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Channel: AFRIQUE REDACTION . L'information en continu ! Afrique au cœur de l’actualité...Infos News sur la RDC, les brèves de la dernière minute. Synthèse sur l’actu internationale. rdcongo-kinshasa, Nord et Sud KIVU, Kinshasa, Bas Congo, Dongo, Equateur, Maniema, Lubumbashi, les deux Kasai. Rédacteur en Chef : BONGOS Roger
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Kinshasa ; la lenteur des travaux fait peur - Attention aux chantiers inachevés !

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Créé le 10 -02-2011 à 09 h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le JEUDI  10 -02-2011 à  11 h00 | PAR : LE PHARE

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Il ne se passe pas un jour sans que l’on annonce avec fracas l’ouverture d’un chantier de la voirie à travers la ville. Le plus récent est celui ouvert hier sur le tronçon allant du Rond Point Petit Pont vers la place Kintambo/Magasins.
Les travaux consistent à élargir ce tronçon fort fréquenté pour permettre une circulation plus aisée et fluide. La cérémonie du lancement desdits travaux a été rehaussée de la présence des têtes couronnées du régime pour lui donner un cachet spécial dans le cadre des cinq chantiers du chef de l’Etat. Du ministre des Travaux Publics et Infrastructures en passant par le Gouverneur de la Ville jusqu’à tout ce qui compte, comme conseillers au cabinet du Président de la République en matières d’infrastructures, sans oublier les responsables provinciaux des partis membres de l’AMP.
Une cérémonie haute en couleurs où l’on a chanté à gorges déployées les réalisations du chef de l’Etat à travers la ville.
Mais seulement voilà ! Il apparaît de plus en plus que tous chantiers s’ouvrent dans l’ambiance dilettante sans tenir compte de la disponibilité des moyens financiers conséquents à cet effet. On se contente d’ouvrir et Dieu seul sait ce qu’il adviendra. Une occasion pour vanter les slogans en l’honneur du Raïs. Car l’on ouvre un ‘chantier le lundi et une semaine après l’on’ ouvre un autre alors que le premier est encore au niveau de l’entassement des moellons, caillasses, et autres matériaux de constructions. Etant donné que le lancement des travaux de construction démarre par la fermeture du tronçon, concerné, tout s’effectue’ dans un cafouillage indicible comme si l’on voudrait empêcher les gens de circuler librement. Il s’en suit des embouteillages énormes surtout aux heures de pointe en ces temps où les parents se cassent en mil-’ le morceaux pour conduire leurs enfants à l’école.
Hier la situation a failli tourner à l’émeute aussi bien à’ l’Est qu’à Ouest de la Capitale où l’on a enregistré des bouchons incroyables sur les principaux tronçons menant vers le Centre Ville. Notamment le  Boulevard Lumumba, l’Avenue ex-24 Novembre, l’avenue de l’OUA, l’avenue du Flambeau, les Huileries, les Poids Lourds, l’avenue Kasa- Vubu, etc. On déploré des ,cas d’asphyxie ,de certains enfants retrouvés coincés dans des bus bondés mais bloqués à la suite des embouteillages monstres. Dieu merci, il n’y a eu aucune victime mais les parents ont eu du mal, à retrouver leurs rejetons dont la plupart sont arrivés à domicile très tard alors qu’ils sont en train de passer leurs examens de premier semestre.

Privilégier l’ordre des priorités

Le lancement de ces travaux s’effectue dans un cafouillage car le maître d’ouvrage donne l’impression dé ne pas prendre en compte l’ordre des priorités. Comment ouvrir en même temps un chantier sur le Boulevard Lumumba et un autre sur l’avenue Sendwe? Comme si l’on voudrait empêcher les gens de circuler sur ces deux tronçons. Les usagers et véhicules en provenance des Communes situées à l’Est de la ‘Capitale sont bloqués à ce niveau-là ou vont tous se rabattre sur l’avenue des Poids Lourds provoquant ainsi des bouchons monstres. La fermeture d’une voie sur l’avenue Colonel Mondjiba a causé des embouteillages monstres sur l’avenue de l’OUA de sorte que certains écoliers ont raté leurs examens prévus’ pour 8 heures du matin.

Arbitrages épiques sur le part age du gâteau tropical

On rappelle que les travaux sur le Boulevard Lumumba étaient censés se terminer au plus tard le 30 juin de l’année dernière. On en est encore à l’asphaltage du deuxième tronçon de quatre bandes et les deux petits boulevards n’ont toujours pas été asphaltés. Preuve s’il en faut que les moyens financiers n’ont pas été disponibles ou des arbitrages au niveau des décideurs font rage chacun tient à se retrouver dans le partage du gâteau tropical. Le Boulevard du Trente Juin offre l’image d’un chantier inachevé, car à l’allure où s’effectuent les travaux de construction des trottoirs, le second mandat de Joseph KABILA, s’il est réélu, aura pris fin avant que ces dits travaux ne soient achevés.
Il en est de même pour tous les autres chantiers qui ont été ouverts à grande pompe et à la gloire du Raïs et de l’AMP.


Plus de 250 cadres de la Police nationale congolaise en formations spécialisées

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Créé le 10 -02-2011 à 09 h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le JEUDI  10 -02-2011 à  11 h00 | PAR : AFRIQUE REDACTION 

 

Plus de 250 cadres de la Police nationale congolaise (PNC) ont débuté mercredi, au Camp Lufungula, à Kinshasa, des formations spécialisées organisées par la mission EUPOL/RDC en vue de renforcer les capacités des quatre unités au sein de la PNC, à savoir: la Police d’investigation criminelle (PIC), la Police de recherche et d’intervention (PRI), la Police d’intervention rapide (PIR) et la Police des polices (PP).

Les cours sont donnés par les experts policiers de la mission EUPOL et portent sur «la rédaction des procès-verbaux» et les «Gestes techniques professionnels d’intervention (GTPI)». La première session de formation se déroule du 9 au 12 février 2011 et concerne 15 officiers de la Police des polices. Selon le commissaire divisionnaire Hervé Flaut, chef de mission adjoint en charge des opérations, les cadres bénéficiaires devront être en mesure de transmettre eux-mêmes les connaissances acquises à plusieurs centaines de policiers qui composent chaque unité, dans le cadre de la continuité et d’appropriation de la réforme de la PNC. Les formations s’inscrivent dans le cadre du soutien de la mission EUPOL/RDC à la réforme de la Police nationale congolaise, et plus concrètement, au renforcement des connaissances et compétences des officiers de celle-ci.

La protection de l’enfant évoquée au ministère du GEFAE

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Créé le 10 -02-2011 à 09 h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le JEUDI  10 -02-2011 à  11 h00 | PAR : AFRIQUE REDACTION 

 

 

La collaboration entre le ministère du Genre et l’UNICEF concernant la protection de l’enfant a été évoquée mardi au cours de l’audience que Marie-Ange Lukiana a accordée au représentant résident de cette agence onusienne, M. Heffinck.

Ce dernier a souligné les progrès accomplis par le ministère, notamment la disposition relative à la loi sur l’enfant qui reste à exécuter. Il a reconnu, à ce sujet, la nécessité de faire le plaidoyer en vue de la vulgarisation de cette nouvelle loi dont l’application contribuera à la protection des enfants. M. Heffinck a déploré le fait que 50 % parmi ces derniers sont victimes des violences dans certaines parties du pays.

Le représentant résident de l’UNICEF qui a ensuite dénoncé le recrutement des enfants par de différents groupes armés, a évoqué la nécessité de réintégrer les enfants soldats dans leurs familles respectives pour qu’ils puissent jouir de leur enfance.

« C’est un travail de longue haleine », a-t-il reconnu. Par ailleurs, M. Heffinck a souligné l’importance de la réforme du système judiciaire en recommandant que les juges et les policiers soient formés pour instaurer un dialogue avec les enfants. Il s’est réjoui du fait que le gouvernement est conscient des problèmes qui touchent les enfants et a pris des dispositions nécessaires pour améliorer leur situation, avec l’appui de la communauté internationale. Cette agence de l’ONU, a dit M. Heffinck, collabore avec le gouvernement congolais pour essayer d’accélérer le processus de stabilisation dans les endroits où il y a des problèmes importants et le processus de prévention de la violence et de réintégration des enfants ayant participé à des actes de l’armée.

Soutien au leadership économique de la femme

La ministre du Genre a reçu Mme Melanne Verveer, ambassadrice américaine des femmes, venue s’imprégner de certaines préoccupations de la femme congolaise en RDC. Cette dernière a discuté avec Mme Lukiana des domaines d’intervention dans lesquels le gouvernement américain peut assister la femme en RDC.

Elle a souhaité que soit renforcé le leadership économique de la femme congolaise à travers le domaine agricole, car le Congo est très riche dans ce secteur. Elle a promis de présenter les désidératas congolais auprès de son gouvernement. Auparavant, l’ambassadrice américaine avait été informée des lois adoptées en RDC en faveur des femmes et leur mise en application, de la structuration et des ressources de ces dernières.

La justice française recherche activement Nozy Mwamba

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Créé le 10 -02-2011 à 09 h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le JEUDI  10 -02-2011 à  11 h00 | PAR : LE SOFT 


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L‘affaire de faux dinars de Bahreïn pour laquelle le R-dCongolais, Richard Nozy Mwamba, a été condamné par contumace, en 2010, à 7 ans de prison par un tribunal parisien rebondit. On parle désormais d’une affaire complexe qui aurait des ramifications internationales.


L’homme d’affaires r-dcongolais, Richard Nozi Mwamba Munanga, est toujours recherché par la justice française. L’ancien président de la fédération ex-zaïroise de football (FEZAFA) a été reconnu coupable pour son implication dans une affaire de faux billets de banque ou dinars du Bahreïn En 2010, le tribunal correctionnel de Paris en France a prononcé un jugement dans cette affaire, condamnant à 7 ans de prison ferme Nozy Mwamba «roi Soleil» qui a brillé par son absence au procès. Nozy Mwamba a été reconnu coupable dans ce dossier de contrefaçon avec 6 autres personnes, dont le R-dCongolais, Jean Pierre Kimbangala, condamnées à des peines allant de 18 mois à 5 ans d’emprisonnement. Dans cette affaire, ce sont les deux RdCongolais qui ont écopé les peines les plus lourdes : 5 ans pour Kimbangala et 7 ans pour Nozi Mwamba.

MANDAT D’ARRÊT.

Quatre Français et un Tchadien, Hassan Fadoun, ont été également jugés dans le cadre de cette affaire de fausse monnaie, et ils ont été tous condamnées au payement des Dl évalués à 4.500.000 euros à verser à la Banque centrale du Bahreïn. Les 4 Français vont purger des peines de 1 an à 3 ans, tandis que Hassan. Fadoun, un ancien conseiller du président tchadien, Idris Deby, est condamné à 5 ans de servitude pénale. Ce dernier a été relaxé mais placé en Liberté surveillée à Kara au Nord du Togo. Pour Non Mwamba, le tribunal parisien a maintenu le mandat d’arrêt en son encontre. On se souvient qu’en 1998, Nozi Mwamba autrement appelé «Roi Soleil» ou encore «Maye Productio », alors président de la Fédération nationale de football avait des démêlés avec le nouveau régime (AFDL) qui venait de s’installer au pouvoir à Kinshasa.
Il avait été cité dans l’affaire Kanaffer, une opération de contrefaçon de Nouveaux Zaïres - mis en circulation dans les années 1993-1994 par le gouvernement de Faustin Birindwa - fabriqués en Argentine. Et on se rappelle que Kengo va Dondo, alors premier ministre, avait décidé d’expulser Kanaffer du territoire r-dcongolais dans le cadre d’une enquête sur les faux Nouveaux Zaïres imprimés en Argentine. Cependant, cette affaire de contrefaçon de 140 millions de faux dinars dans laquelle Nozi Mwamba est impliqué, a été découverte en 1998. Plusieurs pays y sont concernés. Fabriqués en Argentine, ces faux billets ont traversé le Tchad et le Niger pour être blanchis au Moyen-Orient et en Europe.
En réalité, c’est l’équivalent de 405 millions de dollars. Beaucoup de personnes ont été arrêtées en France en possession de ces faux billets de banque pour une valeur de 11.250.000 dollars. Le Bahreïn a du coup porte plainte en France où ont été saisis ces faux billets, dont la mise en circulation a failli provoquer la chute de ce petit royaume. Nozy Mwamba est poursuivi pour s’être passé au moment des faits comme le représentant en Afrique de l’imprimerie argentine qui avait fabriqué ces faux billets.

Merveille Mandina

Les Communes de Kinshasa n’ont presque plus de rues où circuler

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Créé le 10 -02-2011 à 09 h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le JEUDI  10 -02-2011 à  11 h00 | PAR : LE SOFT 

 

Qui ment à qui ? En 10 ans d'incurie, quel est le bilan des " 5 lumineux chantiers " de l'imposteur ?
Lisez le billet d'un journal Kinois qui mesure ses propos,  de peur de subir des  violentes représailles de l'oligarchie Rwnado-Katangaise  des traitres par excellence à la tête du pays!



