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Channel: AFRIQUE REDACTION . L'information en continu ! Afrique au cœur de l’actualité...Infos News sur la RDC, les brèves de la dernière minute. Synthèse sur l’actu internationale. rdcongo-kinshasa, Nord et Sud KIVU, Kinshasa, Bas Congo, Dongo, Equateur, Maniema, Lubumbashi, les deux Kasai. Rédacteur en Chef : BONGOS Roger
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Actualité RDC : environ 320 millions USD déjà collectés pour le plan d’action humanitaire

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Crée LE 24-10-2014  - 01H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE VENDREDI   le 24-10-2014 - 12H00 PAR : ARTV NEWS

Le monde célèbre ce vendredi 24 octobre, la journée des Nations unies. A cette occasion, le Représentant spécial adjoint du secrétaire général de l’ONU et coordonnateur humanitaire en RDC a indiqué que sur les 832 millions de dollars demandés pour les actions humanitaires, les partenaires ont déjà versé environ 320 millions de dollars. 

Avec les crises multi-sectorielles actuelles dans le monde, il y a un besoin d’à peu près 17,1 milliards de dollars pour pouvoir y répondre.

« Avec cette augmentation de la demande et de plus en plus aussi avec ces moyens qui sont en train de baisser, vous comprenez qu’en République démocratique du Congo nous devons être en compétition pas facile. Malgré cela, je voudrais saluer et remercier les partenaires parce que sur les 832 millions que nous avions demandés nous sommes déjà aux environs de 320, 350 millions de dollars qui ont été donnés », a déclaré Moustapha Soumaré.

Par ailleurs, le Représentant spécial du Secrétaire général de l’ONU en RDC, Martin Kobler a appelé « les Congolaises et Congolais à s’approprier la charte des Nations Unies pour pratiquer la tolérance,  la paix  dans un esprit de bon voisinage ».

Il a aussi appelé les Congolais à unir leurs forces à celles des Nations Unies pour maintenir la paix et la sécurité internationales.


Actualité Katanga une vingtaine de maisons détruites après une pluie à Kongolo

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Crée LE 24-10-2014  - 01H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE VENDREDI   le 24-10-2014 - 12H00 PAR : ARTV NEWS

 
 
 
Des victimes de la pluie à Kinshasa. Radio Okapi/ Ph. John Bompengo

Une vingtaine de maisons se sont écroulées à la suite de la pluie qui s’est abattue, mardi 21 octobre, dans les localités de Ngolo et Kahwebo, en territoire de Kongolo (Katanga). Selon des sources de la région, cette pluie torrentielle a également détruit une école primaire, empêchant ainsi 250 élèves de suivre les cours.

Le chef de groupement Bakwanyanyi indique que plusieurs dizaines de familles se retrouvent sans-abris à la suite de la destruction de leurs maisons par la pluie.
«Surtout qu’il est quasi impossible de retrouver de la paille pour couvrir les toits pendant la saison des pluies », s’est plaint cette autorité coutumière qui, dans une lettre, a alerté le public.
Le chef de ce groupement lance également un SOS pour la réhabilitation urgente de l’école au risque que ces élèves soient privés des cours.
En mai 2013, une autre pluie avait détruit un pan de la toiture et une partie du mur du bâtiment qui héberge le parquet secondaire de Kongolo.

Une dizaine de magistrats commis à ce parquet étaient contraints de travailler dans des conditions difficiles. Ils étaient confinés dans des locaux étroits de la partie de l’immeuble encore sur pied.

 

Actualité Katanga: la Linapedho dénonce le détournement des salaires des policiers à Kabongo

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Crée LE 24-10-2014  - 01H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE VENDREDI   le 24-10-2014 - 12H00 PAR : ARTV NEWS

 

La fanfare de la police à Kisangani, décembre 2010.
La Ligue nationale paysanne des droits de l’homme (Linapedho) dénonce le détournement des salaires des policiers du territoire de Kabongo au Katanga par leur commandant.  Selon le coordonnateur provincial de cette ONG, Me Shadrack Mukadre, les policiers sont impayés depuis 3 mois. Il revient d’une mission de sensibilisation sur le respect des droits humains dans le district du Haut Lomami où il affirme avoir discuté avec les femmes de ces policiers et leur commandant. 

« On a trouvé que les autorités des commissariats de la police installés dans le territoire de Kabongo ont une habitude de détourner les salaires de leurs agents. J’ai trouvé des policiers qui se plaignent de n’avoir pas été payés depuis trois mois », explique-t-il, soutenant que les salaires de ces policiers arrivent bien entre les mains de leur commandant.

Me Shadrack Mukadre rapporte que 7 policiers partis réclamer leurs salaires ont été renvoyés par leur commandant qui les a accusés d’outrage à l’autorité devant l’inspection judiciaire militaire.

Informés de cette plainte, ces policiers se seraient enfuis de peur d’être arrêtés.

« J’ai trouvé qu’ils n’étaient même pas dans le territoire. Ils se sont enfuis parce qu’ils craignent d’être arrêtés. On a eu à échanger avec le commandant et avec les femmes de ces policiers qui sont venues vers nous », souligne-t-il.

Radio Okapi n’a pas réussi à interroger le commandant de la police de Kabongo à ce sujet.​

 

Actualité Katanga : les habitants de Kansowe fuient leurs domiciles après une altercation entre militaires et civils

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Crée LE 24-10-2014  - 01H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE VENDREDI   le 24-10-2014 - 12H00 PAR : ARTV NEWS

 
 
Scène du villqge de Pweto, à la frontière avec la Zambie, au Katanga, 2007.

Les habitants de Kansowe, à 65 km de Mitwaba-centre, au Katanga, ont fui leur localité dans la matinée de jeudi 23 octobre, après une altercation entre habitants et des soldats des FARDC. La population accuse un militaire d’avoir violé et torturé une sexagénaire, en lui enfonçant un bout d’arbre dans le vagin. La victime aurait succombé à ses blessures.

Selon des sources à Mitwaba, ces militaires sont venus de Shamwana, dans le territoire voisin de Manono, et ont atteint le village Kansowe mardi dernier, dans le cadre de la traque du chef milicien Gédéon Kyungu et ses hommes.

