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Channel: AFRIQUE REDACTION . L'information en continu ! Afrique au cœur de l’actualité...Infos News sur la RDC, les brèves de la dernière minute. Synthèse sur l’actu internationale. rdcongo-kinshasa, Nord et Sud KIVU, Kinshasa, Bas Congo, Dongo, Equateur, Maniema, Lubumbashi, les deux Kasai. Rédacteur en Chef : BONGOS Roger
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Actualité Kinshasa: les prix du manioc et du maïs augmentent de 100%

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Crée le 26-01-2014  -10H00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALEMis à jour le  dimanche 26-01-2014 - 15H15PAR: RADIO OKAPI



La différence du prix entre la farine de manioc provenant de la province du Bas-Congo(BC) et celle produite dans les Kasaï est de 100fc, le 26/10/2013 à Kinshasa. Radio Okapi/Ph. John Bompengo

Les prix du manioc et du maïs ont, depuis quelques semaines, pris de l’ascenseur dans la capitale congolaise. Des sources concordantes indiquent qu’un sac de cossette de manioc est passé de 35 000 FC (38, 3 de dollars américains) à 65 000 FC (70, 2 USD), soit une augmentation de 100%. Selon les mêmes sources, le sac de maïs de 50 kg est négocié à 90 000 FC (100 USD) alors qu’il était vendu à 45 000 FC (50 USD) sur le marché kinois. 

Selon les producteurs et revendeurs, cette hausse est due à la rareté de ces produits de base pendant cette période des fortes pluies qui rend difficile leur transformation. Le producteur et président du Conseil d’administration de l’Association des producteurs et transformateurs de manioc, Patron Mulongo l’a expliqué à Radio Okapi:

«Pour sécher le manioc, ce n’est pas évident, on a deux à trois pluies par semaine et on sèche au soleil, donc à partir de ce moment-là ça pose problème. Il se pose également un problème de stockage, quand on n’a pas de lieux où on peut stocker, on abîme le produit, l’évacuation est difficile parce que les routes sont impraticables, le transport coute un peu plus cher et il devient même rare».

Une autre raison de cette hausse est que les agriculteurs s’arrangent à plantent leur manioc de manière à récolter  au début de la saison sèche.

Certaines sources accusent des vendeurs de ces produits de profiter de la spéculation pour augmenter les prix et faire un peu plus de bénéfice.


Actualité RDC: 6 personnes kidnappées dans les combats entre FARDC et Lra à Diapedi

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Crée le 26-01-2014  -10H00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALEMis à jour le  dimanche 26-01-2014 - 15H15PAR: RADIO OKAPI

 

Des rebelles LRA.
Six personnes ont été enlevées au cours des affrontements survenus, jeudi 23 janvier, entre les militaires et les rebelles ougandais de la Lra, à Diapedi, une localité du poste d’Etat de Bili, en territoire de Bondo, à 500 Km au Nord de Kisangani (Province Orientale). Des sources de la région affirment que le nombre de personnes tuées au cours des accrochages n’est pas encore révélé. 

Les volontaires de la Croix-Rouge et certains habitant de Bili, affirme l’autorité du district, se sont rendus, depuis vendredi 24 janvier, dans la forêt de Diapedi pour faire un constat sur les personnes tuées.

Ces combats font suite à la traque des FARDC contre la Lra pour libérer trois personnes kidnappés le lundi 20 janvier dernier dans le village de Mombu au moment où elles travaillaient dans leurs champs dans la localité de Mombu dans le territoire de Bondo.

Arrivés dans la forêt de Diapedi pour libérer ces captifs, les militaires ont fait face à une résistance farouche de la Lra.

Ce qui aurait entraîné des morts parmi les personnes kidnappées tel que le souligne le commissaire de district du Bas-Uélé, Joseph Bulu Bobina.

Il a indiqué que les rebelles de la Lra seraient en débandade et ils auraient fui vers la direction du territoire d’Ango, sur l’axe Api.

La société civile locale indique que la cité de Bili ressemble à une ville fantôme depuis les affrontements. Les écoles, les services étatiques et privés ainsi que le commerce n’ouvrent plus et les paysans ne savent plus se rendre à la forêt pour leurs activités quotidiennes.

Actualité Chan 2014 : la RDC éliminée

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Crée le 27-01-2014  -03H00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALEMis à jour le  lundi  27-01-2014 - 03H15PAR: ARTV NEWS



La déception de supporteurs congolais après le nul : 1-1 contre le Mali le 28/01/2013 à Durban en Afrique du Sud. Radio Okapi/ © Don John Bompengo

La RDC a été battu (0-1) par le Ghana en quarts de finale du Championnat national des nations (Chan) 2014. L’unique but de la partie a été marqué à la 68e minute sur pénalty par Adusey, le défenseur ghanéen. Les Congolais qui ont joué le tout pour le tout n’ont pas pu revenir à la marque. Le Ghana rencontre le Nigéria en demi-finale. 

Le match commence avec une grande intensité. Dans tous les deux camps, les intentions sont claires : imposer son jeu, étouffer son adversaire et prendre le dessus au marquoir. L’enjeu n’est pas moindre : atteindre le dernier carré de la compétition.

C’est le Ghana qui se procure les premières occasions nettes de but. Kidiaba est obligé de sortir à deux reprises de sa cage pour enrayer le danger. Nous jouons les dix premières minutes.

Les Congolais vont sortir à leur tour de leur torpeur. Bangala qui a remplacé Eric Nkulukuta est très sollicité dans le côté droit, tout comme Kasusula sur le flanc gauche. Ebunga, Lusadisu et Lema viennent en appui pour tenter de trouver Mubele et Mbidi qui se permutent les ailes gauche et droite à tout moment. Tous deux tentent par la suite de trouver Jean-Marc Mundele mais le tueur du Burundi est très biens surveillé.

Toutes les balles aériennes qui lui sont destinées sont dégagées soit par la défense, soit par le gardien Adam’s, très impérial sur sa cage.

Quelques temps après, le match baisse d’intensité. Les entraîneurs le remarquent et vont remonter le moral de leurs joueurs. Des attaques et des contre-attaques vont être menées de part et d’autre, mais les vingt-deux acteurs ne trouveront pas le chemin des filets.

Ils seront renvoyés au vestiaire sur ce score de zéro but partout.

A la reprise, le coach ghanéen va effectuer des changements ; Richard Pong est remplacé par Attobra. Mais les actions tranchantes sont congolaises. Il y a la percussion, des frappes à distances, des centres venant de la gauche tout comme à droite. Mais le bourreau du jour de la RDC s’appelle Adam’s, le gardien de but ghanéen. Il enraye toutes les tentatives de Mubele, Kasusula, ou encore Mundele, très bien surveillés par la défense ghanéenne.

Le pire arrive à la 68e minute. Sur une balle de contre, Kasusula est pris de vitesse par un attaquant ghanéen. Celui-ci adresse un centre vers son coéquipier qui sera enrayé par le même Kasusula, pour la première fois. La balle retombe sur les pieds de ce même attaquant. Il centre de nouveau. Cette fois, c’est la main du défenseur congolais qui enraye l’action.

L’arbitre mauritanien n’hésite pas à siffler un pénalty en faveur du Ghana. Adusey se charge de l’exécuter et trompe Kidiaba d’un contre-pied parfait. 1-0 au marquoir.

Les Léopards son blessés et vont sortir toutes leurs griffes. Ils se jettent à l’attaque. Santos sort Mubele et fait entrer Pembele. Emomo Ngoyi remplace Lusadisu. Alors que Luvumbu prend la place de Mbidi.

