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Channel: AFRIQUE REDACTION . L'information en continu ! Afrique au cœur de l’actualité...Infos News sur la RDC, les brèves de la dernière minute. Synthèse sur l’actu internationale. rdcongo-kinshasa, Nord et Sud KIVU, Kinshasa, Bas Congo, Dongo, Equateur, Maniema, Lubumbashi, les deux Kasai. Rédacteur en Chef : BONGOS Roger
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[ VIDEO 1H 45' ] ULTIME CONFESSION DE WERRASON AUX COMBATTANTS ET PATRIOTES

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Créé le 20 -03-2011 à 00h20 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le dimanche 19 -03-2011 à  02h10 | AFRIQUE REDACTION

PAR :ROGER BONGOS

 

Werrason rentre en confession auprès de la diaspora Congolaise pour s’expliquer par rapport aux accusations portées à tort ou à raison sur sa façon de faire sa musique.

 

Il soutient qu’il fait simplement sa musique sans pour autant bénéficier des largesses du pouvoir. Or, les images d’archives nous prouvent à escient le contraire de ses dires quelques fois étriqués par son inconscience.

 

 

1heure 45 de questions et réponses qui pourront édifier la diaspora. A ma connaissance, il y a encore un long chemin à parcourir pour arriver à voir le bout du tunnel. C’est assez difficile de casser des mauvaises habitudes.


Suivez ce document histoire qui sera le témoin de ce que Werrason par rapport à ce qu’il vient de promettre.

 



Roger BONGOS


Myra NDJOKU : Trois millions de dollars pour atomiser l’action patriotique de la résistance en France

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Créé le 21 -03-2011 à 00h20 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le lundi 21 -03-2011 à  02h10 | AFRIQUE REDACTION

PAR : AFRIQUE REDACTION 

MYRA-NDJOKU-FRANCE.png


La peur change de camp, Myra NDJOKU pour préserver son poste est investi d’une mission périlleuse, de torpiller la grande mobilisation de la diaspora qui a le vent en poulpe. Les appels viennent du monde entier pour encourager les efforts consentis par les vaillants combattants, patriotes et résistantes de la diaspora par rapport aux marches organisées avec succès à Paris et aux blocus contre les concerts sur le territoire Français et enfin contre mon agression à la gare du Nord.


Une victoire de taille qui fait sortir le gouvernement Congolais de sa tanière par la voix monocorde de Vuvuzelateur Lambert MENDE pour faire des déclarations alambiquées susceptible de biaiser l’action salutaire de cette diaspora qui se lève comme un seul homme en unisson. Peine perdue, le rouleau compresseur est en marche !


La motivation morale de la diaspora pour le bien de son peuple est à la fois biologique er psychologie. Elle se manifeste, chez elle par le désir d’harmoniser son être avec son prochain croupissant dans la misère noire en RDC.  Cette frustration est naît de l’empiètement l’une sur l’’autre d’idées n’ayant aucun rapport entre elles, ceci empêchant une seule d’atteindre un point culminant satisfaisant pour son peuple. La diaspora cri son Ras le bol en disant KABILA DEGAGE ACT I et ACT II !


Eyindi (ça chauffe) ! Après consultations des astres chez ses charlatants de Barbès (quartier arabo-malien), Myra NDJOKU prend l’espoir et veut savoir d’où vient cette grande révolte. Autrefois, celui-ci disait à son fameux Raïs, qu’il avait la situation en main. Aujourd’hui, éberlué de voir la cocotte minute sifflotée avant l’explosion de cette marmite pour qui, est conçue pour faire cuire d’une manière rapide la tête de veau, mets préféré de Jacques Chirac !


La tête de marcassin de Myra est surmenée par la peur que son château soit envahi par les patriotes et résistants. La trouille au ventre,  le prince du château demande l’aide au ministère de l’intérieur pour un détachement permanent d'une compagnie de CRS pour barrer le chemin aux patriotes déterminés en découdre avec ce sacripant d’Ambassadeur.


Depuis samedi 19 mars 2011  au soir, six paniers à salade campent devant le château et Myra se sent en semblant de sécurité précaire. La compagnie campera  devant le château jusqu’ à nouvel ordre d’après les infos du château! Vive l’angoisse, des agents sécurités, locaux et diplomates qui de peur d’être tabasser, prennent de congés maladies imaginaires…


Dans son malheur, il a esquissé un sourire le jeudi dernier lorsqu’il a pris possession de son 4x4 de couleur blanche venu tout droit de charroie automobile de la présidence, chipé par un passe-passe avec son cousin BOSHAB qui l’a permis de subtiliser le bien de l’Etat Congolais. C’est la belle vie au château !


Deuxième sourire, sa fille qui habite dans la nouvelle maison de Myra achetée avec l’argent de passeports, vient de lui donner une petite fille. Myra serait grand père heureux avec une gorge nouée par les actions conjointes de combattants sans précédent. Un vrai caillou dans sa chaussure !


Pour en découdre avec ces agitateurs (après lui), Myra demande le renfort en dollars à Kinshasa chez son Raïs bis (Katumba Mwake) de lui porter secours en vue d’étouffer dans l’œuf cette velléité diasporique.  La somme accordée avec la pression de mon protecteur kuba.


En faisant, une pierre deux coup, Myra délègue son garçon de course ce loubard de LAMINE,  fils adultère du grand frère d’Abdoulayi Yerodia, de ramener avec lui la mallette contenant accessoirement les 2400 passeports tant attendus et une bagatelle de 3 millions de $. LAMINE pour n’est pas fuir, on lui plaça dans l’avion comme un prisonnier avec un avions sans escale de peur qu’il prenne la poudre de escampette avec le magot et à arrivée de ce boy de service, les tontons macoutes étaient là pour l’accueillir.


Cellule de crise, le samedi 19 mars 2011 à 14 heures, devant le prince du château terriblement affaibli par son double cancer.  Titubant souvent depuis son retour à Paris. Il est devenu comme le fantôme de Canterville. Il fait à présent l'objet d'une grande moquerie de ses sujets (A kufa kaka ) Qu'il crève!...La risée de sa cour !


La stratégie adoptée, c’est de torpiller et de créer la zizanie au sein de cette diaspora qu’il croyait connaître. De faire circuler les billets verts de poche en poche ! Les proches de Myra sont ravis de dégrossir cette manne qui tombe en plein désert Parisien. Chacun y va de son refrain pour remplir sa fouille…


Première tentative auprès des patriotes qui m’avertissaient des intentions lugubres de Myra de les convier à partager le repas avec le diable en personne, le prince du château. Le grand Barbouze !


Je leurs ai dis d’accepter cette invitation à une seule condition ! Oui, la terrible condition pour Myra… Sous la présence des trois journalistes de la diaspora (activistes et patriotes). Myra déclina l’invitation, sa manœuvre échoua !


Mon contact du château, me dira ceci : Myra ne dort plus, ne travaille plus depuis son retours de Kinshasa, il s’est montré que deux fois dans son bureau. Il transpirait de colère quand, les patriotes exigeaient la participation de journalistes dans sa mise en scène théâtrale. Il rajouta, il y a à boire et à manger pour tout le monde. Trois millions de dollars rien que ça !


Ce que le prince du château oublie que la lutte pour la liberté est le combat primitif et éternel de la volonté humaine contre les contraintes naturelles et sociales qui s’imposent à l’homme. Ce qui s’impose à la diaspora congolaise, c’est le 10 millions de mortes et les 1,2 millions de femmes violées. Celles-là (victimes) n’ont pas de prix. On ne négocie pas avec le sang des martyrs Congolais et la lutte continue. Werrason et Papa Wemba feront peut être le frais de ce durcissement de leur action militante, le 26 mars 2011.

 

Roger BONGOS

Lutte contre l’insécurité alimentaire en Afrique - La RDC dans le plain-pied des clauses de la croissance !

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Créé le 21 -03-2011 à 00h20 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le lundi 21 -03-2011 à  13h10 | AFRIQUE REDACTION

PAR : LE PALMARES 

 



Le secteur agricole en République démocratique du Congo (RDÇ), nous ne cessons de le répéter, connaît des moments très intéressants de son expansion. Des visites de travail du responsable de l’Agriculture, pêche et élevage (Agripel) aux diverses concertations avec les partenaires bi et multilatéraux, les analystes sont d’avis qu’il se déploie des efforts pour une agriculture congolaise souhaitée compétitive.


