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Channel: AFRIQUE REDACTION . L'information en continu ! Afrique au cœur de l’actualité...Infos News sur la RDC, les brèves de la dernière minute. Synthèse sur l’actu internationale. rdcongo-kinshasa, Nord et Sud KIVU, Kinshasa, Bas Congo, Dongo, Equateur, Maniema, Lubumbashi, les deux Kasai. Rédacteur en Chef : BONGOS Roger
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LA RUSSIE DERRIERE SON PRESIDENT : LA POPULARITE DE POUTINE ATTEINT UN NOUVEAU RECORD A 87% !

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Crée LE 12-08-2014  - 11H20 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOURLUNmardi  le 12-08-2014 -12H40 PAR :ARTV NEWS

 

 

 

PCN-SPO---Poutine--a-87--de-popularit----2014-08-11--FR.jpg

La cote de popularité de Vladimir Poutine culmine à plus de 80 %

depuis le rattachement de la Crimée à la Russie en mars,

elle atteint 87% avec les sanctions anti-occidentales…

 

KH pour PCN-SPO/

avec RIA Novosti - AFP/ 2014 08 11 /

 

La popularité du président russe Vladimir Poutine a atteint un nouveau record en août avec un taux de satisfaction de 87 %, soit son plus haut niveau depuis six ans, selon un sondage publié jeudi par le centre indépendant Levada. Ainsi, 87 % des Russes interrogés soutiennent l'action du président, soit une hausse de 22 points depuis janvier. Le nombre de personnes insatisfaites de l'action de Vladimir Poutine est tombé de 34 % en janvier à 13 % en août.

 

Il s'agit du plus haut niveau atteint depuis la guerre russo-géorgienne de 2008, où la popularité de Vladimir Poutine culminait à 88 %. La popularité du Premier ministre russe Dmitri Medvedev a également augmenté à 71 % en août, contre 48 % en janvier. En outre, 66 % des sondés estiment que le pays va dans la bonne direction (43 % en janvier) et 19 % que ce n'est pas le cas (41 % en janvier).

 

Comme le disait hier Luc MICHEL, « La 5e colonne libérale et pro-américaine disparaît totalement du paysage politique. Ils peuvent hurler à une « fraude électorale » inexistante, ils ne représentent plus que le mépris pour la masse des russes » ...

 

UN NIVEAU HISTORIQUE …

 

L'étude du centre Levada (proche de la Fondation Carnegie US et enregistrée comme « agent de l’étranger ») a été réalisée du 1er au 4 août sur un échantillon de 1 600 personnes représentatif de la population. Un sondage réalisé fin juillet par l'institut proche du pouvoir VTsIOM avait déjà assuré que les Russes étaient plus heureux que jamais, l'indice de satisfaction de la population ayant atteint un niveau historique en juillet (79 points).

 

Les sondages récents ont montré que les Russes ne craignaient pas les sanctions votées contre leur pays. Les économistes estiment toutefois que leurs effets ne se feront pas sentir immédiatement par la population. La cote de popularité de Vladimir Poutine culmine à plus de 80 % depuis le rattachement de la Crimée à la Russie en mars. Poutine a notamment ordonné mercredi des restrictions sur les importations de produits agroalimentaires en provenance des pays ayant adopté des sanctions économiques contre la Russie.

 

Elle n'est pratiquement jamais descendue en dessous de 60 % depuis son arrivée au pouvoir en 2000.

 

 

KH/ PCN-SPO

 

Photo : la foule acceuille Poutine à Sébastopol le 9 mai dernier.

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LES SANCTIONS UE-RUSSIE DECRYPTEES/ LUC MICHEL SUR ‘AFRIQUE MEDIA TV’

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Crée LE 12-08-2014  - 11H20 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOURLUNmardi  le 12-08-2014 -18H40 PAR :ARTV NEWS

 

PCN-TV---AMTV-LM-les-sanctions-UE-Russie-d--crypt--es--20.jpg

 

Le duplex de Bruxelles avec ‘Afrique Media TV’ de ce 10 août 2014

Filmé en direct par PCN-TV à Bruxelles

 

Comment Washington dicte à l’UE la politique des sanctions anti-russes.

Comment les politiciens atlantistes de l’UE jouent contre leur propres intérêts économiques et ceux de leurs peuples.

La guerre géopolitique des Blocs USA/NATO/UE et la guerre économique USA-UE.

La guerre économique USA-UE contradiction interne de l’Atlantisme.

Comment Poutine entend avec ses contre-sanctions faire réfléchir les politiciens de l’UE.

Comment les sanctions russes déjà en cour (avant août 2014) visent la plate-forme de l’agression atlantiste contre la Russie : Pologne, Pays baltes, Moldavie, des économies frappées au cœur.

 

LES FONDEMENTS DE LA GEOPOLITIQUE US AU CŒUR DES SANCTIONS :

Qui contrôle l’UE contrôle l’Eurasie, qui contrôle l’Eurasie domine le monde (Brezinski s’inspirant de Thiriart).

La fusion UE-Russie où la fin de l’hégémonie US.

Le fondement de la politique US : empêcher cette fusion.

 

Video intégrale sur : https://vimeo.com/103171559

 

Luc MICHEL sur AFRIQUE MEDIA TV

dimanche 10 août 2014 dans le ‘Débat panafricain’

avec Bachir Mohamed Ladan.

SANCTIONS UE-RUSSIE DECRYPTEES/ LUC MICHEL SUR ‘AFRIQUE MEDIA TV’

 

Le duplex de Bruxelles avec ‘Afrique Media TV’ de ce 10 août 2014

Filmé en direct par PCN-TV à Bruxelles

 

Comment Washington dicte à l’UE la politique des sanctions anti-russes.

Comment les politiciens atlantistes de l’UE jouent contre leur propres intérêts économiques et ceux de leurs peuples.

La guerre géopolitique des Blocs USA/NATO/UE et la guerre économique USA-UE.

La guerre économique USA-UE contradiction interne de l’Atlantisme.

Comment Poutine entend avec ses contre-sanctions faire réfléchir les politiciens de l’UE.

Comment les sanctions russes déjà en cour (avant août 2014) visent la plate-forme de l’agression atlantiste contre la Russie : Pologne, Pays baltes, Moldavie, des économies frappées au cœur.

 

LES FONDEMENTS DE LA GEOPOLITIQUE US AU CŒUR DES SANCTIONS :

Qui contrôle l’UE contrôle l’Eurasie, qui contrôle l’Eurasie domine le monde (Brezinski s’inspirant de Thiriart).

La fusion UE-Russie où la fin de l’hégémonie US.

Le fondement de la politique US : empêcher cette fusion.

 

Video intégrale sur : https://vimeo.com/103171559

 

Luc MICHEL sur AFRIQUE MEDIA TV

dimanche 10 août 2014 dans le ‘Débat panafricain’

avec Bachir Mohamed Ladan.

Actualité L’idée de réviser la constitution n’a jamais été débattue dans la majorité, selon le MSR

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Crée LE 13-08-2014  - 11H20 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOURLUNmecredi  le 13-08-2014 -12H20 PAR :RADIO OKAPI

 

 
 
 
Des partisans du MSR, parti politique de la RD Congo le 15/04/2013 au palais du peuple à Kinshasa. Radio Okapi/Ph. John Bompengo

Le Mouvement social pour le renouveau (MSR), deuxième force politique de la Majorité présidentielle (MP), s’est prononcé mardi 12 août dans le débat actuel sur la révision de la constitution. Selon ce parti, l’idée de réviser les «dispositions intangibles de la constitution» n’a jamais été débattue au sein de cette plate-forme politique. Les positions publiques de certains partis et personnalités de la Majorité sur cette question restent personnelles et n’engagent pas la plate-forme, précise-t-on au MSR où l’on demande «un débat interne franc et responsable». 

La révision de la constitution telle que le prône certains partis de la Majorité dont le PPRD devrait permettrait à terme, si elle aboutit, à donner au président Kabila la possibilité de briguer un autre mandat lorsque l’actuel-qui est le dernier-prendra fin en 2016.

