Quantcast
Channel: AFRIQUE REDACTION . L'information en continu ! Afrique au cœur de l’actualité...Infos News sur la RDC, les brèves de la dernière minute. Synthèse sur l’actu internationale. rdcongo-kinshasa, Nord et Sud KIVU, Kinshasa, Bas Congo, Dongo, Equateur, Maniema, Lubumbashi, les deux Kasai. Rédacteur en Chef : BONGOS Roger
Viewing all 14381 articles
Browse latest View live

Actualité Le Rwanda refuse l'accès à son territoire les personnes venant de trois pays touchés par Ebola

$
0
0

 

 

Crée LE 26-08-2014  - 06H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE mardi  le 26-08-2014 - 08H30 PAR : ARTV NEWS

 

 

 

                                                                 

 

 

Le Rwanda refuse désormais l'accès à son territoire les personnes venant de la Guinée, du Liberia et de la Sierra Leone, touchés par le virus Ebola, a annoncé lundi le ministère rwandais de la Santé dans un communiqué.

"Le ministère de la Santé recommande fortement que tous les passagers en provenance des Républiques de Guinée-Conakry, du Liberia et de Sierra Leone, ou quiconque ayant voyagé dans ces pays au cours des 22 derniers jours soient empêchés d'embarquer dans les avions à destination du Rwanda (...), excepté les passagers munis d'une autorisation spéciale signée par le ministre de la Santé de la République du Rwanda", indique le communiqué.

"Tout passager affichant une température de 37,5 degrés et plus ne sera pas autorisé à entrer au Rwanda", précise le texte.

Le ministère de la Santé a assuré que la surveillance a été renforcée à tous les points d'entrée, y compris tous les postes frontières du pays.

Cette dicision du Rwanda coïncide avec l'annonce de deux cas confirmés d'Ebola dans le nord de la RDC, son voisin.

Plusieurs pays africains ont imposé des interdictions aux passagers originaires des pays touchés par le virus Ebola.


Actualité Côte d'Ivoire : des parlementaires s'engagent "à fond" dans la lutte contre la corruption

$
0
0

Crée LE 26-08-2014  - 06H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE mardi  le 26-08-2014 - 08H30 PAR : ARTV NEWS

 

 

 

 


                                                                 

Des parlementaires ivoiriens ont exprimé lundi leur volonté de s'engager "à fond" dans la lutte contre la corruption à travers la mise en place d'un Réseau.

Selon le président du Réseau ivoirien des parlementaires pour la lutte contre la corruption Abdoulaye Sidibé, il s'agit pour les députés de prendre toute leur part dans la lutte contre ce fléau.

"Nous nous attèlerons à sensibiliser la population que nous représentons dans le sens de la bonne gouvernance", a expliqué M. Sidibé.

"Il est question de redorer l'image de la Côte d'ivoire ternie par 10 ans de crise. Nous prenons maintenant notre bâton de pèlerin pour contribuer à l'assainissement des différents secteurs socio-économiques", a-t-il ajouté.

Les autorités ivoiriennes ont fait de la bonne gouvernance leur cheval de bataille et ont engagé la lutte contre toutes les formes de corruption en vue d'assainir l'administration dans toutes ses composantes.

Dans le cadre de son plan national de lutte contre la corruption adopté en janvier, le gouvernement a mis en place plusieurs instruments dont la Haute autorité de la bonne gouvernance.

Selon des études menées par des institutions financières internationales et d'autres partenaires au développement, la Côte d'Ivoire perd annuellement plus de 300 milliards de francs CFA du fait du racket et de la corruption.

A plusieurs occasions, les parlementaires ont émis le voeu de jouer leur partition dans la promotion de la bonne gouvernance.

Actualité L'opposition sud-africaine dénonce l'attaque de l'ANC contre la médiatrice publique

$
0
0

Crée LE 26-08-2014  - 06H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE mardi  le 26-08-2014 - 08H30 PAR : ARTV NEWS

 

                                    
                                                                            

 

L'Alliance démocratique (DA), principal parti d'opposition de l'Afrique du Sud), s'est dit "très inquiète" de l'attaque lancée par le Congrès national africain ( ANC, au pouvoir) contre la médiatrice publique, Thuli Madonsela.

"Les membres et le leadership de l'ANC ont pris la fâcheuse habitude d'attaquer et de nuire aux organismes et processus constitutionnels lorsque les découvertes de ces derniers vont à l'encontre de l'ANC", a expliqué la DA.

Dimanche, l'ANC a critiqué Mme Madonsela après que cette dernière a envoyé une lettre au président Jacob Zuma la semaine dernière pour lui demander pourquoi il ne remboursait pas une partie de l'argent qu'il doit aux contribuables suite au scandale de sa maison privée à Nkandla, province du Kwazulu-Natal.

L'ANC a accusé Mme Madonsela de nuire au processus parlementaire, à son autorité à gérer ce dossier, et à ses compétences.