Dernière étape marquante, la signature, le 18 mars dernier au Ghk, par la RDC de la charte du programme détaillé du développement de l’agriculture en Afrique. Par cet acte, le Gouvernement congolais a démontré sa volonté manifeste de vouloir s’uniformiser aux recommandations continentales visant la réforme du secteur agricole.


La charte signée du Programme détaillé de développement de l’agriculture en Afrique (Pddaa) trouve sa raison dans la dynamique consistant à sceller son partenariat avec l’Union africaine, la Communauté économique des Etats de l’Afrique australe (Comesa), les partenaires au développement, le secteur privé, la Société civile et les producteurs dans le cadre de l’amélioration de la sécurité alimentaire. Le vice-Premier ministre Simon Bulupiy, qui a ouvert la table-ronde réunissant ces différents partenaires à Kinshasa, a indiqué que ce forum permettait de clarifier l’apport des partenaires dans l’accomplissement de l’agenda dudit programme.


Ce programme pour le développement de l’agriculture en Afrique a été initié par l’Union africaine, en vue d’accélérer la croissance et d’éliminer la pauvreté, ainsi que la faim dans les pays africains. Des objectifs, il y a la consolidation de la croissance économique en Afrique par le biais d’un développement fondé sur l’agriculture.


Le ministre Norbert Basengezi Kantima en charge de l’Agriculture, pêche et élevage a exprimé, à cette occasion,, la volonté du gouvernement d’oeuvrer dans le sens de la recommandation de Maputo (Mozambique) qui exige l’allocation de 10% du budget national à l’agriculture. La mise en oeuvre du Pddaa, lancé depuis 2010, nécessite l’implication des partenaires précités en vue de marquer la détermination commune d’accompagner la RDC dans la réduction de la pauvreté et de la faim. Ce programme doit permettre aux paysans d’avoir accès aux crédits rotatifs.

 

 

Le secrétaire général adjoint Stephen Karangizi ,du Comesa a exhorté le,,, gouvernement à s’approprier . Ce programme et à finaliser le plan national d’investissement agricole dans les trois mois à venir. Il a également assuré le gouvernement de l’appui financier de son organisation pour une croissance agricole de 6 % par an. Mme Rhoda de la Commission africaine a aussi assuré le gouvernement congolais d’un appui technique pour faire avancer le processus du Pddaa. Le ministre de l’Agriculture, la RDC réaffirme, par la signature de la charte du PDDAA, sa volonté de continuer à oeuvrer dans le sens de la Déclaration de Maputo en 2003.


La Commission africaine estime également que son apport est nécessaire , pour l’amélioration du budget à accorder au secteur agricole.
Plan national d’investissement pour lutter contre la pauvreté en RDC est évalué à 937 millions de dollars américains.


L’information a été livrée, la semaine dernière, par le ministre de l’Agriculture. Norbert Basengezi a fait cette déclaration lors d’une conférence de presse qu’il a animée à kinshasa. Le Ghk a servi de cadre à cette conférence de presse organisée à ‘issue d’une table-ronde sur le Pddaa dont la chargea été signée par la RDC. Selon le ministre, les priorités du Gouvernement central, à travers le ministère de l’Agriculture, se résument en six mots la production, l’évacuation, le stockage, la transformation, la commercialisation et la consommation. Ces priorités, a-t-il poursuivi, constituent le Plan national d’investissement pour lutter contre la pauvreté en RDC.


L’occasion a été propice pour le ministre de saluer l’engagement des bailleurs de  fonds, notamment la Belgique pour sa participation dans les divers programmes d’investissement en RDC. Auparavant, le secrétaire général adjoint de la Communauté monétaire et économique de l’Afrique australe (Comesa) avait pris l’engagement de travailler en collaboration avec le gouvernement congolais, afin d’élaborer ce Plan national d’investissement agricole robuste. La RDC a, par cette ratification, franchi deux des quatre étapes de sa feuille de route dans la mise en oeuvre du Programme, à savoir la réalisation de la revue et des analyses des options stratégiques sur le développement du secteur agricole.
Lutte contre l’insécurité alimentaire en Afrique, la RDC dans le plain-pied des clauses de la croissance !

Simon Kinsangala

Education: Les enseignants menacent d’aller en grève !

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Créé le 21 -03-2011 à 00h20 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le lundi 21 -03-2011 à  13h10 | AFRIQUE REDACTION

PAR : LE PALMARES 

 



Des secteurs gérés difficilement, pense une très large opinion, figure l’Education nationale dans toutes ses hauteurs: Qu’il s’agisse de l’Enseignement primaire, secondaire et professionnel (Epsp) ou du niveau élevé, l’Enseignement supérieur et universitaire (Esu), il est un dénominateur commun sur le fonctionnel le respect des clauses des partenariats entre ces deux cycles d’enseignement et les gouvernement qui se succèdent pose problème Pourquoi?
A se représenter tout l’impressionnant volume monumental des séminaires, colloques, forums, ateliers, journées portes ouvertes, journées de réflexions, symposiums et les états généraux aux frais à même de construire des usines, il n’est pas exagéré d’affirmer que le fusil doit finalement changer d’épaulé dans ce secteur pourtant des plus sensibles I Cette exclamation montre non seulement combien if est profondément peinant d’apprendre une grève en vue, mais aussi combien il est interpellant de voir que le paiement de l’enseignant devienne un problème
Cette interpellation vient du fait qu’aucun instruit ne saurait en principe pas ignorer la valeur de l’homme de la craie, celui qui, hier, était beaucoup plus respecté que le parent à la maison. Dommage qu’il soit devenu un rien aujourd’hui Apparemment, on ne s’en sort pas très bien, les faits en disent long!
En effet, le responsable du Syndicat national des enseignants catholiques, Bosco Puna, a annoncé à la presse qu’une grève des syndiqués de sa structure est en vue. Pour non respect des engagements par le Gouvernement de la République qui n’a pas libéré les salaires des mois de février et mars 2011, une grève est prévue à partir de ce 25mars prochain, l’ultimatum ayant expiré hier dimanche 20 mars à minuit. Pour ce faire, M. Bosco Puna a informé les “Synecatiens” de la rencontre du23 mars pour une meilleure harmonisation des vues. Et après?
Cette question fait d’abord penser à une sorte de manque d’actions concertées entre syndicats du secteur. Lé fait que la voix de M. Kimbuya du Syndicat des enseignants du Congo (Syeco) n’ait pas été entendu; fait croire à certains analystes de l’existence d’un vide, quand on sait combien s’accordent les violons Synecat et Seyco. En tout cas, ceux qui suivent de près toutes les phases du contentieux “ Gouvernement- corps professoral et enseignant sont d’avis qu’il y a à requalifier les rapports.

La requalification dont question oblige que les Congolais, fortement lésés par ces couacs à l’infini, se fixent d’autres repères. Et pourquoi Pierre Jacquemot, ambassadeur de France en RDC, n’amènerait-il pas, comme il vient de le faire au ministère des Finances, un équivalent de Gérard Pointe pour servir de courroie de transmission en matière de paie des enseignants?
S’il est question aux Finances de la fiscalité, regard tourné vers la Taxe sur la Valeur Ajoutée (TVA), il serait question à l’Epsp et à l’Esu de ceux qui vont tenter de faire peser leur poids. A l’Esu, pour rappel, la dernière grève des professeurs n’était pas loin de faire des plaies difficiles à panser. Le pire avait été évité ! Par ailleurs, il serait vraiment de très mauvaise foi que l’on ne reconnaisse pas les efforts inlassables que ne cessent de fournir les ministres de l’Epsp, Maker Mwangu Famba, et de l’Esu, Léonard Mashako Mamba. Tous deux, à parler objectivement, s’assument, sauf que leur secteur éducationnel voudrait que lé Chef de l’Etat Joseph Kabila voie les choses un peu autrement. Voir autrement les choses, c’est associer, dans une certaine mesure, ces syndicats et autres partenaires dans la gestion des filières auxquelles dépendent et la paie des enseignants et celle des professeurs d’Université. Mais le Secope existe, non ! Oui, il existe ! Le fait que les grèves soient récurrentes signifie tout ! Ah, un bon sujet de dissertation pour les finalistes de cette année !
Epsp, les enseignants affiliés au Synecat en grève bientôt ! En sera-t-il de même pour les autres ? Par dessus tout dans cette histoire de grèves, aucun Congolais ne sait se dire honoré. Voilà qui impose à tous des options tempérées à lever !