Dès le lendemain de leur arrivée, les habitants ont rapporté des menaces dont ils auraient été victimes de la part de ces militaires. L’un d’eux aurait violé une femme âgée de 65 ans, selon les mêmes sources.

La victime a malheureusement succombé à ses blessures quelques heures plus tard.

La population, en colère, voulait s’en prendre à ce commando, mais ce dernier a tiré des coups de feu en l’air.

Pris de panique, les habitants se sont réfugiés dans la brousse, selon des informations que confirment les autorités locales à Mitwaba.

République démocratique du Congo : le CICR est préoccupé par les violences contre les civils au Nord-Kivu

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Crée LE 24-10-2014  - 01H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE VENDREDI   le 24-10-2014 - 14H00 PAR : ARTV NEWS

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Genève / Kinshasa (CICR) – Après les deux attaques meurtrières perpétrées dans les villes de Beni et d’Eringeti, les équipes du Comité International de la Croix-Rouge (CICR) ont pu évacuer par avion 14 personnes blessées vers l'hôpital CBCA Ndosho à Goma. 

« Nous sommes extrêmement préoccupés par la nature et l'ampleur de ces violences qui frappent des populations déjà durement touchées par des années de conflit », déclare Alessandra Menegon, cheffe de délégation du CICR en République démocratique du Congo. « Ces exactions contre les civils sont des violations graves des principes les plus élémentaires d’humanité, elles doivent cesser. » 

Cette région du Nord-Kivu a été le théâtre de plusieurs attaques ciblant la population, dont les plus violentes ont eu lieu ces derniers jours. Depuis le 11 octobre, 80 personnes ont été tuées, selon les autorités, dont des femmes et des enfants, et 19 autres ont été grièvement blessées. 

« La Croix-Rouge de la RDC est intervenue rapidement et a géré la collecte de dépouilles mortelles», explique Arnaud Meffre, chef du bureau du CICR de Béni. L’équipe chirurgicale du CICR à l’hôpital de Goma a pris en charge 16 blessés de guerre. Afin de soutenir les autres structures de santé de la région, le CICR a déjà donné du matériel médical et chirurgical pour prendre en charge 50 blessés de guerre à l'hôpital général de Beni, et du matériel médical (bandages et traitements par voie orale) pour stabiliser des blessés de guerre à l'hôpital général d'Oïcha. Afin de faciliter la gestion des dépouilles mortelles, le CICR a fourni aux équipes de la Croix-Rouge de la RDC 40 sacs mortuaires, 200 paires de gants à usage unique, dix masques réutilisables, dix kilos de chlore et a donné un apport financier pour les frais de carburant. 

Depuis le début de l'année, le CICR a évacué plus de 290 blessés de guerre et malades, et pris en charge plus de 550 d’entre eux dans les deux provinces du Nord et du Sud-Kivu ; il a également acheminé des médicaments et du matériel médical à neuf centres de santé et quatre hôpitaux généraux afin que le personnel puisse faire face aux urgences médicales et chirurgicales. 

Actualité Matadi: début de l’opération d’assainissement de la ville

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Crée LE 25-10-2014  - 01H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE SAMEDI   le 25-10-2014 - 10H00 PAR : ARTV NEWS

 
 
Ville Portuaire de Matadi. Ph Don John Bompengo

La police nationale a lancé, vendredi 24 octobre, l’opération dénommée «assainissons notre environnement », à Matadi (Bas-Congo). A l’initiative du commissariat provincial de la police nationale au Bas-Congo, ce projet est exécuté par environ 200 policiers de la garnison de Matadi pour assainir cette ville.

Le commissaire provincial-adjoint en charge de la police administrative du Bas-Congo, Roger Nsinga, a assuré que ces travaux d’assainissement seront permanents et exécutés une fois par semaine.

«Dans le maintien de l’ordre, il n’y a pas que la sécurité et la tranquillité publique, mais il y a aussi la salubrité publique. Ce n’est pas une chose étrangère que la police se trouve dans l’enceinte de la Ceni, cette grande institution qui sera bientôt dans la sellette. On veut bien qu’on entre dans la période électorale dans un milieu assaini», a indiqué le commissaire-adjoint Roger Nsinga.

Pour cet officier de la police, cette opération marque le début d’une habitude que la police a adopté pour que la population vive non seulement dans la tranquillité mais également dans la propreté.

Le commissaire-adjoint de la police a par ailleurs appelé la population à s’impliquer dans ce projet d’assainissement :

«Que la population du Bas-Congo et de Matadi en particulier puisse mettre en pratique les règles d’hygiène pour que le milieu soit assaini parce que sans propreté nous nous exposons nous-mêmes à des maladies, épidémies et autres dangers».

Roger Nsinga s’est plaint être confronté à l’insuffisance des matériels pour que son équipe fasse ce travail de manière efficiente.

En mai 2013, le maire de Matadi avait lancé l’opération d’assainissement de la ville des artères de la ville. Il avait exigé aux mécaniciens qui ont des garages érigés entre le tronçon qui conduit à la morgue de l’Hôpital général de référence de Kinkanda et Ango-Ango de construire des pavés sur toute la surface de leur garage.

Actualité La RDC et l’Ouganda s’accordent à combattre l’insécurité transfrontalière

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Crée LE 25-10-2014  - 01H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE SAMEDI   le 25-10-2014 - 10H00 PAR : ARTV NEWS


Villageois transportant des articles sur un vélo à la frontière entre le Rwanda et la RDC © MONUSCO/Sylvain Liechti

Les autorités du territoire de Mahagi (Province Orientale) et celles du district de Nebbi, en Ouganda, s’accordent pour lutter contre l’insécurité transfrontalière. Au cours d’une rencontre bilatérale entre ces deux entités jeudi 23 octobre à Mahagi-Centre, les participants ont décidé d’échanger leurs informations sur les arrestations et extraditions des malfaiteurs transfrontaliers ainsi que le contrôle des mouvements migratoires.

Le Lac Albert est un ilot d’insécurité commun au territoire de Mahagi et le district ougandais de Nebbi. L’administrateur de territoire de Mahagi parle de porosité des frontières.