"Il semble qu'alors que la médiatrice publique a remis son rapport au parlement, elle n'a nulle confiance dans l'institution et son indépendance comme bras de l'Etat. Avec réticence, nous soupçonnons que la médiatrice publique a fait de l'enquête une chose personnelle en dehors du mandat constitutionnel du bureau", a déclaré Stone Sizani , Whip en chef de l'ANC.

"M. Sizani semble ne pas vouloir comprendre l'impératif constitutionnel qui veut que le travail de la médiatrice publique doit se faire sans peur, favoritisme ni préjudice, comme le prévoit la Section 181(2) de la Constitution", a ajouté la DA.

Thuli Madonsela a publié le 19 mars un rapport sur une enquête concernant des allégations d' abus de fonction et d'infractions à l'éthique dans le cadre d'améliorations de sécurité de la résidence de M. Zuma à Nkandla.

Le rapport de Mme Madonsela indique que la famille de M. Zuma a bénéficié de manière indue de ce projet, et réclame que M. Zuma paie une partie de l'argent consacré à ce projet, une demande rejetée par M. Zuma. 

Actualité Djibouti : un membre de la Garde républicaine ouvre le feu à l'aéroport, deux blessés

$
0
0

Crée LE 26-08-2014  - 06H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE mardi  le 26-08-2014 - 08H30 PAR : ARTV NEWS

                                       
                                                                  

 

Un élément de la Garde républicaine (GR) djiboutienne a subitement ouvert le feu lundi après-midi à l'aéroport International de Djibouti, blessant deux personnes dont un colonel, annonce un communiqué de la GR.

L'état-major de la GR promet l'ouverture d'une enquête en vue d' élucider les raisons qui ont motivé cet acte.

"La GR déplore l'incident qui s'est produit aujourd'hui à l' aéroport international de Djibouti où un de ses éléments a subitement ouvert le feu, blessant deux personnes dont le colonel Idriss, médecin de la Garde Républicaine", précise le communiqué.

Immédiatement maîtrisé, l'auteur de cet acte violent a été placé en détention par les autorités compétentes, selon la même source.

"L'auteur de cet incident se trouve actuellement entre les mains des autorités chargées d'enquêter sur l'incident, dit le communiqué.

Il s'agit du premier incident de ce genre observé à Djibouti depuis la création de la GR il y a huit ans.

 

Actualité Le Bénin appelé à ratifier le Traité sur le commerce des armes

$
0
0

Crée LE 26-08-2014  - 06H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE mardi  le 26-08-2014 - 08H30 PAR : ARTV NEWS

                                                                        

 

 

Le Bénin est appelé à ratifier le "Traité sur le commerce des armes" par une délégation du réseau " West African Action Network on small arms" (WAANSA), qui séjourne actuellement à Cotonou.

"Nous sommes actuellement à Cotonou en vue de sensibiliser les autorités gouvernementales béninoises sur la nécessité de la ratification du Traité sur le commerce des armes", a déclaré lundi Amadou Maïga, vice-président de WAANSA.

S'exprimant devant la presse, ce chef de la délégation du réseau WAANSA, a indiqué que le Traité sur le commerce des armes a été adopté par l'Assemblée générale des Nations Unies le 2 avril 2013, à New York.

"L'objectif du Traité sur le commerce des armes est essentiellement, pour certains pays, de contribuer à réguler le commerce licite et, pour d'autres, de lutter contre le commerce illicite des armes classiques", a-t-il déclaré, précisant que plusieurs pays dont le Bénin y ont apposé leur signature et il ne reste que l'étape de la ratification.

"Au total, 44 pays se sont déjà acquittés de ce devoir en passant à la phase supérieure et le réseau WAANSA mène de différentes démarches afin que le Bénin fasse partie des 50 premiers pays qui règlementent le commerce des armes", a-t-il souligné.

Le Traité sur le commerce des armes de l'ONU établit des critères pour les transactions internationales d'armes conventionnelles, en particulier le respect des droits de l'homme et du droit international humanitaire.

L'exportation d'armes est interdite s'il y a risque qu'elles soient utilisées pour commettre un génocide, des crimes contre l'humanité ou des crimes de guerre.

Actualité Mozambique : le chef de la Renamo promet de cesser les hostilités

$
0
0

Crée LE 26-08-2014  - 06H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE mardi  le 26-08-2014 - 08H30 PAR : ARTV NEWS

 

 

                                                        

 

Afonso Dhlakama, chef de la Renamo (principal parti d'opposition du Mozambique), a rassuré lundi que son mouvement respectera le cessez-le-feu qui a été déclaré dimanche soir avec la signature de l'accord avec le gouvernement, a rapporté lundi l'Agence de presse mozambicaine (AIM).

M. Dhlakama vit toujours dans une base de la Renamo dans le quartier central de Gorongosa, dans la province centrale de Sofala, mais il s'est exprimé aux journalistes à Maputo par téléphone, promettant qu'il avait déjà donné l'ordre à toutes les unités de la Renamo de cesser toutes les hostilités militaires.

