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Channel: AFRIQUE REDACTION . L'information en continu ! Afrique au cœur de l’actualité...Infos News sur la RDC, les brèves de la dernière minute. Synthèse sur l’actu internationale. rdcongo-kinshasa, Nord et Sud KIVU, Kinshasa, Bas Congo, Dongo, Equateur, Maniema, Lubumbashi, les deux Kasai. Rédacteur en Chef : BONGOS Roger
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Cameroun : promouvoir les produits locaux pour réduire le déséquilibre de la balance commerciale

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Crée le 04-02-2012-  11h05 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le samedi 04-01-2012 - 11H39 AFRIQUE REDACTION PAR :ART-TV RADIO OKAPI

Cameroun : promouvoir les produits locaux pour réduire le déséquilibre de la balance commercialeAvec pour objectif de réduire le déséquilibre de la balance commerciale dominée par l'importation de produits de consommation courante, la poursuite de la politique camerounaise de promotion de la consommation des produits locaux sera accentuée cette année, a annoncé vendredi à Yaoundé le ministre du Commerce, Luc Magloire Mbarga Atangana.

CC BY beckmann. Vendeuse de fruits cameroun

"A titre d'illustration, l'organisation, au cours de cette année, d'une Journée nationale de la consommation du cacao et du café, constituera l'un des premiers jalons de ce processus", a déclaré le ministre Mbarga Atangana à l'occasion de la présentation des voeux de nouvel an par les personnels de son ministère.

Pour cette politique, il est question, a-t-il précisé, non seulement de "promouvoir la consommation des produits camerounais par les Camerounais", mais aussi de "faire davantage consommer nos produits au-delà de nos frontières, en commençant par les voyageurs, professionnels ou occasionnels, qui empruntent les aéroports au départ ou à destination de notre pays, et même par delà les océans et les continents".

Selon Mbarga Atangana, "les négociations avec les compagnies aériennes, engagées il a quelques années, vont à cet égard être relancées dans les jours à venir, étant rappelé qu'en ce domaine, les premiers résultats engrangés sont plutôt encourageants".

Pourtant pays agricole, le Cameroun consacre en revanche des centaines de milliards de francs CFA par an dans l'importation de produits agricoles, dont le riz, le blé, les oignons, etc.

Le ministère du Commerce fonde également sur la poursuite de l' organisation des Journées économiques et commerciales camerounaises à l'étranger pour booster le commerce extérieur.

Pour cette année, les pays ciblés sont "les Etats-Unis et le Brésil, pour ce qui est du continent américain,, le Nigeria et le Maroc, en ce qui concerne l'Afrique, le fil conducteur étant la pénétration des marchés émergents et l'approfondissement de l' intégration régionale", a insisté Luc Magloire Mbarga Atangana.

Une lutte acharnée est annoncée contre la contrebande, la contrefaçon et les manoeuvres spéculatives et frauduleuses, afin de "mettre à la disposition des consommateurs de produits normés et de qualité certifiée".


Gabon : baisse du prix du caoutchouc

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Crée le 04-02-2012-  11h05 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le samedi 04-01-2012 - 11H39 AFRIQUE REDACTION PAR :ART-TV RADIO OKAPI

 

Gabon : baisse du prix du caoutchouc La Société d'investissement pour l'agriculture tropicale (SIAT Gabon) a annoncé vendredi une revue à la baisse du prix d'achat du kilogramme de caoutchouc qui passe de 800 à 700 francs CFA soit une baisse de 100 francs CFA.

La décision est consécutive à la fluctuation du prix du caoutchouc sur le marché internationale, explique l'unique industriel gabonais dans le secteur de l'hévéa.

Au Gabon, les plantations industrielles d'hévéa cohabitent avec celles des planteurs villageois. Entre 2006 et 2009, Siat-Gabon a versé 2,26 milliards de FCFA aux planteurs villageois.

L'hévéaculture couvre une superficie de 13 000 hectares dont 3 000 hectares de plantations village

Cameroun : projet de construction de 4 lignes de chemin de fer pour plus de 8.464 milliards FCFA

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Crée le 04-02-2012-  11h05 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le samedi 04-01-2012 - 11H39 AFRIQUE REDACTION PAR :ART-TV RADIO OKAPI

 

Cameroun : projet de construction de 4 lignes de chemin de fer pour plus de 8.464 milliards FCFAEn marge d'un plan directeur ferroviaire national présenté vendredi à Yaoundé et visant à améliorer le réseau actuel long seulement d'un millier de kilomètres, le gouvernement camerounais envisage de construire 4 lignes de chemin de fer prioritaires à court terme, d'un coût de 8. 464,256 milliards USD (soit près de 17 milliards USD).

Usé par quatre décennies d'exploitation et aux normes dépassées, le réseau actuel relie le Sud et le Nord du Cameroun. A l'étude depuis 2009, le nouveau tracé se veut aux standards modernes avec un rail de 50 kg et un écartement de 1,435 cm, selon les experts du ministère camerounais de l'Economie, de la Planification et de l'Aménagement du territoire.

« Ces caractéristiques faciliteront l'acquisition des équipements mobiles (locomotives, wagons) et un système de signalisation adapté au réseau de fibre optique (télésignalisation) ; ce qui laisse espérer sur ce linéaire une vitesse comprise entre 170 et 150 km/h sur les trains de voyageurs ; entre 90 km et 70 km/ h pour les trains de marchandises », souligne une note d'information de ce ministère.

Pour le ministre de l'Economie, Emmanuel Nganou Djoumessi, « la mise en oeuvre d'un chemin de fer moderne dans notre pays emporte par l'exploitation de nos ressources naturelles, l'optimisation des coûts grâce au renforcement de notre secteur secondaire ; c'est un défi. Ensemble, nous le relèverons ».

« En conséquence, nos minerais de fer seront aisément exploités grâce au nouveau chemin de fer ; la mise en place d'une industrie sidérurgique pour la production locale de l'acier facilitera l'essor du secteur des infrastructures en général », a-t-il ajouté.

