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Channel: AFRIQUE REDACTION . L'information en continu ! Afrique au cœur de l’actualité...Infos News sur la RDC, les brèves de la dernière minute. Synthèse sur l’actu internationale. rdcongo-kinshasa, Nord et Sud KIVU, Kinshasa, Bas Congo, Dongo, Equateur, Maniema, Lubumbashi, les deux Kasai. Rédacteur en Chef : BONGOS Roger
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Actualité A. Minaku : « Il faut tout mettre en place pour que les scrutins à venir soient le plus crédibles possible »

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Crée le 23-01-2014  -11H00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALEMis à jour le  jeudi 23-01-2014 - 16H00PAR: LE POTENTIEL

Elles ont abouti à la formulation de plus de 600 recommandations, parmi lesquelles la formation d’un gouvernement d’ouverture. S’il n’exclut pas la tenue des scrutins en 2016, il pense néanmoins que tout doit être mis en place pour que « les scrutins à venir soient le plus crédibles possible ».

Les Concertations nationales ont-elles réussi à renforcer la cohésion du peuple congolais ?

La cohésion nationale ne se décrète pas, elle se parfait jour après jour. Lors de ces Concertations, nous avons dressé un état des lieux sans complaisance du pays. Cela nous a permis de poser certains principes fondamentaux, qui contribueront à étoffer et à faire grandir la cohésion entre les Congolais.

Certains observateurs estiment que le pouvoir a organisé ces assises dans le seul but de préparer le terrain à un gouvernement d’ouverture et ainsi de diviser l’opposition. Que leur répondez-vous ?

Qu’il n’est pas correct de limiter la portée des conclusions de ces Concertations nationales à ce seul aspect. Il s’agissait d’une perspective globale. Nous avons formulé de nombreuses autres recommandations importantes, qui concernent notamment le processus électoral, la gouvernance économique, la justice sociale ainsi que la situation sécuritaire dans le Kivu et en Ituri, dans la Province orientale.

Car aujourd’hui, dans un contexte de guerre d’agression dans l’Est du pays, le souci majeur des Congolais est que tout soit mis en œuvre pour ne pas perdre un seul centimètre carré de territoire national. C’est pourquoi nous avons décidé de travailler ensemble, majorité et opposition, à restaurer l’autorité de l’État.

L’article 220 de la Constitution, qui empêche le président Kabila de briguer un troisième mandat en 2016, n’a pas été évoqué lors des concertations. Beaucoup s’en sont étonnés...

S’il y a un Congolais qui n’est pas surpris, c’est bien Joseph Kabila. C’est lui qui a amené le peuple, par référendum, à adopter les dispositions constitutionnelles, du premier au dernier article, Il en est le garant, il les respecte et les fera toujours respecter. La surprise est grande, en revanche, pour ceux qui voudraient faire de la remise en question de cet article un fonds de commerce politicien. Majorité et Opposition doivent travailler ensemble à restaurer l’autorité de l’Etat.

De notre côté, si nous devons tenir l’échéance de la prochaine élection présidentielle en 2016, il faut tout mettre en place pour que les Scrutins à venir soient le plus crédibles possible. C’est l’impératif numéro un. Dans cette optique, les préconisations ont été, entre autres, d’organiser un recensement de la population, d’établir des cartes d’identité et de structurer la Commission électorale nationale indépendante de façon plus cohérente.

A priori, Joseph Kabila ne sera donc pas candidat à la présidence en 2016. Et vous?

La RD Congo compte près de 75 millions d’habitants. Combien d’entre eux, peut-être plus doués que moi, ont eu l’occasion de devenir président de l’Assemblée nationale? Très peu. Si  j’en suis là aujourd’hui, c’est parce que j’ai toujours fait preuve de discipline au sein de ma famille politique. L’essentiel pour moi est donc de continuer à exercer avec zèle ce mandat exaltant qui m’a été confié.


Actualité RDC : La présence d'éléments du M23 signalée en province Orientale

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Crée le 23-01-2014  -11H00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALEMis à jour le  jeudi 23-01-2014 - 17H40PAR: ARTV-NEWS     

 

 

RDC : La présence d'éléments du M23 signalée en province Orientale

Selon M. Basse, les informations faisant état de leur présence éventuelle dans cette contrée ont été rapportées à la MONUSCO, par des sources concordantes.

"Fort de cette information, la force de la MONUSCO s'est déployée sur terrain et lancé des patrouilles aériennes de reconnaissance au dessus de cette localité. Nous avons aussi, dans le cadre de nos activités quotidiennes pris contact avec les autorités locales concernant la présence éventuelle des éléments du M23 dans cette région", a souligné M. Basse.

La MONUSCO, a-t-il ajouté, suit cette situation avec les Forces armées de la RDC (FARDC) et les autorités congolaises afin de pouvoir en mettre terme, si toutefois la présence des éléments du M23 était confirmée dans cette contrée.

Lors de la défaite du M23, a encore dit M. Basse,certains éléments ont fui vers l'Ouganda, d'autres vers le Rwanda et d'autres encore se sont dissipés dans la nature.

"Ces éléments sont attendus pour participer au programme Démobilisation,Désarmement et Réinsertion (DDR), ou pour une comparution en justice, le cas échéant, pour des crimes qu'ils auraient commis", a déclaré mardi le porte-parole du gouvernement, Lambert Mende.

Actualité Rajoelina futur Premier ministre ?

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Crée le 23-01-2014  -11H00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALEMis à jour le  jeudi 23-01-2014 - 18H10PAR: ARTV-NEWS        

                                 Rajoelina futur Premier ministre ?

 

"La majorité des électeurs s'est exprimé à travers le vote qu' ils ont effectué en faveur de la plate forme +Miaraka amin'ny Prezidà Andry Rajoelina+ (MAPAR, Avec le Président Andry Rajoelina) . Tous les candidats proposés par cette plate-forme ont été élus dans les six arrondissements d'Antananarivo ainsi que dans tous les ex – chefs lieux de Province de Madagascar", a-t-il affirmé.

Pour Rajoelina, "la population remet son entière confiance entre les mains des candidats soutenus par le Président Rajoelina pour désigner le Premier Ministre. (..), et le peuple a placé sa confiance au MAPAR", la plate-forme politique qu'il a créée pour les élections législatives du 20 décembre dernier.

