Quantcast
Channel: AFRIQUE REDACTION . L'information en continu ! Afrique au cœur de l’actualité...Infos News sur la RDC, les brèves de la dernière minute. Synthèse sur l’actu internationale. rdcongo-kinshasa, Nord et Sud KIVU, Kinshasa, Bas Congo, Dongo, Equateur, Maniema, Lubumbashi, les deux Kasai. Rédacteur en Chef : BONGOS Roger
Viewing all 14381 articles
Browse latest View live

Selon Delly Sessanga : Le contrôle du serveur de la Ceni n'est que pure distraction

$
0
0

 

Créé le 23 -09-2011 à 10 h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le vendredi 23 -09-2011 à  10 h05 | AFRIQUE REDACTION PAR : LA TEMEPETE DES TROPIQUES

Delly Sessanga a appelé, mardi 20 septembre, l'opposition congolaise à ne pas se laisser distraire. Pour le président d'Envol (Ensemble de volontaires pour le développement de la RDC), l'opposition devrait penser à mettre en place une plateforme de témoins qui vont être déployés dans les bureaux de vote pendant l'élection présidentielle plutôt que de demander à participer à la gestion du serveur de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni).

Dans une conférence de presse tenue mardi à Kinshasa, Delly Sessanga s'est dit malheureux de constater que l'opposition perd beaucoup de temps dans des futilités. Selon lui, puisque l'élection en RDC n'est pas électronique, la question du contrôle du serveur de la Ceni n'est que pure distraction :

“Je ne vois pas à quoi le serveur de la Ceni va pouvoir nous avancer davantage par rapport au déroulement des opérations électorales.”

Selon Delly Sessanga, l'opposition doit travailler sur les conditions qui vont garantir la transparence du scrutin au lieu de chercher à les obtenir de la Ceni. “En tant que partis politiques, nous devons travailler pour que nous ayons les moyens que nous allons opposer à la Ceni pour que la transparence soit respectée,” explique Delly Sessanga, ex-cadre du MLC, qui soutient la candidature d'Etienne Tshisekedi à la présidentielle de 2011.

Lundi 20 septembre, la Ceni a accepté l'exigence de l'opposition d'auditer le fichier électoral avant les élections.

Le président de la Ceni a demandé à l'opposition et à la majorité désigner chacune cinq délégués pour cette opération.


Journée internationale de la paix : Ban Ki-Moon appelle les nations à nourrir et défendre la démocratie

$
0
0

 

Créé le 23 -09-2011 à 10 h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le vendredi 23 -09-2011 à  10 h05 | AFRIQUE REDACTION PAR : LA DIFFERENCE

Ban Ki-Moon



Le monde célèbre, mercredi 21 septembre, la Journée internationale de la paix sous le thème: « Paix et démocratie, faites-vous entendre». Pour le porte-parole de la Monusco, Madnodje Mounoubai, cette journée tombe à point nommé en RD Congo qui connaît une année électorale. «Les Congolais doivent savoir qu'il n'y a pas de paix sans démocratie et pas de démocratie sans paix », a-t- il lancé à l'occasion.

La Journée internationale de la paix a été instituée par l'Assemblée générale des Nations Unies en 1981. Et c'est en 2001 que cette instance a unanimement adopté la résolution 55/282, établissant le 21 septembre comme journée annuelle de non-violence et de cessez-le- feu.

S'inspirant du message du Secrétaire générai de l'ONU prononcé en marge de cet évènement, Madnodje Mounoubai appelle les Congolais à renforcer la démocratie dans le pays en vue d'obtenir une paix durable en cette année électorale.

Il déclare : «Il faut choisir la voie de la démocratie et la renforcer dans le pays pour qu'on ait une paix durable. C'est-à-dire, il faut tourner le dos aux violences, donner la chance au dialogue, aux échanges et aux discussions, et lorsque la période électorale arrive, il faudrait que toutes les couches du pays fassent entendre leurs voix en votant».

Paraphrasant le Secrétaire général de l'ONU, le porte-parole de la Monusco souligne que la notion de démocratie est l'une des notions fondamentales des Nations Unies, que la paix est déterminante pour les droits de l'homme, et que la démocratie offre des moyens de régler les différends et apporte l'espoir à ceux qui sont marginalisés en même temps qu'elle place le pouvoir entre les mains du peuple.

Monseigneur Kasanda pour « une paix réelle

A l'occasion de la célébration de cette journée internationale de la paix, l'évêque du diocèse de Mbuji-Mayi, Monseigneur Emmanuel Bernard Kasanda, appelle tous les acteurs politiques du Kasaï-Oriental à admettre les résultats des urnes afin de donner une, chance à la paix.

Selon Monseigneur Kasanda, une tension est déjà visible dans la province, à quelques semaines des élections législatives et présidentielle.

                                                                                                 Africatime.com

Communiqué de presse du CRCCF N° 22092011/03 relatif aux propos diffamatoires et stigmatisants de l’association SOS RACISME

$
0
0

 

Créé le 23 -09-2011 à 10 h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le vendredi 23 -09-2011 à  22 h05 | AFRIQUE REDACTION PAR : CRCCF


Aujourd’hui, les congolais sont stigmatisés par rapport à un communiqué à l’emporte pièce venant de SOS RACISME, traitant les congolais de violeurs, de brutes et de racistes vis-à-vis de la communauté tutsi rwandaise.

 

Ce communiqué sous entend que les congolais veulent importer le génocide sur le sol français.

Nous collectif des résistants combattants congolais de France, CRCCF en sigle, nous faisons un appel solennel et à l’éveil patriotique à nos partis politiques : UDPS, MLC, APARECO et tout autre parti d’opposition congolaise de se prononcer fermement sans détours sur l’opprobre que la communauté congolaise viens de subir.

 

A la lumière de ce communiqué de SOS RACISME, le CRCCF s’engage à traduire devant les juridictions judiciaires pour l’arbitrage de cet affront jeté de plein fouet sur notre communauté pacifique par rapport à son histoire.

 

Et nous rappelons à tout congolais de se lever comme un seul homme en soutenant cette action qui remettra notre Nation qui est la RDC à sa dimension de sous continent.

 

Le socle et la fondation de la RDC c’est le congolais lui-même.

La défense et la protection de l’intégrité du Congo c’est le patriotisme.

La partie ou la mort, nous vaincrons !