Avec pour objectif en effet de faciliter l'essor industriel du Cameroun et d'asseoir la compétitivité de l'économie national de ce pays d'Afrique centrale, quatre lignes sont prévues pour la phase initiale dont les faisabilités des itinéraires devraient être bouclées en fin 2012, afin que 2013 soit consacrée aux dispositions conformes au démarrage des travaux.

D'une distance de 907,5 km, le tronçon Ngaoundéré-Bertoua- Douala (entre le Nord et le Sud) comporte un coût de 4.545,195 milliards de francs CFA. Du gisement de fer de Mbalam (Est) à Lolabè où est construit près de la ville balnéaire Kribi (Sud) un port en eau profonde, un tracé de 602,6 km est envisagé, pour un investissement de 3.109,390 milliards.

Entre Douala, la métropole économique, et Limbe, ville balnéaire du Sud-Ouest non moins industrielle, une ligne de 73,5 km est prévue pour un coût de 340.967 milliards, tandis que 468. 708 milliards entendent être mobilisés pour Edéa et Kribi par un chemin de fer de 136 km.

A part Ngaoundéré-Bertoua-Douala à 150 km/h, les trois autres tronçons devront être parcourus à 120 km/h. Pour certains d'entre eux comme Mbalam-Lolabè, le principe de double voie est annoncé. De l'avis des responsables du ministère de l'Economie, les coûts déclarés intègrent à la fois les travaux de construction de ce réseau ferroviaire et l'acquisition des équipements.

D'une estimation globale de 14.976,50 milliards de francs CFA, huit autres projets de moyen terme sont au menu, avec pour objectif cette fois de densifier le réseau national de l'Est à l'Ouest et du Nord au Sud. Des interconnexions avec les pays voisins (Tchad, Centrafrique, Congo, République démocratique du Congo, Gabon, Guinée équatoriale, Nigeria, Angola) sont au programme.

Démarrage le 8 février de l'opération de rapatriement des réfugiés angolais vivant à Kinshasa

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Crée le 04-02-2012-  11h05 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le samedi 04-01-2012 - 11H39 AFRIQUE REDACTION PAR :ART-TV RADIO OKAPI

L'opération de rapatriement volontaire des réfugiés angolais vivant à Kinshasa va démarrer le 8 février, indique un communiqué du HCR reçu vendredi par l'agence

 

"Nous sommes en train de mettre en place un centre de transit où ils seront accueillis et où ils leur seront délivrés des attestations de retour volontaire qui devront servir de carte d’identité", a révélé Céline Smith, représentante du HCR en RDC, chargée des relations extérieures.

Sur les 43.000 réfugiés angolais qui ont déjà manifesté leur désir de retourner dans leur pays d'origine, 8.000 vivent à Kinshasa, a-t-elle précisé.

Embarqués à Kinshasa, ces réfugiés vont transiter par Kimpese, dans la province du Bas-Congo (sud-ouest) avant d'arriver en Angola, a-t-elle dit.

Depuis le début de l'opération le 4 novembre 2011, après la signature en octobre d'un accord entre Luanda et Kinshasa, 2.200 refugiés angolais vivant en RDC ont déjà regagné leur pays d' origine, à partir du Bas-Congo et du Katanga (sud-est).

79.000 réfugiés angolais sont recensés en RDC. Le retour des réfugiés angolais dans leur patrie est motivé principalement par l'amélioration des perspectives de paix et des conditions de vie en Angola.

Les réfugiés angolais en RDC constituent la communauté la plus importante par rapport aux ressortissants des autres pays limitrophes, rappelle-t-on. Les Angolais se sont installés en RDC en fuyant la guerre qui a duré plusieurs années dans leur pays.

RDC : 172 policiers judicaires formés en matière de lutte contre les violences sexcuelles

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Crée le 04-02-2012-  11h05 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le samedi 04-01-2012 - 11H39 AFRIQUE REDACTION PAR :ART-TV RADIO OKAPI

RDC : 172 policiers judicaires formés en matière de lutte contre les violences sexcuelles

Cent soixante-douze nouveaux officiers de la Police judiciaire de la Police nationale congolaise (PNC) viennent d'être formés en matière de lutte contre les violences sexuelles et la protection de l'enfant, a-t-on appris de vendredi de source officielle.

Cette formation spécialisée a été financée par l'Agence suédoise de développement et réalisée avec le concours de la police de l'Union européenne (EUPOL) et de la police de la Mission de l'ONU pour la stabilisation en RDC (MONUSCO).

Selon le chef de la mission EUPOL/RDC, le commissaire divisionnaire Jean-Paul Rikir, ces policiers sont mieux outillés pour améliorer et renforcer la méthodologie d'investigation, en particulier pour les crimes de violences sexuelles.

La formation a compris dans son programme des cours de droit pénal général, de droit pénal spécial ainsi que de procédure pénale axée sur les violences sexuelles, la déontologie, les droits de l'homme, le droit international humanitaire ainsi que la loi portant protection de l'enfant.

Cette formation s'inscrit dans le cadre du renforcement du système judiciaire et de la Police nationale congolaise dans le domaine de la lutte contre l'impunité des violences sexuelles en RDC.

Gabon : fermeture provisoire de l'unique raffinerie du pays

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Crée le 04-02-2012-  11h05 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le samedi 04-01-2012 - 11H39 AFRIQUE REDACTION PAR :ART-TV RADIO OKAPI

 

Gabon : fermeture provisoire de l'unique raffinerie du pays


Le directeur général de la Société gabonaise de raffinage (SOGARA), Pierre Reteno Ndiaye, a annoncé vendredi à Port-Gentil, la fermeture provisoire de la SOGARA durant un mois pour des travaux de maintenance, a appris un journaliste de Xinhua.

 

« La raffinerie sera fermée pendant un mois », a annoncé M. Reteno Ndiaye dans une conférence de presse tenue dans les locaux de la raffinerie. « Les dispositions sont prises pour qu'il n'y est pas une pénurie des produits pétroliers dans le pays », a-t-il précisé sans révéler la stratégie de l'entreprise en la matière.