"Dimanche soir et ce matin à 06h00, j'ai communiqué avec toutes les forces de la Renamo et leur ai demandé de cesser le feu", a-t- il affirmé, ajoutant qu' "ils ont bien entendu les ordres et ont promis de les mener à bien".

Il a promis que la Renamo ne violerait pas la convention, parce que "dans la Renamo il n'y a pas une manque de discipline".

Toutefois, il a mis en garde que si les forces gouvernementales attaquaient la Renamo, ses forces pourraient contre-attaquer.

M. Dhlakama a exhorté le président Armando Guebuza à informer toutes les unités militaires du gouvernement de la fin des hostilités "afin d'éviter tout incident", ajoutant qu'il était heureux "parce que nous avons convaincu le gouvernement mozambicain d'accepter ce qui est bon pour le Mozambique".

Interrogé sur la date qu'il quitterait sa base de Gorongosa et quand il va commencer sa campagne pour l'élection présidentielle prévue pour le 15 octobre, M. Dhlakama n'a pas donné une date précise, mais a promis de quitter la brousse ainsi que de rencontrer M. Guebuza.

Après plus de six heures de discussions intensives, le ministre mozambicain de l'Agriculture Jose Pacheco et Saimone Macuiana, chef de la délégation de la Renamo, ont signé l'accord de cessez- le-feu dimanche soir, au nom du président Guebuza Amando et du chef de la Renamo, Afonso Dhlakama respectivement.

Actualité Interpol met en garde contre de nouvelles menaces de gangs organisés en Afrique de l'Est

$
0
0

Crée LE 26-08-2014  - 06H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE mardi  le 26-08-2014 - 08H30 PAR : ARTV NEWS

 

 

                                                           

 

 

L'organisation de police internationale Interpol a mis en garde lundi contre les nouvelles menaces de sécurité constituées par des gangs criminels armés, dont des activistes terroristes, qui génèrent de l'instabilité dans la région d'Afrique de l'Est.

Le directeur du Bureau régional d'Interpol pour la région d' Afrique de l'Est, Rwego Francis, a déclaré que les gangs organisés étaient devenus de plus en plus sophistiqués dans leur utilisation de la haute technologie, d'où la nécessité d'efforts concertés des pays pour lutter contre ces gangs.

"Tous les crimes sont devenus transnationaux, aussi la lutte contre le crime sans une approche régionale n'a plus aucune utilité. Nous devons renforcer notre coopération pour mener des opérations simultanées", a déclaré M. Rwego lors de la Conférence annuelle de l'association des dirigeants de police d'Afrique de l'Est à Mombasa.

Le mouvement Al-Shabab continue de menace la région, a-t-il indiqué.

La cybercriminalité est largement employée pour financer les activités du groupe dans la région, d'où la nécessité de renforcer les efforts de lutte contre le terrorisme, a-t-il indiqué.

L'établissement de Brigades de renseignement financier dans chacun des pays permettra de suivre les financements, a-t-il dit.

Il a appelé à un regain d'efforts dans la lutte contre les menaces terroristes. Il a également exprimé son souhait d'une approche régionale, qui nécessiterait une mise en commun rapide des informations, des enquêtes communes et un renforcement des capacités entre les pays membres.

Cet événement d'une semaine réunit les responsables de police du Burundi, des Comores, de Djibouti, d'Érythrée, d'Éthiopie, d'Ouganda, du Rwanda, des Seychelles, de Somalie, du Soudan, du Sud-Soudan et de Tanzanie.

Cette réunion a été convoquée pour élaborer des moyens de combattre la criminalité sévère impliquant des réseaux transnationaux.

M. Rwego a appelé tous les participants à cette réunion à présenter des recommandations appropriées afin de rendre les efforts de police dans la région plus efficaces.   

L'inspecteur adjoint de la police kenyane Grace Kaindi a déclaré que le terrorisme constitue une menace grave pour la paix et la sécurité dans le monde.   

"C'est notre devoir en tant que services de sécurité pour lutter collectivement contre le terrorisme comme une forme de criminalité prioritaire. Cela peut être fait qu'en renforçant nos capacités a travers une coopération et une collaboration accrue aux frontières", a laissé Mme Kaindi.   

Elle a noté qu'il est nécessaire d'établir des postes de                  commandement aux points d'entrée et de sortie pour faciliter la vérification des documents d'identité et de voyage.   

M. Kaindi a ajouté que les pays devraient également mettre à jour les bases de données nationales et internationales qui jouent un rôle majeur dans la détection des éléments criminels.   

La réunion va également délibérer sur les menaces posées par la drogue et la traite des personnes qui est en hausse en Afrique de l'est.   

"Nos frontières ont été des cibles faciles pour les trafiquants de drogue qui ont été en mesure de compromettre différents secteurs au sein de notre région. L'implication est sévère avec les bandes criminelles alimentant la corruption et blessant l'économie légitime", a souligné M. Kaindi.   

Les commandants de la police et les chefs d'enquêtes criminelles de 17 pays sont prévus de partager des informations vitales sur le braconnage qui bat son plein dans la région.

