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Channel: AFRIQUE REDACTION . L'information en continu ! Afrique au cœur de l’actualité...Infos News sur la RDC, les brèves de la dernière minute. Synthèse sur l’actu internationale. rdcongo-kinshasa, Nord et Sud KIVU, Kinshasa, Bas Congo, Dongo, Equateur, Maniema, Lubumbashi, les deux Kasai. Rédacteur en Chef : BONGOS Roger
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Kinshasa: un groupe de délinquants transférés à la prison d’Osiyo en Province Orientale

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Crée le 12-02-2012-  11h15 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | TAGS: RDC, ETIENNE TSHISEKEDI, JOSEPH KABILA, VIOL RDC, FDLR, MASSACRE, ELECTIONS RDC, CENI, AFRIQUE. Mis à jour le dimanche 12-02-2012 - 1&H20 AFRIQUE REDACTION PAR :RADIO OKAPI

le couloir du centre pénitencière de Makala à Kinshasa

 

Une quarantaine de jeunes délinquants appelés « Kuluna » ont été transférés, vendredi 10 février, de la prison de Makala à Osiyo, établissement pénitencier de la Province Orientale. Selon le ministre de la Justice et Droits humains, Luzolo Bambi, c’est le début d’un processus de « transfèrement croisé » des délinquants arrêtés dans les centres urbains. Il a annoncé que des Kuluna arrêtés dans les autres villes du pays seront prochainement transférés à Kinshasa. 

Expliquant qu’en tout une centaine de délinquants sont détenus à Makala, Luzolo Bambi a indiqué qu’un autre groupe sera prochainement transféré dans la prison de Buluwo au Katanga.

« Et inversement, à Kisangani, les jours qui viennent, il y aura des jeunes Kuluna de la Province Orientale qui vont descendre à Kinshasa et de Kinshasa, ils feront le déplacement pour le Bas-Congo sûrement », a-t-il poursuivi.

Dans la nuit de mardi à mercredi 4 janvier, la police a arrêté un groupe de Kuluna, accusés de semer l’insécurité dans la ville de Mbandaka, chef-lieu de la province de l’Equateur.

Après cette énième arrestation, la population avait demandé le transfèrement de ces délinquants à la prison centrale de Makala ou à Buluwo pour leur rééducation.

Le procureur de la République près le tribunal de grande instance de Mbandaka, Sylvain Kabuila, avait expliqué que le phénomène Kuluna prend de l’ampleur à Mbandaka suite à l’absence d’une prison de haute sécurité.

Dans la nuit de mardi à mercredi 4 janvier au village Kawama situé à une vingtaine de km de Lubumbashi, d’autres jeunes délinquants ont mis le feu à une maison d’habitation, causant notamment la mort de deux personnes.

Selon des témoignages recueillis sur place, le groupe de jeunes gens ont sollicité des chambres à un hôtel du village. Face au refus du propriétaire, ils ont tabassé sa fille avant de s’enfuir et revenir quelques heures après pour mettre le feu à son domicile.


Tchad: Des partis d'opposition et de la majorité demandent l'annulation des élections communales (PAPIER GENERAL)

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Crée le 12-02-2012-  11h15 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | TAGS: RDC, ETIENNE TSHISEKEDI, JOSEPH KABILA, VIOL RDC, FDLR, MASSACRE, ELECTIONS RDC, CENI, AFRIQUE. Mis à jour le dimanche 12-02-2012 - 11H50 AFRIQUE REDACTION PAR :AFRIQUINFOS

 Lundi, la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) a proclamé les résultats provisoires des premières élections locales au Tchad. Grands perdants, les partis d'opposition et d'autres issus de la majorité présidentielle ne cessent de réclamer

L'Alliance de la Renaissance formée par le Mouvement Patriotique du Salut (MPS, du président Idriss Déby Itno) et certains partis dont le Rassemblement pour la Démocratie et le Progrès (RDP, de l'ancien président de la République Lol Mahamat Choua) est le grand vainqueur du scrutin organisé le 22 janvier dernier dans quarante-deux circonscriptions. Elle remporte la totalité des sièges des six communes (sur 10) de la capitale N'Djaména, ainsi que 16 autres villes, notamment Léré, dans la région du Mayo-Kebbi ouest frontalière avec le Cameroun, et réputée être le fief du leader du leader de l'opposition, Saleh Kebzabo.

Seules deux villes échappent totalement au contrôle de la majorité présidentielle: Moundou, la capitale économique, gagnée par une coalition de l'opposition menée par un ancien maire de la ville; et Bébédjia, dans la zone pétrolière et bastion traditionnel du député fédéraliste Ngarléjy Yorongar.

"Pour des raisons d'irrégularités flagrantes constatées, la CENI n'a pas traité et publié les résultats du Xème arrondissement de la capitale", a déclaré son président, Yaya Mahamat Liguita.

Les résultats définitifs devront être proclamés le 21 février au plus tard par la Cour suprême. Mais à peine les résultats provisoires proclamés le 6 février dernier, des militants et candidats de la Coordination des Partis Politiques pour la Défense de la Constitution (CPDC, le plus important regroupement de l'opposition), du VIVA RNDP et du RNDT-Le Réveil (tous deux partis de la majorité présidentielle) ont investi les locaux de la Cour suprême pour demander l'annulation du scrutin, notamment dans la ville de N'Djaména.

Les contestataires ont été reçus par le président de la Cour suprême, Abderahim Birémé Hamid, qui les a conseillés de surseoir au sit-in. Une dizaine de personnes, la plupart des candidats, ont été arrêtées par la police sur instruction du commissaire central de police de la capitale. Elles seront libérées dans l'après- midi du jeudi 9 février suite à l'intervention du porte-parole adjoint de la CPDC et chef de file de l'opposition, Saleh Kebzabo.

"Nous allons faire pression sur le gouvernement, la Cour suprême et toute la classe politique pour que ces élections soient annulées", a réaffirmé Saleh Kebzabo à Xinhua. Le chef de file de l'opposition estime que cette lutte n'est non seulement l'affaire de la CPDC, des candidats, mais de la démocratie.

"Nous estimons que la Cour suprême va dire le droit et que les résultats seront purement et simplement annulés", déclare Kampété Vetna, candidat du VIVA-RNDP, parti de l'ancien Premier ministre Kassiré Coumakoye, qui avait fait liste commune avec le parti au pouvoir pendant les élections législatives de février 2011 et soutenu le président Idriss Déby Itno lors de sa réélection trois mois après.

A l'appui de leurs arguments, les partis contestataires citent entre autres preuves, des procès-verbaux de vote falsifiés, des cartes d'électeurs vierges, ainsi que des photos des personnes prises en flagrant délit de falsification des documents de la CENI. Ils se disent déterminés à tout mettre en oeuvre pour empêcher ces élus de siéger au cas où la Cour suprême ne répond pas favorablement à leur requête.