Kinshasa, la capitale de la R-dC, n’a quasiment plus de route. Se rendre en voiture dans les communes devient difficile faute de voies d’accès. Il n’y a que les véhicules 4x4 qui peuvent y rouler sans déplorer des casses. Au fil du temps, la voirie urbaine s’est dégradé.
Normal, dira-t-on, Mais si rien n’y est fait, les quartiers de Kinshasa ne seront pas différents des villages de l’arrière-pays. Si ailleurs, dans les autres métropoles, les embouteillages sont un phénomène normal à cause du nombre sans cesse croissant des véhicules mis en circulation au jour le jour, à Kinshasa, les bouchons ont pour cause principal le mauvais état des routes. Il ne faut même pas parler des accidents et des difficultés de transport qu’engendre l’état piteux des artères. La gestion des routes d’intérêt national relève de la responsabilité du gouvernement central qui en a confié la charge à l’Office des routes (OR) alors que celle des routes d’intérêt urbain dépend du gouvernement provincial, via l’Office de voirie et de drainage (OVD). Si le gouvernement peut se féliciter de là réhabilitation de la route nationale n°1, sur l’axe Kinshasa-Matadi et sur l’axe Kinshasa-Kikwit, on attend que tout se remette aussi en place à Kinshasa. Généralement, on laisse se dégrader complètement pour entreprendre des travaux. Lesquels sont parfois réalisés sans tenir compte des études de faisabilité. Conséquence: après quelques mois, la chaussée réhabilitée revient à la situation de la case de départ.


PROBLÈMES AVÉRÉS.

Dans la Capitale, tout ou presque est à refaire. C’est le moins que l’on puisse dire. Avec ses problèmes récurrents (insalubrité, manque d’eau et d’électricité, difficultés de transport, habitat, etc.), Kinshasa serait désormais estampillé comme «la capitale la plus sale au monde». Le gouverneur de la ville, André Kimbuta Yango, est venu avec un discours pragmatique et de proximité. Mais rien n’a semblé changer sur le terrain. Presque toutes les routes de la Capitale sont dans un état de délabrement avancé. Il devient difficile de rouler a l’intérieur des communes de Kinshasa, notamment à Kasa-Vubu, Barumbu, Kinshasa, Lingwala, Ngiri-Ngiri, Selembao, Makala, Bumbu, Ngaba, etc. Dans certaines communes, les artères principales d’accès sont devenues impraticables. C’est le cas de Lemba où l’avenue Sefu est hors d’usage. Ailleurs, la situation n’est pas non plus reluisante: Ndjili, Masina, Kimbaseke... L’avenue Bokasa qui sépare la commune de Kinshasa de celle de Barumbu demande à être réhabilitée de fond en comble. Pareil pour des chaussées secondaires qui traversent les quartiers et les communes: Kabinda, Kabambare, Yolo, Kimwenza, etc. Ici et là, des lacs artificiels se sont formés sur la chaussée et les nids de poule ne se compte plus. Les caniveaux sont ensevelis par le sable et les immondices... Le boulevard Lumumba qui est la deuxième artère de Kinshasa en importance après le boulevard du 30juin, se trouvait dans un état qui laissait vraiment à désirer. Les nids de poule jonchaient la chaussée au point que les embouteillages y étaient devenus fréquents. Heureusement, les Chinois y sont à pied d’oeuvre. Les véhicules ne s’hasardent pas sur Bokassa sur le tronçon entre les avenues Itaga et du commerce. Cet endroit est dans un état piteux et est envahi par des vendeurs qui exposent leurs marchandises à même le sol. L’avenue By Pass devant l’Église La Résurrection et l’Alliance franco- congolaise s’est dégradée davantage. À Ndjili, vers la Place Sainte Thérèse, les artères non entretenues sont envahies par l’eau de pliée...
d’infrastructures routières sont accueillis avec enthousiaste à Kinshasa partout où ils sont exécutés. Cependant, les pluies diluviennes font payer un lourd tribut aux artères de la Capitale. La réhabilitation des routes nécessite des gros moyens financiers. Kimbuta et son gouvernement provincial ont-ils les coudées franches? Certains chantiers fonctionnent déjà, mais les travaux avancent à pas de tortue. Souvent les autorités confient le marché de réhabilitation des routes à des amis ou frères afin de bénéficier des commissions plantureuses. C’est comme ça que les routes ne résistent pas à l‘usure du temps. Sinon, comment expliquer que l’avenue Yolo qui, à peine réhabilitée, est-elle redevenue impraticable ?

Merveille Mandina

République démocratique du Congo. Craintes pour les droits humains à l’approche de la campagne présidentielle

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Créé le 10 -02-2011 à 09 h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le JEUDI  10 -02-2011 à  11 h00 | PAR : AFRIQUE REDACTION 



AMNESTY INTERNATIONAL DÉCLARATION PUBLIQUE


ÉFAI



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République démocratique du Congo. Craintes pour les droits humains à l’approche de la campagne présidentielle

L’élection présidentielle de 2006 a été entachée de violations des droits humains, notamment le recours excessif à la force meurtrière, les arrestations et la détention arbitraires, et les disparitions forcées. Les arrestations arbitraires de journalistes et de dirigeants de l’opposition, la répression de manifestations politiques pacifiques, et les menaces de mort proférées à l’encontre de défenseurs des droits humains qui ont été signalées ces deux derniers mois suscitent des craintes à l’approche de la campagne et de l’élection présidentielles de 2011. 

À la lumière de ces récents événements, Amnesty International appelle la République démocratique du Congo (RDC) à protéger les droits à la liberté d’association, de réunion et d’expression de sa population, y compris les défenseurs des droits humains et les opposants politiques. L’organisation demande, en particulier, que les défenseurs des droits humains puissent mener leurs activités légitimes sans craindre d’être menacés, arrêtés ou détenus arbitrairement. Elle exhorte les autorités à veiller à ce que le Code pénal ne soit pas appliqué en violation de ces droits et à ce que toute personne accusée d’une infraction pénale, y compris les membres de l’opposition, bénéficie d’un procès équitable. Par ailleurs, en cas d’atteintes aux droits humains, les autorités doivent diligenter une enquête rapide, approfondie et impartiale afin d’identifier les responsables présumés de ces agissements et de les déférer à la justice.

Menaces contre des défenseurs des droits humains

Amnesty International est inquiète pour la sécurité et le droit à la liberté d’expression et d’association des défenseurs des droits humains et des dirigeants de l’opposition en RDC car le pays se prépare à l’élection présidentielle de novembre 2011.


Jean-Claude Katende et Georges Kapiamba, éminents avocats et défenseurs des droits humains appartenant au bureau kinois de l’Association africaine de défense des droits de l’homme (ASADHO), ont reçu des menaces de mort explicites les 1er et 2 février. Le 1er février, ils avaient organisé une conférence de presse au cours de laquelle ils avaient dénoncé les actes de harcèlement et les mesures de répression du gouvernement à l’égard des opposants politiques, en citant plusieurs cas précis.

Les menaces en question, envoyées par texto depuis différents numéros, étaient anonymes. Voici le contenu de l’un de ces messages : « Si vous continuez cette campagne d’intoxication contre nous, vos jours sont comptés. Vos partenaires internationaux ne vous sauveront pas. » Jean-Claude Katende et Georges Kapiamba ont également reçu un appel les prévenant qu’ils risquaient d’être attaqués les jours suivants parce qu’ils avaient condamné publiquement l’attitude du gouvernement.

Le jour de la conférence de presse, Lambert Mende, ministre des Médias et de la Communication et porte-parole du gouvernement, a répondu aux questions soulevées par l’ASADHO sur Radio Okapi, une station financée par les Nations unies. Il a nié certaines accusations et réclamé des preuves supplémentaires pour d’autres cas. Il a, semble-t-il, accusé l’ASADHO de diffuser de fausses informations et d’être l’instrument d’entités étrangères qu’il n’a pas nommées et qui, selon lui, cherchent à prendre le contrôle du pays.
Par le passé, les accusations de ce type portées par le gouvernement contre des défenseurs des droits humains menant leurs activités légitimes ont été suivies de procès arbitraires violant le droit de ces personnes à la liberté d’expression. Les procès de Golden Misabiko, du bureau de l’ASADHO au Katanga, et de Robert Ilunga, membre des Amis de Nelson Mandela pour les droits de l’homme, qui se sont déroulés en 2009, en sont des exemples révélateurs.

Le gouvernement doit respecter ses obligations à l’égard des défenseurs des droits humains, notamment en veillant à ce que ces personnes soient à l’abri des menaces, des arrestations et de la détention arbitraires, faire tout son possible pour protéger Jean-Claude Katende et Georges Kapiamba, y compris en diligentant une enquête impartiale, approfondie et efficace sur les menaces reçues par ces deux défenseurs des droits humains, et prendre des mesures concrètes à l’encontre des responsables présumés de ces agissements.

Répression des opposants politiques
De récentes manœuvres de harcèlement et d’intimidation visant des opposants politiques ont également été signalées.

Eugène Diomi Ndongala, président du parti d’opposition Démocratie chrétienne, a été arrêté le 13 janvier 2011 à Moanda, dans la province du Bas-Congo, où il rendait visite à des membres de son parti avant un congrès national prévu pour février. Le soir précédant son arrestation, un incident apparemment provoqué par une personne se présentant comme un agent de la Direction générale des migrations (DGM) avait eu lieu. Eugène Diomi Ndongala a été inculpé et condamné le lendemain à cinq mois d’emprisonnement pour outrage à un représentant de l’autorité publique et coups et blessures. Il a finalement été relaxé en appel le 3 février après que la cour eut, semble-t-il, estimé que le jugement précédent n’était pas étayé par des preuves suffisantes et découvert que la personne qui se serait battue avec Eugène Diomi Ndongala ne figurait pas parmi les employés de la DGM, comme elle l’avait prétendu.


Le 27 janvier, dans l’est de la RDC, la police et l’armée ont dispersé des rassemblements organisés par deux groupes de jeunes dans les quartiers de Furu et Katwa, à Butembo (Nord-Kivu). Ces groupes recueillaient des signatures pour une pétition réclamant l’annulation de la révision constitutionnelle récemment approuvée par le Sénat, qui limite à un tour le scrutin présidentiel. Les services de sécurité ont arraché leurs banderoles et l’Agence nationale de renseignements (ANR) a, semble-t-il, saisi une partie de la pétition qui comprenait près de la moitié des 65 400 signatures que les groupes disaient avoir collectées. L’armée a sillonné les quartiers de Furu et Katwa du 27 au 31 janvier et aurait fouillé des maisons voisines pour trouver et interpeller toutes les personnes liées aux groupes en question. Ce soir-là, l’ANR a procédé à plusieurs arrestations arbitraires et, selon certaines informations, des militaires ont pillé le cheptel des habitants. Le 3 février, toutes les personnes détenues avaient, semble-t-il, été libérées.

Depuis un certain nombre d’années, Amnesty International recueille des informations sur la vaste implication des services de sécurité civile – en particulier de l’ANR et, dans une moindre mesure, de la DGM – dans des violations des droits humains visant notamment des opposants politiques. Par conséquent, l’organisation craint que ces services ne poursuivent et ne multiplient leurs manœuvres d’intimidation dans les neuf mois à venir.

Détention arbitraire de journalistes

Le 17 décembre 2010, le journaliste Robert Shemahamba – directeur de la Radio-télévision communautaire Mitumba (RTCM), un média local diffusant des émissions de radio et de télévision – a été arrêté et détenu arbitrairement par l’ANR à Uvira (Sud-Kivu). Le 12 décembre, il avait animé sur Radio Mitumba un débat traitant, entre autres, du discours sur l’état de la nation prononcé par le président Kabila devant l’Assemblée nationale. Il a été convoqué et interrogé le 13 décembre par le procureur de la République. Le 17 décembre, il a été sommé de se présenter à l’ANR et arrêté sans être informé des charges retenues contre lui. Il a été incarcéré jusqu’au 27 décembre dans deux centres de détention de l’ANR, sans pouvoir recevoir de visites.

Dominique Kalonzo, un journaliste de Radio Maendeleo qui a également participé au débat, a dû se cacher après avoir été publiquement agressé le 24 décembre par des agents de l’ANR qui tentaient, semble-t-il, de l’arrêter.



Françoise Guillitte

Candidats à la candidature de l’Opposition : le Député JC Vuemba met les points sur les i

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Créé le 10 -02-2011 à 09 h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le JEUDI  10 -02-2011 à  11 h00 | PAR : LE SOFT 

 

 



S‘il ale profil et le discours nécessaires pour convaincre l’Opposition à fédérer autour d’un programme commun d’alternance, il reste la méthode. JC Vuemba Luzamba est conscient des difficultés qui jonchent sa démarche de l’union de l’Opposition.

La campagne d’identification des personnalités et des partis politiques de l’opposition qu’il tance début mars prochain avaleur de test de stratégie dans l’opposition dont l’objectif ultime est le choix du candidat à la candidature. En attendant, des messages et des demandes affluent sur son blog. «Je reçois plusieurs e-mails par jour, les gens m’appellent des provinces, de la diaspora, etc. Il y aura une adresse physique à Kinshasa et une adresse électronique pour que les partis et associations puissent s’annoncer à l’intérieur comme à l’extérieur ».

MODE D’EMPLOI.

