Crée le 27-12-2011- 16h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le mardi 27-12-2011 16H08 AFRIQUE REDACTION PAR:CONGONEWS
L’archevêque de Kinshasa, le Cardinal Laurent Monsengwo Pasinya est revenu sur ses propos à la messe du samedi soir à la Cathédrale Notre Dame du Congo. Alors qu’il
officiait la dite messe dans sa paroisse, Le Cardinal est revenu sur ses déclarations pour dire qu’il n’y a pas de paix sans la justice et la vérité.
Quelques jours avant de prendre son avion pour Rome, où il est allé prendre ses nouvelles fonctions, le prélat catholique avait convoqué une conférence de presse,
au cours de laquelle, il avait clairement déclaré que les élections, telles qu’organiser n’étaient pas conforme à la vérité, ni à la justice. Revenu de Rome, Monsengwo est resté égal à lui-même.
Comme à la Cathédrale Notre Dame du Congo, la déclaration du Cardinal, a été lue dans toutes les paroisses après l’Homélie. Contrairement à ceux qui ont taxé Le Cardinal de pyromane lors de sa
prise de position postélectorale, aujourd’hui, avec l’avènement de la CENI, de faire venir des experts internationaux pour procéder au comptage dans les centres locaux de compilation des
résultats, ces fanatiques aveugles ont tous la queue dans les pattes. Eux qui croyaient que la Commission Electorale Nationale Indépendante, n’avait rien à se reprocher face aux irrégularités
constatées lors des élections couplées (présidentielle et députation nationale) du 28 novembre, n’ont plus rien a prouvé sur la non crédibilité des résultats.
L’équipe d’experts techniques, qui attendent les orientations de leurs pays (Etats-Unis et le Royaume Uni) pour fouler le sol r-dcongolais et se mettre au travail
de la recherche de la vérité voulue par l’Eglise, par la voie de son Cardinal Laurent Monsengwo Pasinya, qui a essuillé des tirs de partout, même à la Télévision nationale. Des reportages
commandés et émissions matinales, passaient en boucle pour diaboliser le prince de l‘Eglise, qui ne demandait que la justice et la vérité des urnes. Cette justice et vérité sont entrain de se
réaliser avec la venue des experts internationaux, qu’elle-même la Commission Electorale Nationale Indépendante a fait appel.
ERIC MASIMO