Avec ces changements, la RDC accule la défense ghanéenne. Celle-ci ne se posent pas des questions pour dégager les ballons loin de leurs camps.

Mais les défenseurs ghanéens peuvent aussi compter sur un excellent portier derrière : Adam’s. Les griffes de Léopards ne lui ont as fait peur. Il aura été excellent sur sa ligne et a enrayé toutes les actions des Congolais.

Malgré les 6 minutes de temps additionnel, les Léopards ne parviendront pas à revenir au score. A un zéro pour le Ghana, les carottes sont cuites et la RDC est éliminée.

Le Ghana affrontera le Nigéria en demi-finale.

Vous pouvez revivre le live du match.

Actualité Bukavu : 4 policiers comparaissent pour meurtre d’un chauffeur

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Crée le 27-01-2014  -03H00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALEMis à jour le  lundi  27-01-2014 - 03H15PAR: LE POTENTIEL

 

Sud-Kivu

Le  tribunal militaire de garnison de Bukavu a reporté à lundi 27 janvier le procès en flagrance débuté mercredi dans l’affaire de quatre policiers accusés de meurtre d’un chauffeur à Kadutu. Jeudi, le tribunal a tenu son audience dans la salle de la commune d’Ibanda. Il a entendu les inculpés sur les circonstances  de ce meurtre, mais aussi le commandant du commissariat de police à Kadutu.

Parmi les cinq personnes inculpées dans ce procès, il y a  le commandant du commissariat de police de Kadutu qui devait comparaître comme renseignant dès mercredi. Mais il a été directement  inculpé. Le ministère public voulant mettre sa responsabilité en jeu exige des explications sur la manière dont deux armes ont été livrées à l’auteur présumé du crime à partir du magasin d’armements du commissariat.

L’audience de ce jeudi a été consacrée à l’audition de principaux inculpés sur les circonstances du meurtre de ce jeune chauffeur, mercredi vers 16 heures. Au cours de cet incident, deux personnes ont été blessées par balle.

Devant la barre, l’un des principaux inculpés a reconnu en effet avoir accouru vers le magasin d’armements du commissariat de police à Kadutu pour demander du renfort et dans l’intention de sortir du pétrin ses collègues pris en sandwich par des chauffeurs en colère autour d’un garage pirate.

Il a reçu les deux armes dont l’une comprenait quatre balles. Et pendant qu’il allait à rescousse de ses collègues pris en otage par la foule, il a pris soin de charger l’un des fusils. Il déclare cependant n’avoir pas tiré, si ce n’est deux balles sont sorties de la chambre pendant la dispute avec la foule.

Ce procès connait une assistance très nombreuse, qui se pose mille et une questions sur ce meurtre impliquant des policiers. Le tribunal entend poursuivre l’audition des témoins à charge et a décharge  pour plus de lumière sur cet incident.

LES VRAIES QUESTIONS SUR L’INTERVENTION FRANÇAISE EN CENTRAFRIQUE

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Crée le 27-01-2014  - 08H00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALEMis à jour le  lundi 27-01-2014 - 08H15PAR: ARTV NEWS

 

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MILITAIRE FRANCAIS OPERATION SANGARIS

 

 

Une analyse géopolitique de Mikhail GAMANDIY-EGOROV

 

 

La récente intervention armée de la France en République centrafricaine a ouvert un certain nombre de questions. D’une part, sur les raisons de ce conflit interne qui paraissent encore assez obscurs. Et d’autre part, si le rôle joué par la France dans ce pays serait si « bénéfique » comme le prétend ardemment l’Elysée.

 

La plupart des médias nous annoncent que le conflit centrafricain s’enlise dans des affrontements inter-religieux avec comme résultat un véritable drame humain. Mais la question qui se pose, c’est le rôle de l’Etat français dans cette crise, présenté par certains comme étant le « sauveteur ». Pourtant, l’intervention actuelle des forces armées françaises ressemble plus à la nécessité de sécuriser une fois de plus ses intérêts que par la volonté « de mettre fin à une situation humanitaire catastrophique ». Sans oublier que l’instabilité que connait la Centrafrique, ainsi que d’autres pays d’Afrique francophone est bien souvent justement due au rôle peu pacifiste de l’élite hexagonale.

 

LE CONTRÔLE DE L’ECONOMIE CENTRAFRICAINE PAR LA FRANCE MENACE PAR LA CHINE

 

A la base, il faut quand même rappeler que la République centrafricaine est un pays ayant connu dans son histoire plus ou moins récente un bon nombre de coups d’Etat dans lesquels l’Elysée ne jouait pas le dernier rôle, bien au contraire. Il faudrait aussi se rappeler que le fameux Jean-Bedel Bokassa qui s’était autoproclamé empereur, était à la base un pur produit du système de la Françafrique.

 

Aujourd’hui, les principales sociétés françaises contrôlent l’économie du pays et c’est un fait également bien connu : Bolloré, Areva, Total, France Telecom, Castel, CFAO… Tous ont leur part du gâteau. Mais à l’instar des autres pays d’Afrique, y compris francophones, la Chine a commencé sérieusement à nuire aux intérêts français depuis les dernières années. Principalement dans le domaine du pétrole dans lequel l’Empire du milieu a fait une entrée impressionnante. Preuve de ce rapprochement de la RCA avec la Chine, l’entreprise pétrolière d’Etat chinoise CNPC (China National Petroleum Corporation) a obtenu la reprise du permis de recherche, de développement et d’exploitation du site pétrolier de Boromata, situé dans le nord-est du pays.

 

Ce rapprochement rapide et dans un secteur clé comme le pétrole, entre la RPC et la RCA n’a pas seulement accentué les inquiétudes de Paris, lassé de perdre de plus en plus son influence dans ses « anciennes » colonies, mais aussi de Washington, également peu ravi des positions de force de la Chine sur le continent africain. Les câbles diplomatiques étasuniens sur cette question en sont une preuve nette. D’ailleurs en mars 2013, le désormais déchu Francois Bozizé avait affirmé sur les ondes de Radio France International (RFI) qu’il a été renversé « à cause du pétrole ».Mis à part le pétrole, Bozizé avait également commencé un rapprochement avec Pékin dans le domaine militaire, notamment à travers des programmes grâce auxquels des officiers centrafricains allaient suivre des formations en Chine. Un autre secteur que Paris a l’habitude de contrôler dans ce qu’il considère encore ses possessions.

 

LES RAISONS CACHÉES DE L’INTERVENTION FRANÇAISE EN CENTRAFRIQUE

 

Selon plusieurs spécialistes, dont le journaliste camerounais Olivier Ndenkop, auteur de l’article « Les raisons cachées de l’intervention française en Centrafrique », les raisons de l’intervention armée française seraient purement d’ordre économique et politique, et aucunement humanitaire comme l’a martelé à plusieurs reprises François Hollande.

 

Ce que l’on peut noter aussi, c’est qu’à part le désir de contrer à tout prix la colossale influence chinoise en Afrique, il s’agit également d’une volonté de limiter l’influence grandissante d’autres acteurs, parmi lesquels l’Inde ou le Brésil. Sans oublier l’Afrique du Sud qui à titre de leader du continent africain est de plus en plus appelée à avoir une participation active dans la résolution des conflits sur le continent. En effet et depuis plusieurs années on pouvait observer l’agacement de l’Elysée de voir Pretoria vouloir jouer un rôle de plus en plus important dans la résolution des conflits, y compris en Afrique francophone.

