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Channel: AFRIQUE REDACTION . L'information en continu ! Afrique au cœur de l’actualité...Infos News sur la RDC, les brèves de la dernière minute. Synthèse sur l’actu internationale. rdcongo-kinshasa, Nord et Sud KIVU, Kinshasa, Bas Congo, Dongo, Equateur, Maniema, Lubumbashi, les deux Kasai. Rédacteur en Chef : BONGOS Roger
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La France s’oppose à la réduction des effectifs de la Monusco

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Créé le 21 -05-2011 à 00h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le samedi    21- 05-2011 |  11h32 | AFRIQUE REDACTION  PAR : LE POTENTIEL



La France a exprimé son opposition au vœu de l’ONU de réduire les effectifs des troupes de la Monusco, déployés depuis une dizaine d’années en RDC. Paris redonne de la voix sur la situation en République démocratique du Congo. Alors que l’insécurité règne encore dans de nombreuses régions du pays et notamment à l’Est de la RDC la France s’oppose à la réduction des effectifs de l’ONU sur le terrain à moins de 6 mois de l’élection présidentielle.

Le porte-parole du ministère français des Affaires étrangères, Bernard Valero, ne juge pas appropriée la réduction de la taille de la Mission des Nations unies pour la République démocratique du Congo alors que le pays doit organiser des élections générales en novembre prochain. En 2010, les effectifs des casques bleus ont déjà décru d’environ 2 000 hommes, sous la pression de Kinshasa. Selon la France, la MONUSCO sera appelée à apporter un appui logistique à l’organisation des élections congolaises en plus de sa contribution à la sécurisation de l’Est du pays.

Pour Bernard Valero, « il importe dans ces conditions que la Monusco dispose des effectifs nécessaires à la protection des civils. La France rappelle qu’elle sera attentive aux conditions d’organisation de ces élections qui devront être libres, transparentes, apaisées et crédibles ». Une bonne nouvelle pour les ONG, la Société civile et les organisations des droits de l’Homme congolaises qui militaient de longues dates pour le maintien, voire le renforcement dans certaines zones, des casques bleus en RD Congo.

Pour rappel, tout récemment, l’Assemblée nationale française a organisé un forum sur les élections en RDC. La première table ronde consacrée aux prochaines élections générales en RD Congo a sans doute été le moment fort du colloque « Elections sous haute tension », co-organisé par le député écologiste, Noël Mamère, à l’Assemblée nationale à Paris.

Autour de la journaliste de RFI, Ghislaine Dupont, le Congolais Paul Nsapu Mukulu de la FIDH et président de la Ligue des électeurs de RDC, François Peyrecave, du ministère des Affaires étrangères, et Alain Délétroz, vice-président de l’International Crisis Group. L’ONG américaine vient de publier un rapport très inquiétant sur l’impréparation et le manque de transparence de futures élections congolaises. International Crisis Group dénonce des élections « bâclées » qui pourraient « déraper dans la violence ».

A l’Assemblée nationale, le vice-président d’ICG, Alain Délétroz, a indiqué que le calendrier électoral « très en retard » était « à la limite de la faisabilité ». L’ONG plaide pour « un accord sur un plan B » entre majorité et opposition, en cas de report du scrutin. Ecoutez les explications du vice-président de International Crisis Group.

Co-organisateur du colloque, le député français Noël Mamère a souhaité sensibiliser la classe politique française et les médias à la situation dramatique de la République démocratique du Congo. Le député écologiste désire une implication plus forte de la France et de l’Union européenne en RDC, notamment dans l’organisation de prochaines élections.

Egalement présent au colloque à Paris, le général Pierre-Marie Joana, commandant de l’Eusec en RDC entre 2005 et 2008, a dressé un triste état des lieux de l’armée congolaise. Pierre-Marie Joana, aujourd’hui à la retraite, a estimé que la RDC n’a pas les moyens suffisants pour entretenir son armée, composée de 130.000 hommes.


Sénat : débat autour du rapport de la commission sur le projet de loi des Finances publiques

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Créé le 21 -05-2011 à 00h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le samedi    21- 05-2011 |  11h32 | AFRIQUE REDACTION  PAR : LE POTENTIEL

 



Le Sénat réuni vendredi en séance plénière a écouté le rapport de la commission portant sur le projet de loi des Finances publiques en RDC. Ce rapport a donné lieu à un débat qui permettra à la commission d’améliorer son texte.