M. Reteno Ndiaye tenait vendredi après midi une réunion technique pour déterminer le sort du personnel non essentiel pendant cette phase d'arrêt complet de l'usine. Le dernier arrêt total de la raffinerie est intervenu en 2007. Selon M. Reteno Ndiaye, l'usine doit subir une révision générale une fois tous les 5 ans.

SOGARA est une société anonyme au capital de 1,2 milliard de FCFA, partagé entre Total (43,84%), l'Etat gabonais (25%), Portofino Assets Corporation (16,99%), Petro Gabon (11,67%) et le groupe italien ENI International (2,50%). Elle a réalisé un chiffre d'affaires de 362 milliards en 2010 contre 2218 en 2009. 2011 devrait donc maintenir cette ligne de progression. En 2011, elle a enregistré une production record de 926 000 tonnes. Elle table sur une production de 950 000 tonnes en 2012.

RDC: des rebelles hutus rwandais tuent 7 personnes dans un camp de déplacés

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Crée le 04-02-2012-  11h05 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le samedi 04-01-2012 - 11H59 AFRIQUE REDACTION PAR :ART-TV RADIO OKAPI

RDC: des rebelles hutus rwandais tuent 7 personnes dans un camp de déplacés


 Sept personnes ont été tuées par des rebelles hutus rwandais dans un camp de déplacés de l'est de la République démocratique du Congo (RDC) pour avoir refusé un travail forcé, a revelé vendredi le Haut commissariat de l'ONU pour les réfugiés (HCR).

 Une famille de déplacés dans un camp du Nord Kivu le 30 novembre 2011

"Le HCR est alarmé par les récentes informations selon lesquelles des personnes déplacées internes ont été torturées et tuées par des éléments armés" dans des camps de la province instable du Nord-Kivu (est), où 31 sites accueillent près de 79.000 déplacés, indique-t-il dans un communiqué.

"Le 13 décembre 2011, sept déplacés ont été battus à mort car ils avaient refusé un travail forcé imposé par les (rebelles des) Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR)", précise le HCR, qui évoque aussi des cas de "tortures".

"Depuis le dernier trimestre 2011, des groupes armés entrent dans les camps" et "menacent" les déplacés en les accusant "de collaborer avec un groupe armé ou un autre", est-il ajouté. Les déplacés sont notamment forcés à transporter des armes ou des biens, à construire des maisons ou à travailler aux champs pour les rebelles ou miliciens.

La violence empêche aussi les acteurs humanitaires d'accéder aux camps, dont seulement huit sur 31 leur sont accessibles "sans escorte militaire", relève le HCR, qui appelle les autorités provinciales à accroître la sécurité dans et autour des sites.

"Actuellement, il y a seulement 40 policiers déployés pour assurer la sécurité de six camps" de la province, est-il précisé.

Depuis novembre 2011, les provinces du Nord et du Sud-Kivu ont connu un regain de violences impliquant les FDLR, des groupes armés locaux et des troupes du gouvernement chargées de les combattre. Ces violences ont fait au moins 77 morts et entraîné le déplacement de plus de 100.000 personnes.

Plus de 1,1 million de personnes déplacées vivaient dans ces deux provinces fin septembre 2011, selon les chiffres de l'ONU.

Gabon : six morts dans un accident de la route

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Crée le 04-02-2012-  11h05 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le samedi 04-01-2012 - 11H59 AFRIQUE REDACTION PAR :ART-TV RADIO OKAPI

Gabon : six morts dans un accident de la route


 Six personnes sont mortes dans la collision entre un taxi bus et une voiture transportant des journalistes étrangers, survenue jeudi à Libreville

Les six personnes, dont le conducteur du taxi bus ont succombées à leurs blessures vendredi au centre hospitalier de Libreville (CHL) où elles avaient été admises en urgence.

Selon une source hospitalière, quinze autres personnes se trouvent actuellement dans une situation critique à l'hôpital d' instruction des armées de Libreville.

La cellule d'urgence mise en place par le ministère de la Santé publique dans le cadre de la CAN-2012 s'attèle à assister les accidentés.


Zambie: l'ex-ministre des Mines accusé du vol de... vingt vélos

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Crée le 04-02-2012-  11h05 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le samedi 04-01-2012 - 11H59 AFRIQUE REDACTION PAR :ART-TV RADIO OKAPI

Crée le 04-02-2012-  11h05 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le samedi 04-01-2012 - 12H39 AFRIQUE REDACTION PAR :ART-TV RADIO OKAPI

Zambie: l'ex-ministre des Mines accusé du vol de... vingt vélos

 L'ex-ministre des Mines zambien Maxwell Mwale a été arrêté vendredi et inculpé d'abus de pouvoir et du vol de 20 bicyclettes appartenant à des mineurs, a indiqué l'unité anti-corruption mise en place par le nouveau président Michael Sata.

"Je peux confirmer l'arrestation et l'inculpation M. Maxwell Mwale pour le vol de 20 vélos appartenant à des petits mineurs dans la province de l'Est. Il a été inculpé pour vol par un fonctionnaire et comparaîtra la semaine prochaine, mercredi", a précisé à la presse Charity Chanda, porte-parole de l'unité anti-corruption.

Mme Chanda a précisé que ces vélos valaient au total 5,5 millions de kwachas (800 euros).

M. Mwale était ministre dans le gouvernement du président Rupiah Banda, battu en septembre par Michael Sata. Ce dernier a lancé une grande campagne visant à passer au peigne fin les comptes de l'équipe de son prédécesseur.

L'unité anti-corruption a ainsi entendu la femme de Rupiah Banda, Thandiwe, vendredi, interrogée sur la construction d'une luxueuse villa dans un quartier chic de Lusaka.

Le chef de la police zambienne Martin Malama avait annoncé jeudi que Henry, le fils de M. Banda, était en fuite après avoir été accusé de corruption dans la vente de la compagnie publique de téléphone Zamtel à une société libyenne.

"Ils mentent en disant qu'ils recherchent Henry. Ils n'ont jamais approché le pauvre garçon", a réagi l'ex-président vendredi, devant des supporters.