 

TOUJOURS LES INTERETS GEOPOLITIQUES …

 

Pour revenir à l’intervention française en Centrafrique, elle est loin de faire l’unanimité au sein de la population centrafricaine. Certains affirment même qu’elle ne fait qu’attiser les violences entre les différentes milices et groupes de population. D’ailleurs, une manifestation a eu lieu tout récemment dans la capitale Bangui pour protester contre la présence militaire française, accusée de « partialité » dans le conflit centrafricain. Les protestataires scandaient notamment « Non à la France » et « Hollande criminel ».

 

Le drame humain centrafricain serait donc vraisemblablement un exemple supplémentaire d’affrontements entre intérêts économiques et géopolitiques opposés. Et une fois de plus, derrière les interventions armées dites « humanitaires » se cache tant bien que mal la volonté de préserver ou d’arracher à tout prix ses dividendes plutôt que de sauver véritablement des vies humaines.

 

Mikhail GAMANDIY-EGOROV

Qui sont les journalistes qui informent les congolais de la diaspora sur internet ?

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Crée le 27-01-2014  - 08H00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALEMis à jour le  lundi 27-01-2014 - 08H15PAR: ARTV NEWS

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Actualité La situation sécuritaire demeure « volatile » au Nord et au centre du Katanga

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Crée le 27-01-2014  - 08H00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALEMis à jour le  lundi 27-01-2014 - 12H15PAR: ARTV NEWS

 

 

 

Selon la Mission de l’Organisation des Nations unies pour la stabilisation de la RDC, l’environnement sécuritaire dans cette partie du Katanga demeure volatile à cause des exactions  de ces mouvements rebelles.

En effet, ces hors-la-loi sont accusés de plusieurs exactions contre les populations civiles habitant ces territoires qui ne savent plus à quel saint se vouer.

Le 14 janvier 2014, deux civils ont été blessés à l’arme blanche et deux villages incendiés (Kipula et Kabunda, situés à 95 km au Sud-est de Manono).

Ces attaques ont été perpétrées par des miliciens du groupe Maï-Maï Bakata-Katanga, obéissant aux ordres des chefs rebelles Kasompobe et Kimpwala Banza.

Elles ont provoqué le déploiement d’environ 800 individus vers les villages de Mpiana et Kabongo, situés respectivement à 95 et 100 km au Sud de Manono, ainsi que de Manono-centre.

Du 17 au 21 janvier 2014, environ 600 maisons d’une vingtaine de localités de Pweto ont été incendiées par des miliciens Bakata-Katanga.

Des structures médicales et scolaires figurent au nombre de bâtisses détruites par ces rebelles. Pour se mettre à l’abri, les habitants des localités attaquées ont trouvé refuge en brousse. Les auteurs de ces incendies obéissent aux ordres des chefs miliciens Mandrakwa et Malusoke, très actifs dans cette zone.

Entre-temps, la poursuite des activités scolaires est compromise dans le territoire de Pweto. Les écoles incendiées étant les seules qui accueillent les enfants dans cette partie du Katanga. Dimanche 19 janvier, les miliciens Bakata-Katanga ont kidnappé deux personnes au terme d’une incursion au groupement de Kasama, à 60 km au Nord-ouest du même territoire.

Par ailleurs, ces rebelles sont accusés de pillage dans les localités de Diambala et Kakokonya, en territoire de Kipushi, dans la même province. Ces assaillants, renseigne la source, ont emporté, dans la nuit du jeudi 16 janvier, des chèvres, produits agricoles et d’autres biens de la population de ces localités. Leur incursion a semé la panique parmi les habitants dont la plupart se sont réfugiés à Sambwa, Kikanda et Lubumbashi.

En novembre dernier, ces hors-la-loi étaient accusés d’abattre des arbres et de tuer des animaux dans le parc national de Kundelungu. Situé à cheval entre les territoires de Kasenga et Mitwaba, ce parc s’étend sur 876 000 hectares.

Actualité international en RDC Des experts décident d’œuvrer en faveur de la facilitation du commerce international en RDC

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Crée le 27-01-2014  - 08H00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALEMis à jour le  lundi 27-01-2014 - 12H15PAR: LE POTENTIEL

 

 

Amélioration du climat des affaires

Le secteur des transports contribue, de manière significative, au développement du commerce, notamment au niveau international. C’est ce qui explique la tenue d’un séminaire-atelier organisé, du 22 au 24 janvier à Kinshasa, par la Cellule d’exécution du projet de transport multimodal (CEPTM) et le Comité de pilotage pour l’amélioration du climat des affaires et des investissements (CPCAI).

En effet, des experts du gouvernement, ceux du Projet de transport multimodal (PTM) ainsi que des acteurs de la Société civile se disent favorables à la facilitation du commerce international en République démocratique du Congo.

A l’issue du séminaire-atelier organisé du 22 au 24 janvier à Kinshasa, ces experts ont mobilisé les énergies nécessaires pour faire sauter les goulots d’étranglement dans le secteur des transports, considérés comme maillon important dans la facilitation du commerce international.

Organisé par la Cellule d’exécution du projet de transport multimodal (CEPTM), en collaboration avec le Comité de pilotage pour l’amélioration du climat des affaires et des investissements (CPCAI), ce séminaire-atelier a engendré, entre autres, de nouvelles possibilités d’espérer à une amélioration du climat des affaires.

En organisant ce séminaire-atelier, la CEPTM a voulu concevoir une stratégie de simplification des procédures du commerce international. Elle veut également élaborer un plan d’action y associé, comprenant l’amélioration de la gouvernance, les investissements en matériels, équipements et infrastructures de base destinés à faciliter le flux des biens le long de principaux corridors de transport pour le commerce international en RDC.

Des stratégies importantes ont été dégagées pour la mise en œuvre des recommandations déjà formulées en rapport avec l’amélioration des conditions de transport au niveau international. Question de mobiliser différentes synergies nécessaires pour faire sauter les goulots d’étranglements empêchant la bonne marche des affaires dans le secteur.

Tout a donc été mis en œuvre pour obtenir l’adhésion des parties prenantes au commerce international pour des engagements déjà pris.

Les participants à ce séminaire-atelier ont réussi à identifier certains projets pouvant immédiatement bénéficier du financement de la Banque mondiale, à travers le Projet de transport multimodal.

L’organisation de ce séminaire-atelier a également été une occasion de sensibiliser les parties prenantes tant du secteur public que privé, à l’importance à accorder à la promotion de la facilitation du commerce qui,  au bout du compte, devra contribuer à améliorer les conditions de vie des populations congolaises.

Il faut noter, par ailleurs, que la RDC est comptée parmi les membres du Cadre intégré renforcé (CIR). Un partenariat d’aide pour le commerce, consacré aux pays les moins avancés. Il s’agit d’un programme financé par plusieurs donateurs, qui soutient les PMA dans leurs efforts d’intégration au système global du commerce, les aidant à résoudre les contraintes des capacités d’offres.

Il est soutenu par un fonds d’affectation spéciale alimenté par les contributions des donateurs. L’objectif principal du CIR est de promouvoir la croissance économique et le développement durable pour aider la population à lutter contre la pauvreté.

Par facilitation du commerce, les experts entendent l’ensemble des règles, normes, réglementations,  documents, technologies, mécanismes, acceptés et appliqués de manière synergique par tous les intervenants du commerce et des transports, pour favoriser une intégration optimale des circuits mondiaux de production, de distribution et d’approvisionnement.

