La venue vendredi à l'Unesco de Paul Kagame a été marquée par deux manifestations distinctes aux abords du siège de l'organisation internationale à Paris, l'une d'opposants au président rwandais, l'autre de ses partisans.
Le président rwandais était en France pour une réunion de l'UIT (Union internationale des télécommunications) à l'Unesco (Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture), où il copréside la commission sur le haut débit.
Une quarantaine d'opposants au président rwandais, ont manifesté près du siège de l'Unesco aux cris de "Kagame criminel, Kagame assassin", et pour réclamer "la démocratie et le respect des droits de l'homme" au Rwanda, où le régime autoritaire ne laisse aucun espace de liberté à l'opposition.
"Nous sommes là parce que la place de Kagame ne peut pas être dans les instances internationales mais devant un tribunal, pour répondre de sa responsabilité dans le génocide" de 1994, a déclaré à l'AFP Marcel Sebatware, venu de Belgique avec d'autres manifestants.
Pour ce membre des Forces démocratiques unifiées, parti d'opposition dont la présidente Victoire Ingabire est en prison pour conspiration au Rwanda, Paul Kagame "est co-responsable du génocide parce que c'est lui qui a commandé l'attentat contre l'avion de Juvénal Habyarimana", l'ex-président rwandais dont la mort a déclenché le massacre des Tutsis.
Cette thèse attribuant l'attentat au Front patriotique rwandais de Paul Kagame n'a pas été confirmée par l'enquête de la justice française, selon laquelle le missile qui a abattu l'avion avait été tiré d'un camp tenu par la garde présidentielle rwandaise.
A quelques centaines de mètres de là, 70 à 80 personnes, certaines venues de Belgique ou des Pays-Bas, ont manifesté pour souhaiter la bienvenue à Paul Kagame, brandissant des pancartes avec "Rwanda knows its own history" (le Rwanda connaît son histoire) ou "au Rwanda aujourd'hui c'est la fraternité et la résilience".
Aucune rencontre du président rwandais avec les autorités françaises n'était prévue à l'occasion de son déplacement à Paris.
Paul Kagame accuse la France de complicité dans le génocide de 1994, reprochant à Paris d'avoir soutenu le gouvernement extrémiste hutu qui avait déclenché les tueries.
Paris a plusieurs fois rejeté ces accusations, assurant que les forces françaises n'avaient fait qu'oeuvrer à la protection des populations civiles.
RWANDA: MANIFS PRO ET ANTI KAGAME À PARIS POUR SA VENUE À L'UNESCO
RWANDA: MANIFS PRO ET ANTI KAGAME À PARIS POUR SA VENUE À L'UNESCO - Afrique Rédaction,...
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RWANDA: MANIFS PRO ET ANTI KAGAME À PARIS POUR SA...
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February 27, 2015
RDC: LA CPI CONFIRME L'ACQUITTEMENT D'UN ANCIEN...
RDC: LA CPI CONFIRME L'ACQUITTEMENT D'UN ANCIEN MILICIEN CONGOLAIS
La Cour pénale internationale (CPI) a confirmé vendredi en appel l'acquittement du Congolais Mathieu Ngudjolo Chui, qui était accusé d'avoir dirigé une attaque contre un village de République démocratique du Congo (RDC) en 2003 ayant fait plus de 200 morts.
"La chambre d'appel, à la majorité, confirme le jugement d'acquittement et rejette l'appel" du procureur, a déclaré à La Haye (Pays-Bas), où siège la cour, la juge Sanji Mmasenono Monageng lors de la lecture de l'arrêt d'appel.
Mathieu Ngudjolo Chui, 44 ans, avait été acquitté en décembre 2012, faute de preuves. Les juges avaient alors estimé que les trois témoins clés de l'accusation n'étaient pas crédibles et que les preuves rassemblées par l'accusation ne permettaient pas d'établir sa culpabilité.
Les juges de la chambre d'appel ont estimé que leurs collègues de première instance avaient commis quelques erreurs lors du procès, en refusant au procureur l'accès à l'ensemble des enregistrements de conversations avec Mathieu Ngudjolo Chui au centre de détention.
Les juges auraient également dû permettre au témoin P250 d'expliquer ses incohérences suite à des soupçons d'intimidations, ont-ils estimé.