Puis: «Au niveau de la diaspora, au moins 200 partis s’intéressent à ce programme». Le président du Mouvement du peuple congolais pour la République (MPCR) qui n’est pas candidat à la candidature de l’Opposition à l’élection présidentielle la nuance est de taille-, mesure déjà l’ampleur de l’opération. A en juger par les sollicitations dont il fait l’objet de la part de ses pairs: C’est dire que JCVL devient incontournable et reste droit dans sa logique. Acte I: identification. «Plus rien ne peut freiner désormais l’Opposition dans la voie de l’union autour des valeurs démocratiques. Le 5 mars prochain, l‘Opposition va procéder à l’identification et clarification de tous les partis politiques et personnalités, ainsi que des associations de son obédience pour la rédaction d’un programme commun de gouvernance d’alternance politique en 2011». Au Soft International, il explique qu’il a la caution des majors de l’Opposition, mais surtout de la majorité des partis et personnalités qui la composent. Il dit en avoir discuté avec Étienne Tshisekedi,Vital Kamerhe, Joseph Olenghankoy,Thérèse Pakasa, Delly Sessanga, etc. Objectif? «Obtenir leur accord de participation active à ce projet commun». Et c’est à Joseph Olenghankoy, spécialiste ès journées ville morte sous la transition mobutienne, président national des Forces novatrices pour l’union et la solidarité (FONUS), qu’il doit cette initiative de commencer d’abord par identifier les personnalités et les partis de l’Opposition avant la rédaction du programme commun de gouvernance pour l’alternance. «Il y a des personnalités qui se réclament de l’Opposition mais qui ne le sont pas en réalité», précise-t-il. Acte II: code éthique. Après l’identification et la clarification, il faudra adopter une «charte de gestion des ambitions et de la candidature commune et consensuelle de l’Opposition». Pourquoi? «De nouveaux partis de l’Opposition sont venus rejoindre les anciens partis déjà établis. Il y aura une, commission qui va préparer le forum sur la rédaction du programme commun de gouvernance d’alternance politique en 2011». Qui en seront les rédacteurs? «Tous les partis et les plates- formes, politiques de l’Opposition vont envoyer leurs rédacteurs afin que les spécificités soient mis ensemble pour sortir un programme commun qui prendra en compte tous les problèmes qui minent la R-dC. Ce sont les leaders des partis politiques qui vont signer ce vade mecum que nous allons montrer et expliquer à la population». Acte III: choix du candidat à la candidature.
Comment gérer les ambitions des uns et des autres? C’est ici où se trouve le hic. «Dans le passé, d’aucuns ont assumé des charges publiques, et ils ont nommé aux postes de responsabilité des amis, des membres de famille, de clan ou de tribu... Nous ne voulons plus de ça. Maintenant, à l’issue des élections, c’est au parti qui aura le plus grand nombre des députés, que reviendra le poste de Premier ministre, à la condition que le président de la République élu ne puisse pas être de sa famille politique». «Par ailleurs, fait remarquer JCVL, la population nous demande d’avoir des listes communes pour toutes les élections prochaine». Pour l’élection présidentielle, il précise «Nous allons ouvrir la chambre de la candidature commune et consensuelle de l’Opposition de laquelle sortira le leadership humain. C’est ainsi que nous ne nous opposons pas aux multiples candidatures annoncées à l’élection présidentielle, notamment celles de -Jean Pierre Lisanga Bonganga et de tant d’autres. L’Opposition doit aller dans cette stratégie pour que la pression ne soit pas non plus sur les épaules d’une seule personne, en sachant que le pouvoir de Kabila ne nous laissera pas tranquilles. Ce n’est qu’à la fin du processus que le candidat de l’Opposition sera désigné par consensus et les autres personnalités vont taire leurs ambitions». JCVL apaise les - esprits sur le trop plein des candidatures qui pourrait rendre difficile le choix du candidat de l’Opposition «Aucun parti ne peut gagner seul les élections, d’où il faudra le choix d’un candidat consensuel». S’agira-t-il des primaires? «Les primaires présentent le risque de fragiliser l’Opposition à cause des campagnes stériles. Par ailleurs, toutes, lés précautions sont prises pour empêcher toute infiltration de l’Opposition. Nous croyons que la population mettra en garde toute personnalité ou tout parti aventurier qui viendrait nous infiltrer. Cette fois-ci, nous sommes sérieux, et la population peut compter sur nous car le quadrillage du Congo par l’Opposition est à notre avantage».
                                                                       Pascal Bamanayi
                                                                       Nzila Mundenga Senda

Polémique autour de la réinsertion des expulsés d’Angola au Kasaï et au Bandundu

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Créé le 10 -02-2011 à 09 h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le JEUDI  10 -02-2011 à  11 h00 | PAR : LE SOFT 

 



Il se pose un problème de réintégration sociale des R-dCongolais expulsés d’Angola dans les localités d’accueil. Les humanitaires attendent beaucoup de la prochaine session de la commission mixte R-dC-Angola qui devra se tenir prochainement à Kinshasa. Ils souhaitent que la question d’expulsion massive des RdCongolais d Angola puisse trouver une issue favorable et définitive. En effet, ils déplorent la poursuite de ces expulsions qui se feraient sans le moindre respect de la dignité humaine. Et ils insistent pour que les autorités de Kinshasa et Luanda mènent des enquêtes sur les actes de violences dont les viols des militaires angolais sur les femmes r-dcongolaises. Selon le bilan que dressent les humanitaires, près de 12.000 R-dCongoiais ont été expulsés d’Angola en 2010. Une centaine de personnes seraient expulsées en ce début de 2011. Les expulsés d’Angola sont cantonnés actuellement dans plusieurs localités, notamment à Tembo, Kasongo-Lunda, Swana, Mukanza, Kizamba et Kahemba dans la province du Bandundu à Tshikapa, Luiza au Kasaï occidental, au Bas-Congo, etc. Ici et là, il se pose désormais le problème de leur réinsertion sociale. Par exemple, pour avoir un lopin de terre afin de faire l’agriculture, des chefs de groupements ou de village dans la province de Bandundu et dans, les deux provinces du Kasaï (occidental et oriental), exigent à ces expulsés une somme de 40.000 Fc, voire plus. Alors que ces personnes arrivent d’Angola dépouillées de tout. Les expulsés crient à l’injustice sociale. Les humanitaires se préoccupent donc de leur réinsertion sociale après tant d’années passées, pour la plupart dans les carrières de diamant.

Rodriguez Kikamba


Arrivé fin mandat, le procureur Ocampo ne pourra remplir à la CPI

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Créé le 10 -02-2011 à 09 h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le JEUDI  10 -02-2011 à  11 h00 | PAR : LE SOFT 

 

 



L‘Assemblée des États parties organe  législatif de la CPI - composée des pays qui ont adhéré aux statuts de la Cour pénale internationale élira, cette année, un nouveau procureur en remplacement du magistrat argentin, Luis Moreno Ocampo.


Il  laisse derrière lui, 17 mandats émis contre des suspects tous Africains. L’information est donnée par la Coalition internationale pour la CPI basée à New-York, relayée par la Coalition r-dcongolaise. Le tout premier chef du parquet élu, en avril 2003, à l’entrée en fonction de la Cour pénale internationale, début juillet 2002, ne saurait rempiler pour un nouveau mandat. Les statuts de la Cour le lui interdisent après neuf ans passés à la tête d’une jeune juridiction à la recherche d’une image à la fois d’efficacité, d’indépendance et d’équité.
Luis Moreno Ocampo est actuellement en procès contre Jean-Pierre Bemba Gombo qu’il poursuit devant la CPI pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité commis, entre fin 2002 et 2003, en République centrafricaine.

LES RÉACTIONS.

Le «Chairman» du Mouvement de libération du Congo (MLC) est poursuivi comme chef militaire. Les juges qui l’ont fait arrêter, fin mai 2008, en Belgique, puis remis à la CPI, début juillet de la même année, se fondent à l’idée qu’en tant que chef militaire, le sénateur r-dcongolais - alors chef d’une rébellion au Nord-Ouest de la R-dC -, «savait ou -aurait su que ses troupes commettaient des crimes dont il n’a pas pu empêcher la commission», selon l’article 28 des statuts de la CPI. Le procureur sortant s’aligne sur cette appréciation des juges alors qu’avant le procès, le parquet accusait Jean-Pierre Bemba comme «individuellement responsable » des crimes qui lui sont imputés, à la lumière de l‘article 25 des statuts de la Cour. Cette qualification a été rejetée par les juges assurant que Bemba n’a pas été personnellement à Bangui mais avait plutôt un contrôle effectif sur ses hommes envoyés en soutien auprès du président Patassé menacé par la rébellion de François Bozizé, actuellement au pouvoir.
Ocampo s’en va, laissant ainsi une équipe de la défense qui continue à lui exiger de prouver que le suspect avait encore une main sur ses hommes distancés de lui d’environ 2000 Km dans un pays tiers et pris en charge par le chef suprême des armées centrafricaines, Ange-Félix Patassé, bien en liberté à Bangui, après son exil an Togo. Mes Nkvebe et Kilolo persistent à l’idée que le procureur, faute d’arguments, instrumentaliserait les témoins à charge, qui perdaient généralement le fil d’idées à l’étape du contre-interrogatoire. Luis Moreno, Ocampo est fortement pris à partie par des partisans de Bemba aussi bien à Kinshasa qu’à l’extérieur que son départ de la Cour cal commenté dans tes rues de la capitale de la R-dC, Kinshasa, comme une «sanction» et non une fin légale d’un service rendu.

Désiré-Israël Kazadi

Myra Ndjoku : La mafia-connexion de l’ambassade truande de la RDC à Paris

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Créé le 11 -02-2011 à 09 h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le VENDREDI  11 -02-2011 à  11 h00 | PAR : AFRIQUE REDACTION 

 

AMBASSADE-RDC-FRANCE-MYRA-NDJOKU.jpg

 

A l’exemple du Western spaghetti réalisé par Sergio Leone, qui avait mis astucieusement en relief trois grands du cinéma (Clint Eastwood, Lee Van Cleef, Eli Wallach) pour la mise en scène du film légendaire de 1966: Le bon, la brute et le truand. Myra NDJOKU à lui seul fait office de ces  trois caractéristiques :


Tout le monde se rappelle du  film qui raconte l'histoire de trois as de la gâchette qui durant la guerre de sécession sont à la recherche d'un chargement d'or disparu… Je vous renvoie vers le visionnage de ce merveilleux chef œuvre afin de faire la corrélation avec le personnage vil et foncièrement inconstant de Myra NDJOKU qui brandit aussi brutalement son arme envers (ses valets) à l’ambassade à l’image de la brute dans le film. Une des locaux disait, je préfère aller casser  mon dos à faire le ménage que de travailler dans ce bordel.


Sachez que cet Ambassadeur venu tout droit de Kinshasa pour occuper ce poste en date du 27 février 2009,  sans nomination officielle (aucune trace dans les archives de son ministère de tutelle) sans aucun visa diplomatique qui accrédite sa nomination. Son affectation avait simplement un caractère purement politique, avec des orientions  de la barbouzerie émanant de son chef suprême, le fameux Raïs. En attendant d’occuper officiellement ses multiples fonctions, il logeait dans un hôtel qui revenait aux contribuables Congolais, la bagatelle de 7000 euro (sept milles euro) par mois sur une période de six mois.


Venu pour en découdre avec des opposants au petit Roi du Congo. Cet ambassadeur a une sainte horreur d’être contrarié dans ses plans, encore moins apostrophé. Mais il a raté sa mission initiale, serait d’éliminer quelques ténors de l’opposition qui donneraient le tournis au locataire du palais de Marbre. Le salaire du péché dit-on, c’est la mort ! Faute de résultats concluants on l'a fait boire le calice jusqu’à la lie… Ses jours sont comptés !


On se souviendra de ses mésaventures à la gare du Nord qui a montré ses insuffisances dans le domaine diplomatique. A l’issue de ce camouflet, il décidera de régler les comptes du journaliste un peu zélé, en payant des gros bras qui travaillent avec lui à l’ambassade pour refaire le portrait de celui-ci, au pire, de lui faire avaler son extrait de naissance.


Dans cette sale besogne, un certain catcheur « Action - Zakoto » au passé peu apologétique accepta, de passer à l’acte en mettant en place un scénario d’une expédition punitive sur le sol Français à l’encontre du journaliste d’investigation.  Fort heureusement pour eux, ceux là (une bande de 3 personnes) ont été découragés par le conseil d’un sage homme qui leurs avertissaient de renoncer à leur entreprise macabre.


Cette sagesse n’est pas rentrée dans les oreilles des sourds, ils s’exécutaient! C’est delà que Myra NDJOKU a su qu’avec qui, il avait affaire…Et que ce journaliste avait franchi, le pallier et exorcisé la peur dans toutes ses déclinaisons…


Myra NDJOKU, le bon, la brute et le truand !


Quelque fois, il est bon avec ses esclaves à l’ambassade pour les presser comme du citron. La brute qui bastonne ses collaborateurs et les menacent à chaque fois qu’il y a une incartade avec son armes à feu. Les locaux, agents et diplomates en poste dans sa citadelle vivent une vie de martyrs sans pareille au rythme de je t’aime moi non plus.


Le truand, c’est la cerise sur le gâteau de l’absurdité ! Il confisque la paie de ses collaborations en les payant à coup de lance pierre. Il fabrique allégrement de faux documents officiels pour la mise en place d’une vente parallèle des actes sécurisés. Il a empoché les salaires d’une douzaine de locaux et diplomates virés, en leurs payant seulement leurs arriérés de mars 2010. Le calcul est vite fait, un vrai pactole. Document joints


Il supprime le tenant lieu et sauf-conduit pas rentable à son gout. Ça ne rapporte pas assez  avec les 30 euro de la tarification de ces documents. Il préfère, le passeport, qui lui rapporte à lui seul la bagatelle de 60 euro de commission par passeport, tout en sachant que le prix initial du passeport s’élève à 168 €uro. Peine perdue, si vous avez que  cette somme dans votre escarcelle.