Laurent Simon Ikenge, porte-parole du MSR, a indiqué mardi que la Charte de la Majorité présidentielle stipule que “toute question relative à un changement de fond à intervenir au niveau de la vie nationale fera obligatoirement l’objet d’une discussion préalable au sein du Bureau politique”. La question de la révision de la constitution n’ayant pas suivi cette procédure, le MSR “ne se sent pas engagé par les déclarations” de ces membres favorables à la révision de la constitution, a précisé Laurent-Simon Ikenge.

Cette déclaration contraste avec la prise de position exprimée vendredi dernier par les «partis extraparlementaires» de cette même Majorité présidentielle. Ces derniers soutiennent l’idée de la révision de l’actuelle constitution en RDC notamment par voie référendaire. Fin juillet, le PPRD, principal parti de la Majorité présidentielle, s’est officiellement prononcé en faveur de cette révision.

Le MSR regrette que la révision constitutionnelle «qui aurait pu demeurer un débat démocratique sain, vire malheureusement à une polémique stérile.» Le parti de Pierre Lumbi a officiellement demandé au secrétaire général de la Majorité présidentielle, Aubin Minaku un débat interne pour dégager une option commune sur cette question.

D’ores et déjà, le MSR fait savoir que les dispositions intangibles prévues à l’article 220 de la constitution, qui empêche notamment à Joseph Kabila de briguer un troisième mandat présidentiel, ne devrait pas être au centre du débat de l’heure. Parce qu’elles ne sont pas reprises dans le projet de révision constitutionnelle annoncé par le gouvernement le 9 juin dernier, argumente la même source.

Actualité AGRI-TECHNOLOGIE Une délégation ivoirienne à Kinshasa pour un échange d’expériences

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Crée LE 13-08-2014  - 11H20 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOURLUNmercredi  le 13-08-2014 -12H20 PAR :FORUM DES AS

 

                                                                      

Le secteur agricole de la RDC ne cesse d’attirer les investisseurs étrangers. C’est ce qui confirme ces audiences auprès du ministre de l’Agriculture et du développement rural.

La dernière en date est celle que le patron de l’agriculture congolais a accordée lundi dernier à la délégation ivoirienne du Centre national de recherche agronomique (CNRA), l’équivalent de l’Institut national pour l’étude et la recherche agronomique (INERA).

La collaboration scientifique dans le domaine agricole a été au menu des entretiens entre la délégation ivoirienne du Centre national de recherche agronomique (CNRA), conduite par son conseiller scientifique en charge de la coopération internationale, Dr Adiko Amoncho et le ministre de l’Agriculture et du développement rural, Jean-Chrysostome Vahamwiti.
Au sortir de cette rencontre, le conseiller scientifique du CNRA, Dr Adiko Amoncho, a déclaré que leur visite à Kinshasa s’inscrit dans le cadre de la Coopération Sud-Sud. Cela, pour proposer à la RDC les technologies développées en Côte d’Ivoire, lesquelles ont apporté un impact positif à la vie des producteurs ivoiriens.
« Nous sommes venus offrir ces technologies à nos frères de la RDC. Et en même temps, profiter de leur expérience en matière de l’agri-technologie, voir comment nos deux pays peuvent collaborer pour le développement de l’agriculture. Nos deux pays ont pris l’option d’avoir une économie ou un développement basé sur l’agriculture. A ce niveau, la recherche aussi bien en RDC qu’en Côte d’Ivoire est interpellée. A titre d’exemple pour la Côte d’Ivoire, nous sommes venus avec la technologie notamment avec la culture du palmier à huile où nous avons des performances que nous considérons d’un niveau remarquable, permettant déjà à la Côte d’Ivoire d’avoir des productions de très bon niveau », a fait savoir Dr. Adiko Amoncho. Avant de préciser que l’une des performances que l’équipe de CNRA est venue proposer au ministre ce sont des semences qui font objet d’un certificat ISO.
Cette délégation ivoirienne de CNRA a également abordé avec le ministre Vahamwiti la culture du coton. A ce titre, son conseiller scientifique chargé de la coopération internationale a indiqué que « nous avons des semences performantes. En d’autres termes, toutes les technologies que nous proposons dans le cadre de la coopération, sont des technologies adaptées à nos conditions tropicales. Dans le cas de la Côte d’Ivoire, il y a cette volonté affichée de valoriser les produits de la recherche », a-t-il affirmé.
Selon Adiko, en côte d’Ivoire, il existe le fonds interprofessionnel pour la recherche et le conseil agricole. Ce fonds, a-t-il précisé, permet au gouvernement ivoirien autorisant les filières agricoles de les disposer à la recherche ainsi qu’au conseil agricole dans le but d’appuyer les producteurs. « Cette volonté montre clairement cette envie d’avoir des connaissances scientifiques et techniques pour appuyer le développement agricole. Je pense que l’existence dans nos pays des institutions des recherches est déjà le début de la volonté de l’Etat d’appuyer sa recherche en vue de favoriser la connaissance pour développer l’agriculture de nos pays ».
Le Dr Adiko Amoncho a confié qu’au terme de leur entretien, le ministre Vahamwiti a émis le vœu de voir la coopération entre la Côte d’Ivoire –CNRA et la RDC-INERA se renforcer et aller de l’avant. Et après cette rencontre, les perspectives sont bonnes pour la collaboration scientifique entre la Côte d’voire et la RDC.
Les Nations Unies ont déclaré 2014, année intérnationale de l’agriculture familiale par les Nations Unies. A cet effet, elles ont demandé aux gouvernements de célébrer et de mettre en place des mécanismes d’appui aux organisations paysannes.
Pour Sylvestre Kamanza, « en tant que Comité national, nous sommes en train de préparer un Forum national sur l’agriculture familiale dans notre pays. Et pour cela, nous avons estimé nécessaire de faire part au ministre car, il est notre répondant au sein du Gouvernement. Ainsi, il nous a donné des conseils. De notre côté, nous allons travailler et lui remettre le document comprenant les termes de références dans le meilleur délai. »
A propos de l’agro-industrie, Sylvestre Kambanza a fait savoir que celle-ci ne va pas à l’encontre de l’agriculture familiale. « C’est ce que nous sommes en train de prôner dans la petite agriculture. Et le message que nous allons donner aux agro-industriels, c’est de mettre en place des mécanismes de collaboration, en sorte que l’agro-industrie soit le levier pour relancer la petite agriculture dans notre pays. Parce que l’agro-industrie disposer suffisamment de moyens et peut mettre en palce des outils de transformation, de conservation ou de commercialisation de la production des petits producteurs. Ce que nous demandons au gouvernement, c’est de soutenir les petits producteurs qui nourrissent le peuple congolais. »
S’agissant de l’agri-business, il a indiqué que cette structure y est partie prenante. « C’est pour cette raison que nous tenons notre Forum en vue de nous préparer pour pouvoir présenter d’une seule voix, le point de vue de l’agriculture familiale au niveau de l’agri-business », a déclaré Sylvestre Kambanza.
Outre la délégation du CNRA, le ministre Vahamwiti a reçu tour à tour les représentants du comité national de la RDC pour l’année internationale de l’agriculture familiale et des investisseurs de la Principauté de Malte.
Quant à la délégation des investisseurs de la Principauté de Malte qui s’est entretenue enfin avec le ministre Vahamwiti, celle-ci est venue en prospection avec comme stratégie de relancer la culture du tabac dans la rotation des cultures vivrières. Alfred LUKAMBIL

ActualitéProcessus électoral : la CENI et les partis politiques mettent en place un secrétariat conjoint

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Crée LE 13-08-2014  - 11H20 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOURLUNmercredi  le 13-08-2014-12H20 PAR :FORUUM DES AS

La Commission électorale nationale indépendante (CENI) et les délégués des partis politiques régulièrement accrédités à cette institution citoyenne ont mis sur pied un secrétariat conjoint du Comité de liaison.

Cette résolution est l’une des retombées de la réunion du 25 juillet 2014 au Palais du peuple. Rencontre au cours de laquelle des mandataires des formations politiques avaient désigné deux délégués pour faire partie du secrétariat conjoint du Comité de liaison.