Quant à l'audition de Thandiwe, Rupiah Banda a lancé: "Ma femme est une citoyenne et comme tout un chacun, elle a comparu devant le groupe de travail (l'unité anticorruption, ndlr), mais elle est innocente!"

LE MASSACRE RDC : Nouvelles atrocités commises contre des déplacés (HCR)E EN RDC :

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Crée le 04-02-2012-  13h05 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le samedi 04-01-2012 - 13H59 AFRIQUE REDACTION PAR :ARTV

 Le Haut commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR) se dit "alarmé" par des informations selon lesquelles des personnes déplacées internes ont été torturées et tuées par des éléments armés dans les camps de déplacés internes, dans la province du Nord-Kivu, à l'est de la RDC.

 

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Selon un communiqué du HCR reçu vendredi, depuis le dernier trimestre 2011, des groupes armés entrent dans les camps de déplacés internes au Nord-Kivu, compromettant le caractère civil de ces camps.

Les camps les plus affectés sont ceux de Nyanzale, Mweso et Birambizo dans le territoire de Masisi, à environ 90 km au nord- ouest de Goma, chef-lieu de la province.

Selon le HCR, les déplacés congolais sont constamment menacés par divers groupes et milices armés qui les accusent de collaborer avec un groupe armé ou autre.

Le 13 décembre dernier, plusieurs déplacés ont été battus à mort après avoir refusé un travail forcé imposé par les Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR).

D'après le HCR, près de 79.000 déplacés congolais vivent actuellement dans 31 camps de déplacés internes au Nord-Kivu.

La majorité d'entre eux n' ont aucun espoir de rentrer chez eux dans un avenir proche, du fait de l'insécurité persistante et du renouveau des combats entre les groupes armés et les militaires dans leurs villages. Aucun retour n'a pu être organisé en 2011.

Le Nord-Kivu accueille plus de 600 000 déplacés internes, soit plus du tiers des 1,7 million de déplacés dans l'ensemble de la RDC

Sida, MSF crie à l'urgence

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Crée le 04-02-2012-  11h05 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le samedi 04-01-2012 - 16H39 AFRIQUE REDACTION PAR :CONGO NEWS

 

La maffia dans la gestion des fonds alloués à la lutte contre le sida apporte un lot de malheurs à la RD-Congo.

Le nombre des personnes infectées ne fait que croître en témoigne le récent rapport de l'ONG internationale Médecins sans frontières qui compte un million de malades atteints du VIH. Sous l'intitulé « le sida en Rd-Congo, une urgence ignorée » , le rapport explique qu'à peine 15% des malades ont accès aux antirétroviraux. Cette prise en charge chaotique entraîne l'inquiétant taux de mortalité de 20% dans la plupart des centres d'accueil et de traitement.

Il faut rechercher les causes de l'échec de la lutte contre le sida dans la suspension de l'aide des partenaires de la santé. Ceux-ci ont désisté pour deux raisons. D'un côté, la crise financière internationale a précipité la réduction drastique des fonds alloués au Fonds Mondial pour le Sida ainsi qu'aux organismes humanitaires engagés dans cette lutte. De l'autre, l'audit opéré dans la comptabilité des opérations de lutte contre le sida est accusateur. Les sommes énormes ont été mal utilisées. Ce qui aurait provoqué la colère de plusieurs bailleurs fonds depuis des années de la transition 1+4.

Aux grands maux, grands remèdes. Cet adage est très ignoré malgré l'alerte rouge. D'après une étude publiée le 1er juin 2011 par plusieurs agences des nations unies dénonçaient pourtant une augmentation des cas d'infection au VIH/sida parmi les adolescents et les adultes dont l'âge varie entre 15 et 24 ans. D'après ce rapport onusien, les filles et les jeunes femmes sont les plus exposées par rapport aux garçons.

Les statistiques montrent que 60% de filles vivent actuellement avec le VIH à l'échelle mondiale. Dans la même publication, les auteurs ont déploré le fait que la plupart des personnes concernées ne connaissent pas leur état sérologique. Pour les auteurs, les dirigeants devaient à tous les niveaux établir une chaîne de prévention en vue d'informer et de protéger la jeunesse pour la garder en bonne santé partout où elle se trouve. Les résultats des efforts de l'étude des agences des nations unies révélaient que le VIH/sida est plus vécu en Afrique australe à cause de la culture de la société qui tolère la multiplicité des partenaires sexuels et les rapports amoureux entre des personnes de très. grande différence d'âge.

                                                                                        PATRICK G. BOMBOKA

Le dossier véhicules des profs a fait de Mashako un navire ivre

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Crée le 04-02-2012-  11h05 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le samedi 04-01-2012 - 16H39 AFRIQUE REDACTION PAR :CONGO NEWS

 

Mashako Mamba a perdu toute mesure. A l'image d'un navire fou, le ministre de l'Enseignement supérieur et universitaire vogue sans tenir compte du moindre balisage dans les vagues tumultueuses du dossier des véhicules des professeurs d'université. Il ne se passe un jour sans qu'il commette une bourde. La dernière en date : il a sollicité du ministre de la Justice, Luzolo Bambi, la dissolution de l'APUKIN, l'Association des professeurs de l'université de Kinshasa dont il est lui-même membre. Si Joseph Kabila ne l'arrête pas d'ici là dans sa dérive, Mashako risque d'aller jusqu'à l'irréparable. Arrêtez ce navire ivre pendant qu'il est encore temps.