Ce, dans un contexte de concurrence loyale, de compétitivité et de transparence.


Actualité Revue de la presse ivoirienne

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Crée le 27-01-2014  - 08H00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALEMis à jour le  lundi 27-01-2014 - 12H45PAR: ARTV-NEWS


                                                   Revue de la presse ivoirienne

FRATERNITE MATIN

Le procès de 11 hauts gradés de la police nationale s'ouvre ce lundi 27 janvier. Parmi ces 11 officiers supérieurs figure un général dont le nom n'est pas cité. "Ils sont poursuivis pour avoir violé des consignes de leur corporation en exerçant ou ordonnant de violentes répressions de manifestants pendant la crise postélectorale alors que les ordres qu'ils recevaient étaient manifestement illégaux", indique un communiqué du commissaire du gouvernement. Qui précise qu'en raison de la présence d'un général au box des accusés l'audience s'est déplacée à la Cour d'appel d'Abidjan où siègent les assises. Selon le commissaire du gouvernement, lorsqu'un général est impliqué dans une procédure criminelle l'audience est présidée par le premier président de la Cour d'appel ou un magistrat hors hiérarchie. La note d'information du commissaire du gouvernement indique par ailleurs qu'après le procès des officiers supérieur, suivra celui de Atsain Tsin Viviane, première femme commissaire de police de Côte d'Ivoire. Elle est poursuivie par le Tribunal Militaire pour abus de confiance portant sur la somme de 400 millions de francs CFA pendant la crise post-électorale.

L'INTELLIGENT D'ABIDJAN

L'auditorium de la Caistab au Plateau (Abidjan) a accueilli le 23 janvier la cérémonie de présentation des vœux de tous les acteurs du transport en Côte d'Ivoire à leur ministre de tutelle Gaoussou Touré. Cette retrouvaille a été pour lui, une occasion de faire le bilan de l'année écoulée et d'annoncer les perspectives de l'année 2014. "2014 sera l'année des transports, eu égard au fait qu'elle consacrera le démarrage de multiples projets majeurs", s'est exprimé Gaoussou Touré. Le ministre a annoncé l'imminence du début des travaux de construction de la plus grande gare routière d'Afrique de l'Ouest à Adjamé, le démarrage des travaux de réhabilitation et d'extension du chemin de fer Abidjan-Niger, via Tambao, et celui de la voie ferrée San-Pedro-Man. Autre projet innovant pour 2014, la mise en place de la base de données du secteur du transport routier qui automatisera l'ensemble des procédures de traitements des opérations de transports sur toute l'étendue du territoire. La réhabilitation des aérodromes de l'intérieur du pays et le démarrage des travaux de construction d'un port minéralier intégré à San Pedro.

LE MANDAT

Le Parti ivoirien des travailleurs (PIT) a embouché la trompette du Front populaire ivoirien (FPI). Son président, Dr Ahizi Aka Daniel a demandé le samedi 25 janvier l'accélération du processus de réconciliation par "des gestes forts et des actions majeures". Qui, selon lui, éviteront de replonger la Côte d'Ivoire dans une crise plus grave en 2015. Pour cette année décisive qui commence, le N°1 du PIT a donc invité les Ivoiriens à la préservation de la patrie "commune". Conscient de la part de responsabilité de tous les hommes politiques, y compris lui-même, dans la crise qu'a connue le pays, il les a exhorté à leur engagement "franc et résolu" à la réparation des meurtrissures infligées aux Ivoiriens. Aux gouvernants, Ahizi Aka a présenté une série de préoccupations. S'agissant de la sécurité, le président du PIT s'est insurgé contre la présence des chasseurs traditionnels Dozos en ville. Estimant qu'"il n'y a pas de gibier en ville", il a souhaité qu'une action vigoureuse soit menée du côté du gouvernement pour que rapidement, dit-il, ce cas "anachronique" puisse être réglé définitivement. Au niveau des réformes institutionnelles, le successeur de Francis Wodié a insisté sur la recomposition de la Commission électorale indépendante. Qui, a-t-il déploré, ne peut pas continuer de fonctionner avec des entités qui ne fonctionnent plus.

Actualité La Chine condamne les violences en Egypte

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Crée le 27-01-2014  - 08H00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALEMis à jour le  lundi 27-01-2014 - 12H45PAR: ARTV-NEWS

 

 

 

 

 

                                     La Chine condamne les violences en Egypte

Le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, Qin Gang, s'est ainsi exprimé après les violences qui ont éclaté samedi dernier alors que les Egyptiens commémoraient le 3e anniversaire du début du soulèvement qui a mené à la chute de l'ancien président Hosni Moubarak.

"En tant que pays ami de l'Egypte, nous accordons une grande attention à l'évolution de la situation locale", a indiqué M. Qin.

Il a appelé les parties concernées à résoudre leurs différends par le dialogue et la négociation afin d'éviter toute effusion de sang.

"La Chine espère que l'Egypte pourra bientôt rétablir l'ordre social et la stabilité, faire avancer la transition politique de façon inclusive et stable, et réaliser le développement national", a-t-il ajouté.

Durant les célébrations de samedi, des affrontements entre les manifestants anti-gouvernementaux et les forces de l'ordre ont eu lieu dans tout le pays. Les forces de l'ordre ont dispersé des manifestants et des tentatives de sit-in, faisant 49 morts et environ 250 blessés.

La police a également arrêté dimanche plus d'un millier de manifestants pro-Morsi accusés d'incitation à l'émeute et à la violence.
 

Actualité Soudan : Des réfugiés arrivent au Soudan, un pays qui ne leur est pas étranger

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Crée le 27-01-2014  - 08H00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALEMis à jour le  lundi 27-01-2014 - 12H45PAR: ARTV-NEWS

 

                                                          Soudan : Des réfugiés arrivent au Soudan, un pays qui ne leur est pas étranger

Par une ironie du sort, des milliers de Sud-soudanais se retrouvent ainsi à retourner au Soudan, dont leur pays a fait sécession il y a moins de trois ans.

"Je ne pense pas que la stabilité va revenir", estime cette mère de famille. "Les combats vont continuer" prédit-elle, après que le gouvernement de Juba et les rebelles se sont mutuellement accusés d'avoir violé un cessez-le-feu instauré jeudi.

"Je préfère vivre au Soudan", dit-elle.

Des millions de Sud-soudanais comme Joyna avaient fui vers le Nord lors de la guerre civile de 1983 - 2005. Mais 1,8 million d'entre eux étaient retournés au Sud depuis 2007.

En septembre dernier, une étude de l'Organisation internationale des migrations (OIM) montrait que la quasi-totalité des 20.000 Sud-Soudanais vivant toujours dans des camps à la périphérie de Khartoum souhaitait revenir dans le pays de leurs ancêtres.

Possibles épidémies

Mais c'était avant que n'éclatent mi-décembre les combats entre des troupes loyales au président Salvaa Kiir et une coalition hétéroclite de déserteurs et de milices ethniques menée par le vice-président destitué, Riek Machar.

Jusqu'à 10.000 personnes auraient été tuées dans ces combats, qui auraient entraîné des viols et assassinats à grande échelle et d'importantes destructions de biens.

Selon l'ONU, 700.000 personnes ont dû fuir leur foyer dans ce pays déjà très pauvre. Plus de 112.000 d'entre elles se sont réfugiées dans des pays voisins, majoritairement en Ouganda, mais 20.000 personnes auraient également traversé la frontière vers le Soudan, estiment les Nations Unies.