Selon Jean Bosco Ngamubiem Essese, cette porosité favorise la fuite de part et d’autre de la frontière lacustre des malfaiteurs de tout bord.

Il souligne des cas d’insécurité enregistrés chaque année aux postes douaniers de Togo et Nyarambe, en territoire de Mahagi, et Erusi Subcountry, en Ouganda.

Des cas de tracasseries de pêcheurs par les forces navales ougandaises sont aussi signalés.

Jean Bosco Ngamubiem Essese rappelle la saisie des poissons et du matériel de pêche des pêcheurs congolais par les agents de Beach Management Unity, l’Unité de Gestion de Beach ougandais, entre autres, à Kolokoto, Kakoko et Awe.

Le chargé de la surveillance de pêche sur le lac Albert, coté congolais, et le commandant de la force navale congolaise à Mahagi-port, à 54 Km à l’est de la cité de Mahagi, confirment ces informations.

La prochaine rencontre entre les autorités ougandaises et congolaises intervient dans cinq jours.

Actualité Le PGR prime ce vendredi les magistrats chevronnés

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Crée LE 25-10-2014  - 01H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE SAMEDI   le 25-10-2014 - 10H00 PAR : ARTV NEWS


Le PGR prime ce vendredi les magistrats chevronnés

Chose promise, chose du. Le Procureur général de la République, Flory Kabange Numbi, vient de concrétiser sa promesse de primer les magistrats RD-congolais appliqués. Sauf modification de programme, ce vendredi 24 octobre 2014 seront connus les noms de lauréats de cette prime d’excellence. Selon des sources autorisées, le choix des lauréats a été effectué par un jury animé de beaucoup plus d’objectivité.

Refusant d’être juge et partie, le PGR a confié le jury à des observateurs indépendants : les gouverneurs de provinces, les barreaux des Cours d’appel du pays. Des journalistes et des hommes de l’Eglise ont aussi été impliqués dans le choix des lauréats. Cette cérémonie d’octroi de la prime d’excellence coïncide avec la 9ème Conférence annuelle de l’Assemblée des procureurs d’Afriques –APA- qui se clôture à Kinshasa ce même vendredi. Selon le Parquet général de la République, la tenue de cette conférence au pays constitue une preuve qu’en RD-Congo, il existe aussi des magistrats du Ministère public compétents qui disent la loi professionnalisme.

A l’en croire, dans le cadre de l’OHADA, l’Afrique peut aussi compter sur la justice RD-congolaise du fait qu’il y a des magistrats capables de concourir à la sécurité juridique et judiciaire. Ces assises de Kinshasa ont connu une trentaine de participants venus de différents pays d’Afrique.

Le prix est ouvert aux magistrats du Ministère public, hormis ceux du Parquet général de la République. Une grande première. Une innovation signée Flory Kabange Numbi qui a décidé d’amener les magistrats à donner le meilleur d’eux-mêmes dans la dynamique actuelle. Selon des sources concordantes, ce vendredi 24 octobre 2014, les noms seront rendus publics. L’objectif, pour le PGR Kabange Numbi, est de récompenser des magistrats chevronnés contrairement aux idées répandus. Ceci dans le but de susciter l’émulation. Pour figurer parmi les lauréats, les magistrats doivent avoir fait grande impression et séduit dans la lutte contre la corruption, la lutte contre les violences faites à la femme et le soutien de l’action publique avec zèle et efficacité. Pour garantir la neutralité et l’impartialité, les nominés ont été désignés par les gouvernements provinciaux, les différents barreaux et la Société civile, a précisé une source proche de l’organisation, ajoutant que chaque province a droit à 3nominés. Des journalistes et des hommes d’Eglises ont aussi été impliqués dans le choix des lauréats.

Le choix de la date du 24 octobre 2014 n’est pas fortuit. Il coïncide avec la clôture des assises à Kinshasa, de l’Association des procureurs d’Afrique –APA- que la RD-Congo a eu l’honneur d’abriter du 21 au 24 octobre 2014.

Pour le PGR, la tenue de cette conférence au pays constitue une preuve qu’en RD-Congo, il existe aussi des magistrats du Ministère public compétents qui disent la loi avec professionnalisme.

A l’en croire, dans le cadre de l’OHADA, l’Afrique peut aussi compter sur la justice RD-congolaise dans la mesure où il y a des magistrats capables de concourir à la sécurité juridique et judiciaire. Ces assises de Kinshasa ont connu une trentaine de participants venus de différents pays d’Afrique.

Tino MABADA


Actualité 4ème Jeux RD-Congolais : Barthelemy Okito confirme la tenue des Jeux RD-congolais pour 2015

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Crée LE 25-10-2014  - 01H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE SAMEDI   le 25-10-2014 - 10H00 PAR : AFRICA NEWS


                          4ème Jeux RD-Congolais : Barthelemy Okito confirme la tenue des Jeux RD-congolais pour 2015

Le ministère des Sports et loisirs organise en 2015, la 4ème édition des Jeux RD-congolais. L’annonce a été faite par Barthélemy Okito, Secrétaire général aux sports et loisirs. Ce grand rendez-vous du sport RD-congolais vise à détecter les meilleurs talents dans toutes les disciplines sportives. Cout de jeux : USD 2 millions.

 

Le Secrétaire général aux sports et loisirs, Barthélemy Okito, a annoncé à AfricaNews la tenue en 2015, de la 4ème édition des Jeux RD-congolais. « Ces jeux seront organisés dans le souci de détecter les talents disséminés à travers le pays dans différentes disciplines sportives », a-t-il expliqué.

Egalement, ils seront une occasion pour ces sportifs de laisser éclater leurs talents en vue de servir les couleurs nationales dans les grands rendez-vous sportifs mondiaux. Le premier draft de ces jeux accueillera 13 disciplines sportives. Parmi elles, l’athlétisme, le basketball, la boxe, le cyclisme, le football, le hand-ball, le judo, le karaté-do, lawn-tennis, les luttes associées, la natation, le taekwondo et le volley-ball.

Un vrai carrefour sportif.