Je vous remercie

 

Licien D'ZATA

Porte parole du CRCCF

Sud-Kivu : Des éléments FDLR attaquent le village de Chambombo et emportent 60 vaches

$
0
0

 

 

Créé le 24 -09-2011 à 13 h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le samedi 24 -09-2011 à  13h05 | AFRIQUE REDACTION PAR : LE CLIMAT TEMPERE


Des vaches en pâturage dans les moyens plateaux de Bibokoboko, au Sud-Kivu. Un groupe de présumés combattants rwandais des Forces démocratiques pour la libération du Rwanda « FDLR » a emporté une soixantaine de vaches (NDLR: le prix d’une vache revient entre 400$US et 600$US), lors d’une attaque perpétrée, dernièrement à Chambombo, dans le territoire de Kalehe, au Sud-Kivu, affirme l’administrateur du territoire, Désiré Masumbuko.
Il ajoute que trois bergers ont été enlevés et plusieurs autres biens ont été pillés.
Les assaillants sont venus du parc de Kahuzi Biega. Les militaires du deuxième bataillon du 103e régiment basé à Kalehe sont à la poursuite des agresseurs, selon des sources proches du commandement des opérations militaires Amani leo.
La société civile de Kalehe, de son côté, indique qu’en plus des combattants des FDLR encore actifs dans la région, d’autres groupes armés notamment celui de «Nyatura» sont eux aussi à la base de nombreuses attaques contre des populations civiles dans les hauts plateaux de Kalehe.

Katanga : Eboulement dans la cité minière de Kipushi

$
0
0

 

Créé le 24 -09-2011 à 13 h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le samedi 24 -09-2011 à  13h05 | AFRIQUE REDACTION PAR : LE CLIMAT TEMPERE

 



Un mort, un blessé grave et un rescapé, c’est le bilan d’un accident d’éboulement qui s’est produit dernièrement, dans la cite minière de Kipushi, située à trente kilomètres de la ville de Lubumbashi, la carrière des graviers et moellons de Kipushi en face des installations puits cinq de la Générale des carrières et des mines en abrégé GECAMINES.
Ces trois jeunes gens d’environs 18 ans ont tété retrouvés ensevelis, alors qu’ils étaient à la recherche des graviers dans un puits de cinq mètres. Salva âgé de 17 ans a perdu la vie et les deux autres jeunes garçons ont échappé à la mort grâce à l’intervention des voisins de Salva venus au secours de ce dernier. L’un des responsables des creuseurs de la place soutient que les autorités de la cité, en collaboration avec des ONG locales et internationales, ont mené toutes les démarches possibles pour faire partir de ces carrières les femmes et les enfants, mais elles n’y parviennent pas, à cause de la situation sociale que vivent les habitants de cette cité minière.
Actuellement la famille de la victime ne sait pas auprès de qui se plaindre car beaucoup des messages avaient été lancés en son temps pour éviter le pire. En dépit de cet accident, d’autres creuseurs continuent d’y travailler paisiblement en attendant la relance de la mine de la cite de Kipushi.
                                                                                                          Jeef Tour

Six jeunes gens appréhendés avec des effets militaires à Kanyabayonga

$
0
0

 

Créé le 24 -09-2011 à 13 h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le samedi 24 -09-2011 à  13h05 | AFRIQUE REDACTION PAR : LE CLIMAT TEMPERE


Des éléments des Fardc ont appréhendé 6 jeunes gens détenant des effets militaires, la semaine dernière vers Bulotwa au Nord de la cité de Kanyabayonga. Sur place, des avis sont partagés au sujet des accusations portées contre ces jeunes gens. Des habitants de Kanyabayonga, joints au téléphone, sont unanimes à reconnaître que les 6 jeunes gens détenaient des effets militaires lors de leur interpellation par les éléments des Fardc. Ils avaient une arme et des uniformes militaires gardés dans un sac, ont indiqué des sources indépendantes.

 

 

Pour certains habitants, ces jeunes sont de présumés coupeurs des routes et allaient opérer sur le tronçon Kanyabayonga- Kayna long de 17kms. Pour d’autres, il s’agit des présumés Mai mai en partance vers une destination inconnue. Seuls les jeunes gens arrêtés ou les militaires, qui ont mis la main dessus, pourraient éclairer l‘opinion. Cependant tous les efforts, pour tenter de joindre les responsables militaires à Kasando afin d’obtenir leur version de faits, se sont avérés infructueux.
                                                                                             Evariste Mahamba

Des incendies font des dégâts dans le groupement de Bukoma à Rutshuru

$
0
0

 

Créé le 24 -09-2011 à 13 h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le samedi 24 -09-2011 à  13h05 | AFRIQUE REDACTION PAR : LE CLIMAT TEMPERE


Un incendie, déclaré à Nkwenda vendredi dernier après midi, a réduit en cendres 4 maisons d’habitation dans le territoire de Rutshuru, selon des sources concordantes. Les causes de cet incendie restent inconnues au niveau du groupement de Bukoma.

Ce drame est intervenu au lendemain d’une série d’autres incendies cette même semaine à Nkwenda où on a enregistrés 6 maisons incendiées. Et à Kinyandonyi, M. Elia Batangi, 17 ans, a été trouvé mort calciné dans sa maison au quartier Rusaka 4.
Surpris par l’éclairage, les voisins ont tenté d’intervenir sans succès. Tous les biens sont consumés, alors que les restes du corps du jeune homme ont été enterrés la même semaine à Kinyandonyi. On ignore encore la cause de ce désastre.
                                                                                              Evariste Mahamba

Des routes nouvellement réhabilitées en train d’être détruites

$
0
0

 

Créé le 24 -09-2011 à 13 h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le samedi 24 -09-2011 à  13h05 | AFRIQUE REDACTION PAR : LE CLIMAT TEMPERE

 



