Créé le 28-02-2011 à 00 h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN | ACTUALITE | RDC | Mis à jour le lundi 28 -02-2011 à 09 h10 | PAR AFRIQUE REDACTION
Maison d'arrêt de Nantes
Depuis que l’information a pris le dessus sur la gestion de sécurisation des chèques et cartes de paiement (Visa et CB). Les faussaires ont vraiment du mauvais sang à se faire ! Papy TAMBA dans ses turpitudes habituelles, passé maître dans l’art de l’escroquerie est tombé dans le filet de la PJ (police judiciaire) de la Ville de Nantes. Au delà de son casier judicaire long comme un parchemin Pharaonique qui dictait la lois aux égyptiens. La police filait cet individu depuis belle lurette. La police française a une belle vertu, elle prend son mais ne lache rien !
Bingo ! Il est actuellement en mandat de dépôt à la maison d’arrêt de Nantes. Comme disent les ivoiriens : Un jour c'est toi et un autre jour c'est pour le voleur ! Le mandat de dépôt est en France l'acte juridique, décerné par la juridiction de jugement ou le juge des libertés et de la détention qui ordonne aux services de polices ou de gendarmerie, de conduire une personne condamnée ou mise en examen à la Maison d'arrêt du ressort du Tribunal de Grande Instance.
Ce mandat peut également être décerné par un juge délégué par le président du Tribunal lorsque le Tribunal correctionnel ne peut siéger le jour même et qu'une personne mise en cause est poursuivie par le procureur de la République par le biais d'une procédure de comparution immédiate (cas très fréquent lorsque la garde à vue de la personne mise en cause se termine l'un des deux jours du week-end ou bien dans les petites juridictions lorsque le Tribunal correctionnel ne siège que tous les deux jours).
C’est le cas de Papy TAMBA KUMA KUZOLA arrêté le vendredi 24 février 2011, en flagrant délit pour escroquerie, faux usages de faux, falsification de chèques volés et faux en écriture. Avec un N° d’écrou : 54611, cellule 19, au SMPR à Nantes. Cet univers carcéral est en pleine zone urbaine de la Nantes. Au 68 Bd Albert Einstein. 44316 Nantes. Tél. : +33 2 40 16 45 00.
Peut être Monsieur PAPY TAMBA profitera seulement du nom de la rue pour se faire une raison. Puisqu’il est la parfaite illustration du scientifique aux airs un peu fous. Sa vie scolaire avait pourtant mal commencé : le jeune prodige quitte l'école prématurément et échoue au concours d'entrée de l'Ecole polytechnique. Si rien ne laisse alors présager l'étendue de ses capacités, le surdoué s'avère doté d'un cerveau hors du commun. Ses découvertes - la théorie de la relativité générale, le célèbre E=mc2, la physique quantique, la cosmologie...bouleversent à jamais la communauté scientifique.
Le point commun entre Papy TAMBA et Albert Einstein, se situe sur leurs parcours chaotiques. L’un devient célèbre de par son travail des recherches fondamentales et l’autre tristement célèbre par ses forfaitures et escroqueries. Comparaison n’est pas raison, me dit-on ! Avec un parcours atypique émaillé de zones ombres..
Les amis de nos amis sont nos amis et dis moi qui tu fréquentes je te dirai qui tu es… Cet homme à trouvé ses lettres de noblesses en s’improvisant analyste politique avec un cursus douteux comme son ami de Kinshasa qui le soutenait avec ses carrés minières offerts à celui –ci et à coup de billets de dollars américains. Aujourd’hui le poteau rose est découvert !
Il s’est dit sorti de l’université de Lilles II, or d’après nos informations prévenant du secrétariat académique de Lille, ce filou n’a jamais décroché un seul diplôme. Par contre, il s’est distingué par ses pratiques obscures de FEEMAN, champion de chèque en bois et volés. Un homme de paille pour des créations d’entreprises douteuses pour flouer l’état français. Maître dans l’art de falsification des documents pour le montage des dossiers pour octroi des crédits d’une manière frauduleuse. Voila, les références qu’on a pu obtenir de lui.