"Ce n'est pas la première fois que je viens au Soudan", explique Mme Salva, dans le camp de transit installé dans la province du Nil blanc, à 30 km de la frontière avec le Sud.

"Pendant la guerre civile j'habitais à Khartoum. Et je suis rentrée au pays en 2006, après l'accord de paix". Dans le cadre de cet accord qui a mis fin à deux décennies de guerre civile, le Soudan du Sud a organisé un référendum et massivement voté pour une sécession du Soudan, effective depuis juillet 2011.

Mme Salva, infirmière et mère de sept enfant, explique être sans nouvelles de son mari, qui se trouvait à Malakal, le chef-lieu de la province du Haut Nil, théâtre d'intenses combats ces dernières semaines.

Le camp où elle s'est réfugiée est composé des dizaines de tentes blanches montées par le Croissant rouge soudanais, dans un paysage aride. Des nouveaux arrivants se sont construit des abris en attachant les bâches qu'on leur a données à de maigres arbustes.

"Nous nous attendons à des épidémies parce qu'il n'y a pas de toilettes", avertit Aman Tital, du Croissant rouge.

Il estime qu'environ 8.000 personnes habitent à Kilo 10.

"La plupart des gens sont des femmes et des enfants, ils arrivent ici épuisés par un long voyage à pied, sans manger", dit-il.

Le Croissant rouge koweïtien, l'ONU et la commission soudanaise pour l'aide humanitaire ont fourni une aide au camp sous forme de nourriture et d'abris, a indiqué M. Tital.

Ibrahim Jadin, réfugié là avec sa femme et six enfants, a lui aussi déjà habité au Soudan, près de Khartoum jusqu'en 2005, mais il préfèrerait pouvoir retourner chez lui, dans le Sud.

"Si les combats s'arrêtent au Soudan du Sud, il vaut mieux que je rentre", dit-il. "Il n'y a rien pour moi ici. Dans le Sud, je peux cultiver, j'ai un lopin de terre".

Joseph KABILA, le chiffre 13, lui portera malheur pour ses 13 années de casseroles avec ses cadavres dans son placard à la tête de la RDC

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Crée le 27-01-2014  - 21H00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALEMis à jour le  lundi 27-01-2014 - 21H00PAR: ARTV-NEWS

 

 

 

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Sur la base de la Bible, les croyances chrétiennes soutiennent ce qui suit : Lors de la Cène, dernier repas de Jésus-Christ avec ses apôtres, ils étaient 13 à table. Le 13e convive, Judas le trahira et Jésus subira la Passion. Depuis lors, on croit que le fait être 13 invités à table porte malédiction.



Selon les Chrétiens, lors de cérémonies sataniques, il y a 13 présences: douze sorcières (dont Frigga) et un diable. Après l'invasion des peuples nordiques et germaniques, et leur conversion au Christianisme, Frigga, la déesse nordique de l'amour et de la fertilité, fut bannie, envoyée au sommet d'une montagne et considérée comme une sorcière.



Depuis, chaque vendredi, la déesse pleine de rancune convoquerait onze sorcières et le diable pour comploter de mauvais tours à jouer au cours de la semaine suivante. C'est dans le 13ième chapitre du dernier livre de la Bible [chapitre de l'Apocalypse, celui de l'Antéchrist], au dernier verset qu'on retrouve la mention du nombre de la Bête, 666 (Révelation 13:18).

Notons que l'insertion de deux zéros donne 60606 = 7 x 37 x (13 x 18), d'où la coïncidence avec le passage biblique Rév. 13:18 qui traite du 666 ! ...

Comme la RDC est à majorité chrétienne, nous plaçons nos prévisions sur cette superstition qui pourra sauver le peuple congolais des griffes du diable qui est à la tête de la RDC.

Je conforte également mon propos sur, la mythologie grecque qui dans ses croyances ont développé une superstition maladive au chiffre 13 ( nombre ).

D'après la Mythologie grecque, le nombre 13 aurait un pouvoir bénéfique ou maléfique selon les événements.

La peur proviendrait du mythe prétendant qu'à un banquet organisé par douze divinités, le dieu de la Guerre et du Mal, Loki, se serait ajouté au banquet, augmentant ainsi le nombre de participants à 13. Il aurait alors tué Balder, le dieu chéri de tous et rompu l'équilibre dans les cieux.


Ulysse, parce qu’il était le 13ème de son groupe, lui, échappe à l'appétit dévorant du Cyclope. Dans l'antiquité, le nombre 13 avait déjà une double renommée.

Philippe de Macédoine, ayant ajouté sa statue à celle des douze dieux majeurs, lors d'une procession, mourut assassiné le lendemain. La Kabbale dénombrait 13 esprits du mal...


Dans le jeu de tarot, la 13ème lame n'a pas de nom : elle représente la mort avec sa faux. Elle annonce la fin de quelque chose et la renaissance d'autre chose.

Joseph KABILA, redoute-t-il cette année de ses 13 années de pouvoir despotique sans partage avec une cohorte de cadavres dans ses placards à Kingakati ?


Dans la liste macabre de ce criminel, un dernier joli trophée, l'assassinat de celui qu'on appelle aujourd'hui dans l'Est de la RDC, le messie d'une saison.

Il aurait été, le messie tout court, mais celui qui se fait appeler Joseph KABILA n'aime pas trop qu'on lui vole la vedette et surtout il veut accomplir le dessein de ses mentors, la balkanisation de la RDC.


13 ans déjà ! Comme c'est long, et aussi, le temps passe si vite. Le Marcus Junius Brutus « congolais », celui qui est venu avec des bottes de jardinier, inconnu en RDC, tombé comme un cheveu dans une soupe, profitant des largesses de celui qui était considéré comme son père, appliquera sur Mzé Laurent Désiré KABILA, le sort tragique de Jules César.


Pour histoire, Marcus Junius Brutus, Joseph KABILA ont presque la même histoire, à quelques variantes près. Brutus possédait à la fois l'image du traître par excellence, pour sa participation à la mort de César, son père adoptif. Cette similitude s'arrête sur sa traîtrise, puisque Brutus avait aussi au regard de sa traîtrise, une qualité de vertueux, et intelligent...


Le 23 octobre de l'an - 42, après avoir été défait par Marc Antoine, Brutus demande à un esclave de le tuer pour ne pas survivre à sa défaite...Il se donnera la mort !


Pour Kabila, les inquiétudes se situent à ce niveau là. Que fera-t-il en quittant la RDC ? Ou ira-t-il ?

Ce qui lui reste à faire d'après ses calculs, de se maintenir au pouvoir à n'importe quel prix, puisqu'il connaît et prédit l'issue fatale de sa vie. En réalité c'est un homme seul, malheureux et dépassé par les événements. Vivant dans la solitude du pouvoir qui l'échappe...

Il ne passe pas deux nuits successives au même endroit, tourmenté par ses démons et la peur du syndrome du 9 septembre 1990 au Liberia (Samuel Doe)...Il se refuge derrière des prises exagérées de psychotropes et produits stupéfiants pour cacher son désarroi.

Il a crée trop inimitié autour de lui, pour espérer une quelconque amélioration de la situation. Il est vomi par le peuple, un vrai désamour... !

Seule alternative qui lui reste, de mener une politique de la terreur, de la terre brûlée pour s'éterniser au pouvoir. Mais le vent tourne, et le monde ne fonctionne plus comme pendant la guerre froide.

Au pouvoir depuis 13 ans, le 26 janvier 2001 avec l'aide du vieux Pierre Victor Mpoyo pratiquement mourant, qui veut partir sans livrer les secrets de la couronne donnée à cet imposteur, confisquée par une clique de mafieux à la tête de la RDC.