La province du Katanga est la seule en République Démocratique du Congo à connaître le boom minier et cela se justifie par le fait que celle-ci est très sollicitée par différents investisseurs venus de plusieurs horizons, intéressés pour la plupart au secteur minier et à la découverture des concessions minières.
Les activités d’exploitations des minerais, tel que le soulignent les techniciens en la matière, exigent le recours à l’utilisation des gros engins, soit pour creuser la terre lors de la découverture, afin de permettre le repérage des minerais enfouis et en même temps prévenir les risques, soit encore pour transporter ces produits miniers d’un site à un autre à l’état brut ou fini.
Jadis à l’époque coloniale le réseau routier au Katanga était préservé pour les véhicules des passagers et autres transporteurs des petits poids supportables par les routes. Les produits miniers et autres concentrés étaient, par contre, orientés par l’homme blanc vers la voie ferrée conçu pour cette fin. La Générale des carrières et des mines en abrégé GECAMINES, l’unique entreprise qui exploitait, ne se confiait qu’à la Société nationale de chemin des fers du Congo “SNCC”, pour éviter, tout d’ abord, des cas d’accidents, ensuite le contact de la population avec les ions contenus dans les produits miniers , qui gênent par moment la respiration lorsqu’ils sont transportés à l’air libre, passant par les longues artères de la ville avec comme conséquences les maladies telles que les cataractes, les malformations des enfants et généralement la destruction des routes. Or la GECAMINES se souciait de la protection de ses travailleurs et même des populations environnantes de peur d’être auteur de beaucoup des maux dont souffriront plus tard les habitants de la contrée.
Actuellement, il n’est un secret pour personne. Les chauffeurs des camions de grand tonnage traversent différentes villes et cités minières du Katanga, ainsi des quartiers résidentiels sans être inquiétés ou même interpellés. De Kolwezi via Likasi, Lubumbashi pour atteindre la cité frontalière de Kasumbalesa. L’inadéquation entre le poids des camions fréquentant les routes et le tonnage que celles-ci sont appelées à les supporter entraîne la dégradation anticipée de ces voies de communication. C’est le cas de la route Likasi-Lubumbashi ou Likasi-Kolwezi, de l’avenue Kilela-balanda, la route Lubumbashi-Kasumbalesa, et de celle qui mène de la capitale du Katanga à la cité minière de Kipushi, pour ne citer que celles-ci. La première citée, qui avait bénéficié du Financement de la Banque mondiale, a été construite par l’entreprise Malta Forrest.
A Lubumbashi par exemple, les camions de grand tonnage remplis des produits concentrés traversent le centre-ville en gênant parfois la circulation toute la journée. C’est à ce niveau que l’idée de feu Laurent-Désiré Kabila, selon laquelle «créer une ligne de transport appropriée aux gros engins en dehors de centres commerciaux et quartiers résidentiels pour les camions fortement surchargés, le transport des produits nocifs avec une finalité d’éviter le blocage ou embouteillage dans le transport en commun, afin de donner une longue vie au réseau routier» vaut tout son pesant d’or.
Les pays de l’Afrique australe comme la Zambie, l’Afrique du Sud ; bien que n’étant modèles, ont, néanmoins, réussi à maîtriser la politique et une bonne organisation de leur réseau routier où il existe des lignes réservées uniquement au transport des minerais et de grand tonnage, loin des villes et mêmes des quartiers d’habitations. Ces routes appelées également routes périphériques désengorgent les villes et mettent la population à l’écart de tous les dangers liés au transport des produits miniers concentrés. Ce qui n’est pas le cas en République Démocratique du Congo où quelques miniers se prévalent de leurs relations avec certains hauts dignitaires du pays pour mettre à coté le Code minier. Alors la population attend impatiemment de voir cette perle rare qui pourra donner le ton pour concrétiser la fameuse idée de Laurent-Désiré Kabila de créer des routes périphériques au Congo en général et dans la province du Katanga en particulier. Les physiciens n’ont-ils pas dit qu’à chaque action correspond une réaction égale et opposée. Ce principe est soutenu dans ce sens que plus un camion est fortement chargé plus il exerce une force de frottement sur le support (routes) et endommage de la plupart de nos routes.
                                                                                                          Jeef Tour


Des incendies font des dégâts dans le groupement de Bukoma à Rutshuru

$
0
0

 

 

Créé le 24 -09-2011 à 13 h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le samedi 24 -09-2011 à  13h05 | AFRIQUE REDACTION PAR : LE CLIMAT TEMPERE


Un incendie, déclaré à Nkwenda vendredi dernier après midi, a réduit en cendres 4 maisons d’habitation dans le territoire de Rutshuru, selon des sources concordantes. Les causes de cet incendie restent inconnues au niveau du groupement de Bukoma.

Ce drame est intervenu au lendemain d’une série d’autres incendies cette même semaine à Nkwenda où on a enregistrés 6 maisons incendiées. Et à Kinyandonyi, M. Elia Batangi, 17 ans, a été trouvé mort calciné dans sa maison au quartier Rusaka 4.
Surpris par l’éclairage, les voisins ont tenté d’intervenir sans succès. Tous les biens sont consumés, alors que les restes du corps du jeune homme ont été enterrés la même semaine à Kinyandonyi. On ignore encore la cause de ce désastre.
                                                                                              Evariste Mahamba

Epidémie du choléra : la situation se stabilise au CTC de Maluku

$
0
0

 

Créé le 24 -09-2011 à 13 h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le samedi 24 -09-2011 à  13h05 | AFRIQUE REDACTION PAR : LE POTENTIEL

 



Tous les moyens ont été mis en branle pour lutter contre l’épidémie du choléra dans la ville de Kinshasa. Parmi ces moyens, l’on note l’installation du Centre de traitement du choléra (CTC) à la commune de Maluku qui a constitué l’épicentre de la maladie. Grâce à une prise en charge correcte des malades, ce centre qui a accueilli 138 malades n’en compte plus que deux à l’heure actuelle.

Sur 138 malades accueillis au Centre de traitement du choléra de Maluku, aucun décès n’a été enregistré. Les six décès évoqués à Maluku ont eu lieu avant l’installation du CTC. A ce jour, le centre n’a que deux malades cholériques déjà convalescents, à savoir une sexagénaire provenant de l’îlot de Lukunga et un petit garçon âgé de trois ans.

Ce succès résulte d’une prise en charge correcte et gratuite des cas de choléra au sein de centre grâce à l’appui des partenaires dont l’OMS, l’Unicef et autres qui ont permis au gouvernement de mettre à la disposition du CTC des intrants nécessaires pour soigner les personnes touchées par le choléra. La Croix-Rouge a également été d’un grand apport pour avoir déployé ses volontaires sur le site en vue de transporter les malades au centre, sensibiliser la population et assainir des milieux où les cas se déclaraient. Les volontaires de la Croix-Rouge se sont aussi occupés de l’enterrement des morts en respectant les normes d’hygiène requises pour éviter la propagation de la maladie.

