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Channel: AFRIQUE REDACTION . L'information en continu ! Afrique au cœur de l’actualité...Infos News sur la RDC, les brèves de la dernière minute. Synthèse sur l’actu internationale. rdcongo-kinshasa, Nord et Sud KIVU, Kinshasa, Bas Congo, Dongo, Equateur, Maniema, Lubumbashi, les deux Kasai. Rédacteur en Chef : BONGOS Roger
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Actualité Ituri: 11 000 armes récupérées auprès des civils

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Crée LE 08-08-2014  - 11H20 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOURLUNvendredi le 08-08-2014 -18H20 PAR : RADIO OKAPI

 
 
Dans un dépôt d’armes à Kinshasa. Radio Okapi/ Ph. John Bompengo

Plus de onze mille armes légères et de petit calibre ont été récupérées en Ituri (Province Orientale) au cours de l’opération «Arme de développement», lancée depuis mars dernier par les autorités de la République démocratique du Congo (RDC). La cité de Bunia, chef-lieu de district, arrive en tête avec 7 929 armes collectées. Ces armes sont remises contre des motos, vélos, moulins, pagnes, tôles et autres biens.

Ces chiffres ont été annoncés, vendredi 8 août matin, à Mahagi par le coordonnateur de la commission “Désarmement civil volontaire/Ituri, lieutenant-colonel Benoit Schilo Kalaly Kause, lors de la réunion d’évaluation de cette opération.

Selon le lieutenant-colonel Benoit Schilo Kalaly Kause, ces armes ont été récupérées à Bunia, Fataki, Libi et Mahagi. D’après lui, le grand lot provient de Bunia, où 7929 armes légères et de petit calibre ont été collectées. Il s’agit, selon lui, des  AK, calibre 12, grenades, mine antichar, mortiers et autres munitions.

«Il faudrait entendre par armes légères et de petit calibre, les fusils et munitions, bombes et grenades y compris», a-t-il expliqué, ajoutant que les sensibilisateurs n’ont pas eu assez de temps pour mener cette opération, à Mahagi.

«Deux semaines de sensibilisation et de collecte en même temps, nous trouvons que ça n’a pas été suffisant. Mais, nous sommes confrontés au problème budgétaire..», a affirmé cet officier des FARDC.

Conséquence, l’opération n’est pas achevée dans le territoire de Mahagi. «Jusqu’aujourd’hui [vendredi], les gens continuent d’amener des armes, parce qu’ici il y a de longues distances à effectuer. Nous l’avons compris. Mais, nous rentrons pour faire rapport à la hiérarchie. Et je suis sûr que, prochainement, on nous donnera un peu plus de temps pour que l’on puisse faire un travail minutieux ici à Mahagi», a souhaité le lieutenant colonel Benoit Schilo Kalaly Kause.

Cette opération, dénommée «Arme de développement» a été lancée à Bunia au mois de mars dernier par le gouvernement de la République démocratique du Congo, au travers de la commission nationale de contrôle des armes légères et de petit calibre et de la réduction de la violence armée, avec l’appui du Pnud.


Actualité Kinshasa : une cambiste abattue à Kintambo-Magasin

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Crée LE 09-08-2014  - 11H20 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOURLUNsamedi le 09-08-2014 -13H20 PAR : RADIO OKAPI

 

 

 

                                                           

 

 

Une trentenaire, changeur de monnaie, a été abattue la nuit du vendredi 8 août à Kintambo-Magasin, dans le centre de Kinshasa, par des voleurs armés. Selon des témoins, trois hommes ont ordonné à la victime de leur remettre son sac à main, espérant y trouver de l’argent. La dame a tenté de se réfugier dans une pharmacie, mais l’un des voleurs l’a poursuivie et abattue avant de lui prendre son sac. La police a annoncé l’ouverture d’une enquête.

 Selon des témoins, l’incident a eu lieu aux alentours de 20 heures, à l’arrêt de l’UPN, à Kintambo-Magasin.

Après que l’un des trois hommes a ordonné à la victime de leur remettre son sac, celle-ci s’est précipitée dans une pharmacie, à quelques mètres de là.

L’un des voleurs l’a rattrapée, avant qu’elle n’ait eu le temps de se cacher, et a ouvert le feu sur elle. Criblée de balles, la victime est morte sur le coup.

Le voleur a ensuite tiré dans la jambe d’un client trouvé dans la pharmacie, puis assené un coup de crosse au pharmacien avant de s’en aller, le sac de la cambiste sous le bras.

Selon des témoins, on ne connaissait pas d’ennemis à la victime, qui ne disposait pas d’un capital considérable.

Les changeurs de monnaie sont souvent la cible de voleurs armés à Kinshasa, qui en ont après leur argent.

Les forces de sécurité, la police notamment, sont souvent accusées de ne pas faire grand-chose pour empêcher ces attaques.

Actualité Nord-Kivu : la population fuit les affrontements entre l’armée et les Maï-Maï Cheka

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Crée LE 09-08-2014  - 11H20 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOURLUNsamedi le 09-08-2014 -13H20 PAR : RADIO OKAPI

 

 

 

 

 

                                                                      Un militaire des Forces armées de la RDC à Kibati (Nord-Kivu) non loin de loin Kanyesheja où des accrochages ont opposé mercredi et jeudi 12 juin 2014 l'armée congolaise et rwandaise à la frontière de deux pays.

 

Plusieurs ménages ont fuit les violents combats qui opposent depuis vendredi 8 août les Forces armées de la RDC (FARDC) aux combattants Maï-maï du Nduma defense of Congo (NDC) du chef milicien Cheka. Ces affrontements ont lieu dans la région d’Angowa et de Kabombo, dans le nord-est de Walikale, sur la route qui mène vers Kisangani, chef lieu de la Province Orientale. Les FARDC tentent de déloger à nouveau ces miliciens qui ont réoccupé cette région après leur retrait.

 L’armée a lancé son offensive dans cette région dès vendredi matin. Selon les responsables de la police à Walikale, elle, a mis à contribution son armement lourd pour déloger Cheka et ses hommes.

Ces miliciens sont revenus dans cette région minière, le 4 août dernier, à la faveur de l’absence des FARDC, parties se ravitailler en armes et munitions.

Le bilan de ces affrontements n’est pas encore connu, les responsables militaires à Walikale étant restés injoignables.

