Créé le 30 -11-2011 à 03h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN | ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le mercredi 30-11-2011 12H 40| AFRIQUEREDACTION : ACP
Les éléments de forces de l’ordre commis à la
sécurisation des opérations électorales de la présidentielle et des législatives nationales du 28 novembre dans la ville de Lubumbashi, ont réussi à déjouer une tentative de sabotage des
élections par un groupe des hommes armés en tenue civile.
En effet, un groupe des hommes armés non autrement identifiés ont semé la panique en attaquant les bureaux de vote situés dans les installations de l’Institut Njanja, une école de la SNCC au quartier Bel Air dans la commune de Kampemba. Les assaillants se sont mis à tirer de coups de feu en l’air pour faire fuir les électeurs. Ils ont ainsi provoqué un mouvement de panique qui s’est vite propagé dans une partie du quartier Bel Air et de la commune de Lubumbashi du côté avenue de la révolution pendant plus d’une heure.
Les forces de l’ordre ont réagi contre cette attaque armée visant à saboter le bon déroulement des élections. Après l’intervention musclée des forces de l’ordre, les bureaux de vote ont rouvert leurs portes pour la suite des opérations. Le bilan provisoire des incidents fait état de quatre morts, dont trois assaillants et un policier et de plusieurs blessés et des véhicules des particuliers endommagés. Une opinion très répandue à Lubumbashi attribue cette attaque armée aux auteurs du vol des armes dans le dépôt du camp militaire Vangu survenu le dimanche à 3 heures du matin.
Par ailleurs, tôt le matin, deux camionnettes de la CENI chargées des bulletins de vote ont été incendiées par des hommes armés, causant ainsi un grand retard dans la livraison des bulletins de vote. Abordé à ce sujet par l’ACP, M. Eddy Mutomb, secrétaire exécutif de la CENI/Katanga a déclaré que les bulletins de vote brûlés étaient destinés aux bureaux de vote des communes de Ruashi et de Kampemba. La CENI/Katanga, a-t-il précisé, a pu remplacer les bulletins de vote brûlés et les opérations de vote ont démarré dans toutes les communes.
ACP
En effet, un groupe des hommes armés non autrement identifiés ont semé la panique en attaquant les bureaux de vote situés dans les installations de l’Institut Njanja, une école de la SNCC au quartier Bel Air dans la commune de Kampemba. Les assaillants se sont mis à tirer de coups de feu en l’air pour faire fuir les électeurs. Ils ont ainsi provoqué un mouvement de panique qui s’est vite propagé dans une partie du quartier Bel Air et de la commune de Lubumbashi du côté avenue de la révolution pendant plus d’une heure.
Les forces de l’ordre ont réagi contre cette attaque armée visant à saboter le bon déroulement des élections. Après l’intervention musclée des forces de l’ordre, les bureaux de vote ont rouvert leurs portes pour la suite des opérations. Le bilan provisoire des incidents fait état de quatre morts, dont trois assaillants et un policier et de plusieurs blessés et des véhicules des particuliers endommagés. Une opinion très répandue à Lubumbashi attribue cette attaque armée aux auteurs du vol des armes dans le dépôt du camp militaire Vangu survenu le dimanche à 3 heures du matin.
Par ailleurs, tôt le matin, deux camionnettes de la CENI chargées des bulletins de vote ont été incendiées par des hommes armés, causant ainsi un grand retard dans la livraison des bulletins de vote. Abordé à ce sujet par l’ACP, M. Eddy Mutomb, secrétaire exécutif de la CENI/Katanga a déclaré que les bulletins de vote brûlés étaient destinés aux bureaux de vote des communes de Ruashi et de Kampemba. La CENI/Katanga, a-t-il précisé, a pu remplacer les bulletins de vote brûlés et les opérations de vote ont démarré dans toutes les communes.
ACP