Il s'est engagé à aider les députés en tant que caution morale pour que ces élus puissent répondre aux attentes du peuple avide de développement.

Il a affirmé sa détermination à prêter mains fortes au président élu Hery Rajaonarimampianina.

"Nous avons un président de la République. S'il sollicite mes services, je suis prêt à travailler avec lui. Mais s'il ne veut pas de Andry Rajoelina, j'emprunterai d'autres chemins", a-t-il martelé.

Actualité Afrique du Sud : Les mines de platine paralysées par la grève

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Crée le 23-01-2014  -11H00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALEMis à jour le  jeudi 23-01-2014 - 18H10PAR: ARTV-NEWS 

                                  Afrique du Sud : Les mines de platine paralysées par la grève

Le syndicat radical Amcu, majoritaire dans les mines de platine qui fournissent environ 70% de la production mondiale, réclame un salaire de base de 12.500 rands (environ 840 euros) par mois, soit presque deux fois et demi le niveau actuel, ce que les patrons jugent "irréalistes", la branche, faiblement mécanisée, employant des dizaines de milliers de personnes peu qualifiées.

Les trois groupes touchés sont Anglo American Platinum (Amplats), Impala Platinum (Implats) et Lonmin, respectivement numéro un, deux et trois mondiaux du secteur.

"Nous avons laissé suffisamment de temps à la direction pour réfléchir. Les cours du platine sont très élevés, et l'essence est trop chère pour nous, on n'y arrive pas", a expliqué Peter Moreki, 30 ans, un employé d'Amplats qui aurait dû embaucher mercredi soir à 22H00 (20H00 GMT) à la raffinerie de Waterfal, près de Rustenburg (nord). 

La grève, qui concerne plus de 80.000 personnes, va durer "aussi longtemps qu'il faudra pour qu'ils nous répondent", a-t-il ajouté, tandis qu'un responsable de la direction s'entretenait avec des leaders du groupe.

"On ne veut pas de la zone de piquet de grève qu'ils nous ont octroyée devant la compagnie, c'est sans eau, trop confiné. On n'a pas confiance", a ajouté son collègue Joseph Ndebele, 28 ans, qui déclare spontanément avoir peur de se faire tirer dessus.

Père de quatre enfants et endetté jusqu'au cou, il a laissé son téléphone portable au vestiaire. "Pas de téléphone quand on fait grève. On a peur de se faire intimider", dit-il, affirmant que la direction a envoyé lundi des SMS menaçant de lui faire perdre son salaire.

Non loin de là devant la mine de Bathopele, la direction a installé des toilettes chimiques et des tentes pour la centaine de mineurs gardant le piquet de grève.

"Amcu est le syndicat majoritaire avec environ 90% des effectifs. Les 10% restants vont aller pointer, mais comme dans toute grève ils ne vont pas aller travailler sans craindre pour leur vie. Mais cette fois, la grève sera pacifique. Le service d'ordre fera en sorte que personne ne soit intimidé ou attaqué en allant au travail", a indiqué à l'agence Sapa Evans Ramokga, un permanent d'Amcu. 

Des grèves sanglantes en 2012

Les grèves de 2012 avaient été particulièrement violentes, marquées par des affrontements entre grévistes et non grévistes, et entre le Syndicat national des mineurs (NUM, proche du pouvoir) et Amcu, petite formation radicale devenue majoritaire en exigeant beaucoup plus.  

La police sud-africaine a rappelé que c'était à Amcu de faire respecter l'ordre, soulignant que les armes dangereuses étaient interdites et ajoutant que ses hommes seraient déployés dans toute la région. 

Très symbolique dans ce mouvement, la mine de Marikana (nord), exploitée par le groupe britannique Lonmin, où la police a tiré sur des grévistes brandissant des armes traditionnelles en août 2012, faisant 34 morts.

Le site était gardé par des vigiles jeudi matin, et ses abords étaient déserts.

"Un rassemblement doit avoir lieu au stade de Wonderkop (à proximité de la mine, ndlr) dans la matinée", a précisé à l'AFP Jimmy Gama, un dirigeant d'Amcu.

Interrogé sur la médiation offerte par le gouvernement, notamment autour du vice-président Kgalema Motlanthe, lui-même issu du syndicalisme minier, M. Gama a indiqué que le syndicat "(consultait) ses membres". Il n'a pas exclu une réunion rapide dès vendredi, en déclarant: "Si les adhérents sont d'accord c'est possible."

Amplats, Implats --qui a carrément fermé ses installations-- et Lonmin ont indiqué que la situation était calme, et que la grève semblait très suivie.

Pilier de l'économie sud-africaine depuis la fin du XIXe siècle, le secteur minier représente environ un tiers de la capitalisation de la Bourse de Johannesburg.

Il assure 40% des exportations et est une source cruciale de devises pour le pays, employant un demi-million de personnes.

Mondial 2014 : les interprètes de l’hymne officiel sont connus

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Crée le 25-01-2014  -02H00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALEMis à jour le  samedi 25-01-2014 - 02H15PAR: ARTV NEWS

 


 

Claudia Leitte, Pitbull et Jennifer Lopez sont les interprètes de la chanson We Are One, hymne officiel de la Coupe du monde de la FIFA 2014, au Brésil.

FIFA2014-Pitbull-Claudia-Leitte 

 

Les trois artistes succèdent ainsi à la Colombienne Shakira  et son tube Waka Waka qui avait fait tout un tabac, en 2010, en Afrique du Sud, en adaptant la chanson Zangalewa du groupe camerounais du même nom.

Claudia Leitte, Pitbull et Jennifer Lopez ont été présentés le  23 janvier à Rio de Janeiro.

«Je veux remercier Cláudia d’avoir su tirer toute la saveur de la culture brésilienne, a dit la vedette américaine Pitbull. Et d’avoir Jennifer Lopez impliquée dans cette musique est quelque chose de très spécial. C’est pour cela que nous avons appelé le morceau We Are One. C’est ce que nous allons faire. Nous sommes ensemble pour la musique

«Danser la samba pendant la Coupe du Monde»

De son côté, la chanteuse brésilienne a parlé d’un «moment très spécial». «C’est un honneur d’être aux côtés de Pitbull et de Jennifer Lopez, qui sont des stars mondiales, a-t-elle dit. On dirait qu’ils sont Brésiliens. Nous allons danser la samba pendant la Coupe du Monde !»