Actualité Congo : les élections locales prévues le 28 septembre

$
0
0

Crée LE 26-08-2014  - 06H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE mardi  le 26-08-2014 - 08H30 PAR : ARTV NEWS

 

                                                                     

 

 

Le président congolais Denis Sassou N'Guesso a annoncé, à travers un décret signé lundi à la capitale Brazzaville, les élections locales prévues le 28 septembre.

M. Sassou Nguesson a convoqué le corps électoral pour le choix des conseillers départementaux et municipaux, sur toute l'étendue de ce pays.

Cette élection interviendra après plus d'une année de retard. Depuis le mois de juillet 2013, les conseils de départements et de communes chargés de promouvoir le développement local ne siègent plus dans ce pays, faute de légitimité.

De même, un retard similaire est connu dans le renouvellement des mandats des sénateurs qui composent la deuxième chambre du parlement.

Aucune crise grave n'est connue dans le pays pour justifier un tel retard mais, depuis deux ans la classe politique congolaise, prise dans des débats interminables, ne s'est pas accordée sur plusieurs sujets concernant l'élection.

Notamment, le nouveau découpage, la révision de la loi électorale, la révision du fichier électoral et la réforme de l'organe de supervision des élections.

Le scrutin du 28 septembre va permettre de relancer les assemblées locales et le processus électoral dans ce pays d'Afrique centrale, avec des élections sénatoriales qui s'en suivront, ainsi que les présidentielles prévues en 2016.


Actualité Le Mozambique a beaucoup à faire malgré la signature de l'accord de paix

$
0
0

Crée LE 27-08-2014  - 06H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE mercredi  le 27-08-2014 - 09H30 PAR : ARTV NEWS 

 

                                                                           

Le gouvernement mozambicain et la Renamo, principal parti d'opposition, ont signé le 24 août un accord sur la cessation des hostilités dans tout le pays, à moins de deux mois des élections générales prévues le 15 octobre. Les analystes soulignent toutefois que, malgré la signature de cet accord, beaucoup de travail reste à faire pour parvenir à la réconciliation nationale et à la confiance entre les deux parties, soulignant par ailleurs que le pays entre désormais dans une phase cruciale avant les élections.

La signature de l'accord a été saluée par différents cercles de la société et d'autres partis politiques, dont le Frelimo, parti au pouvoir, car elle ouvre la porte à la paix et à la stabilité ainsi qu'à une libre circulation des personnes et des marchandises au Mozambique, un pays qui a subi des hostilités militaires récemment en particulier dans la province de Sofala dans le centre.

Cet accord a été signé par les dirigeants de délégations du gouvernement et de la Renamo, respectivement Jose Pacheco et Saimone Macuiana.

Toutefois, certains analystes ont soulevé plusieurs questions après la signature, se demandant par exemple s'il apporterait une paix durable et définitive au Miozambique, et s'il amènera à la confiance entre les deux parties qui luttent l'une contre l'autre depuis si longtemps.

Le réponses à ces questions peuvent être envisagées sous deux aspects. Tout d'abord, l'accord de fin des hostilités devait être signé par le président Armando Guebuza et par le chef du Renamo, Afonso Dhlakama.

Signe de sa suspicion, M. Dhlakama a refusé de quitter son repaire dans le district de Gorongosa dans le centre du pays, par crainte d'un assassinat, selon ce qu'il a déclaré aux journalistes.

Il a donc confié à M. Macuiana le pouvoir de diriger sa délégation auprès de ces discussions, et de signer l'accord en son nom, ce qui a contraint M. Guebuza a confier lui aussi la signature au chef de sa délégation, M. Pacheco, qui est également ministre de l'Agriculture.

Ensuite, un autre signe de suspicion du Renamo réside dans le fait qu'il demande au Parlement du pays, l'Assemblée de la République, d'adopter une loi ratifiant la déclaration de cessation d'hostilités signée avec le gouvernement, accord qui doit toujours théoriquement recevoir l'approbation de MM. Guebuza et Dhlakama lors d'une cérémonie publique dans un proche avenir. Toutefois, la date de cette cérémonie reste indéterminée.

Interrogé lundi sur la question de savoir quand il comptait quitter son repaire de Gorongosa et commencer sa campagne pour l'élection présidentielle, M. Dhlakama n'a pas donné une date précise, mais a promis non seulement de quitter la brousse, mais aussi de rencontrer M. Guebuza.

Une fois de plus, le temps n'est pas de son côté. La campagne électorale pour les élections d'octobre commence officiellement dimanche prochain.

"Nous voulons commencer la campagne, une campagne sans violence ", a-t-il souligné. "Nous voulons une campagne politique paisible, afin que le peuple mozambicain puissent analyser les discours des candidats".

En outre, après la signature de l'accord de cessez-le-feu, les négociations entre les deux parties continueront afin de parvenir à un consensus pour séparer l'Etat du parti au pouvoir et des avantages économiques comme le exige la Renamo.

Les trois documents déjà approuvés par les deux parties sont attachés à la déclaration, dont le Protocole d'entente qui prévoit l'intégration de ce qu'ils appellent les "forces résiduelles de la Renamo" dans l'armée et la police et la saisie de toutes leurs armes.