Dans un communiqué de presse publié vendredi, le Comité de suivi et d'appui de l'Accord politique du 13 Août 2007 salue l'attitude des candidats de tous les courants qui, pour la première fois dans l'histoire électorale, tentent de s'organiser pour réclamer la justice. "Face aux nombreux dysfonctionnements et manipulations frauduleuses attribués à la Céni et certains de ses membres, selon les termes du communiqué, le Comité demande à la Céni de prendre des mesures administratives à l'encontre de ses membres défaillants et exhorte la Cour suprême à dire le droit dans l'examen des procès-verbaux et requêtes", ajoute le communiqué.

Enfin, il invite les candidats et partis politiques engagés dans ces élections à faire preuve de retenue et attendre sereinement les résultats de la Cour suprême.

Législatives au Gabon: victoire parti de Bongo validée par la Cour Constitutionnelle

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Crée le 12-02-2012-  11h15 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | TAGS: RDC, ETIENNE TSHISEKEDI, JOSEPH KABILA, VIOL RDC, FDLR, MASSACRE, ELECTIONS RDC, CENI, AFRIQUE. Mis à jour le dimanche 12-02-2012 - 11H50 AFRIQUE REDACTION PAR :AFRIQUINFOS

 

Législatives au Gabon: victoire parti de Bongo validée par la Cour Constitutionnelle
La Cour constitutionnelle gabonaise a validé dans la nuit de samedi à dimanche l'écrasante majorité obtenue par le Parti démocratique gabonais lors des élections législatives du 17 décembre, a constaté un journaliste de l'AFP.

La Cour n'a pas donné un récapitulatif des résultats, annonçant les résultats circonscription par circonscription. Selon le décompte de l'AFP, le Parti démocratique gabonais (PDG) du président Ali Bongo obtient plus de 100 députés sur 120, six circonscriptions devant revoter et au moins cinq non-pédégistes étant élus. Le Premier ministre Paul Biyoghe Mba doit démissionner dans les prochaines heures, le président Bongo pouvant choisir de le reconduire ou non.

"Après avoir vidé le contentieux" et notamment quelque 45 recours en annulation, le scrutin législatif "a donné les résultats suivant", a annoncé la présidente de la Cour Constitutionnelle Marie-Madeleine Mborantsuo, donnant ensuite lecture des 120 circonscriptions avec les scores de chaque candidat. La proclamation de ces résultats a duré environ deux heures.

Une partie de l'opposition a boycotté le scrutin, dénonçant l'absence de biométrie pour prévenir la fraude. L'Union du peuple gabonais (UPG), un des principaux partis d'opposition qui n'a obtenu aucun siège, avait longtemps prôné la non-participation avant de s'engager tardivement dans la campagne électorale.

Le taux d'abstention s'est élevé à 65,72% selon les chiffres officiels. L'UPG a parlé de "fraude massive" alors que les paris d'opposition n'ayant pas participé au scrutin ont affirmé ne pas reconnaître les résultats.

Le président Bongo avait, lors des voeux du Nouvel An, remercié les électeurs pour son écrasante victoire: "J'ai pris la pleine mesure de votre adhésion à notre projet de société. (...) vous m'avez donné la majorité souhaitée pour accélérer les réformes et mettre en oeuvre les actions nécessaires au Gabon émergent".

Depuis des semaines dans l'attente des résultats officiels et de la démission du Premier ministre prévue par la Constitution, observateurs et journalistes s'interrogent pour savoir si le président reconduira le Premier ministre en poste depuis juillet 2009.

M. Biyoghe Mba avait été nommé Premier ministre par la présidente intérimaire du Gabon Rose Francine, président du Sénat, quelques semaines après la mort du président Omar Bongo, après 41 ans au pouvoir en juin 2009.

Il avait été reconduit par le président Ali Bongo en octobre 2009, après son élection. En janvier 2011, le gouvernement avait été profondément remanié sur l'impulsion du chef de l'Etat qui voulait alors donné un "nouvel élan et une nouvelle dynamique à son action", selon la secrétaire générale de la présidence Laure Olga Gondjout.

De nombreux noms circulent dans les couloirs du Palais présidentiel et des ministères. Les plus cités sont ceux de Leon Nzouba, actuel ministre de l'Equipement, de Julien Nkoghe Bekalé, ministre des Transports ou de Magloire Ngambia, ministre de l'Economie. Certains observateurs estiment que le président peut aussi nommer "un homme neuf" alors que d'autres soulignent que M. Biyoghe Mba a conduit la majorité à une éclatante victoire aux législatives et que l'organisation de la Coupe d'Afique des nations, dont la finale devait se jouer dimanche, a été un succès.

L'information n'est plus au conditionnel ! L’avion du principal conseiller de Joseph Kabila s’écrase dans le Kivu

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Crée le 12-02-2012-  15h15 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | TAGS: RDC, ETIENNE TSHISEKEDI, JOSEPH KABILA, VIOL RDC, FDLR, MASSACRE, ELECTIONS RDC, CENI, AFRIQUE. Mis à jour le dimanche 1é-02-2012 - 15H20 AFRIQUE REDACTION PAR : ARTV

augustinkatumbamwanke.jpg

KATUMBA MWEKE

Le principal conseiller de " Joseph Kabila", Augustin Katumba Mwanke, et le ministre des Finances se trouvaient à bord de l’avion, qui s’est crashé dans le Bukavu, à l’est de la République Démocratique du Congo.

L’avion présidentiel congolais s’est écrasé ce dimanche sur l’aéroport Kavumu, de Bukavu (Kivu).

A bord de l’appareil se trouvait le principal conseiller du président Joseph Kabila, Augustin Katumba Mwanke, un homme parmi les plus critiqués dans le pays.

Se trouvait également à bord de l’appareil le ministre des Finances, Matata Mponyo Mapon, originaire de Bukavu.

L’appareil venait de Goma. Information confirmé ! Elle n'est plus au conditionnel.

Fil d'actualité

 

Ce qui est intéressant par rapport à ce "drame", on saura si le fou de Joseph KABILA assistera à ces obsèques...A chaque chose, malheur est bon !
N'est ce pas la résultante de mes révélations qui a précipité ce " drame " Rappelez vous mon billet sur la folie de " Joseph KABILA". J'avais cité mes sources proches d' Antoine GHONDA et KATUMBA MWAKE..J'en suis convaincu que c'est des représailles des tutsisants du pouvoir..
info news 15 heures 46'

D'après les denière info que nous venons d'avoir, KATUMBA MWAKA, Antoine GHONDA, MATATA MPOYO sont morts dans ce crash.