Le vieux Pierre Victor Mpoyo a une lourde responsabilité d'avoir placé cet intrus à la tête de la RDC, et pour se faire pardonner, Il doit la vérité aux Congolais, pour le devoir de mémoire.

(voir l'article intéressant de Pierre Victor Mpoyo sur Reveil-FM). Une oligarchie malfaisante, sans élégance intellectuelle encore moins une culture politique. Des malfaiteurs !

Ce qui est sur, le chiffre 13 fera son effet, d'une manière ou d'une autre cette année. Pour les chrétiens, ça sera le drame pour Kabila, et pour les musulmans ça sera bénéfique pour la population, la diaspora, puisque le chiffre 13 est bénéfique dans l'Islam.

La migration du Noble Prophète (Paix et Bénédiction d’Allah soient sur lui) de Makka à Madîna est l'un des événements le plus important dans l’histoire de l’Islam. Cette migration a eu lieu en l’an treize (13) après son envoi (Paix et Bénédiction d’Allah soient sur lui)

Le Coran été révélé durant les treize (13) années de prédication à La Mecque. Ensuite, en l’an treize (13), le Noble Prophète (Paix et Bénédiction d’Allah soient sur lui) a émigré à Médine. Les Congolais de la diaspora bloqués dans la diaspora à cause de la politique de la terreur menée par Kabila est sa bande, rentreront chez eux dans toute quiétude. Le chiffre 13 joue en notre faveur !



Roger BONGOS





Actualité Nigeria : Plus de 70 morts dimanche dans deux attaques attribuées à Boko Haram

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Crée le 28-01-2014  - 11H00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALEMis à jour le  mardi 28-01-2014 - 11H59PAR: ARTV-NEWS


                                                 Nigeria : Plus de 70 morts dimanche dans deux attaques attribuées à Boko Haram

Les deux attaques - l'une contre un marché animé de l'Etat de Borno, où au moins 45 personnes ont péri, et l'autre dans l'Etat voisin d'Adamawa, avec au moins 26 morts - surviennent une semaine tout juste après l'engagement solennel du chef de l'armée d'en finir rapidement avec l'insurrection qui a fait des milliers de morts depuis 2009.

Dans l'Etat de Borno, "pour le moment, nous avons 45 morts et 26 blessés. (...) Mais ces chiffres pourraient augmenter car nos hommes sont toujours dans le village à la recherche de victimes", a déclaré le chef de la police de l'Etat, Lawan Tanko, à l'AFP.

L'attaque s'est produite vers 17H00 (16H00 GMT) dimanche: des hommes armés avaient alors investi la localité de Kawuri, dans la région de Konduga, à 37 kilomètres de la capitale de l'Etat, Maiduguri.

Des témoins ont raconté que les assaillants étaient arrivés en véhicules tout-terrain en prétendant être des marchands venus faire des affaires au marché local.

Mais leur attitude a rapidement changé, a expliqué un des témoins, Isa Ibrahim: "Inconnus des habitants, les hommes armés ont installé des bombes artisanales à divers endroits stratégiques de la ville avant d'attaquer la population".

Plusieurs habitations et véhicules ont été incendiés avant que les hommes armés prennent la fuite, a-t-il ajouté.

M. Tanko a attribué l'attaque à "la secte Boko Haram". Il n'a pu confirmer l'utilisation d'explosifs mais a précisé qu'une équipe de démineurs avait été envoyée à Kawuri pour rechercher d'éventuelles munitions non explosées.

26 morts dans un autre village

 

Dans l'Etat d'Adamawa, "d'après des informations fournies par la police, 26 personnes ont été tuées dans l'attaque, dont deux policiers, qui ont pris les assaillants pour des soldats parce qu'ils portaient des uniformes militaires", a déclaré à l'AFP le porte-parole du gouvernement locale, Ahmad Sajo.

"17 des victimes ont été abattues. (...) Pour le moment, nous ne savons pas qui étaient les assaillants. Nous attendons cette information des services de sécurité", a-t-il ajouté.

Un nombre non précisé de blessés ont été pris en charge par les secours, a encore dit le porte-parole.

Des membres des services de secours ont indiqué que cette attaque avait eu lieu dans le village de Waga Chakawa, dans l'Etat d'Adawama.

Selon des témoins, des hommes armés auraient tiré dimanche sur une église catholique et incendié des maisons.

"Il n'y a pas de détails précis, parce qu'il s'agit d'une question de sécurité", a déclaré Abdulkadir Ibrahim, porte-parole de l'Agence nationale des situtations d'urgence (NEMA).

"La Croix-rouge et la NEMA dans l'Etat d'Adamawa sont mobilisées. Elles sont sur le terrain, s'attachant à aider ceux qui ont perdu leurs maisons", a-t-il expliqué.

L'armée nigériane, qui mène depuis mai dernier une vaste opération dans le nord-est insurgé où l'état d'urgence a été décrété, se félicite d'avoir chassé le groupe islamiste armé des villes, moyennes et grandes.

Néanmoins, les assauts continuent et contraignent des milliers de civils à fuir vers les pays voisins, le Cameroun, le Niger et le Tchad, montrant qu'à l'évidence une stratégie purement militaire ne permettra pas de mettre fin au conflit.

Boko Haram veut établir un Etat islamique dans le nord du pays, majoritairement musulman.

Le tout nouveau chef d'état-major de l'armée du Nigeria, Alex Badeh, avait déclaré le 20 janvier vouloir en finir rapidement avec l'insurrection. Cette annonce survenait au lendemain d'une autre attaque sanglante, qui avait fait 18 morts dans la ville de Jere, proche de Maiduguri, fief du groupe Boko Haram.

"La situation sécuritaire dans le nord-est doit être complètement réglée d'ici avril 2014", avait déclaré le maréchal de l'air Alex Badeh, 57 ans, après sa cérémonie de prestation de serment comme chef de l'armée dans la capitale fédérale, Abuja.

Actualité L'ex-champion du monde Garry Kasparov à Dakar pour promouvoir les échecs

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Crée le 28-01-2014  - 11H00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALEMis à jour le  mardi 28-01-2014 - 11H59PAR: ARTV-NEWS


                                                      L'ex-champion du monde Garry Kasparov à Dakar pour promouvoir les échecs

  L'ancien champion d'échecs Garry Kasparov rencontre le Premier ministre du Sénégal Aminata Touré à Dakar le 27 janvier 2014

Arrivé dimanche au Sénégal, M. Kasparov s'est rendu à Gorée, île mémoire de la traite transatlantique au large de Dakar et a eu des entretiens avec les autorités sportives avant d'être reçu lundi en fin de journée par Mme Touré, ont indiqué les services du Premier ministre et le ministère des Sports.

"Kasparov entend, à travers son séjour, aider au développement du jeu d'échecs en milieu scolaire au Sénégal par le biais de sa +Kasparov Chess Foundation+ qui opère déjà à travers le monde entier", selon un communiqué des services du Premier ministre.

Selon le ministère des Sports, il s'était rendu lundi matin dans une école de Dakar comptant près de 4.500 élèves. Il devait quitter le Sénégal dans la nuit de lundi à mardi.

L'ex-champion du monde d'échecs, 50 ans, de nationalité russe, est également une des figures de l'opposition au président russe Vladimir Poutine.

Via sa fondation, il prône l'introduction des échecs dans les programmes scolaires à travers le monde.