Insaisissable ce Mashako Mamba à la recherche d'un nouveau conflit avec les professeurs de l'Université de Kinshasa, Unikin. La reprise des enseignements après plus de deux mois de grève ne semble répondre au goût du très controversé ministre de l'ESU. Il cherche noise avec l'Association des profs, Apukin, qui réussi à l'évincer, dans la douleur, du contrat d'achat des véhicules. La nouvelle stratégie de Mashako Mamba vise la dissolution purement et simplement de ce syndicat qui lui tient la tête. Dans sa cogitation, on ne peut plus vicieuse, le ministre Mashako a sollicité le retrait de l'agrément de l'Apukin dans une correspondance adressée au ministre de la justice, Luzolo Bambi. Heureusement, faute d'arguments fondés, l'homme de la tolérance zéro, Luzolo Bambi, selon les sources proches du ministère, a rejeté cette requête sans ménagement. Personne ne comprend pour quels intérêts le maître de l'ESU tient à supprimer un mouvement syndical. Une démarche, ni plus ni moins, qui vise à tuer la liberté d'expression, dans un secteur où il n'est pas facile de lier la parole. Ce nouveau combat de Mashako est suicidaire. De l'avis d'un membre de l'Apukin, « le ministre de l'ESU a du mal à digérer son désengagement forcé du dossier véhicules au point de militer à nouveau en faveur de la paralysie du secteur ». C'est le moment de freiner les aspirations démesurées de ce ministre imbu de lui-même, lance un autre professeur qui refuse l'idée d'une nouvelle confrontation musclée au détriment des étudiants.

Tout péché mérite miséricorde. Oui, cette pensée chrétienne pouvait inspirer le patron de l'ESU s'il était capable de rémission des péchés soit d'amandes honorables pour le tort commis contre les professeurs et les étudiants durant plusieurs semaines. Il ne se veut pas pourtant vaincu à quelques mois de la fin de règne du gouvernement actuel. Selon des sources proches du ministère de l'ESU, Mashako est animé de l'esprit de revanche. Il n'a plus sommeil tant il rêve de régler des comptes à l'Apukin. S'il était promoteur de l'Unikin, la « bande de trente professeurs de cette association très redoutée », selon sa pique bien aimée contre les profs syndiqués, ceux-ci auraient été simplement dégagés de l'école. Sa colère viscérale ne peut s'appliquer dans le cas d'espèce car il n'en pas la compétence. A l'Apukin, on estime que le ministre Mashako a lui-même entretenu un climat de méfiance. Un autoritarisme qui exclut tout dialogue avec le comité directeur de l'Apukin. Même lorsque la réunion est convoquée fin décembre 2011 par le chef du gouvernement, Adolphe Muzito. Désobéissance ou zèle d'un « ministre intouchable, estiment certains proches du ministre qui se considérerait comme un élément incontournable du système Kabila. Au nom de ses accointances avec les pionniers du régime en place dont le feu président M'Zée Laurent Kabila. Son « ADN politique » lui permettrait parfois des libertés inconsidérées. Il ne se cacherait même pas de jouir d'une protection assurée. Pour peu cela dure éternellement.

Cette nouvelle démarche judiciaire, arrêtée bien à temps, courait le risque de pousser, cette fois-ci, à une année blanche, si par absurde les professeurs se voyaient inquiéter dans leur liberté de défendre leurs intérêts au sein d'un mouvement syndical. Dieu merci !

Près de trois mois, ont été gaspillés sans enseignements entre novembre 2011 et janvier 2012 suite à la grève. Provoquer une nouvelle série de contestations des professeurs révèle un schéma machiavélique pour assouvir un orgueil personnel.                      

                                                                                             PATRICK MUKENDI

Boulevard du 30 juin, des feux de signalisation se sont éteints

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Crée le 04-02-2012-  11h05 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le samedi 04-01-2012 - 16H39 AFRIQUE REDACTION PAR :CONGO NEWS

 

Des travaux surfacturés à plusieurs milliers de dollars sans aucune garantie de durabilité.

Les feux de signalisation routière placés, il y a quelques mois, sur le boulevard du 30 juin, dans la commune de Gombe, fonctionnent sous un rythme des pannes à répétition.

Ce qui crée de sérieux embouteillages sur le boulevard du 30 juin. Le panneau se trouvant au niveau du croisement de l'avenue de Libération (ex 24 novembre) et le boulevard du 30 juin n'affiche aucune mention pour indiquer l'accès ni piétons ni encore aux conducteurs. Le même problème est constaté au niveau du croisement du 30 juin avec l'avenue du port. Là bà, il n'y a plus d'indications.

Les feux rouges se sont éteints. Les réparations traînent. La situation expose les usagers de la chaussée aux multiples dangers notamment des accidents, surtout entre des véhicules. Des risques des pertes en vies humaines sont énormes car l'absence des panneaux de signalisation conduit à la violation du code de la route.

                                                                                   Pathy MAWETE MABUISA

Stop danger, les marchés pullulent le long des rails à Kingabwa

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Crée le 04-02-2012-  11h05 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le samedi 04-01-2012 - 16H39 AFRIQUE REDACTION PAR :CONGO NEWS

 

Scènes des marchés tout le long des rails de la Société Congolaise des Transports et des Ports, SCTP, ex ONATRA. Ces commerces très fréquentés font craindre des dangers permanents.

Ces vendeurs résistent la peur au ventre au passage de la locomotive de la gare centrale à l'aéroport de N'djili où de la gare jusqu'au territoire de Kasangulu dans la province voisine du Bas-Congo.

Plusieurs cas d'accidents sont déplorés le long de cette voie ferrée. Les marchands, eux, boudent toute idée de déguerpissement. Malgré toute les alertes rouges. A chaque passage du vieux train, ils sont obligés de prendre la fuite. Le plus grand de ces marchés se localise au niveau du quartier USAM non loin de l'avenue des poids lourds à près de 20 mètres de l'avenue Kulumba à Kingabwa dans la commune de Limete. Sur ce marché, le commerce des poissons frais est le plus réputé. Des vendeuses y étalent, à même le sol, des bassins de farine de maïs, de manioc, des échoppes de légume, de fruits, de la friperie et de plusieurs autres articles.

D'après certains vendeurs, cette situation est due à la délocalisation de l'ancien marché appelé «Wenze ya USAM» suite aux travaux de modernisation de l'avenue des poids lourds. En réalité, les petits marchands ne sont pas d'accord avec le lieu proposé pour établir le nouveau marché. «L'endroit où on nous a envoyé ne réunit pas les conditions sécuritaires. Il est juste à coté d'un parking où stationnent des  remorques », expliquent certains vendeurs. L'autorité municipale devrait trouvé un endroit approprié pour qu'ils y exercent le petit commerce dans la quiétude. Non loin de là, cette fois-ci au niveau du quartier «Pakadjuma» un autre marché s'organise, celui du sexe et de l'alcool. A partir de 18 heures, les hommes qui osent se promener le long de ces rails sont sollicités par les vendeuses du plaisir moyennant une petite somme d'argent. Le sexe rime avec la boisson alcoolique à cet endroit. « On ne peut pas faire 10 mètres sans tomber sur un vendeur ou une vendeuse de la boisson interdite et très courtisée par les kinois «Soupou na tolo».