ROGER BONGOS

Bukavu : Augustin Katumba Mwanke tué dans un crash aérien

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Crée le 12-02-2012-  16h35 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | TAGS: RDC, ETIENNE TSHISEKEDI, JOSEPH KABILA, VIOL RDC, FDLR, MASSACRE, ELECTIONS RDC, CENI, AFRIQUE. Mis à jour le dimanche 1é-02-2012 - 16H40 AFRIQUE REDACTION PAR : CONGOINDEPENDANT 

 

Augustin Katumba Mwanke.
Augustin Katumba Mwanke

Député national et «bras droit financier» de « Joseph Kabila », Augustin Katumba Mwanke, « surnommé AK47 » par ses détracteurs, est mort dimanche 12 février dans le crash d’un jet G4 (Golfstream) qui appartiendrait au gouverneur du Katanga Moïse Katumbi Chapwe. La disparition de Katumba est un "coup dur" pour le "système Kabila". L’homme incarnait à lui seul le fameux "gouvernement parallèle" tant décrié par les "déçus" du kabilisme. Le pilote n’aurait pas survenu.

 

En provenance de Kinshasa et de Goma, l’aéronef s’est écrasé aux environs de 13 heures avant son atterrissage à l’aéroport de Kavumu. Le décès de Katumba Mwanke a été confirmé à Reuters par Richard Ilunga, ministre en charge de l’Intérieur de la province du Sud Kivu. Selon lui, plusieurs autres passagers se trouvaient à bord de l’aéronef . A savoir notamment : Matata Ponyo Mapon (grièvement blessé), Marcellin Cishambo Ruhoya (grièvement blessé), Antoine Ghonda Mangalibi (grièvement blessé au dos), respectivement ministre des Finances, gouverneur de la province du Sud Kivu et ambassadeur itinérant de «Joseph Kabila».
Richard Ilunga assure ne pas disposer de "plus amples détails" sur l’état de santé de ces personnalités dont la mort est "confirmée" par des informations difficiles à vérifier. Selon des sources à Bruxelles et à Kinshasa, la délégation conduite par Katumba devaient se rendre à l’île d’Idjwi où "Joseph Kabila" se proposerait d’ériger un site touristique. Certaines sources évoquent la présence de Bertrand Bisengimana dans cet avion. Celui-ci serait parmi les blessés. "La mort excuse tout, dit-on, commente un analyste. On ne pourrait s’empêcher de relever que la mort d’Augustin Katumba Mwanke est un coup coup dur pour le système maffieux de Kabila et le gouvernement parallèle qu’incarnait le disparu".
REUTER

DERNIERE MINUTE : DÉPÊCHE AFP SUR LE CRASH DANS LE KIVU

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Crée le 12-02-2012-  18h15 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | TAGS: RDC, ETIENNE TSHISEKEDI, JOSEPH KABILA, VIOL RDC, FDLR, MASSACRE, ELECTIONS RDC, CENI, AFRIQUE. Mis à jour le dimanche 1é-02-2012 - 18H20 AFRIQUE REDACTION PAR : ARTV

 
CRASH DU JET
Deux personnes, dont Augustin Katumba Mwanke, conseiller du président de la République démocratique du Congo, ont été tuées dimanche à Bukavu (est) dans l'accident de leur avion, a-t-on appris auprès de la présidence de la république.

Le ministre congolais des Finances Augustin Matata Ponyo, le gouverneur du Sud-Kivu (est) Marcelin Tshisambo et Antoine Ghonda, ancien "ambassadeur itinérant" du président Kabila, ont été blessés, certains grièvement, a indiqué à l'AFP une source à la présidence.

Le conseiller et le pilote "ont été tués sur le coup", selon la même source.

L'avion, venu de Kinshasa via Goma (est), a raté l'atterrissage pour une raison encore inconnue et terminé sa course au-delà de la piste de l'aéroport de Bukavu, selon de premières informations données de sources aéroportuaires.

Les blessés ont été hospitalisés.

Le co-pilote aurait également été tué dans l'accident, selon des sources aéroportuaires, mais cette information n'a pas été confirmée officiellement.

Le nombre total de personnes à bord de l'avion n'est pas encore connu avec exatitude, mais selon une source aéroportaire à Bukavu ayant requis l'anonymat, l'avion transportait trois membres d'équipage (le pilote, le co-pilote et une hôtesse), et six passagers.

Ingénieur de formation, M. Katumba Mwanke, 47 ans, avait été réélu fin 2011 au Katanga (sud-est) député du Parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie (PPRD, au pouvoir), dont il a été l'un des membres cofondateurs. Discret, il était considéré comme l'éminence grise du président Kabila.

M. Tshisambo, battu à la députation fin 2011, était conseiller politique du président Kabila jusqu'à son élection en 2010 à la tête de la province du Sud-Kivu.

M. Matata Ponyo est ministre des Finances depuis début 2010.

Les accidents d'avion sont fréquents en RDC, et toutes les compagnies aériennes du pays - une cinquantaine identifiées - figurent sur la liste noire de l'Union européenne, qui leur a interdit son espace aérien.

Le crash du jet de Katumba Mwake serait un attentat aux méthodes infligées à Habyarimana !

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Crée le 12-02-2012-  19h35 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | TAGS: RDC, ETIENNE TSHISEKEDI, JOSEPH KABILA, VIOL RDC, FDLR, MASSACRE, ELECTIONS RDC, CENI, AFRIQUE. Mis à jour le dimanche 1é-02-2012 - 19H40 AFRIQUE REDACTION PAR : ARTV

Selon un témoin (militaire de la MONUSCO), l'avion à bord duquel se trouvaient Augustin Katumba Mwanke et consorts aurait été abattu juste avant son atterrissage sur l'aéroport de Bukavu. Tout porte à croire que les dignitaires du régime ont été piégés. Questions : Pourquoi un aussi grand nombre de dignitaires se rendait-il à Bukavu?

 

Qui aurait convoqué tout ce beau monde, Joseph, Zoé ou Kagamé? ... S’agit-il d'un grand nettoyage de l'écurie avant le retour de Joseph ou le sacre de Zoé Kabila? Joseph sera-t-il présent lors des funérailles de Augustin Katumba Mwanke?

 

 

Que devrait signifier l'absence de Joseph lors desdits funérailles? Dans tous les cas, après le assassinat du Prof Kaputo conseiller spécial en matière de sécurité de Joseph Kabila et l’attentat contre l’avion de Augustin Katumba Mwanke le bras droit de Joseph Kabila, tous les Congolais qui gravitent autour de Hippolyte Kanambe (alias Joseph Kabila) devraient très vite réaliser que leurs vies sont en danger permanent. A qui le prochain tour ?