Sur le plan médical, le succès de la lutte est lié aussi au triage effectué au CTC dès l’arrivée du malade. « Le triage est très important, car s’il est de mauvaise qualité nous allons tuer les malades. Par le triage, les malades sont répartis selon la sévérité de leur déshydratation qu’on appelle Plan pour être pris en charge», a expliqué le coordonnateur du projet de lutte contre le choléra, Dr. Charles Kalambay. Selon lui, des malades de plan A sont ceux qui arrivent au centre sans déshydratation et ceux de plans B et C sont un peu déshydratés et sévèrement déshydratés.

Parlant de l’état des deux malades qui se retrouvaient en ce moment là au Centre, Dr. Charles Kalambay a fait savoir que la sexagénaire a reçu son traitement de sel de réhydratation orale (SRO) qui a bien évolué. Le petit garçon a été, quant à lui, admis au centre au Plan B. au deuxième jour de son traitement, l’enfant ne présentait plus les signes de déshydratation et fait moins de sel. « Si le malade arrête de vomir et de faire les selles liquides, il est transféré dans la salle de convalescence. De là il pourrait regagner sa maison après 8 heures d’observation», a-t-il précisé. Avant de souligner qu’outre, le lactage ringer et le SRO, il existe d’autres médicaments qu’on administre s’il y a complication. Dr. Charles Kalmbay a, par ailleurs, rassuré qu’une fois guéri du choléra, on devient immunisé, c’est-à-dire, qu’il n’a plus de risque de rechute. Toutefois, a-t-il poursuivi, à la sortie du Centre, un traitement d’entretien est remis à la personne qui vient d’être guérie. On lui remet aussi du Chlore et du savon pour désinfecter ses vêtements, son lit ou son environnement. « Tous les frais étant pris en charge par les partenaires, aucun malade reçu au CTC n’a payé un rond », a-t-il souligné quant au coût du traitement. A la question relative aux dispositions prises en perspective du départ des partenaires, Dr. Charles Kalambay a affirmé que des intrants suffisants seront laissés à la zone de santé de Maluku pour la prise en charge des cas. Aussi, a-t-il rassuré, que les médecins et les infirmiers de l’Etat ont été formés ainsi que tous les prestataires pour assurer la prise en charge des cas.

Sécurisation des élections en RDC - La République sud-africaine disposée à former 800 policiers congolais

$
0
0

 

 

Créé le 24 -09-2011 à 13 h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le samedi 24 -09-2011 à  13h05 | AFRIQUE REDACTION PAR : LE POTENTIEL



Une rencontre bipartite RDC-RSA présidée par le vice-Premier ministre, Adolphe Lumanu, a permis de savoir que la République sud-africaine est disposée à former quelque 800 policiers congolais pour la sécurisation des élections.

Dans le cadre de la coopération bilatérale entre la RDC et la République sud-africaine, le gouvernement de Pretoria se dit disposé à assurer la formation de 800 policiers congolais, en vue de sécuriser les opérations électorales de novembre prochain. Ce point a fait l’objet, le jeudi 22 septembre, d’une rencontre bipartite RDC-RSA présidée à Kinshasa, par le vice-Premier ministre en charge de l’Intérieur et de la Sécurité, Adolphe Lumanu, rapporte l’ACP.

Pour la source, cette formation sera donnée par les experts de la Police sud-africaine. D’après l’inspectrice adjointe de la Police de la République d’Afrique du Sud, le soutien de son pays sera d’ordre matériel et moral.

A noter que la bipartite RDC-RSA a duré deux jours, soit du 21 au 22 septembre 2011. Les travaux ont connu la participation active notamment, du côté congolais, de l’inspecteur général de la Police nationale congolaise (PNC), le général Charles Bisengimana, ainsi que de l’inspecteur provincial de la PNC/ville de Kinshasa, le général Jean de Dieu Oleko.

L’on se souviendra que le président de la Commission électorale nationale indépendante (CENI), Daniel Ngoy Mulunda, s’est entretenu tout récemment avec les ambassadeurs des pays africains accrédités en RDC. Le président de la CENI les a tenus informés de l’évolution du processus électoral concernant précisément l’élection présidentielle couplée avec les législatives nationales.

Saisissant cette opportunité, Daniel Ngoy Mulunda a sollicité l’appui des pays africains afin de faire face aux difficultés d’ordre logistique auxquelles la CENI est confrontée. Au cours de la même rencontre, l’ambassadeur sud-africain a laissé entendre que son pays est prêt à envoyer des instructeurs pour former les policiers congolais chargés de la sécurisation des candidats retenus pour l’élection présidentielle.

Quant au doyen du corps diplomatique, l’ambassadeur du Gabon, il a, pour sa part, émis le vœu de voir la classe politique congolaise mettre tout en œuvre pour préserver la paix sociale avant, pendant et après les élections. Avant d’indiquer que les ambassadeurs africains vont, en ce qui les concerne, informer les gouvernements de leurs pays respectifs, afin de pouvoir apporter le soutien à la réussite des prochaines élections.

Elections 2011 : La CENI publie la liste complémentaire des candidats à la députation nationale

$
0
0

 

Créé le 24 -09-2011 à 13 h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le samedi 24 -09-2011 à  13h05 | AFRIQUE REDACTION PAR : LE POTENTIEL



La CENI a rendu publique, hier vendredi 23 septembre, la liste complémentaire de candidats déclarés recevables aux législatives nationales pour les provinces du Katanga, Bandundu et Kasaï Oriental. Le bureau de la Commission électorale nationale indépendante (CENI) a publié, hier vendredi 23 septembre à Kinshasa, la liste complémentaire de candidats déclarés recevables à l’élection des députés nationaux pour les circonscriptions des provinces du Katanga, Bandundu et Kasaï Oriental. C’est ce qui ressort d’un communiqué de presse de cette institution d’appui à la démocratie.

Selon le rapporteur de la CENI, Matthieu Mpita, les Bureaux de réception et de traitement des candidatures (BRTC) ont enregistré 2.325 candidats dans la province du Bandundu, 2.255 au Katanga et 1.516 au Kasaï Oriental.

Il a, par la même occasion, rappelé aux candidats indépendants, des partis et regroupements politiques légalement constitués et ayant déposé des dossiers de candidatures aux législatives nationales pour les trois provinces que la période de dépôt de recours est fixée du 24 au 27 septembre 2011.