Mais ces décisions n'ont pas eu d'effet "substantiel" sur le jugement d'acquittement, a précisé Mme Mmasenono Monageng et ne sont donc pas suffisantes pour changer la décision de première instance.
Ancien dirigeant présumé du Front des nationalistes et intégrationnistes (FNI), une milice congolaise, Mathieu Ngudjolo était accusé d'avoir voulu "effacer totalement" la population du village de Bogoro, dans la région de l'Ituri (nord-est de la RDC).
Selon l'accusation, des combattants des ethnies Lendu et Ngiti du FNI, avec des hommes de la Force de résistance patriotique en Ituri (FRPI), une autre milice, avaient attaqué le village fin février 2003, tuant plus de 200 civils.
- 'A côté de la vérité' -
Mathieu Ngudjolo Chui séjourne actuellement aux Pays-Bas, où il attend la décision sur sa demande d'asile.
Pour l'Association congolaise pour le respect des droits humains (ACRDH), basée à Kisangani, capitale de la province Orientale, Mathieu Ngudjolo Chui ne doit pas rentrer au pays immédiatement.
"La crainte est qu'il reprenne son activité de milicien, car c'est ce qu'il a toujours fait", a déclaré Junior Safari, directeur exécutif de l'association.
Il a appelé le gouvernement congolais à prendre des mesures de sécurité afin de protéger la population civile: "la crainte est qu'avec cet acquittement, il y ait une explosion de joie qui se traduise par une guerre civile entre les communautés".
L'avocat des victimes, Fidel Luvengika Nsita, s'est dit très déçu du jugement: "ceci ouvre de nouveau un moment de deuil pour les victimes, et c'est dommage, surtout quand on arrive à ce jugement à cause de détails techniques juridiques et que l'on passe à côté de la vérité".
Les affrontements interethniques entre milices qui se disputaient les terres de cette région riche en ressources naturelles, dont l'or et le pétrole, avaient débuté en 1999 et ont, selon l'accusation, "dévasté" la zone. D'après les ONG, ces violences ont fait plus de 60.000 morts.
Le procès de M. Ngudjolo s'était tenu en commun avec celui d'un chef de milice présumé des FRPI, son allié à Bogoro, mais les affaires avaient été disjointes par la suite.
Cet autre chef de milice, Germain Katanga, avait été condamné en 2014 à 12 ans de prison pour complicité de crimes de guerre et de crimes contre l'humanité.
Il s'agit du premier arrêt de la CPI - le premier tribunal pénal international permanent chargé de poursuivre les auteurs présumés de génocide, crimes contre l'humanité et crimes de guerre - sur un appel interjeté par le procureur après un jugement.
Facebook et YouTube restent bloqués en RDC
Bien que certains aient accès à Facebook et YouTube, ces réseaux sociaux, bloqués fin janvier suite à des manifestations violentes, restent officiellement hors service en République démocratique du Congo (RDC), selon la société française de télécoms Orange.
«Comme ce sont des applications que l'on appelle ''dynamiques'', il y a de temps en temps une opportunité de connexion mais hélas les autorités maintiennent le blocage», a précisé jeudi à l'AFP Jean-Michel Garrouteigt, directeur général d'Orange en RDC.
«J'ai rencontré le président de l'ARPTC [l'organe de régulation] qui m'a dit que lui-même mais également le vice premier-ministre en charge des PTNTIC [Postes, télécommunications et Nouvelles technologies de l'information et de la communication] essayaient eux aussi d'obtenir la réouverture», a-t-il ajouté.
Du 19 au 22 janvier, des manifestations avaient éclaté, à Kinshasa en particulier, et avaient fait entre 27 et 42 morts selon les sources. Les manifestants dénonçaient un projet de loi électorale qui ouvrait la possibilité pour Joseph Kabila, au pouvoir depuis 2001, de se maintenir à son poste au-delà du terme de son mandat fin 2016, alors que la Constitution lui interdit de se représenter.
Face à la contestation populaire, Kinshasa avait ordonné aux opérateurs de couper les SMS et aussi internet pour bloquer les réseaux sociaux. Le pouvoir espérait ainsi éviter une «guerre civile», jugeant que l'usage par certains de ces réseaux mettait de «l'huile sur le feu».