Il faudra en tout au plus, 400  à 800 euro pour ce titre de voyage.  Là vous avez peut être la chance d’être servi à tant. Cela augmenterait  d’une manière substantielle, les revenus illicites de notre prince du Château. Tout le monde mange au passage, même les agents de sécurité. Une maffia bien huilée !


2400 personnes, victimes de malversation orchestrée par le clan Myra. Lamine, celui qui sert de coursier pour apporter la mallette diplomatique à Kinshasa pour récupérer de passeports ne peut plus à l’heure actuelle gouter au confort sommaire de l’avion pour aller récupérer sa livraison. Le Parrain à Kinshasa, ne veut plus céder aux caprices de son Lieutenant qui devient trop gourmand...Myra en a trop fait !


Pour la petite histoire, les Congolais qui ont introduit leurs demandes pour l’obtention de ce sésame, attendent plus de 4 mois dans un dénouement total sans l’ombre un hypothétique passeport. Aucune nouvelle de ce document qui devient une denrée rare dans cette malheureuse communauté. Là aussi, pour avoir accès à son dossier, il faut montrer patte blanche.


L’ambassade ne désemplit pas avec une cohue indescriptible qui met mal à aise et triste les  malheureux agents et service de sécurité qui ne savent pas à quel saint se vouer. Et les fonctionnaires qui peinent à cacher leur désarroi face à ce désordre…


Pourquoi quatre mois d’attente sans succès au bout? La raison de cette forfaiture se trouverait à Cergy dans sa ville nostalgique là où cet ex-chauffeur livreur avait construit une réputation de bagarreur, soulard et de mendiant. Le voleur revient toujours sur son lieu de crime. Il s’est offert avec les deniers de l’Etat une maison qu’il a soigneusement mise à la disposition de sa fille avec son gendre Peter qui joue également un rôle clé dans cette entreprise familiale (Ambassade). Sa fille, une véritable grande gueule, travaille aux côtés du patriarche qui pollue la vie de tous, particulièrement de la chancelière. Une rivalité, sans merci…Cette rivalité amuse et désole certains… Impossible de travailler  dans un tel climat délétère.


Traficote avec l’argent de passeports. Malversation de tous genres et en prime, il crée des emplois fictifs. (Sa fille, son beau fils, Dina Vangu, la petite sœur d’une certaine Olive Lembe, Ngalula Chantal, Rina Kasang, KAMONO Bibiche), la liste n'est pas exhaustive. Une affaire de népotisme aggravée par le jeu de divan. Une maîtresse d’Antoine GHONDA (ami du Raïs) hautaine dans un terrain conquis, torture ses collègues à la longueur de la journée.


Le frère de Myra NDJOKU, AMADI,  les oreilles et les yeux de Myra en dehors des cameras installées même dans sa chambre à coucher. LAMINE, homme de NDOKU, celui qui exerçait une pression sur ma personne en brandissant ses menaces à la gare du Nord (Protocole). Fils du grand frère à Yerodia Idriss François de nationalité douteuse, ancien Président du Dragon. Madame Ester, Nièce de Nyamwisi, le petit frère de celui qui a été cramé (brulé). La fille de MULUMBA KATSHI, le prof. de droit à UNIKIN. Ancien vice ministre de l’intérieur.


Madame MULEMBA Marie Claire, une ancienne clandestine sans papier régularisée depuis, et est devenue « la chancelière bis » Elle a travaillé longtemps sans numéro de matricule de son affectation au poste de Chancelière. Depuis, la situation a été réglée.


A titre indicatif, pour assumer cette fonction, il est d’usage et absolument impératif de passer par la case des affaires étrangères à Kinshasa en étant de surcroît fonctionnaire. C’est elle qui fait l’intérim de l’Ambassadeur quand celui-ci est en mission diplomatique. Une confusion des genres qui crée une guerre de positionnement avec le Maître chien,  le Colonel KANDE.


 A propos, il s’avère que le tireur Myra du haut de ses 35kg assouvirait sa libido sur deux maîtresses « malheureuses » qui sont sur cette liste que je viens d’énumérer. Tout le monde sait dans le château de qui je parle. II étofferait son tableau de chasse par des pressions exercées sur ses sujets d’une manière pernicieuse. Un vrai bourreau passible d’une levée de son immunité diplomatique.


Myra a constitué dans son ambassade, un cabinet politique ! Un fait sans précédent dans l’organisation des attributions diplomatiques, en accordant au Colonel Espérant KANDE, ce rôle. Et en son absence, ce maître chien ramassé dans un centre commercial en Suisse, calque sur Myra ses mimiques quand celui-ci est en déplacement  et devient de fait le numéro deux politico-militaire de ce bordel.

Sachez que l’ambassade est gérée par deux catégories de personnel, à savoir :

1.     Les locaux ; (payés par les recettes de l’ambassade)

2.     Les diplomates, assimilés (Eux ont un ordre de mutation des vrais fonctionnaires, pris en charge par le ministère des affaires étrangères et finances en RDC)

 

La vie au château est rythmée par une orgie organisée par le maître de toutes circonstances me dit-on.


Sous les regards de ses deux femmes qui ont élues domicile au château et au frais de la princesse. Il paraîtrait, que ces deux co-épouses s’attendent à merveille. Les mauvaises langues disent que Myra est passé maître dans l’art des consultations divinatoires et des tradi-praticiens de Barbès  (Quartier africain Parisien) pour quelques exercices d’occultisme, afin de dominer ses épouses, maitresses et afin de conserver sa place d’ambassadeur.


Ses deux épouses légitimes sont parait-il acceptées par les fonctionnaires de l’ambassade compte tenu de leur attention particulière au membre de ce corps diplomatique. Aux antipodes de trois mégères qui se font renverser dans le bureau de Myra comme une crêpe sous le portrait de son Raïs impassible comme à l’accoutumée.


Celles là mènent la vie difficile aux agents, chancelière, diplomates en poste. Le tyran Myra, le  mourant, soutenu par la prise quotidienne du viagra à défaut de sortir son arme, sort autre chose à chaque coin de son château ! 


Myra aime paraître avec ses fastes fêtes organisées à chaque fois et dernièrement à l’ambassade, le 17 janvier 2011. Dans ses veines coulent encore le venin de l’époque mobutiste qui l’a permis d’avoir l’accès à ce qu’il est aujourd’hui en laissant au passage quelques veuves et orphelins. Une, qui pleure toujours son mari dont le corps n’a jamais été retrouvé, comme celui de Fidèle Bazana, le chauffeur de Floribert CHEBEYA disparu le 2 juin 2010 dans des conditions douteuses et lugubres. Le soi-disant procès est encours. A la barre quelques menus fretins, les instigateurs sont protégés par le pouvoir en place.


On lui prête également cette rumeur qui lui met au devant de la scène à propos de la Mort de Mzée KABILA. Il aurait participé me dit-on à faire tomber le monument patriote avec la complicité évidente d’un des voisins de la RDC (Voir le film, qui a tué Mzée KABILA). L’une des raisons qui l’a propulsé paraît-il au poste d’ambassadeur plénipotentiaire.


Les parvenus des Joséphistes en action partout là où coule le miel d’après le feu Mzée que son « brillantissime fils » n’a pas encore résolu l’énigme de sa mort, Etonnant !


On prend les mêmes et bis repetita avec des parvenus de Joséphistes qui copient les mêmes méthodes mafieuses qui aujourd’hui re-plombe de plus bel l’espoir du peuple Congolais pour plusieurs décennies. Nous sommes partis d’un demi-siècle d’asservissement (la combinaison « Joseph 2 »Mobutu et KABILA) Voir  Le numéro 2612 de la dernière édition de Jeune Afrique du 30 janvier au 5 février. Le dossier sur le pouvoir de Joseph KABILA (Kabila = Mobutu Light, selon Jeune Afrique, février 2011).  


La mémoire est loin d’être la vertu de ce peuple qui n’a que les chefs à son image. Un peuple immature d’une incapacité criante démontrée par son incurie et sa passivité devant des situations au demeurant claires.


Bon nombre de patriotes avertis se refusent de courber l’échines pour accepter comme JP BEMBA disait l’inacceptable ! On attend patiemment la sortie de prison de cet homme honteusement emprisonné pour nous éclairer par rapport à ses propos mystérieux, lourds de conséquence. Qu’a-t-il a voulu dire au peuple Congolais ?   


La mort dans l’âme, les Congolais hagards assistent désabusés au pillage systématique de leur patrie.


Aujourd’hui, tout le monde s’accorde à dire que le pays est géré par une voyoucratie en col blanc  ou voyous tout court, qui délibérément veut mettre à sac se beau pays aux contours géopolitiquement stratégiques. Un vrai requiem pour la banqueroute organisée par un petit maître de la région qui fait la pluie et le beau temps dans le Nord Est de la RDC, faisant et en défaisant les rebellions à sa guise. Tout cela avec la bénédiction du palais de Raïs en vue de mettre en place leur République immaculée du sang Congolais, celle du Volcan !


Résultat de course, une ardoise sombre de 6,5 millions de morts piétinés par une complicité d’une institution que n’a pas d’adresse au nom générique de «  La communauté Internationale » !!!


Entre temps à Kinshasa, une clique mafieuse des Nandais et Katangais se battent en duel  en croisant le fer pour dépecer leur proie sous le regard amusé de leurs mentors Rwandais…Créant de fait, un tribalisme swuahiliphone d’outre tombe avec des comportements rétrogrades de parvenus. En enterrant d’un coup de pelle le travail salvateur d’unité nationale qui a été le cheval de bataille du feu Maréchal MOBUTU.


Faute d’un Rwandais au faciès suspect, on nous met intelligemment, ces Rwandais qui se déguisent en Kivutien, Katangais et Nandais, une bande de traitres par excellence placés dans chaque institution. Une oreille attentive qui enregistre tout, transmettant dans le moindre détail les dossiers sensibles à 2000 km de la Capitale Congolaise. Comme disait le maître de Kigali, aucune décision de la RDC ne se pendra sans mon aval. Le ton est donné. La preuve a été donnée lors du 50 èm anniversaire de l’indépendance de la RDC.


Avec leurs ramifications (cables diplomatiques) à la lumière de nos ambassades, comme celles de la Belgique, France et UK, particulièrement à Paris.  Dans cette politique de traitrise, quelques figures emblématiques en collision avec l’intelligence étrangère sont répertoriés : Katumba Mwake l’homme au masque d’acier qui sera fondu avec du chalumeau, Mukolo Wa MPOMPO, le fils adultère du diable, Kinkey MULUMBA, Puis MWABILU, Olivier KAMITATU, Modeste MUTINGA,  Masangu Jean Claude, Tambwe Muamba, Jeanne MABUNDA, Antoine GHONDA, Le fameux « Ingénieur » KIMBEMBE MAZUNGA (une combinaison de Muluba et Mukongo, un drame d'une relation adultérine), celui qui nous a bâtit dans la capitale la piste d’atterrissage sur le boulevard du 30 juin.


Evariste BOSHAB, le Belge et la girouette de KENGO WA DONDON au passé sulfureux, qui a récupéré d’énormes retro-commissions de la Banque Mondiale afin  de garantir les paiements de la dette du Zaïre. La liste n’est pas exhaustive. Au moins 19 personnes qui à eux seules hypothèquent l’avenir de 65 millions d’âmes meurtries par la souffrance indescriptible.  


La dictature dans ses retranchements vit ses dernières heures de gloire en se référant à la révolte populaire de deux pays du maghreb, la Tunisie et l’Egypte.


A l’extérieur du Pays particulièrement en France, Belgique et UK ceux là sont des véritables barbouzes à la solde des « Rwandophales » qui pourrissent la vie depuis 1994 de paisibles citoyens qui sont en bonne amitiés avec leurs voisins…

Que vaudra comme sentence pour ces traitres qui ont souillés la mémoire de  martyrs et victimes collatérales de leurs léproseries criminelles ? Le bagne ? Elle n’est pas assez dure pour eux. Faudra t-il recourir au supplice de la roue, comme ce fut le cas à l’époque de l’inquisition française. Le souverain primaire comme il a agi récemment en Tunisie et en Egypte, prendre l’initiative de leurs sorts…


Qui l’eut cru que Ben Ali serait chassé par l’action d’un simple marchand  à la sauvette,  Mohammed BOUAZIDI ? Qui pouvait imaginer que cet homme qui fut l’ami des grandes puissances aurait eu du mal à trouver une terre d’accueil ?


Et l’histoire se répète en Egypte, avec un asservissement d’un peuple pendant 30 ans. Aujourd’hui, le grand allié des américains et des sionistes est poussé vers le long du Nil pour le faire noyer dans le canal de Suez, et sa démission est annoncé d’ici la fin de la semaine ! Le temps Joue contre cette ivresse du pouvoir…


Joseph KABILA est-il plus puissant que BEN ALI ou Hosni MOUBARAK ? Quelles cartes détient cet amateur des engins mécaniques et des jeux vidéo de l’âge de mon benjamin de 12 ans ?


L’horizon est sombre pour le conglomérat érigé en dictatures qui n’ont plus de place dans cette mondialisation de communication interplanétaire, car réduisant toute leur velléité à confisquer la liberté d’un peuple. La Tunisie et l’Egypte brisent et  mettent en miette cette citadelle de la pensée unique et inique…


Comme disait Myra NDJOKU, lors de son interpellation à la gare du Nord : je suis le représentant de Joseph KABILA non de la Nation congolaise. Cet homme servirait une autocratie obtenue par la mort de son « père ». 10 ans sans procès et encore moins de vrais coupables arrêtés. Et Myra se targue à dire qu’il représente cet individu tombé comme un cheveu dans la soupe populaire qu’on se goinfrer à un trait sans tenir compte de sa qualité culinaire.