Le rapporteur de l’organe de gestion des élections a précisé à l’endroit des candidats députés de ces entités administratives que les recours en contestation de candidature sont à déposer devant la Cour suprême de justice.

 Doublons criminels

Saisissant cette opportunité, il est revenu sur la publication de la liste provisoire des candidats à la députation nationale pour les huit provinces, dont les dossiers sont déjà traités. Il s’agit du Bas-Congo (980 candidats) ; de l’Equateur (1.463 candidats) ; du Kasaï Occidental (1.304 candidats) ; Kinshasa (5.734 candidats) ; Maniema (325 candidats) ; Province Orientale (1259 candidats) ; Nord-Kivu (1.457 candidats) ; Sud-Kivu (879 candidats).

Pour l’ensemble de ces huit provinces, les statistiques dégagent un total de 13.401 candidats. Ajouter au nombre des dossiers déclarés recevables dans les circonscriptions électorales du Bandundu, Katanga et Kasaï Oriental, les BRTC ont enregistré jusque hier vendredi 23 septembre 19.497 candidats députés.

Répondant à la question relative aux contestations des candidats dont les dossiers étaient déclassés, le rapporteur Matthieu Mpita, a répondu que les BRTC ont décelé plusieurs cas de doublons criminels lors de la réception et le traitement des candidatures pour la députation nationale. « Il y a des candidats députés qui se sont inscrits pour le compte de deux partis politiques », a-t-il déploré. Avant d’ajouter : « Grâce à la vigilance et prudence de nos services, nous avons pu découvrir ces doublons ».

Ludi Cardoso

Impunité chronique

$
0
0

 

Créé le 24 -09-2011 à 13 h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le samedi 24 -09-2011 à  13h05 | AFRIQUE REDACTION PAR : LE POTENTIEL

 

L’impunité est un des grands obstacles au développement. Elle rend impossible l’équilibre économique. Elle ruine la qualité des écoles et des universités. Elle annule la productivité des entreprises publiques. Elle transforme les forces de l’ordre en danger pour l’ordre public et pour l’unité nationale. L’impunité enlève à l’Etat sa crédibilité, fait hésiter à lui apporter de l’aide. Ailleurs, on l’a compris. Ailleurs, on a changé. Ailleurs… On sanctionne.

Certes, on n’imagine pas un monde sans abus. Des abus existent dans tous les pays du monde, dans tous les domaines. On en trouve dans les finances publiques, dans les administrations, dans les armées, dans la gestion des entreprises. Mais une société est d’autant plus forte, productive et crédible, qu’elle arrive à réprimer vigoureusement et efficacement les abus.

Nous avons vu des abus poursuivis et condamnés dans certaines armées étrangères. Nous avons vu de très grandes sociétés industrielles obligées de compenser, à coup de milliards, les torts qu’elles avaient causés. Nous voyons d’anciens chefs d’Etat traduits en justice. On a même vu, outre-Atlantique, un chef d’Etat destitué par la justice de son pays. Nous sommes en train de vivre le revers que subissent certains chefs d’Etat à l’issue du « printemps arabe ».

Mais ici, on est toujours forcé de croire que cela n’arrive qu’aux autres. Voulez-vous prouver le contraire ? Pas facile. On devra en tout cas douter de la viabilité d’une société, et même d’un Etat, dans lequel une coalition, silencieuse mais efficace, se fait pour protéger l’impunité des plus grands malfaiteurs. Il semble qu’on continue de les chercher, cinq années durant, sans jamais les trouver. Sans jamais les traquer. Et pourtant ils sont là. Plausibles. Une fois on les déniche, ils ne sont jetés à Makala que pour un bref séjour trompe-l’œil. Pour le besoin de consommation extérieure.

Ces criminels « passe-partout » ne sont pas à chercher sur la planète Mars. On est cité dans tous les rapports de pillage des ressources naturelles de la RDC, on n’est jamais inquiété. On donne aux fonctionnaires un poulet pour quatre familles, personne n’est sanctionné. On refuse la mutation au sein des Forces armées, on est gratifié. On détourne le salaire des fonctionnaires, la solde des militaires et des policiers, on n’est pas interpellé. On donne de « faux » chiffres à son Autorité morale, on se perd dans les justifications. Ainsi de suite. Dans un tel système, où les abus ne sont jamais punis, qui va demander des comptes à qui, puisque tout le monde le fait.

Joseph Kabila Kanambe à la tribune de l’ONU à New York

$
0
0

Créé le 25 -09-2011 à 13 h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le dimanche 25 -09-2011 à  13h05 | AFRIQUE REDACTION PAR : ROGER BONGOS

 

Pourquoi Kabila se contredit souvent?
-il parle du respect de droit de l´homme alors que c´est lui le premier qui donne l´ordre d´assassiner, d´empoisonner et enlever les congolais et il les consomme.
-il parle de lutter contre la corruption alors que c´est lui le premier á corrompre: les militaires, ses députés MP, les pasteurs et les chefs coutumiers.
- il parle de la tolérance zéro alors que c´est lui le premier qui signe les décrets et lois et il est le premier á faire le contraire.
- il parle que la RDC est dans sa marche vers la modernisation alors que la situation devient pire qu´auparavant.
- il parle de la paix alors que c´ est lui qui occasionne le Rwanda d´envahir la RDC.
+ Quelle contradiction Mr Kabila! rendez-vous aux élections.

Lutundula

 

Le président Joseph Kabila Kabange, arrivé mardi à New York, aux Etats-Unis d’Amérique, a pris la parole hier jeudi, la nuit, du haut de la tribune de Ia66 session ordinaire de l’Assemblée générale des Nations Unies pour donner ta position de ta RDC sur les grandes questions d’actualité dans le monde.

Il a mis un accent particulier sur le renforcement de la démocratie comme en témoigne l’organisation des prochaines élections présidentielle et législatives, consacrant ainsi la fin de la première législature de la troisième République. Il a remercié la communauté internationale pour le soutien accordé au processus de démocratisation et l’a appelée à continuer d’épauler la RDC dans sa marche vers la modernisation. Les débats au cours de cette session ont notamment trait aux défis du terrorisme, à la lutte contre le VIH/sida et aux changement climatiques.