Financés à hauteur de 2 millions dollar américain par le gouvernement, les jeux s’étendront dans une période de 10 jours et se tiendront dans plusieurs sites : le stade Tata Raphaël de Matonge, le Stade Vélodrome de Kintambo et probablement le stade des Martyrs. Ce dernier ne pourra être utilisé qu’après la fin de travaux de réhabilitation, qui prendront effectivement fin en juillet 2015. Comme prévu dans les plans des ingénieurs chinois qui exécutent les travaux. « Toutefois, si besoin il y a, l’on fera recours à d’autres stades de la capitale RD-congolaise pour suppléer à celles déjà qualifiées », confirme le SG Barthélemy.

Au total 850 athlètes sont attendus pour prendre part à ces jeux. La délégation de chaque province devra être composée des officiels des provinces –gouverneur de province, ministre provincial en charge des Sports et le chef de division provinciale des sports et loisirs-, des journalistes, médecins, arbitres, délégués des ligues provinciales, entraineurs et athlètes.

 

Un moment favorable pour les sportifs RD-congolais de montrer leurs potentialités au vue et su de toutes ces autorités sportives et du public. Ces jeux seront un coup de pousse important pour accompagner les sportifs de cette grande nation sportive en Afrique qui sont en perte de vitesse et en baisse de niveau, faute des compétitions sérieuses et de haut niveau. Depuis un temps, dans les grandes compétitions continentales et internationales, la RD-Congo ne fait que piètre figure.

Avec un budget acceptable, il y a lieu de s’attendre à une organisation professionnelle digne d’un pays aussi réputé en matière de sport que la RD-congo. Une compétition capable de mettre les sportifs dans des conditions internationales des compétitions des grandes envergures. Bien avant cela, les sportifs RD-congolais devront affûter leurs armes pour défendre valablement le drapeau national lors des prochains jeux africains qui se tiendront dans la capitale verte de Brazzaville du 13 au 22 décembre 2014. Wait and see !

Guylain LUZAMBA

Actualité Ebola: des Congolais formés pour appuyer la lutte en Afrique de l’Ouest

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Crée LE 25-10-2014  - 01H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE SAMEDI   le 25-10-2014 - 10H00 PAR : ARTV NEWS

Le Dr Kabange Numbi et sa délégation visitant l’Hôpital général de référence de Wangata de Mbandaka pour s’entretenir avec les professionnels de la santé| Photo : OMS/Eugene Kabambi (Le 2/9/2014). 

Des Congolais ont reçu une formation des formateurs d’experts pour lutter contre l’épidémie d’Ebola en Afrique de l’Ouest. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) et l’Union Africaine (UA) demandent au gouvernement congolais d’apporter son expertise dans la gestion du virus à Ebola dans cette partie du continent. Environ 300 Congolais seront ainsi déployés dans 4 pays africains avec pour mission de stopper cette épidémie.

Selon le docteur Kebela Ilunga de la Direction de lutte contre les maladies au ministère de la Santé publique, il s’agit d’exporter l’expérience congolaise à travers l’Afrique. A l’heure actuelle, le cap de 5000 morts a été franchi dans l’Afrique de l’Ouest.

Lire aussi: Ebola: des experts congolais recrutés pour l’Afrique de l’Ouest

«On a fait appel à notre expérience. Et nous avons pensé former des équipes de 30 personnes qui peuvent aller pour aider les pays amis dans la gestion de cette épidémie», a-t-il expliqué.

Selon le docteur Kebela Ilunga, ces jeunes sont également formés pour servir à l’intérieur de leur pays :

«Je crois que, pour rappel, c’est la 7e épidémie d’Ebola que notre pays connaît. Cet atelier reste un début du processus pour arriver à avoir des acteurs compétents qui peuvent aller en Afrique, et même ici chez nous, pour gérer l’épidémie».

La première étape de cette formation a consisté à former des formateurs.

La semaine prochaine, ces formateurs descendront sur le terrain pour former d’autres acteurs.

 

BURKINA: RENFORT DE POIDS POUR COMPAORÉ POUR LA MODIFICATION DE LA CONSTITUTION

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Crée LE 25-10-2014  - 01H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE SAMEDI   le 25-10-2014 - 23H00 PAR : ARTV NEWS

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Le président du Burkina Blaise Compaoré et son épouse le 5 août 2014 à Washington | AFP/Archives | Brendan Smialowski

Le troisième parti politique du Burkina Faso a annoncé samedi qu'il voterait la semaine prochaine le projet de loi controversé visant à modifier la Constitution pour permettre au président Blaise Compaoré d'être candidat en 2015.

Le ralliement des voix de l'Alliance pour la démocratie et le progrès/Rassemblement démocratique africain (ADF/RDA) à celles de la majorité permettrait de modifier la Constitution sans passer par un référendum.

"Au nom de la paix et de la démocratie, le secrétariat exécutif national (...) a décidé, à l'unanimité, d'appeler les députés du groupe parlementaire ADF/RDA à soutenir le compromis trouvé au sein de la majorité", a déclaré Gilbert Noël Ouédraogo, le président du parti, après une réunion du bureau politique.

L'Assemblée nationale examinera le jeudi 30 octobre un projet de loi gouvernemental très controversé, visant à réviser l'article 37 de la Constitution, pour faire passer de deux à trois le nombre maximum de quinquennats présidentiels.

Blaise Compaoré, arrivé au pouvoir en 1987 par un coup d'Etat, achèvera en 2015 son deuxième quinquennat (2005-2015) après avoir effectué deux septennats (1992-2005).

Si le projet de loi est adopté à la majorité qualifiée, soit par au moins 96 députés sur 127, le texte entrera directement en vigueur. S'il passe à la majorité simple (entre 64 et 95 parlementaires), un référendum sera convoqué.

Entre les 70 députés du Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP, parti présidentiel), les dix parlementaires du groupe CFR (Convention des forces républicaines, majorité) et les 18 de l'ADF/RDA, les tenants de la révision constitutionnelle devraient donc l'emporter par 98 voix, s'ils font le plein.