                                                                                          CHANCHAN MUTUPA

Le député UNC-Goma Bakungu déféré devant le PGR

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Crée le 04-02-2012-  11h05 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le samedi 04-01-2012 - 16H39 AFRIQUE REDACTION PAR :CONGO NEWS

 

Ce qui s'est passé le jeudi 2 février à Goma, au Nord-Kivu ressemblait à une partie du Far West. Des militaires de la Cour militaire de Goma ont échangé des tirs avec la garde rapprochée de Bakungu Bitondeke, candidat malheureux aux dernières législatives.

Bilan de l'affrontement, quatre morts. Deux du coté des militaires de la Cour de Goma et deux autres du coté de la Garde rapprochée du candidat malheureux. Après quelques minutes d'échanges des coups de feu nourris entre les éléments de la justice militaire, garnison de Goma et la garde de Bakungu, le candidat malheureux à la députation nationale, accusé dé détention illégale d'armes et munitions à sa résidence de Goma, a été finalement arrêté. Il est déféré devant le Procureur Général de la République. Selon des sources au troisième niveau de l'Immeuble INSS, sur le Boulevard du 30 juin, où loge le cabinet de travail du Procureur Général de la République, Flory Kabange Numbi, le prévenu Bakungu Bitondeke sera traduit en procédure de flagrance à la Cour Suprême de Justice, CSJ. Il a atterri hier dans la soirée à Kinshasa et il a été immédiatement conduit à la prison centrale de Makala. Il sera présenté pour l'audience à la Cour Suprême de Justice dans la matinée. Bakungu était tout furieux contre les résultats proclamés par le bureau de la Commission Electorale Nationale Indépendante. Ses propos ont été vite interprétés de façon sévère au niveau du conseil sécuritaire de la province qui craignait une incitation à une rébellion armée contre les Institutions provinciales. Voilà où les élections organisées par la Commission Electorale, Nationale Indépendante ont amené le pays. C'est dans cette optique que certains hommes politiques n'hésitent pas à déclarer haut et fort que des députés ont été nommés et que la prochaine Assemblée nationale ne sera qu'un assemblage politique en lieu et place d'une assemblée nationale digne d'une émanation du peuple.

                                                                                                   ERIC MASIMO


Contentieux électoral, l'ADH accuse Ngoy Mulunda

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Crée le 04-02-2012-  11h05 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le samedi 04-01-2012 - 16H39 AFRIQUE REDACTION PAR :CONGO NEWS

Toutes les langues se délient pour condamner les violations flagrantes des dispositions de la loi électorale, après la publication provisoire des résultats. La dernière condamnation vient de l'ADH (Alliance des Démocrates Humanistes).

Son président national, Joseph Bangakya, dénonce certains excès, voir certaines dérives de la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI), visant à écarter ses candidats élus à la députation, nationale.

Dans une lettre présentée à la presse, Bangakya évoque les cas de Jean-Claude Baende et de Félix Bosekota, tous deux membres de l'ADH, candidats députés nationaux respectivement à Mbandaka et à Boende, dans la province de l'Equateur. Ils sont accusés par le pouvoir organisateur des élections d'avoir organisé des violences dans leurs circonscriptions électorales. Faux, affirme le président national de l'ADH en brandissant sa lettre de protestation (lire en fac simulé la lettre de protestation de Bangakya, adressée à la CENI). Dans cette lettre, Bangakya dénonce que Baende a été candidat à la circonscription électorale de Mbandaka et non à Bikoro et à Makanza pour y aller semer des troubles le jour du scrutin. Pour le second cas, l'Alliance des Démocrates Humanistes indique que rien ne prouve que Félix Bosekota a été, lui et ses partisans auteurs des pillages et violences dans des bureaux de vote et Centres Locaux de Compilation des Résultats. Devant la Cour Suprême de Justice, l'ADH affirme qu'elle dispose des toutes les pièces à conviction qui innocentent Baende et Bosekota devant les accusations de Ngoy Mulunda Nianga Daniel, qu'il qualifie de fausses et non fondées. Autre revendication de l'Alliance des Démocrates Humanistes face aux comportements peu orthodoxe de la CENI, c'est la confusion créée autour de l'élection de l'ancienne célèbre journaliste du Desk/Lingala de la Radio Okapi, Rebecca Ebale Nguma. Cette jeune ménagère et ministre provinciale à l'Equateur, a été élue à la circonscription électorale de Lisala, à l'Equateur et proclamée provisoirement par la CENI le jeudi 26 janvier 2012.Rebecca Ebale a été de manière surprenante écartée de la liste des heureux élus. Pour se justifier, la Commission Electorale Nationale Indépendante ne donne qu'une seule explication. « Il y a eu des irrégularités à la circonscription électorale de Lisala », indique le bureau de la CENI. Selon le pouvoir organisateur des élections, ces irrégularités ont été d'autorité réglées par la propre démarche de la CENI sans associer l'intéressée. Ce qui paraît étonnant à l'ADH. Pour Bangakya, il existe un complot qui vise l'ADH en général et Jean-Claude Baende en particulier. Pour Bangakya, il est inadmissible qu'un gouverneur en fonction, et de surcroît garant de l'ordre public puisse agir pour troubler la quiétude des paisibles citoyens.

                                                                                                    Eric MASIMO

La société civile du Nord-Kivu s'inquiète de la défection d'un officier des FARDC

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La société civile du Nord-Kivu s'inquiète de la défection d'un officier des FARDC


La société civile du Nord-Kivu (nord-est de la RDC) se dit très préoccupée par la récente défection d'un officier des Forces armées de la RDC (FARDC), craignant qu'elle ne puisse faire naître d'autres milices dans la région.