La Belgique annule les dettes de la RDC

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Créé le 21 -03-2011 à 00h20 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le lundi 21 -03-2011 à  13h10 | AFRIQUE REDACTION

PAR : RB

AMITIE-BELGO-CONGOLAISE.png

 

Le gouvernement belge a approuvé vendredi l’annulation du solde des dettes de la République Démocratique du Congo à l’égard de la Belgique, pour un montant de 120.393.994,12 euros (cent vingt millions trois cent quatre-vingt-treize mille neuf cent quatre-vingt-quatorze euros et douze centimes) ainsi que de l’encours de la dette Union européenne-Association interna-tionale de développement (UE-AID) évalué à 274.820,47 euros (deux cent soixante-quatorze mille huit cent vingt euros et quarante-sept centimes).

Selon un communiqué officiel rendu public vendredi à Bruxelles, la décision a été prise dans le cadre de l’initiative PPTE (Pays pauvres très endettés). Cette initiative, rappelle-t-on, vise à assister les pays les plus pauvres du monde en rendant leurs dettes internationales « soutenables ». Le programme a été lancé en 1996 par une action conjointe du Fonds monétaire international (FMI) et de la Banque mondiale. La RDC a accédé à cet avantage depuis l’année dernière, souligne-t-on.

Clôture de la 25è session du conseil général de l’Union nationale des travailleurs du Congo

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Créé le 21 -03-2011 à 00h20 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le lundi 21 -03-2011 à  13h10 | AFRIQUE REDACTION

PAR : ACP


Le président de l’Union nationale des travailleurs du Congo (UNTC), M. Modeste Amédée Ndongala N’sibu, a procédé vendredi, au siège de cette organisation syndicale, à Kinshasa, à la clôture des travaux de sa 25ème  session du conseil général qui se sont tenus du 14 au 15 mars.

M. Ndongala a une fois de plus souligné l’importance de la mission confiée à toutes les fédérations professionnelles appelées à entreprendre des actions indispensables pour la bonne marche des activités de l’UNTC. Il s’est félicité de l’esprit de camaraderie qui a prévalu tout au long des travaux, où chacun a pu librement s’exprimer et avancer des idées qui ont donné le profil de ce que sera l’UNTC de 2011 à 2015. Le président Ndongala a informé l’assistance des assurances reçues de partenaires extérieurs qui attendent de l’UNTC un programme de travail précis pour bénéficier d’une aide financière. Il a enfin informé ses collaborateurs  de la tenue à Kinshasa, en juin 2011, des assises du conseil général extraordinaire, afin de mettre à jour tous les points restés pendants. Le Conseil général, rappelle-t-on, est le second organe de l’UNTC qui réunit une fois l’an les dirigeants nationaux, provinciaux, leurs adjoints ainsi que les membres des comités syndicaux et ceux des bureaux exécutifs des fédérations.

Il a pour rôle d’évaluer l’évolution des activités syndicales de l’année et d’adapter le programme d’action aux circonstances du moment

Le FC Lupopo bat difficilement (1-0) Nchanga Rangers à la Coupe de la confédération

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Créé le 21 -03-2011 à 00h20 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le lundi 21 -03-2011 à  13h10 | AFRIQUE REDACTION

PAR : ACP 

 


Le FC Saint Eloi Lupopo  de la RDC a battu difficilement Nchanga Rangers de la Zambie sur le score  étriqué de 1-0, vendredi, au stade de la Kenya à Lubumbashi, en match aller comptant pour le2ème tour de la 8ème Coupe de la confédération.


Les attentes des sportifs congolais qui s’attendaient à d’autres ont été déçues dans la mesure où le représentant congolais n’a pas su concrétiser de nombreuses occasions  qu’il s’est créé en deuxième période. Les Cheminot de Lubumbashi qui ont manqué d’inspiration et d’efficacité offensive, a donc l’obligation de se concentrer sur la préparation du match retour le 1,2 ou 3 avril prochain en Zambie étant donné le football congolais et celui de la Zambie se connaissent très bien du fait qu’ils se côtoient, se fréquentent et échangent régulièrement leurs acteurs.

Motema Pembe ramène un nul précieux (1-1) de Kampala face à Victors

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Créé le 21 -03-2011 à 00h20 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le lundi 21 -03-2011 à  13h10 | AFRIQUE REDACTION

PAR : ACP 

Le DC Motema Pembe de la RDC a ramené un résultat nul de son déplacement à Kampala, en Ouganda, où il a tenu en échec (1-1) Victors en match aller du 2ème tour de la 8ème Coupe de la confédération.En dépit de ce résultat,
Motema  Pembe devra se tenir sur ses gardes car, tout n’est pas encore joué, son adversaire ougandais pouvant lui poser les mêmes problèmes au stade des Maryrs dans deux semaines.


D’ici 2015: Sans nouveaux efforts, la tuberculose fera 10 millions de morts

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Créé le 21 -03-2011 à 00h20 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le lundi 21 -03-2011 à  13h10 | AFRIQUE REDACTION

PAR : LE PALMARES 

 



Sans moyens supplémentaires, dix millions de personnes mourront de la tuberculose d’ici 2015, amis en garde mercredi le partenariat «Halte à la tuberculose» en présentant son plan d’action quinquennal. Plus de neuf millions de personnes contractent chaque année cette maladie infectieuse surtout dans les pays en développement d’Asie (55% des cas) et d’Afrique (30%), a rappelé cette coalition de gouvernements, d’organisations internationales, d’ONG et d’entreprises privées.
Plus grave: bien que la tuberculose soit curable, près de deux millions de personnes en meurent tous les ans. «C’est inacceptable, il nous faut un plan pour arrêter ces morts inutiles», a déclaré le chef du conseil d’administration du Partenariat, Rifat Atun, lors d’une conférence de presse à Johannesburg.
Ce plan évalue à 47 milliards de dollars (34 milliards d’euros) le budget nécessaire pour diviser par deux le nombre de morts causées par la tuberculose sur cinq ans. «Si nous sommes capables de mener notre plan à terme, nous pourrons traiter 32 millions de personnes et sauver cinq millions de vie», a assuré M. Atun.
Cet argent doit servir à améliorer le suivi des patients, notamment des plus vulnérables: les séropositifs tuberculeux (1,5 million de cas chaque année) et les malades développant une résistance aux médicaments contre la tuberculose (de 400.O0O à 500.000 cas). «Il y a un lien terrible entre le sida et la tuberculose»a confirmé Paul de Lay, vice-directeur de l’Onusida: «un quart des décès de séropositifs est causé par la tuberculose, ce qui représente 500.000 personnes par an.»
Dix des 47 milliards de dollars doivent être consacrés à la recherche de nouveaux outils de lutte, selon le Partenariat qui espère voir d’ici 2015 trois nouveaux médicaments en phase III d’essai clinique, la dernière avant une mise sur le marché. « Aujourd’hui, nos outils ne permettent de diagnostiquer que 50% des cas. Le plus récent des médicaments date des années 70 et l’unique vaccin, le BCG n’est réellement efficace que pour les enfants», a souligné à l’AFP Christian Lienhardt, conseiller recherche du Partenariat.
Selon lui, malgré quelques progrès depuis dix ans, les compagnies pharmaceutiques investissent peu dans la lutte contre la tuberculose parce que «c’est une maladie de pauvres qui ne leur fera jamais gagner d’argent». Le partenariat estime son plan «réaliste» et souligne que les pays affectés par la tuberculose (Chine, Inde et Afrique du Sud en tête) devraient être en mesure de réunir en interne environ 23 milliards de dollars sur cinq ans. Le reste, soit 2,8 milliards de dollars par an, devra venir des pays riches, dit-il. Or, sur les cinq années qui viennent de s’écouler, «on n’a pas réussi à mobiliser tout le financement nécessaire», reconnaît-il. «Le monde connaît l’une des pires crises économiques de son histoire», a également rappelé M.Atun, qui a malgré tout voulu rester optimiste. «Malgré une fatigue des donneurs, les financements continuent d’augmenter», a-t- il assuré. La tuberculose est une maladie contagieuse provoquée par une bactérie touchant principalement les poumons et se propageant par voie aérienne. Une personne porteuse de cette maladie peut en infecter environ quinze autres par an.