"Avec ce ralliement, c'est plié, l'article 37 sera modifié par le Parlement. Le projet du gouvernement sera adopté haut la main. On n'aura plus besoin de faire un référendum", a réagi le juriste Abdoul Karim Sango, un proche de l'opposition membre de la Commission électorale nationale indépendante (Céni).

L'ADF/RDA a "certainement marchandé" son vote par "des portefeuilles ministériels et des espèces sonnantes et trébuchantes", a-t-il accusé.

La volonté de M. Compaoré de se maintenir au pouvoir après 27 ans de règne suscite l'hostilité de l'opposition, d'une grande partie de la société civile et de nombreux jeunes de ce pays où plus de 60% des 17 millions d'habitants ont moins de 25 ans.

L'opposition a appelé le peuple à bloquer le Parlement jeudi, pour empêcher le vote du projet de loi.

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LA "JOURNÉE DU MANUSCRIT" À DAKAR POUR SA PREMIÈRE ÉDITION EN AFRIQUE

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Ousmane Cissokho (g), un étudiant et auteur sénégalais de 20 ans, rencontre le ministre ivoirien de la Culture Maurice Bandaman lors de la "Journée du manuscrit" le 24 octobre 2014 à Dakar | AFP | Seyllou

La "Journée du manuscrit", lancée en 2013 en France par des éditeurs en ligne pour "démocratiser le livre", s'est tenue vendredi soir à Dakar, marquant sa première célébration en Afrique, a constaté une journaliste de l'AFP.

"Après le succès de la Journée du manuscrit en 2013 en France, on a souhaité" sortir de ce pays "pour célébrer les écrivains de langue française qui ne sont pas tous basés en France", d'où le choix du Sénégal, "berceau historique de la Francophonie", a affirmé à l'AFP Benoît Mojon, un des responsables des Editions du Net, plate-forme française d'édition en ligne qui co-organise la Journée du manuscrit. 

Selon les organisateurs, 436 livres ont été édités en 2013 grâce à cette initiative "inspirée par la Fête de la musique qui permet à tous les musiciens de jouer" et voulant donner l'occasion "à tous les auteurs d'éditer gratuitement leur livre". 

L'objectif est de "démocratiser le livre" à travers "de nouvelles plates-formes d'édition, les plates-formes numériques, qui permettent d'effectuer un petit tirage" en version papier et sous format électronique en réduisant les intermédiaires et les obstacles entre auteurs et lecteurs, a précisé Mawa-Kiese Mawawa, des Editions Paari, également membre de l'organisation. 

Au total, plus de 300 manuscrits présentés par des auteurs originaires de France et 60 par des auteurs issus d'une dizaine de pays francophones ont été imprimés à l'occasion de la manifestation, a indiqué M. Mojon. 

Dix des auteurs ont reçu vendredi soir un exemplaire de leur livre, "qui sera disponible dès (samedi) à Dakar et peuvent être commandés depuis n'importe où dans le monde" à travers le site des Editions du Net, a-t-il précisé. 

Parmi eux, figure Ousmane Cissokho, un étudiant sénégalais de 20 ans, qui avait soumis cinq projets de manuscrits. Il s'est dit "chanceux" et "soulagé" d'avoir obtenu qu'"au moins un de (ses) livres" soit disponible en librairie dans son pays. "Quand on est jeune, on ne trouve pas facilement un éditeur".

Cette première édition africaine, baptisée "Journée du manuscrit-Francophonie", a eu pour parrain l'écrivain et ministre ivoirien de la Culture Maurice Bandaman, qui a fait le déplacement à Dakar.

"Un livre publié à Dakar, quel que soit son succès, mettra du temps à être à Abidjan, Bamako, Alger. (...) C'est le même scénario partout sur le continent", a-t-il affirmé lors de la cérémonie.

Le livre numérique "permet de vaincre l'obstacle de l'éloignement et de la distance. (...) Nous militons pour que, en Afrique, nos éditeurs s'engagent sur cette voie", a-t-il déclaré.

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OUGANDA: UNE FEMME CONTRE DES VACHES, LA DOT ALIMENTE LES VIOLENCES CONJUGALES

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Crée LE 25-10-2014  - 01H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE SAMEDI   le 25-10-2014 - 23H00 PAR : ARTV NEWS

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Rose Akurut (c), 26 ans, assise devant la maison de son père après avoir été chassée par son mari qui réclame à ses parents le remboursement de sa dot, le 25 septembre 2014 à Bukedea, en Ouganda | AFP | Isaac Kasamani

Pour pouvoir l'épouser, le fiancé de Rose Akurut a, comme il est d'usage en Ouganda, payé à la famille de sa promise une forte dot: bétail et argent liquide. Une coutume devenue un tribut ruineux qui transforme les femmes en bien et favorise la violence conjugale.

Six mois après leur mariage, le mari de Rose Akurut a commencé à la battre régulièrement, au point de provoquer des saignements d'oreilles et des séquelles irréversibles. Tout en la frappant, il hurlait "Mes vaches!", raconte-t-elle.

"Je pensais alors qu'il fallait que je supporte ça, parce qu'après tout la dot avait été payée. Mais cela a atteint un niveau que je ne pouvais plus endurer", se souvient la jeune femme de 26 ans, qui a finalement fui chez ses parents, avec ses trois filles et ses deux fils, dans la région de Bukedea, à environ 250 km à l'est de Kampala.

La mère de Rose, Anna Amiti, 50 ans, l'admet: si elle s'est réjouie des fiançailles de sa fille, c'est notamment en raison de la dot. "J'étais très heureuse. J'allais en tirer avantage, des vaches allaient arriver", explique-t-elle.

Les parents de Rose Akurut ont réclamé au fiancé six vaches, quatre chèvres et 400.000 shillings ougandais (environ 120 euros) pour la main de leur fille.

"Nous lui avons dit +montre-nous que tu es capable de prendre soin d'elle+", se justifie le père de Rose, John Okodel, 66 ans, qui se rappelle avoir donné neuf vaches pour obtenir la main d'Anna.

Après négociation, la dot de Rose a été ramenée à six vaches, quatre chèvres et 200.000 shillings. Une vache vaut des centaines de dollars et une chèvre plusieurs dizaines, une petite fortune dans un pays où le salaire mensuel moyen dans les zones rurales est d'environ 60 euros.