Cette pensée morbide est aujourd’hui au centre d’un tourment qui gangrène l’ambassade de la RDC en France. Avec des pratiques mafieuses proches même d’un clan de « La Piovra ». A sa tête, un homme aux apparences d’un mort vivant qui se shoote à la morphine combinée avec un mélange explosif qui lui fait sortir ses yeux de ses orbites d’après ses proches collaborateurs, las de le voir encore en vie. Disent-ils !


Un de ses subordonnés dit d’un air moqueur que Myra dira séance tenante à qui veut l’entendre avec une telle arrogance devant une assemblée médusée ! Je cite : Qu’il ne mourra pas maintenant et qu’il faudra attendre encore longtemps. Cette phrase nous rappelle celle prononcée par un certain Mobutu Sese Seko." Moi, le lit d’hôpital jamais !!! " La suite se trouve dans des archives vidéo documentées (ses longues et douloureuses multiples maladies) et également dans un petit et insignifiant cimetière au Maroc.

 

J’évoquerai aussi le cas de Nicolae SEAUSESCU, avant son exécution disait-il « savez vous qui je suis ? », il terminera sa folle course lui et son épouse dans le peloton d’exécution. Et Myra emprunte la même trajectoire de celui qui fut son patron pour exécution de ses sales besognes tristement célèbres.


Sachant qu’il ne lui reste pas beaucoup de temps à vivre d’après son bulletin médical et également par la contrainte d’un traitement lourd infligé à son corps. Cet individu devient aussi irascible qu’une femme enceinte et fait passer ses caprices à ses collaborateurs extenués. Les salariés, agents et diplomates vivent des instants de pénitence indescriptibles dans cet hôtel particulier qui appartenait autrefois à Moise TSHOMBE, spolié à l’époque de MOBUTU.


L’indignation de l’ambassade du Brésil, voisin de l’ambassade de la RDC. Un foutoir où trône une incurie de la haute facture.


L’ambassade du Brésil émue de la souffrance que les  Congolais endurent dans le froid et dans l’indifférence totale et en plus, ils squattent la devanture de son ambassade sous les intempéries avec la rudesse de cet hiver que la France vient de connaître. Celle-ci alerte les autorités Françaises de la maltraitance de ces personnes. Myra Ndjoku est rappelé à l’ordre d’une manière expresse de mettre fin à cette situation  dégradante pour cette communauté.


Le mardi 1èr janvier 2011, il organise au regard de cette remontrance, une réunion d’urgence de recadrage et des nouvelles initiatives pour pallier à cette souffrance. Nous fonctionnons dans l’approximation la plus édifiante à l’image même de son chef de la diplomatie. Il a été aussi alerté de ce manque d’humanité de son lieutenant.  Monsieur la Bouteille, comme il est surnommé, le ministre des affaires étrangères, tance un peu Myra sur cette admonestation qui commence à faire désordre. Il s’en fiche un peu !  Il partagerait un secret qui toucherait la Nation Congolaise avec le Raïs qui assure sa pérennité au château…


Pourquoi ce surnom peu élogieux ? Tout, simplement, ce ministre est fortement alcoolisé et profondément soulard. Dans sa beuverie, il deviendrait comme un  certain MANGOBO. Et dans chacun de ses déplacements, il emporte avec lui, un petit carton de Chivas. Ses lieutenants sont dans l’obligation de faire de provisions au cas où ! Attention à la colère du Boss…


Il paraitrait qu’il est imprévisible et avec un comportement agrémenté d’un humeur très difficile, un parfait acariâtre…Faute de sa dose, Lamine (boy de service),  est souvent obligé de faire le tour de tous les arabes du coin pour satisfaire le Capo di tutti i capi (chef de tous les chefs) comme il est dit dans la maffia sicilienne. Autrement appelé la CASA NOSTRA c'est-à-dire le Parrain N°1. A Bruxelles c’était le rôle d’un certain valet qui est envoyé par ANR, Yvon Ramazani (aussi perfide que Lamine) avant qu’Henri Mova fasse sa petite rébellion…


L’ambassade de la RDC, une institution parallèle à fabriquer des faux documents et fausse factures.


Une industrie lucrative à fabriquer les vrais documents, fausses factures et actes. Elaborée avec la bénédiction de TAMBWE MUAMBA le patron de patron de la diplomatie boiteuse Congolaise. Une mafia avec des ramifications tentaculaires sur l’ensemble des ambassades de la RDC dans le Monde. AMBASSY-CONNEXION a rendu son Di-campo « patron de la pègre » sans scrupule,  extrêmement riche comme crésus.


Il est vrai qu’Henry MOVA, dans son charisme écorché par sa participation au dépeçage du pays et sa personnalité, n’a jamais cédé aux chantages de son Ministre de tutelle. MOVA n’a jamais accepté que ses tentacules étranglent sa chose, sa boutique (Ligablo) « ambassade de Benelux ». Et la guerre est ouverte entre le chef de BENELUX et le patron des affaires étrangères. D’après les indiscrétions de Paris, les deux là se lancent des vannes à chaque rencontre à la hauteur de leur conflit. Mova fait de la résistance contre la raquette de TAMBWE MUAMBA.


Vous remarquerez à chaque voyage de son Ministre en Europe, celui-ci refuse de foutre ses pattes chez le Parrain de Bruxelles tant celui-ci ne se pliera pas à ses exigences. Henry dit tout haut avec un zest d’orgueil,  qu’il a le soutien de son « Raïs » pas d’un minus. A-t-on appris ! Mais tout le monde a le soutien du Raïs! Quel trafic d’influence ce mec a-t-il instauré en RDC ?


La raquette consiste à verser au Patron de la diplomatie Congolaise sur les fausses réalisations de travaux dans des ambassades avec des factures grossièrement gonflées, le reliquat est automatiquement versé chez le grand Parrain de Kinshasa, TAMBWE MWAMBA. Sinon pas de quitus pour l’acceptation des dossiers et des diverses actions diplomatiques. Donc la misère ! Rappelons qu’un simple ambassadeur toucherait une paie qui n’accède pas la somme de 1500 € mensuelle (2000 $). (voir doc joint)


Une vraie peau de chagrin qui pousse tous ces diplomates à la débrouillardise. Myra NDJOKU, a des cauchemars à l’idée de reprendre du service dans des heures perdues en tant que chauffeur livreur. Son métier d’antan avec sa santé qui lui fait défaut, c'est impossible…Donc, il faut à tout prix se lancer dans la course à l’enrichissement illicite.


Tout cela pour assouvir également ses besoins pressants et de garantir  également des revenus à ses 3 épouses. (Deux officielles et une maîtresse). Sa maîtresse qui fut son ancienne secrétaire (Parsec). Sans compter deux de ses collaboratrices qui font office de souffre douleur de son libido excessivement dépravé. Surtout pour payer ses soins prohibitifs aux hôpitaux Parisiens ! Sa sécurité sociale ne lui permet pas de garantir les prestations d’un cancérologue  « un lit d’hôpital » qui lui couterait pour ses traitements, la modique somme de 2200 euro par jour.


En ce qui concerne le paiement des passeports ou certains actes (Acte de naissance, légalisation d’actes) Le maitre d’ouvrage a un % non négligeable sur l’ensemble des opérations mafieuses au sein des ambassades.  A Paris Myra NDJOKU se plie allégrement. Raison pour laquelle celui-ci se la joue en Maître au 32, cours Albert 1er. Il sait pertinemment que son Parrain ne lui lâchera pas avec aussi l’apport du Raïs, c’est la belle vie au château. Son commis de service, le neveu d’Abdoullahi YERODIA NDOMBASI, un Sénégalo-Congolais de nationalité Française, apporte à chaque fois la mallette au Parrain de Kinshasa sur les dos des contribuables Congolais comme je l’ai spécifié plus haut............................


Par exemple, la réfection de l’ambassade avec un coût extrêmement élevé, ce Myra n’a jamais respecté les préalables de la loi financière sur la réfection d’un bâtiment public à savoir :

1.     L’autorisation de la hiérarchie (autorisation émanant du Ministère des travaux publics)

2.     Obtenir différents avis des services compétents à la matière ;

3.     Réquisition de l’entreprise du ministère des travaux publics

4.     Offre des marchés etc…


5.     Et plus grave encore ! D’avoir demandé aux entreprises gérées par trois Congolais de faire des travaux de réfection pendant une durée de huit mois, sans avoir touché un sous de la part de Myra NDJOKU ( sans appel offre). Résultat de course, ennuis financier, dépôts de bilan et conflits familiaux causés par le voyou de Myra. Qui par ailleurs se dit intouchable par son immunité diplomatique.  Pedro entrepreneurs de la Région parisienne,  le ressortissant Angolais, né à Kinshasa et grandi en RDC est à la rue avec son entreprise de Bâtiment. Lolo, un Kinois de Paris qui est spécialiste dans le Froid, bon professionnel, poursuivi par ses créanciers à cause de Myra.


Et enfin, Florent, l’électricien d’un professionnalisme éprouvé n’arrive plus à gérer son entreprise. Il est en phase de mettre la clé sous la porte. Voila, le drame provoqué par cet inconstant d’Ambassadeur.


Myra Ndjoku fort de la protection de son Parrain, passe outre toutes ces prérogatives et va même dans l’excès, en disant pour sa sécurité, il rendra l’ambassade de la RDC à Paris  comme une véritable citadelle avec des caméras partout, y compris dans sa chambre à coucher comme ça été dit ! C’est la rançon du mépris de Congolais. Il ne se promène jamais dans Paris, jamais ! Peur d’être pris pour cible…


Résultat de course, une facture salée présentée à son Parrain de Ministre avoisinant 450 000 euro sur l’ensemble de travaux. 40 % pour son Maitre.

Cette magouille permanente est simplement due au train de vie de cet Ambassadeur bigame  qui tire aussi  en dehors que dans son ambassade sur toutes les belles filles approchant ses murs. Avec un salaire d’un ambassadeur en poste à Paris. Un salaire de misère qui pousse ces genres de personnage à se fourvoyer dans la grande escroquerie et malversation.


A propos des recettes

L’ambassade étant un service public de l’Etat, ses recettes doivent être utilisées conformément à la loi financière et non comme des recettes appartenant à un individu quelques soient la provenance.

1.      Imprimés de valeur ;

2.     Attestations et différents documents de l’état civil ou de la chancellerie etc..


L’état a le droit de regard sur les recettes. Or, ce n’est nullement le cas dans des ambassades boutiquées par Tambwa MUAMBA. Celles-ci fonctionneraient comme une entreprise mafieuse individuelle à sa tête un certain ministre de tutelle. Vous conviendrez avec le rapport sorti sur l’obtention de passeport Congolais, chaque ambassade est libre d’imposer le cout de l’obtention de ce sésame à ses ressortissants. L’Espagne a son prix, la France aussi, La Belgique, UK etc…Un vrai foutoir sciemment organisé pour permettre à un seul homme de régner en maitre, Tambwe Muamba.  Pourquoi les prix ne sont-ils pas harmonisés ? Vous avez la réponse à vos préoccupations !


En faisant rapidement la comptabilité des forfaitures organisées par le clan Tambwe, celles-ci lui confère une supra autorité avec des revenus substantiels à faire pâlir tout ministre proche du Raïs.


Pour illustrer la désinvolture de Myra sur un cas patent du paiement de salaires des certains diplomates mis en vacance prématurés, montre à quel point ce bandit manie l’arrogance et la malhonnêteté. 


Fort de son soutien incontesté de son Parrain, Myra outrepasse la mesure et vole les salaires d’agents et diplomates qu’il avait injustement jeté dehors. Le poteau rose a été découvert lorsqu’un diplomate viré a reçu le coup fil d’un ses collègue de Moscou, s’il avait reçu l’avance sur leurs arriérés de salaires.

Furieux, le diplomate téléphone à Kinshasa auprès de ses collègues, les allégations de Moscou ont été confirmées, séance tenante, l’agent propose de lui faire parvenir les détails sur ces paiements. Copie des paiements joints. Aujourd’hui Myra est traduit devant les juridictions compétentes.


Le gangstérisme de Myra NDJOKU embarrasse un peu la diplomatie française avec des plaintes incessantes contre ce Barbouze de caniveau  avec des méthodes dignes d’un fantassin de première classe, non d’un soi-disant St Cyrien !


A propos de St-Cyr, Myra NDJOKU n’a jamais été diplômé de cette école ! Aucune référence est apparentée à son dossier sur des éventuels brevets ou diplôme d’après nos fructueux et multiples contacts sur ce cas d’espèce. Dans le cadre de la coopération militaire ou administrative entre les états, Le gouvernement Français accepte au sein de ses grandes écoles comme celle de St-Cyr et ENA pour ne citer que ces deux là.


Les militaires viennent des divers pays du monde, pour parfaire leurs formations militaires. Les hauts fonctionnaires à l’ENA. Ces formations en question, n’accèdent en aucun cas une durée dépassant 8 à 14 mois. A l’issu de cette formation accélérée, le stagiaire partira avec un certificat d’aptitude ou une attention similaire attestant sa formation au sein de l’institution !