La commission économique, financière et de la bonne gouvernance renforcée de celle en charge des relations avec les Assemblées provinciales, a présenté hier vendredi 20 mai, devant la plénière du Sénat dirigée par son président, Léon Kengo wa Dondo, le rapport de l’examen du Projet de loi sur les Finances publiques. Il s’agit d’un rapport technique très volumineux sur la loi qui compte plus de deux cent trente articles et qui a donné lieu à un débat pertinent.

L’économie de ce texte fait observer que la gestion des finances publiques congolaises s’effectue actuellement dans un cadre juridique et institutionnel inadapté au contexte de la Constitution de février 2006, prônant notamment la décentralisation. Elle souligne que cette gestion qui tient compte de certaines innovations induites par les réformes mises en œuvre depuis 2002 par le gouvernement, principalement en ce qui concerne les intervenants dans la chaîne de la dépense, le report des crédits d’une année sur l’autre et les nomenclatures budgétaires de dépenses et de recettes, n’est plus en phase avec ladite loi financière. D’où, la nécessité de moderniser cette loi financière pour tenir compte des dispositions de la Constitution, de formaliser les réformes entamées et d’envisager toutes les perspectives d’une gestion moderne des Finances publiques.

La présente loi se caractérise par des innovations majeures qui sont : l’organisation en un seul texte, des lois de finances, des budgets des provinces et des entités territoriales décentralisées ; la budgétisation fondée sur une logique de résultats au moyen de budgets programmes ; l’approche budgétaire pluriannuelle ; la prise en compte de la décentralisation ; la redéfinition des budgets annexes et l’instauration des comptes spéciaux ; l’unité de caisse et l’unité de trésorerie.

LE DEBAT


Exprimant leurs préoccupations au cours du débat ouvert par le président Kengo, les sénateurs ont fait observer certaines incohérences contenues dans le texte et demandé au président de la commissions de s’expliquer tandis que d’autres ont promis des amendements afin d’enrichir le texte présenté.

Parmi une dizaine de sénateurs qui ont pris la parole, le sénateur Mondole a fait voir qu’il existe plusieurs coquilles dans le rapport de la commission, tout en cherchant à savoir aussi si l’Edit budgétaire était la même chose que la décision budgétaire. Pour lui, on ne voit pas dans le rapport le rôle du Parlement concernant le contrôle des recettes de l’Etat. Quant au sénateur Nimy Romain, il ne voit pas pourquoi le rapport ne parle pas de la révision des comptes alors l’exécution d’un budget doit être précédée par l’évaluation de l’exécution du budget précédent. Le sénateur Henri-Thomas Lokondo a fait part de ses préoccupations concernant l’intitulé du texte qui permet d’identifier le texte, en proposant que la loi financière qui signifie tout simplement le budget, devrait être intitulé loi sur la gestion budgétaire des Finances publiques.

Il a aussi fait observer que le renforcement du pouvoir de contrôle parlementaire des recettes de l’Etat et a posé la question de savoir pourquoi la commission instaure deux régimes de sanctions aux niveaux provincial et national.

Selon lui, le rapport énerve la Constitution en rapport avec le pouvoir central et le pouvoir provincial sur le plan de la décentralisation. D’autres sénateurs ont aussi donné leurs observations afin de permettre à la commission d’enrichir le texte qui sera soumis prochainement à la plénière.

Le phénomène kuluna prend de l’ampleur à Kinshasa

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Créé le 21 -05-2011 à 00h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le samedi    21- 05-2011 |  11h32 | AFRIQUE REDACTION  PAR : LE POTENTIEL

 



Plus de dix cas de cambriolage, deux vols à main armée et deux meurtres ont été enregistrés le week-en du 7 au 8 mai à travers la capitale congolaise, selon des sources policières. Donc, le phénomène kuluna se porte bien et prend de plus en plus de l’ampleur dans la ville de Kinshasa, ce qui inquiète nombre de Kinois. Il n’est pas bon de se promener avec un sac, des bijoux ou de l’argent sur soi dans certaines rues de la ville. Des bandes de jeunes gens, armés de machette ou d’armes à feu, s’organisent pour dépouiller les paisibles citoyens qui commettent le péché de se retrouver dans la rue en même temps qu’eux.