Pour le secrétaire général de la FIFA, Jérôme Valcke, la musique est [avec le soccer] «la seule chose capable d’attirer des milliers de spectateurs dans un stade».

«Je pense que We Are One, avec Cláudia Leitte, Pitbull et Jennifer Lopez, est une musique qui saisit l’essence de la Coupe du Monde, l’essence d’une Coupe du Monde au Brésil, a dit M. Valcke. J’espère que des millions de personnes danseront sur cette chanson.

Un soutien continu est nécessaire pour couvrir les besoins humanitaires en RDC, signalent l’UNHCR, l’UNICEF et le PAM

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Crée le 25-01-2014  -02H00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALEMis à jour le  samedi 25-01-2014 - 02H15PAR: ARTV NEWS


REFUGIES EN RDC

 

 

  La Haut-Commissaire Adjoint des Nations Unies pour les réfugiés (UNHCR), Janet Lim, la Directrice Exécutive Adjointe du Fonds des Nations Unies pour l’Enfance (UNICEF), Yoka Brandt, et le Directeur Exécutif Assistant du Programme Alimentaire Mondial (PAM), Ramiro Lopes da Silva, pendant leur visite en République Démocratique du Congo (RDC), ont appelé la communauté internationale à poursuivre son soutien à la crise humanitaire de grande ampleur dans le pays.


« Les enfants sont les premiers à souffrir parce qu’ils sont les plus vulnérables et ce sont toujours eux qui font les frais d’un conflit » a déclaré la Directrice Exécutive Adjointe de l’UNICEF. » Aujourd’hui plus d’un million et demi d’enfants sont affectés par les déplacements – ils ont été traumatisés par la violence qu’ils ont vue, leur éducation a été perturbée et nombreux ont été enrôlés dans des groupes armés. Nous ne devons pas oublier que chacun d’entre eux a le droit d’aller à l’école et d’être protégé contre les souffrances ».


Selon OCHA, 2,9 millions de personnes sont actuellement déplacées par le conflit à l’intérieur de la RDC. 60 % d’entre elles se trouvent au Nord et au Sud Kivu. Des avancées importantes ont été réalisées vers la paix, mais des groupes armés assiègent l’Est de la RDC depuis des années. Le conflit en cours à l’Est du pays s’ajoute à la situation dramatique à laquelle font face les gens à travers tout le pays. 2 millions d’enfants sont touchés par la malnutrition, et les épidémies comme le choléra et la rougeole persistent. La complexité de la situation requiert l’attention et le soutien continu de la communauté internationale – cela a été le message central de la visite conjointe de haut-niveau dans le pays.

Ensemble, les responsables du HCR, de l’UNICEF et du PAM ont visité le sud d’Irumu en Province Orientale, où les affrontements entre les Forces armées de la RDC et les groupes de milices ont déplacé environ 120 000 personnes depuis août 2013. Après avoir rencontré les personnes déplacées et les communautés d’accueil dans un site spontané près de Lagabo dans le district de l’Ituri, Mr. Lopes da Silva a déclaré : « L’insécurité a bouleversé les moyens de subsistance de ces populations, et nous nous sommes engagés à continuer à les soutenir, à la fois dans les espaces de déplacements et dans leurs communautés lorsqu’ils sentiront que les conditions sont en place pour leur retour. Dans le même temps nous devons continuer à plaider pour eux auprès des gouvernements donateurs pour la mise à disposition des ressources adéquates ». À Goma, les trois haut fonctionnaires de l’ONU ont visité des programmes dans le camp de déplacés de Mugunga III où ils ont rencontré les populations affectées par le conflit. Unis par l’objectif de comprendre les défis et explorer les solutions, ils ont discuté avec les autorités nationales et les partenaires humanitaires à l’Est et à Kinshasa afin d’identifier les opportunités permettant une efficacité accrue.

« Dans certaines parties du pays, des personnes continuent de souffrir et sont déplacées à cause de la violence. Nous avons besoin du soutien des autorités congolaises, de la société civile, des organisations humanitaires, des partenaires de développement et des pays donateurs pour consolider les récents progrès vers la paix et la stabilité dans tout le pays et mettre un terme définitif au conflit et aux déplacements», a déclaré Madame Lim. L’insécurité à l’Est de la RDC ainsi qu’au Katanga a causé des déplacements répétés de population. On estime que la moitié de la population des déplacés est constituée d’enfants. La province de l’Equateur, où la paix a été rétablie après que des affrontements inter-ethniques fin 2009 et début 2010 aient forcé 200 000 personnes à fuir leur foyer, abrite actuellement plus de 50 000 réfugiés fuyant les violences en République centrafricaine.

Pendant leur visite, les représentants des trois agences des Nations Unies ont souligné leur engagement dans l’identification et le renforcement de synergies dans les contextes où les trois agences sont opérationnelles. Dans le cadre de cette initiative, les responsables de ces trois agences avaient également mené des visites conjointes en Mauritanie en novembre 2012, et en Jordanie/Liban en juillet 2013.

Pour de plus amples informations, veuillez contacter:
UNICEF
Cornelia Walther,
Cell: + 243 99 100 63 07
Email: cwalther@unicef.org

UNHCR
Céline Schmitt,
Cell: +243 81 700 94 84
Email: schmittc@unhcr.org

WFP
Claude Kalinga,
Cell: +243 81 700 67 14
Email : claude.kalinga@wfp.org

Actualité Kenya : Expansion du projet sur l'adaptation au changement climatique initié par les communautés

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Crée le 25-01-2014  -04H00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALEMis à jour le  samedi 25-01-2014 - 04H05PAR: ARTV NEWS

 

 

                                                 Kenya : Expansion du projet sur l'adaptation au changement climatique initié par les communautés

Un projet pilote visant à soutenir l'adaptation au changement climatique via des projets initiés par des communautés locales dans le comté d'Isiolo (nord du Kenya) a été appliqué à quatre autres comtés de terres arides et semi-arides (TASA), a-t-on appris vendredi d'une source officielle.