La police locale signale cependant que plusieurs familles ont déjà fui vers Mubi, en groupement Utunda, et Njingala, en groupement Watsa.

C’est depuis le 30 juin dernier que les opérations militaires se déroulent à Walikale contre les combattants NDC.

Ces derniers ont déjà perdu plusieurs des positions qu’ils occupaient, notamment dans les groupements Luberiki, Watsa et Ihana.

 

VIDEO : La modification de la constitution au Congo-Brazzaville fait couler beaucoup d'encre en Afrique.

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Crée LE 09-08-2014  - 11H20 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOURLUNsamedi le 09-08-2014 -13H20 PAR : ARTV NEWS

 

 

Dr-Innocent-PEYA--Entre-le-bon-sens-et-l-alternance-absolue.jpg

La modification de la constitution au Congo-Brazzaville fait couler beaucoup d'encre en Afrique.

Le Dr Lieutenant Colonel Innocent PEYA de retour de son voyage à Washington, là où il a été invité officiellement grâce à son livre : " Entre le bon sens et l’alternance absolue " l'Afrique à la croisée des chemins, fait  sensation au congrès américain, en faisant, la métaphore avec "le Mythe de la termitière" pour justifier le maintien au pouvoir de Denis Sassou Nguesso.
Il fait le bilan positif de son président à la tête de son pays à la vieille des festivités (commémorations) de l'indépendance du Congo-Brazzaville, le 15 aout 2014...

 

 

 

Le Congo Dream de Louda Abonckelet

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Crée LE 09-08-2014  - 11H20 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOURLUNsamedi le 09-08-2014 -13H20 PAR : ARTV NEWS

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Une fois l'an, Loudmila Guira Abonckelet célèbre la Journée internationale de la femme du 8 mars, le cœur chargé de projets. Née en Ukraine, précisément à Kiev dans l'ex-Urss, cette mère d'enfants âgée de 40 ans n'est pas du genre à rester volontairement une femme au foyer. Cadre en assurances durant plusieurs années à Paris, elle est depuis 2008 présidente de « Prodman Événementiel » et vice-présidente du comité Miss Congo-France. Début 2014, elle a ajouté une nouvelle facette à son dynamisme en devenant présidente du Club des femmes cadres et entreprenantes du Congo.

 

Miss Congo-France est un cadre d'unité entre les deux Congo et la France

 

Parlant du bilan qu'elle peut faire, à ce jour, de son action dans l'événementiel et particulièrement au comité Miss Congo-France, elle confie : « le bilan est satisfaisant en termes d'engouement, de couverture publicitaire et d'impact. Chaque année, les demandes des candidates affluent et le public est de plus en plus nombreux. Les liens entre les deux rives sont consolidés car l'élue représente la beauté du Congo Kinshasa et celle du Congo Brazzaville en France. Ce n'est pas rien ». La lauréate cette année du prestigieux concours, Élise Bouala, originaire du Congo Brazzaville a succédé à Bénédicte N'giambila, originaire de Kinshasa, au salon Hoche des Champs-Élysées devant plusieurs centaines d'invités.

 

Préoccupée par la condition de l'enfant, elle s'implique également dans l'insertion professionnelle des femmes dans le domaine socio-économique. Bien que déterminée, elle sait que l'aboutissement effectif de ses projets d'entraide ne sera pas une sinécure. Quoi qu'il en soit, si elle a foi en la nouvelle dynamique féminine entrepreneuriale congolaise, elle n'oublie pas pour autant que, malgré les acquis de ces dernières années, la société congolaise reste imprégnée de valeurs traditionnelles et conservatrices.

 

Femme au travail et alphabétisation en zones rurales

 

« La femme ne doit pas avoir pour volonté de vivre aux dépens de l'homme », pense-t-elle. Les portraits emblématiques comme ceux de Funmilayo Kuti, Miriam Makeba, Wangari Muta Maathai, Ngozi Okondjo-Iwéala ou encore Mère Teresa l'ont inspirée et ont fini par être une source d'espérance pour elle. Comme chaque fois qu'elle a eu un drame dans sa vie, cette femme courageuse, à l'indépendance assumée, fait mine de crâner, les mains dans les poches avant de son jean couleur azur. A Paris ou en Afrique, lors des échanges avec différents publics, elle n'hésite pas à encourager les femmes à aller de l'avant, prenant parfois en exemple ses compatriotes Maître Rama Ntandou Ly, notaire à Brazzaville, Maître Rinala Aya, avocate au barreau de Paris ou encore Édith Itoua, conseiller à la Diaspora à la présidence de la République du Congo.

 

« Nous nous devons d'agir pour inciter les femmes à se prendre en charge. Les pouvoirs publics ne peuvent être au four et au moulin. Le souhait est de les voir plus présentes dans les milieux des affaires et les cercles décisionnels. Non pas pour faire de la figuration, mais pour changer la vie. C'est là que réside notre combat ». A l'automne prochain, en association avec son frère Duc-Teddy Abonckelet, cette catholique choquée par la pédophilie des prêtres sera à la manœuvre d'une télé-réalité au Congo Brazzaville. « Les fonds récoltés vont nous permettre d'apporter une aide dans le domaine de l'alphabétisation car l'instruction est un droit pour tous, même lorsqu'on est démuni», affirme-t-elle. Battante et convaincue que l'avenir du Congo ne se fera pas sans « celles qui donnent la vie », sa volonté de poursuivre, à sa modeste place, la lutte pour l'émancipation de la femme africaine est permanente.

 

Franck CANA

LinkedIn, réseau social professionnel, a été contraint à verser 6 millions de dollars à d'anciens employés en salaires impayés.

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Crée LE 10-08-2014  - 11H20 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOURLUNDIMANCHE le 10-08-2014 -13H20 PAR : ARTV NEWS-RTL

Heures supplémentaires : LinkedIn a dû verser 6 millions de dollars

 

LinkedIn, réseau social professionnel, a été contraint à verser 6 millions de dollars à d'anciens employés en salaires impayés.

Le siège de LinkedIn, en Californie, le 11 février 2011. (archives)
Le réseau social professionnel LinkedIn, qui n'avait pas assez payé d'anciens employés pour leurs heures supplémentaires, a versé près de 6 millions de dollars pour régulariser sa situation. Cette somme correspond au remboursement des émoluments (3,3 millions de dollars), auxquels s'ajoutent des dommages-intérêts (2,5 millions) pour d'anciens salariés basés en Californie, dans l'Illinois, dans le Nebraska et à New York, a précisé le département du Travail des États-Unis.