En cas de résistance, ces gangs n’hésitent pas d’exécuter leurs victimes. Dimanche matin, un jeune homme est retrouvé mort dans la commune de Bandalungwa, abattu par des inconnus. Dans la nuit de vendredi à samedi, un autre jeune est tué au cours d’une bataille rangée entre gangs rivaux de Ngaba et de Lemba. Samedi matin, un étudiant de l’Université de Kinshasa (Unikin) a été attaqué et dépouillé de ce qu’il avait comme argent sur lui, 2 000 francs congolais (plus de 2 USD), non loin de la maison communale de Ngaba. Le même jour, dans la soirée, c’est une journaliste de la RTNC qui est tombée entre les mains d’une bande de jeunes armés de machettes et barres de fer à Matete. Blessée, l’infortunée a eu la vie sauve après avoir lâché son sac et tout son contenu.

Le bourgmestre de cette commune, Gaylon Ngaybene, s’est dit inquiet face à l’ampleur de l’insécurité dans sa municipalité et surtout de l’impunité dont jouissent ces hors-la-loi. «Notre étonnement a toujours été de constater que deux jours après, la personne mise en liberté vient même nous narguer à la commune», a déclare le chef de l’adminitration communale de Matete. Pour cette autorité municipale, l’éradication du phénomène kuluna passe par le renforcement des capacités de la police, mais aussi par des sanctions exemplaires à l’endroit des auteurs de crimes. Entre-temps, les victimes et leurs proches sont désemparés. Tel est le cas du père de cet étudiant attaqué à Ngaba qui se demande s’il ne faut pas accuser l’Etat congolais de non assistance à personne en danger.

Le Royaume-Uni disposé à accompagner la RDC dans sa phase de reconstruction

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Créé le 21 -05-2011 à 00h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le samedi    21- 05-2011 |  11h32 | AFRIQUE REDACTION  PAR : ACP

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Goma - Le gouvernement du Royaume-Uni est disposé à accompagner la République Démocratique du Congo dans la phase de sa reconstruction, en plus des efforts visant la consolidation de la paix, a déclaré mardi 17 mai à Goma, le Sénateur David Chidgey, membre du groupe parlementaire britannique en charge de la région des Grands lacs africains.

Lord David Chidgey qui était reçu, pour des civilités, par le Gouverneur de la Province du Nord-Kivu en sa résidence officielle, a garanti également l’appui du Royaume-Uni à l’organisation en cours, des élections. Il s’est dit convaincu des progrès réalisés par la RDC sur le chemin de la démocratie tout en signifiant que la tenue des élections sanctionnant le deuxième mandat constitue un signe positif.

« Le Royaume Uni est classé parmi les grands bailleurs de fonds de la RDC », a révélé Lord David Chidgey qui s’est dit confiant de « l’avenir radieux de ce pays au regard des opportunités de développement qu’il offre ». Le Parlement britannique  s’est  déjà mis d’accord pour un énorme programme de soutien à la République Démocratique du Congo pendant les années à venir, a dit  l’hôte du Gouverneur Julien Paluku. Selon lui, au terme de leurs échanges les possibilités de rentabiliser le secteur minier au profit de la communauté ont été également examinées.

FDLR: Une épine dans les élections ?

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Créé le 21 -05-2011 à 00h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le samedi    21- 05-2011 |  11h32 | AFRIQUE REDACTION  PAR : LA REPUBLIQUE

 



Il n’aura pas fallu plusieurs mois avant que les éléments des Forces Démocratiques pour la Libération du Rwanda (FDLR) ne donnent la mesure de leur capacité de nuisance au processus électoral en cours. Mercredi 18 mai dernier, en effet, deux agents de la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI), ont été victimes d’une attaque armée de ces forces rebelles.
 La source de la MONUSCO – qui cite la confirmation des sources militaires congolaises – les deux agents, dont un contrôleur technique, revenaient de Kilembwe à bord d’une moto lorsqu’ils ont été attaqués à Namisha, à 17 kilomètres au sud de Fizi-centre dans la province du Sud-Kivu.