Selon une dépêche de la CENI, la réunion a été présidée par Mme Elodie Ntamuzinda, membre de l’Assemblée plénière de cette institution citoyenne chargée du suivi du cadre de concertation avec les partis politiques. Elle avait pour objectif " de discuter des termes de référence du fonctionnement du secrétariat conjoint et de travailler sur le compte rendu amendé de la réunion précédente ".
Saisissant cette occasion, Mme Elodie Ntamuzinda a annoncé le report du 2 au 4 septembre 2014 du séminaire de formation des mandataires des partis politiques initialement prévu du 15 au 17 août 2014. Par ailleurs, Mme Elodie Ntamuzinda a lancé un vibrant appel aux mandataires tant de l’Opposition que de la Majorité à travailler ensemble pour "conduire le train des élections pour la bonne démocratie dans notre pays ".
Dans un autre registre, la même source rapporte que la CENI a édifié les femmes membres de la Ligue des femmes congolaises pour des élections (LIFCE) sur la mission d’observation électorale et ses incompatibilités. C’était au cours d’une matinée d’échanges organisée le week-end dernier à la Maison des élections de la CENI située dans l’enceinte de l’immeuble ex-Kin Mazière dans la commune de la Gombe à Kinshasa.
Placée sous le thème " La mission d’observation des élections et ses incompatibilités ", cette activité a réuni près de 250 femmes, membres de la LIFCE. Les participantes ont suivi avec attention l’exposé sur " la mission d’observation des élections et ses incompatibilités ", thème central des assises développé par M. Délion Kimbulungu, conseiller en relations publiques et communication du président de la CENI.
L’occasion était propice au délégué du président de la CENI de faire le point avec les femmes membres de la LIFCE sur les défis du cycle électoral en cours. Cela en vue de crédibiliser le processus électoral, eu égard aux observations pertinentes de différents rapports d’observation au lendemain des scrutins du 28 novembre 2011.
M. Délion Kimbulungu a rassuré les femmes de la détermination de la Centrale électorale à créer des conditions susceptibles de permettre aux femmes de jouer un rôle plus important dans le processus à travers leurs organisations ou partis politiques qui, du reste, constituent une grande composante. Il a indiqué clairement que la mission d’observation électorale est incompatible avec la qualité de candidate.
Les préoccupations des femmes ont porté notamment sur l’opération de fiabilisation du fichier électoral et de stabilisation des cartographies opérationnelles en cours, la décision de la CENI de commencer par les élections urbaines, municipales et locales, la délivrance des duplicata des cartes d’électeur, la problématique de nouveaux majeurs, etc. Rachidi MABANDU

 

Actualité Province Orientale : verdict attendu dans le procès de l’ancien chef milicien Yves Kawa

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Crée LE 13-08-2014  - 11H20 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOURLUNmercredi  le 13-08-2014 -12H20 PAR :RADIO OKAPI

 
 
Tribunal militaire de Matadi siégeant en chambre foraine.

Le verdict dans le procès de l’ancien chef milicien Yves Kawa Panga Mandro est attendu mercredi 13 août à Kisangani, en Province Orientale. L’ancien chef milicien avait été condamné à perpétuité au premier degré, en 2006, par le tribunal de grande instance de Bunia, notamment pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité. Au terme d’une audience publique à Bunia, la Cour militaire de la Province Orientale devrait rendre le verdict au deuxième degré.

Yves Kawa Panga Mandro est né à Bunia, en Ituri, en 1973. Il fut membre de l’Union des patriotes Congolais de Thomas Lubanga, avant de créer son propre mouvement armé en février 2003.

A l’instar d’autres mouvements armés de l’Ituri, tel l’UPC, le FRPI ou le FNI, son mouvement dénommé « Parti pour l’Unité et la sauvegarde de l’Intégrité du Congo », PUSIC avait été également soutenu par l’Ouganda.

En 2003, malgré la signature d’un accord de cessez-le-feu à Dar-es-Salam, en Tanzanie, entre les membres du Front pour l’Intégration et la paix en Ituri, dont le PUSIC faisait partie, et le Gouvernement congolais, les hostilités s’étaient poursuivies en Ituri.

Arrêté, il sera jugé par le tribunal de grande instance de Bunia qui le condamnera en janvier 2006 à perpétuité.

Il sera transféré par la suite à Kinshasa, où il restera 5 ans dans la prison de Makala, avant d’être renvoyé à Kisangani où il est détenu à la prison centrale.

La cour militaire le poursuit pour plusieurs griefs, notamment coups et blessures volontaires, assassinat, participation à un mouvement insurrectionnel, détention d’armes de guerre, crime contre l’humanité et crime de guerre.

Actualité RDC : des agents de la SCPT éligibles à la retraite toujours pas payés

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Crée LE 13-08-2014  - 11H20 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOURLUNmercredi  le 13-08-2014 -12H20 PAR :RADIO OKAPI

 
 
 
L'immeuble de la poste, siège de l'OCPT sur le boulevard du 30 juin à KinshasaL
Des agents de la Société congolaise des postes et télécommunications (SCPT) éligibles à la retraite depuis 20 ans n’ont toujours pas obtenu leurs décomptes finaux. Le président du collectif de ce personnel, Alidor Lebon Kabala a déploré cette irrégularité, mardi 12 août à Radio Okapi. Il a indiqué qu’en attendant le règlement de leurs indemnités de sortie, ces agents ne perçoivent que le dixième de leur salaire, qui est payé de façon irrégulière. 

A en croire Alidor Lebon, chaque agent concerné par la retraite reçoit un forfait de 6 500 Francs congolais (7 dollars américains) quels que soient le grade, la fonction ou l’ancienneté.

Une somme qu’ils jugent modique mais qu’ils ne perçoivent pas non plus régulièrement.

« Ce salaire là n’est pas payé depuis 66 mois (plus de 5 ans). Nous sommes en 2014, on nous paie le salaire de janvier 2013. Tout en sautant d’autres années pour avancer mais on n’avance pas », a affirmé Alidor Lebon.

D’après lui, le collectif a écrit à tous les niveaux « mais c’est comme si nous n’existions pas ».

« Alors que lorsque nous regardons notre constitution, il est dit en article 49 que l’on doit apporter assistance à la personne du troisième âge, c’est nous », a ajouté Alidor Lebon.

L’administrateur directeur général de la SCPT, Placide Mbatika, reconnait cette situation mais il invite ces agents à la patience, compte tenu des difficultés financières auxquelles la société fait face.

« Ça fait pratiquement 20 ans que la SCPT n’a plus produit. Le gouvernement vient de doter cette entreprise d’un outil de production. C’est à peine que nous commençons à avoir des recettes. Il faut d’abord consolider ces recettes avant de commencer à payer les gens au maximum », a précisé Placide Mbatika.

Il a aussi souligné que la SCPT regorge plus des retraités que des agents actifs.

« S’il faut aujourd’hui commencer à apurer toutes ces dettes, je peux vous  garantir que la société n’aura pas une longue vie », a poursuivi l’ADG de la SCPT.

 

Actualité RDC : les FDLR refusent de rejoindre le camp de transit de Kisangani

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Crée LE 13-08-2014  - 11H20 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOURLUNmercredi  le 13-08-2014 -12H20 PAR :RADIO OKAPI

 

                                                                  

La Mission de l’Onu en RDC (Monusco) se dit déçue que les rebelles rwandais des FDLR refusent de rejoindre le camp de transit de Kisangani (Province Orientale). Le chef de bureau de la Monusco au Nord-Kivu, Ray Virgilio Torres, estime que ce refus est une violation manifeste de la volonté exprimée par ces combattants à mettre fin à la lutte armée. Le gouvernement congolais a choisi le site de Kisangani pour les accueillir dans le cadre du processus de leur désarmement.

 «C’est quelques chose de très important parce que s’il n’y a pas des mouvements de Kanyabayonga vers Kisangani, il ne peut pas y avoir d’autres combattants qui rendront leurs armes et ça sera la lutte armée», a-t-il affirmé.

Ray Virgilio Torres se dit d’autant plus déçu par le refus des FDLR que le fait de se rendre et d’intégrer le processus de démobilisation était leur décision.