Le projet, mené par le Consortium Adaptation au sein de l'autorité nationale de gestion de la sécheresse (NDMA) pour couvrir 29 % des terres kényanes, est importante car il montre comment une approche ascendante peut être appliquée par des gouvernements de comté pour accéder au financement pour le climat mondial.

Selon le conseiller sur le changement climatique de NDMA et coordinateur du Consortium Adaptation, Victor Orindi, cette approche a donné aux communautés vulnérables des pouvoirs décisionnels sur ce qui devrait être financé via leurs comités. Il a également observé que dans le cadre de la NDMA, les leçons tirées d'Isiolo sont désormais appliquées aux comtés de Garissa, Kitui, Makueni et Wajir dans le nord du Kenya.

Le projet a été mis en place pour concevoir et tester un mécanisme permettant aux locaux d'identifier les investissements qui construisent leur résistance au changement climatique, et ensuite financer ces projets via un Fonds d'adaptation de comté.

Depuis sa mise en place en octobre 2012, le Fonds d'adaptation au changement climatique a alloué 68,5 millions de shillings aux communautés du comté d'Isiolo pour financer une variété de projets de construction de la résistance.

Pour Mumina Bonaya, secrétaire de l'Isiolo Climate Adaptation Planning Committee , « le fonds d'Isiolo est une utilisation innovante de la nouvelle constitution du Kenya, qui permet de décentraliser non seulement aux comtés mais également aux institutions des sous-comtés ».

Actualité Foot : Le Ghanéen Essien quitte Chelsea pour l'AC Milan

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Crée le 25-01-2014  -04H00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALEMis à jour le  samedi 25-01-2014 - 04H05PAR: ARTV NEWS

                             Foot : Le Ghanéen Essien quitte Chelsea pour l'AC Milan

"Michael Essien arrive à l'aéroport de (Milan-)Malpensa en soirée", a annoncé l'AC Milan sur son site internet, évoquant le "curriculum de haut niveau" du joueur.

Selon la presse italienne, Essien, 31 ans, arrive gratuitement de Chelsea et a signé pour un an et demi pour le club lombard, actuellement 11e de son championnat.

Première recrue du Milan version Clarence Seedorf, entraîneur "rossonero" depuis dix jours, il pourra notamment disputer le 8e de finale aller de Ligue des champions contre l'Atletico Madrid, fin février. Pour ce match, deux milieux de terrain du Milan sont suspendus, Riccardo Montolivo et le Ghanéen Sulley Muntari.

Essien, découvert à Bastia (2000-2003), a explosé à Lyon (2003-2005) avant de rejoindre Chelsea (2005-2012).

Il a retrouvé José Mourinho au Real Madrid (2012-2013) avant de revenir cet été avec l'entraîneur portugais à Chelsea, où il ne jouait plus beaucoup.

"S'il arrivait une bonne opportunité pour nous comme pour le joueur, en vue du Mondial, il pourrait partir, nous ne le forcerions pas à rester", avait dit Mourinho avant l'officialisation du transfert par Milan.


Actualité L'ONU promet d'aider le Kenya à atteindre ses objectifs de lutte contre la pauvreté

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Crée le 25-01-2014  -04H00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALEMis à jour le  samedi 25-01-2014 - 04H05PAR: ARTV NEWS

                             L'ONU promet d'aider le Kenya à atteindre ses objectifs de lutte contre la pauvreté

Vendredi, l'ONU a déclaré qu' il continuera à aider le gouvernement kényan à atteindre les Objectifs du millénaire pour le gouvernement (OMD) et à encourager la croissance économique et le développement dans les 47 comtés.

Le coordinateur pays de l'ONU au Kenya, Nardos Bekele-Thomas, a déclaré qu'atteindre les objectifs de lutte contre la pauvreté permettra au pays est-africain de réaliser Vision 2030.

« L'ONU continuera à accélérer les progrès au niveau des OMD via des approches innovantes conçues pour aider les gouvernements des comtés et du pays à identifier et résoudre les obstacles empêchant d'éradiquer la pauvreté, pour promouvoir la croissance économique exclusive et la création d'emploi, et pour encourager la paix et la cohésion », a déclaré le Programme de l'ONU pour le développement dans un communiqué publié à Nairobi.

Pendant une réunion entre Mme Bekele-Thomas et le président Uhuru Kenyatta, ce dernier a reconnu le rôle joué par l'ONU pour aider le pays à réaliser ses aspirations de développement et à soutenir les réformes au Kenya. Il a exprimé la détermination de son gouvernement à travailler avec l'ONU pour améliorer les vies de tous les Kényans en valorisant le développement centré sur les gens et la cohésion nationale.

Actualité Vietnam : le forum sur la coopération Sud-Sud dans l’agroalimentaire

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Crée le 25-01-2014  -04H00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALEMis à jour le  samedi 25-01-2014 - 04H05PAR: ARTV NEWS

 

 

 

Organisé par la Chambre de Commerce et de l’Industrie du Vietnam (CCIV), en collaboration avec l’OIF, le Centre du Commerce international (CCI) et le ministère vietnamien de l’Industrie et du Commerce, le  forum sur la coopération Sud-Sud dans l’agro-alimentaire  visait à appuyer et à favoriser le transfert de connaissances, de savoir-faire et de technologie dans le domaine de l’agro-industrie.

Étant exportateurs principalement de produits alimentaires, les pays de la CEMAC et de l’UEMOA sont intéressés par l’appropriation de technologies performantes afin d’améliorer la productivité, de donner une valeur ajoutée à leurs produits par la transformation sur place et de promouvoir leurs exportations en répondant aux exigences des marchés régional et international.

Le Forum a réuni une centaine de participants venant du Vietnam, des pays de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique Centrale (CEMAC), de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA) : Bénin, Burkina Faso, République du Congo, Côte d’Ivoire, Guinée Bissau, Sénégal, Tchad. Les participants ont visité plusieurs entreprises de transformation de produits agricoles et d’usines de fabrication de matériel et de machines.

En marge du Forum, deux conventions ont été signées, l’une entre le Gouvernement de la Guinée Bissau et le Gouvernement du Vietnam et l’autre entre la CCIV et l’Agence béninoise de promotion des échanges commerciaux.