Une attaque symbolique


 Au cours de l’attaque, les deux agents avaient été délestés de plusieurs de leurs biens dont un téléphone satellitaire, un téléphone cellulaire et de l’argent. Le commandant des Forces Armées de la République Démocratique du Congo (FARDC) du 105eme régiment, le colonel Opia, a affirmé avoir lâché ses hommes pour la poursuite des assaillants qui auraient gagné la forêt de Ngandja, en direction du lac Tanganyika. Les membres de la société civile ont recommandé, à l’issue d’une réunion du conseil de sécurité, tenue à Baraka le mercredi 18 mai, que soient renforcées des patrouilles mixtes FARDC-Police et les casques bleus de la MONUSCO.

 Sans constituer une véritable menace contre la sécurité du pays et celle de leur pays d’origine, les FDLR ne constituent pas moins une sérieuse menace au bon déroulement des opérations électorales en cours dans la partie Est de la RDC. Evidemment la portée de leur action sur l’ensemble des scrutins reste marginale, mais l’on ne saurait se taire devant une aventure qui soustraie des citoyens de leur droit d’opérer librement le choix de leurs dirigeants. Voilà qui justifie le plaidoyer des autorités politiques congolaises pour la neutralisation de ces forces déclarées négatives par la communauté internationale.

 Outre l’appui logistique obtenu des Casques bleus de la MONUSCO, le Congo Démocratique semble orphelin dans cette âpre bataille contre un ennemi ayant solidement déployé ses tentacules dans les sinueuses forêts et montagnes des Kivu. Qui plus est, a réussi une osmose avec les populations locales dont les relations se cristallisent également dans les liens de sang à travers des mariages. Une épine résiduelle que seul un effort local peut extirper ; quitte au gouvernement congolais à bénéficier d’une assistance financière conséquente de partenaires traditionnelles, notamment les Nations unies. En raison de sa flexibilité certes, la rébellion rwandaise a défait toutes les prétentions des autorités militaires de Kigali, voire les timides tentations des éléments de la MONUC (aujourd’hui MONUSCO).

Du maintien de la paix à la reconstruction

 Kinshasa aura-t-il été entendu lors des dernières assises de New York où le Conseil de sécurité s’est penché sur le mandat et l’avenir de Mission onusienne en RDC. Au cours de ces travaux, le secrétaire général de l’ONU a plaidé pour plus d’implication de l’organisation mondiale dans la consolidation de la paix, l’établissement d’un Etat de droit et la bonne gouvernance en RDC. Cela passe, selon Ban Ki-Moon, par une assistance technique et logistique au profit des prochaines joutes électorales au pays. Selon lui, la réussite de ces élections cimentera davantage les acquis du processus de pacification instauré en RDC par la communauté internationale.

 Sur ce pilier justement s’appuie l’argumentaire du délégué de la RDC à ces assises pour rappeler le souhait du gouvernement congolais de voir la MONUSCO faire ses valises. Raymond Tshibanda, ministre congolais de la Coopération internationale, a insisté sur la fin des opérations militaires sur le territoire congolais. Et que, ce faisant, l’exécutif national congolais attend plutôt plus d’assistance financière pour l’aider à prendre en charge les besoins de déploiement des opérations de police et de ratissage dans certains sites d’insécurité.

 Cette position du gouvernement congolais nourrit des conjectures et des désapprobations dans maintes sphères de la diplomatie comme dans une certaine opinion nationale. Les uns et les autres tiennent à la présence des Casques bleus et jugent le gouvernement de la République aveugle devant la menace que représentent les rebellions ougandaises (ADF-NALU, LRA), rwandaises (INTERHAMWE, FDLR), ainsi que de milices locales. Mais les Congolais ont-ils conscience que la reconstruction du pays ne saurait être assujettie à l’éradication totale de ces forces négatives ? Auquel cas, il faudrait attendre plus d’une décennie encore avant d’entreprendre la moindre action de développement du pays.

 Sans lâcher prise sur la traque de ces aventuriers, le souhait du gouvernement reste ainsi de sortir avec ses partenaires du programme de maintien de la paix pour passer à celui de la reconstruction des infrastructures de base pour le développement du pays. Perd-on de vue que maints pays prennent de l’ascenseur en même temps qu’ils font face à des confrontations armées ? La RDC n’aurait-elle pas le droit de conjuguer les deux impératifs concomitamment ?