«Ce sont eux qui ont dit : nous allons désarmer, nous allons commencer à lutter mais de façon non guerrière, sans utiliser la violence», a-t-il rappelé.

Le diplomate onusien rappelle aussi que, comme l’avait affirmé le représentant spécial du secrétaire général de l’Onu en RDC, Martin Kobler, l’option militaire reste sur la table.

Près de 200 rebelles rwandais des FDLR, ayant rendu les armes, et quelque 400 de leurs dépendants attendent toujours, dans les camps de la Monusco, leur rapatriement vers le Rwanda.

Le représentant spécial adjoint du secrétaire général des Nations unies en RDC, Abdallah Wafy, l’avait indiqué mercredi 2 juillet au cours de la conférence de presse hebdomadaire des Nations Unies à Kinshasa.

Le général Wafy avait néanmoins prévenu que l’option militaire reste valable pour les éléments des Forces démocratiques pour la libération du Rwanda réfractaires à cette reddition.


VIDEO-LA RCA : La nomination d'un nouveau premier Ministre Mahamat KAMOUN, met de l'huile sur le feu d'après la coalition SEKEKA

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Crée LE 13-08-2014  - 20H20 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOURLUNmercredi  le 13-08-2014 - 20H10 PAR : ARTV NEWS

 

Photo de Bongos Roger.

Abyhal AWAL ( porte parole de la coalition SELEKA )


La présidente centrafricaine, Catherine Samba-Panza, a nommé dimanche après-midi Mahamat Kamoun Premier ministre de transition, en remplacement d'André Nzapayéké.

Cette nomination met de l'eau dans le gaz et la coalition SELEKE ne veut pas entendre de cette oreille, cette nomination, en  la qualifiant, comme étant un arrangement entre copains. Et en rejetant par ailleurs, en bloc cette mise en scène théâtrale qui n'a aucune légitimité à leurs yeux.

Le porte parole de la coalition SEKELA, Monsieur Abyhal AWAL, exhibe les menaces à peine voilées, d'une reprise des hostilités étant donné qu'elle occupe(sic) une bonne de la République Centrafricaine.

La pomme de discorde est, sur le fait que Madame SAMBA PAMZA n'a pas respecté, les accords signés à Brazzaville, Djamena et surtout les pourparlers de Malabo pilotés par le Président Sassou Nguesso et celui de la Guinée Equatoriale, le Président Obiang Nguema Basogo.

ABYLAH-AWAL-5.png

                                 Abyhal AWAL                              Roger BONGOS


Suivez Monsieur Abyhal AWAL, porte parole de la coalition SELEKA en interview avec Roger BONGOS de l'Afrique Rédaction

EGLISE : DIEU FAIT-IL ENCORE DES MIRACLES ?

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Crée LE 13-08-2014  - 20H20 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOURLUNmercredi  le 13-08-2014 - 20H10 PAR : ARTV NEWS

 

                                                                               Célestin Kibutu                                                                                                                                                            

 

                                                                                    Carlos Annacondia

 

Partout les difficultés s'amoncellent et les solutions se faisant rares, les rangs de l'église ont grossi. Ferveur et miracles au rendez-vous, du Cap à New-Delhi en passant par Kinshasa, Douala, New-York ou Paris, les églises évangéliques séduisent de plus en plus de fidèles. Le secours divin est souvent porté par des prédicateurs formés pour toutes sortes de guérisons et de miracles. Le regretté Tommy Lee Osborn, qui a évangélisé dans plus d'une centaine de pays durant plus de soixante ans devant plus d'un milliard de personnes, aura marqué notre époque. Par cet américain, les paralytiques ont marché, les sourds ont entendu, les aveugles ont recouvré la vue, les muets ont parlé sur tous les continents, à la stupeur des quelques sceptiques qui se glissaient dans les rangs.

 

Voici les miracles 

 

Agissant sous la bannière divine stipulant : « Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru : en mon nom, ils chasseront les démons... », ces envoyés font encore des choses extraordinaires. Dernièrement, le pugnace évangéliste congolais Jean-Oscar Kiziamina Kibila a fait marcher des paralytiques-nés au Gabon et au Cameroun. En France, l'un de ses premiers exploits date du début des années 2000 à Villeurbanne, où il fit marcher une femme infirme sous nos yeux.

 

En Afrique australe, on amena à l'évangéliste puncheur Ayo Oritséjafor une femme enceinte depuis 32 mois. Avant que la main de l'évangéliste n'ait touché son ventre, cette femme enfanta au milieu de milliers de gens. Quant à Wallo Mutsenga Malachie, se trouvant à Kinshasa, une jeune femme qui ne voyait plus ses menstrues depuis 12 ans voulut le joindre par téléphone pour lui exposer sa frustration. A peine eut-il dit bonjour, que celle qui se trouvait à l'autre bout du fil en Europe, vit ses règles arriver spontanément après plus d'une décennie d'absence. En Belgique, Célestin Kibutu, fut le premier africain à enseigner la délivrance théorique et pratique dans une faculté européenne.

 

Vous semble-t-il incroyable que Dieu ressuscite les morts ? 

 

La prestigieuse filière anglophone avait précédé la francophone avec Benny Hinn, le zambien Philip Banda, les charismatiques nigérians, Abraham Chigbundu, Matthew Ashimolowo ou Daniel Olukoya. Docteur en chimie moléculaire, auteur de plus d'une centaine de publications scientifiques et chrétiennes, ce dernier pria furtivement pour Fiona, l'une de ses collègues décédée sur son lieu de travail lorsqu'il exerçait dans un centre de recherches à Londres. Elle revint à la vie avant son transport à la morgue. La résurrection d'un mort, le prédicateur Ignace Tambu Lukoki l'a aussi connue. Au Gabon, c'est en empruntant une prière au centrafricain Charles Talingano que Jean-Baptiste Moulacka fit revenir à la vie vers 16h, en présence d'une foule immense, une jeune fille Zaza, décédée depuis 9h du matin.

 

Médecin, guéris-toi toi même

 

Que ce soit pour la santé, les finances, les études, l'emploi, le conseil divin, l'allemand Reinhard Bonnke, le congolais Léopold Mutombo Kalombo ou le nigérian Sunday Adélaja basé à Kiev en Ukraine où il est à la tête de la plus grande église évangélique d'Europe avec 40.000 fidèles, savent s'y prendre. Le burkinabé Mamadou Karambiri dit : « je ne saurais pas vous dire le nombre de personnes que nous avons encadrées et qui sont aujourd'hui cadres supérieurs ». Après 36 ans de service, Ayo Oritséjafor affirme : «  il m'est impossible de vous donner le nombre de personnes arrivées dans notre église pauvres et qui sont devenues millionnaires ».

 

Ces spécialistes de la chasse aux démons n'ont pas de limites et l'incomparable commence même dans les vies de ces ouvriers emplis de foi. Ainsi, Daniel Olukoya qui continue à parcourir le monde tomba malade pour la dernière fois en 1974. Ignace Tambu Lukoki et sa femme n'utilisent jamais de contraceptif. Chaque fois qu'ils désirent un enfant, ils le demandent et la femme tombe enceinte. Aidine Abala a survécu à neufs empoisonnements avant de demander au Seigneur de reprendre son âme.

 

Les femmes ne sont pas en reste avec Helen Oritséjafor, propriétaire de deux banques, et Leslie Mc Nulty pour ne citer que ces deux là. Lorsque Dieu le désire, les cancers, la folie, le diabète, le sida, les tumeurs, les fibromes, l'autisme et la trisomie disparaissent également après leurs prières. Celles-ci prennent le relais lorsque la médecine, la science, les banques et la société ont échoué. Si Daniel Kolenda ou Kevin Mc Nulty ont émergé en imitant leurs mentors, « les fabricants de miracles » Bernard Blessing et Jacques Neema Sikatenda ont dépassé en puissance leurs maîtres. 