Les détails seront examinés par les experts militaires des deux côtés, qui doivent présenter un document lors d'une session plénière du dialogue enre le gouvernement et la Renamo.

L'intégration et le désarmement de la Renamo seront accompagnées et surveillées par des observateurs internationaux, qui seront réunis dans le Groupe d'observateurs militaires internationaux pour la cessation des hostilités militaires (EMOCHM) .

Comme convenu il y a plusieurs mois, les pays invités à envoyer des observateurs sont le Botswana, le Zimbabwe, l'Afrique du Sud, le Kenya, le Cap-Vert, le Portugal, l'Italie, la Grande-Bretagne et les Etats-Unis.

Les termes de référence pour l'EMOCHM stipulent qu'il y aura 23 observateurs militaires étrangers, accompagnés par 70 officiers mozambicains, la moitié du gouvernement et la moitié de la Renamo.

Pendant 135 jours renouvelables, leur tâche sera d'"observer, de surveiller et d'assurer la mise en oeuvre de la cessation des hostilités militaires et le début des phases ultérieures".

Actualité RDC : 80% des déplacés de Beni regagnent leurs milieux d'origine

$
0
0

Crée LE 27-08-2014  - 06H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE mercredi  le 27-08-2014 - 09H30 PAR : ARTV NEWS 

 

                                                             

80% des personnes qui étaient déplacées par les affrontements entre les Forces armées de la RDC (FARDC) et les rebelles ougandais des ADF, sont retournée à Beni, ville dans la province du Nord-Kivu (est), a indiqué mardi un chef traditionnel.

"Ces populations avaient fui les villages (...) et s'étaient réfugiés dans le camp de réfugiés de Kyangwali en Ouganda", a affirmé Mwami Saambili Bamukoka, chef de la chefferie de Watalinga, à Beni.

"Après que les FARDC aient conquis les villages jadis occupés par ces rebelles, les habitants sont de retour dans ces milieux à 80%", a-t-il dit.

Selon l'administrateur du territoire de Beni, Bernard Amisi, les services de sécurité ont découvert des engins explosifs déposés dans plusieurs zones par les ADF avant leur fuite.

"Nos services sont en pleine opération d'identification de ces zones dangereuses et les opérations de déminage seront bientôt amorcées pour éviter d'éventuelles explosions des mines au sein de la population retournée", a-t-il rassuré.

Il a précisé que ces opérations se feront dans les prochaines semaines avec le soutien des partenaires, notamment la cellule de déminage de la Mission des Nations unies pour la Stabilisation en RD Congo (MONUSCO).

Actualité Le Conseil de sécurité de l'ONU appelle à une "neutralisation rapide" d'un groupe rebelle rwandais en RDC

$
0
0

Crée LE 27-08-2014  - 06H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE mercredi  le 27-08-2014 - 09H30 PAR : ARTV NEWS 

 

 

                                                                       


Le Conseil de sécurité de l'ONU a appelé mardi à une "neutralisation rapide" des rebelles des Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR) qui sévissent dans l'est de la République démocratique du Congo (RDC) afin de stabiliser ce pays et la région des Grands Lacs.

Dans un communiqué de presse, les membres du Conseil saluent les progrès réalisés contre les groupes armés en RDC, notamment la défaite militaire du M23 et l'affaiblissement important des ADF-NALU, mais regrettent qu'aucun progrès significatif n'ait été réalisé pour arriver à la neutralisation des FDLR.

"Les membres du Conseil de sécurité ont réaffirmé leur soutien à la neutralisation rapide des FDLR qui est une priorité pour apporter la stabilité en RDC et dans la région des Grands Lacs", souligne le communiqué de presse, qui rappelle que les dirigeants et membres des FDLR faisaient partie de ceux qui ont perpétré le génocide de 1994 au Rwanda.

Le Conseil de sécurité a exprimé son inquiétude concernant la menace que continuent de représenter les FDLR, notamment les informations faisant état de nouvelles violations des droits de l'homme par des membres de ce groupe armé.

Les membres du Conseil ont noté les efforts diplomatiques actuels par la Conférence internationale sur la région des Grands Lacs (CIRGL) et la Communauté de développement de l'Afrique australe (SADC) pour harmoniser les approches concernant la neutralisation et le désarmement sans conditions des FDLR. Selon le Conseil de sécurité, il faudrait que "le processus de désarmement soit conclu rapidement".

En attendant, les membres du Conseil ont encouragé le gouvernement de la RDC, en coordination avec la Mission des Nations Unies en RDC (MONUSCO) "à poursuivre activement les opérations militaires contre les dirigeants et les membres des FDLR qui ne participent pas au processus de démobilisation et qui continuent à commettre des violations des droits de l'homme".

Actualité Le président ivoirien appelle à cesser les rumeurs autour du virus Ebola

$
0
0

Crée LE 26-08-2014  - 06H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE mardi  le 26-08-2014 - 08H30 PAR : ARTV NEWS

 

                                                                      

 

 

Le président ivoirien Alassane Ouattara appelé mardi les populations à cesser les rumeurs qui circulent dans le pays autour du virus hémorragique Ebola.