 

La défection du colonel Albert Kahasha "constitue un danger, car il est parti avec une trentaine d'hommes et une importante quantité d'armes et munitions", a affirmé samedi devant la presse le coordonnateur de la société civile du Nord-Kivu, Thomas d'Aquin Mwiti, qui a également évoqué la possibilité qu'il regagne les rangs de la rébellion. Le colonel Kahasha, commandant depuis septembre dernier, du 808ème régiment des FARDC, basé à Eringeti, localité située à 54 km au nord de Beni, dans la province du Nord- Kivu, a fait défection pour des raisons non élucidées. L'officier "déserteur", toujours en errance dans la province du Nord-Kivu, serait manipulé par des politiciens, a indiqué pour sa part le porte-parole des opérations militaires au Nord-Kivu, le colonel Sylvain Ekenge, déplorant le comportement de certains officiers supérieurs des FARDC originaires du Nord et Sud-Kivu qui, selon lui, n'ont pas toujours compris que "l'armée est et restera apolitique".

Kahasha est issu de l'ancien mouvement armé Mudundu 40, basé au Sud-Kivu et qui a évolué comme beaucoup d'autres groupes armés, à la solde du Rwanda et d'exploitants d'or et de coltan.

Le Tchad se lance dans les énergies renouvelables

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Crée le 05-02-2012-  09h05 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le dimanche 05-02-2012 - 09H39 AFRIQUE REDACTION PAR :ART-TV RADIO OKAPI

Le Tchad se lance dans les énergies renouvelables

En clôturant samedi un forum international de 4 jours tenu dans la capitale tchadienne, le président tchadien Idriss Déby Itno a décidé de promouvoir l'utilisation des énergies renouvelables dans son pays.

 

"Avec les énergies renouvelables, nous devons relever non seulement le défi du développement économique, mais aussi le défi écologique", a déclaré le président Déby Itno en clôturant les travaux du forum concentré sur l'énergie solaire.

Il a aussi invité les spécialistes à étendre leurs recherches aux autres sources d'énergies renouvelables: éoliennes, biomasses, etc.

"Pour un pays sahélien comme le Tchad qui est à 80% rural et rencontre d'énormes difficultés d'approvisionnement en électricité, le forum est un véritable événement de taille qui jette les bases d'une nouvelle politique énergétique", affirme Mbatna Jean-Paul, chef du projet Tchad énergies renouvelables (Tchad EnR).

Le Tchad dispose d'importantes potentialités en énergies renouvenables. Du Nord au Sud du pays, le soleil brille de 2.750 à 3.250 heures par an, ont estimé les participants au forum de N' Djaména. Ce qui donne en moyenne 4 à 6 kilowatts/heure par mètre carré et par jour.

Pour l'éolien, suivant les résultats des mesures satellitaires, il ressort que le Tchad est doté d'un gisement très important dans les régions du nord (où il y a deux chaînes montagneuses), de même dans les régions du centre et du sud.

Cependant, toutes ces abondantes ressources d'énergies renouvelables n'apparaissent pas au bilan énergétique du Tchad en raison essentiellement de leur faible niveau d'exploitation.

Le bilan énergétique du Tchad, souligne son ministre de l' Energie et du pétrole, Brahim Al-Khalil Hiléou, est caractérisé par plus de 90% de bois de chauffe et de charbon de bois ; 6 à 7% de produits pétroliers et 3 à 4 % d'électricité d'origine thermique.

"La solution globale du problème énergétique est un impératif majeur de mon quinquennat et de ma vision pour le développement du Tchad. L'appropriation des énergies renouvelables en sera le vecteur essentiel", a promis le président Déby Itno. Il a demandé au chef du gouvernement "d'entreprendre sans délai" un certain nombre d'actions.

Premièrement, un plan directeur énergétique doit être élaboré. Deuxièmement, un nouveau cadre institutionnel et réglementaire sera mis en place. Il visera à améliorer substantiellement la prise en charge des questions énergétiques, en particulier de l'électricité, consistant à la restauration complète de la Société nationale d'électricité (SNE).

Troisièmement, une agence autonome sera créée et chargée de réguler le développement de l'accès et de la promotion des investissements dans le secteur des énergies renouvelables.

Quatrièmement, l'Etat tchadien mettra en place un régime fiscal favorable au développement des énergies renouvelables, notamment en aménageant ou en supprimant simplement la taxe sur la valeur ajoutée (TVA), les taxes et frais de douanes sur les matériels concernés.

Le président Déby Itno a invité les opérateurs économiques privés de son pays à un véritable partenariat avec le secteur public pour "un changement radical de l'environnement". Toutes les nouvelles constructions d'édifices publics devront désormais intégrer le solaire comme source d'énergie principale ou secondaire.

Des recherches doivent être immédiatement entreprises pour une substitution de la tôle ondulée qui sert de toiture aujourd'hui par des tuiles, matériaux mieux adaptés au climat du Tchad.

Tchad: le malaise perdure à l'Université de N'Djaména

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Crée le 05-02-2012-  09h05 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le dimanche 05-02-2012 - 09H39 AFRIQUE REDACTION PAR :ART-TV RADIO OKAPI

 

Tchad: le malaise perdure à l'Université de N'Djaména


 Il y a deux mois, le gouvernement tchadien a décidé de délocaliser trois facultés de l'Université de N'Djaména, la capitale, en provinces. Enseignants et étudiants ne cessent de réclamer l'annulation de cette décision.

"Les décrets 1516 et 1517 ont créé une situation de malaise sans précédent au sein de l'Université de N'Djaména. C'est une crise qui provoque un certain laxisme et, à la limite, une démoralisation et une démobilisation du corps professoral", a confié à Xinhua Vincent de Paul Allambademal, enseignant à l'université de la capitale tchadienne. L'Université de N'Djaména est la plus ancien et grand des cinq universités et sept instituts techniques universitaires que compte le pays. Elle englobe quatre facultés éclatées à travers la capitale: Droit et sciences économiques, Lettres et sciences humaines, Sciences de la santé, Sciences exactes et appliquées.