 

Une démonstration de puissance qui met fin au doute

 

Sikatenda a marqué les esprits en ordonnant la guérison d'un enfant porteur d'une grave déformation faciale avec un œil situé dès la naissance hors de l'orbite. Récemment, lors d'une tournée au Brésil, il a confirmé ses dons par de grands miracles. A la vérité, aujourd'hui, la dimension thérapeutique de la foi est une évidence. Malgré la présence des brebis galeuses aux prouesses éphémères, les vrais envoyés continuent d'élever très haut le nom du Seigneur dans les steppes d'Asie centrale, la neige de Bulgarie, les vastes auditoriums américains, les stades d'Afrique, par des signes, des prodiges et des merveilles. Alléluia !

 

 

                                                                                         Franck  CANA


Actualité RDC: des amnistiés encore détenus à Kinshasa

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Environ deux cents personnes amnistiées sont encore incarcérées à la prison centrale de Makala et celle de Ndolo à Kinshasa, affirment certains avocats des amnistiés. «L’exécution de cette loi n’a atteint que la moyenne», a déclaré  mercredi 13 août Me Peter Ngomo. Il s’est exprimé au lendemain de l’expiration du délai imparti aux candidats pour remplir l’acte d’engagement à ne plus recourir aux armes pour faire des revendications politiques. Il a menacé de saisir la justice si les prisonniers ayant déjà signé ce document étaient maintenus en détention. 

«L’application de cette loi a été moyenne. Six mois après, il y a encore des bénéficiaires de cette loi d’amnistie qui se trouvent encore dans nos prisions. Alors que, si ont s’en tient à l’esprit et même à la lettre de cette loi là, tout ce monde ne serait plus en prison», a déclaré Me Peter Ngomo.

Concernant les deux cents prisonniers de Makala et Ndolo à Kinshasa qui ont déjà signé leurs actes d’engagement, Me Peter Ngomo estime que les maintenir en prison constitue “une détention arbitraire ou illégale”. Avec ses collègues, ils envisagent de saisir la justice si les concernés ne sont pas libérés.

«Nous nous réservons le droit de déposer aussi, le moment opportun, des plaintes ; parce tous ces magistrats qui les maintiennent en détention [doivent savoir] qu’ils ne seront pas couverts par la loi», a-t-il menacé.

Lire aussi : RDC: environ 1% des membres de l’ex-rébellion du M23 amnistiés

Le porte-parole du gouvernement congolais, Lambert Mende, avait assuré lundi que la ministre de la Justice continuerait de signer les arrêtés relatifs à l’amnistie au fur et à mesure que les actes d’engagement déjà signés lui parviendront.

L’amnistie concerne les personnes condamnées pour faits insurrectionnels, faits de guerre et infractions politiques. Elle couvre la période du 18 février 2006 au 20 décembre 2013.

Actualité Redéploiement de la Monusco: 154 postes nationaux supprimés

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L’entrée principale du quartier général de la Monusco à Kinshasa. Radio Okapi/Ph. John Bompengo

La Monusco a confirmé mercredi 13 août la suppression de 154 postes nationaux, dans le cadre du processus du redéploiement de son personnel dans l’Est de la RDC. Les agents concernés par cette mesure, et qui font des sit-in depuis une semaine pour manifester leur ras-le-bol et réclamer le départ du chef de l’administration de la Monusco, seront payés  conformément aux règles des Nations unies. C’est ce qu’a expliqué Charles Bambara, porte-parole civil de la Monusco, au cours de la conférence hebdomadaire des Nations unies ce mercredi à Kinshasa. 

«La Mission a été notifiée le lundi 11 août de la décision du Secrétaire général [des Nations unis] d’approuver, comme proposée, la fin de contrat des 154 membres du personnel recrutés localement dont les postes avaient été supprimés par l’Assemblée générale dans le budget 2014/2015 et auxquels une prolongation de contrat de 3 mois à compter du 30 juin avait été accordée», a annoncé Charles Bambara.

Selon lui, la fin de contrats des fonctionnaires concernés est fondée sur la suppression des postes, opérée conformément au règlement et à la règle sur la gestion du personnel onusien.

Tous les membres du personnel concernés, a-t-il poursuivi,  recevront un courrier individuel notifiant la suppression de leur poste dans les prochains jours.

Charles Bambara a assuré que tous les droits dus aux agents frappés par cette mesure seraient garantis:

«Chaque membre du personnel affecté par la mesure recevra l’équivalent d’un mois de salaire au titre du mois de préavis, une indemnité de licenciement fixée sur la base de leur entrée en fonction, du grade  et de l’échelon, ainsi qu’un solde de tout compte comprenant tous les droits à régulariser

La reconfiguration de la mission onusienne vise à accroître sa présence dans les parties de la RDC touchées par le conflit: les deux Kivu, le Nord-Katanga et l’Ituri.

Elle a été décidée par le Conseil de sécurité à travers sa résolution 2098 du 28 mars 2013 portant prorogation du mandat de la Monusco. Le document stipule:

«La Monusco renforcera la présence de ses composantes militaires et civiles et de police dans l’Est de la RDC; et réduira dans toute la mesure du possible, pour la mise en œuvre de son mandat sa présence dans les zones qui ne sont pas touchées par les conflits, en particulier Kinshasa et l’Ouest du pays, notamment en mettant en œuvre les mécanismes des coordonnateurs de zone des Nations unies et le concept du bureau modèle ainsi qu’en nommant d’autres coordonnateurs de zone de l’Onu et en créant d’autres bureaux conjoints de Nations unies».

 

Actualité RDC: l’ex-chef milicien Yves Kawa condamné à 9 ans de prison

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Crée LE 14-08-2014  - 10H20 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOURLUNjeudi  le 14-08-2014 - 10H50 PAR : RADIO OKAPI 

La cour militaire de la Province Orientale a condamné mercredi 13 août à Kisangani l’ancien chef milicien de l’Ituri, Yves Kawa Mandro, à 9 ans de servitude pénale principale. Il a été reconnu coupable notamment de coups et blessures volontaires, assassinat, participation à un mouvement insurrectionnel, détention d’armes de guerre, crime contre l’humanité et crime de guerre. Pour les mêmes faits, Yves Kawa avait été condamné au premier degré, en 2006, à 20 ans de prison par le tribunal militaire garnison de l’Ituri.

C’est après environ 4 heures d’audience dans la salle de l’auditorat militaire de Kisangani que le prononcé a été rendu par la cour militaire de garnison de la Province Orientale. Celui-ci a été précédé par la lecture de la motivation de cette décision contenu dans un document d’environ 80 pages, lu par le premier président de cette juridiction.

Les juges ont en effet condamné l’accusé à 9 ans de servitude pénale principale; l’unique peine la plus forte. En outre, le condamné doit également verser 85 000 dollars américains, au titre des dommages et intérêts aux familles des victimes.

Le concerné a été déclaré non coupable et acquitté pour certains meurtres. La cour a cependant confirmé le verdict rendu par le premier juge, qui l’a déclaré coupable du mouvement insurrectionnel, de détention d’armes de guerre, crime contre l’humanité et crime de guerre.

En guise de correction de l’œuvre du premier juge, la cour a retenu en faveur du condamné les bénéfices de circonstances atténuantes au regard de son jeune âge et de sa responsabilité familiale. Né en 1973, le chef coutumier est marié à plusieurs femmes et père de nombreux enfants.

L’interdiction au condamné d’exercer le droit politique, prononcé par le premier juge, a été également levée.

Après une première condamnation au premier degré pour crime de guerre, crime contre l’humanité, détention illégale d’armes de guerre et participation à un mouvement insurrectionnel en 2006 par le tribunal militaire garnison de l’Ituri, Yves Kawa avait été acquitté en 2007 par la cour militaire de Kisangani siégeant en chambre foraine à Bunia, puis en 2008 par la cour d’appel de Kisangani.

Malgré ce verdict, le chef du Parti pour l’unité et la sauvegarde de l’intégrité du Congo (Pusic), est resté trois ans dans une base militaire de la Monusco, alors Monuc, à Bunia, sur demande des autorités judiciaires congolaises, avant d’être transféré à Kinshasa, sur demande de l’auditeur général près la Haute cour militaire à Kinshasa.