 

- Coutume ancrée -

 

Ouganda: une femme contre des vaches, la dot alimente les violences conjugalesEn Ouganda, comme dans beaucoup de pays africains, la coutume est fortement ancrée, et même obligatoire dans certains communautés. Son montant varie en fonction des groupes, mais aussi de facteurs tels que le statut social du futur époux ou la "valeur" attachée à la promise, selon qu'elle est vierge ou non notamment.

La validité du mariage est souvent conditionnée au paiement de la dot et dans certaines communautés, le divorce est impossible si elle n'est pas restituée.

Ces dernières années, cette tradition a transformé le mariage en "commerce", contraignant au mariage des fillettes de 14 ans, "piégeant" les femmes dans des relations violentes et plongeant les hommes dans des difficultés financières, selon Mifumi, une organisation locale de défense des femmes.

"Les gens font du mariage un commerce, privent leurs enfants d'école et arrangent des mariages précoces parce qu'ils en retirent quelque chose", estime Dina Atim, une responsable de Mifumi. Dans l'autre sens, la dot encourage les maris à considérer leur épouse comme un bien et "contribue à la violence" domestique, poursuit-elle.

Selon une étude commandée par Mifumi, 84% des Ougandais établissent un lien direct entre violence conjugale et dot.

L'organisation a été en contact avec plusieurs femmes, considérées par leur mari "comme leur propriété au nom de la coutume" et ne pouvant échapper à un mariage violent car incapables de rembourser la dot, selon Dina Atim.

De nombreuses victimes ont trop peur pour se plaindre aux autorités et quand elles le font, il est rare que des mesures soient prises, poursuit-elle.

 

- La justice saisie -

 

En 2007, Mifumi a contesté en justice la constitutionnalité de cette pratique, réclamant qu'elle ne puisse être une condition à la validité du mariage et que son remboursement ne soit pas une condition au divorce.

En 2010, la Cour constitutionnelle a rejeté les arguments de Mifumi. "Il est vrai que la dot joue, dans certains cas, un rôle dans les violences domestiques et dans le fait que les femmes soient traitées de façon inférieure, mais cela ne justifie pas que la Cour prononce une interdiction globale de la pratique", ont estimé les juges.

Mifumi a fait appel de cet arrêt devant la Cour suprême et attend sa décision.

Lentement, les mentalités évoluent. En juin, le département de Butaleja, dans l'est du pays, a adopté une règlementation réprimant le fait d'exiger le paiement et le remboursement d'une dot.

En 2008, le département de Tororo avait remplacé une ancienne réglementation prévoyant le paiement d'une dot par une autre stipulant que seuls des "cadeaux" peuvent être offerts sur une base volontaire, interdisant leur restitution en cas de divorce.

Mais la dot reste profondément "ancrée culturellement", admet Dina Atim.

Assise avec ses enfants, devant la hutte de ses parents, Rose Akurut continue de se sentir coupable. "Je suis doublement un fardeau", dit-elle. Ses parents ont, de mauvaise grâce, remboursé ce qu'ils pouvaient de la dot et doivent désormais subvenir à ses besoins et à ceux de ses enfants.

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Actualité Florent Ibenge: «On est investi d’une mission de la population toute entière»

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Crée LE 26-10-2014  - 01H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE DIMANCHE   le 26-10-2014 - 09H00 PAR : ARTV NEWS

 
 
 

Florent Ibenge, entraineur de l’As. Vita club de Kinshasa, le 18/05/2014 au stade Tata Raphael. Radio Okapi/Ph. John Bompengo

La finale aller de la ligue des champions de la Caf doit se jouer dimanche 26 octobre au stade Tata Raphael de Kinshasa entre l’As V. Club de la RDC et l’ES Sétif d’Algérie. Florent Ibenge, l’entraineur de V. Club, dit préparer ce rendez-vous dans la sérénité. «Mais le fait de se trouver à ce niveau de la compétition continentale, dépasse le cadre de notre vie habituelle. Là, on est investi d’une mission de la population toute entière», a-t-il affirmé.

A l’issue de sa rencontre vendredi avec le Premier ministre, Florent Ibenge s’est dit serein:

«Nous sommes sereins. On prépare le match comme on le fait d’habitude, sans trop se mettre la pression et pouvoir se libérer et garder toute notre énergie pour ce match de dimanche

Mais, a-t-il fait remarquer, le fait pour V.Club de se trouver à ce niveau de la compétition continentale dépasse son cadre de vie habituelle.

«Là, on est investi d’une mission de la population toute entière. A travers le gouvernement et le président de la République; derrière eux, c’est tout le peuple. Donc, ça donne des responsabilités  supplémentaires», a estimé l’entraîneur des Verts et Noirs au micro de la RTNC.

Il a toutefois promis de travailler «pour renverser la montagne qui se trouve devant nous

Relire aussi: Caf-C1: Entente sportive Sétif est à Kinshasa

En RDC, presque tout le monde ne jure que par la victoire des Verts et noirs. «Nous vous accompagnons, le chef de l’Etat Joseph Kabila en premier, pour que le trophée continental puisse revenir à la RDC», a déclaré Augustin Matata Ponyo aux dirigeants, membres du staff technique et joueurs de l’AS V.Club, qu’il recevait dans son cabinet.

Ça gouge à Kinshasa

La mobilisation et l’engouement sont perceptibles partout à Kinshasa. Le gouvernement provincial, avec quelques sponsors, offre de son côté une intense campagne de soutien à l’équipe congolaise finaliste de la Ligue des champions de la caf 2014

De grandes affiches, flanquées de portraits de Florent Ibenge et de quelques joueurs de V.Club, décorent depuis 48 heures le boulevard du 30 juin, depuis Kintambo Magasins jusqu’à la Place de la Gare.

Un seul slogan inscrit sur ces affiches: «To kolonga [Nous vaincrons]».

A d’autres endroits de grande affluence, tout se beigne en vert et noir. C’est le cas notamment de la place Kintambo Magasins, au rond point Huilerie et  au Rond Point Ngaba, où flottent beaucoup de drapeaux de l’As V.Club.