Les cancers de la cavité buccale de plus en plus contractés sexuellement

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Créé le 21 -03-2011 à 00h20 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le lundi 21 -03-2011 à  13h10 | AFRIQUE REDACTION

PAR : LE PALMARES 

 



Les cancers de la cavité buccale sont de plus en plus souvent provoqués par des infections de papillomavirus transmises sexuellement lors de rapports bucco-génitaux, selon des travaux de chercheurs suédois publiés mercredi aux Eats-Unis. «Plusieurs recherches montrent un accroissement de la fréquence des cancers oropharyngés avec une proportion croissante de ces tumeurs résultant d’une infection de papillomavirus humains (PVH) chez des sujets devenus sexuellement actifs très jeunes et ayant eu de multiples partenaires», écrivent les chercheurs.
«Nous observons une ente épidémie de cancers de la voie buccale, aux Etats-Unis et dans des pays d’Europe du nord, provoqués par des papillomavirus transmis sexuellement», ajoutent-ils dans leur communication publiée par les Centres fédéraux américains de contrôle et de prévention des maladies (CDC). Ce constata conduit le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) à reconnaître ces papillomavirus comme un facteur de risque des cancers oropharyngés en plus du tabagisme et de la consommation d’alcool, les causes traditionnelles.
Ces virus étaient jusqu’alors connus pour être responsables de la plupart des cas de cancer du col de l’utérus contre lequel il existe désormais deux vaccins efficaces chez les filles et les jeunes femmes avant qu’elles ne deviennent sexuellement actives. «La possibilité que nous soyons confrontés à une épidémie de cancers de la voie buccale résultant d’infections avec des papillomavirus exige une attention particulière», jugent ces médecins dont le Dr Yorbjörn Ramqvist, professeur au Karolinska Institutet en Suède, l’un des principaux auteurs de cette étude.
Signe de cette épidémie, ces chercheurs relèvent qu’à Stockholm, l’incidence de cancer de l’amygdale résultant d’une infection de papillomavirus a été multipliée par sept ces trente dernières années. Les cancers oropharyngés provoqués par une telle infection représentent désormais le tiers des cancers de la cavité buccale diagnostiqués chaque année en Suède, selon les auteurs de l’étude.

Kinshasa: Quand les ordures ménagères obstruent les caniveaux !

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Créé le 21 -03-2011 à 00h20 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le lundi 21 -03-2011 à  13h10 | AFRIQUE REDACTION

PAR : LE PALMARES

 

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C’est une lapalissade de dire que les communes de Kinshasa, Barumbu et Lingwala..., pour ne citer que ces trois municipalités triées des 24 entités politico-administratives de la ville- province, sont visiblement très sales. Jour après jour, ça va de Lualaba, première rue frontalière de la commune de Kinshasa vers Gombe à l’avenue Funa qui jouxte la commune de Kalamu, où l’on assiste à une malpropreté aigue, sous le regard indifférent des bourgmestres qui semblent ankylosés en matière de prise d’initiative. Le règne des tas d’ordures.

 

De mémoire de résidents, la « Commune-mère » l’a été aussi sale que sous le maire actuel. Aujourd’hui, s’il y a un problème contre lequel les autorités urbaines ne sont pas parvenus à faire face, c’est bien celui de l’insalubrité qui met à nu leur inefficacité ainsi que celle de toutes leurs équipes.


En communes de Kinshasa, Buarumbu et Lingwala, chaque jour que des foyers produisent des tonnes « d’or-dures » qu’ils déversent dans la rue mais des tas d’immondices polluent l’environnement et rendent les rues très sales. Pourtant, certaines responsables municipaux, au moment des campagnes électorales, avaient promis de faire de l’assainissement leur priorité des priorités. Aujourd’hui, la réalité est autre. De part et d’autre de l’avenue des Huileries, les caniveaux ont été transformés en dépôt de détritus. Pis, sur l’axe rail - Itaga, non loin des habitations, les ordures sont déversées dans les caniveaux depuis la dernière pluie - surprise.

 

 

C’est dire que tout se passait sous les regards indifférents des chefs de rues, chefs de quartiers et des services d’hygiène des trois municipalités. A ce dépôt anarchique des ordures s’ajoute l’obstruction des caniveaux. Quand il commencera à pleuvoir abondamment, les habitants vont « nager ». Des observateurs ont proposé certaines solutions. Pour faciliter l’écoulement des eaux qui les envahissent, les communes doivent mobiliser les moyens à leur disposition pour curer les mini-égouts que la mairie n’a pas daigné enlever.

 


Mœurs: Quid de la prostitution à Kinshasa ?

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Créé le 21 -03-2011 à 00h20 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le lundi 21 -03-2011 à  13h10 | AFRIQUE REDACTION

PAR : LE PALMARES 

 

 

 

Michelle, 17 ans, et Louise, 16 ans, (leurs noms ont été changés) font partie des enfants qui se livrent à la prostitution à Goma, République démocratique du Congo.
© Nesbitt / UNICEF


Comment subvenir à des besoins de première nécessité? Le moyen le plus répandu est de louer sa force de travail, en d’autres mots plus simples, occuper un emploi et recevoir un salaire acquis à la sueur de son front.


En un mot, vivre dans la dignité. Recourir à l’exercice du plus vieux métier du monde, la prostitution, pour boire, manger et s’habiller est le signe révélateur d’un profond malaise. Le signé de la dépravation en marche d’une société qui a mal et qui souffre en silence.


Si l’on en croit les conclusions du sondage effectué il y a peu dans une maison communale de la place, ce type de perversion toucherait une bonne partie de la population kinoise, plus de 10%. «Les Kinois qui vivent directement ou indirectement de la prostitution sont dans la proportion des milliers, et seraient âgés de 16 ans et plus». Certains seraient gavés de nouvelles souvent contradictoires et très peu crédibles alors qu’ils ne cessent pas de se serrer la ceinture. Et à chaque jour suffit sa peine. Un jour c’est l’huile; pendant toute l’année ce fut la pomme de terre au point que l’année 2010 a été déclarée «Année du social».


Et la coupe peut être considérée comme déjà pleine. Apparemment non, puisque ces nouveaux chiffres viennent noircir, et de quelle façon, ‘un tableau du climat social déjà pas très reluisant. Pour enfoncer le clou, nous faire boire le calice jusqu’à la lie, le sondage révèle que certains Kinois qui vivraient directement ou indirectement de la délinquance et de commerces illicites, seraient estimés à plusieurs milliers d’individus âgés de 16 ans et plus. Nous pouvons aisément penser que 16 ans est l’âge plafond de la scolarité obligatoire. Les sondés ayant cet âge et exerçant ces activités illicites mentionnées par le sondage, se trouveraient donc en situation d’échec scolaire.


En résumé, il existe des milliers des filles kinoises qui se prostitueraient de manière clandestine. Elles tireraient leurs ressources de ce type d’activité alors que d’autres vivraient de délinquance et autres métiers illicites. Une sombre image de capitale moderne qui se réclamerait être le miroir du pays.
Si ces chiffres s’avéraient exacts, ce n’est plus la sonnette d’alarme qu’il faut tirer puisque le ver est réellement dans le fruit, mais c’est à une véritable thérapie de choc (économique, sociale et culturelle) qu’il faut procéder.

 

Selon le sondage, frappé du sceau de la confidentialité, nous ne serions pas au bout de nos peines. «Ce sondage ne livre pas non plus les données obtenues «off the record», c’est-à-dire hors questionnaire sur la population des SDF (sans domicile fixe), des errances et mendiants ainsi que sur les populations manifestant des pathologies psychologiques et psychiatriques; plus de deux millions.

 

 

Et la cerise sur le gâteau, il ajoute que «là capitale marginale, révoltée ou consentante, est bien plus importante en nombre et en priorités d’agir que Kinshasa en tant que siège officiel des institutions telle qu’elle apparaît dans les bilans et les rapports cycliques et récurrents que présentent les gestionnaires de la cité...» Oisiveté, mal-vie, prostitution, délinquance, toxicomanie, harragas...Des signes qui ne trompent pas, de dégradation et de perversion sur lesquels les plus volontaristes des discours ne peuvent avoir d’emprise.

Kinshasa: Les « Malewa » : source de maladies alimentaires !

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L’alimentation de rue, communément appelée «malewa » en langage kinois, est une réalité sociale à Kinshasa. . Cependant, l’absence de conditions hygiéniques dans la mise sur le marché de ces denrées alimentaires constitue une menace pour la santé des habitants. Et les maladies d’origine alimentaire dont souffrent plusieurs patients dans la ville en font foi.


