la Banque mondiale et le FMI n’étaient pas informés, a-t-il précisé.
Ces partenaires ont, comme l’exigent les pratiques professionnelles n la matière et conformément aux prescrits du programme, demandé au gouvernement de leur ces informations en rapport avec ces cessions. Les responsables des entreprises minières concernées sont disposées à fournir les informations sollicitées. “Il n’y a donc aucun problème.
Le chemin de développement est long..., a indiqué Le ministre Matata en réponse à une question posée par une super puissance comme les Etats-Unis d’Amérique qui continue à chercher à s’améliorer.
Et pourquoi pas nous ? “, a soutenu le ministre. Pour lui, l’économie congolaise aujourd’hui est beaucoup mieux qu’en 1998, l’année où ce pays a connu une valse des étiquettes sur le marché et où les prix changeaient plus d’une fois en une journée. Par ailleurs, les salaires étaient impayés, mais maintenant l’économie est stable, et les salaires régulièrement payés. C’est une avancée, selon lui. L’orateur a affirmé qu’il croit au développement de la RDC, indiquant qu’en cinq ou dix ans, à ce rythme de développement dans la discipline, la rigueur et le sacrifice, le pays ira de l’avant.
Le Fonds mondial enquête sur la mauvaise gestion de ses financements en RDC Le Fonds mondial de lutte contre le SIDA, la Tuberculose et le Paludisme, qui a gelé les financements de certains projets en RDC depuis près de trois mois pour mauvaise gestion, a dépêché à Kinshasa une mission qu mène actuellement une enquête à ce sujet, apprend-on au ministère de la Santé publique.
La délégation conduite par Colette Selman, gestionnaire de portefeuille au Fonds Mondial a eu récemment une séance de travail avec le ministre de la Santé publique, le Dr Victor Makwenge Kaput. A la sortie de cette réunion au ministère de la Santé publique, Mme Selman s’est exprimée en ces termes “Les résultats ne sont pas bons; il y a 56% des dépenses qui sont injustifiées, douteuses et frauduleuses. C’est pourquoi le Fonds mondial a décidé de lancer une enquête pour renforcer le travail. Nous devons donc réfléchir sur les problèmes qui existent en terme de gestion des programmes pour améliorer leur mise en oeuvre “.
Elle a toutefois indiqué qu’en dépit de ce gel, le Fond mondial continue à appuyer la RDC dans la lutte contre la maladie. Elle a précisément déclaré: “Nous continuons à assurer le financement car l’engagement et la volonté sont là, mais on doit aussi s’assurer que les financements bénéficient au malade. Nous voulons être seulement sûrs que ce sont les bénéficiaires finals qui bénéficient de nos programmes ».


Viewing all articles
Browse latest Browse all 14381

Trending Articles