 

APRODEC asbl

LA PARITE EN PANNE EN RDC 47 femmes élues sur 500 à la chambre basse du Parlement

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Crée le 13-02-2012-  11h15 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le lundi 13-02-2012 - 16H09 AFRIQUE REDACTION PAR :CONGO NOUVEAU

 

Malgré les multiples colloques et forums organisés dans le cadre de l'applicabilité du genre dans tous les domaines de la vie, la parité se veut grandement malade en RDC. Les scrutins du 28 novembre 2011 viennent une fois de plus affirmer cette assertion que plus d'un ont dénoncée lors des scrutins de 2006. Avec le nombre de 17 femmes seulement élues cette fois- ci sur les 500 sièges prévus à l'Assemblée nationale , il y a de quoi à s'interroger si la femme congolaise a réellement intérioriser la notion de la parité et encore plus, a pu peaufiner des stratégies à même d'aider à la réussite de ce dont elle clame à longueur des journées au cours des séminaires, colloques et autres forums.

Les élections tenues le 28 novembre 2011 traduisent à suffisance l'incapacité des femmes à se faire élire si bien qu'elles soient assez nombreuses au sein de l'électorat congolais. Ce constat amer ainsi dégagé, laisse penser à l'opinion qu'il existerait un manque criant d'amour chez les femmes de la RDC. Elles se haïssent à outrance à telle enseigne qu'elles ne peuvent jamais accorder leurs suffrages à leurs consoeurs.

Constituant le plus grand nombre de la population congolaise, quoiqu'en l'absence des données démographiques fiables en RDC, les femmes seraient capables à faire leurs collègues qui postuleraient à quelque niveau des élections. Où les candidats ne souffriraient nullement à battre campagne, étant tout à t'ait certaines de leur victoire qui serait consacrée avec le plus grand nombre des voix et constitueraient la majorité écrasante à l'Assemblée nationale. Fort malheureusement, 47 femmes seulement venaient à être élus surtout le territoire national contre 500 sièges réservés pour la chambre basse du Parlement. Où serait passé l'amour tant clamé par elles dans des confessions religieuses, groupes de prière, églises dites de réveil, forums, séminaires et autres colloques organisés à leur intention, s'interrogent les observateurs. Et tout l'argent dépensé par les organisateurs de ces assises s'en est donc allé en fumée. La parité ne servant que de simple et pur slogan devant servir à agrémenter les réunions des femmes. Et, en date du 08 mars, les femmes auront à épater le public avec le port des pagnes tout simplement alors que le gouvernement aura débloqué d'énormes sommes d'argent pour ce faire. Et le tout, pour rien.

Telle que Eve avait traduit son manque d'amour à Adam et toute l'humanité entière par sa désobéissance, telles sont à ce jour les femmes qui désobéissent aux recommandations leur faites lors des colloques à leur intention. Le manque d'amour vis-à-vis de leurs collègues est fort criant. Conséquence, toujours après les hommes pour revendiquer des postes au même titre que les hommes qui auront gagné le plus grand lot.

Il paraît assez ridicule que les femmes se comportent de la sorte en accordant leurs suffrages aux hommes plutôt qu'à leurs consoeurs qui pourraient faire leur fierté à la prochaine législature à travers la représentation nationale. Toutefois, il y a lieu d'espérer que les mamans congolaises pourront se rattraper lors de prochaines échéances en se faisant élire aussi massivement que possible afin de faire valoir la parité tant au niveau du Sénat, des assemblées provinciales que des municipalités et autres localités et pourquoi pas des entreprises publiques.

                                                                                                                             D.L


Session extraordinaire de la future assemblée nationale du 16 ou 17 février Des têtes nommées par la CENI pourraient tomber

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Crée le 13-02-2012-  11h15 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le lundi 13-02-2012 - 16H09 AFRIQUE REDACTION PAR :CONGO NOUVEAU

Selon des sources proches du palais du Peuple, la session extraordinaire de la future chambre basse du Parlement pourrait intervenir entre le 16 et le 17 février 2012. Celle-ci devant être pilotée par un Bureau provisoire qui sera dirigé par le doyen d'âge et le benjamin de cette chambre.

Tout porte à croire que les députés nationaux nouvellement élus feront leur entrée à la chambre basse du Parlement le 16 ou le 17février2012, indiquent des sources proches à cette institution républicaine.

Avant l'installation du bureau définitif, la loi régissant cette chambre veut qu'un bureau provisoire soit mis sur pied en vue de procéder à l'élection des membres du bureau définitif.

A en croire des supputations nous parvenues Charles Mwando Simba (75 ans d'âge), Patrick Muyaya et Peguy Sendwe qui seraient les benjamins auront la charge de diriger le bureau provisoire. Néanmoins, il paraîtrait qu'il y aurait un élu de l'UDPS qui aurait 85 ans d'âge et dont le nom ne nous a pas été révélé pendant qu'il nous revient qu'un élu de l'intérieur serait âgé de 25 ans. A la lumière des contentieux déposés sur la table du Président de la Cour suprême de justice (CSJ), d'énormes risques pèseraient sur certains élus tels que proclamés par la CENI. Ces derniers que les contestataires taxent des nominés de la CENI pourraient tombés et se voir refuser l'accès de l'hémicycle du Parlement à la suite de l'arrêt irrévocable qu'aura à rendre cette instance judiciaire. La même situation avait été vécue en 2006.

Reste à ce que la CSJ rende son arrêt sur les contentieux lui déposés avant que le dernier mot ne soit dit pour la constitution définitive de la chambre basse du Parlement.

                                                                                              Daudet Luzayamo

Nord-Kivu : le Pam introduit le système des bons d’achat pour nourrir les déplacés de Kiwanja

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Crée le 13-02-2012-  11h15 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le lundi 13-02-2012 - 16H09 AFRIQUE REDACTION PAR :RADIO OKAPI

Le Programme alimentaire mondial (Pam) a mis en place un système de bons d’achat, le « Cash and Voucher », pour approvisionner en nourriture les déplacés de l’Est de La RDC. Environ 150 familles de déplacés de Kiwanja, en territoire de Rutshuru, ont pu échanger, samedi 11 février, ces bons d’achat contre de la nourriture auprès des commerçants présélectionnés.

Avec ses trois enfants en bas âge, Antoinette Malira, une jeune déplacée du camp Monuc à Kiwanja, recevait habituellement l’aide alimentaire du Pam en nature. Samedi, elle a reçu un bon d’achat, grâce auquel elle a pu décider de ce qu’elle voulait manger parmi une diversité de produits présélectionnés et exposés par des commerçants déterminés.

« Nous recevions essentiellement de la farine, des haricots ou des petits pois, ainsi que de l’huile végétale. Maintenant, j’ai pu acheter des pommes de terre, du haricot, de la farine de maïs, de l’huile, de la tomate et même un poisson. Je suis contente parce que j’ai fait moi-même le marché », a-t-elle témoigné.

Le système de bons d’achat a été lancé lors d’une foire aux vivres organisés par Catholic relief services (CRS), partenaire du Pam dans ce programme à Kiwanja.