L'internet fixe est revenu après deux jours de coupure. Le 7 février, les SMS, moyen le moins cher pour communiquer, ont été rétablis et, le lendemain, l'internet mobile avait repris. Le 20 février, Twitter était accessible via certains opérateurs, mais Facebook et YouTube restaient mercredi toujours hors service.
Pour contourner la coupure, des internautes, surtout accros à Facebook, ont trouvé des astuces pour masquer le numéro d'identification de leur ordinateur et ainsi se connecter librement.
Zimbabwe: Mugabe admet des erreurs dans la controversée réforme agraire
Le président zimbabwéen Robert Mugabe a admis pour la première fois des erreurs dans la très controversée réforme agraire des années 2000, marquée par l'éviction violente de milliers de fermiers blancs pour redistribuer la terre à des fermiers noirs sous-équipés et mal formés.
«Je pense que les fermes que nous avons données étaient trop grandes. Ils ne peuvent pas les gérer», a-t-il dit dans une interview enregistrée jeudi soir par la télévision nationale. «Finalement, la plupart d'entre eux ne cultivent qu'un tiers de leurs terres».
Cet aveu du vieux président, qui vient de fêter ses 91 ans, est une première, alors que le Zimbabwe est passé en dix ans du statut d'exportateur net de produits alimentaires à celui d'importateur. Le pays doit acheter du blé à la Zambie voisine et ailleurs et reçoit de l'aide alimentaire. Certaines populations rurales souffrent de disette.
À l'époque, l'expropriation forcée d'environ 4000 fermiers blancs et la redistribution des terres, souvent au bénéfice de proches du pouvoir, avaient suscité de vives critiques de l'opposition et des pays occidentaux.
Les nouveaux propriétaires ont souvent été incapables de poursuivre l'exploitation, faute de compétences et de capital pour s'équiper.
Mais Mugabe avait toujours mis les mauvaises récoltes sur le dos des changements climatiques et des sanctions européennes contre son pays, qui avaient empêché selon lui le gouvernement d'équiper les agriculteurs.
Le chef de l'État a cependant menacé les fermiers noirs de leur retirer leurs terres s'ils les sous-louaient à des agriculteurs blancs, ce qui a été parfois le cas depuis la réforme agraire.
Le syndicat zimbabwéen des agriculteurs blancs dénonce régulièrement le harcèlement de ses adhérents par des gens affirmant travailler pour le gouvernement ou par de hauts responsables de la Zanu-PF, le parti du président Mugabe, qui dirige le pays sans interruption depuis l'indépendance en 1980.
Mbuji-Mayi : la population appelée à s’impliquer dans la lutte contre l’insécurité
La police nationale appelle la population à participer dans la lutte contre l’insécurité dans la ville de Mbuji-Mayi, chef-lieu du Kasaï-Oriental. Le commissaire provincial de la police au Kasaï-Oriental, général David Masandi Lutala a lancé cet appel, vendredi 27 février, au cours de la présentation des groupes de bandits, accusés d’insécurité à Mbuji-Mayi.
Il a indiqué que ces malfaiteurs devront être transférés aux instances judiciaires compétentes pour instruction de leurs dossiers.
Le général David Masandi encourage également les habitants de Mbuji-Mayi à informer, en temps réel, la police de toute menace ou cas avérés d’insécurité.
«Le grand problème ici c’est la communication. Une fois informé, vous devez aussitôt informés la police. Avec peu de moyens que nous avons, nous serons là. On est prêt pour aider tout le monde », a-t-il indiqué.
Le commissaire provincial de la police au Kasaï-Oriental assure que Mbuji-Mayi est la première ville de la RDC, où les patrouilles mixtes police-FARDC se font chaque jour de l’année.
Le général David Masandi qualifie d’ingrats ceux, lors des cas isolés d’insécurité, estiment que la police ou l’armée ne fait rien à Mbuji-Mayi.
Il a toutefois reconnu que des problèmes de moyens, de l’agglomération, des érosions et le manque de courant entravent le travail des agents de l’ordre à Mbuji-Mayi.
«Notre souci est que les gens consomment leur sommeil sans problème », a poursuivi le général David Masandi.
Il y a une semaine où le ministre provincial de l’Intérieur et de la Sécurité du Kasaï-Oriental, Hippolyte Mutombo Mbwebwe avait appelé les médias à organiser une riposte contre l’insécurité qui va croissant dans la ville de Mbuji-Mayi.