M. Ouattara, qui s'exprimait à son retour d'une visite en France, a estimé que les rumeurs et les dénégations de cette maladie sont inopportunes.

"Il faut que ces folles rumeurs cessent car elles concourent à créer la psychose", a expliqué le chef de l'Etat, notant toutefois qu'il faut rester vigilant.

"La mobilisation doit être de mise dans la sous-région. Nous devons nous mettre ensemble pour prévenir le fléau en ce qui concerne la Côte d'Ivoire, et pour l'arrêter le plus tôt possible en ce qui concerne les pays frères qui ont été touchés", a-t-il recommandé.

Aucun cas de virus Ebola n'a encore été déclaré en Côte d'Ivoire, mais le pays fait preuve d'une grande vigilance.

Le gouvernement avait annoncé la suspension des vols en provenance et à destination des pays affectés par le virus Ebola.

D'autres mesures draconiennes telles que l'abstention de serrer les mains et de faire des accolades ont également été prises.

Le porte-parole du gouvernement Bruno Koné a expliqué ces nouvelles mesures par le fait que "l'épidémie ne faiblit pas" dans les pays voisins et "cela aggrave les risques de contamination".

Selon, l'Organisation mondiale de la santé (OMS), la maladie a fait à ce jour plus de 1.400 morts.

Actualité CAN 2015 : la Guinée dévoile la liste de son équipe contre le Togo

$
0
0

 

 

 

Crée LE 27-08-2014  - 06H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE mercredi  le 27-08-2014 - 11H30 PAR : ARTV NEWS

                                                                    

 

 

 

 

Le sélectionneur de l'équipe nationale de football de la Guinée, Michel Dussuyer, a rendu publique mardi la liste des 23 joueurs qu'il compte aligner contre le Togo le 5 septembre, dans le cadre d'un match des éliminatoires de la

CAN-2015, qui aura lieu à Casablanca au Maroc.

Les poulains de Michel Dussuyer sont quasiment tous des footballeurs professionnels évoluant en Europe. Seuls quatre joueurs locaux ont été retenus.

Au niveau des buts, C'est Abdoul Aziz Kéita de l'Association sportive de Kaloum, club de première division de Guinée, qui a arraché le titre de champion pour cette saison, et Naby Yattara évoluant au AC Arles d'Avignon en France, qui sont retenus par le coach Michel Dussuyer.

Au niveau de la défense, il y a entre autres Ibrahima Sory Bangoura et Fodé Camara tous deux de Horoya AC, club de division I de Guinée.Ainsi qu'Abdoulaye Cissé de Angers, club français et Florentin Pogba de Saint-Etienne, un autre club français.

Le milieu de terrain sera assuré par Kevin Constant, joueur qui évolue au Trabzonspor, en Turquie et Sadio Diallo du FC Lorient de France, pour ne citer que ceux-ci.

En fin au niveau de l'attaque, des noms comme Mohamed Lamine Yattara de l'Olympiques lyonnais, Alhassane Bangoura de Rayo Vallecano et Idrissa Sylla de Zulte Waregem essaieront de faire la différence dans cette rencontre capitale, initialement prévue à Conakry, mais délocalisée au Maroc, pour cause de fièvre Ebola.

VIDEO AFRIQUE : RAPPORT JACQUES ATTALI, Freddy MULONGO et Roger BONGOS: le décryptage sur le drame de la presse africaine

$
0
0

Crée LE 27-08-2014  - 06H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE mercredi  le 27-08-2014 - 14H30 PAR : ARTV NEWS 

 

FREDDY-MULONGO-AU-QUAI-D-ORSAY.jpgFreddy MULONGO au Quai d'Orsay le 26 aout 2014

 

La presse africaine et en particulier congolaise brillent par leur absence dans des grandes décisions sur leur continent.


Freddy Mulongo pousse une gueulante au Quai d'Orsay le 26 aout 2014 lors de la conférence de presse de Jacques ATTALI sur la francophonie et francophilie économique...
Bongos Roger

 

 

Actualité Ebola : MSF envoie des spécialistes dans le nord de la RDC

$
0
0

 

Crée LE 27-08-2014  - 06H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE mercredi  le 27-08-2014 - 11H30 PAR : ARTV NEWS

 

                                                                       

 

 

 

Médecins Sans Frontières (MSF) a envoyé une équipe d'urgence dans la province de l'Equateur, dans le nord de la République démocratique du Congo (RDC), où l'on vient d'enregistrer deux cas confirmés d'Ebola, indique un communiqué de MSF.

En collaboration avec le ministère rd-conglais de la Santé, MSF a mis en place une structure de prise en charge à Lokolia, la zone la plus touchée par le virus.

L'équipe d'urgence de MSF est composée de médecins, d'infirmiers, des logisticiens et de spécialistes en hygiène et assainissement.