"Cette entreprise a montré beaucoup d'intégrité en coopérant pleinement avec les enquêteurs et en payant sans hésitation pour rembourser les salariés", a déclaré David Weil, administrateur au département du Travail. "Nous sommes aussi très satisfaits de voir que LinkedIn s'est engagé à prendre des mesures pour se conformer à la loi à l'avenir".

Coopération

Les enquêteurs du département du Travail avaient découvert que le réseau social n'avait pas enregistré correctement ni payé toutes les heures travaillées par certains de ses employés. LinkedIn a convenu avoir violé la loi car il ne disposait pas des bons outils pour gérer une certaine partie de ses commerciaux et référencer correctement leurs heures travaillées. Il dit avoir commencé à régulariser ses pratiques avant même que l'enquête du département du Travail ne soit lancée.

"LinkedIn a fait tous les efforts possibles pour s'assurer que chaque employé impacté touche tout ce qui lui est dû", a réagi le réseau social dans un communiqué.

Actualité Nord-Kivu: les autorités appelées à interdire la vente des alevins à Lubero

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Crée LE 10-08-2014  - 11H20 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOURLUNdimanche  le 10-08-2014 -13H20 PAR : RADIO OKAPI

 

 

                                                                 Des poissons et crevettes de la pêche artisanale au mois de mai 2013, au bord de l’océan Atlantique à Moanda en République Démocratique du Congo. ©Don John Bompengo

 

 

 

 

La société civile du territoire de Lubero appelle les autorités du Nord-Kivu à interdire la vente des alevins et sanctionner les auteurs impliqués dans la pêche illicite sur le lac Edouard. Le président de cette structure a lancé son appel, samedi 9 août, après avoir constaté la montée du commerce de ces fretins sur les marchés des localités de Lubero notamment à Kamandi, Vuhoyo, Mighobwe, Kayna et Kaseghe. 

Joseph Malikidogo, a dénoncé la pratique de la pêche illicite qui, selon lui, diminue sensiblement les poissons Tilapia dans le lac Edouard.

Pour sauvegarder les écosystèmes, il a ainsi plaidé pour la mise en application de la règlementation de la pêche dans ce lac:

«Nous ne sommes pas les seuls à bénéficier de cette ressources, donc nous sommes obligés à les protéger pour notre génération et des générations futures. La pêche illicite et la vente des alevins sont à la base de plusieurs déviations qui menacent les violations des droits de l’homme sur côte du Lac Edoaurd».

Joseph Malikidogo a par ailleurs indiqué qu’il y a des cas d’assassinats, des blessés par balles, des taxes illégales et des arrestations arbitraires qui troublent la quiétude des communautés dans la côte du lac Edouard.

«Devant ce comportement qui fragilise l’autorité de l’Etat dans cette zone, nous demandons au service ayant en charge la protection des ressources halieutiques de bien vouloir mener des enquêtes et de sanctionner les auteurs impliqués dans la pêche illicite et vente des alevins », a poursuivi le président de la société civile de Lubero.

Des pêcheurs opérant sur le lac Edouard à Kanyabayobga étaient accusés, en novembre 2013, d’utiliser illicitement plus de quatre cents enfants âgées de 12 à 17 ans, dans cette activité. L’ONG Centre de recherche sur l’environnement, la démocratie et le droit de l’Homme (Creddho) avait qualifié cette pratique de «violation grave des droits des enfants».

Actualité Kinshasa: 3 mois de prison contre 4 femmes vendeuses des drogues à Makala

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Crée LE 10-08-2014  - 11H20 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOURLUNdimanche  le 10-08-2014 -13H20 PAR : RADIO OKAPI

 

 

                                                                       Une vue du bâtiment abritant la salle d'audience ce 23/06/2011 à la prison centrale de Makala à Kinshasa. Radio Okapi/ Ph. John Bompengo

 

 

Le tribunal de paix d’Assossa a condamné, vendredi 8 août, quatre femmes à trois mois de prison ferme. Elles sont accusées de détention de drogues qu’elles ont tentées de vendre aux pensionnaires de la prison centrale de Makala, à Kinshasa. Ces femmes, venues pour visiter les détenus, en ont profité pour faire leur trafic «illégal». 

Elles ont comparu dans une audience foraine de flagrance. La police de garde les a surprises à la barrière de la Prison centrale de Makala avec 2 kg de drogue sur chacune dissimilée dans leurs habits.

Le directeur de la prison centrale de Makala, colonel Thadée Kabisa, se réjouit que ces femmes soient appréhendées mais il estime que la sentence devrait être plus grave.

« Nous n’avions pas qualité d’aller en appel contre cette sentence très clémente. Le préjudice allait être grave. D’ailleurs, ils ont terni l’image de notre institution. Heureusement que nous les avons arrêtées à l’entrée. Elles ne s’étaient pas encore introduites dans la prison», a affirmé le colonel Thadée Kabisa.

Il pense que cette sentence «est une prime» qu’on leur a offerte.

«De toutes les façons, c’est déjà quelque chose. Elles ont manqué la rentrée scolaire de leurs enfants. Je regrette que nos mamans, nos sœurs fassent un mauvais usage de leurs corps intime pour cacher des choses comme la drogue», a-t-il déploré.

Le colonel Thadée Kabisa a annoncé que son équipe a instauré «une nouvelle méthode pour démanteler un vieux réseau qui avait élu domicile à la prison de Makala».

 


Actualité Chantal Pascaline, missionnaire congolaise décédée de la fièvre Ebola à Moronvia

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Crée LE 10-08-2014  - 11H20 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOURLUNdimanche  le 10-08-2014 -13H20 PAR : RADIO OKAPI

 

                                                                  
Missionnaire de la Congrégation de l’Immaculée Conception, la Congolaise Chantal Pascaline est décédée, samedi 9 août, des suites de la fièvre hémorragique Ebola, à l’hôpital Saint-Joseph de Monrovia (Liberia).  

La religieuse congolaise faisait partie de l’Ordre hospitalier de San Juan de Dios (en français: Saint Jean de Dieu) comme le prêtre espagnol Miguel Pajares, premier malade infecté par le virus de la fièvre Ebola, rapatrié en Europe.