Un détenteur de 5 cartes d’électeur dans les filets de la police à Kananga

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Créé le 21 -05-2011 à 00h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le samedi    21- 05-2011 |  11h32 | AFRIQUE REDACTION  PAR : ACP

 




Kananga - Un homme d’une vingtaine d’années non autrement identifié,  a été arrêté par les éléments de la Police nationale congolaise (PNC) avec  cinq cartes d’électeur établies en son nom dans de différents centres d’inscription à Kananga, province du Kasaï occidental,  a appris l’ACP d’une source policière. 


L’incivique a été surpris au cours de l’opération de révision du fichier électoral au moment où il tentait de poursuivre sa salle besogne  dans un centre basé au camp de la SNCC dans cette ville. Une enquête judiciaire est en cours pour démanteler  le  réseau.

Révision du fichier électoral: La CENI redouble d’efforts et confond ses détracteurs

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Créé le 21 -05-2011 à 00h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le samedi    21- 05-2011 |  14h52 | AFRIQUE REDACTION  PAR : LE LA REPUBLIQUE

 




Comme nous l’avons annoncé le lundi 16 mai 2011, l’opération de révision du fichier électoral à Kinshasa avance certes timidement mais sûrement et très bientôt, celle-ci va atteindre sa vitesse de croisière avec la réception de nouveaux kits électoraux. Contrairement à l’agitation somme toute injustifiée qu’on remarque dans les rangs des opérateurs politiques de l’opposition, la CENI redouble d’efforts et ses détracteurs, à moins qu’ils soient malhonnêtes en refusant de voir, seront bientôt confondus.

Comme nous l’avons annoncé le lundi 16 mai 2011, l’opération de révision du fichier électoral à Kinshasa avance certes timidement mais sûrement et très bientôt, celle-ci va atteindre sa vitesse de croisière avec la réception de nouveaux kits électoraux. Contrairement à l’agitation somme toute injustifiée qu’on remarque dans les rangs des opérateurs politiques de l’opposition, la CENI redouble d’efforts et ses détracteurs, à moins qu’ils soient malhonnêtes en refusant de voir, seront bientôt confondus.

 Notre optimisme est dicté par la réception de nouveaux kits électoraux par la Commission Electorale Nationale Indépendante. Ces 1.200 nouveaux kits s’ajoutent aux 300 reçus auparavant, en complément des 1.500 financés par l’Exécutif national. Et, avec la création de 2.000 centres d’inscription additionnels, on est en droit d’affirmer que la vitesse de travail de l’opération en cours va connaître une réelle amélioration.

 Quant à ces centres d’inscriptions additionnels, leur répartition se présente comme suit :
Province du Katanga : 417,
Equateur : 295,
Nord-Kivu : 279,
Sud-Kivu : 268,
Bandundu : 226,
Kasaï-Oriental : 223,
Kasaï-Occidental : 171 et
Province Orientale : 121 centres.
 Avec 3.304.396 et 2.003.047 électeurs enregistrés sur respectivement 4.241.326 et 2.457.453 électeurs attendus, les provinces du Katanga et du Kasaï Occidental ont atteint 78% et 82% des résultats à atteindre. La CENI a toutes les raisons d’espérer en dépit des impondérables liés à la technique.

 Le tableau ci-dessous établi le mardi 18 mai 2011 démontre suffisamment le travail abattu par les opérateurs de la CENI qui travaillent selon les délais ci-après :
Katanga et Kasaï Occidental : du 9 mars au 6 juin 2011,
Bandundu, Equateur, Kasaï Oriental, province Orientale, Nord-Kivu et Sud-Kivu : du 2 avril au 1er juillet 2011 et
Kinshasa : du 7 mai au 5 juillet 2011.
 Il y a de quoi attendre dans la sérénité la plus absolue les résultats que le peuple congolais tout entier espère et attend.

FDLR: Une épine dans les élections ?

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Créé le 21 -05-2011 à 00h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le samedi    21- 05-2011 |  14h59 | AFRIQUE REDACTION  PAR : LE LA REPUBLIQUE



Il n’aura pas fallu plusieurs mois avant que les éléments des Forces Démocratiques pour la Libération du Rwanda (FDLR) ne donnent la mesure de leur capacité de nuisance au processus électoral en cours. Mercredi 18 mai dernier, en effet, deux agents de la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI), ont été victimes d’une attaque armée de ces forces rebelles.
 La source de la MONUSCO – qui cite la confirmation des sources militaires congolaises – les deux agents, dont un contrôleur technique, revenaient de Kilembwe à bord d’une moto lorsqu’ils ont été attaqués à Namisha, à 17 kilomètres au sud de Fizi-centre dans la province du Sud-Kivu.