Le Forum s’inscrivait dans le cadre de l’initiative conjointe de l’OIF et du CCI, mise en place en 2008, visant l’expansion du commerce inter-régional entre les États membres de la CEMAC et de l’UEMOA, et les pays francophones du delta du Mékong (le Cambodge, le Laos et le Vietnam). De nombreuses missions commerciales, des rencontres de concertation et de plaidoyer, des séminaires de renforcement de capacités et des rencontres acheteurs/vendeurs régionales ont été organisés sur les opportunités d’affaires dans des filières d’intérêt commun (agro-alimentaire, textile et habillement, bois et produits dérivés…).

Les échanges commerciaux entre le Vietnam et la CEMAC-UEMOA ne cessent d’augmenter : les exportations du Vietnam vers les pays de l’UEMOA sont passées de 92,4 millions de dollars en 2007 à 362 millions de dollars en 2012 et les importations en provenance de l’Afrique de l’Ouest de 88,2 millions en 2007 à 307,5 millions de dollars en 2012. Avec la CEMAC, les exportations ont également progressé de 37,6 millions de dollars en 2007 à 96,8 millions de dollars en 2012 pendant que les importations vietnamiennes sont passées de 35 millions de dollars en 2007 à 121,5 millions de dollars en 2012.

R.D.CONGO AU KASAI ORIENTAL : ‘’ LE DEPOT DE MUNITIONS EXPLOSE ET CAUSE LA MORT ET DESOLATION ‘’

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Crée le 25-01-2014  - 11H00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALEMis à jour le  samedi 25-01-2014 - 11H15PAR: ARTV NEWS

 

 

 

La foudre est tombée ce vendredi 24 janvier sur un dépôt secondaire d’armes et munitions, au Camp de la Brigade Minière au Kasaï Oriental, précisément è Mbuji-Mayi. La panique a été généralisée sur la ville. Les dégâts matériels sont très considérables et on compte à ce jour, plusieurs morts. La ville est dans la consternation générale.


La Ville de Mbuji-Mayi, au Kasaï Oriental, aux premières heures de l’après –midi, a été dans la panique générale. Sous la pluie qui s’est abattue, la décharge de la pluie a fait exploser ‘’ un dépôt secondaire ‘’ d’’armes et de munitions, au Camp Nyongolo, de la Brigade Minière, de la 5è Région Militaire.


Sous cette forte pluie, des obus, balles et autres engins ont commencé à voler dans les airs, dans tous les sens de la ville ; une ville qui n’a que cinq communes très rapprochées. Certains engins sont tombés dans des écoles, marchés ( Bakwa Dianga et Simis ), au camp des travailleurs de al Miba, dans le églises de réveil,….


Selon le gouverneur de la province du Kasaï Oriental, Alphonse NGOYI kasanji, le bilan partiel fait état de deux morts, une vingtaine de blessés et des dégâts matériels très considérables, selon les sources officielles .Pour l’autorité provinciale, la police et les éléments FARDC étaient à pied d’œuvre pour assurer la sécurité de la population et de leurs biens.


Quant à la Société Civile, elle avance un bilan, encore provisoire, de neuf morts, faisant plusieurs blessés et des maisons d’habitation complètement décimées. Un rescapé de cette explosion, qui a reçu une balle et est hospitalisé à l’hôpital de Bondol, d'après son témoignage qu’il y aurait eu plus de vingt morts, qu’il aurait pu identifier lui-même, au marché de Bakwa Dianga.


Le dépôt explose et sème la désolation !

Des morts, des maisons détruites, des commerçants perdent leurs maigres ressources, marchandises et étales. Toute la ville en pleur. Devant cette situation apocalyptique, le gouvernement provincial du Kasaï Oriental appelle la population au calme, à ne pas manipuler, les engins tombés et d’être vigilante.


Les analystes de la situation se demandent, comment un dépôt de munitions et armes peut manquer de paratonnerres, si c’est vrai que, la décharge de la pluie serait à la base de cette situation désastreuse ? Une ville reconnue pour son diamant industriel, qui manquerait de paratonnerres pour sécuriser des endroits d'une telle importance et stratégiques, au regard de ce qui se passe dans le pays avec des multiples agressions que ce pays endure.

A l'heure actuelle, la ville de Mbuji-Mayi, au Kasaï Oriental, est dans la consternation générale.


JEAN PIERRE KK

Envoyé Spécial de Afrique Rédaction pour la R.D.C.

VIDEO: MAITRE RETY VIDE SON SAC ! ELYSEE, BARACK OBAMA, MUKUNGUBILA, MAMADOU NDALA, LE NON ETAT EN RDC...

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Crée le 25-01-2014  -12H00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALEMis à jour le  samedi 25-01-2014 - 12H15PAR: ARTV NEWS

 

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      Jacques MUSAFIRI               Roger BONGOS          Rety HAMULI

 

 

Sans relâche depuis la marche mondiale des femmes violées en 2011,( Paris-Bruxelles) avec 309 km à pied.

 

Ce brillant avocat, ancien président des avocats du tribunal pénal international pour le Rwanda ( TPIR Arusha) ne lâche rien. Il est partout, dans tous les registres là où on parle des viols des femmes, des personnes vulnérables touchées dans des zones de guerre. Il est entouré aujourd'hui de 52 marraines, des personnalités françaises de renoms qui soutiennent son action pour un tribunal international pour la RDC.

 

La consécration de son action a été, d'être reçu à l'Elysée en décembre dernier en compagnie de ses quelques marraines, par celui qui est à la fois, le président de la République française mais aussi, le président tournant du conseil de sécurité des Nations Unis, Monsieur François HOLLANDE .

 

Il intervient à cœur ouvert au micro de Roger BONGOS avec un engagement ferme de n'est pas lâcher le morceau quelque soit la durée de cette démarche ô combien historique et laborieuse. Il déclare mordicus que les auteurs de ces exactions ne resteront pas impunis.

 

Ces viols utilisés comme armes de guerre, ces crimes barbares de guerre graves ne doivent pas rester impunis, et nous devions laver impérativement la mémoire de ceux qui ont subi ces monstruosités et rendre justice aux victimes vivants, aux familles de victimes piétinées, souillées tuées par ces crimes odieux, en demandant la mise en place d'un tribunal pénal international pour la RDC, dixit Maître Rety...