Agé de 75 ans, Miguel Pajares était arrivé, depuis trois jours, en Espagne à bord d’un avion militaire médicalisé, avec la religieuse Juliana Bonoha, de nationalité espagnole, qui travaillait avec lui dans cet hôpital de la capitale libérienne, mais les tests auxquels cette dernière a été soumise se sont avérés jusqu’à présent négatifs.

L’ordre de Saint-Jean de Dieu, responsable de l’ONG qui gère l’hôpital Saint-Joseph, avait demandé mardi dernier au ministère espagnol des Affaires étrangères l’ «expatriation en urgence» de Pajares, de Pascaline et de la religieuse guinéenne Paciencia Melgar, atteints par le virus.

Toutes deux appartiennent, comme Juliana Bonoha, à la congrégation des Missionnaires de l’Immaculée Conception.

La directrice générale de la santé publique espagnole, Mercedes Vinuesa, avait toutefois précisé mercredi dernier que ce qui était envisagé par l’Espagne, c’était le “rapatriement des Espagnols”.

«Ce que nous espérons, c’est qu’on ne laisse pas là-bas les soeurs, parce que nous savons ce qui les attend là-bas», avait déclaré à la radio espagnole Cadena Ser Begona Martin, cousine du prêtre Miguel Parares. «Comme dit Miguel, elles sont condamnées à mourir, nous ne pouvons pas les laisser mourir de la sorte », avait-elle ajouté. (Belga).

Actualité Le rappeur congolais Kay zo veli annonce «Les soins intensifs» pour décembre

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Crée LE 10-08-2014  - 11H20 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOURLUNdimanche  le 10-08-2014 -13H20 PAR : RADIO OKAPI

                                                              

 

L’artiste-rappeur congolais, Ben wa Pezo dit Kay zo veli, a annoncé, depuis quelques jours, la sortie de son premier opus intitulé «Les soins intensifs» pour le mois de décembre prochain. Ce jeune rappeur kinois de 21 ans a embrassé, depuis 4 ans, la carrière musicale et il gère également un studio d’enregistrement installé dans la commune de Limete. 

Diplômé en section commerciale et passionné de la musique, Kay zo veli poursuit ses études supérieures à l’Université technologique Bel Campus.

Actualité RDC: l’UNC exige la libération immédiate de Jean-Bertrand Ewanga

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Crée LE 11-08-2014  - 11H20 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOURLUNlundi  le 11-08-2014 -11H50 PAR : RADIO OKAPI

 

                                                                

 

L’Union pour la nation congolaise (UNC) exige la libération immédiate de son secrétaire général, le député national Jean-Bertrand Ewanga, assigné à résidence dans un hôtel de Kinshasa au terme d’un arrêt de la Cour suprême de justice. Au cours d’une conférence de presse dimanche 10 août, le secrétaire interfédéral de l’UNC a rejeté les accusations d’offense au chef de l’Etat et d’incitation à la haine raciale portée contre M. Ewanga par le Parquet général de la République. 

A ce stade où la Cour est saisie, «l’acquittement» de M. Ewanga devrait être prononcé, estime le député Jean-Baudouin Mayo, secrétaire interfédéral de l’UNC. «Et ça devrait aller vite», a-t-il poursuivi.

Jean-Baudouin Mayo croit en l’innocence du secrétaire général de l’UNC:

«Nous disons, politiquement même en droit, que les faits [reprochés à M. Ewanga] ne sont pas vérifiés. Il n’y a même pas flagrance. Ce qui est vrai, c’est qu’il y a eu des gens qui ont chauffé à blanc la Président de la République. Mettez-vous à la place du président. Au moment où il se trouvait aux Etats-Unis, qu’on lui dise qu’il y a quelqu’un ici qui vous injurié ! Or, tel n’est pas vrai.»

Il espère que Joseph Kabila, qui est rentré au pays après le sommet Etats-Unis Afrique, «se rendra compte de la vérité et […] va sanctionner les gens qui l’on induit – avec lui la République – en erreur

Lire: RDC: Ewanga assigné en résidence surveillée à l’Hôtel Invest

Jean-Baudouin Mayo a par ailleurs dénoncé le non-respect de la première décision judiciaire prises dans cette affaire :

«En attendant que l’ordonnance de la Cour sur le placement à résidence soit respectée, l’hôtel Invest n’est pas la résidence d’Ewanga.»

Actualité INSS : la DUK-Nord paie les prorata initiaux à ses nouveaux pensionnés

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Crée LE 11-08-2014  - 11H20 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOURLUNlundi  le 11-08-2014 -11H50 PAR : FORUM DES AS 

 

                                                                           

Le directeur urbain de la DUK-Nord (Direction urbaine de l’INSS Kinshasa Nord) a procédé au paiement des rappels des prestations sociales non encore payées des pensionnés déjà mécanisés.

La cérémonie a eu lieu vendredi 8 août au pavillon 13 de la Foire internationale de Kinshasa (Fikin). La fière chandelle des bénéficiaires à Mme Agnès Mwad Nawej, directrice générale ad interim de l’INSS.

La joie a été à son comble dans les installations du pavillon 13 de la Fikin où se trouve être installé le grand stand de l’INSS. Hommes, femmes, enfants, jeunes et vieux ont été nombreux à assister ces compatriotes qui percevaient les rappels de leurs prestations sociales, jusque là non encore payées. Sur le visage de ces affiliés de l’Institut national de sécurité sociale se lisait la joie d’avoir pris le temps de préparer leurs vieux jours. C’était, pour tout le monde, l’occasion de remercier non seulement les membres de la direction générale de l’INSS mais aussi ceux de la DUK-Nord. « Nous ne nous attendions pas à être payés aujourd’hui. Mais, nous remercions le Seigneur Tout-puissant d’avoir permis l’aboutissement de nos dossiers. Avec ces frais, nous sommes déjà rassurés de recevoir régulièrement nos prestations sociales auprès de l’INSS. Merci à Mme la DG et à toutes les autorités de l’INSS. Merci aussi à tous les agents et cadres de l’INSS qui se sont donné la peine de traiter nos dossiers. La joie est grande dans nos cœurs », n’ont cessé de déclarer tour à tour les bénéficiaires des prorata initiaux.
Le paiement de ces prestations sociales intervient juste au moment où les parents préparent la rentrée scolaire 2014-2015. Comme on peut le remarquer, ces enveloppes vont permettre aux bénéficiaires de faire face aux exigences de la rentrée des classes en septembre prochain. Ce qui a apporté un véritable sourire dans le chef de nouveaux pensionnés de l’INSS.
Le Directeur urbain de l’INSS DUK-Nord a saisi cette occasion pour inviter les employeurs à verser régulièrement les cotisations sociales de leurs travailleurs auprès de l’INSS. Ceci, a-t- il expliqué, pour bien préparer les vieux jours de leurs travailleurs.
Aux employés, le même directeur a exhorté à la vigilance quant au versement correct de leurs cotisations. Ceci, pour éviter toute surprise désagréable au moment de la retraite.
Aux entreprises privées ou aux petites et moyennes entreprises (PME), le même message a été répercuté. « Nous invitons les entreprises privées, les PME et les autres organisations à penser aux vieux jours de leurs employés. Pour ce faire, nous les invitons à venir s’affilier à l’INSS, à déclarer les travailleurs engagés et à commencer à verser correctement les cotisations sociales de ces compatriotes qui servent la nation. C’est de cette manière qu’on peut aider les travailleurs à être heureux après leur retraite », a souligné le directeur urbain de la DUK-Nord.
Dorian KISIMBA