Le Sénégal est le deuxième pays d'Afrique subsaharienne qu'il visite après l'Afrique du Sud, d'après le président de la Fédération sénégalaise des échecs (Fesec), Boubacar Diallo, cité par le quotidien privé sénégalais L'EnQuête.

Actualité Congo : Pénurie de carburant à la capitale congolaise

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Crée le 28-01-2014  - 11H00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALEMis à jour le  mardi 28-01-2014 - 11H59PAR: ARTV-NEWS


                                                   Congo : Pénurie de carburant à la capitale congolaise

"Plusieurs stations-service de la ville sont en rupture de carburant depuis samedi dernier et trouver de l'essence devient difficile", a déploré Serge Mounkassa, 35 ans, chauffeur de taxi.

De longues files de voitures se sont formées dans les stations-service qui disposent encore de carburant. "Cela me fait 6 heures d'attente ici à la station et je ne suis pas toujours servi, alors que j'ai le réservoir à sec", a fait remarquer Claude Babingui, 41 ans, chauffeur dans une entreprise de bâtiment.

Aucune explication officielle n'a encore été fournie sur cette pénurie. Par le passé, Brazzaville a été confrontée à des pénuries de carburant dues à des difficultés de transport par le Chemin de Fer Congo Océan (CFCO) qui doit acheminer les produits pétroliers de la capitale économique, Pointe-Noire, à Brazzaville.


Actualité Combat G. Foreman Vs Mohamed Ali : 40 ans déjà

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Crée le 28-01-2014  - 11H00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALEMis à jour le  mardi 28-01-2014 - 12H20PAR: ARTV-NEWS

 

 

 

 

 

Le Zaïre de l’époque s’était fait parler de lui à travers, ce que l’on avait baptisé « Rumble in the jungle ». Tous les regards du monde entier ont convergé sur Kinshasa, devenu la capitale mondiale de la boxe. Le 29 octobre 1974 jusqu’au 1er novembre 1974, une ambiance particulière avait élue domicile en République démocratique du Congo, ex-Zaïre. Cette page de l’histoire du pays ne devra pas passer sous le signe de la méditation. Loin s’en faut !

40 années après, une célébration avec faste s’impose. Une initiative allant dans ce sens germe et prend racine avec Divo. Déjà, une chanson ayant regroupé les artistes américains, congolais, indiens et arabes est arrivée à la phase finale de sa réalisation, confie Deo Kasongo de l’agence Divo. « On est à 90% des travaux », laisse-t-il entendre avec un brin de satisfaction non feinte. La chanson s’intitule « Let’s Congo rise » qui se traduit par « Laissez le Congo se réveiller ».

La présence des artistes américains se justifie par le fait que les deux boxeurs de renom sont d’origine américaine. Les Congolais Lokwa Kanza, Papa Wemba, Bill Clinton sont évidemment concernés au premier chef d’autant plus que cette célébration est une affaire congolaise. Les artistes indiens et arabes sont associés à la fête en vue de permettre à la forte communauté indienne et arabe vivant en RDC de partager ces moments d’intenses émotions avec les Congolais.

L’encadrement de l’Etat pour ce méga projet de 7,5 millions USD est plutôt une obligation républicaine. Cette chanson, qui inaugure la première phase d’une série d’activités prévues à l’occasion de cette célébration, sera suivie d’autres étapes intéressantes les unes plus que les autres. 

« Let’s Congo rise »

Généralement, s’il faut chanter pour la République démocratique du Congo, la mobilisation des artistes de grande renommée n’est acquise que lorsqu’il s’agit des catastrophes, du viol des femmes, du recrutement d’enfants soldats, de la guerre et ses méfaits. Jamais, ce pays présent à la majorité des rendez-vous historiques n’est chanté en bien.

Une première avec « Let’s Congo rise », « Laissez le Congo se réveiller », « Tika Congo elamuka », le ton est à la reconnaissance du mérite de ce grand pays qui a organisé le combat du siècle. Un événement qui a réuni l’unanimité suite à son rayonnement international.

Les médias américains l’ont consacré suite au succès récolté à l’occasion. Forbes et Times, ainsi que d’autres médias ont embouché le même langage. Une unanimité qu’on n’a jamais réunie autour de la RDC.

« Let’s Congo rise » sort de l’ordinaire. Enregistrée dans des conditions technologiques et artistiques au sommet, c’est un vrai régal que de suivre cette chanson réalisée suivant les normes internationales en la matière. Le clip de cette chanson sera tourné à Kinshasa, assure Deo Kasongo qui vient de boucler une tournée aux USA à ce sujet.

Vivement un musée

Le coup réussi par Don King a coûté au Zaïre de Mobutu 10 millions USD. Cet héritage profite-t-il aux Congolais et au pays ? Répondre par l’affirmative serait versé dans la complaisance. L’hommage rendu à l’homme noir à l’occasion de ce combat du siècle doit profiter aux Congolais. Un musée permettant de retracer cet événement est susceptible d’attirer des touristes, synonyme d’importantes rentrées des devises pour le pays. Le ring, les gangs, les photos… peuvent être des objets sujets à des curiosités pour des visiteurs de plusieurs nationalités.

Actualité Sénat : plaidoirie pour la modernisation de l’aéroport de Kavumu

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Crée le 28-01-2014  - 11H00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALEMis à jour le  mardi 28-01-2014 - 12H20PAR: LE POTENTIEL

 

La seconde lecture de la loi de finances pour l’exercice 2014, en cours au niveau de la Chambre haute du Parlement, requiert la prise en compte de tous les axes stratégiques, en l’occurrence le secteur de transport aérien.

C’est dans ce cadre que s’inscrit l’intervention du sénateur Michel Ciribagula. A la suite de la présentation par le vice-Premier ministre et ministre en charge du Budget, Daniel Mukoko Samba, du projet de loi de finances pour l’exercice 2014, cet élu des élus du Sud-Kivu, a appelé le gouvernement central à intégrer dans ce projet de loi, les travaux de modernisation de l’aéroport de Kavumu de Bukavu, dans le  Sud-Kivu devant permettre la construction allongée de la piste de plusieurs centaines de mètres.

Pour ce sénateur, l’exigüité de la piste présente non seulement un danger permanent lors des décollages et des atterrissages des aéronefs, mais aussi un manque à gagner énorme pour la province dans la mesure où, des vols à destination du Sud-Kivu sont orientés vers Goma, chef-lieu de la province du Nord-Kivu.

A l’instar d’autres infrastructures aéroportuaires du pays, l’aéroport de Kavumu avec un fonctionnement archaïque, connaît plusieurs difficultés liées à sa gestion matérielle et technique. La situation pour certains observateurs dans ce secteur, résulte du défaut de gestion et de financement public-privé et d’une absence de projet d’aménagement du territoire et de société en vue de créer un complexe aéroportuaire moderne répondant aux critères de développement durable, digne de la région des Grands Lacs.

Par ailleurs, faisant d’une pierre deux coups, le sénateur Michel Ciribagula a également demandé la réhabilitation de la route Bukavu-Uvira, d’une importance capitale pour l’économie de la province.

Dans un état de délabrement «très avancé », cette route oblige les usagers à passer par le Rwanda pour se rendre à Uvira, la deuxième ville de la province, avec toutes les taxes à payer dans ce pays voisin, a-t-il fait remarquer. 

La voix haussée du sénateur Michel Ciribagula est consécutive aux plaintes des habitants de Bukavu qui s’interrogent sur la gestion des recettes perçues par les Fonds national pour l’entretien routier (Foner), au regard du délabrement constaté sur cette voie.