 

Suivez son intervention avec la participation d'un Manager, chef d’entreprise Monsieur Jacques MUSAFIRI qui intervient en tant que congolais et opérateur économique, investisseur en Afrique, particulièrement en RDC !

 

Roger BONGOS

 

RDC : La distribution de l'aide humanitaire va reprendre à Goma dans quelques semaines (ONU)

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Crée le 25-01-2014  -12H00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALEMis à jour le  samedi 25-01-2014 - 12H15PAR: ARTV NEWS


Le directeur exécutif assistant chargé des opérations du Programme alimentaire mondiale (PAM), Ramiro Lopes Da Silva, a déclaré vendredi soir lors d'une conférence de presse que la distribution de l'aide humanitaire va reprendre à Goma dans quelques semaines, après une suspension temporaire.

Quelques heures avant la tenue de cette conférence de presse, les agences humanitaires de l'ONU, dont le Programme alimentaire mondial (PAM), le Fonds des Nations Unies pour l'enfance (UNICEF) et le Haut commissariat pour les réfugiés (HCR) ont suspendu leur assistance dans 34 sites des déplacés vivant dans la province du Nord-Kivu.

Selon M. Ramiro Lopes, cette suspension est due à un problème d'identification des vrais bénéficiaires de l'aide humanitaire des agences des Nations Unies, il estime que certaines personnes qui vivent dans les quartiers voisins du camp des déplacés, utilisent des manœuvres frauduleuses pour bénéficier de l'aide humanitaire.

Une mission conjointe de l'UNICEF, du HCR et du PAM séjourne du 21 au 25 janvier en RDC afin d'attirer l'attention de la communauté internationale sur la crise humanitaire dans ce pays.

Selon le Bureau des Nations Unies pour la coordination des affaires humanitaires (OCHA), 2,9 millions de personnes sont actuellement déplacées par le conflit à l'intérieur de la RDC.

Actualité RDC : Le Premier ministre se félicite des prouesses économiques réalisées en 2013

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Crée le 25-01-2014  -12H00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALEMis à jour le  samedi 25-01-2014 - 20H25PAR: ARTV NEWS

 

 

                                                     

 

 

Malgré la guerre qui sévit en RDC et la baisse de la croissance dans les économies fortes et émergentes, le taux d'inflation est de 1%, faisant de la RDC un pays au meilleur taux d'inflation du continent africain. Tandis que le taux de croissance de la RDC est de 8,5 %, faisant d'elle la 3ème meilleure croissance de l'Afrique", a affirmé le chef du gouvernement congolais. Pour 2014, a-t-il souligné, la RDC vise un taux de croissance supérieur à 10%.

"Le taux de change avec le dollar américain reste inchangé à 920 francs congolais pour 1 dollar US, alors que le FMI évaluait que la monnaie nationale vaudrait en décembre 2010, 1.200 francs congolais contre 1 dollar US", a encore dit Matata, ajoutant que les réserves de change s'élèvent à 1,7 milliard de dollars. "Ces bons résultats nous permettent de nous consacrer au social", a promis Matata, avant de signaler notamment que 130 écoles ont déjà été livrées sur 1.000 écoles à réhabiliter et que la compagnie nationale de transport en commun aura bientôt 500 bus. Toutefois, a-t-il insisté, la paix et la sécurité demeurent la priorité de son gouvernement.

Jacques MUSAFIRI : La RDC n'attire que des prédateurs, l'Etat doit se restructurer...

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Crée le 26-01-2014  -10H00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALEMis à jour le  dimanche 26-01-2014 - 10H15PAR: ARTV NEWS

 

 

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Jacques Musafiri                                                                 Roger BONGOS

 

 

Jacques Musafiri, Manager Général du MTSI International Consulting , une société de conseil en organisation et système d'information basée à Paris, répond aux questions de Roger BONGOS sur l'Afrique, en particulier sur le cas de la RDC, son pays d'origine.

 

Dans ses propos, il épingle plusieurs cas d'espèce qui fragilisent la RDC dans le climat des affaires. Il est à la fois très critique à l'égard des gouvernants avec un zeste d'optimisme sur le devenir de ce pays livré aux prédateurs tout azimut. Il préconise par ailleurs, la restructuration de l'Etat congolais...Suivez

 

 

 

 

 

Roger BONGOS

 



Actualité "Sans moi, il n'y aurait pas eu de Mandela" (Winnie Mandela)

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Crée le 26-01-2014  -10H00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALEMis à jour le  dimanche 26-01-2014 - 15H15PAR: ARTV NEWS

                                            "Sans moi, il n'y aurait pas eu de Mandela" (Winnie Mandela)

"Si je ne m'étais pas battue, il n'y aurait pas eu de Mandela, le monde entier l'aurait oublié et il serait mort en prison comme le souhaitaient ceux qui l'y ont jeté", affirme son ancienne épouse.

Revenant sur son propre rôle pendant les 27 années d'incarcération de Mandela, Winnie, 77 ans, explique s'être volontairement exposée à la violence de l'apartheid.

"Ce que j'ai fait délibérement, c'est de continuer à faire vivre le nom de Mandela et de ses compagnons en prison. Pour faire vivre la lutte, il fallait donc que je m'expose à la violence et à la brutalité de l'apartheid", explique-t-elle.

"Eux, en prison n'ont jamais été torturés comme nous l'avons été", affirme encore Winnie Madikizela-Mandela, jugeant que les épreuves qu'elle a subies pendant l'apartheid n'avaient rien de commun avec ce qu'ont vécu Mandela et les leaders de l'ANC, le Congrès national africain (au pouvoir).

"Lorsque j'ai été placée en détention solitaire, j'ai connu une brutalité incomparable par rapport à celle exercée à Robben Island", où a été longtemps détenu Nelson Mandela, affirme-t-elle, jugeant que le premier président noir de l'Afrique du sud et ses co-détenus n'étaient "politiquement pas au diapason avec ce qui se passait dans le pays".

"Il était libre de croire en la paix tandis que nous, qui subissions la violence de l'apartheid, nous n'étions pas à l'aise avec cette notion", estime-t-elle, ajoutant n'avoir pas eu d'autre choix que de "répondre à la violence par la violence".