La requête de l’autorité palestinienne pour admettre la Palestine au titre d’Etat de l’ONU, la situation politique à Madagascar et de la Libye sont aussi au rendez-vous des discussions. D’ores et déjà le drapeau de CNT flotte à l’ONU en lieu et place de celui du pouvoir Kaddhafi. Dans le cadre de sa contribution aux rencontres de haut niveau, la République démocratique du Congo a fait connaître sa position en ce qui concerne la lutte contre le terrorisme lors d’un exposé fait lundi par le ministre des Affaires étrangères, Alexis Thambwe Mwamba. Tandis que le ministre de la Santé, Makwenge Kaput a planché sur la lutte contre le VIH/Sida et les autres maladies qui refont apparition en RDC.
                                                                                                                  LCT

PLUS PRESENT DANS LES MEDIAS QUE SUR TERRAIN - Essoufflement du PPRD les murs se lézardent, Boshab indexé

$
0
0

 

 



Plusieurs membres et anonymes du PPRD ne cachent pas leur inquiétude au sujet des départs de plusieurs de leurs camarades animateurs des instances dirigeantes de ce parti, et de la désunion au sein de la Majorité présidentielle ayant conduit à la rupture avec des personnalités politiques influentes. Ils estiment que le PPRD qui est le moteur de la MP n’a pas bien géré certaines situations que, pourtant, on pouvait surmonter. A moins de deux mois des élections générales, ils soutiennent que tous ces départs autour du Président Joseph Kabila ne vont pas manquer de provoquer l’émiettement de voix : ces personnalités et membres déçus de la MP et du PPRD avaient joué un rôle prépondérant aux élections de 2006.

Ayant passé au scalp tous les paramètres et dressé l’état de cette situation, ils sont arrivés à la conclusion selon laquelle des personnalités animateurs de la haute direction du PPRD seraient responsables de la désunion dans le camp présidentiel et prépareraient le lit de l’opposition. Pour donner le change, ils concoctent des projets et programmes électoraux sans ancrage populaire en s’appuyant sur les médias, au lieu d’aller vers les populations.


Revenant en arrière, ils affirment que le départ de Vital Kamerhe du camp présidentiel pouvait être évité si des personnes qui croient rendre un bon travail au Président Kabila, n’avaient barré la route à toute initiative de conciliation ; cela était possible puisque l’ancien président de l’Assemblée nationale manifestait son intention de rester au PPRD. Le départ de Vital Kamerhe avait sonné le glas de la cohésion de ce parti et ouvert la porte aux opportunistes qui n’ont idéologiquement rien apporté au PPRD.


Concernant la force de mobilisation du PPRI) et de la MP, ces membres du PPRD, très critiques, assurent qu’elle est nulle à l’heure actuelle; il n’existe pas un vivier des militants solidement acquis aux idées de base véhiculées par le camp présidentiel. Lors du dépôt de candidature du Président Joseph Kabila, la fameuse base de la Ligue des jeunes du PPRD et autres groupes se réclamant de la MP étaient invisibles; ceux qui étaient sur place étaient conduits sur le lieu par des promesses de récompense. Et Joseph Kabila a bien eu raison de postuler pour un nouveau mandat en candidat indépendant. De cette façon, il ne sera plus l’otage des personnes constituées en groupes d’intérêts pour leurs seuls intérêts politiques et prompts à renier toute responsabilité dans l’éventualité d’un échec.


Les mêmes membres du PPRD n’ont pas caché leur ressentiment à l’égard d’Evariste Boshab, secrétaire général du PPRD. Ils estiment que le président de l’Assemblée nationale n’a pas bien mené le parti : il n’a pas eu le temps de se consacrer aux détails de sa gestion et à la conduite de l’élaboration des plans stratégiques. Le PPRD est resté statique depuis le départ de Vital Kamerhe, affirment-ils. En voulant garder la haute main sur la direction de ce parti, il l’a condamné de ce fait même à l’immobilisme, à la gestion des événements, à réagir aux faits au lieu de créer des faits. Ce laxisme politique’ est difficile à surmonter ; il a ruiné bien des partis. Eux croyaient, pourtant, que le deuxième congrès allait être mis à profit pour la remise en question des problèmes du PPRD et, par ricochet, de la MP mais leurs attentes ont été déçues. Ils pensent qu’il n’est pas encore trop tard pour récupérer le terrain perdu en mettant à profit la désorganisation de l’opposition.


LES FOURNISSEURS MAFIEUX RECIDIVENT - Ex-RVM : un vrai faux document circule dans les médias

$
0
0

 

Créé le 25 -09-2011 à 11 h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le dimanche 25 -09-2011 à  11 h05 | AFRIQUE REDACTION PAR : LA FINANCE


Surprenant fac similé publié par un confrère de Kinshasa, dans son édition du mercredi 21 septembre dernier, attribué à l’ex-RVM et au Belge JOFFRA SHIPPING & TRADING comme acte transactionnel sur la cession du bateau Ngole Iliki.

 

 

A l’examen, ce fac similé est le résultat raté de falsification il est artistiquement nul. En effet, à l’article 9, alinéa 1, on voit clairement un blanc entre le mot néerlandais Van et le montant Euros 260.000. A bien regarder également, l’alignement n’est pas ajusté après le blanc, le chiffre ne suit pas l’horizontalité de la partie précédente de la phrase.


Et c’est gros pour passer sans être vu par des yeux experts d’artiste : c’est dans tous les cas un travail d’amateur fait à la hâte. Et à l’article suivant le 10, a été également altéré : une partie de la deuxième phrase a été «blanchi» pour faire croire à une mauvaise impression du document.