L’une des stratégies envisagée est de doter les chaines de radio qui émettent 24 heures sur 24, de numéros verts à appeler en cas d’agression. La ville de Mbuji-Mayi est en proie au banditisme depuis le début du mois de février.
Sud-Kivu: les jeunes de Kalehe appelés à s’enrôler à la police
Les jeunes du territoire du territoire de Kalehe (Sud-Kivu) sont invités à s’enrôler volontairement à la Police nationale congolaise (PNC). Le commandant de la police de ce territoire, colonel Oscar Mulumba Belangenyi, a lancé cette invitation jeudi 26 février à Minova, lors du lancement du programme de recrutement de nouvelles unités.
Cet officier de la police nationale a indiqué que le territoire de Kalehe ne compte que deux cents policiers. Un nombre qu’il juge insuffisant étant donné que cette entité devrait compter au moins trois mille policiers.
«Nous connaissons un déficit sur le plan de l’effectif mais vue l’étendue de notre territoire, nous avons besoin de plus d’éléments pour couvrir notre juridiction. Nous avons pour l’instant très peu de policiers et ça ne nous permet pas de couvrir tous le besoins sécuritaires», a affirmé le colonel Oscar Mulumba.
Le colonel Oscar Mulumba précise que le recrutement des jeunes à la police se fait sur base des études de la haute hiérarchie :
«La hiérarchie de la police qui nous a demandé de procéder à une présélection pour que les candidats au niveau de nos entités subissent une sélection au niveau de la province avant d’être admis au centre».
Il a par ailleurs appelé les jeunes intéressés à l’enrôlement à faire preuve de discipline.
«Le service de sécurité n’est pas un endroit où, l’on vient pour se venger ou chercher des lucres. Mais on y vient parce qu’on se sent interpellé par le devoir national afin de défendre les intérêts du public d’abord et ses intérêts privés après», a souligné le commandanty de la police nationale à Kalehe.
Jeudi 26 février, le questeur-adjoint de l’Assemblée nationale, Jean Bosco Kaboy Bwivu, avait également invité les jeunes du territoire de Kalehe à se désolidariser des groupes armés.
Il a accusé des hommes armés de commettre des violences dans ce territoire en complicité avec des jeunes.
Pour le questeur adjoint de l’Assemblée nationale, le territoire de Kalehe a beaucoup souffert des conflits armés «depuis très longtemps».
MARTIN FAYULE AVEC LES MEMBRE DE L'ECIDE AU PRESS...
MARTIN FAYULE AVEC LES MEMBRE DE L'ECIDE AU PRESS CLUB CE MIDI AVEC ROGER BONGOS POUR UN ENTRETIEN EXCLUSIF. A VOIR CE SOIR SI LE TEMPS LE PERMET.
J’ai publié 63 photos sur Facebook, dans...
J’ai publié 63 photos sur Facebook, dans l’album MARTIN FAYULU AU PRESS CLUB AVEC ROGER BONGOS http://t.co/RqyBZgHaal
February 28, 2015
MARTIN FAYULU AU PRESS CLUB AVEC ROGER BONGOS | Facebook
MARTIN FAYULU AU PRESS CLUB AVEC ROGER BONGOS | Facebook
Mbandaka: des présumés kuluna créent l’insécurité dans la ville
Des bandits communément appelés Kuluna sont accusés de créer l’insécurité dans la ville de Mbandaka (Equateur). Selon la population, ces hors-la-loi opèrent avec des armes blanches et des armes à feu pour cambrioler des maisons commerciales et extorquer les biens de paisibles citoyens.
Le dernier cas de cambriolage a été enregistré, il y a quelques jours, au quartier Plateau, où plusieurs effets de valeur ont été emportés mais aussi aux quartiers Bralima et Mbandaka III.
Au quartier Bongondjo, les habitants avaient réussi à mettre la main sur un voleur qui a été copieusement molesté.
Il a fallu l’intervention de la police pour l’extraire entre les mains de la population qui voulait se faire justice, affirment des témoins.
De nombreuses victimes regrettent la libération récente de cinq kulunas sur les sept qui étaient gardés au commissariat urbain de la police.
La population de Mbandaka estime que ces malfaiteurs devaient normalement être jugés en audience foraine et condamnés avant leur transfert à Kinshasa ou au Katanga afin de purger leur peine.