Assis sur un banc de fortune dans une gargote du Marché central, Sylvestre savoure à pleine gorgée, le sourire aux coins des lèvres, le plat de riz qui vient de lui être servi. Car depuis son départ de la maison aux environs de quatre heures du matin, son activité de vendeur à la sauvette, ce « chailleur» ambulant, n’a pas encore permis à cet homme d’une vingtaine d’année de répondre aux besoins de son estomac. « Sans toi, j’allais mourir de faim », plaisante t-il à l’endroit de la vendeuse autre fois ambulante comme lui, le front moite de sueur qui s’attelle à repousser les mouches en concert autour de ses marchandises.

A l’instar de cet homme, des milliers des kinois, de sa trempe, ont recours de façon occasionnelle ou quotidienne l’alimentation de rue pour se nourrir.
« Depuis que je fréquente ce lieu public, j’ai toujours pris mon repas de la journée dans les maquis ou autres lieux de vente aux alentours de mon service sans jamais savoir à Kinshasa dans quelles conditions sa préparation se fait», explique Lutona, un jeune agent chargé de la perception de la taxe d’étalage du Marché central.


Comme pour ces derniers, les aliments vendus sur les voies publiques représentent une part importante de la consommation alimentaire urbaine.
Ainsi, des établissements aux marchés en passant par les gares routières, les stades de football, les lieux de spectacles.., le recours journalier aux aliments et boissons prêts à consommer préparés et/ou vendus par des vendeurs ambulants constitue une réalité pour satisfaire l’un des besoins reconnus comme fondamentaux de l’homme, se nourrir.

Un phénomène aux sources multiples
Vivants pour leur grande majorité sans revenus o avec des revenus faibles ou moyens, des Kinois évoquent leur faible pouvoir d’achat comme la principale des raisons justifiant pour expliquer leur penchant pour les restaurants en bordure des voies publiques. Pour eux, ils constituent un moyen de s’adapter aux exigences de la vie moderne en ayant accès à des repas prêts à consommer en fonction de leurs revenus et pouvoir d’achat.
En effet, pour un grand nombre de ces personnes aux ressources limitées, les aliments de rue sont souvent le moyen le moins coûteux et le plus accessible pour obtenir, notamment dans les zones urbaines, un plat équilibré au plan nutritionnel hors de la maison. «Avec ce que je gagne comme revenu, je ne peux pas me permettre d’aller dans un grand restaurant où la nourriture coûte chère », dixit Dame Rosine secrétaire dans une administration publique à Kasa-Vubu (une Division urbaine des ...), cuillère en mains devant son plat « de ntshanga madeso » (Ndlr :
Nourriture locale kinoise). Le phénomène se développe aussi parce qu’il joue un rôle socio-économique considérable aussi bien pour les vendeurs que pour les consommateurs, les travailleurs des secteurs formel et informel, étudiants et élèves qui passent en effet la journée à leurs lieux de travail et ne rentrent à domicile que le soir.
Les fondements de l’alimentation de rue sont de ce fait l’urbanisation rapide, les multiples contraintes quotidiennes, la création des pôles de développement de petites industries et la ville qui est obligée de nourrir un grand nombre de travailleurs loin de leur domicile. Ainsi, dans les quartiers de la ville, l’alimentation de rue s’explique par la distance, bien longue souvent, qui sépare les lieux de travail des habitations des travailleurs. « Moi, je suis obligé de me contenter de ce qu’il y a au bord des voies parce que j’habite à Mikonga (cité située au-delà de l’aéroport de Ndili) alors que je me débrouille au centre-ville, soit à plus d’une vingtaine de kilomètres. Je préfère donc prendre quelque chose n’importe où aux heures de pause et bien manger le soir quand je serai à la maison », explique Félicien, docker au beach Ngobila.
L’alimentation d rue trouve aussi un terrain fertile dans la forte démographie. observée à Kinshasa. En effet, avec l’accroissement de la demande qui découle de l’explosion démographique, l’offre d’aliments ne répond plus aux attentes. Dès lors, les restaurants de rue sont mis en place surtout pour satisfaire la demande de populations pauvres dont le nombre s’accroît sans cesse du fait de l’exode rural et de la dégradation de la situation de l’emploi dans les villes. S’il est indéniable que l’alimentation de rue joue un rôle socioéconomique important en ce qu’il s’agit d’une activité économique à faible niveau d’investissement qui est prépondérante en milieu urbain et absorbe une part importante de la production locale d’aliments et constitue une source considérable d’emplois, ce secteur pose cependant d’importants problèmes nutritionnels, sanitaires et environnementaux qui sont de nature à compromettre la sécurité alimentaire des populations.

Sud-Kivu: 4 personnes tuées dans une attaque des FDLR à Ngalula !

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Créé le 22 -03-2011 à 00h20 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le mardi 22 -03-2011 à  13h10 | AFRIQUE REDACTION

PAR : LE PALMARES 

 



Les rebelles des Forces démocratiques pour la libération du Rwanda (FDLR) ont attaqué, dans la nuit du samedi à dimanche 20 mars, les positions des Forces armées de la RDC (FARDC), dans la localité de Ngalula, sur la route de Kalemie, dans le territoire de Fizi. Deux combattants FDLR, un militaire des FARDC et un enfant ont été tués dans cette attaque.

 

Repoussés par les forces loyalistes, les assaillants n’ont pu se livrer aux pillages, a indiqué le commandant du secteur Uvira-Fizi, le colonel Byamungu.
L’attaque a eu lieu sur la position des FARDC du 4213ème bataillon, située dans la localité de Ngalula, à la frontière entre le territoire de Fizi et le Nord Katanga, selon le commandant des FARDC dans le secteur Uvira-Fizi.
Elle a été perpétrée par quelques éléments des FDLR, en complicité avec un groupe des Maï-Maï locaux, selon la même source.
Un combattant FDLR a été tué au cours de l’échange de tirs qui s’en est suivi. Un autre FDLR capturé a été lynché par la population.
Plusieurs armes ont été également reculements par les FARDC.
Du côté des FARDC, le colonel Byamungu parle d’un militaire blessé qui a succombé à ses blessures et d’un enfant de neuf ans, fils d’un militaire des FARDC qui a été atteint d’une balle perdue.
Ce petit garçon est mort sur place, selon la même source.
Si les assaillants n’ont pas pu piller la localité de Ngalula, du fait qu’ils ont été refoulés par la riposte des Fardc, cependant d’autres sources signalent que dans leur retraite, ils ont saccagé les villages de Kasanda et Kabumba, non loin de Ngalula.

Le Directeur général de la Sonades et des cadres de la Douane aux arrêts !

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Créé le 22 -03-2011 à 00h20 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le mardi 22 -03-2011 à  13h10 | AFRIQUE REDACTION

PAR : LE PALMARES

 

 


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Pour assainir dans son entièreté la moralité de nos frères et soeurs dont les mauvaises actions se dressent en obstacle dans le développement de notre pays, les instances compétentes avaient décidé, par de mesures coercitives, de faire, subir la rigueur de la loi contre tout et/ou toute celle qui irait à l’encontre de celle-ci. Des victimes de tous ordres, sans exception des classes sociales, ne cessent de tomber aujourd’hui dans les filets de la justice. Ce qui est un encouragement pour les observateurs avertis qui tiennent à voir l’étau se resserrer davantage sur tous les malfrats afin que leur mise au rencart puisse accompagner la paix, l’ordre et le travail. En créant un climat qui encouragerait par exemple l’arrivée massive des investisseurs qui auront choisi notre pays comme leur seconde nation. ‘‘
Le couperet de la Tolérance Zéro s’est, on l’a constaté depuis “un certain temps, mis en marche. C’est dans ce contexte que de source bien informée, nous venons d’apprendre que dans la poursuite des actions de lutte contre l’impunité, la mauvaise gouvernance, le trafic d’influence, le détournement et l’abus de confiance, le filet de la Justice est tombé sur M .Mohamed Itani, Directeur Général de la Société nationale de Développement et des Services «SONADES», une entreprise de génie civil ayant perçu des fonds de l’Etat sans la moindre contrepartie. Pour barrer la route à ce comportement visiblement nuisible, la justice qui appuie toute ses actions sur le mot de passe :“ Tolérance zéro” ira jusqu’au bout pour l’accuse.’, Mohamed Itani.. Les mêmes poursuites vont frapper, bien sûr, avec la même rigueur, les cadres de la Douane, dont les noms n’ont pas été communiqués pour des raisons d’enquête, étaient également mis aux arrêts.

Et à la Sonal ?