La Place Victoire, où se vendent les billets d’accès au stade, est envahie par une marée humaine. Les billets se vendent comme de petits pains, chacun voulant prendre place au stade Tata Raphael ce dimanche.

Actualité Caf-C1: le gouvernement congolais mobilise la population derrière l’As V.Club

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Crée LE 26-10-2014  - 01H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE DIMANCHE   le 26-10-2014 - 09H00 PAR : ARTV NEWS

 
 
Des supporteurs de l’ As Vita Club de la RDC le 21/09/2014 au stade Tata Raphaël à Kinshasa célébrant la victoire, lors du match de la demi-finale aller de la ligue des champions de la Caf contre CS Sfaxien de la Tunisie, score : 2-1. Radio Okapi/Ph. John Bompengo

A la veille du match de finale aller de la Ligue de champions de la Caf entre V.club et Sétif, le gouvernement congolais demande à toute la population de se mobiliser derrière l’équipe de Kinshasa. « Tous derrière Vita Club ce dimanche au stade Tata Raphael, parce que la victoire de Vita Club c’est la victoire de tout le peuple congolais », a lancé le porte-parole du gouvernement, Lambert Mende.

Intervenant samedi 25 octobre sur la télévision publique, il a déclaré:

«Vita Club va porter les couleurs de la RDC ce dimanche face l’équipe algérienne. Et nous devons tous, indistinctement quelles que soient les différentes chapelles auxquelles nous pouvons appartenir, nous aligner dernière Vita Club, parce que c’est la seule équipe qui va défrayer au nom de la République démocratique du Congo.»

Il a demandé à l’ensemble de la population congolaise de suivre l’exemple du Gouvernement en apportant tout son appui à V.Club.

Pour Mende, le patriotisme commande à tous les Congolais de supporter leur club.

« C’est ça l’amour de la patrie, telle qu’il devra s’exprimer ce dimanche, parce que la victoire de Vita Club c’est la victoire de tout le peuple congolais. Et c’est la grandeur du Congo, un pays débout qui va à nouveau se manifester pour notre fierté à tous», a-t-il estimé.  

Déjà vendredi, le Premier ministre Matata Ponyo avait exprimé le soutien du chef de l’Etat Joseph Kabila et du Gouvernement aux dirigeants, membres du staff technique et joueurs de l’AS V.Club, qu’il recevait dans son cabinet.​

V.club reçoit ce dimanche 26 octobre 2014 l’Entente sportive de Sétif en match aller de la finale de la Ligue de champions de la Caf. Les Congolais tenteront de faire un bon résultat à domicile avant le déplacement en Algérie où se jouera la finale retour.


Actualité Tueries de Beni: Richard Muyej annonce l’arrestation de quelques suspects

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Crée LE 26-10-2014  - 01H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE DIMANCHE   le 26-10-2014 - 09H00 PAR : ARTV NEWS

 
 
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Richard Muyej, Ministère de l’Intérieur, Sécurité, Décentralisation et Affaires coutumières de la RDC le 25/02/2014 à Kinshasa, lors d’une conférence de presse. Radio Okapi/Ph. John Bompengo

Le ministre de l’intérieur, Richard Muyej, a annoncé samedi 25 octobre à Beni l’arrestation des présumés auteurs de la mort de 84 civils dans cette ville et territoire du même nom. Selon lui, le Gouvernement n’est pas opposé à une enquête internationale pour connaître les vrais auteurs de ces tueries perpétrées en l’espace d’un mois dans cette partie de l’Est de la RDC. 

«L’enquête se fait parce que nous avons arrêté quelques suspects et je ne veux pas vous dire combien sont-ils. Et ils sont en train d’être interrogés», a indiqué le ministre de l’Intérieur.

Cette annonce intervient quelques heures après la déclaration samedi matin du président du RCD KML, Mbusa Nyamwisi, selon laquelle ces tueries étaient l’œuvre des rebelles ougandais des ADF, en complicité avec le responsable des FARDC à Beni.

«Je suis en train de sourire quand j’entends des personnes parler sur des chaînes périphériques, parce que je constate qu’ils suivent de près la situation. Et beaucoup d’entre eux savent ce qui se passe exactement», a réagi le ministre Muyej.

A propos d’une enquête internationale réclamée par l’opposant Mbusa Nyamwisi, le ministre Muyej a réagi:

«J’ai appris qu’il y a des gens qui demandent une enquête internationale. Je ne m’oppose pas à cette idée surtout que les renseignants commencent à être identifiés, il y en a un qui a dit qu’il était fortement informé. Et je suis heureux que les enquêteurs puissent avoir une tâche facile

Pour lui, l’objectif de l’ennemi en perpétrant ces tueries était de dresser la population contre ses dirigeants, de séparer la population de son armée. «Malheureusement, mes frères et sœurs de Beni sont très aguerris, ils sont très lucides», a estimé M. Muyej.

Il a fait cette annonce à partir de Beni-ville où il conduit, depuis quelques jours, une délégation gouvernementale dépêchée sur place à la suite de ces tueries attribuées aux rebelles des ADF dans cette zone.

Actualité Mali : trois casques bleus sénégalais blessés lors d'une attaque à Kidal

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                                                                             Résultat de recherche d'images pour "mali"


Trois casques bleus sénégalais ont été blessés samedi, dont deux gravement, lors d'une attaque terroriste à l'engin explosif samedi à Kidal, dans le nord du Mali, annonce un communiqué officiel.

L'explosion a eu lieu à 12 km au sud-ouest de la ville de Kidal, sur la route liant la ville à Anéfis, lors du passage d'un convoi des forces de maintien de la paix de l'ONU au Mali (MINUSMA) transportant de l'eau, indique le texte.

"Les deux blessés graves seront transférés aujourd'hui (samedi) à Dakar pour traitement médical", précise le communiqué.

La MINUSMA a déclaré condamner avec fermeté cette attaque contre les soldats de la paix.