Par ailleurs, l’intérêt de l’article qu’accompagnait le fac similé est difficile à saisir mais on est étonné de voir qu’il soit annoncé à la vitrine ; l’on comprend que le ou les commanditaires de cet article tenaient à ce qu’il soit visible et être lu.
Pour des personnes au courant des attaques en règle subies en permanence par l’ex-RVM depuis un peu plus d’une année, les regards se tournent vers les fournisseurs qui prétendaient que l’ex-RVM leur est débitrice alors qu’ils n’ont rien fourni justifiant cette dette. Leurs prétendues créances ne reposent sur aucun soubassement ; elles n’ont aucune trace dans les Livres de l’entreprise puisque résultant des arrangements entre ces fournisseurs et des agents véreux à l’époque où cette société commerciale était une vache’ à lait des personnes rompues aux combines mafieuses. Avec la nomination en 2008 de gestionnaires issus du concours du COPIREP et la transformation juridique des entreprises du Portefeuille de laquelle résulte les prérogatives exorbitantes de leurs gestionnaires devenus seuls responsables de celles-ci devant la loi, et en application de la feuille de route du ministère du Portefeuille, tous les trous par où filaient les ressources financières des sociétés commerciales et autres entités publiques, sont hermétiquement bouchés. Et les mafieux nombreux dans ce pays ont vu dans la justice l’issue de leur survie ils achetaient les procès, soudoient les cours et tribunaux. Malheureusement pour ces gens disciples de l’argent facile, leur combine est éventée. Seuls les journaux continuent à leur offrir une tribune ; mais pour combien de temps encore?
                                                                                                       Les Finances

Katanga : un ancien ministre et membre influent du parti présidentiel se rend justice en confisquant des caméras d’une télévision

$
0
0


Créé le 25 -09-2011 à 13 h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le dimache 25 -09-2011 à  13h05 | AFRIQUE REDACTION PAR : LA PROSPERITE

 

Journaliste en danger (JED) est scandalisée par le comportement de M. Tshikez Diemu, ancien ministre de la Défense et membre influent du parti présidentiel, PPRD, qui a abusé de sa position pour confisquer deux caméras d’une chaîne privée de télévision.
Quelles que soient les récriminations de M. Diemu contre la Radio Télévision Musumba (RTM), JED considère qu’il ne revient pas à cet ancien ministre de se rendre justice en usant des voies de fait. JED demande par conséquent à M. Diemu de restituer sans délai le matériel ainsi confisqué, sans droit, ni qualité. Selon les informations recoupées par JED, Eddy Kapend et Paul Chises, cameramen à Radio Télévision Musumba (RTM), une chaîne communautaire émettant à Musumba, dans le territoire de Kapanga, à 600 Kms de Kolwezi, troisième ville de la province du Katanga, au sud-est de la RDC, ont vu leurs caméras arrachées, dimanche 18 septembre 2011, par M. Tshikez Diemu, ancien ministre, candidat député et membre du Parti du Peuple pour la Reconstruction et la Démocratie (PPRD, parti présidentiel). Les deux cameramen étaient partis filmer un meeting qu’a tenu M. Tshikez Diemu à sa résidence privée. A la fin du reportage, les deux professionnels des médias ont été dépouillés de leurs matériels de travail, composés des deux cameras et des bandes cassettes contenant l’enregistrement de ce meeting, par les gardes du corps de M. Diemu. Contacté vendredi 23 septembre 2011 par JED, Kapend a déclaré qu’ils étaient autorisés à réaliser le reportage par M. Tshikez.

« Après avoir confisqué nos caméras, M. Tshikez nous a dit qu’il voulait vérifier si nous avons enregistré toutes les questions que lui a posées la population au cours de ce rassemblement. Nous avons passé plus de six heures entrain d’attendre nos matériels. C’est vers 22 heures que M. Tshikez nous a demandé de revenir lundi matin (ndlr : 19 septembre 2011) récupérer nos caméras » a témoigné Kapend avant d’ajouter que ces caméras n’ont pas été restituées lundi comme promis sous prétexte que M. Tshikez était insulté par leur média. Joint au téléphone à son tour, M. Tshikez a déclaré que le samedi 17 septembre 2011 un journaliste a tenu sur les ondes de la RTM des propos discourtois à son endroit en demandant à la population de ne pas assister à son meeting qu’il a qualifié de distraction. « Ils ne récupéreront leurs caméras que si la RTM me présente les excuses sur ses ondes », a conclu M. Tshikez. M. l’abbé Jonas Mazez, coordonnateur ai de RTM a, quant à lui, déclaré que leur journaliste a tout simplement sensibilisé la population à voter utile en disant : « cette année, vous devez voter les hommes qu’il faut à la place qu’il faut ».

Grand écran : « Viva Riva ! » à l'affiche à Kinshasa

$
0
0

Créé le 25 -09-2011 à 13 h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le Dimanche 25 -09-2011 à  13h05 | AFRIQUE REDACTION PAR : LES DEPECHES DE BRAZZAVILLE

 



Les 21 projections réservées au polar de Djo Tunda wa Munga, du 22 au 30 septembre à la Halle de la Gombe, sont censées répondre à l'attente de bon nombre de cinéphiles kinois et brazzavillois. Les trois derniers jours ouvrables de cette semaine sont consacrés aux projections de Viva Riva !, dans la salle polyvalente de l'Institut français à raison de trois le jour, hormis le samedi où sont prévues deux séances. La semaine prochaine, par contre, les cinéphiles auront la latitude de choisir le jour qui leur conviendra le mieux car elles sont programmées du 26 au 30 septembre, pour un total de 14 projections.

Cette série de soirées cinéma, organisée d'affilée, marque la sortie congolaise du film. Elle intervient pratiquement quinze jours après celle qu'a connue la Belgique, le 7 septembre. L'occasion est belle car après son tournage réalisé entièrement dans cette ville, Kinshasa n'avait jusqu'alors eu droit qu'aux deux avant-premières organisées lors de l'inauguration de la salle polyvalente. Seules quelques personnes privilégiées avaient eu le droit d'assister à ces projections.

Après avoir fait le tour du monde et convaincu divers public, Kinshasa va pouvoir enfin à son tour découvrir Viva Riva ! S'il faut s'en tenir à l'énorme succès qu'il a récolté à travers le globe, le réalisateur pense que la capitale de la RDC ne saurait lui réserver un autre accueil. Néanmoins, il reste que le film va marquer le début d'une nouvelle ère dans le 7e art congolais. Il s'agit, rappelons-le, d'une première qui risque bien de demeurer dans les annales du cinéma local. Les réalisations habituelles passent pour de l'enfantillage face à ce thriller qui comporte des scènes de violence et de sexe à l'image des fictions occidentales. Jugé plutôt osé, le long métrage de Djo Munga, déconseillé aux enfants et réservé aux adultes, en avait pourtant choqué plus d'un lors de l'avant-première du 8 décembre dernier.
Si d'aucuns estiment que les considérations d'ordre culturel sont à prendre en compte, il n'en reste pas moins que Viva Riva ! a su conquérir les cœurs  même sur le terrain africain. La consécration qu'il a eue au dernier African Movie Academy Awards, le 27 mars à Yenagoa, au Nigeria, le confirme. Nominé dans douze catégories, le film avait carrément supplanté ses concurrents anglophones. Il a, au bout du compte, glané six prix à lui seul. Une performance à laquelle ne pouvait prétendre une réalisation francophone.