A (re) Lire: Des hommes armés en uniforme sèment l’insécurité à Mbandaka
Les Mbandakais attribuent l’insécurité enregistrée dans la ville à la libération de ces kuluna par la police nationale.
Ce que rejette le procureur de la République à Mbandaka, Paulin Munene qui nie un lien entre cette libération légale et l’insécurité qui sévit actuelle dans cette ville.
«L’instruction de leurs dossiers seuls deux bandits coupables étaient restés au cachot et les autres étaient libérés faute d’infraction à leur charge», a expliqué ce haut fonctionnaire de la justice congolaise.
Fin décembre 2014, la police nationale avait mis en place un numéro vert (NDLR : Le 085 34 27 094) pour parer à la résurgence de l’insécurité au chef-lieu de la province de l’Equateur.
Trois personnes tuées par des hommes armés à Goma
Trois personnes ont été abattues et une autre blessée vendredi 27 février dans la soirée dans la ville de Goma par des hommes armés dans la commune de Karisimbi.
Les deux premières personnes tuées, un couple, ont été abattues à leur domicile à 19 heures (heure locale) au quartier Kasika. Un jeune homme de la même famille a également été blessé par balle.
Selon une source locale, quatre hommes armés se sont introduits dans la maison et ont tiré sur l’homme qui tentait de s’enfuir. Ils auraient ensuite demandé à son épouse de leur remettre 950 dollars américains qu’elle aurait perçus dans une ristourne. Les assaillants ont ensuite tiré sur la dame.
La même source précise que l’homme est mort sur-le-champ alors que son épouse a succombé à ses blessures plus tard à l’hôpital. L’homme était un conducteur de véhicule. Son épouse était cambiste.
La troisième personne tuée au cours de la même soirée est un motard tué par des hommes armés au quartier Mabanga Nord, dans la même commune de Karisimbi.
Des sources locales rapportent que le motard était visiblement poursuivi par ces hommes armés qui lui ont tiré dessus pendant qu’il roulait. Il est mort sur place.
Les corps de ces victimes se trouvent à la morgue de l’hôpital générale de Goma où s’est réunie une foule immense. La police anti-émeute a été déployée sur place.
Ces meurtres ont relancé le débat sur l’insécurité créée par des hommes armés à Goma. Certains habitants s’interrogent notamment sur l’efficacité de l’opération « Goma sans armes » lancée par les autorités provinciale depuis plus de deux mois pour mettre fin à la circulation des armes dans la ville.
Affaire Ngudjolo: «On n’aura pas de décision sur les réparations au profit des victimes», explique Patrick Tshibuyi
L’acquittement définitif du Congolais Mathieu Ngudjolo Chui à la Cour pénale internationale (CPI) n’appelle pas à une décision sur les réparations au profit des victimes. Cet ancien milicien de l’Ituri a été poursuivi pour des attaques armées menée, en février 2003, contre le village de Bogoro, à 25 km au Sud de Bunia.
L’assistant chargé de la sensibilisation de la CPI à Kinshasa, Patrick Tshibuyi, l’a expliqué au cours d’un entretien accordé vendredi 27 février à Radio Okapi:
«On n’aura pas, à ce qui concerne Mathieu Ngudjolo, des décisions sur les réparations au profit des victimes parce qu’il a été acquitté donc, il n’y a pas reconnaissance de culpabilité».
Il a toutefois indiqué que dans le mécanisme de la CPI, il y a un fonds au profit des victimes mais pas celles du genre de la localité de Bogoro pour lesquels Mathieu Ngudjolo a été poursuivi à la CPI.
Panorama économique: les bateaux peinent à accoster au port de Matadi
Le magazine « Panorama économique» de cette semaine s’ouvre au Bas-Congo, où les bateaux éprouvent d’énormes difficultés pour accoster au port international de Matadi. Des sources proches de la ville portuaire indiquenr que cette situation est due à la baisse du niveau des eaux et au manque d’entretien du bief maritime du fleuve Congo par la Congolaise des Voies Maritimes.
Cette économique hebdomadaire revient également sur des concertations économiques, tenues, il y a quelques jours, à Kinshasa. Ce forum a réuni des acteurs gouvernementaux, ceux du secteur privé et de la société civile pour discuter des problèmes socio-économiques et le renforcement du partenariat public-privé notamment dans le programme du parc agroindustriel de Bukanga Lonzo.