Comme Antoinette, chaque ménage de déplacés recensés a bénéficié de ces bons d’achat, suivant le nombre d’individus qui le compose.  Les déplacés échangent ces bons contre de la nourriture auprès des commerçants locaux, qui les échangeront à leur tour contre du cash auprès du Pam.

Bien que ce système requièrt une constance des prix des principaux aliments sur le marché, le Pam/Nord-Kivu se dit optimiste et envisage de multiplier de nouveaux outils pour lutter durablement contre la faim dans cette région en particulier.

Dungu: la LRA tue 2 personnes, selon la société civile locale

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Joseph Kony, leader de la LRA, avec ses lieutenants 

 

Des rebelles ougandais de la LRA ont tué deux personne, enlevé une vingtaine, emporté 1 150 kilos de marchandises et pillé les greniers, de lundi à samedi 11 février, dans le territoire de Dungu, situé à 780 Km au Nord-Est de Kisangani (Province-Orientale), selon la société civile locale et l’administration du territoire.

Les mêmes sources accusent ces hommes en armes d’avoir ciblé plusieurs localités de cette contrée notamment:

  • Pagulupa
  • Naguero
  • Nganzi
  • Ngilim
  • Nabiapayi
  • Banda
  • Sambia.

De son côté, le commandant de la 9è région militaire des FARDC, le général Jean-Claude Kifwa a rejeté la thèse soutenant l’existence de la LRA sur le sol congolais.

Il a par contre attribué cette recrudescence d’insécurité aux bandits congolais armés.

Le général Jean-Claude Kifwa a reconnu que les FARDC éprouvent d’énormes difficultés pour mettre fin pour le moment à ce climat d’insécurité faute de logistique.

«Il y a un problème aussi de mobilité. Nous faisons face à un sérieux problème d’ordre logistique parce que le charroi est amorti. Nous allons nous impliquer et demandons à ce que la hiérarchie puisse intervenir. Il faut comprendre que nous sommes à la frontière entre deux pays voisins, il y a le Soudan du Sud et la RCA où règne aussi l’insécurité. Souvent on est débordé par le contournement de nos positions par l’ennemi qui utilise les territoires d’autres pays. Dernièrement, on avait signalé la présence de Mbororo vers Bapolo, en RCA. Ils traversent pour nourrir leurs bétails chez nous après ils rentrent», a-t-il affirmé.

Le commandant de la 9è région militaire a tout de même promis de s’engager pour combattre ce qu’il qualifie de la recrudescence de banditisme.

Le corps de Katumba Mwanke est arrivé à Kinshasa sans KABILA ! Cherchez l'erreur...

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Crée le 13-02-2012-  11h15 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le lundi 13-02-2012 - 17H39 AFRIQUE REDACTION PAR :RADIO OKAPI

KABILA en kinyarwanda ( KABIRA) n'est pas avec la dépouille de son ami

Ce qui est étonnant sur RTNC, l'arrivée de la dépouille de l'argentier de KABILA, le conseiller occulte de l'imposteur. Son corps est au palais de la nation en direct sur RTNC. Mais chose étonnante, pas de "KABIRA" et Olive Lembe...Que de Bisengimana le Rwnadias, Kengo Wa Dondon..
Mais comme disent les Arabes Walou KABILA ( Pas de KABILA ) ça se confirme que cet homme est peut être mort ou très affaibli par les électrochocs relatifs à sa grave maladie ( folie) ...Suivez sur RTNC..

 


Le corps du député Augustin Katumba Mwanke, décédé hier dimanche des suites du crash d’un jet privé à l’aéroport de Bukavu, est arrivé à Kinshasa ce lundi 13 janvier. Les corps des autres victimes, deux pilotes sud-africains, et les blessés ont été évacués vers l’Afrique du Sud. A Pweto, territoire natal d’Augustin Katumba, les activités ont tourné au ralenti en sa mémoire.


 Des officiels et des membres de la famille du défunt ont accueilli la dépouille du conseiller spécial du chef de l’Etat ce midi à l’aéroport de Ndjili.

 

Selon le programme publié par sa famille, le corps du défunt sera successivement exposé au siège du Parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie (PPRD), sa famille politique, en sa résidence privée et au palais du peuple, siège du parlement, avant d’être rapatrié à Lubumbashi, chef-lieu du Katanga, sa province d’origine.


Les blessés évacués en Afrique du Sud

Les six blessés, victimes du crash, ont été évacués ce lundi matin vers la République sud-africaine, a indiqué lundi le chargé de communication du gouvernorat de province du Sud-Kivu. Les corps des pilotes sud-africains ont aussi été rapatriés.


Avant son transfert en Afrique du Sud, le gouverneur Chishambo, l’une des victimes, a tenu à rassurer ses administrés sur son état de santé. Dans un message d’apaisement transmis à la population par son chargé de communication, il indique que « son état n’est pas aussi grave qu’on le rapporte à travers le ville », et que s’il a été évacué, « c’est pour obéir à l’ordre de sa hiérarchie ».


Ce crash, qui a causé la mort de cinq personnes, dont deux paysans, et blessé six autres, a plongé la ville de Bukavu dans un profond émoi.


Journée ville morte à Pweto

A Pweto, territoire natal d’Augustin Katumba Mwanke, toutes les activités sont restées paralysées ce lundi 13 février. Boutiques, magasins, écoles et mêmes les services de l’Etat n’ont pas fonctionné. Pour les habitants de ce territoire, il s’agit d’honorer la mémoire de celui qui a notamment initié des projets d’électrification, d’adduction d’eau potable, de construction des routes, de l’aéroport, et des écoles.


Natif de Somboshi, village situé dans le territoire de Pweto-centre, Augustin Katumba Mwanke a fait son apparition politique avec l’entrée de l’Alliance des forces démocratiques pour la libération du Congo (AFDL), de feu Laurent Désiré Kabila.


En 1998, il est nommé gouverneur de la province du Katanga. Durant son mandat, il réalise certains ouvrages dont le marché Mzee Kabila, en plein cœur de la capitale du cuivre.


Trois ans plus tard, il sera rappelé à Kinshasa pour occuper le poste de secrétaire général du gouvernement avant d’être nommé ambassadeur itinérant du chef de L’État et conseiller du président de la République.


Cité dans le rapport des Nations unies sur l’exploitation des ressources naturelles de la RDC, Augustin Katumba Mwanke sera privé des fonctions officielles mais restera dans le premier cercle du pouvoir. Il était considéré comme l’un des plus influents conseillers officieux du président Kabila.


En 2006, il est élu député national pour la circonscription électorale de Lubumbashi. Cofondateur de l’Alliance pour la majorité présidentielle (AMP), créée à la veille du second tour de l’élection présidentielle de 2006 qui a consacré la victoire de Joseph Kabila (52%) face à Jean-Pierre Bemba (48%), il présidera aux destinées de cette structure pendant plus de deux ans.


En novembre 2011, Augustin Katumba est réélu à la députation nationale. Il meurt à 48 ans, laissant une veuve et des enfants.