Une autre source digne de fois signale qu’à la Sonal, entreprise nationale de loterie, une situation analogue y a pris corps à travers la megestion constatée au niveau de la haute sphère de cette société d’Etat. Comme à la Sonades, les observateurs avisés souhaiteraient également voir la justice y faire son travail afin de fixer tous les coupables sur leur sort. Il est de bon aloi et l’occasion faisant le larron, d’inviter tous les fils et filles de la Rdc de ne laisser passer aucune occasion pour dénoncer quiconque, d’une manière ou autre, n’aura pas à coeur le strict respect de la gestion transparente du bien public. Cet appel au patriotisme ne peut éj5argner personne du fait qu’il y va du développement de notre pays.
Nous nous rappellerons, du reste, que dans ses premières heures de prise de pouvoir et dans le cadre de l’opération lavage de cerveau, les entrepreneurs congolais et mêmes les étrangers qui, ne sont pas vite aperçus du changement intervenu dans le pays en continuant à se moquer des nouvelles institutions de la République se sont retrouvés à la prison centrale de Makala. Quand bien même ils seraient à ce jour des prévenus jouissant de la liberté provisoire, leurs dossiers restent pendants devant les cours et tribunaux, de la République. Le jour n’est pas éloigné où nous les reverrons tous devant la barre. Quand bien même certains d’entre eux se seraient fait la malle comme l’Adg et le Pca de la Sonal, actuellement recherchés activement.
Le grand tome ouvert sur la tolérance zéro doit, en principe, marquer un temps d’arrêt sur la mauvaise gestion de la chose publique pour que ce sous-continent de soixante- cinq millions d’âmes puisse reprendre sa place dans le concert des nations. Il y a lieu de croire que celle croisade contre les antivaleurs liées à la gestion calamiteuse constitue un assaut final, sinon une bataille fatale que la Justice entend mener contre tous ses auteurs. La machine s’est ébranlée. Les intouchables doivent comprendre que l’époque de l’impunité est révolue.


Pourvu que les rejetons du Maréchal tiennent jusqu’au bout

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Créé le 22 -03-2011 à 00h20 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le mardi 22 -03-2011 à  13h10 | AFRIQUE REDACTION

PAR : LE PALMARES 



En quittant l’ex Amp et son autorité morale, Nzanga Mobutu a pris la précaution de ménager du terrain à l’Udemo. Dans son adresse a la nation, publiée en exclusivité par le Palmarès hier, comme dans sa toute première réaction au lendemain se sa révocation, il a systématiquement évite tout propos vexatoire Avec beaucoup de circonstance, il a donné à l’opinion publique son appréciation de la situation qui prévaut en ce moment.

Rien que par l’attitude de son ex autorité morale, il paraît évident que le parti Mobutiste a levé l’option de continuer l’idylle avec la majorité présidentielle. Des signaux dans ce sens ont été suffisamment lancés. En premier lieu par le camp de la dissidence menée par le sénateur Masikini, ensuite par le camp de Mobutu Giala, jeune frère à Nzanga et descendant direct du Maréchal. Chacun de ces deux camps, surtout le premier, a ouvertement plaidé pour la continuité. Allant jusqu’à proposer  le remplacement de l’ancien vice-premier ministre du gouvernement central par un des siens.
Le second camp, pour sa part, a tenu à apporter la précision capitale que voici : l’alliance Amp-Palu-Udemo n’engage pas la personne de Nzanga Mobutu. Les engagements souscrits entre ce dernier et le pouvoir comportaient deux volets. Il s’agit primo de l’Alliance Joseph Kabila et Nzanga Mobutu et secundo de celle intervenue entre la défunte Amp et l’Udemo. C’est sur ce second volet que compte se mouvoir l’Udemo.
Mais le fin mot du maintien ou de la liquidation de l’alliance tant réclamée, revient à la nouvelle majorité présidentielle. C’est à elle qu’il revient de se remettre. Des contacts informels et officieux sont fiévreusement entrepris dans ce sens. Dès que le premier signal lui sera renvoyé, l’Udemo saisira officiellement l’autorité morale et la nouvelle direction de la Majorité. Soit pour réclamer sa réinsertion au sein de l’exécutif, soit pour signifier le grand départ et donc la rupture. Partant, tous les regards sont désormais tournés vers Kingankati d’où l’on attend les premières réactions des coulisses.
De toutes les façons, aucune réaction n’est envisageable sans le quitus de l’autorité morale. En attendant l’Udemo peut, d’un côté, se prévaloir de remplir certains critères pour figurer dans le carré d’as de la nouvelle Majorité. Il s’agit en particulier du nombre de ses députés qui dépassent le plafond de 5 fixé dans la nouvelle nomenclature. D‘un autre côté, cependant, on peut très facilement intenter le procès d’insubordination et de manque de discipline à l’Udemo. Cas de sa désolidarisation lors de la liquidation de l’ancien bureau de l’Assemblée nationale. De quel côté penchera la balance ? L’avenir nous le dira très bientôt.

« Coup d’état » manqué

Pour l’heure l’opinion publique suit avec un intérêt particulier le siège qu’organise le groupe Masikini contre Mobutu Giala. Un soit disant comité de crise a été mis en place et le sénateur Masikini a été commis à sa tête.
Parmi les premières mesures annoncées par ce comité de crise, l’on note la révocation du comité exécutif du parti.
Donc la mise à l’écart pure et simple du légitime continuateur de Nzanga.
Mais le fameux siège ne semble pas porter. Le camp Giala ayant entrepris de le déloger. On invoque pour cela l’article 31 des statuts du parti qui stipule : « Le président national nomme les animateurs des instances et organes nationaux du parti ».
Qu que le président national n’a pris aucune décision dans ce sens, aucun membre du parti, fondateur ou confondateur n’a le droit de lever une quelconque option ou mesure au sein du parti.
Dans ce feuilleton, Masikini semble avoir perdus la partie. A moins que l’on en décide autrement à Kingankati. En tout état de cause, le retrait de Nzanga de l’Udemo aura fait céder les digues de la cohésion interne du parti. Même si la tempête passe, l’Udemo ne sera plus celle que les Congolais ont connue. Le morceau de la vice-primature perdue par Nzanga paraît tellement gros que la gourmandise y dicte désormais sa loi.

La Banque centrale du Congo appelée à rendre opérationnel le Fonds national de la micro finance

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Créé le 22 -03-2011 à 00h20 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le mardi 22 -03-2011 à  13h10 | AFRIQUE REDACTION

PAR : AFI-AGENCE

Le Premier ministre Adolphe Muzito a demandé à la Banque centrale du Congo (BCC) de contribuer davantage pour rendre opérationnel le Fonds national de la micro finance, au  cours d’une séance de travail qu’il a présidé lundi à l’intention des experts de la BCC, conduits par le gouverneur Jean-Claude Masangu.

Pour le chef du gouvernement, la structure qu’il vient de créer par un récent décret matérialise la promesse du Chef de l’Etat qui, à travers ses nombreux messages, prône l’accès de tous les Congolais au crédit pour lutter contre la pauvreté. Il a indiqué à ce sujet que le gouvernement tient à voir le taux de bancarisation actuelle de 1.200.000 comptes atteindre et dépasser 10 millions. Des campagnes seront menées pour promouvoir la culture de l’épargne dans le chef des Congolais.

Le gouverneur de la BCC a appuyé cette initiative qui va aider les plus démunis à avoir accès au crédit et relevé qu’il a, au cours de cette séance de travail, examiné avec le chef du gouvernement des stratégies à mener pour bancariser le plus grand nombre des Congolais.

Au nombre de ces stratégies, il a cité « Mobil banking » qui consiste à utiliser les appareils de téléphonie cellulaire pour des transactions financières, le paiement des factures de consommation d’eau et d’électricité ainsi que les transferts de fonds par voie bancaire. Ajouter à cela le système national de paiement à travers la mise en service de la carte de crédit ou de débit propre pour le pays.

Auparavant, le Premier ministre avait réuni les mêmes experts de la BCC, en présence du ministre des Mines, Martin Kabwelulu pour leur donner des recommandations relatives à l’exportation des minerais et au rapatriement des fonds, au lendemain de la levée par le Chef de l’Etat de la mesure interdisant l’exploitation des minerais dans l’Est du pays. Il a insisté sur la traçabilité des circuits de ces matières premières.