Actualité Katanga : la milice d’auto-défense Luba, une nouvelle menace à Maloba

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Crée LE 11-08-2014  - 11H20 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOURLUNlundi  le 11-08-2014 -11H50 PAR : LE POTENTIEL

 

Au Katanga, la milice d’auto-défense Luba semble devenir une nouvelle menace pour les populations civiles à Maloba, une localité située à 150 km au Sud-est de Kabalo.

 Plusieurs informations font état d’exactions des miliciens de ce mouvement dans cette partie de la province cuprifère.

Des éléments de la milice d’auto-défense Luba ont récemment pillé et incendié des villages dans la localité de Maloba et ses environs.

Comme il fallait s’y attendre, cette situation a provoqué les déplacements de populations pygmées sur l’axe Nyunzu-Manono près de la localité Ngoy, située à 60 km au Sud-est de Nyunzu.

Les conflits communautaires semblent devenir, ces derniers temps, monnaie courante dans ces zones environnantes de Nyunzu et autres territoires du Katanga. 

D’après la Commission mouvement des populations de la province (CMP), plus de 32 000 personnes se sont dernièrement déplacées suite aux conflits communautaires entre les pygmées et les Luba dans les territoires de Nyunzu, Kalemie et Manono.

En juillet dernier, le Bureau de coordination des Affaires humanitaires (OCHA) avait fait savoir que les attaques armées représentent la cause majeure de ces déplacements, soit plus de 67% ; 27% autres sont dus au déplacement préventif et à l’insécurité ; les 6% restants sont attribués aux conflits communautaires dans le district du Tanganyika.

Pour ces trois derniers mois, Manono a enregistré la plus forte augmentation, avec plus de 25 200 personnes nouvellement déplacées, en raison de l’activisme persistent des combattants Maï-Maï, dans la partie Sud-est de ce territoire. Cela précisément à Kahongo, Kishale, Mpiana et Shamwana.

Des conflits communautaires entre les pygmées et les Luba ont été aussi observés dernièrement dans le Nord-est de Manono. Sans oublier les incidents de protection perpétrés par les hommes armés non autrement identifiés à l’endroit des populations civiles.

Actualité Droits des peuples autochtones : le Parlement interpellé

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Crée LE 11-08-2014  - 11H20 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOURLUNlundi  le 11-08-2014 -11H50 PAR : LE POTENTIEL 

 





Les membres de cette structure citoyenne ont lancé cet appel aux législateurs congolais, le samedi 9 août, date marquant la journée internationale des peuples autochtones-pygmées. C’était à l’issue d’une marche pacifique qu’ils ont organisée à Kinshasa.

Dans leur déclaration commune, les organisations de la Société civile congolaise se disent « déterminées à pousser les législateurs congolais à voter des lois qui tiennent compte des revendications des peuples autochtones-pygmées ».

A en croire ces différentes organisations œuvrant pour la promotion et la protection des pygmées, le souci majeur de cette catégorie de la population est celui de voir les acteurs politiques agir dans le sens du progrès des peuples autochtones.

Saisissant cette opportunité, ils ont plaidé pour la participation de « ces peuples marginalisés » à la gestion de la chose publique. Qui du reste est, selon eux, gage du respect de la parité et de l’égalité de chance.

M. Patrice Saidi, coordonnateur de la Dynamique des groupes des peuples autochtones (DGPA), a expliqué le sens de la journée internationale des peuples autochtones-pygmées instituée par les Nations unies, le 9 août de chaque année.

Cette journée est dédiée aux peuples autochtones par l’Organisation des Nations unies, a-t-il rappelé. Avant d’ajouter que l’objectif poursuivi par l’Onu, à travers cette journée, est de permettre aux peuples autochtones-pygmées de revendiquer leurs droits.

Le coordonnateur de la DGPA a, par la même occasion, plaidé pour la protection des pygmées du Katanga.

Lors de leur activité du week-end dernier, les organisations de la Société civile congolaise ont reçu un soutien indéfectible de certains partenaires au développement.

Partie de la commune de Limete, en passant par la Place Victoire, cette marche pacifique a eu comme point de chute le terrain situé en face du stade des Martyrs.

Malgré le soleil accablant du week-end dernier, cette manifestation a drainé une foule nombreuse des peuples pygmées vivant sur les différents sites de la capitale.

Ils avaient repris leurs aspirations sur différents supports dont les calicots et T-shirts. « Les peuples autochtones ont droit à l’éducation, à la vie, … », pouvait-on y lire.

La danse traditionnelle a été mise à contribution pour revaloriser leur culture. La manifestation a été sanctionnée par un concert de cœur livré par l’artiste musicien Ngiama Makanda Werrason. Cela sous l’œil vigilant des éléments de la Police nationale pour assurer la sécurité des participants.

 

Actualité RDC: environ 1% des membres de l’ex-rébellion du M23 amnistiés

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Crée LE 12-08-2014  - 11H20 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOURLUNmardi  le 12-08-2014 -12H40 PAR : RADIO OKAPI

 

Les rebelles du M23 font leur entrée dans la ville de Goma, capitale provinciale du Nord-Kivu, mardi 20 novembre 2012.