 


Enjeux politiques : Les députés qui vont trahir Tshisekedi sont connus

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Crée le 13-02-2012-  19h15 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le lundi 13-02-2012 - 19H39 AFRIQUE REDACTION PAR :CONGO NOUVEAU

Après l'épreuve présidentielle du 28 novembre 2011 contre Joseph Kabila, Etienne Tshisekedi -qui s'est auto-proclamé chef de l'Etat à l'issue du scrutin présidentiel dernier- devra faire face à ses propres lieutenants le 16 février courant, jour de la rentrée parlementaire. C'est ce jour-là que l'on saura si les députés de l'opposition siégeront ou pas au Palais du Peuple.

Au cours d'un point de presse tenu dernièrement en sa résidence privée dans la commune de Limete, le leader de l'Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS) avait déclaré et haut fort que les députés élus de son parti ne siégeront pas à l'Assemblée nationale. Etienne Tshisekedi avait affirmé qu'il avait annulé les '1ections législatives du 28 novembre 2011 et qu'il organiserait d'autres après avoir procédé au recensement de la population congolaise et à la tenue des élections locales, municipales et urbaines.

Si du côté de l'UDPS aucun député élu n'a réagi officiellement -même si sous les manteaux certains d'entre eux estiment que la politique de chaise vide ne paie pas en politique-, c'est plutôt dans le camp des alliés que l'on enregistre déjà certaines réactions. Lesquelles vont, pour la plupart, dans le sens ne pas approuver la prise de position du président de l'UDPS.

Quand Fayulu, Steve Mbikayi, Olongo Ndeko Basile... donnent de la voix

Membre fondateur de la plate-forme Dynamique Tshisekedi président (DTP), Martin Fayulu, le président de l'Ecidé, a indiqué le samedi 11 février sur les antennes de la radio TopCongo que sa position, par rapport à la demande d'Etienne Tshisekedi, dépendra de l'issue de la marche que compte organiser l'Eglise catholique le 16 février prochain. Tshisekediste devant l'Eternel et très en verve pendant la campagne électorale, Martin Fayulu a désormais comme guide politique, l'Eglise catholique. D'aucuns seraient tentés de savoir la modification que pourrait apporter la marche du 16 février par rapport aux résultats des scrutins présidentiel et législatifs du 28 novembre 2011. Classé premier sur toute la République avec plus de 61.000 voix aux législatives, le député Olongo, mieux connu sous le nom de Ndeko Basile a, au cours d'un entretien accordé à radio TopCongo, déclaré ce qui suit : « Les députés élus du Soutien à Etienne Tshisekedi (SET) n'ont pas encore reçu une consigne précise de la part de notre président par rapport au mot d'ordre du président Etienne Tshisekedi».

Toutefois, reconnaissant que le président de l'UDPS est un prophète, Olongo, député élu de la circonscription électorale de la Funa, à Kinshasa, rappelle qu'il est désormais lié par un contrat social avec ceux qui l'ont élu. Dans sa déclaration, il a fait savoir qu'il fera tout pour ne pas décevoir ceux qui l'ont élu. Il a même souhaité la tenue d'une réunion au niveau de l'Opposition pour débattre de cette question. La même idée de la convocation d'une telle réunion est soutenue par Christian Badibangi, l'élu de Dimbelenge, dans la province du Kasaï-Occidental.

Dédoublement des institutions

Député élu de la circonscription de la Tshangu, dans la ville de Kinshasa, Steve Mbikayi, président du Parti travailliste (PT), propose une démarche toute aussi originale. Pour lui, le combat de l'Opposition devrait être mené à l'intérieur et à l'extérieur de l'Assemblée nationale. «Je propose que l'Opposition puisse procéder au dédoublement de toutes les institutions de la République jusqu'à ce qu'on va aboutir au recomptage des voix afin de savoir qui d'Etienne Tshisekedi et de Joseph Kabila a réellement gagné les élections du 28 novembre 2011», a soutenu Steve Mbikayi dans une interview accordée à la radio précitée. Pour y arriver, il suggère que les députés élus de l'Opposition répondent présents le jour de la rentrée parlementaire afin de valider leurs mandats avant de se retirer pour aller siéger ailleurs. D'après lui, c'est devant cette portion des députés de l'Opposition que le Premier ministre nommé par Etienne Tshisekedi et son gouvernement, viendront solliciter la confiance des parlementaires. Comme on peut le constater, les députés élus de l'Opposition ne sont vraiment pas clairs de leur prise de position par rapport au mot d'ordre donné par Etienne Tshisekedi. Selon plusieurs analystes politiques, en dehors, peut- être des élus de l'UDPS, le contrôle des députés élus des autres partis de l'Opposition risque d'échapper au Président autoproclamé.

Parce qu'on sait déjà que les députés élus de l'Union pour la nation congolaise (UNC) de Vital Kamerhe et ceux du Mouvement de libération du Congo (MLC) de Jean- Pierre Bemba, disent ne pas se sentir concernés par cette mesure parce que ne faisant pas partie de l'UDPS.

Moralité: ceux qui vont trahir ou ont déjà trahi Etienne Tshisekedi, viendront soit de l'UDPS, soit des plateformes Soutien à Etienne Tshisekedi (SET), soit de la Dynamique Tshisekedi président (DTP).

                                                                                                Thomas NABOR

PERIODE DE CAREME : le Cardinal Monsengwo retenu prédicateur du Pape Benoît XVI

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Crée le 13-02-2012-  19h15 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le lundi 13-02-2012 - 20H09 AFRIQUE REDACTION PAR :CONGO NOUVEAU

 

Le carême, la période de quarante jours précédant la Pâques, commence le 22 février 2012. L'Abbé Leonard Santedi a révélé à Radio Okapi que le Cardinal Laurent Monsengwo Pasinya a été désigné pour être le prédicateur du Pape Benoît XVI et son gouvernement pendant leur retraite de carême.  

Le Cardinal Laurent Monsengwo Pasinya est retenu prédicateur du Pape Benoît XVI et son gouvernement pendant leur retraite de carême.

Cette décision du souverain pontife a été annoncée vendredi 10 février 2012 par la Conférence épiscopale nationale de la RDC (CENCO). «Benoît XVI reconnaît ainsi au cardinal congolais les qualités d'un grand exégète, d'un homme de science et aussi d'un grand homme spirituel », a indiqué l'Abbé Léonard Santedi, secrétaire général de la CENCO. Il a rappelé que le Cardinal Laurent Monsengwo est le troisième cardinal africain choisi par le Saint-Père pour cet exercice. Le carême, une période de quarante jours qui précède la Pâques, la plus grande fête chrétienne, va commencer le 22 février 2102. Le cardinal Laurent Monsengwo prône toujours la paix.
 