Par les décrets 1516 et 1517 précités, promulgués en décembre 2011, le président Idriss Déby Itno a décidé de transférer trois facultés (Sciences juridiques et politiques, Sciences humaines et sociales, et Arts et communication) dans trois villes de provinces: Abéché à l'est, Ati au centre, et Sarh au sud. Or, ces trois facultés n'existent pas encore en réalité, font remarquer enseignants et étudiants. Le conseil rectoral de l'Université de N'Djaména a été le premier à réagir à la décision présidentielle " prise sans concerter les syndicats des enseignants". "Il est pratiquement improbable qu'il y ait à Sarh, Abéché ou Ati, des structures académiques et sociales suffisantes pour accueillir au même moment tous ces effectifs", note-t-il dans une fiche détaillée adressée au ministre de l'Enseignement supérieur, fin décembre 2011.

"La décision de transfert est prise de façon hâtive et sans concertation. Et les dispositions n'étant pas prises pour un transfert convenable, le redéploiement ne pourrait qu'occasionner des conséquences plus négatives que positives", ajoute la fiche. "Il n'y a ni nécessité, ni urgence, ni péril en la demeure justifiant ce transfert", soutient Vincent de Paul Allambademal. Pour contester la délocalisation des trois facultés, les enseignants évoquent plusieurs raisons. Les trois villes provinciales Abéché, Ati et Sarh ne renferment pas de structures d'enseignement et de recherche (laboratoires, bibliothèques, salles de classe, etc.). Ils estiment qu'ils ne peuvent pas se déplacer avec leurs familles, notamment avec leurs enfants qui sont inscrits dans des écoles de la capitale. Ensuite, le déplacement massif des étudiants ne serait guère facile. Enfin, les conditions de vie et d'hébergement dans les trois villes provinciales ne sont pas encore réunies.

"D'après les enquêtes que nous avons menées, il n'y a pas de maison en location à Ati et l'eau y est également rare. A Abéché, une seule chambre coûte déjà entre 30.000 et 60.000 francs CFA. Et un déplacement massif des étudiants devrait y augmenter les loyers ", déclare Khamis Taroum, porte-parole de l'Union nationale des étudiants tchadiens (UNET). La bourse d'études au Tchad, qui s'élève à 25.000 francs CFA par mois, devrait être revalorisée cette année, avait promis le chef de l'Etat début décembre 2011. Le transfert devrait toucher 185 enseignants. Beaucoup d'entre eux ayant signé des contrats avec l'Université de N'Djaména, leur transfert en province entraînerait de facto la rupture de ces contrats. Le transfert concerne également 4.261 étudiants dont certains, travaillant dans la fonction publique ou dans le secteur privé, se sont inscrits en régime spécial. Il serait très difficile pour cette catégorie d'étudiants d'aller continuer leurs études en provinces et de de travailler dans la capitale.

Samedi, au cours d'une énième assemblée générale, les étudiants ont réaffirmé leur refus d'être "déportés en provinces".

Depuis une décennie, les années académiques se ressemblent à l'Université de N'Djaména: très longues et ponctuées de grèves à répétition. L'année 2010-2011 n'y est donc pas encore achevée, ayant été récemment interrompue par une grève de plus de trois mois.

Le président Déby Itno a inauguré, il y a deux mois, un complexe universitaire ultramoderne, à Toukra, à une dizaine de kilomètres de la capitale. Le complexe de Toukra, qui devrait abriter l'Université de N'Djaména, comprend huit facultés, un rectorat, une bibliothèque multimédia, des logements pour étudiants et enseignants, etc. Il est capable d'accueillir entre 15.000 et 20.000 étudiants.

"Pour qui l'Université de Toukra a-t-elle été construite?", s'interroge le porte-parole des étudiants, Khamis Taroum. "Si besoin il y a, le gouvernement devrait maintenir les facultés de l'Université de N'Djaména, les transférer à Toukra et construire d'autres similaires dans les provinces", dit-il.

Gabon : un diplomate chinois dresse un bilan satisfaisant de la coopération sino-gabonaise

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Crée le 05-02-2012-  09h05 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le dimanche 05-02-2012 - 09H39 AFRIQUE REDACTION PAR :ART-TV RADIO OKAPI

 

Gabon : un diplomate chinois dresse un bilan satisfaisant de la coopération sino-gabonaise

 

Li Fushun, ambassadrice de Chine au Gabon, en fin de mission après 3 ans passés dans le pays, a dressé vendredi un bilan élogieux des 3 dernières années de la coopération bilatérale entre le Gabon et la Chine.

Au cabinet du ministre gabonais des Affaires étrangères, Jean Paul Toungui, Mme Li Fushun s'est félicitée de la conduite avec succès du chantier de construction du stade de l'amitié (44.000 places) par la société Shanghai construction. Don de la Chine au Gabon, le stade abrite les rencontres de la Coupe d'Afrique des nations (CAN) qui se joue simultanément au Gabon et en Guinée Equatoriale. Le Gabon a joué ses deux premiers matchs dans ce stade et les a remportés.

« J'ai félicité les Panthères (nom de l'équipe nationale du Gabon, ndlr) pour leurs victoires au Stade de l'amitié », a déclaré M. Li au sortir de cette rencontre d'adieux.

Le « Stade de l'amitié », l'un des meilleurs investissements des 3 dernières années au Gabon recevra le match de la finale de la CAN 2012 le 12 février prochain.

Mme Li a également supervisé, pendant son mandat au Gabon, la construction du Grand Poubara, un gigantesque chantier de construction d'un puissant barrage hydroélectrique pour électrifier le sud et une partie de l'est du Gabon. Sinohydro, la société chinoise commise à la tache livrera le chantier l'année prochaine.

CCCCP, une autre société chinoise réalise depuis 3 ans la construction de plusieurs chantiers routiers au sud du Gabon. Des chantiers qui ont accru la présence chinoise au Gabon et que Mme Li Fushun a qualifié de coopération « Gagnant-gagnant ».

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