Une attaque symbolique


 Au cours de l’attaque, les deux agents avaient été délestés de plusieurs de leurs biens dont un téléphone satellitaire, un téléphone cellulaire et de l’argent. Le commandant des Forces Armées de la République Démocratique du Congo (FARDC) du 105eme régiment, le colonel Opia, a affirmé avoir lâché ses hommes pour la poursuite des assaillants qui auraient gagné la forêt de Ngandja, en direction du lac Tanganyika. Les membres de la société civile ont recommandé, à l’issue d’une réunion du conseil de sécurité, tenue à Baraka le mercredi 18 mai, que soient renforcées des patrouilles mixtes FARDC-Police et les casques bleus de la MONUSCO.

 Sans constituer une véritable menace contre la sécurité du pays et celle de leur pays d’origine, les FDLR ne constituent pas moins une sérieuse menace au bon déroulement des opérations électorales en cours dans la partie Est de la RDC. Evidemment la portée de leur action sur l’ensemble des scrutins reste marginale, mais l’on ne saurait se taire devant une aventure qui soustraie des citoyens de leur droit d’opérer librement le choix de leurs dirigeants. Voilà qui justifie le plaidoyer des autorités politiques congolaises pour la neutralisation de ces forces déclarées négatives par la communauté internationale.

 Outre l’appui logistique obtenu des Casques bleus de la MONUSCO, le Congo Démocratique semble orphelin dans cette âpre bataille contre un ennemi ayant solidement déployé ses tentacules dans les sinueuses forêts et montagnes des Kivu. Qui plus est, a réussi une osmose avec les populations locales dont les relations se cristallisent également dans les liens de sang à travers des mariages. Une épine résiduelle que seul un effort local peut extirper ; quitte au gouvernement congolais à bénéficier d’une assistance financière conséquente de partenaires traditionnelles, notamment les Nations unies. En raison de sa flexibilité certes, la rébellion rwandaise a défait toutes les prétentions des autorités militaires de Kigali, voire les timides tentations des éléments de la MONUC (aujourd’hui MONUSCO).

Du maintien de la paix à la reconstruction

 Kinshasa aura-t-il été entendu lors des dernières assises de New York où le Conseil de sécurité s’est penché sur le mandat et l’avenir de Mission onusienne en RDC. Au cours de ces travaux, le secrétaire général de l’ONU a plaidé pour plus d’implication de l’organisation mondiale dans la consolidation de la paix, l’établissement d’un Etat de droit et la bonne gouvernance en RDC. Cela passe, selon Ban Ki-Moon, par une assistance technique et logistique au profit des prochaines joutes électorales au pays. Selon lui, la réussite de ces élections cimentera davantage les acquis du processus de pacification instauré en RDC par la communauté internationale.

 Sur ce pilier justement s’appuie l’argumentaire du délégué de la RDC à ces assises pour rappeler le souhait du gouvernement congolais de voir la MONUSCO faire ses valises. Raymond Tshibanda, ministre congolais de la Coopération internationale, a insisté sur la fin des opérations militaires sur le territoire congolais. Et que, ce faisant, l’exécutif national congolais attend plutôt plus d’assistance financière pour l’aider à prendre en charge les besoins de déploiement des opérations de police et de ratissage dans certains sites d’insécurité.

 Cette position du gouvernement congolais nourrit des conjectures et des désapprobations dans maintes sphères de la diplomatie comme dans une certaine opinion nationale. Les uns et les autres tiennent à la présence des Casques bleus et jugent le gouvernement de la République aveugle devant la menace que représentent les rebellions ougandaises (ADF-NALU, LRA), rwandaises (INTERHAMWE, FDLR), ainsi que de milices locales. Mais les Congolais ont-ils conscience que la reconstruction du pays ne saurait être assujettie à l’éradication totale de ces forces négatives ? Auquel cas, il faudrait attendre plus d’une décennie encore avant d’entreprendre la moindre action de développement du pays.

