Créé le 18-11-2011 à 18h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN | ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le vendredi 18-11-2011 à 18 H 45| AFRIQUEREDACTION PAR: AFRIQUE REDACTION
La guerre médiatique de caniveau orchestrée par la majorité présidentielle est arrivée à son apogée. On fabriquetait des cadavres ci et la, et on attribuerait des
assassinats et agressions en Espagne contre des prétendus cadres du PPRD. Un fait divers, jamais publié dans des journaux Catalans! Et Boshab nous parle de la mort atroce d'un Cadre du PPRD
à Barcelone...
Une histoire d'après plusieurs faisceaux d'indices, serait, une histoire cousue avec du fil blanc sans queue ni tête. Comme la vérité est têtue, elle finie toujours
par nous éclater en plein visage...
Le poteau rose a été découvert ! Cette affaire d'outre-tombes est bel et bien, une manœuvre macabre organisée précipitamment comme à l'accoutumée par les
tenants du pouvoir en RDC. Lambert MENDES par l’injonction de KATUMBA MWAKE pour sauver ce qu'il reste de ce pouvoir moribond.
Ce thuriféraire maison, traitre par excellence, Lambert MENDES, le suppôt de l'oligarchie tutsi installée à la tête du pays, vient de nous confectionner un mensonge
éhontée digne d'un petit enfant surpris en flagrant délit d'une bétise.
Paul Bimba Mazembe, « secrétaire exécutif du Parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie
(PPRD)». Une plaisanterie du mauvais goût qui n'a pas été du goût des Congolais Barcelonais ! ! ce mort inconnu aux bataillons dans le catalan, et encore moins à l'Ambassade
de la RDC en Espagne, doit bien nous rire au nez en lisant nos multiples réactions sur son hypothétique assassinat ...
Quelle mouche à donc piquée Lambert MENDES et KATUMBA MWAKE d'inventer une histoire aussi stupide que celle racontait dans les romans policiers du
SAS .
Le rappel des faits
Article « Dépêches de Brazzaville »
Paul Bimba Mazembe, secrétaire exécutif du Parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie (PPRD), et trois autres
militants ont été passés à tabac et grièvement blessés dans la soirée du 7 novembre dans la ville espagnole. Le secrétaire général du PPRD, Évariste Boshab, a confirmé le décès de Paul Bimba,
intervenu le 9 novembre à 4 heures du matin suite à ses blessures ayant entraîné une hémorragie cérébrale.
Quant aux trois autres dont Sylvain Kongolo Buischa, Kasongo Mulume et Mulowayi Lukunyi Kalala, leur état de santé semble encore
préoccupant. « Sylvain Kongolo se trouve encore en soins intensifs, Kasongo Mulume a un bras fracturé et Mulowayi Lukunyi est grièvement blessé à l'oeil gauche. Ce dernier a subi deux
interventions chirurgicales et a perdu 80% de ses facultés de vue », a ajouté Évariste Boshab.
Le PPRD a également confirmé la saisie des autorités de la mission diplomatique congolaise en Espagne et de la police de la ville
de Barcelone pour la recherche des auteurs de cette agression. Selon les renseignements en sa possession, les agresseurs se dénommaient eux-mêmes des « combattants ». Il est clair, a-t-il
soutenu, que les auteurs de cet acte, instrumentalisés par les auteurs intellectuels, les vrais responsables, selon le speaker de l'Assemblée nationale, ont montré « leur incapacité à soutenir un
débat démocratique en cherchant à imposer leur vision univoque par des moyens incompatibles avec les valeurs républicaines d'un système démocratique ».
Crainte d'une spirale de violence
Évariste Boshab a dénoncé une exportation des violences sous l'œil visiblement bienveillant des autorités locales. « Ceux qui
tiennent des discours incendiaires sont en train d'exporter la violence en instrumentalisant la jeunesse marginale, incapable de discernement. Nous demandons aux pays amis qui accueillent ces
individus, d'autres d'ailleurs ne détiennent même plus la nationalité congolaise, d'appliquer à leur égard le droit avec toute sa rigueur. Il est regrettable que vivant dans des pays de vieilles
traditions démocratiques, ceux qui s'appellent combattants dont la lutte n'a pour but que d'incommoder leurs compatriotes par des agressions barbares, bénéficient des bienfaits de l'État de droit
», a dit le secrétaire général du PPRD.
Quant à leur mode opératoire, il a fait état d'une agression préméditée. Les victimes étaient prises au piège à la sortie
d'une réunion du parti, le 7 novembre dans la soirée, et leurs agresseurs étaient munis d'armes blanches. Aucune des victimes n'a pu se défendre contre l'extrême violence des agresseurs qui ont
pris la fuite par la suite, laissant derrière eux des corps inertes.
En dépit d'un coup dur porté au parti présidentiel en pleine campagne électorale, Évariste Boshab a appelé ses militants au calme.
« Je continuerai à dire non à la violence. Depuis le 22 juillet, j'ai attiré l'attention du corps diplomatique sur le climat de violence qui ne vise qu'à empêcher la tenue des élections. Les
sièges du PPRD ont été mis à sac à Barumbu et à Bandalungwa sans omettre le bureau fédéral de Sendwe. À Lubumbashi, il y a eu l'incendie criminel du garage d'un jeune militant du PPRD. Je
continuerai à inviter la jeunesse à ne pas céder à la violence », a-t-il rappelé.
La rédaction de l'Afrique Rédaction a été submergée d'appels de protestation sur ce soit disant assassinat d'un des représentants du PPRD en Espagne..Furax
contre l'article que « Afrique Rédaction » a publié le 17 novembre 2011. Plusieurs appels nous confirment que cette affaire est un curieux montage pour discréditer UDPS aux yeux de la
communauté internationale. Or, ces personnes citées comme étant des victimes du Guet-apens, n'ont jamais été ni auditionnées par la police locale encore moins répertoriées dans centre hospitalier
de la région d'après notre enquête sur place. Où sont -elles passées ces victimes et surtout le supposé mort ?
La majorité présidentielle est aux abois, chercherait des subterfuges pour montrer à leurs amis que Etienne TSHISEKEDI veut gagner le cœur des Congolais avec les
appels à la violence (sic). Depuis le début de cette campagne nauséabonde, 7 partisans de l'UDPS ont été assassinés, plusieurs d'entre-eux croupissent sans procès en prison. Des candidats de l'
UDPS pour la députations sont victimes des graves agressions, mais à notre étonnement, aucune réaction de la communauté internationale...Que veut-elle ? Embraser la RDC comme ce fut le cas
avec le Kenya ? Le syndrome Kenyan planerait sur le Congo !
Aujourd'hui, les mêmes ennemis de la démocratie montent une vraie cabale pour une mauvaise presse à l'encontre de l'opposition proche du peuple, l'pposition
qui prône à qui veut l'entendre, l'état de droit. Tous ces manges augurent une seule chose, la répression qui se trame à la sortie de ces élections (période post-électorale) qui s'annonce perdues
par le pouvoir en place...
Roger BONGOS