"Les responsables de ces crimes odieux et totalement injustifiables doivent savoir qu'ils répondront de leurs actes", a souligné M. David Gressly, représentant spécial adjoint du secrétaire général des Nations Unies au Mali et officier en charge de la MINUSMA.

En 16 mois, la MINUSMA a enregistré 30 morts et 65 blessés au nord du Mali, selon un bilan officiel établi début octobre.

M. Gressly a réitéré la détermination de la MINUSMA à "s' acquitter de son mandat en soutien au Mali et à son peuple dans leur quête d'une paix, stabilité et réconciliation durables", conclut le texte.

 

Actualité Des opposants burkinabè manifesteront à Abidjan contre la modification de la Constitution

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Des opposants et acteurs de la société civile du Burkina Faso résidant en Côte d'Ivoire ont annoncé samedi à Abidjan une série de manifestations dans les prochains jours à Abidjan, pour protester contre le projet de modification de la Constitution dans leur pays.

Le porte-parole de la coalition de représentants de l'opposition politique et de la société civile du Burkina Faso en Côte d'Ivoire, dénommée N 23, Pograwa Moumouni, a indiqué lors d'une conférence de presse qu'il s'agira de "manifestations pacifiques de protestation sans entraver aux libertés d'autrui", mais conformément au droit constitutionnel de leur pays.

"Les manifestations de protestation se dérouleront à partir du 8 novembre au sein de notre ambassade et consulat", a noté M. Moumouni.

A en croire le porte-parole du N 23, il s'agit de contribuer à éviter au Burkina Faso de sombrer dans une grave crise sociopolitique.

Le 21 octobre dernier, le président burkinabè Blaise Compaoré a signé un "décret portant projet de loi portant modification de l'article 37 qui limite le mandat du président de la République".

En cas d'adoption par l'Assemblée nationale, cette loi conduira à la tenue d'un référendum pour son adoption définitive.

Actualité Bénin : le gouvernement appelé à organiser à bonne date les prochaines consultations électorales

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Des partis d'opposition, notamment l'Union fait la Nation, des membres de la Société civile et des dissidents de la majorité au pouvoir, envisagent d' organiser une grande marche de protestation mercredi prochain à Cotonou, pour exiger l'organisation à bonne date des prochaines consultations électorales, annonce un communiqué publié samedi à Cotonou.

Il s'agit notamment des élections municipales, communales et locales prévues avant décembre 2014, des législatives de mars 2015 et des présidentielles de mars 2016.

Selon le même communiqué, les élections des conseillers municipaux, communaux et locaux dont les mandats sont arrivés à échéance depuis juin 2013 ont été reportées sine die, en raison de non disponibilité de la Liste électorale permanente et informatisée (LEPI), la seule forme de liste électorale valable pour tout scrutin au Bénin selon la Cour Constitutionnelle.

Ainsi, souligne cette même source, le Conseil d'orientation et de supervision de cette liste électorale, installé depuis le 1er mai 2013 pour procéder à la correction de cette LEPI est aujourd'hui confronté à des difficultés d'ordre financier, technique et organisationnel qui suscitent un doute épais et légitime quant à sa capacité à rendre effectivement disponible la LEPI.

"Tous ces problèmes et questionnements ainsi que les récentes contradictions entre institutions et entre membres de l'exécutif amènent à se préoccuper légitimement de l'issue du processus en cours et partant, de l'organisation effective des élections à venir dans les délais requis et dans les conditions de transparence et de paix souhaitées", indique la même source.

Actualité Julien Paluku invite la population à se méfier de l’intox des ADF contre la Monusco

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Crée LE 27-10-2014  - 01H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE LUNDI   le 27-10-2014 - 09H00 PAR : ARTV NEWS

 
 
 
Julien Paluku, gouverneur du Nord-Kivu, interrogé par la presse à Goma (Photo Myriam Asmani)

Le gouverneur du Nord-Kivu, Julien Paluku estime que les rebelles ougandais des ADF et leurs instigateurs cherchent à opposer la population à l’armée et aux forces de la Mission de l’Onu pour la stabilisation en RDC (Monusco). Au cours d’un point de presse qu’il a tenu dimanche 26 octobre à Beni, il a appelé les habitants de Beni à continuer de soutenir les Forces armées de la RDC (FARDC) et casques bleus de la Monusco et à se méfier de l’intox des ADF.

Les jeunes de Beni ont violemment manifesté mercredi dernier devant le quartier général de la Monusco à Beni. Ils protestaient contre les tueries de plus de 80 personnes intervenues dans ce territoire du Nord-Kivu en ce mois d’octobre. Ces jeunes estiment que la Monusco n’agit pas suffisamment pour contrer l’insécurité dans leur territoire.

Julien Paluku voit derrière ces manifestations une intox des ADF pour empêcher l’armée et la Monusco de poursuivre l’opération de désarmement forcé qu’elles ont lancée contre eux depuis quelques mois.

Lire aussi: Richard Muyej : «Ce qui s’est passé à Beni est une humiliation pour la nation»

« L’ennemi a tente d’opposer la population à ses forces armées, la population à la Monusco parce que lorsqu’on s’en prend à la Monusco, alors qu’hier on a loué les efforts des FARDC et de la Monusco, on comprend que c’est une manière pour que la Monusco soit aussi découragée », a affirmé le gouverneur du Nord-Kivu.

Julien Paluku a rappelé que lorsque les FARDC se rendaient dans le fin fond de Médina, de Makoyova1, Makoyova2, des localités qu’occupaient les rebelles, ce sont les hélicoptères de la Monusco qui transportaient les munitions et évacuaient les blessés des zones des combats vers les hôpitaux.

« Nous pensons que l’ennemi tente de révolter la population contre la Monusco pour que le jour où les opérations vont avoir lieu, qu’effectivement ces genres de secours ne puissent plus avoir lieu de la part de la Monusco. Et qu’ainsi les militaires blessés sur la ligne de front puissent voir leurs jambes pourrir dans la forêt. L’ennemi n’est pas la Monusco, l’ennemi ce ne sont pas les FARDC, l’ennemi est bien connu dans la région. Ce sont les rebelles ougandais que nous devons tous neutraliser avec la dernière énergie », a conclu Julien Paluku.

 

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