"Nous avons eu la confirmation dimanche que quatre des prélèvements effectués la semaine dernière par nos équipes étaient positifs au virus Ebola, nous intervenons donc rapidement pour tenter d'isoler les cas suspects et confirmés, et retracer les contacts", a expliqué Jeroen Beijnberger, coordinateur médical de MSF en RDC.

Dimanche soir, le ministre rd-congolais de la Santé Félix Kabange Numbi avait annoncé que il y avait deux cas confirmés, sur huit prélèvements envoyés au laboratoire.

M. Beijnberger a souligné que la priorité pour l'instant est de tout mettre en ouvre pour éviter que la maladie ne se propage et que d'autre personnes ne soient contaminées.

A propos des rapports entre l'épidémie du nord de la RDC et celle de l'Afrique de l'Ouest, M. Beijnberger a indiqué que c'est "une simple coïncidence". "Nous cherchons à confirmer l'origine de l'épidémie, mais pour l'instant, rien ne fait le lien directement avec l'épidémie qui sévit en Guinée, au Liberia et en Sierra Leone depuis plusieurs mois", a-t-il précisé.

Dans le communiqué, le coordinateur médical de MSF a invité d'autres partenaires à s'engager dans la lutte de cette épidémie.

"Actuellement nous faisons face à une énorme épidémie en Afrique de l'ouest, limitant notre capacité de réponse à l'épidémie en province de l'Equateur", a-t-il poursuivi, ajoutant que "nous avons besoin d'acteurs se mobilisant rapidement à nos cotés pour appuyer le ministère de la Santé".

Selon le ministère rd-congolais de la Santé, cette épidémie touche particulièrement les aires de santé de Lokolia et de Watikengo, dans la région de Boende, en province de l'Equateur.

Dans ces deux aires de santé, épicentres de la maladie distants d'une trentaine de kilomètres, les autorités ont créé des commissions chargées du suivi des malades, de l'hygiène, de l'assainissement et des enterrements sécurisés.

Depuis environ deux semaines, des dizaines de personnes sont mortes d'une malaide inconnue dans la province de l'Equateur. Vendredi dernier, le ministère rd-congolais de la Santé a annoncé que parmi ces victimes il y a 13 cas suspects de fièvre hémorragique, avant d'affirmer dimanche deux confirmés d'Ebola.

Ebola a été découvert en RDC en 1976. C' est la septième fois que ce virus refait surface, la dernière irruption remontant en 2012, où 36 personnes en sont mortes dans la province Orientale.


Actualité Afrique en marche

$
0
0

 

Crée LE 28-08-2014  - 00H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE jeudi  le 28-08-2014 - 01H30 PAR : ARTV NEWS

                                                                       

 

 

 

 

Le président ivoirien appelle à cesser les rumeurs autour du virus Ebola

ABIDJAN -- Le président ivoirien Alassane Ouattara appelé mardi les populations à cesser les rumeurs qui circulent dans le pays autour du virus hémorragique Ebola. M. Ouattara, qui s'exprimait à son retour d'une visite en France, a estimé que les rumeurs et les dénégations de cette maladie sont inopportunes. "Il faut que ces folles rumeurs cessent car elles concourent à créer la psychose", a expliqué le chef de l'Etat, notant toutefois qu'il faut rester vigilant.

- - -

La Botswana veut introduire un train touristique dans son nord

GABORONE -- L'entreprise Botswana Railways (BR) a révélé des plans pour introduire un train touristique dans la partie nord du pays dans un proche avenir. Le Directeur de BR en charge du développement des affaires Stephen Makuke a affirmé à un consortium d'affaires mardi que les plans du projet sont en voie de finalisation. Il a laissé entendre que l'introduction du train, qui se déplacera entre Francistown, la deuxième plus grande ville botswanaise, et Kasane, centre touristique, vise à promouvoir le tourisme du pays tout en aidant à atténuer les difficultés financières de BR.

- - -

Le Gabon lance sa première production locale de fer à béton

LIBREVILLE -- Le Gabon a lancé mardi sa première production locale du fer à béton, située à une trentaine de kilomètres de Libreville, capitale du pays. Cette usine de la Chaudronnerie du Gabon (CDG), qui est installée dans la Zone économique spéciale (ZES) de Nkok, recycle la ferraille récupérée dans le pays avec une capacité de production de 5.000 tonnes de fer à béton par mois."La ferraille nous est livrée par des particuliers et notre étude de faisabilité a démontré que notre usine peut tourner à plein régime avec la ferraille récupérée si l'exportation clandestine de celle-ci cesse", a affirmé le Président de la CDG, Mohamed Reslan.

- - -

Sierra Leone : les médias invités à contribuer à la lutte contre Ebola

FREETOWN -- Le vice-ministre de la Santé et de l'Hygiène de la Sierra Leone, Abu Bakarr Fofanah, a appelé les médias à continuer à compléter les efforts du gouvernement dans la lutte contre l'épidémie d'Ebola. Lors d'une rencontre avec les médias lundi à Freetown, capitale du pays, le vice-ministre souligné l'importance des médias pour décourager les rumeurs qui sont dangereuses et peuvent nuire aux efforts du gouvernement. Il a réitéré l'engagement de son gouvernement pour contenir la maladie avec le soutien de ses partenaires et la coopération du public.