Revenant sur les années de pouvoir de Mandela, président de 1994 à 1999, Winnie se montre plutôt sévère. "Tout au long de ces 20 dernières années nous avons vu que les valeurs qu'incarnait Mandela avaient du mal à s'ancrer dans la réalité", juge-t-elle en prenant pour exemple la "jeunesse de ce pays sans emploi", véritable "bombe à retardement".

"C'est le résultat de cette négociation avec le pouvoir il y a 20 ans et qui avait fait l'impasse sur cette indispensable libération économique. La richesse de ce pays est toujours entre les mains d'une minorité", regrette-t-elle.

Winnie et Nelson Mandela ont divorcé en 1996, deux ans après qu'il soit devenu le premier président noir d'Afrique du Sud.

Elle l'avait épousé en 1958, six ans avant que le militant ne soit condamné à la prison à vie par le régime de la minorité blanche. Pendant ses 27 ans de détention, elle a poursuivi le combat, ce qui lui a valu d'être emprisonnée, astreinte à domicile, et bannie dans un bourg à l'écart du monde. Radicale, elle est condamnée en 1991, pour complicité dans l'enlèvement et le meurtre d'un jeune militant, à une peine de prison commuée en amende. Elle a également été condamnée pour fraude en 2003.

Actualité Tunisie : Constitution adoptée sans gouvernement

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Crée le 26-01-2014  -10H00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALEMis à jour le  dimanche 26-01-2014 - 15H15PAR: ARTV NEWS


                 Tunisie : Constitution adoptée sans gouvernement

 

Les députés ont déjà approuvé article par article le projet de Constitution lors de débats houleux entre le 3 et le 23 octobre opposant notamment les islamistes d'Ennahda majoritaires et leurs détracteurs.

La séance de l'Assemblée nationale constituante, prévue à l'origine pour la matinée a été cependant reportée à l'après-midi, selon la députée Karima Souid, assesseur de la présidence de la Constituante chargée de l'Information.

Ce texte, qui consacre un exécutif bicéphale et accorde une place, réduite, à l'islam, devrait recueillir la majorité nécessaire des deux tiers des 217 élus, des compromis assez larges ayant été négocié pour permettre son adoption. 

Plus de deux ans de travaux ont été nécessaires pour aboutir à ce compromis qui vise à éviter une dérive autoritaire dans un pays qui a connu plus d'un demi-siècle de dictature, sous Habib Bourguiba, puis sous Zine El Abidine Ben Ali, renversé par la révolution de janvier 2011.

En cas d'échec cependant, une seconde lecture devra avoir lieu. Si elle échoue aussi, le projet sera soumis au référendum, ce que l'essentiel de la classe politique souhaite éviter.

Échec de la formation d'un gouvernement apolitique

Le vote de dimanche intervient dans un contexte politique tendu, avec l'échec de la formation d'un gouvernement d'indépendants, un nouveau coup de théâtre prolongeant encore la crise politique déclenchée il y a six mois par l'assassinat du député d'opposition Mohamed Brahmi.

Le ministre sortant de l'Industrie, Mehdi Jomaâ, chargé de former ce cabinet, a annoncé dans la nuit de samedi à dimanche ne pas avoir réussi à constituer une équipe faisant le consensus.

"Nous ne sommes pas loin de la solution, nous continuons encore les concertations", a déclaré M. Jomaâ, qui avait été choisi en décembre par la classe politique pour diriger le prochain gouvernement et formellement nommé le 10 janvier.

"Peut-être que je serai chargé (de nouveau de former un cabinet), peut-être que ce sera une autre personne", a-t-il ajouté.

Selon la législation en vigueur, "en cas d'échec de la formation du gouvernement (...) le président de la République, après concertation avec les partis, les coalitions et les groupes de l'Assemblée, désigne la personnalité la plus apte de former un gouvernement".

Dans l’intervalle, le Premier ministre sortant, l'islamiste Ali Larayedh, reste en charge des affaires courantes.

Selon des médias et politiques tunisiens, le principal problème concerne l'identité du ministre de l'Intérieur.

Certaines forces, dont les islamistes et M. Jomaâ, militaient pour le maintien de Lotfi Ben Jeddou, en poste depuis mars 2013.

D'autres estimaient qu'il devait quitter ses fonctions car il a servi dans l'équipe sortante, dirigée par Ennahda, et qu'il était en poste lors de l'assassinat de Mohamed Brahmi.

Le parti islamiste a accepté de quitter le pouvoir et de laisser la place à des indépendants pour conduire le pays vers des élections en 2014.

La Tunisie, berceau du Printemps arabe, a réussi à ne pas basculer jusqu'à présent dans le chaos, mais sa stabilité reste minée par l'essor de groupes jihadistes et par de profonds problèmes économiques et sociaux, déjà à l'origine de la révolution de janvier 2011.

Sa transition post-révolutionnaire a été considérablement ralentie par un climat de méfiance entre les islamistes d'Ennahda et leurs détracteurs.

Actualité Catherine Samba Panza prépare la pacification de son pays

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Crée le 26-01-2014  -10H00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALEMis à jour le  dimanche 26-01-2014 - 15H15PAR: ARTV NEWS


                                                 Catherine Samba Panza prépare la pacification de son pays

Dans Bangui, violences, tirs et tentatives de pillages se concentraient dimanche autour du quartier du PK-5, au centre-ville, le poumon commercial de la capitale, avec ses centaines de magasins appartenant pour la plupart à des musulmans.

Ces commerces (alimentation, téléphonie, pièces détachées pour automobiles,...) attisent depuis des jours la convoitise des pillards et miliciens chrétiens anti-balaka massés aux environs et qui lancent des raids, entraînant la riposte de jeunes musulmans, aidés d'ex-Séléka, qui ont érigé des barricades pour bloquer les accès, avec des violences débordant dans les quartiers voisins, particulièrement à Miskine.

Des tirs ont ainsi été encore entendus dans la nuit de samedi à dimanche dans ce quartier de Miskine, patrouillé par les soldats français de l'opération Sangaris et africains de la Misca.