Ce dernier a délivré en mars 2008 un autre mandat d’arrêt contre le chef milicien notamment pour crimes de guerre, crimes contre l’humanité ainsi que pour coups et blessures aggravées

Après cinq années passées dans la prison de Makala à Kinshasa, le prévenu est revenu à Kisangani où il a été de nouveau condamné mercredi à 9 ans de prison.

Mais Yves Kawa Mandro a déjà passé 9 ans et 4 mois en prison depuis son arrestation et sa condamnation au premier degré, selon le greffier de la cour militaire de la Province Orientale. Au fait il a déjà purgé sa peine et devrait être libéré. Toutefois, il se posera un problème des dommages et intérêts à payer aux victimes, selon la même source.

Actualité Kinshasa : une maternité depuis plusieurs jours sous une épaisse fumée à Delvaux

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Crée LE 14-08-2014  - 10H20 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOURLUNjeudi  le 14-08-2014 - 14H50 PAR : RADIO OKAPI 

 

 

 

 

                                                                           

 

Une épaisse fumée a envahi, depuis plusieurs jours, les bâtiments situés à l’entrée de Binza pigeon, dont la maternité de Delvaux, dans la commune Ngaliema. Selon des témoins, des inconnus ont mis le feu à une décharge située dans un ravin derrière une concession de l’église kimbanguiste. L’air est devenu irrespirable dans ce coin proche de la route de Matadi. La population environnante appelle les autorités à intervenir.

 Les plus exposés à ce danger sont les nouveau-nés de la maternité des sœurs située à quelques mètres de cette décharge.

L’avenue de la maternité est située en face de l’entrée de la concession kimbanguiste. Les bâtiments de part et d’autres de cette voie agissent comme un entonnoir et une grande partie de cette fumée s’engouffre dans les installations de cette maternité.

La sœur superviseur de cette maternité, Justine Ndiolene, en témoigne :

«Ça représente un danger pour la maternité. Dans la salle des bébés, on n’arrive même pas à respirer. Si ce n’est pas bien pour les grandes personnes, à plus forte raison pour les enfants».

La nocivité de cette fumée est davantage redoutée que la nature des immondices brûlées reste très incertaine.

Pour un pharmacien qui possède une officine située en face de ce ravin, le gaz inhalé à travers cette fumée peut produire des effets nocifs même à long terme.

Selon des témoins, des sapeurs-pompiers ont essayé, il y a quelques jours, d’éteindre ce feu, sans y arriver totalement. Après leur passage, la fumée a repris de plus belle.

Les habitants du quartier appellent les autorités à trouver une solution urgente à ce problème.

Actualité Le Beach Ngobila et l’aéroport de Ndjili équipés de kits de détection de la fièvre Ebola

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Crée LE 14-08-2014  - 10H20 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOURLUNjeudi  le 14-08-2014 - 14H50 PAR : RADIO OKAPI

 

 

 

                                                                    
Le gouvernement vient d’équiper le Beach Ngobila et l’aéroport international de Ndjili, à Kinshasa, de kits de détection de la fièvre hémorragique Ebola. Ce dispositif vise à prévenir l’entrée dans la capitale congolaise de cette infection dont l’épidémie fait actuellement rage en Afrique de l’ouest. Tous les voyageurs en provenance de l’étranger devront désormais subir un contrôle sanitaire minutieux opéré par le service d’hygiène.

 C’était le 3e jour, jeudi 14 août, depuis que ces kits sont installés au Beach Ngobila.

Selon Dominique Bolembe, chef de poste du service de l’hygiène dans ce port, tout voyageur dont la température atteint 40 degré Celsius sera mis en quarantaine.

«Si la température est supérieure à 40 degrés, automatiquement la personne est mise en quarantaine, et même l’unité de navigation, c’est-à-dire le canot qui l’a transporté, tous les voyageurs sont mis en quarantaine», a-t-il expliqué.

M. Bolembe ne cache cependant pas sa satisfaction qu’aucun cas suspect n’ait encore été détecté.

Bien qu’équipés de kits de détection, les agents contrôleurs ne disposaient cependant pas de kits de protection adaptés à leur tâche. Jusque mercredi matin, ils utilisaient des bleus de travail ordinaires, des gants et des caches poussières.

Le chef de poste a cependant assuré que les kits de protection devaient leur parvenir au courant de la journée. Ils attendent aussi l’arrivée d’ambulances qui, postées sur place, devraient faciliter l’évacuation de cas suspects.

Face au danger que représente cette maladie, le fonctionnaire assure qu’aucune exception ne sera tolérée parmi les voyageurs.

«En tout cas, pour ces derniers temps, comme c’est un fléau mondial, quel que soit votre rang, vous devez passer par les services de détection. Quand vous prenez l’exemple du Liberia, le premier cas, c’était un haut fonctionnaire de l’Etat. Donc il n’y a pas de distinction», a-t-il affirmé.

M. Bolembe reconnait cependant que, outre le Beach Ngobila, il existe plusieurs autres points d’entrée dans la capitale kinoise à partir du fleuve Congo, qui échappent au contrôle de ses services.

Ils pourraient constituer des voies d’accès à la maladie si le gouvernement n’y prend garde, a-t-il prévenu.


Actualité CAF-C1 : Taggy Etekiama suspendu pour une durée indéterminée

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Crée LE 14-08-2014  - 10H20 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOURLUNjeudi  le 14-08-2014 - 14H50 PAR : RADIO OKAPI

 

                                                                       

 


Taggy Etekiama, l’attaquant de l’As V.Club accusé par le Congo-Brazzaville de double identité a été suspendu par la confédération africaine de football (Caf) pour une durée non déterminée. Dans une correspondance adressée mercredi 13 août à la Fecofa, la Caf affirme que l’attaquant de l’As V.Club ne peut être aligné ni dans son club ni dans l’équipe nationale du Rwanda en attendant l’aboutissement de l’enquête. 

Cette suspension intervient après que le joueur a été entendu au siège de la Caf au Caire au lendemain de la victoire de V.Club sur Zamalek (1-0). Une victoire qui permet aux verts et noirs d’accéder en demi-finale de la ligue des champions de la Caf avant même la dernière journée de la phase des groupes.

La République du Congo a accusé l’attaquant de V. Club d’utiliser deux identités différentes. Etekiama a joué pour le Rwanda en match aller des préliminaires de la Can 2015 disputé à Pointe Noire contre la République du Congo, accuse cette dernière. Selon elle, le joueur utilise une identité pour l’As V.Club et une autre lorsqu’il joue avec le Rwanda.

Lire aussi: RDC-Congo: Birori ou Etekiama? Un footballeur rwandais soupçonné de double identité

L’As V.Club est rentré à Kinshasa mardi 12 août 2014 en provenance d’Alexandrie, en Egypte. L’équipe reprend les entrainements ce jeudi 14 août en vue de la rencontre de la 6ème et dernière journée des quarts de finale, prévue le dimanche 24 août 2014 au stade Tata Raphaël contre le TP Mazembe de Lubumbashi.

Actualité La BCC bien lotie avec l’accroissement des réserves de change

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Crée LE 14-08-2014  - 10H20 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOURLUNjeudi  le 14-08-2014 - 14H50 PAR : LE PHARE

 

                                                               
Le Gouverneur Deogratias Mutombo annonce l’atteinte de 1.757,53 millions USD à fin juillet 2014 par l’Institut d’Emission, représentant 8,4 semaines d’importations sur ressources propres.