Le parquet général poursuit les enquêtes sur le trafic d'or à Goma

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Créé le 22 -03-2011 à 00h20 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le mardi 22 -03-2011 à  13h10 | AFRIQUE REDACTION

PAR : OBSERVATEUR 

 



Arrêtés à Goma depuis début février, les quatre passagers de l'avion ''Gulfstream V'' immatriculé aux Etats Unies, ont été acheminé ce mardi 15 mars à Kinshasa. Où le procureur général poursuit les enquêtes.

C'est le Gouverneur de la province du Nord-Kivu, Julien Paluku Kahongya, qui a annoncé la nouvelle dans l'après midi du mardi. Dans son communiqué, l'autorité provinciale, a dit que les occupants de cet appareil, devront répondre de leurs actes à Kinshasa, où le Procureur général de la république poursuit avec l'instruction du dossier pour établir les responsabilités des uns et des autres. Il a ajouté, que la poursuite des enquêtes et de l'instruction dans la capitale, va permettre à la justice de mieux poursuivre l'instruction. Peut être a- t- il ajouté, à Goma, les enquêtes pouvaient gêner les uns et les autres, mais à Kinshasa, toute autre personne qui sera interpellée devra aller répondre de ses actes devant la justice.

Cet appareil immatriculé aux Etats-Unis (N886DT), appartient, à la société américaine Southlake Aviation LLC, basée au Texas. Immobilisé à l'aéroport international de Goma depuis le 4 février 2011, il a enfin sur ordre du PGR de passage à Goma, pour entre autre la même affaire, regagné Kinshasa. A son bord, deux nigérians, un français, et un américain et trois membres d'équipage, tous arrêtés le même jour, au lendemain de l'atterrissage juste avant le décollage.

Selon, le communiqué de l'autorité provinciale, le procureur général de la République "a décidé de poursuivre l'instruction à Kinshasa pour permettre aux pays dont sont originaires les prévenus, de suivre le dossier à travers leurs chancelleries à Kinshasa". L'avion et les prévenus partis, les 400kg d'or et les quatre millions de dollars saisis dans l'avion et entre les mains de ses occupants, restent consignés au siège de la Banque centrale à Goma.

Pour la petite histoire, le 3 février atterrissait cet avion en provenance du Nigeria. A Goma, les quatre personnes arrêtées, venaient acheter de l'or. D'après des nombreux témoignages, la transaction était bien passée entre eux et des congolais, parmi lesquels des militaires. Le lendemain, alors que tout semblait bien se passer, les 400kg sont acheminés jusqu'à l'aéroport sous escorte des militaires appartenant à la garde du Général Bosco Ntaganda, ayant rallié début 2009, les Fardc. C'est à ce moment que des membres de service de sécurité et ceux de services publics commis à la surveillance du trafic des minerais, qui à l'époque était interdit sur ordre du président de la république, s'interposent et exige la fouille des caisses qui conservaient ''la précieuse marchandise'' et les valises qui contenaient des espèces sonnantes et trébuchantes. Après insistance, ses militaires farouchement opposés à la fouille, repartirent vers la résidence du Général Bosco Ntanganda avant que sur ordre des autorités et pour éviter des échanges avec d'autres militaires dépêchés à leur poursuite, les colis d'or et de l'argent seront récupérés par les militaires dépêchés et les entreposés à la Banque centrale sur ordre du Gouverneur. ''C'est un joli coup de filet que nous venons de réussir pour dénicher ceux-là qui trafiquent des minerais finançant les conflits armés à l'Est de la RD Congo''.

Intouchable et irréprochable depuis son ralliement aux FARDC, Bosco Ntaganda et ses militaires ex Cndp, sont pointé du doigt accusateur comme appartenant à des réseaux mafieux de trafic des minerais à l'Est de la RD Congo. Des nombreux rapports d'Ong, ont à maintes reprises dénoncés ses faits. A Goma, comme dans la plupart des localités et villes où sont déployés des militaires issus du Cndp, des bavures, des cas d'indisciplines, d'assassinats,…sont légions. Et personne ne peut lever le moindre doigt. En prenant en mains l'instruction du dossier, le procureur général, aura fort à faire pour mettre la main sur ses ''intouchables''. En y arrivant, la justice congolaise, aura franchit un pas énorme dans la lutte contre l'impunité. Selon la presse américaine, l'une de ces personnes est un négociant en diamant de Houston (Texas), Edward Carlos St. Mary, au passé suspect.

De notre correspondant à Goma

Patient Ndoole

Insécurité en Province Orientale : L'évêque de Dungu appelle le gouvernement à agir contre la LRA

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Créé le 22 -03-2011 à 00h20 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le mardi 22 -03-2011 à  13h10 | AFRIQUE REDACTION

PAR : OBSERVATEUR 



En dépit de toutes les opérations militaires menées dans la Province Orientale, le degré de nuisance des rebelles ougandais de la LRA reste entier. Incursions, enlèvements, massacres, viols, vols, pillages et autres exactions sont toujours perpétrés contre les populations civiles de cette partie du pays. Voilà pourquoi l'évêque du diocèse de Dungu-Doruma fustige la position du gouvernement central sur la menace de ces rebelles sanguinaires, rapporte Radio okapi.net.

   Mgr Richard Domba Mady, évêque de Dungu-Doruma, a adressé une lettre pastorale en lingala qui  a été lue dans toutes les paroisses du territoire de Dungu, dimanche 20 mars. Pour le prélat, Kinshasa continue à minimiser l'ampleur de la situation sécuritaire dans les districts du Haut Uélé et du Bas Uélé. Il déplore par conséquent le fait que le gouvernement sous estime l'effectif des rebelles ougandais.


       Par des interrogations, le prélat catholique s'est mis à balayer les arguments non convaincants présentés par le gouvernement congolais selon lesquels il n'existe qu'une dizaine de rebelles de la LRA.  "Le gouvernement dit qu'il y a une dizaine des LRA. Mais s'il [en est ainsi], pourquoi tous ces contingents des FARDC qui se trouvent ici ? L'UPDF [l'armée ougandaise], la Monusco, c'est seulement pour une dizaine des personnes qui sont là ? Est-ce une dizaine de personnes qui commettent des atrocités du coté de Faradje, du coté d'Aba, puis ici à Dungu, à Bangadi, à Doruma jusqu'à Banda ?" s'est-il interrogé.

       Aussi Mgr Richard Domba a-t-il demandé au gouvernement de ne pas continuer à banaliser cette rébellion qui ne cesse de faire des victimes parmi les civils et militaires congolais. Quant à la solution à la récurrente problématique de la LRA de Joseph Kony, il privilégie la solution négociée à l'option militaire. "Ce n'est pas par la force que les rebelles [de la LRA] sont sortis de l'Ouganda. Je crois que c'est à cause des pourparlers. Moi, je pense qu'il faut aussi envisager cette piste-là", a-t-il proposé.

       En plus, Mgr Richard Domba a souhaité la fin de cette situation d'insécurité pour permettre aux citoyens de ces contrées d'aller voter normalement, le moment venu.

       Quarante-huit heures plus tôt, lors de sa visite à Dungu, vendredi 18 mars,  le ministre de la Défense, Mwando Simba, a souligné qu'il ne reste plus qu'une dizaine d'éléments de la LRA sur le terrain. Le président de la société civile de Faradje, Abbé Guillaume Abiandroa, a contesté cette affirmation, estimant que "personne n'a été dans la forêt pour compter les éléments de la LRA."

" Les FARDC équipées contre la LRA "

Samedi à Kisangani, le ministre de la Défense Charles Mwando Simba a affirmé que les éléments des FARDC de la zone opérationnelle de Dungu sont équipés pour faire face à toute éventuelle attaque de la rébellion LRA. Il a estimé que les FARDC bénéficient des efforts du gouvernement qui ne ménage aucun moyen pour les équiper. C'est la réponse qu'il a réservée aux demandes du renforcement des effectifs militaires et pour une dotation en équipement des FARDC dans cette région.

       " C'est nous qui équipons les Forces armées. Ce que les Forces armées sont en train de faire est une performance appréciable avec l'appui de nos partenaires. En matière d'équipement, le gouvernement de la RDC fournit des efforts considérables pour équiper nos Forces armées. Bien sûr qu'on ne peut pas arriver à des armées modernes à ce stade-ci", a déclaré Mwando Simba.

       Par ailleurs, le ministre de la Défense a confirmé que toutes les stratégies sont mises sur pied pour perfectionner les militaires FARDC en dépit de quelques difficultés liées à leur déplacement qui persistent encore.