Membre du Conseil pontifical pour la culture

Le Saint-Père le pape Benoît XVI a nommé samedi 9 décembre 2011, membre du Conseil pontifical pour la culture, le Cardinal Laurent Monsengwo Pasinya. «Le Conseil pontifical de la Culture est le Dicastère de la Curie Romaine», a expliqué le diocèse d'Inongo, dans la province de l'Equateur. Pour le diocèse, le Conseil aide le Souverain Pontife dans l'exercice de sa Charge suprême de Pasteur pour le bien et le service de l'Eglise universelle et des Eglises particulières, en ce qui concerne la rencontre entre le Message de salut de l'Evangile et les cultures, l'étude des graves phénomènes de la rupture entre Evangile et culture, de l'indifférence religieuse et de la non croyance; les relations entre l'Eglise et le monde de la culture, encourageant particulièrement le dialogue avec les diverses cultures de ce temps, afin que la civilisation de l'homme s'ouvre toujours davantage à l'Evangile, et que ceux qui pratiquent les sciences, les lettres et les arts se sentent reconnus par l'Eglise comme des personnes adonnées au service du vrai, du bon et du beau. Le Conseil pontifical de la Culture, en outre, suit et coordonne l'activité des Académies Pontificales. Il maintient des contacts périodiques de collaboration mutuelle avec la Commission pontificale pour les biens culturels de l'Eglise.

                                                                                                     Patrick Delos

BREVE APPARUTION DE "JOSEPH KABILA" AU DEUIL DE KATUMBA MWAKE


Question des mœurs à Kinshasa Des filles incapables d'éviter les grossesses indésirables !

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Crée le 13-02-2012-  20h15 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le lundi 13-02-2012 - 20H49 AFRIQUE REDACTION PAR :LE PALMARES


 

M. Albert Tshala, initiateur du magazine, projet 100% jeunes, a sensibilisé les jeunes filles au changement de comportement, jeudi en la salle culturelle du collège Boboto dans la commune de la Gombe, lors de la présentation de son magazine au public.

Il a, à cette occasion, expliqué l'objectif principal du projet, 100% jeunes, indiquant qu'il consiste à aider les jeunes , principalement, les filles à trouver des solutions à leurs problèmes. Il a, en outre, recommandé aux jeunes filles mineures et célibataires d'observer un comportement responsable, notamment, par l'abstinence sexuelle pour éviter les maladies sexuellement transmissibles (MST) et les grossesses indésirables.

Le projet vise également, a-t-il dit, d'intégrer les jeunes à travers le Magazine qui est trimestriel comme meilleur canal de communication. De son côté, les députés nationaux élus, dont Patrick Kabangu de Kabeya Kamwangu, Francis Swekina de Nioki et l'artiste musicien Koffi Olomide ont, tout à tour, exhorté les jeunes filles mineures à se comporter dignement pour préserver leur virginité. Le projet 100% jeunes bénéficie de l'appui de l'USAID indique-t-on

                                                                                                                LP/Ap

Un fou reste un fou, même s'il réapparait !

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Crée le 13-02-2012-  22h15 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le lundi 13-02-2012 - 22H09 AFRIQUE REDACTION PAR :ARTV

 

Joseph Kabila.
" Joseph KABILA " fou allié !
Ce que je trouve extrêmement grave dans cette sombre histoire de folie avérée, un homme qui disparait pendant 3 mois de surcroit " président sortant ", et il réapparait, tout le monde dit qu'il en forme, j'attends de voir la suite. Je ne crois pas à cette mise en scène théâtrale du mauvais gout. Je ne crois absolument pas...

C'est quel état ça ? Un chef de l'état sortant soit-il disparait et réapparait les Congolais applaudissent ! Moi non...Là ça confirme bien évidemment sa folie que j'ai tjrs soutenue. Non à sa mort ! Relisez mon billet, il est clair !

Je réitère ma préoccupation sur cette république bananière. Je tiens à vous préciser mordicus que cet homme est malade ( mes sources, sont aussi fiables que la lune, le soleil etc...).
Justifiez moi dans quel état peut-on voir ces inepties, qu’un " président sortant tricheur " soit out pendant 3 mois sans nouvelle ? Montrez moi un seul état qui agirait de la sorte ! Quelle république ça ? On marcherait sur la tête.

Je ne lâcherai pas ces Rwandophiles et Tutsisants qui sont sur ces fora !

J'ai mes convictions et elles resteront !

Roger BONGOS

Début d'émeutes hier à Inkisi : Des prétendus adeptes de Vuvamu s'attaquent aux commerçants chinois

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Crée le 14-02-2012-  09h30 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le mardi 14-02-2012 - 09H40 AFRIQUE REDACTION PAR :OBSERVATEUR

 


Des personnes qui n'ont pas pu être identifiées comme habitants d'Inkisi et adeptes de Vuvamu se sont attaquées hier, dans la matinée, aux commerçants chinois qu'ils accusent de tous les maux. Ils étaient une vingtaine environ à avoir pris part à cette manifestation qui a failli dégénérer dangereusement si les forces de l'ordre n'étaient pas intervenues assez rapidement pour maîtriser la situation.

Qu'est-ce que ces prétendus adeptes de Vuvamu reprochent aux chinois ? Apparemment d'avoir refusé de leur remettre un peu d'argent qu'ils leur demandaient sous la menace. Ceux qui ont amené les chinois, nous ne le voyons plus disent-ils. C'est pourquoi ils doivent partir d'ici.

Pour rappel, Vuvamu est une église qui a une personnalité juridique et par conséquent reconnue par la loi. Et ses adeptes ne sont pas connus pour être violents ni indisciplinés.

D'où la question : d'où peuvent-ils provenir ceux qui ont failli mettre Inkisi sens dessus-dessous ? Dans leur folie à vouloir régler des comptes aux chinois à l'aide de gros bâtons, ils ont saccagé leurs magasins, après avoir blessé, très grièvement, nous dit-on, une chinoise qui avait eu le malheur de ne pas répondre à leur demande d'argent.

Les habitants d'Inkisi sont sous le choc. Jamais des actes pareils n'avaient été commis chez eux. Car ils considèrent comme un sacrilège de s'en prendre des étrangers présents là-bas uniquement pour gagner leur vie.

Quelques-uns de ces adeptes de Vuvamu sont entre les mains de la justice. Dans les heures qui suivent, il nous sera possible d'en savoir un peu plus sur cette tragédie qui porte un coup sérieux à l'image d'Inkisi. Une cité connue pour la qualité de son accueil. Et la gentillesse de ses habitants.

Kiadi ye Nsoni

Bas-Congo : combiner les engrais pour accroître la production agricole

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Crée le 14-02-2012-  09h30 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le mardi 14-02-2012 - 09H40 AFRIQUE REDACTION PAR :OBSERVATEUR

 

 



Les terres surexploitées et épuisées de la région de Mayumbe, au Bas-Congo, redeviennent rentables depuis que les agriculteurs recourent à une méthode qui combine engrais organiques et chimiques. L'encadrement des agronomes est cependant indispensable pour trouver le bon dosage et éviter ainsi de brûler les récoltes.

