Crée le 13-03-2012- 19h30 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR
EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le mardi 13-03-2012 - 19H35 AFRIQUE REDACTION PAR :
ROGER BONGOS
Honoré Ngbanda
Loin s'en faut, une mafia bien huilée disséminée dans les quatre coins de la diaspora, prendra le relais pour diaboliser et tirer à boulet rouge sur celui qui
oserait s'attaquer à l'omnipotent et despote en puissance, Honoré Nganda !
Une barbouzerie qui a fait ses preuves dans des grandes dictatures, dont le monde pointe du doigt actuellement. Ses pratiques me fait penser à celui qui a défrayé
la chronique dans les années 60 et 70. Monsieur Charles Menson.
Le parallèle s'arrêterait sur la façon dont les gens qui l’entoure sont épris du bon sens mais altérés par son discours de Gourou décousu et passéiste.
Des similitudes flagrantes entre lui et Charles Menson à savoir : Son coté manipulateur, utilisateur outrancier de la bible comme appât, narcissisme primaire
et ne voulant pas mourir seul dans ses étourderies observées.
Comme Charles Menson, il a conduit sa communauté « famille » dans un drame indescriptible, Nganda à son tour traduit son appétit du pouvoir par la
confiscation du principe même des critiques à son égard. Un homme qui conduit sa communauté « APARECO » devant le mur.
Un homme qui dit également sans vergogne, d'avoir fait sa fortune dans la vente de diamants avec ses multiples comptoirs dans des grandes capitales de la sous
région, particulièrement à Kinshasa où la loi de la jungle régnait et soigneusement bien entretenue par une clique de GWANDI écervelés.
Sachez que à cette époque pour votre gouverne, il fut en même temps ministre de la défense et conseiller spécial du président Mobutu. Quel mélange des genres tout
en étant trafiquant pilleur et ministre...
Dans l'APARECO aucune décision n'est prise sans se référer au maître suprême souvent avec ses coupes à coup de ciseaux dans des décisions qui au demeurant
voudraient faire avancer les choses. Seule, ses idées primeraient !
Comment remettre la destinée de tout un peuple martyrisé pendant 32 ans et 18 ans de leurs conséquences à des énergumènes qui ont brillé par leur grande
forfaiture ?
Le fort est celui qui témoigne de compassion envers le faible, car il se montre ainsi capable de résister à la vanité que peut susciter la force.
Or, quand il subit une critique acerbe soit-elle, il se lance avec sa meute pour commencer à diaboliser celui qui a osé porter ses critiques à sa personne. Sa
machinerie cousue du fil blanc se met en branler pour casser, diffamer, spéculer et calomnier !
A l'exemple d' Etienne TSHISEKEDI en Suede, d'Henry MUKE, Bokestu 1er, Julien CIAKUJIA, Rex KAZADI, le Général BARAMOTO, Roger BONGOS, beaucoup de combattantes que
je ne cite pas les noms et j'en passe. La liste est longue !
Sa radio si on peut l'appeler ainsi, sans grille de programmes, relaie l'information fabriquée dans sa laboratoire de désinformation pour salir et fustiger les
braves gens et combattants. Où se trouve la vraie moralité dans ce foutoir ?
Il est évident aujourd'hui à l'appel de ma mémoire d'étudiant, les grands philosophes disaient à propos de la frustration, je cite : La frustration naît de
l’empiétement l'une sur l'autre d'idées n'ayant aucun rapport entre elles, ceci empêchant une seule d'atteindre un point culminant satisfaisant.
Par définition, Honoré Nganda est bel et bien un danger pour le combat que la résistance et diaspora mènent à l'heure actuelle. Sa marque, son emprunte maculée est
bien l'arme de frustrés...
Il est mieux de penser et occasionnellement de se tromper plutôt que d'avoir toujours raison en étant à la dévotion de quelqu'un d'autre. Avec APARECO, on doit tout
gober même si leurs touailles sont truffées d'infamie...Je dirai toujours non à ces niaiseries !
L’inconséquence du spectacle que Nganda et sa bande ( Bendele ) produit, ne lèvera jamais sur fonts baptismaux du combat avec ses machinations de caniveau
!
APRODEC une grande Asbl de qualité qui fournie une grande logique patente, un travail de fourmi, a besoin de 5 000 euro pour ester en justice Joseph KABILA avec des
éléments en appui, il court depuis maintenant 6 mois derrière cette somme bagatelle au regard de la grandeur de la diaspora Congolaise. Sans soutien de ces bons samaritains de latrines.
Rien ! Zéro franc.
Est ce qu'Honoré NGBANDA a fait une proposition concrète à cette ONG citoyenne ? NON ! Est-il au courant de cette action, lui l'homme qui connaît tout? Son
travaille consiste non seulement à diaboliser sans fin mais à plomber le combat...Un parfait malhonnête !
A propos de fourmi, qu'à - est-il de son groupe armé les fourmis rouges ? Et aussi de sa fameuse 5èm colonne ? Des distractions militaro-Résistantes en carton pour
endormir les Congolais. Un prisonnier de ses turpitudes et ses mensonges.
L'homme n'est libre, dont dont la conscience n'est pas comme une porte à double battants s'ouvrant vers l'extérieur pour libérer les idées, et vers l'intérieur pour
recevoir les pensées valables des autres. Les idées des autres Honoré NGANDA dans sa léthargie avec un strabisme pris des prismes outranciers n'accepte rien d'autres que ses fondamentaux has been
!
La lutte pour la liberté tout court, est le combat que Ngbanda a trouvé, elle est primitive et éternelle, il partira, les autres feront mieux que lui, ils les font
déjà. Qu'il fasse son bilan avec son joujou APARECO et groupes armés tant magnifiés sur sa radio de chambrette!
Dans son infériorité de vertu avec ses coup bas, sa place n'est plus dans ce combat digne, oui , le combat dont les femmes sont utilisées comme arme de guerre, des
massacres de masse avec des millions de victimes avec comme conséquence, l'éclatement de l'anthropologie sociale Congolaise. Les causes ? Suivez mon regard avec ses 13 années actives aux
cotés d'un dictateur tribal Mobutu.
La raison en tant que connaissance excelle la perception, parce qu'elle se préoccupe toujours des premiers principes, des causes, soit du passé soit de l'avenir. La
perception se limite aux effets, sans considérer le caractère causal qu'ils peuvent paraître avoir...
Roger BONGOS