Le Gouverneur de la Banque Centrale du Congo, Deogratias Mutombo Mwana Nyembo, a présidé hier mercredi 13 août la 7ème réunion ordinaire pour l’exercice 2014 en cours et la 15ème depuis son institution, du Comité de Politique Monétaire (CPM).
Faisant le compte rendu de la réunion au cours d’un-point de presse qu’il a animé à cet effet, il n’a pas caché sa satisfaction pour les bons résultats obtenus en matière de politique monétaire. A l’affiche, il y a entre autres l’accroissement des réserves de change, la stabilité du cours de la monnaie nationale, le resserrement de l’encours des Bons BCC dégageant ainsi une injection annuelle de liquidité de 60,25 milliards de CDF, le maintien du taux directeur à 2%, etc.
Le Gouverneur a, à l’occasion, salué la hausse du cours du cuivre dur le marché mondial dont la moyenne mensuelle s’est établie à 7.100,00 USD la tonne, contre 6.800 USD un mois plus tôt.
Par contre, il a insisté pour que le taux débiteur des banques commerciales qui s’élève actuellement à 14% pour les devises étrangères et à 17% pour le Franc congolais, suive la logique de celui directeur de la Banque centrale qui s’est établi voici plus d’une année à 2%. Toutefois, il a reconnu à ce sujet, que des efforts ont été fournis pour qu’il soit là où il est actuellement. Parce que le taux débiteur était, en 2009, à 35% pour les devises étrangères et à 40% pour la monnaie nationale. Ci-dessous: le compte rendu de la 7ème réunion ordinaire du CPM:
Dom
 
Le Comité de Politique monétaire a tenu, ce mercredi 13 août 2014, sous la présidence de Monsieur Deogratias MUTOMBO MWANA NYEMBO, Gouverneur de la Banque Centrale du Congo, sa septième réunion ordinaire de l’année.
Cette rencontre a permis à La Banque Centrale d’analyser le développement récent de la conjoncture économique tant à l’échelle internationale que nationale ainsi que les perspectives pour le reste de l’année.
 
Il en est ressorti que:
Sur le plan international:
Les nouvelles perspectives économiques mondiales publiées par le FMI tablent sur une reprise de l’activité économique en 2014 contrairement à ce qui a été observé au premier trimestre. En effet, bien qu’en léger recul de 0,3 point de pourcentage par rapport aux projections du mois d’avril, la croissance économique mondiale demeure robuste à 3,4 % sous l’impulsion des économies avancées, et devra rebondir à mesure que les contraintes temporaires s’atténueront et que les mesures de soutien prises par les économies développées et émergentes commenceront à produire leurs effets.
 
Néanmoins, des facteurs de risque persistent et pèsent sur l’environnement économique mondial, notamment les risques liés aux tensions géopolitiques qui se sont accentuées, de même que la volatilité des marchés financiers qui pourrait s’aggraver avec l’inversion des flux de capitaux et de l’augmentation des primes de risque.
A cet effet, les pays avancés doivent, sous une normalisation progressive des politiques budgétaires, maintenir les politiques monétaires d’accompagnement et ainsi mettre en œuvre des réformes de la réglementation financière.
Quant aux pays émergents et en développement, il leur est recommandé d’accroitre la marge de manœuvre pour relever la croissance en l’imitant autant que possible les facteurs de vulnérabilité extérieure et contenant les déséquilibres budgétaires et les tensions inflationnistes.
 
Sur le plan national:
L’activité économique en 2014 devrait se maintenir au-delà de 8,0 %, sous l’impulsion du secteur minier dopé principalement par le bon comportement des cours mondiaux, particulièrement celui du cuivre, dont la moyenne mensuelle pour le mois de juillet s’est établie à 7.100,00 USD la tonne contre 6.800 USD un mois plus tôt. Ceci est notamment attesté par le solde brut d’opinions des chefs d’entreprises pour le mois de juillet qui est reparti en hausse, se situant à 24,6 % après un léger recul observé sur les deux derniers mois.
 
La poursuite de la stabilité des prix caractérise le marché des biens et services. En effet, le taux d’inflation au mois de juillet s’est situé à 0,068 % contre 0,083 % au mois de juin 2014 portant le taux cumulé annuel à 0,777%. Ce qui augure d’un taux d’inflation à fin décembre 2014 de 1,306 % alors que pour la même période, les agents économiques anticipent une hausse des prix de 1,348 % contre une prévision de 3,7%.
 
Le marché des changes est demeuré stable par rapport à fin juin, affichant des appréciations de 0,2 % et 0,03 % respectivement à l’indicatif et au parallèle. D’un mois à l’autre, le taux de change s’est situé à 924, 16 CDF et 931,00 CDF le dollar venant de 926,12 CDF et 931,25 CDF.
 
Les réserves de change se sont accrues de 31,52 millions de USD en cumul, atteignant 1.757,53 millions de USD à fin juillet 2014, soit 8,4 semaines d’importations des biens et services sur ressources propres. Cette amélioration a été facilitée particulièrement par les achats de devises de 53, 1 millions de USD opérés par la BCC sur fond d’une forte demande du franc congolais par l’économie à la suite de l’échéance fiscale relative au paiement du premier acompte provisionnel de l’impôt sur les bénéfices.
Dans ce contexte, l’encours des Bons BCC s’est resserré à 82,50 milliards de CDF, dégageant une injection annuelle de liquidité de 60,25 milliards en phase avec, les besoins de l’économie.
Eu égard à la stabilité observée sur les différents marchés et en l’absence des chocs majeurs sur la liquidité bancaire, le CPM a décidé de maintenir inchangé le dispositif actuel de la politique monétaire, à savoir 2,0 % en ce qui concerne le taux directeur; 5,0% et 0% respectivement pour les coefficients de la réserve obligatoire sur les dépôts à vue et à terme en monnaie nationale ainsi que 8,0 % et 7,0 % pour ceux appliqués aux dépôts à vue et à terme en devises.

Actualité Assigné en déguerpissement, l’Onatra dénonce la tentative de spoliation des biens de l’Etat

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S’estimant propriétaire des parcelles ayant comme numéro cadastraux 607,608, 628 et 638, dans la commune de Limete, Tabora Gérard et consorts dénoncent le comportement de l’Onatra (Office national des transports)

qui veut s’accaparer de ces parcelles sans titre ni droit, lui qui est déjà frappé par deux arrêts de la Cours suprême de justice. Il s’agit principalement des RA 918 et 1344. Déclaration faite par leur conseil devant la chambre du président du tribunal de grande instance de Matete sous le RC 27779.
 
Poursuivant leurs déclarations, Tabora et consorts ont confirmé qu’ils sont détenteurs, depuis 2003, des certificats d’enregistrement sur lesdites parcelles qui leur donnent le droit de jouissance. Et, depuis lors, l’Onatra ne les a jamais attaqués devant la justice. Cela étant, il serait de leur droit que le tribunal les confirme comme propriétaires et ordonne le déguerpissement de l’Onatra. Quant au jugement, il doit être exécutoire nonobstant tout recours.
Réagissant aux accusations portées contre lui, l’Onatra a dénoncé l’existence d’un réseau mafieux qui vise à spolier les biens de l’Etat. Ces parcelles sont acquises par l’Onatra depuis 1952. En 1958, l’on avait procédé à la construction des maisons et l’Onatra (ex Otraco) est détenteur des certificats d’enregistrement.
Avec le changement de régime politique, l’un des demandeurs, alors ministre des Affaires foncières, avait déclaré ses parcelles comme étant des biens sans maître et les avait placées dans le patrimoine privé de l’Etat. Curieusement, parmi les bénéficiaires de cette décision. On remarque que lui-même en tant que ministre des Affaires foncières. Raison pour laquelle l’Onatra a attaqué cette décision devant la Cour suprême de justice.
Si cette Cour avait rejeté la demande de l’Onatra, c’est parce qu’elle a eu à constater un vice de procédure et non le manque de qualité dans le chef de l’Onatra, a soutenu le conseil de cette entreprise congolaise. Car, à travers cette démarche de la Cour suprême, l’Onatra visait à démontrer que l’arrêté du ministre était illégal et les titres détenus par le ministre et sa suite étaient illégaux.
 
En ce qui concerne les certificats d’enregistrement que détiendraient les demandeurs Tabora Gérard et consorts vielles de plus de deux ans, l’Onatra a soutenu que nulle part le législateur ne dit que qu’ils sont inattaquables. Aussi, a poursuivi l’Onatra, Ta- bora Boniface et consorts soutiennent sans preuve qu’ils sont détenteurs des certificats d’enregistrement. C’est une manière mafieuse de vouloir spolier les biens de l’Etat.
 