Le Panorama économique parle du président national de la Fédération des entreprises du Congo (Fec), en charge des petites et moyennes entreprises et du Commerce qui appelle la Congolaise des voies maritimes (CVM) de draguer régulièrement le bief maritime du fleuve Congo.
Le professeur Michel Somwe s’entretien avec Daniel Tambizoni et François Kadima.
MARTIN FAYULU AVEC ROGER BONGOS AFFAIRE FRANCK DIONGO LES VICTIMES DU CONGO PROPOSITION A LA DIASPOR
Une chaîne de la diaspora Africaine, particulièrement celle de la RDC pays de Kimpa VITA, de Lumumba, de Kimbangu et des enfants de Mvuluzi... Ingeta !
Rédacteur en chef : BONGOS Roger Tél. : 00 33 6 52 75 40 90
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Martin FAYULU, face à Roger BONGOS au Press Club de France, qui s'est prêté au jeu de questions et réponse, en évoquant les massacres du 19 au 25 janvier dernier.
Martin FAYULU, face à Roger BONGOS au Press Club de France, qui s'est prêté au jeu de questions et réponse, en évoquant les massacres du 19 au 25 janvier dernier. L'affaire qui l'éclabousse, et entache son intégrité (image), "affaire Franck DIONGO".
Sa proposition pour une meilleure collaboration avec la diaspora congolaise. Sa candidature aux élections présidentielles en RDC...Il préconise également, d'ériger un monument, une stèle à la mémoire des victimes de la barbarie kabilienne après 2016.
Voir la galerie de photos sur le lien ci dessous
Vidéo Roger BONGOS et Martin Fayulu
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March 01, 2015
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RDC: l’opposition propose la tenue des élections locales, municipales et urbaines après 2016
Des partis de l’opposition politique, des regroupements politiques et parlementaires de l’opposition ainsi que ceux de la société civile et de la diaspora ont proposé vendredi 27 février un projet de calendrier électoral qu’ils estiment « réaliste, réalisable et cohérent ». Ils proposent que les élections locales, municipales et urbaines « qui sont plus complexes mais nécessaires à la consolidation de l’Etat et de la démocratie » se tiennent après 2016 « pour une programmation plus rationnelle ».
Dans son calendrier publié le 12 février dernier, la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) prévoit d’organiser les élections provinciales, municipales, urbaines et locales le 25 octobre 2015 alors que les élections présidentielle et législatives devraient se tenir le 27 novembre 2016.
A (re)Lire: RDC : la Ceni fixe l’élection présidentielle au 27 novembre 2016
De leur côté, les opposants proposent que les élections des députés provinciaux, des gouverneurs, des vice-gouverneurs et des sénateurs se tiennent en 2015.
« Les élections des députés provinciaux, des gouverneurs, des vice-gouverneurs et des sénateurs sont prioritaires parce que suspendues au cours du cycle électoral 2011 -2016 et doivent être organisées en 2015 pour résoudre la question de leur légitimité. Car l’illégitimité érode l’efficacité de l’Etat », explique Emery Okundji, secrétaire général du parti de l’opposition Fonus.
En ce qui concerne la présidentielle et les législatives, l’opposition est d’accord avec la proposition de la Ceni.
« Les élections présidentielles et législatives qui doivent obéir aux contraintes de la constitution en ce qui concerne ses délais seront organisés en 2016 à la date prévue, soit le 27 novembre 2016 et la prestation de serment du nouveau président élu, le 20 décembre 2016 », indique Emery Okundji.
C’est au sujet des élections locales, municipales et urbaines que l’opposition est le plus en désaccord avec la Ceni.
« Quant aux élections locales, municipales et urbaines qui sont plus complexes mais nécessaires à la consolidation de l’Etat et de la démocratie par la base, les opposants les ont postposées après 2016 pour une programmation plus rationnelle », lit-on dans leur déclaration.
Le même document indique que ce calendrier électoral proposé par les opposants « devrait faire l’objet d’échanges formels en vue de dégager un consensus pour l’organisation des prochaines élections dans un climat apaisé et dans les délais constitutionnels ».
Après la publication du calendrier électoral de la Ceni, l’opposition avait dénoncé un calendrier « non consensuel et irréaliste ». Elle avait promis de proposer un calendrier plus réaliste.