L’aménagement ou la construction des infrastructures de base fiables et de bonne qualité étant vital pour le développement de l’activité économique, la population attend donc vivre la matérialisation des objectifs prioritaires à atteindre par le gouvernement dans son programme d’action.

Actualité 66 villages incendiés au Katanga en cinq mois

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Crée le 28-01-2014  - 11H00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALEMis à jour le  mardi 28-01-2014 - 12H20PAR: LE POTENTIEL

 

 

 

Après l’incendie, du 17 au 21 janvier 2014, d’environ 600 maisons dans une vingtaine de localités du territoire de Pweto, des membres d’organisations humanitaires ont indiqué, le dimanche 26 janvier dernier, que ces miliciens « indépendantistes » ont incendié 66 (soixante-six) villages durant les cinq derniers mois.

Le Journal en ligne de radio Okapi, qui le fait savoir, renseigne que « selon les mêmes sources, ces attaques ont causé le déplacement de plus de 500 000 personnes dans cette région ». Et que ces hors-la-loi  « brûlent ces villages pour punir la population qui s’était rangée derrière l’armée lors des affrontements de novembre 2012 ».

La source signale que « vingt-huit villages ont été incendiés à Mitwaba, essentiellement dans les chefferies de Balomotwa et Kyona Nzini ; vingt-deux à Pweto dans les chefferies de Kyona Ngoy et Kizabi ; onze à Malemba Nkulu, dans la chefferie de Museka et six villages à Manono ».

Comme on peut le constater, l’axe « Mitwaba-Pweto-Manono ne constitue plus seulement le triangle de la mort mais aussi celui de la terre brûlée », affirment ces humanitaires. Pour qui il faut ajouter à ces territoires celui de Malemba Nkulu. Ils font remarquer que, pour le seul mois de janvier 2014, seize villages ont été incendiés dans ces territoires.

Selon le coordonnateur de l’ONG humanitaire MEEDAF, note radiookapi.net, « les Bakata-Katanga incendient des villages entiers, y compris des écoles, centres de santé et églises, parfois sans rien emporter et sans tuer ». Dans le territoire de Pweto, la poursuite des activités scolaires est compromise, car les écoles incendiées et des manuels scolaires brûlés.

Le site web de radio Okapi rapporte que le bureau d’Ocha à Lubumbashi indique qu’il est difficile de mettre en place un plan adéquat d’assistance, car les mouvements des populations sont devenus quotidiens. A noter que, pour se mettre à l’abri d’attaques de ces miliciens, les habitants des localités attaquées trouvent refuge dans la brousse. Et que les auteurs de ces incendies obéissent aux ordres des chefs miliciens Mandrakwa et Malusoke, très actifs dans cette zone.

Pour rappel, des combats avaient opposé les Forces armées de la RDC (FARDC) aux Bakata-Katanga en novembre 2012 dans le territoire de Manono, faisant 23 morts parmi les miliciens, selon les Forces armées de la RDC. Quatre militaires avait également été tués et une dizaine d’autres blessés, selon des sources de la région.

Actualité Katanga: la Monusco plaide pour la formation des policiers

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Crée le 28-01-2014  - 11H00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALEMis à jour le  mardi 28-01-2014 - 12H20PAR: LE POTENTIEL

 

 

Lors de sa visite de travail à l’école de formation de la police de la Kasapa, Abdallah Wafi, a indiqué que plusieurs provinces de la RDC ont bénéficié de ce programme de formation des policiers. « Je constate quand même que la province du Katanga n’a pas bénéficié de cet important programme », a-t-il déclaré avant d’ajouter : « Nous avons mis l’accent beaucoup plus dans le Sud-Kivu, le Nord-Kivu surtout, l’Ituri (Province Orientale) je pense que ce n’est que justice d’essayer de voir comment nous allons essayer de réajuster [notre appui] pour que ce soit au niveau des programmes de formation mais qui vont concerner les policiers des autres districts du Katanga ».

Depuis 2010, la RDC a lancé un programme de la réforme de la police et de l’armée. Ce programme bénéficie de soutien de beaucoup de partenaires dont la Monusco. Plusieurs provinces ont bénéficié des formations continuelles. Mais dans le Katanga, la première formation a débuté en octobre 2013 avec la réouverture de l’école de formation de la police de la Kasapa.

Elle a été fermée depuis dix ans. Cinq cents policiers sont en formation pour une durée de six mois pour renforcer leurs capacités opérationnelles.La Monusco dit avoir déjà mobilisé plus de trente millions de dollars américains pour la formation de la Police nationale congolaise (PNC) dans les tous les territoires du pays, depuis le lancement de ce programme de reforme, a précisé Abdallah Wafi.

« Nous avons mobilisé plus de trente millions de dollars américains rien que dans les formations de la PNC je ne vous parle pas de projets de police de frontière dans l’Est. Je vous parle uniquement de programme de formation avec des partenaires comme l’agence de coopération japonaise JK, avec l’Usaid ou les britanniques », a-t-il ajouté.
Le Katanga est en proie à l’insécurité depuis quelques mois dans les territoires de Manono, Pweto et Mitwaba surnommés « triangle de la mort ».

Plus de  350 cas des violences sexuelles ont été enregistrés entre janvier 2011 et  juin 2013 dans ces territoires à cause des violences perpétrées par des milices.

Actualité Sud-Kivu : des hommes armés signalés dans les moyens plateaux, à Fizi

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Crée le 28-01-2014  - 11H00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALEMis à jour le  mardi 28-01-2014 - 12H20PAR: LE POTENTIEL

 

La situation sécuritaire n’est pas reluisante dans les moyens plateaux du secteur de Tanganyika, en territoire de Fizi. Et pour cause. La présence des groupes armés est observée dans cette partie de la province du Sud-Kivu, rapporte radiookapi.net.  

Préoccupé par la psychose qui habite ses administrés, le chef de secteur, John Mulondani, a indiqué, le samedi 24 janvier que la présence de ces miliciens « perturbent les activités de la population locale ».

Parmi les groupes armés identifiés  dans ces moyens plateaux, figurent, entre autres, les Maï-Maï Yakutumba, Bwakasala et Mayele, précise le chef de secteur. Avant de noter que ces forces négatives sont positionnées  sur les montagnes qui surplombent le secteur de Tanganyika.

Se confiant à la radio onusienne, John Mulondani a déclaré : « Il y a la population qui a des champs vers les montagnes et ne sait plus y accéder, à cause de la présence d’éléments armés. Il en est de même des creuseurs artisanaux qui vont dans les montagnes pour chercher de l’or, mais qui ne peuvent pas y aller pour la même raison ».

Par ailleurs, le chef de secteur a affirmé que les troupes gouvernementales sont en train de traquer ces miliciens. Mais, son souhaite est de voir ces hors-la-loi se rendre le plus tôt possible aux Forces armées de la RDC pour être démobilisés.

Pour permettre à la population civile de vaquer paisiblement à ses occupations, le gouvernement central est appelé à déployer un nombre important de FARDC dans ce territoire. Surtout, quand on sait que le climat d’insécurité ne favorise pas le développement d’une contrée.

Dans cette optique, certains observateurs invitent le gouvernement à traquer ces miliciens à l’instar des rebelles du M23 qui, à l’époque ont causé beaucoup de dégâts dans les localités sous leur contrôle. Avant de noter que le rétablissement de l’autorité de l’Etat dans les moyens plateaux de Fizi est d’une importance capitale. Car le développement de cette contrée en dépend.

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