Cela étant l’Onatra a demandé aux juges, avant la communication du dossier au ministère public de dire recevable mais non fondée cette action, car, l’arrêté du ministre qui leur donne le droit de propriété viole la loi et tente de faire échec à une ordonnance présidentielle.
Yves Kadima

Meurtre gratuit de Michaël Brown, âgé de 18 ans à Ferguson par un policier ‘‘We Want Justice’’...

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Par Joël Asher Lévy-Cohen

Michael-Brown--18-ans-assassine-aux-Etats-Unis.jpg

Michael-Brown  18 ans assassiné aux Etats Unis à Ferguson

 

Officiellement parlant, les États-Unis d’Amérique ne sont pas, par définition, un pays raciste. Cela est d’autant plus vrai que ceux-ci ont adopté, au cours de leur histoire mouvementée, bon nombre de législations draconiennes qui répriment ce comportement abject. Mais, qu’en est-il véritablement dans la réalité quotidienne ?

 

En effet, il ne se passe pas un jour de la semaine sans que ce pays ne soit rapidement rattrapé par ses vieux démons racistes, lesquels ne sont pas sans rappeler les dures années cinquante et soixante, tout à fait, au cœur des politiques discriminatoires des populations africaines-américaines.


Le dernier événement en date, à la base de toutes les crispations et frustrations, est bien entendu le meurtre gratuit de Michaël Brown, âgé de 18 ans, à Ferguson, une banlieue périphérique de la ville pittoresque de Saint-Louis dans l’État de Missouri. Ce jeune homme africain-américain, dans la fleur de l’âge, a été abattu par un constable blanc. Ce drame est intervenu au cours d’un contrôle policier alors qu’il avait, selon les badauds et les témoins, effectivement les mains en l’air. Donc, celui-ci ne présentait apparemment aucun danger pour la sécurité des policiers.


Toujours est-il que pendant son interpellation que d’aucuns ne s’expliquent, un coup de feu assourdissant est parti du véhicule de police qui lui demandait de s’immobiliser. En s’effondrant à terre, Michaël Brown a reçu pas moins de huit balles mortelles. Ce qui a déclenché, spontanément, des manifestations qui ne faiblissent point et au cours desquelles les protestataires, scandant des slogans de justice, ont effectivement les mains en l’air. Ceux-ci ne demandent qu’une et une seule chose : ‘‘Que la justice soit faite !’’


Ce qui est, à n’en pas douter, plus frappant dans cette histoire épouvantable, c’est abord et avant tout l’attitude des médias américains tentés plutôt de protéger, comme à l’accoutumée, les institutions étatiques, donc de couvrir par des reportages, on ne peut plus biaisés et orientés, des bavures policières. En effet, en vue de préparer l’opinion publique blanche à soutenir, de manière inconsciente, la Police de Ferguson contre un membre d’une minorité dépeinte comme systématiquement violente et irrécupérable, ils ont commencé à diffuser nombre d’images impliquant des manifestants qui s’adonnaient au vandalisme.

Aussi ont-ils diffusé, dans la foulée desdits événements, nombre d’images de la victime, lesquelles ne sont pas sans rappeler certaines postures des ténors de la ‘‘Gangsta Rap’’ de triste mémoire. Ce qui est de nature à discréditer le pauvre regretté et ses nombreux soutiens inconditionnels. Pourtant, le jeune Michaël Brown mortellement fauché par plusieurs balles policières est, plutôt, reconnue dans sa communauté comme une personne au comportement raisonnablement digne et respectable.


Par ailleurs, depuis que cette Police de Ferguson s’est compromise dans l’interpellation suivie de l’arrestation brutale des journalistes venus couvrir des manifestations qui se transforment davantage en émeutes urbaines, l’attitude des médias officiels a complètement changé. Celle-ci a, depuis cet incident, basculé en faveur des protestataires. Elle est devenue, du moins, assez raisonnable. En effet, les reporters sur le terrain insistent, désormais, sur la disproportion des moyens militaires utilisés par les policiers à l’encontre des manifestants ayant, la plupart du temps, des mains en l’air pour souligner la position dans laquelle a été abattu le jeune Michaël Brown.


Ensuite, ce qui frappe dans ce drame, c’est le comportement criminel de la Police de Ferguson. Cette Institution dont la transparence laisse, à vrai dire, à désirer dans le cadre de cette affaire, préfère plutôt démontrer ses muscles. En fait, elle est plus soucieuse d’attester la présence de l’Ordre et de la Loi que de désamorcer la crise. Force est d’admettre que celle-ci n’a fait que creuser un fossé abyssal entre les Citoyens et leurs constables dont la mission primordiale consiste en réalité à protéger la Communauté, à assurer la sécurité de la population. En l’espèce, Ferguson est plutôt en présence d’une Police qui est devenue une insécurité pour sa propre communauté.


Ce conflit a fini par trouver son écho jusqu’aux portes de la Maison Blanche dont le présent locataire est un Africain-américain, en l’Occurrence le démocrate Barack Hussein Obama et du Ministre de la Justice Éric Holder, également un africain-américain. Pour désamorcer cette crise qui échappe de plus en plus au contrôle des autorités administratives locales, le président des États-Unis d’Amérique a appelé, depuis ses pénates sur l’Ile de Martha’s Vineyard, dans l’État de Massachussetts, où il passe ses vacances estivales, au calme et à la paix.

 

Aussi a-t-il exigé la transparence dans l’enquête policière, tout en prenant soin de condamner vivement, dans les termes les plus appropriés, les violences faites aux journalistes et aux forces de l’ordre dans la mesure où certains manifestants au profil des professionnels de la casse ont naturellement fait usage des cocktails Molotov.

Ce qui est clair, ces protestations mettent pratiquement mal à l’aise tout le monde. Y compris la communauté blanche sans nul doute choquée par cette théorie loufoque de ‘‘Home War’’ [la guerre chez nous] promue par des institutions officielles des USA, en l’occurrence la CIA et le FBI. En effet, impressionnée par la lourdeur des moyens militaires mis en œuvre pour étouffer les manifestations de Ferguson, celle-ci ne cesse dorénavant de dénoncer l’hypermilitarisation des polices locales des États fédérés par le Pentagone, pourtant une Institution officielle – le Ministère de la défense – des États-Unis d’Amérique.


Joël Asher Lévy-Cohen
Journaliste indépendant

Actualité La nouvelle société civile exige le remplacement des FARDC dans la plaine de la Ruzizi

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Crée LE 15-08-2014  - 10H20 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF :   |  PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALEAFRICAINE.   à JOUR LE vendredi  le 15-08-2014 - 12H40 PAR : RADIO OKAPI

 
 
 
Des éléments des FARDC au Nord-Kivu (Archives).)

La coordination de la Nouvelle société civile du Sud-Kivu exige le remplacement des troupes des Forces armées de la RDC déployées dans la plaine de Ruzizi. Dans une déclaration faite jeudi 14 août, le secrétaire exécutif de cette structure affirme que ces militaires ont été incapables d’empêcher les tueries à répétition survenues dans cette région, notamment à Mutarule, où six personnes ont encore été tuées dans la nuit de mardi à mercredi derniers par des hommes armés.

Au cours d’un point de presse tenu à Uvira-Centre, au Sud-Kivu, M. Misare s’est étonné de la persistance de ces tueries malgré la présence des forces de sécurité.

«Il n’y a pas longtemps, il y a eu des morts à Mutarule. Et on a formulé des recommandations. Ça, ce n’est pas le premier forfait. On a connu Mutarule 1, 2, 3… Ça c’est Mutarule 4», a-t-il affirmé.

La nouvelle société civile regrette que ses recommandations n’aient pas été suivies et que, jusqu’à ce jour, aucune solution n’a été prise pour arrêter ces tueries.

«Qu’on amène un autre groupe, je ne sais pas, de Kinshasa, du Bas-Congo, pour voir si la sécurité peut être rétablie dans la plaine de la Ruzizi. Sinon, un jour, deux mois après, nous allons continuer toujours à enterrer, tout simplement parce que le gouvernement fait la sourde oreille», a-t-il expliqué.

Pour le commandant du 105e régiment à Luvungi, la décision de déployer ou de déplacer des troupes revient aux seules autorités militaires. Il dit, pour sa part, être confronté à plusieurs conflits dans cette zone.

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