Actualité Centrafrique: une délégation gouvernementale rencontre l'ex-président Djotodia

Actualité Soudan du Sud: un hélicoptère de l'ONU a été abattu, selon le Conseil de sécurité

Actualité Centrafrique : remaniement du gouvernement, cinq jours après sa formation

$
0
0

Crée LE 28-08-2014  - 00H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE jeudi  le 28-08-2014 - 10H30 PAR : ARTV NEWS

                                                                    

Cinq jours après la publication vendredi de la composition du nouveau gouvernement d'union nationale dirigé par Mahamat Kamoun, la présidente de transition centrafricaine Catherine Samba-Panza a remanié l'équipe administrative mercredi, réduisant le nombre des membres de 28 à 20 et y introduisant deux membres de la diaspora, annonce-t-on à la présidence.

Comme pour le précédent nommé le 3 février après son élection par le Conseil national de transition (CNT, Parlement provisoire en place depuis juin 2013) consécutive à la démission forcée de Michel Djotodia, leader de l'ex-coalition rebelle Séléka, c'est un gouvernement bis que Mme Samba-Panza a mis en place, parallèlement au cabinet de Kamoun, son ex-ministre d'Etat, conseiller spécial.

Le secrétaire général de la présidence, Jean Ndemoukouma, et le ministre d'Etat, directeur de cabinet, Joseph Mabingui, conservent leurs postes dans ce cabinet présidentiel qui accueille cette fois- ci deux Centrafricains établis hors du pays. En provenance de la Banque des Etats de l'Afrique centrale (BEAC) à Yaoundé au Cameroun, Yvon Songué est nommé ministre, conseiller économique et financier auprès de la présidente de transition.

Aubin Lenghat quitte quant à lui Paris pour devenir ministre délégué,conseiller en matière de relations publiques, chargé des nouvelles technologies de l'information et de la communication. Fait marquant, Catherine Samba-Panza se saisit du dossier du programme DDR (désarmement, démobilisation et réinsertion) en créant à cet effet un poste confié au général de brigade Thomas Théophile Timangoa, passé de ministre de le Défense nationale dans le gouvernement sortant d'André Nzapayéké à ministre, conseiller à la défense au sein du cabinet présidentiel.

Le chef militaire est aussi chargé de la réforme du secteur de la sécurité destinée à permettre à la République centrafricaine ( RCA) de se doter de nouvelles forces de défense et de sécurité capables d'assurer la paix et la sécurité dans ce pays après une désintégration de troupes due aux multiples coups d'Etat et rébellions qu'il connaît depuis son indépendance en 1960.

 Le dialogue politique et social sera l'oeuvre d'Anicet Guiyama- Massogo, ministre délégué, conseiller politique, qui laisse le titre de porte-parole de la présidence à l'ex-ministre de la Communication et de la Réconciliation nationale Antoinette Montaigne née Moussa qui sa mission maintenant en tant que ministre, conseiller en communication chargé du suivi de la réconciliation nationale.

Actualité Le Soudan et l'Egypte inaugurent le poste de contrôle frontalier d'Ashkit-Qostol

$
0
0

Crée LE 28-08-2014  - 00H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE jeudi  le 28-08-2014 - 10H30 PAR : ARTV NEWS

                                                                      

 

Le Soudan et l'Egypte ont inauguré mercredi le poste frontière d'Ashkit-Qostol, premier poste de contrôle frontalier reliant le nord du Soudan au sud de l'Egypte, ainsi qu'une route reliant les villes de Qostol et d'Ashkit.

Le poste de contrôle relie la ville de Wadi Halfa dans le nord du Soudan et la province d'Assouan dans le sud de l'Egypte, et la route s'étend sur une soixantaine de kilomètres, faisant le lien entre la ville de Qostol dans le sud de l'Egypte et la ville de Halfa (Ashkit) dans le nord du Soudan.

"L'ouverture du checkpoint représente une importante transition dans les relations soudano-égyptiennes et fournit l'opportunité aux deux pays de profiter des échanges au niveau de leur frontière commune," a déclaré le ministre soudanais des Transports, des Routes et des Ponts, Abdelwahid Youssif.

"Les parties soudanaise et égyptienne espèrent que l'ouverture du poste de contrôle frontalier mènera à l'augmentation du volume des échanges commerciaux entre les deux pays," a-t-il ajouté.

L'ensemble de la région du poste de frontière d'Ashkit-Qostol représente 45 000 mètres carrés en plus d'une zone de 15 000 mètres carrés d'habitation pour les travailleurs du port.

L'ouverture du checkpoint devrait faire passer le volume annuel des échanges commerciaux entre les deux pays, qui a atteint 850 millions de dollars en 2013, à environ deux à trois milliards de dollars en moins de deux ans.

Viewing all 14381 articles
Browse latest View live




Latest Images