Est-ce que, ce certificat, lui donne le droit de dire à qui veut l’entendre qu’il est St-Cyrien ? Encore là une supercherie d’un homme qui se donne des galons qu’il en a pas ! Faudra-t-il couper la tête à ces voyous qui se réclament parfois sorti avec Master d’une université par correspondance de Washington et d’autres de St-Cyr ? Un adage dit,  le poisson commence à pourrir par la tête.


Roger BONGOS

Journaliste d'investigation

 

PiECES JOINTES

Salaires des diplomates touché par Myra NDJOKU

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SALAIRES DES DIPLOMATES  ET AMBASSADEURS

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CPI : Luis Moreno-Ocampo à la porte de sortie !

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Créé le 14 -02-2011 à 02 h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |   ACTUALITE | RDC | Mis à jour le LUNDI  13 -02-2011 à 12 h30 | PAR : PROSPERITE


 




L’homme s’est illustré ces dernières années par des arrestations qui ont fait trembler les politiques et autres rebelles parmi les plus influents des pays africains. La RD. Congo aligne, à elle toute seule, une brochette des personnalités Célèbres. Bemba Gombo , leader charismatique du Mouvement de Libération du Congo et ex-Challenger de Kabila, à la présidentielle 2006, Thomas Lubanga Dyilo, de l’UPC en Ituri, Matthieu Mathieu Ngudjolo Chui, ancien Président du Front des Nationalistes Intégrationnistes, FNI (dans le District de l’Ituri), Germain Katanga mieux connu sous le nom de Simba, un enfant de Mambassa, en Ituri, et ex-commandant de la Force de Résistance Patriotique de l’Ituri, FRPI, Calixte Mbarushimana, Porte-parole des FDLR, défilent, sous yeux et selon des diverses accusations, devant les juges au Quartier Général de la Cour Pénale Internationale, à la Haye, aux Pays-Bas. Luis Moreno-Ocampo qui recherche encore aujourd’hui Bosco Ntaganda, ex-Chef d’Etat-Major du CNDP et, actuellement, intégré dans les Fardc à la suite des pourparlers de paix de Goma, est également responsable de plusieurs enquêtes ouvertes en Ouganda, en République Centrafricaine et, au Darfour, au Soudan. La bataille de succession à Luis Moreno-Ocampo dont le mandat s’achève en juin 2012, est désormais ouverte.

Depuis New York, aux Etats-Unis, le comité de recherche qui se charge notamment, de faciliter la désignation et l’élection, par consensus, du prochain Procureur, a tenu dernièrement sa première réunion. Et, dans les mois à venir, il sera appelé à recevoir de manière informelle, des déclarations d’intérêt de la part d’individus, d’États, d’organisations internationales et régionales, de la société civile, d’associations professionnelles et d’autres sources. Ce départ de Moreno a-t-il une incidence sur les, procès, délibérations et mandats de la CPI ? Comment les partis et familles des premiers détenus, l’accueilleront-ils ? Au fait, le Comité de recherche recensera et prendra activement contact avec les individus susceptibles de correspondre aux critères en vigueur et notamment, aux critères énoncés à l’article 42 du Statut de Rome, soutient le communiqué, ci-après. Le Comité de recherche pour le poste de Procureur de la CPI ouvre ses travaux La recherche du successeur du Procureur de la Cour pénale internationale, M. Luis Moreno-Ocampo, dont le mandat s’achève en juin 2012, est en cours. Le Comité de recherche, qui travaille depuis New York, et qui a pour mandat de faciliter la désignation et l’élection par consensus du prochain Procureur, et a tenu sa première réunion. Dans les mois à venir, le Comité est appelé à recevoir de manière informelle, des déclarations d’intérêt de la part d’individus, d’États, d’organisations internationales et régionales, de la société civile, d’associations professionnelles et d’autres sources. En outre, le Comité de recherche recensera et prendra activement contact avec les individus susceptibles de correspondre aux critères en vigueur, et notamment aux critères énoncés à l’article 42 du Statut de Rome.

Il doit examiner ces manifestations d’intérêt et établir une liste restreinte comportant au moins les noms de trois candidats qualifiés, en vue de la soumettre, si possible, à l’attention du Bureau de l’Assemblée des États Parties. Le prochain Procureur sera élu à la dixième session de l’Assemblée des États Parties au Statut de la Cour pénale internationale. Le Comité est composé de cinq membres, dont un de chaque groupe régional, c’est à dire: (a) S.E. M. Baso Sangqu, Représentant permanent de la République d’Afrique du Sud auprès des Nations Unies (Groupe des États d’Afrique) (b) S.A.R. Prince Zeid Ra’ad Zeid Al-Hussein, Représentant permanent du Royaume hachémite de Jordanie auprès des Nations Unies (Groupe des États d’Asie) (Coordinateur) (c) S.E. M. Miloš Koterec, Représentant permanent de la République slovaque auprès des Nations Unies (Groupe des États d’Europe orientale) (Coordinateur adjoint) (d) S.E. M. Joel Hernández, Conseiller juridique auprès du Ministère des Affaires étrangères du Mexique (Groupe des États d’Amérique latine et des Caraïbes) (e) M. Daniel Bethlehem, Q.C., Conseiller juridique auprès du Ministère des affaires étrangères et du Commonwealth du Royaume Uni (Groupe des États d’Europe occidentale et autres États) Les candidats que ce poste intéresse, ou toute personne souhaitant recommander des individus qualifiés, sont priés de prendre contact avec le Comité de recherche par l’intermédiaire du Secretariat de l’Assemblée des États Parties : Secretariat de l’Assemblée des États Parties International Criminal Court Maanweg 174 2516 AB La Haye Pays-Bas Fax: +31 (0)70 515 8376 E-mail: rene.holbach@icc-cpi.intCette adresse email est protégée contre les robots des spammeurs, vous devez activer Javascript pour la voir.

Brazzaville : le cardinal Monsengwo appelle au respect de la loi

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Créé le 14 -02-2011 à 02 h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le LUNDI  13 -02-2011 à 12 h30 | PAR : LE POTENTIEL

 

 




«Une loi qui ne sert pas les intérêts du peuple est une loi cynique », telle est la quintessence de la l’homélie du cardinal Laurent Monsengwo Pasinya ce dimanche 13 février, au cours d’une messe dite au stade Félix Eboué de Brazzaville. Office religieux auquel ont pris part le président congolais, Denis Sassou Nguesso, son épouse et les membres de son gouvernement.

La messe  a commencé dans une ambiance populaire à 10 h 45. Le stade Félix Eboué était déjà plein comme un œuf alors que dehors de longues files attendaient sur un soleil brûlant. Connaissant l’homme, Mgr Anatole Milandu, archevêque de Brazzaville, a salué le cardinal Monsengwo en ces termes : « Nous vous connaissons profondément engagé dans la défense de la paix, de la justice et des droits de l’Homme ». 

Reçu comme un appât dans  la bouche, le cardinal Monsengwo a appelé dans son message au respect de la loi. « Une loi religieuse ou civile qui ne vise pas l’intérêt du peuple, c’est une simple tracasserie administrative, une loi inique », a-t-il affirmé.

Selon le cardinal de la RDC, la loi ne doit pas être aveuglement interprétée, il faut que son esprit et sa lettre soient  pour le bien  de tous.

radiookapi.net

Margot Wallström réclame une enquête sur des viols à la frontière entre Angola et RDC

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Créé le 14 -02-2011 à 02 h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |   ACTUALITE | RDC | Mis à jour le LUNDI  13 -02-2011 à 12 h30 | PAR : LE POTENTIEL



A l’issue d’une récente visite à la frontière entre l’Angola et la République démocratique du Congo (RDC), la Représentante spéciale du Secrétaire général de l’ONU sur la violence sexuelle dans les conflits, Margot Wallström, a réclamé une enquête sur des allégations de viols commis dans cette région.

Mme Wallström s’est rendue dans la région le 6 février. « Mes conclusions suggèrent fortement que la violence sexuelle est systématiquement utilisée contre les femmes et les jeunes filles congolaises dans le cadre d’’expulsions de l’Angola vers la RDC », a-t-elle dit dans un communiqué publié vendredi soir. « De nombreuses survivantes avec qui j’ai parlé m’’ont confirmé que ces violations se déroulent dans les centres de détention en Angola ainsi que du côté congolais de la frontière ».

Ces femmes racontent qu’elles ont été violées par des forces de sécurité en uniforme quand elles ont été expulsées d’Angola. Alors que l’on estime que ces viols sont loin d’être tous signalés, les dirigeants communautaires ont enregistré 182 viols dans sept villages le long de la frontière pour le seul mois de janvier. Une mission d’évaluation de l’ONU a confirmé 1.357 cas de viol dans un seul village au cours d’une période de six à huit mois l’an dernier.

« J’appelle les autorités angolaises et congolaises à enquêter de toute urgence sur ces allégations de viols. J’ai l’intention d’être en contact étroit avec les gouvernements d’’Angola et de RDC sur cette question et j’espère qu’ils coopéreront pour trouver une solution à cette grave violation des droits de l’homme », a ajouté Mme Wallström.

Par ailleurs, la Représentante spéciale a salué la réaction rapide des autorités congolaises aux récentes atrocités dans la localité de Fizi, dans l’Est de la RDC.

« L’inculpation hier du lieutenant colonel Mutware Kibibi et de dix autres personnes par le tribunal militaire à Baraka est un signal envoyé aux auteurs de crimes leur indiquant qu’ils n’échapperont pas à la punition par la loi, que toutes les options leur seront fermées et que la justice prévaudra », a-t-elle dit dans un autre communiqué.

Des éléments des forces armées congolaises (FARDC) sont accusés d’être impliqués dans le viol d’’au moins 35 femmes dans la localité de Fizi, dans la province du Sud-Kivu, début janvier. La Mission des Nations Unies en RDC (MONUSCO) avait salué la rapidité avec laquelle le gouvernement de RDC avait arrêté 11 soldats des FARDC, dont l’officier en charge des opérations quand ces crimes ont été commis.

La paix à l’Est - Monusco : aveu d’impuissance

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Créé le 14 -02-2011 à 02 h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |   ACTUALITE | RDC | Mis à jour le LUNDI  13 -02-2011 à 12 h30 | PAR : LE POTENTIEL

 



Malgré les efforts de stabilisation, initiés aussi bien par le gouvernement congolais que par la communauté internationale, via la Monusco, la paix demeure encore fragile dans la partie Est. C’est ce qu’atteste le deuxième rapport de la Monusco transmis, le 7 février 2011 au Conseil de sécurité des Nations unies, par le représentant spécial du secrétaire général des Nations unies en RDC, Roger Meece. Ce n’est pas moins un aveu d’impuissance.

La situation à l’Est de la République démocratique du Congo demeure « préoccupante ». La déclaration est de Roger Meece, représentant spécial du secrétaire général des Nations unies en RDC, lors du dépôt, le 7 février 2011 au Conseil de sécurité des Nations unies, du deuxième rapport de la Mission des Nations unies pour la stabilisation de la RDC (Monusco). Certes, des progrès – encore minimes- sont observés sur le terrain, a indiqué Roger Meece mais, en réalité, la paix est virtuelle dans l’Est où des groupes armés, pour la plupart incontrôlés, sèment la terreur et font la loi dans plusieurs villes, collectivités et localités.

Le constat de Roger Meece rejoint, dans une certaine mesure, le point de vue développé par International Crisis Group (ICG) qui, dans un récent rapport, a fustigé l’inefficacité de toutes les tentatives menées conjointement avec l’armée rwandaise pour neutraliser ce qu’on continue de considérer comme forces négatives et principal responsable des tensions récurrentes qui secouent l’Est, c’est-à-dire les éléments des Forces démocratiques pour la libération du Rwanda (FDLR). Les enjeux dans la partie Est sont tels que la paix s’éloigne chaque fois qu’on s’y approche. La saisie à l’aéroport de Goma d’un avion cargo, avec à son bord des millions de dollars américains et plusieurs centaines de kilos d’or, est la preuve de l’existence de vastes réseaux de contrebande minière qui entretiennent l’instabilité dans cette partie de la RDC. Le patron de la Monusco ne pouvait qu’arriver au constat malheureux d’une paix fugace à l’Est, malgré le nombre d’impressionnant du dispositif militaire déployé par les Forces armées de la RDC (FARDC) et leurs partenaires.

En effet, une bonne partie de la puissance militaire des FARDC est concentrée à l’Est. C’est le cas aussi pour la Monusco. Mais, toute cette grande artillerie s’avère inefficace quand il s’agit de venir à bout des fauteurs de troubles dans cette région où les populations vivent un calvaire permanent. C’est un paradoxe qui tient à de bonnes raisons.

Comme dans ses précédentes apparitions, Roger Meece est revenu sur ce qu’il considère comme mandat officiel de la Monusco. Il s’agit de la protection des civils. Selon lui, cette mission demeure « clairement » la priorité de la Monusco, en raison, notamment, des « opérations conduites par des groupes armés étrangers ou de l’intérieur dans la partie est du pays ». Il rappelle que « Ces groupes continuent d’agir comme des forces prédatrices, utilisant souvent le viol et d’autres formes de violence comme des armes contre les civils ».

A son corps défendant, Roger Meece révèle que « la cause fondamentale de la poursuite de la violence dans l’Est demeure, bien sûr, la présence et l’activité des groupes armés restants ». Au nombre desquels figurent en bonne place les éléments, toujours actifs, des FDLR. Mais, au-delà des FDLR, il y a également des unités incontrôlées de la branche armée du CNDP. La plupart, malgré leur intégration dans les FARDC, ont gardé leur position en maintenant le contrôle de vastes carrés miniers du Nord-Kivu.