A peine nommé samedi par la présidente, M. Nzapayeké (son nom signifie en langue nationale sango "Dieu est là") a fixé la feuille de route du futur gouvernement dont la composition devrait être annoncée rapidement.

Priorité numéro un: "arrêter les exactions" dans le pays, a indiqué le Premier ministre dans un entretien diffusé dimanche par RFI et qui se place ainsi sur la même ligne que la présidente élu lundi pour remplacer Michel Djotodia.

M. Djotodia avait renversé en mars 2013 le régime de François Bozizé à la tête d'une coalition rebelle Séléka, à dominante musulmane, dont les combattants ont multiplié pendant des mois en toute impunité les exactions contre la population majoritairement chrétienne du pays, déclenchant une spirale de violences intercommunautaires dont les civils sont les principales victimes.

Arrêter les exactions

Il a été contraint à la démission le 10 janvier pour son incapacité à mettre fin à ces tueries interreligieuse, qui ont plongé le pays dans une crise humanitaire sans précédent, avec des centaines de milliers de déplacés, dont 400.000 à Bangui, soit la moitié de la population de la ville.

"Je vais prendre langue avec les différentes parties pour que nous arrêtions immédiatement certaines (...) exactions qui sont menées dans ce pays. Il faut mettre fin à tout cela rapidement", a souligné M. Nzapayeké, indiquant qu'il allait "mettre en place une équipe qui va se charger de la question de la réconciliation nationale". "Il faut qu’on s’attaque rapidement à cela, la question sécuritaire sera facilitée", selon lui: "la prochaine action à mener, c’est vraiment le retour" des déplacés chez eux.

"Là, on a un certain nombre d’actions très claires et auxquelles le gouvernement va s’attaquer dès la semaine prochaine", a-t-il promis.

Pour agir, le gouvernement doit pouvoir s'appuyer sur une administration à la dérive, dont les fonctionnaires ne sont plus payés depuis des mois et alors que les caisses d'Etat sont totalement vides.

"Nous allons essayer de régler aussi ce problème-là avec nos amis de la communauté internationale", a indiqué le Premier ministre, qui entend s'appuyer sur son expérience au sein d’institutions financières internationales et de programmes de développement pour rassurer les donateurs sur l'utilisation de l'aide, dans un pays miné par la corruption depuis des décennies.

Actualité Kasaï-Occidental: plus de 100 personnes aux arrêts à Kananga

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Crée le 26-01-2014  -10H00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALEMis à jour le  dimanche 26-01-2014 - 15H15PAR: RADIO OKAPI 

 

 


Patrouille de la PNC le 02/12/2013 à Kinshasa pour traquer les gangsters « Kulunas » qui sèment la terreur dans la ville. Radio Okapi/Ph. John Bompengo 
La police nationale a arrêté, dans la nuit de samedi 25 janvier, environ 115 personnes parmi lesquelles 20 femmes et quelques mineurs, à Kananga (Kasaï-Occidental). Ces personnes ont été appréhendées à l’issue des patrouilles mixtes menées par la police et les militaires dans plusieurs quartiers du chef-lieu du Kasaï-Occidental. Selon les premières enquêtes, il y a des détenteurs d’armes, des vendeurs des chanvres et des Kuluna qui auraient fui Kinshasa, parmi les personnes interpellées.

L’inspecteur provincial de la police au Kasaï-Occidental, Léon Lukumbilo, indique que ces personnes sont mises à la disposition de la justice qui, après ses enquêtes, pourra relâcher les innocents.

Il a expliqué que ces opérations, menées sous la supervision du gouverneur Alex Kande Mumpopa,  visent remettre la quiétude dans la ville de Kananga, en proie à l’insécurité depuis le début de cette année.

«La police et l’armée, nous sommes là, pour la protection de la population et de leurs biens. Il y a eu un bouclage mixte pour dénicher les malfaiteurs qui empêchent la population de vaquer librement à ses occupations quotidiennes», a indiqué le patron provincial de la police au Kasaï-Occidental.

Le général Léon Lukumbilo a par ailleurs sollicité la collaboration de tout le monde pour restaurer la quiétude dans toute la province du Kasaï-Occidental.

On rappelle qu’un militaire avait été tué et un policier blessé dans un échange de tirs entre une patrouille de la police et un groupe de bandits la nuit du 10 au 11 janvier dans la périphérie du marché Mzee Laurent Désiré Kabila, à deux kilomètres de l’aéroport de Kananga. Ce militaire faisait partie du groupe de bandits qui s’illustrent par des actes incessants d’insécurité dans cette partie de la ville.

Actualité Nord-Kivu: 139 cas de violations des droits humains répertoriés à Birambizo en 2013

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Crée le 26-01-2014  -10H00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALEMis à jour le  dimanche 26-01-2014 - 15H15PAR: RADIO OKAPI

 

 

 

Monument dédié à la mémoire des femmes victimes de la guerre à Shabunda au Sud-Kivu.

Environ 139 cas de violation des droits humains ont été enregistrés au cours de l’année 2013 dans la zone de santé de Birambizo, à plus de 12 km au Sud de Kanyabayonga (Nord-Kivu). Le Bureau œcuménique d’appui au développement (BOAD) a livré ces chiffres, jeudi 23 janvier, à l’issue des journées de réflexion sur les voies et moyens de protéger la population contre les violences. 

Le chargé du volet protection et nutrition de cette organisation citoyenne, Kakule Katsumbano, a reconnu que le nombre de cas de violations des droits humains est en baisse depuis le dernier trimestre de 2013.

«Après des sensibilisations, il y a diminution de cas de violations des droits humains parce qu’auparavant la situation était catastrophique», a affirmé Kakule Katsumbano.

Il a par ailleurs invité les bailleurs de fonds à porter assistance aux centres de santé qui œuvrent dans le soin des femmes victimes de violences sexuelles dans la zone de santé de Birambizo.

«Les centres de santé manquent des produits et éprouvent des  difficultés pour soigner des femmes victimes de violations sexuelles», a conclu le chargé du volet protection et nutrition de BOAD.

Plus de 3 000 cas de viols avaient été enregistrés dans différents territoires du Nord-Kivu au cours du 1er semestre 2013, selon un rapport du «Groupe de travail en charge de base des données et cartographie des violences sexuelles».

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