L’ex-Mouvement rebelle du 23 mars (M23) dénonce  les «injustices» dans l’application de la loi d’amnistie en RDC. Seul près d’1% de ses membres ont jusque là bénéficié de cette disposition. Dans un communiqué publié lundi 11 août depuis Kampala, l’ex-M23 accuse Kinshasa d’avoir «délibérément» empêché un «nombre important» de ses membres réfugiés au Rwanda et en Afrique du Sud de remplir l’acte d’engagement alors que le délai imparti aux bénéficiaires a expiré ce lundi.  Le gouvernement congolais assure pour sa part que le processus de traitement d’actes d’engagement déjà signés va se poursuivre même au-delà de cette date. 

Le président de l’ex-M23, Bertrand Bisimwa, indique que seuls 31 de ses membres ont été officiellement amnistiés, sur un total de 3 657 ex-rebelles qui ont signé l’acte d’engagement pour ne plus reprendre la lutte armée. Ce qui représente près d’1% des ex-combattants de cette rébellion. Les bénéficiaires devaient signer l’acte d’engagement dans un délai de six mois comptés à partir du 11 février dernier, date de la promulgation de la loi d’amnistie. Ce délai qui a expiré lundi 11 août.

Lire aussi: RDC: la France redoute la réorganisation militaire du M23

La loi d’amnistie ne peut jamais s’appliquer aux auteurs présumés de crimes de guerre et crimes contre l’humanité, se justifie de son côté le gouvernement congolais. Son porte-parole indique que le processus de réception des actes d’engagement déjà signés va se poursuivre.

«Tous les gens qui ont été dans la rébellion du M23 ont dû quitter le M23, le M23 a annoncé sa  propre mort. De toutes les façons, il y a beaucoup de gens qui ont été dans cette rébellion qui ont rempli des actes d’engagement, qui doivent encore arriver au ministère de la Justice. Il faut qu’ils soient patients. Leur cas sera traité et bien traité», assure Lambert Mende.

Selon  le gouvernement congolais,  il est difficile pour l’instant de faire état des lieux de la mise en œuvre de l’amnistie. La ministre de la Justice va continuer de signer les arrêtés relatifs à cette loi au fur et à mesure que les actes d’engagement déjà signés lui parviendront.

La promulgation de la loi portant amnistie pour faits insurrectionnels, faits de guerre et infractions politiques est l’un des engagements que le gouvernement avait pris lors de la signature de la déclaration de Naïrobi, marquant la fin des pourparlers de Kampala entre Kinshasa et les rebelles du M23. Cette amnistie devait couvrir la période du 18 février 2006 au 20 décembre 2013.


Actualité Le gouvernement congolais à la base de l’augmentation des factures de la Snel!

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Crée LE 12-08-2014  - 11H20 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOURLUNmardi  le 12-08-2014 -12H40 PAR : RADIO OKAPI

                                                              
Les habitants de la ville de Kinshasa, utilisateurs du courant de la Société nationale d’électricité (Snel), constatent avec un pincement au cœur que les factures pour la consommation mensuelle de l’énergie électrique ont sensiblement pris l’ascenseur.

L’augmentation varie entre 30 et 40%, selon les quartiers.
Dans la commune de Kalamu, quartier Kauka, aux environs de la paroisse catholique Sainte Marie Goretti, cette situation malheureuse a surpris plus d’une famille. “Ma facture du mois de juillet a augmenté de 50% “, s’est plaint un septuagénaire, retraité de l’ex-Onatra.
Pourtant, dans ce quartier, la qualité de la fourniture du courant laisse à désirer.
Déjà, les consommateurs de ce coin sont soumis au régime déplorable du délestage. C’est tous les deux jours que les agents de cette société d’électricité viennent opérer le déchargement de la cabine en vue d’alimenter les uns et plonger les autres dans l’obscurité.
Ce, sans compter les coupures intempestives dues à des pannes générales ou autres désagréments tels le vol de câbles ou la vétusté de ceux-ci.
 
Mécontent de cet état de choses, un groupe de consommateurs est descendu au bureau de la Snel/section Kalamu pour manifester sa déception et solliciter me réparation, de manière à revoir à la baisse ce taux excessivement élevé. Pour toute réponse,” c’est désormais le gouvernement qui fixe les tarifs de factures de la Snel ». Une manière de se décharger sans accrochages de ce dossier. Les mécontents entendent maintenant orienter leurs revendications vers le gouvernement central, plus particulièrement le ministère de l’Energie, pour avoir des explications à cela. Si cette situation persiste, cela sera en contradiction avec l’année du social “ prôné par le gouvernement Matata, pour le bien-être de la population.
LM

 

Actualité Processus électoral : Fin des accréditations des observateurs longs termes

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Crée LE 12-08-2014  - 11H20 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOURLUNmardi  le 12-08-2014 -12H40 PAR :LA TEMPET DES TROPIQUES

 

                                    
                                                


La CENI (Commission électorale nationale indépendante) a mis fin officiellement à l’opération d’accréditation des observateurs longs termes. L’annonce de la clôture de cette opération a été faite par le rapporteur de la CENI,

Jean-Pierre Kalamba Mulumba N’galula, hier lundi 11 août 2014 au centre technique de la centrale électorale installée au lycée Dr Shaumba situé dans la commune de la Gombe à Kinshasa.
Mais avant de procéder à la clôture de l’opération d’accréditation des observateurs longs termes, certains membres du bureau et de l’assemblée de la CENI, avec à leur tête le vice président André Mpungwe, ont tenu une réunion pour évaluation du travail jusque-là réalisé par le centre technique.
 
Pendant 62 jours, le centre technique de la CENI a réceptionné 5800 dossiers de demande d’accréditation envoyés par 166 associations et plateformes. Le rapporteur de la CENI a aussi relevé que le traitement des dossiers se fait de manière progressive.
 
Jean-Pierre Kalamba a, en outre, fait savoir que la remise des cartes d’accréditation interviendra dans les prochains jours. Il a indiqué que la ville province de Kinshasa a été privilégiée dans le traitement des dossiers. Pour rappel, c’est le 10 juin 2014 que l’opération d’accréditation des observateurs longs termes a été lancée pour durer un mois. Mais l’engouement créé par les associations et plateformes pour solliciter l’accréditation a poussé les autorités de la CENI de prolonger d’un mois encore l’opération. Ce qui justifie, à l’heure actuelle., la clôture officielle de cette opération même si le centre technique va poursuivre le traitement des dossiers afin de remettre progressivement des cartes d’accréditation à toutes ces associations et plateformes intéressées par la mission d’observation des élections notamment urbaines, municipales et locales prévues en 2015.
 