Il s’ensuit que pour les Nations unies, et bien d’autres organismes, la présence du général Bosco Ntaganda, ex-commandant du CNDP, aujourd’hui intégré dans les FARDC, est aussi cause d’instabilité dans l’Est de la RDC. Son implication avérée dans le trafic illicite des minerais de l’Est, où sa collaboration a été signalée dans l’avion saisi à Goma, est une preuve de plus pour corroborer cette thèse. Ainsi, l’instabilité de l’Est de la RDC est délibérément entretenue aussi bien à Kinshasa que sur place dans la région. Il y a bien des gens qui trouvent intérêt à cette situation confuse pour notamment prospérer dans le commerce illicite des matières précieuses exploitées en toute clandestinité à l’Est. C’est le cas des minerais très prisés tels que l’or, le coltan, la cassitérite.

L’issue de secours pour une paix durale et réelle dans l’Est passe, selon Roger Meece, par le maintien d’une une pression « politique et militaire » maximale sur tous ceux qui sont indexés.

Les inquiétudes de Ban Ki-moon


Commentant le rapport lui transmis par son représentant en RDC, le secrétaire général des Nations unies a estimé que si la situation est restée généralement stable dans la plus grande partie du pays, le conflit s’est poursuivi dans l’Est, où des groupes armés étrangers et congolais se sont généralement livrés, à échelle réduite, à de violentes attaques contre des civils. Certains éléments des forces de sécurité nationales ont également commis des violations des droits de l’Homme.

L’évolution de la situation témoigne, a-t-il dit, de la persistance de nombreux défis que doivent relever le gouvernement et le peuple congolais. Il s’agit notamment de l’expansion et le renforcement de l’Etat de droit, la mise en place et le renforcement de l’autorité légitime de l’Etat ainsi que la fourniture des services essentiels à la population. Ce sont des priorités constantes dans de nombreuses localités du pays. Confirmant l’implication de la communauté internationale pour le retour rapide de la stabilité de l’Est, Ban Ki-moon note que « la réforme des Forces armées de la RDC et de la Police nationale congolaise est l’un des facteurs essentiels de la consolidation de la paix et de la stabilité ». C’est que pour les Nations unies, cette tâche incombe au gouvernement congolais. Dans la mesure où « les décisions relatives au schéma et au développement des forces de sécurité de la RDC relèvent de la prérogative souveraine de l’État ».

Or, sur ce point précis, les initiatives du gouvernement congolais n’ont pas encore donné des résultats visant à stabiliser véritablement et durablement l’Est de la RDC. Les enjeux et les intérêts croisés sur le terrain indiquent que le désordre à l’Est serait voulu et entretenu. Les ramifications de ces réseaux de contrebande vont jusqu’au-delà des frontières nationales.

En interdisant en 2010 l’exploitation minière artisanale à l’Est, le président de la République en avait conscience. Raison pour laquelle, il avait fustigé ouvertement la grande maffia minière où sont impliquées à plus haut niveau des autorités militaires et politiques du pays.

Il va sans dire que la paix à l’Est restera toujours fragile aussi longtemps que le commerce illicite de minerais aura droit de cité. Cela avec la bénédiction des autorités politico-militaires. Roger Meece a raison d’insister que la paix durable à l’Est passe par une pression « militaire et politique » maximale devant aboutir à la neutralisation de principaux animateurs des réseaux de contrebande minière.

Africom, passage obligé

Selon des observateurs avisés, le retour définitif de la paix en RDC ne viendra ni des remontrances de la Monusco ni des jérémiades du gouvernement. Leurs déclarations respectives passent pour des aveux d’impuissance. Les deux parties se sont contentées, à ce jour, des solutions-plâtrages, évitant d’abordant en termes clairs la question primordiale de la formation d’une armée républicaine, professionnelle et dissuasive ; une armée qui soit à même de défendre l’intégrité territoriale et de protéger les frontières nationales.

Selon ces derniers, l’offre américaine serait la bienvenue avec le projet Africom. Ce projet, soutiennent-ils, est un nec-plus-ultra en cette matière. Il aiderait à concrétiser la formation d’une armée nationale et permettrait une stabilité du pays en mettant hors de nuire tous les groupes armés étrangers et nationaux qui sont entretenus par ceux qui ne désarment pas sur la balkanisation du Congo.

Or, il semble qu’Africom serait mal vu aussi bien par les pays limitrophes que par certaines puissances qui ne jurent que sur le maintien de la RDC dans une situation d’instabilité permanente afin de mettre en œuvre leur projet macabre de morceler le pays et l’empêcher de devenir une puissance économique dans la région et sur le continent. Aussi parle-t-on de plus en plus de noyautage d’institutions nationales avec pour objectif de donner de l’intérieur une mauvaise image d’Africom, que l’on présenterait comme une bête noire. Pour l’instant, Africom passe pour un passage obligé.

Procès Chebeya : la colonelle Alaine Mwenze nie avoir été contactée pour l’audience

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Créé le 14 -02-2011 à 02 h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |   ACTUALITE | RDC | Mis à jour le LUNDI  13 -02-2011 à 12 h30 | PAR : LE POTENTIEL

 


La colonelle Alaine Mwenze Ilunga, patronne du protocole à l’Inspection provinciale de la police, a encore comparu comme renseignante à l’audience du jeudi 10 février 2011, dans le procès qui oppose le ministère public aux assassins présumés de Floribert Chebeya et Fidèle Bazana.

Après s’être levé, le ministère public a voulu savoir si cette femme officier avait organisé avec le colonel Daniel Mukalay l’audience accordée à Floribert Chebeya par le général John Numbi. A ce sujet, l’organe de la loi a fait remarquer que la renseignante avait appelé à deux reprises. Selon l’accusation, c’est parce qu’elle a appelé le colonel Daniel Muklalay à 9h56’’ que celui-ci a à son tour appelé Floribert Chebeya. Il a fini par lâcher : « Mais elle dit ne pas se rappeler… »

Appelée à répondre, la colonelle Alaine Mwenze Ilunga s’est ainsi défendue : « Je n’ai jamais été contactée pour organiser l’audience de Chebeya ». A propos de sa déposition à l’audience passée, elle a précisé qu’elle n’avait pas nié, mais avait dit que ça faisait longtemps et qu’elle ne se rappelle plus.

Quant à la démarche entreprise auprès d’elle par le colonel Daniel Mukalay en date du 1er juin 2010, la renseignante Alaine Mwenze Ilunga a déclaré à la Cour militaire que ce dernier demandait le programme de l’inspecteur général. Au sujet des coups de téléphone reçus du colonel Mukalay au cours de cette journée, elle a simplement dit qu’il est tout à fait normal qu’on l’appelle, au regard de ses fonctions.

Mais au sujet de ce qu’ils s’étaient dits, elle a demandé à la Cour s’il était possible à la technique de lui rappeler sur quoi ils avaient échangé. Elle a quand même ajouté qu’elle suppose que si elle avait appelé le colonel Daniel Mukalay, c’était pour lui confirmer que l’Inspecteur général sera à Maluku. A propos de cette date du 1er juin 2010, elle a affirmé qu’elle n’a jamais été une journée spéciale pour elle.

Il faut noter qu’avant d’entrer dans le vif du sujet, la colonelle Alaine Mwenze a commencé par expliquer que pour les rendez-vous de l’Inspecteur général, les visiteurs se présentent quarante-huit heures auparavant. Le jour de la visite, ils se présentent d’abord à l’entrée principale où se trouvent les policiers chargés de la sécurité. Après les avoir enregistrés, ce service les oriente vers le protocole.


Caritas Congo poursuivra le renforcement des capacités de ses Structures diocésaines en 2011

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Créé le 14 -02-2011 à 02 h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |   ACTUALITE | RDC | Mis à jour le LUNDI  13 -02-2011 à 12 h30 | PAR : LE POTENTIEL



Le renforcement des capacités d'organisation, de gestion et d'intervention des structures diocésaines de Caritas-Développement constitue une des activités à laquelle s'adonnera la Caritas Congo Asbl en 2011, en se référant aux données de sa revue annuelle 2010 et de ses prévisions pour la nouvelle année, rapporte caritasdev.cd

Ce renforcement des capacités d'organisation, de gestion et d'intervention piloté par la Cellule de Revitalisation de la Structure nationale caritative concernera les bureaux diocésains de Caritas-Développement Idiofa, Buta et Mahagi-Nioka. Ces derniers seront dotés chacun d'une structure intégrée, de textes de base (statuts et/ou règlement intérieur), d'un manuel de procédures de gestion administrative et financière et d'un programme d'action commun. Dans ce même cadre, Caritas Congo Asbl assurera en 2011 le suivi du processus d'intégration de structures diocésaines de Caritas-Développement. Cinq bureaux diocésains de Caritas-Développement se retrouvent dans cette activité : Wamba, Kananga, Mbuji-Mayi, Kisangani et Matadi. Ces derniers qui seront visités par Caritas Congo Asbl, devront produire chacun un plan de poursuite et de finalisation de leur processus d'intégration. Il s'agit cette fois plus particulièrement de bureaux diocésains de Caritas-Développement de Kisangani, de Kananga, de Mbuji Mayi, de Matadi et de Wamba.

En outre, Caritas Congo Asbl dispose d'une Cellule de Communication pour assurer la visibilité des activités du Réseau national Caritas et le plaidoyer au profit des populations en crise humanitaire. Dans ce cadre, en cette année 2011, Caritas Congo Asbl produira 4 magazines trimestriels «Lève-toi et marche», 12 communiqués de presse, 1 dépêche par jour à poster sur site web (www.caritasdev.cd) et qui sera exploitée par les autres médias… Elle espère qu'au moins une de ses dépêches sera exploitée par d'autres médias. Elle tient aussi au cours de cette année 2011 à accroître le nombre de visiteurs de son site web et à réaliser un magazine radiotélévisé dénommé «Caritas au service des plus démunis».

Caritas Congo Asbl, qui dispose de son Centre d'accueil Caritas et d'une Agence de gestion fiduciaire, a travaillé en 2010 avec ces bailleurs qui ont appuyé ses activités en 2010 : les Membres du réseau Caritas Internationalis et le groupe CIDSE, les Agences du système des Nations unies, la Banque mondiale, la Banque africaine de développement, le Fonds Mondial, l'Union européenne et les Coopérations bilatérales (belge, allemande, espagnole, canadienne, américaine, norvégienne…).

Les autres bailleurs qui ont appuyé les activités de Caritas Congo en 2010 sont le gouvernement de la RDC (ministères du Plan avec PRESAR; ministères des Affaires sociales, des Actions humanitaires et solidarité nationale, de l'Agriculture, du Développement rural, des Finances (avec BCECO), la Santé publique, le ministère de la Défense (UEPN-DDR) et les institutions religieuses.

Caritas/Info

Peuple dans la rue

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Créé le 14 -02-2011 à 02 h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |   ACTUALITE | RDC | Mis à jour le LUNDI  13 -02-2011 à 12 h30 | PAR : LE POTENTIEL


 

http://journaldunassistant.typepad.fr/photos/uncategorized/2008/10/16/manif.jpg

La rue est en ébullition. Encore et toujours, la rue (nous) dévoile son vrai visage. Dans la rue, les peuples veulent en découdre avec des dictateurs autocrates, éternel assoiffés du pouvoir. Malgré des vœux pieux et des promesses mielleuses des « maîtres à penser » de faire miroiter au peuple des « paradis artificiels et illusoires ». La rue imprime sa marque indélébile. De la Tunisie à l’Egypte, en passant par le Yémen jusqu’en Algérie… le vent souffle.

Le monde entier a suivi, en temps réel, les images de liesse chargée d’émotion du peuple égyptien, à la suite du départ de Moubarak. Ce vendredi-là, la rue était pleine de têtes qui se baissaient pour rendre grâce à Dieu, des mains qui ramassaient, des yeux qui luisaient, des rires, des cris, des accolades… C’est la victoire de tout un peuple ; la victoire de la rue.

De ce vent qui souffle dans la rue, nous retenons deux leçons essentielles : la première, c’est le courage ! Le courage de la jeunesse. Ces jeunes qui, pour la plupart, n’ont connu qu’un seul chef de l’Etat dans leur existence, ont soif d’alternance. Mais, plus encore, de l’alternative crédible. Puisqu’il est anachronique que les pays africains, dont plus de la moitié de la population est constituée des jeunes de moins de 25 ans, soient éternellement dirigés par des vieux despotes. Avec eux, la vie est réglée comme dans une montre, par cette horloge qu’on appelle « terreur ».

L’autre leçon à tirer de la rue, c’est la honte. Celle des vieux et de l’élite intellectuelle. Sincère est cette déclaration de ce vieux Egyptien qui fondait en chaudes larmes au soir du départ précipité du « Raïs » : « C’est une honte pour nous les vieux ; là où nous nous sommes tus durant 29 ans, ce sont les jeunes qui viennent nous libérer ». C’est fort. Je me souviens d’un romancier congolais qui a écrit il y a deux décennies « On a échoué ». Oui, en laissant la situation pourrir, ici comme ailleurs, les vieux ont échoué.

A ce jour, la « révolution du Jasmin » qui a emporté Zine El Abidine Ben Ali, et qui vient de détrôner Hosni Moubarak, poursuit son bon homme de chemin... jusqu’en Côte d’Ivoire. L’effet domino secoue déjà l’Algérie. A chacun son tour.