       Les rebelles de la LRA opèrent dans plusieurs pays africains, notamment en République démocratique du Congo, en République centrafricaine, au Tchad et au Soudan. En dépit de toutes les opérations et stratégies visant à mettre fin à cette rébellion, les rebelles de l'Armée pour la résistance du Seigneur (LRA, Lord's Resistance of Army) restent très puissants et extrêmement dangereux en faisant plusieurs centaines de victimes parmi les populations civiles et les militaires.

       Il y a quelques heures, une délégation de l'Union africaine (UA) a été l'hôte du ministre congolais des Affaires étrangères, Alexis Thambwe Mwamba. Sous la conduite de l'ambassadeur de l'Union africaine, Emmanuel Mendoume Nze, cette délégation a échangé avec le patron de la diplomatie congolaise sur les voies et moyens de mettre fin à la problématique de la rébellion de la LRA.

Après avoir été mis en déroute à la suite d'une des opérations militaires conjointes entre la RDC et l'Ouganda, ces rebelles opèrent désormais en petits groupes, multipliant incursions, enlèvements, massacres, viols, vols, pillages et autres exactions. Ce qui rend très difficiles les opérations contre les hommes de Joseph Kony qui est sous le coup d'un mandat international de la Cour pénale internationale (CPI). Et en dépit de cela, il est loin d'abandonner la lutte armée.

Kléber Kungu

Destruction méchante de 44 maisons du bloc MuKena à Lubumbashi - Les victimes attendent la réaction du Cresus de Premier ministre à leur mémo

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Créé le 22 -03-2011 à 00h20 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le mardi 22 -03-2011 à  13h10 | AFRIQUE REDACTION

PAR : OBSERVATEUR 

 



Bien qu'ayant un caractère économique, la dernière visite du premier ministre au Katanga a  été une opportunité pour certains compatriotes pour lui poser des problèmes à caractère social. Il s'agit  notamment   des victimes de démolition méchante de leurs maisons au Bloc Mukena, non loin du site de l'Université de Lubumbashi. Bien qu'ils aient sollicité une audience auprès du cresus Adolphe Muzito pour lui exposer leurs doléances, ces compatriotes n'ont pas été reçus comme  souhaité, suite à l'agenda chargé du 1er ministre. Mais un mémo a été remis  à son intention entre les mains d'un de ses conseillers . Depuis lors , ces victimes attendent pour être réhabilités dans leurs droits. Pour  le suivi de ce dossier, un groupe de victimes a effectué le déplacement de L'shi à Kinshasa .

   Selon les membres de cette délégation abordés par la presse, tout est parti de la démolition du bloc Mukena non concerné par l'arrêté de démolition car situé au-delà de la distance de 500 mètres  fixée. Pour mémoire, sous la deuxième république, le conseil de l'Unilu avait décidé d'octroyer des parcelles sur le site de l'Université  aux professeurs et agents jusque sur l'avenue Mukena.

Entre l'avenue Mukena et la faculté de polytechnique, le site a été loti par le conseil de l'Unilu. Celui-ci a exigé aux professeurs et agents  intéressés de se constituer en coopérative. Chaque membre  de la coopérative avait payé un montant retenu sur la salaire. Ainsi, certains professeurs et agents de l'Unilu ayant acquis des parcelles,  mais n'avaient pas des moyens pour construire. Ils ont simplement vendu leurs parcelles aux tiers.

 

Des acheteurs de bonne foi frappés


Vers l'année 2000, une parcelle dans ce quartier se vendait  à 15 000 dollars américains. Plusieurs personnes ont acheté de bonne foi des parcelles où ils ont érigé des maisons  de valeur estimée à plus de 80 000 dollars. Ces maisons ont été détruites sans état d'âme le 5 janvier dernier. Parmi les victimes aujourd'hui  inconsolables, l'on  trouve des personnes respectables qui ont acheté des parcelles de bonne foi: Moïse Kiyombo, Koba konde,  Sambwe Kabulo, David Ndaye, Honorable Umba Ilunga, colonel Ado Banza, colonel Félicien Ilunga, Nana Ngoyi , Mubindi Makambo, Kamanda Musau, Prof Mwenze, Prof Beker ,Georges Mpiana….

Quand, le problème de constructions anarchiques a été soulevé, une commission a été instituée comprenant notamment la mairie de Lubumbashi, l'Unilu et autres, pour fixer les limites de l'Unilu. Les limites ont été fixées entre l'avenue Kaumba et les  tuyaux de canalisation alimentant la résidence de feu Laurent Désiré Kabila. Un arrêté avait été signé par la mairie pour fixer les limites de l'Unilu avec le bloc Mukena et la concession CRAA. Plusieurs réunions ont eu lieu avec les résidents du quartier. Un terrain d'entente avait été trouvé. La partie du terrain  des profs et agents membres de la coopérative créée en son temps, n'étaient pas concernée  par l' arrêté de démolition. Curieusement le 5 janvier dernier, la police de démolition a démoli le bloc Mukena situé au delà de 500 mètres de limite fixée par l'arrêté. Des démarches entreprises par les victimes de démolition méchante auprès de l'autorité sont restées infructueuses. Depuis  3 mois, des familles nombreuses vivent à la belle étoile sous les intempéries. Conséquence : certains enfants ont contracté des maladies ( rougeole, pneumonie, diarrhée,…) et il y a eu des morts. Sans une assistance. Des appels au bon sens sont restés sans suite. Seul maître Muyambo leur a apporté des bâches qui ont été arrachés et brûlés par des forces de l'ordre. L'assemblée provinciale du Katanga saisie a voté une résolution en faveur des victimes du Bloc Mukena. Pour les personnes qui occupent la concession de l'Université, on peut comprendre la démolition. Quant aux habitants du bloc Mukena situé à plus de 500 mètres de la limite, ils ne méritent pas ce qu'ils ont connu.

" Ce que nous la population affectée demande c'est de retourner les parcelles aux habitants du bloc Mukena et ceux de derrière le faculté de Polytechnique au-delà de 500 mètres et les indemniser. Il  y a une procédure pour démolir. Celle-ci n'a pas été respectée. Nous voulons que les  autorités nous rétablissent dans nos droits ". Les victimes s'interrogent pourquoi quand les travaux ont commencé, l'Unilu na pas réagi. Elle a attendu la fin des travaux pour détruire les maisons construites au prix des sacrifices. Selon une certaine opinion, l'Unilu qui manque des maisons pour loger décemment ses professeurs auraient pu  trouver un accord pour récupérer ses maisons contre un paiement aux victimes plutôt que de les démolir. Depuis 3 mois, sur le site des maisons détruites la brousse a repris ses droits.

Pour la délégation des victimes du bloc Mukena, les propriétaires des maisons détruites  ont des contrats en bonne et due forme délivrés par le Cadastre, les actes de ventes délivrés par les vendeurs ( personnel de l'Unilu ayant acquis en bonne et due forme)….Et s'il s' agit des vrais faux documents, aucune sanction n'est prise par les pouvoirs publics contre les agents ayant délivré ces documents. La délégation descendue à Kinshasa estime que les victimes font les frais d'un règlement des comptes entre les profs et le Comité de gestion de l'Unilu. Des étudiants avaient été instrumentalisés pour remettre un mémo au chef de l'Etat sur les constructions anarchiques sur le site universitaire. Le Comité de gestion a crié à la spoliation du site universitaire. Une commission de démolition avec le ministre des mines et affaires foncières provincial, le conseiller juridique du recteur et le maire de la ville,  s'est mise à l'œuvre.  Avec des conséquences fâcheuses pour plus de 1000 familles qui vivent à la belle étoile. Et pourtant  l'autorité suprême avait dit que c'était un problème à examiner plus tard, expliquent nos interlocuteurs venus de L'shi..

En définitive, un appel est  lancé vers le 1er ministre, les ministres des affaires foncières, de l'Enseignement Supérieur et Universitaire… pour délimiter l'Université et trouver une solution. Pour les 44 maisons du bloc Mukena. De la part des députés nationaux, les victimes du bloc Mukena attendent une implication pour la reconnaissance de leurs droits. Dans un contexte préélectoral, il y a lieu de préserver la paix sociale et le  respect du droit. En attendant une solution, les victimes se retrouvent chaque jour sur le site de Mukena comme des parlementaires debout, ne sachant à quel saint se vouer. Une assemblée s'y tient tous les jours. Et ce, en attendant la réponse du 1er ministre saisi. Les occupants expropriés  du bloc Mukena et d'autres du site Unilu  représentent environ 1 000 familles qui vivent des moments difficiles.

Didier Munsala.

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