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Ghassan rattrapé par la tolérance zéro 8 Libanais et 163 Ouest-africains expulsés !

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Créé le 08 -04-2011 à 03h20 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |   ACTUALITE | RDC | Mis à jour le Vendredi 08 -04-2011 à 09 h20 | AFRIQUE REDACTION PAR : LA PROSPERITE

La Terrasse à Abidjan, en Côte d'Ivoire, est un lieu de rendez-vous privilégié

Des Libanais, huit au total, constitués en réseau, sont tombés dans le filet des services des migrations. Depuis hier, ils sont expulsés du sol congolais, sans aucune forme de procès. Il leur est reproché entre autres, le trafic d’influence, la maffia…Parmi eux, le tristement célèbre Ghassan, un personnage qui s’est illustré dans les spoliations des espaces verts, l’occupation anarchique du Park de Boeck, des constructions sur des terrains relevant du patrimoine public. Il serait impliqué dans plusieurs dossiers dont celui des magasins pavillonnaires qui, à une certaine période, avait fait grand bruit à Kinshasa. D’autre part, des Ouest- africains, au nombre de 163, seront évacués ce vendredi 8 avril 2011.

 

Certains parmi eux sont des refoulés de l’Angola qui tentaient d’y répartir. Mais, s’était sans compter avec la vigilance de la police des frontières de la DGM qui, sur instruction de la hiérarchie, est déterminée à mettre fin aux mouvements migratoires frauduleux entre la RDC et ses voisins, particulièrement l’Angola. Ceci est un signal fort lancé en direction des autorités angolaises, dans la droite ligne de la gestion des flux migratoires transfrontaliers entre Luanda et Kinshasa. Ces expulsions, apprend-on des sources dignes de foi, s’inscrivent dans l’optique de la vaste opération de lutte contre l’impunité initiée par le Raïs qui, loin de se limiter au plan interne, s’intéresse également aux expatriés qui ont choisi la RD-Congo comme leur seconde patrie. Ils devront donc se conformer aux lois de la République chère à Joseph Kabila. Pas de panique !

 

 

C’est tout simplement de l’ivraie que l’on tient à séparer de bons grains. Les disciples de Kanaffer, cet autre illustre sujet libanais maffieux sous la deuxième République, sont ainsi avertis. Huit opérateurs économiques de nationalité libanaise viennent d’être expulsés de la République Démocratique du Congo. Constituée en un Réseau maffieux actif, pour le moins, tranquillement depuis des années, cette nébuleuse a été finalement démasquée par les services compétents. Parmi eux, se trouve le tristement célèbre Ghassan, ce personnage qui s’est fait remarqué par des trafics d’influence, la maffia et surtout l’occupation anarchique du Park de Boek, l’un des dossiers qui, à une certaine période, avait fait grand bruit dans la Capitale congolaise et pour lequel la justice congolaise s’en était saisie et a tranché.

 

 

 

Dans le cadre de la même opération, les services de la Direction Générale des Migrations signalent l’expulsion, ce vendredi 8 avril 2011, de 163 Ouest- africains en séjour irrégulier en terre RD-Congolaise. Ces africains, indique-t-on, sont pour la plupart des anciens refoulés de la République sœur d’Angola et qui tentaient d’y répartir. Mais, s’était sans compter avec la vigilance de la police des frontières de la DGM qui, sur instruction de la Hiérarchie, est déterminée à mettre fin aux mouvements migratoires frauduleux entre la RDC et ses voisins, particulièrement l’Angola. C’est donc un signal fort lancé en direction des autorités angolaises, dans la droite ligne de la gestion des flux migratoires transfrontaliers entre Luanda et Kinshasa. Ces expulsions, apprend-on des sources dignes de foi, s’inscrivent dans l’optique de la vaste opération « Tolérance zéro » consistant en la lutte contre l’impunité et initiée par le Raïs qui, loin de se limiter au plan interne, s’intéresse également aux expatriés qui ont choisi la RD-Congo comme leur seconde patrie. Ils devront donc se conformer aux lois de la République chère à Joseph Kabila. Ceux d’entre eux qui tenteront de se comporter comme dans un territoire conquis, ne vont s’en prendre qu’à eux-mêmes. C’est dire concrètement que les services sont largués aux trousses des opérateurs économiques expatriés disciples de la génération de Kanaffer sous la deuxième République, réputée pour leur maffia libanaise organisée. Il en est de même de ceux qui ne sont pas en ordre avec la DGM. Les Libanais, ouest-africains ainsi que des sujets de toute autre nationalité n’ont pas à s’inquiéter outre mesure, s’ils sont en règle avec les services de l’Etat congolais. C’est tout simplement de l’ivraie que l’on tient à séparer de bons grains. Rappelons qu’à l’interne, cette opération de capture des gestionnaires véreux et autres spécialistes des malversations financières n’a pas encore dit son dernier mot. Des vigiles sont toujours à pied d’œuvre d’autant plus que le Raïs n’entend plus composer avec ceux qui saignent à blanc les caisses de l’Etat.

La Pros. 


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