On a beau être puissant, on a beau lâcher la brise à la soldatesque, devant la révolution de la rue, prêt ou pas prêt, on finit par détaller. Je ne suis ni prophète ni fils de prophète. Que celui qui a des oreilles pour entendre, entende. Que le régime qui veut disparaître ne tire pas l’enseignements du bouleversement tunisien, égyptien… arabo-africain.

La France et une sécurité à deux vitesses ! Le cas de Roger Bongos

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Créé le 11 -02-2011 à 09 h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le VENDREDI  11 -02-2011 à  19 h00 | PAR : AFRIQUE REDACTION 

 

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Pendant que les gouvernants Occidentaux donnent l’impression de rejoindre les peuples arables dans leur lutte contre leurs « amis dictateurs » du Sud d’hier, certains faits risquent de démentir la sincérité de cette rhétorique médiatique. Un journaliste alternatif est brutalisé hier à la gare du Nord par les gardes du corps de l’épouse de Joseph Kabila. Il est molesté et l’une de ses caméras est cassée ; il crie au secours et personne ne vient à son secours. Drôle !

Ceux et celles d’entre nous qui ont déjà eu la chance de passer par la gare du  Nord à Paris savent qu’il y a là, en permanence, un dispositif sécuritaire assez impressionnant !

 

Que cherchait Roger Bongos à la gare du Nord ? Après avoir appris qu’Olive Lembe, l’épouse  de Joseph Kabila partait de Bruxelles pour Paris, Roger Bongos-parce que c’est de lui qu’il s’agit-, muni de son matériel journalistique, est allée attendre « la grande dame » à ladite gare. Il voulait, à l’en croire, l’interviewer sur les motifs de son voyage en France et avoir, par elle, des informations  sur la situation générale du pays.

A l’arrivée du train emprunté par Olive Lembe à la gare du Nord, notre journaliste a cherché à s’approché d’elle. C’est à ce moment-là qu’il sera pris à parti par les gardes du corps de « la grande dame » et par les services  de sécurité de l’ambassade du Congo à Paris. Pendant qu’ils seront en train de le molester, il va crier « au secours, au secours »… Aucun secours ne lui sera offert sécuritairement. Roger Bongos doit son salut à un passant. Celui-ci interpellera ses tortionnaires  en leur disant que c’était assez et qu’ils devaient le laisser tranquille.

 

La situation aurait-elle été la même si c’était un français « pur jus » qui avait été molesté par un quidam ? (Peut-être !) Y a-t-il, à Paris, une sécurité à deux vitesses ? Paris va-t-elle finalement se pencher sur le cas de ce compatriote molesté pour avoir voulu faire son travail ?

A supposer que Roger Bongos se soit mal comporté, méritait-il d’être torturé à côté d’un garde du corps portant une seringue dont il ne connaissait pas le contenu ?

Comment comprendre que dans un Etat de droit, des pratiques et des méthodes propres à certaines dictatures du Sud soient d’application sans que les services de sécurité s’en émeuvent outre-mesure ?  Il est peut-être bon que ceux et celles d’entre nous qui ont cru en la France comme patrie des droits de l’homme puissent revoir de plus en plus leur copie. Quand on sait que « cette patrie des droits de l’homme » pourrait accueillir Paul Kagame  au printemps prochain, il peut devenir aisé de comprendre le reste…

Nous osons croire que Roger Bongos  qui a conservé quelques images de ce qui lui est arrivé tâchera de traduire X en justice et sera rejoint par plusieurs d’entre nous dans cette lutte pour la liberté.

 

J.-P. Mbelu

Gros scandale en perspective à Kinshasa : Un commando de «Joseph Kabila» envoyé pour tuer le Cardinal Laurent Monsengwo a été piégé !

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Créé le 11 -02-2011 à 09 h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le VENDREDI  11 -02-2011 à  19 h00 | PAR : AFRIQUE REDACTION


 

 

 Un commando de «Joseph Kabila» envoyé pour

tuer le Cardinal Laurent Monsengwo a été piégé !

 

Dans le précédent article de L’œil du Patriote  daté du 11février 2011, nous avons relaté à nos lecteurs les raisons qui ont poussé l’Archevêché de Kinshasa à sanctionner l’Abbé Yves Koko qui (d’après son propre aveu) après avoir été recruté par « Joseph Kabila » s’est vu obligé de braver les consignes de neutralité données par son hiérarchie, en prononçant le 17 Janvier dernier une homélie aux allures de propagande kabiliste. Nous reproduisons donc ci-dessous , le communiqué de l’archidiocèse de Kinshasa annonçant sa suspension pour une durée de 6 mois. L’affaire aurait pu s’arrêter à ce stade, mais c’était sans compter les élans criminels de « Joseph Kabila ».

 

Une source fidèle, très proche de l’imposteur rwandais nous a contactés, quelques jours à peine après cet incident, pour nous alerter en ces termes: « Il y a du rififi ici autour du président Kabila ! Un gros scandale est en passe d’exploser sur nos têtes ! ». L’homme nous paraissait bizarrement très excité, contrairement à son tempérament plutôt pondéré. C’est son récit qui nous fera comprendre la raison fondée de son excitation. En effet, notre correspondant qui n’a pas été très bavard s’est contenté de nous communiquer que «JOKA (lisez « Joseph Kabila ») est dans tous ses états parce que le commando qu’il a envoyé pour liquider le Cardinal Laurent Monsengwo est tombé dans le traquenard des services de sécurité de l’Archevêque de Kinshasa! Quelle tuile ! » S’exclama-t-il. Notre interlocuteur a également précisé que la colère de l’imposteur national était particulièrement dirigée contre Pierre Lumbi, son conseiller spécial en matière de sécurité. C’est ce dernier qui était chargé d’orchestrer l’opération dont le scénario se révèle aujourd’hui digne d’un « James Bond » de mauvaise qualité.

 

L’information nous avait d’abord parue trop grosse pour y croire. D’autant plus que cette première source était incapable de nous fournir plus de détails opérationnels sur les circonstances de la capture de ces commandos, se contentant seulement de nous décrire la colère de son boss et l’agitation des chefs de la Gestapo autour de lui. Mais, c’est le coup de fil d’une deuxième source hautement placée autour du même «Kabila» au sujet de cette même information, et ensuite l’enquête nous avons menée du côté des services et de l’entourage de l’Archevêque de Kinshasa qui ont fini par nous livrer les dessous de cette rocambolesque affaire.

 

Un commando armé et en soutane !

 

L’œil du Patriote a ainsi pu recueillir, des détails accablants et ahurissants sur cette ignoble tentative d’assassinat à l’endroit du prélat catholique. Dans le but de respecter la promesse faite à nos sources qui ont bien voulu nous éclairer sur le fond de cette affaire, nous n’allons pas fournir à nos lecteurs certains détails importants «pour ne pas gêner les démarches en cours ».

 

A ce stade donc, nous pouvons seulement informer nos lecteurs que, selon les témoignages concordants recueillis par la rédaction de L’œil du Patriote, c’est  au courant de la journée du jeudi 3 février, que des « tontons macoutes » envoyés par «Joseph Kabila» et déguisés en prêtres ont tenté de s’introduire chez le Cardinal Monsengwo dans l’intention avérée de le tuer. Nos investigations nous ont permis de mettre à jour  le stratagème relativement astucieux à la base , imaginé par ceux qui en veulent au Cardinal. Les deux tueurs  envoyés se sont fait passés pour deux abbés en provenance de l’Est de la RDC qui, en séjour dans la capitale,  souhaitaient rencontrer le Cardinal Monsengwo. Le jour prévu de leur forfait, c’est donc habillé en soutanes blanches qu’ils se sont rendus au « Centre Lindonge » la résidence officielle du Cardinal Monsengwo. Ils ont été amenés dans le véhicule de Monsieur l’Abbé MBO qui les a présenté au service du protocole avant de repartir aussitôt en compagnie de l’Abbé Yves KOKO ! C’est l’Abbé KONDORO en personne, chargé du service du protocole et de la sécurité  de l’Archevêché,  qui a reçu les deux sbires de « Kabila » déguisés en prêtres. Mais, l’Abbé Kondoro, les a trouvé suspects et a eu l’ingénieuse idée de leur demander de remplir la feuille d’audience en latin pour vérifier leur statut de prêtre catholique. Les deux malfrats embarrassés ont alors demandé à repasser le lendemain. Après avoir discrètement fait appel à des renforts l’Abbé Kondoro leur a alors demandé d’attendre plutôt et leur a fait croire qu’ils allaient néanmoins être reçus. Une fois les suspects maitrisés le service de sécurité de l’archevêché a pu alors constater que non seulement les deux intrus n’avaient pas de carte de prêtres , mais qu’en plus ils avaient dissimulés des armes de fabrication russe munies de silencieux et collés à leurs mollets à l’aide d’élastiques.  

 

L’Abbé Yves KOKO sous pression

 

 

 

Selon, les confidences recueillies dans l’entourage de l’archevêché, l’Abbé MBO se serait depuis, « suicidé » par empoisonnement à l’annonce de la nouvelle. A l’heure où nous rédigeons cet article, sa dépouille se trouve à la morgue de l’Hôpital Saint-Joseph à Limete. Mais, au vu du contexte dans lequel arrive ce décès, il parait évident qu’une enquête devrait être entreprise pour déterminer les causes et les circonstances exactes de cette mort. Il faudrait sans doute vérifier qu’il ne s’agisse pas plutôt d’ un assassinat déguisé, visant à éliminer un témoin ou un complice gênant afin d’empêcher qu’une enquête ne remonte aux véritables instigateurs de cette triste affaire.

 

Mais, comme si tout ceci ne suffisait pas, L’œil du Patriote qui continue à suivre de près cette affaire a appris que  « Kabila » et les siens exercent actuellement des pressions considérables sur l’Abbé Yves Koko, afin qu’il refuse de se rendre au Bénin conformément à la sanction dont il est l’objet. C’est dans ce but que le vendredi 11 février dernier, le gouverneur de la ville de Kinshasa, Monsieur André Kimbuta en personne, s’est rendu ( muni d’une enveloppe conséquente) dans la famille de l’Abbé Yves Koko  résidant sur avenue India au quartier  Matonge.

 

Au cours de son enquête, L’œil du Patriote a pu établir une longue liste d’autres taupes et personnes suspectes impliquées dans cette affaire. Celle-ci va être transmise directement à l’archevêché de Kinshasa, pour permettre à ses services de renforcer la sécurité du Cardinal étant donné que ces taupes sont très proches de lui comme l’Abbé Yves Koko.  Nous sommes cependant  en mesure de révéler qu’un autre religieux, Monsieur l’Abbé Jim LUMU, curé de la paroisse St-Michel à Bandal est en passe de subir le même type de sanction que l’Abbé KOKO pour des faits semblables à ceux évoqués ci-haut. En effet, il se serait lui aussi livré à de la propagande politique en pleine homélie mais, cette fois-ci en faveur de la députée Colette Tshomba provocant d’ailleurs au passage une profonde désapprobation au sein des paroissiens.

 

Enfin, à la demande insistante de nos sources, nous préférons taire à ce stade du dossier, tous les détails concernant en particulier les identités des tueurs à gages ainsi que leur lieu de détention. Car, selon nos sources, l’Archevêché est occupée actuellement à mener son enquête pour remonter  toute la chaîne jusqu’au principal commanditaire de cette opération diabolique. Et le Cardinal Monsengwo de retour de Rome cette semaine n’a surement pas manqué d’informer le Pape de ces menaces qui pèsent sur sa personne. Jusqu’où ira « Joseph Kabila » ? Faut-il encore attendre de le savoir ?

 

 Paris, le 13 Février 2011

La belle aux bois dormants, Olive Lembe KABILA rentre au bercail demain sous l’injonction du " Raïs " en colère !

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Créé le 15 -02-2011 à 00 h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le mardi  15 -02-2011 à  00 h10 | PAR : AFRIQUE REDACTION 

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Une dépêche de dernière minute vient de nous parvenir sur le séjour de la princesse du palais de Marbre. Le " Raïs " est profondément préoccupé par la tare de la charmante et gauche de son épouse. Elle est rappelée de toute urgence à Kinshasa pour une petite réunion de famille qui se terminera peut être comme l’année dernière à BRUGGMAN Hôpital dans le territoire de Jette précisément dans la commune de 1000 Bruxelles.


Joseph KABILA est irrité de la publicité faite sur le  séjour dispendieux de son épouse qui a au premier regard, un visage d’agneau, mais une véritable Lynx aux crocs très acérés. Joseph KABILA se souviendra de ce qu’elle avait dit à ses gardes du corps quand ceux-ci sont allés fourrer leurs groins chez la belle et douce  de Bernadette. La suite vous la connaissez !


Olive Lembe KABILA, la mort dans l’âme quitte demain  15 férier 2011 la France pour un court séjour en Belgique pour enfin  atterrir dans une chaleur suffocante à Kinshasa. Elle doit se faire du mauvais sang par le coté imprévisible de mari.


Motif de ce revirement de situation ! Trop de vacarme sur son séjour qui devrait être privé mais livré à la vindicte de la diaspora. Quant à Myra NDJOKU ( La bon, la brute et le truand ), d’après l’entourage du " Raïs " , le prince du château est marqué dans le registre des SDF  ( sans domicile fixe ) pour les prochains jours. Est-ce que c’est pour la fin de cette semaine ?  Non, ne soyons pas pressés, le verrou de Tambwe Muamba le Parrain vient de sauter.


La belle aux bois dormants rentre au bercail demain 15 février. L’heure exacte vous sera communiquée dès que possible…


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Roger BONGOS

Journaliste d’Investigation

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