Nioni Masela


Photo : Une des séquences du film Viva Riva !

Football : Youssouf Mulumbu annonce sa retraite internationale

$
0
0

 

Créé le 25 -09-2011 à 13 h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le diamche 25-09-2011 à  13h05 | AFRIQUE REDACTION PAR : LES DEPECHES DE BRAZZAVILLE

 

Youssouf Mulumbu

Le milieu récupérateur de West Bromwich Albion, en Angleterre, pense avoir ainsi l'opportunité de prolonger sa carrière professionnelle, garantie de sa sécurité financière et celle de sa famille. Promu capitaine des Léopards par l'ancien sélectionneur, Robert Nouzaret, Youssouf Mulumbu (24 ans) a pris congé de l'équipe nationale de la RDC.

 

 

Le milieu récupérateur de West Bromwich Albion a signifié sa décision à la Fédération congolaise de football association (Fécofa) dans une correspondance datée du 19 septembre. En voici la teneur : «Messieurs, c'est avec regret que je vous écris pour vous informer de ma décision de me retirer du football international avec effet immédiat.

 

Cette décision a été prise après de longues discussions avec ma famille et mes conseillers médicaux. Je considère qu'en me retirant du football international, j'aurai maintenant l'opportunité de prolonger ma carrière professionnelle qui est une garantie pour ma sécurité financière et celle de ma famille. Ceci a été une décision extrêmement difficile à prendre pour moi. Je souhaite à vous et au reste de l'équipe grand succès pour le futur. Meilleures considérations.»

Par l'entremise du vice-président et coordonnateur des équipes nationales, Théobald Binamungu, la Fécofa a pris acte de la décision du joueur, indique-t-on. Les Léopards recevront donc les Lions indomptables du Cameroun sans Youssouf Mulumbu. Celui-ci n'a plus endossé le maillot de la sélection congolaise depuis le match gagné (3-0) contre les Dodos de Maurice, à Kinshasa. Notons-le, Youssouf Mulumbu avait déjà annoncé sa retraite internationale en 2009, mettant en cause à l'époque « le manque de professionnalisme des dirigeants de la Fécofa ». Mais il était revenu sur sa décision. Le revoilà prendre à nouveau congé de la sélection.

Né en France des parents congolais, Youssouf Mulumbu a honoré sa première convocation chez les Léopards le 5 février 2008 lors du match amical international entre la RDC et la France A' (0-0).
Formé au Paris Saint-Germain, il est passé par Amiens avant de relancer sa carrière à West Bromwich Albion en 2009 en D2. Il a été l'artisan de la montée du club en Premier League anglaise. Mulumbu a aussi été international français U20 en 2006 et U23 en 2007, avant d'opter pour le pays de ses parents.

Martin E. Mabada

Nettoyage du fichier électoral : 40% de doublons sont d'ordre technique et 60% d'origine criminelle

$
0
0

Créé le 25 -09-2011 à 13 h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE | Mis à jour le diamche 25-09-2011 à  13h05 | AFRIQUE REDACTION PAR : LES DEPECHES DE BRAZZAVILLE

 

CENI-RDC.jpg

 

Les statistiques ont été confirmées par le président de la Céni, au cours d'un échange avec les ambassadeurs des pays africains accrédités dans le pays. Au fur et à  mesure que se rapproche l'échéance du 28 novembre fixée pour les élections présidentielle et législatives, la Commission électorale nationale indépendante (Céni) est en bute à de sérieux problèmes de nature, si on n'y prend garde, à décrédibiliser le processus électoral. Outre la campagne précoce à laquelle se livreraient les candidats de la Majorité présidentielle (MP), elle aurait maille à partir avec l'opposition qui tient absolument à auditer le fichier électoral.

Au cours d'une rencontre organisée dernièrement à l'hôtel Memling entre le bureau de la Céni et les partis politiques de l'opposition, Daniel Ngoy Mulunda a mis un bémol quant à l'idée d'ouvrir le serveur central de son institution à la seule opposition. Le président de la Céni tient à ce que la MP désigne également ses experts pour travailler en synergie avec leurs collègues de l'opposition de sorte à minimiser les éventuelles contestations.

Entre-temps, l'opposition qui a déjà désigné ses délégués attend que la Céni, encore hésitante, lui renvoie l'ascenseur. En faisant de l'audit du fichier électoral la condition sine qua non pour signer le code de bonne conduite, l'opposition bloque la Céni qui a tout intérêt à poursuivre le dialogue afin d'aboutir à un compromis devant garantir la tenue des élections réellement libres et transparentes.  À ce propos, il a été révélé qu'à l'issue de l'opération de révision du fichier électoral, 119 000 doublons ont été détectés par l'organe de gestion des élections.

Abordant la question lors de l'entretien qu'il a eu avec les ambassadeurs des pays africains accrédités en RDC, le président de la Céni était on ne peut plus clair: «Les doublons techniques sont évalués à 40 %, tandis que les doublons criminels, provoqués par des personnes qui se sont fait enrôler plus d'une fois, sont à 60% ». Daniel Ngoy Mulunda a indiqué que son institution se préparait à déposer, en octobre, les doublons criminels à la justice congolaise afin de sanctionner les auteurs de cette balourdise.

À deux mois des élections, des difficultés d'ordre logistique continuent à se poser avec acuité dans le pilotage du processus électoral. Tel est le cas des pannes fréquentes des machines qui obligent souvent la Céni à passer de nouvelles commandes. À ce sujet, il nous revient que le gouvernement avait débloqué huit millions de dollars américains pour l'affrètement des avions devant transporter le matériel électoral commandé en Chine (97 tonnes de kits électoraux) au Liban et en Allemagne. Ces kits électoraux arrivent à compte-goutte, obligeant parfois le président de l'institution à se mouvoir dans les capitales concernées pour s'assurer de leur convoyage.

« Nous nous employons à répondre aux attentes de la classe politique congolaise », a déclaré Daniel Mulunda qui estime que son institution est sur la bonne voie, nonobstant les quelques faiblesses inhérentes à toute œuvre humaine. 

Alain Diasso

Viewing all 14381 articles
Browse latest View live




Latest Images