J-LUCIEN KAZADI T.

Turpitudes d'un "Mouton noir": le thuriféraire josephiste Roger Musandji a pété les plombs ! En demandant pardon, il évite l'interpellation de la police française et la prison de Fresnes !

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Crée LE 10-08-2014  - 11H20 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOURLUNdimanche  le 10-08-2014 -13H20 PAR : REVEIL-FM

Turpitudes d'un "Mouton noir": le thuriféraire josephiste Roger Musandji a pété les plombs ! En demandant pardon, il évite l'interpellation de la police française et la prison de Fresnes !

Roger Musandji a pété les plombs

Paris n'est pas Gandajika, Boya ou Kamako ! La France n'est pas une République bananière. Se comporter en loubard sans foi ni loi à Paris peut coûter très cher ! Qui a oublié que Roger Musandji, le fameux accrédité de Kingakati-Château Rouge-Barbès Roger Musandji, lors de la visite éclaire d'alias Joseph Kabila à Paris en avril dernier, s'était réjouit publiquement que notre confrère Cheik Fita ait été chassé à l'Elysée pour ne pas perturber avec ses questions dérangeantes, l'incapacitaire de Kingakati ? Comme par magie, le même thuriféraire affabulateur avait oublié de dire aux Congolais que la France n'avait octroyé à alias Joseph Kabila qu'un visa que 48 heures sur son passeport diplomatique usurpé. Faire la promotion à Paris d'alias Joseph Kabila, l'incapacitaire de Kingakati, c'est mission impossible aujourd'hui, demain et éternellement ! "Mouton noir" dans la profession, Roger Musandji est un multirécidiviste notoire. Ethno-tribaliste patenté, le frère de tribu du "Bébé Vuvuzélateur" Jean-Marie Kasamba a cru qu'il pouvait l'infiltrer la diaspora congolaise et débiter des mensonges pour soutenir le régime qui le nourrit et esclavagise les Congolais, il s'est trompé d'époque.

Le 31 juillet dernier, avant d'aller couvrir le Sommet Amérique-Afrique à Washington, Roger Bongos-Afrique Rédaction enregistre une interview pour son émission "Les yeux dans les yeux" à Saint-Denis. Hystérique, Roger Musandji déboule ! Il menace et insulte Roger Bongos en commençant par sa maman...Avec ses petits biceps semoulés de Bukula bwa Nseka, il ne pouvait pas tenir devant le colosse rédacteur en chef d'Afrique Rédaction. Sans doute, sous l'effet du chanvre et alcool, ne contrôlant pas ses nerfs et ses actions, Roger Musandji le thuriféraire corrompu et vendu du régime d'alias Joseph Kabila va s'en prendre aux matériels audiovisuels de Roger Bongos. Il va vandaliser la caméra d'Afrique Rédaction ! L'ethno-tribaliste, sous l'effet du chanvre et de l'alcool va débiter des inepties et publiquement il va cracher sa haine longtemps contenue. Roger Musandji, le "Mouton noir" en veut à Roger Bongos-Afrique Rédaction et Freddy Mulongo-Réveil FM Internationale, depuis les révélations sur l'affaire Bernard Mwamba Katompa: le faux millionnaire" dont Roger Musandji était engagé comme agent de propagande à Paris. Un frère muluba doit aider et soutenir un autre muluba !

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Actuaité A quelques semaines de la rentrée scolaire : Kasa Vubu : la Fondation Yakola Hana Elisabeth vole au secours des familles vulnérables

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Crée LE 12-08-2014  - 11H20 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOURLUNmardi  le 12-08-2014 -12H40 PAR :LA TEMPET DES TROPIQUES

                                                            
A quelques semaines de la rentrée scolaire, la Fondation Yakola Hana Elisabeth, une organisation caritative basée dans la commune de Kasa-Vubu à Kinshasa ayant pour missions de venir en aide et de soutenir des parents

catholiques confrontés à des difficultés passagères pour scolariser leurs enfants, a volé au secours des familles vulnérables. Ainsi, des cabines téléphoniques, des cartes prépayés et des appareils cellulaires ont été remis à des familles en difficulté afin de permettre aux parents responsables de celles-ci, pères des enfants scolarisés et choristes au sein de la paroisse Christ Roi de bien pouvoir scolariser ses enfants.
Dans son mot de circonstance, Mme Marie Christine Atende a expliqué à l’assistance présente à la cérémonie les lignes directrices de son association qui vise aussi à créer des micro entreprises, susceptibles de permettre aux familles en difficulté de se procurer tant soit peu quelque chose devant aider à payer les frais de scolarité des enfants.
Après la mort de Mme Yakola Hana Elisath le 27 novembre 2013, ses enfants ainsi que d’autres membres de la famille ont décidé d’affecter une partie de ses biens aux œuvres caritatives et de bienfaisance.
 
D’où la création de la Fondation Yakola Hana Elisabeth, pour pérenniser ses œuvres en faveur des personnes en difficulté.
Chrétienne catholique convaincue depuis l’époque de feu le Cardinal Malula, Mme Yakola Hana Elisabeth était un modèle, elle incarnait les valeurs de la chrétienneté dont la droiture, la simplicité, l’humilité et surtout l’amour.
Elle n’acceptait pas la souffrance des autres, a témoigné l’abbé Aimé Eyenga, curé de la paroisse Christ Roi.
 
Pensées pieuses des paroissiens de Christ Roi à MmeYakola
 
En mémoire de cette femme de caractère, une messe d’action de grâce a été célébrée samedi dernier dans la salle de fête Le Chandelier à Kasa Vubu.
Ainsi, les paroissiens de la paroisse catholique Christ roi se sont joints aux enfants de Mme Yakola Hana Elisabeth dont Me Michel Pombia, Emilie Ebiza, Marie Kifwani, Pascal Ngboloko, Didier Anzou, pour rendre hommage à leur mère qui était pour eux un modèle et une fervente chrétienne catholique.
Vielle vétéran de l’Eglise catholique de Kinshasa, feue Mme Yakola Hana Elisabeth était une femme de bonnes œuvres, a témoigné l’abbé Aimé Eyenga.
“Avec cette messe d’action de grâce, nous devons rendre grâce à Dieu pour que les œuvres de Marna Yakola Hana soient pérennisées “, a-t-il dit.
GODÉ KALONJI MUKENDI

 

Actualité Sommet USA-Afrique : l’espoir déçu

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Crée LE 12-08-2014  - 11H20 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOURLUNmardi  le 12-08-2014 -12H40 PAR :LE POTENTIEL

 

                                                     

Le sommet USA-Afrique de Washington aura vécu. Les dirigeants de 47 pays africains invité à cette rencontre, les 5 et 6 août dernier, pourront se féliciter d’avoir été reçus avec tous les égards dus à leur rang.