Les agriculteurs de Matati, Boma, Lukula…et de plusieurs localités du Bas-Congo, au sud-ouest de Kinshasa, ont retrouvé le sourire en voyant leurs terres donner à nouveau. "Avant, nous vivions difficilement ici par manque de terre arable. Mais aujourd'hui, grâce aux engrais, notre vie a changé", affirme tout sourire Jeannette Mabuilu, une paysanne de Lukula. Dans cette contrée en effet, la répétition sur les mêmes étendues de mêmes cultures, ajoutée à l'absence de pluies, a fini par rendre les champs stériles, contraignant ainsi de nombreux agriculteurs à abandonner leurs champs.

Tous n'ont cependant pas baissé les bras. C'est le cas d'Espérance Nzuzi, coordonnatrice de l'Aprofel, une association de promotion de la femme paysanne de Lukula. Avec courage, elle est allée frapper à la porte de divers partenaires extérieurs. Et contre toute attente, elle a été invitée en juin 2011 en Belgique à une session de formation sur l'amélioration du rendement des cultures avec engrais. Aussitôt rentrée au pays, elle s'est mise, avec le concours des experts du projet CATALIST, spécialisé en Gestion intégrée de la fertilité du sol (GIFS), à partager ses nouvelles connaissances avec des membres de son association et d'autres paysans.

 

Espérance

Dès septembre dernier, Espérance a encadré des cultivateurs qu'elle a initiés à l'utilisation combinée d'engrais organiques et non organiques, qui permet, selon elle, "de tripler ou de quintupler les rendements et d'atteindre jusqu'à 5 t/ha pour le maïs et 28 t/ha pour la pomme de terre". Selon l'ingénieur agronome Samson Chirhuza, chef du projet CATALIST, il s'agit de combiner des résidus des végétaux qu'on enfouit après chaque récolte et des engrais chimiques (NPK, urée, etc.).

Lors de la dernière saison culturale (octobre à janvier), beaucoup d'agriculteurs ont été séduits par cette méthode nouvelle dans la région et surtout ses résultats. "J'ai essayé avec le maïs et j'ai réalisé une performance que je n'avais jamais eue avec la même quantité de graines lorsque je cultivais sans engrais", se réjouit Liévin Bulungi, de Situ-Kaka, une localité proche de Boma. Même satisfaction dans les nombreux villages qui ont expérimenté cette technique culturale. En dépit de l'absence de pluies observée ces derniers temps, la récolte a été abondante. Sur les principaux marchés des centres urbains de la province du Bas-Congo, les prix ont même baissé. Celui d'un bassin moyen d'arachides qui coûtait 7 500 Fc (environ 7,5 $) a chuté d'un tiers.

 

L'importance de connaître le sol

La sécurité alimentaire s'est améliorée dans les villages et même en ville. En plus des produits agricoles destinés à la commercialisation et à leur consommation, la plupart des paysans du Mayumbe, ragaillardis, conservent aujourd'hui chez eux d'importants stocks de graines de maïs et d'arachide en prévision de la prochaine saison culturale.

Agronome dans le territoire de Lukula, Victor Ngeni estime cependant que malgré les avantages qu'offre le recours aux engrais chimiques, les agriculteurs doivent les utiliser avec prudence. "S'ils sont mal utilisés, ils appauvrissent davantage le sol et font sécher des cultures", les met-il en garde. Certains comme Christophe Matiaba, un planteur de Kinzau-Vuete sur la route Matadi-Boma, ont fait les frais d'une mauvaise utilisation de l'engrais : une bonne partie de ses cultures a été brûlée ou a jauni.

Coordonnateur provincial du Service national de vulgarisation, Gaspard Kisita, un agronome qui connait bien la nature du sol du Bas-Congo conseille aux agriculteurs de recourir chaque fois au service des agronomes qui peuvent les renseigner sur "l'état du sol favorable à la culture, mais surtout sur le dosage d'engrais non organiques à utiliser pour obtenir un bon rendement".

Cependant, des témoignages sur les résultats de l'utilisation combinée d'engrais ont franchi les frontières de la RD Congo au point d'attirer de nombreux agriculteurs en provenance d'Angola et du Congo-Brazzaville.

Crash du jet à Bukavu :Le ministre des Transports a annoncé la constitution d'une commission d'enquête

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Crée le 14-02-2012-  09h30 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le mardi 14-02-2012 - 09H40 AFRIQUE REDACTION PAR :OBSERVATEUR

 



Le ministre des Transports et Voies de communications M. Joseph Martin Kitumba Gagedi a annoncé hier lundi la constitution d'une commission d'enquête qui va déterminer les causes de l'accident d'avion survenu dimanche dernier à l'aéroport de Kavumu à Bukavu. Cette annonce a été faite à l'issue d'une réunion que Martin Kitumba a tenu dans son cabinet de travail avec des responsables des entreprises et services sous tutelle de son ministère, entre autres, la RVA (Régies de voies aériennes), l'ACC (Autorité de l'aviation civile)…

Ladite commission, a signalé le numéro un du secteur des transports, sera mixte. Elle sera composée, a-t-il indiqué, des experts congolais et américains, suite à la présence dans l'avion d'un pilote de nationalité américaine qui a trouvé la mort dans l'accident.

Des mesures conservatoires seront prises au regard des conclusions qui seront issues du rapport de la Commission d'enquête, a laissé entendre le ministre des Transports. Ceci, a-t-il ajouté, pour faire en sorte que ce genre d'accident ne se reproduise plus.

Interrogé à son tour par la presse sur les causes de cet accident le directeur général de la RVA, Justin Okana a fait savoir qu'il serait mieux d'attendre les résultats de l'enquête pour déterminer les véritables causes à l'origine de l'accident.

Néanmoins, il a indiqué que sur base des éléments déjà disponibles, l'avion a amorcé l'atterrissage seulement à moins de 1.200 mètres de la piste de l'aéroport qui s'étend sur une longueur de 2.000 mètres le pilote n'avait que pour freiner, ce qui n'était pas suffisant et qui a conduit l'appareil dans un ravin où il est allé finir sa course, a ajouté le Dg de la RVA.

Le directeur général de l'AAC, Hippolyte Mwaka a pour sa part, fait savoir que l'avion, un Jet privé, avait bel et bien été autorisé à survoler l'espace aérien congolais.

Pour rappel, l'avion dont il est question a connu un crash à la suite d'un mauvais atterrissage dimanche dernier à l'aéroport de Kavumu à Bukavu. Le bilan de cet accident est de 5 morts dont deux paysans, le pilote et le copilote, ainsi que l'honorable Augustin Ktumba Mwanke.

F.L

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