Cette enquête sur Papy TAMBA ne date pas d’aujourd’hui, elle date après que j’ai pu réaliser avec cet individu mon émission phare : Les yeux dans les yeux… C’est répondant à mes questions que j’ai eu la puce à l’oreille. Egalement suite à ses attaques sur mes révélations en exclusivité sur l’affaire de KOFFI OLOMIDE. Chacun se souviendrait de la foudre des sentimentaux de seconde zone que j’ai reçu. L’histoire me donne raison aujourd’hui…
Il me défia en disant que mes investigations étaient tendancieuses et se reposées sur des supputations biaisées. Je l’avais promis de faire une grande investigation sur sa personne. Et j’avais découvert des cadavres qu’il cachait dans le placard. Je lui fais part de mes recherches, il me tira le chapeau bas et me supplia de n’est pas publier mes enquêtes. Raison pour laquelle, cet homme ne m’a jamais attaqué frontalement !
La donne change aujourd’hui il a, le bec dans l’eau et je ne veux pas tirer longtemps sur l’ambulance. Une chose est cependant certaine, c’est un véritable voyou comme bon nombre de ses amis sur ces fora et au demeurant à Kinshasa, près de son maître qu’il défendait bec et ongles.
Je peux simplement vous assurer, que son dossier est aussi épais auprès de son juge d’instruction comme le bottin téléphonique français.
Ce denier travail d’investigation sur ses turpitudes a été soigneusement recoupé avec le concours de mon confrère Freddy Mulongo de Réveil-FM pour une meilleure synergie. Dieu ne dort pas ! La vérité finie toujours par nous éclairer comme le soleil qui fait son apparition dans un ciel brumeux.
Dans le cas d’espèce de ce récidiviste notoire, qu’est ce qu’il encourt comme peine. Voyez avec moi :
Il y a de nombreuses infractions en ce domaine, qui visent à la fois les personnes qui aident à se procurer ou fabriquent de faux documents et les étrangers qui en profitent :
1. Fabrication et
usage de faux documents administratifs (carte d'identité, certificat de nationalité, passeport,...) :
Les peines encourues sont : 5 ans de prison maximum et/ou 80.000 euros d'amende maximum.
2. Détention
frauduleuse d'un faux document administratif :
Les peines encourues sont : 2 ans de prison maximum et/ou 30.000 euros d'amende maximum.
Si la détention porte sur plusieurs faux documents, les peines encourues sont : 5 ans de prison maximum et/ou 80.000 euros d'amende maximum
3. Fabrication et
usage de faux documents privés ou commerciaux (déclaration mensongère d'état civil, fabrication de quittances, falsification de lettres d'embauche ou contrat de travail)
:
Les peines encourues sont : 3 ans de prison maximum et/ou 50.000 euros d'amende maximum.
4. Faux et usage de
faux commis dans une écriture publique ou authentique ou dans un enregistrement ordonné par l'autorité publique (décision de justice, fabrication de lettres à en-tête préfectoral, actes
municipaux ou notariés)...
Les peines encourues sont : 10 ans de prison maximum et/ou 150.000 euros d'amende maximum.
5. Procurer
frauduleusement à autrui un document administratif :
Les peines encourues sont : 5 ans de prison maximum et/ou 80.000 euros d'amende
maximum.
6. Établir, utiliser une attestation ou un certificat faisant état de faits matériellement inexacts ou falsifier une attestation ou un certificat qui étaient exacts
:
Les peines encourues sont : 1 an de prison maximum et/ou 15.000 euros d'amende maximum (3 ans et 50.000 euros s'il est porté préjudice au
Trésor public ou au patrimoine d'autrui) . S’il le prévenu n’est pas récidiviste !
L’étau se resserre sur ce malheureux Papy TAMBA qui a les ambitions aussi grosses que sa carrure. Pauvre Monsieur Papy TAMBA, passera son temps en prison sans gouter à la chute de son mentor disparu comme du sel dans le fleuve du Congo. Les Congolais impatients d’attendent toujours son allocution sur « sa mutinerie » qui a ébranlée la Capitale Congolaise.
http://www.youtube.com/user/AFRIQUEFLASH?feature=mhum#p/a/u/0/BoOfTdqIYzI
Roger BONGOS
Journaliste d’Investigation