Les sujets qui fâchent ont été escamotés. Barack Obama a privilégié les questions économiques au détriment des questions politiques. Une désillusion pour les Africains qui espéraient beaucoup de lui.


Certains Africains, encore naïfs,  pensaient que  cette rencontre aura un impact sur la marche du continent. Ils ont rêvé d’un autre monde.  Leurs attentes ont été déçues.

Effectivement, l’on s’attendait à ce que soient abordés, au cours de ce sommet,  les thèmes relatifs à la bonne gouvernance et aux droits de l’homme. Que nenni, il n’en était pas question. La gouvernance économique a nettement pris le dessus.

Soucieux de reprendre la main sur le business africain, le président Barack Obama a dit avoir recensé 33 milliards de dollars de promesses d’investissement pour le continent, secteurs public et privé confondus.

A cet effet, il a assuré que son pays œuvrait pour un partenariat « d’égal à égal » et sur le long terme. Et dans une pique à peine voilée à son concurrent la Chine, il a déclaré : « nous ne voulons pas juste extraire vos ressources minérales pour notre propre croissance ».

UN ACCORD DE LIBRE-ECHANGE INEGALEMENT PROFITABLE EN AFRIQUE

Parmi les autres annonces, on retient également l’engagement de Barack Obama à travailler pour que l’accord de libre échange entre les Etats-Unis et l’Afrique (AGOA), soit reconduit. Barack Obama souhaite voir voter  par le Congrès le renouvellement de cet accord de libre échange sur le long terme, modernisé. Il reste une année pour y parvenir, et le président des Etats-Unis se dit persuadé que, sur ce sujet, démocrates et républicains vont trouver un accord, ce qui est extrêmement rare en cette période de campagne électorale.

Aujourd’hui, en réalité, très peu de pays africains tirent profit de l’AGOA, et un nombre limité de produits sont concernés : il s’agit essentiellement des hydrocarbures. L’Afrique du Sud, le Nigeria et l’Angola s’offrent la part du lion, et au total, tous les échanges entre les Etats-Unis et les 54 pays africains sont à peine équivalents au commerce entre l’Amérique et le Brésil. L’Afrique francophone apparait très loin. Tout est à faire, et sur ce point au moins, décideurs politiques et économiques sont sur la même longueur d’onde.

NI GOUVERNANCE, NI DROITS DE L’HOMME

Le président américain n’a parlé ni de bonne gouvernance, ni de droits de l’homme. Sans doute n’a-t-il pas voulu mettre mal à l’aise ses invités. Mais pour les Africains, Barack Obama, à la tête de la plus grande puissance démocratique au monde, devait profiter de cette occasion unique pour dénoncer l’arrogance de certains dirigeants africains qui refusent de respecter les principes de libertés démocratiques, les valeurs des droits humains et la notion de liberté d’expression.

Certes, dans l’entourage du chef de l’exécutif américain, des propos avaient été tenus contre les révisions constitutionnelles. Et il est de notoriété publique que le président Obama  réprouve ces pratiques orchestrées par certains dirigeants africains pour se pérenniser au pouvoir.

« L’Afrique n’a pas besoin d’hommes forts mais des institutions fortes », avait-il dit à Accra en 2009.

Mais les Africains auraient souhaité qu’il le leur dise en face et insiste sur la nécessité, pour chaque pays, de respecter la constitution. Ce n’est toujours pas à l’approche de chaque élection qu’il faut modifier la règle du jeu.


Pour eux, les choses sérieuses n’ont pas été dites. Ce sommet ne leur aura donc pas beaucoup profité, car leurs dirigeants ont été tout simplement ménagés.

L’erreur d’Obama, c’est d’avoir privilégié les questions économiques et financières au détriment des questions politiques. Or, la gouvernance économique est tributaire de la gouvernance politique.

Convoquer un sommet africain de cette nature et ne pas insister sur les questions relatives à la bonne gouvernance et aux droits de l’homme, alors que les esprits y ont été préparés, c’est simplement déroutant.

La mauvaise gouvernance politique, dont l’ampleur est considérable dans la plupart des pays africains, rejaillit inévitablement et toujours sur les efforts déployés pour sortir le continent du bourbier de la pauvreté et du sous-développement.

C’est un fait que l’environnement politique en Afrique n’a jamais empêché les puissances occidentales ou autres de faire les affaires. Il n’est guerre étonnant  que les Etats-Unis aillent chercher avant tout à défendre ses  intérêts. Les 33 milliards de dollars d’investissements, ce n’est ni plus ni moins que du commerce.

En lutte contre l’envahissement du marché africain par la Chine, Washington veut combler son retard commercial en Afrique.

LE SALUT VIENDRA DES AFRICAINS EUX-MÊMES

Les Africains doivent se désillusionner. Autant ils ont rêvé à l’arrivée de Barack Obama, autant ils ont cru à tort que le sommet initié par le jeune président allait permettre de faire une mise au point officielle sur les problèmes immenses questions qui freine l’évolution du continent vers le progrès.

En politique, il n’existe ni altruisme, ni philanthropie, encore moins dans les relations entre Etats. Jamais les présidents américains n’ont été élus sur la base de leur politique étrangère, mais plutôt sur leur manière de résoudre les problèmes intérieurs. La sommet de Washington ne déçoit que ceux qui y avaient mis de l’espoir.

Il appartient donc aux Africains, à eux seuls, de se battre pour se libérer des griffes de ces nombreux dirigeants qui entendent régner ad vitam aeternam. Ils doivent lutter résolument contre ces prédateurs, fossoyeurs des aspirations des peuples. Le salut viendra des Africains eux-mêmes. Il ne faut jamais attendre des autres un hypothétique appui. Les promesses n’engagent que ceux qui y croient.

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