 Sans lâcher prise sur la traque de ces aventuriers, le souhait du gouvernement reste ainsi de sortir avec ses partenaires du programme de maintien de la paix pour passer à celui de la reconstruction des infrastructures de base pour le développement du pays. Perd-on de vue que maints pays prennent de l’ascenseur en même temps qu’ils font face à des confrontations armées ? La RDC n’aurait-elle pas le droit de conjuguer les deux impératifs concomitamment ?


Les agents de l’OCPT/Bukavu verrouillent les portes du bâtiment de l’hôtel des postes Samedi, 21 Mai 2011 12:23 0 Commentaires Envoyer Bukavu — Les agents de l’Office congolais des postes et

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Créé le 21 -05-2011 à 00h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le samedi    21- 05-2011 |  15h02 | AFRIQUE REDACTION  PAR : LE ACP




Bukavu — Les agents de l’Office congolais des postes et télécommunications (OCPT) de Bukavu ont verrouillé jeudi, à l’appel de leur délégation syndicale, les portes d’entrée et de sortie de l’hôtel des postes, pour réclamer du gouvernement provincial, principale locataire du bâtiment, des arriérés locatifs de douze mois.

Cette action syndicale a perturbé le fonctionnement des services logés dans ce bâtiment dont la RTNC, la représentation de la CENI et quelques ministères provinciaux. Les revenus locatifs du bâtiment devraient permettre à l’OCPT de payer aux agents les primes alloués par l’Etat. Ceux-ci ne sont plus payés au personnel depuis plus de dix ans suite à l’insolvabilité des occupants, a expliqué un membre de la délégation syndicale.

Selon des sources proches de la direction provinciale de cette société d’Etat à Bukavu, M. Jean Pierre Muhongo, administrateur délégué-général de l’OCPT informé de la situation a appelé les cadres et agents au calme et à la reprise de travail en attendant qu’une solution durable soit trouvée par les voies autorisées.

L’hôtel des postes de Bukavu, en réhabilitation depuis 17 mois, abrite actuellement, en plus de l’OCPT, le Projet de renforcement des capacités en gouvernance (PRCG), le Centre de capture des passeports biométriques, la Commission électorale nationale indépendante (CENI), la RTNC et quelques ministères provinciaux. Il pourra à la fin des travaux abriter tous les ministères provinciaux ainsi que le gouvernorat de province.

Obama décrète des sanctions contre des responsables syriens

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Créé le 21 -05-2011 à 00h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le samedi    21- 05-2011 |  15h09 | AFRIQUE REDACTION  PAR : LE ACP




Kinshasa.- Le Président américain Barack Obama a décrété mercredi des sanctions contre le Président syrien Bachar Al-Assad, son vice-président et son Premier ministre ainsi que plusieurs autres hauts responsables du gouvernement.

Dans ce décret présidentiel, notent des médias internationaux reçus à Kinshasa jeudi, M. Obama déclare que ces mesures supplémentaires avaient été adoptées en réaction « à l' escalade constante des violences (du gouvernement) contre le peuple de Syrie, que ce soit par les assauts contre les manifestations, par les arrestations et intimidations d'opposants et de militants politiques, ou encore par la répression du changement démocratique, supervisé et exécuté par de nombreux éléments du gouvernement syrien ».

Aux termes de ce décret, le Président syrien Al-Assad, le Vice-Président Farouq Al-Charaa, le Premier ministre Adel Safar, le ministre de l'Intérieur Mohammad Ibrahim al-Shaar, le ministre de la Défense Ali Habib Mahmoud, le chef du renseignement militaire syrien Abdul Fatah Qudsiya et le directeur du directoire de sécurité politique Mohammed Dib Zaitoun tombent sous le coup de sanctions américaines avec effet à partir de mercredi à midi, ce qui signifie le gel de leurs actifs sur le sol américain.

M. Obama a également autorisé ses secrétaires d'État et du Trésor à imposer des sanctions sur d'autres hauts responsables officiels et des organisations de Syrie. M. Obama a décrété le 29 avril des sanctions contre le frère de M. Al-Assad, Mahir, et contre son cousin Atif Najib, ainsi que contre le responsable du directoire du renseignement général syrien (GID) et des gardiens de la révolution islamique iranienne pour leur rôle dans les violences contre les manifestants en Syrie.  La Syrie a envoyé des troupes et des chars dans de nombreuses villes du pays pour mater des manifestations contre le gouvernement d'une violence sans précédent. La Syrie attribue ces troubles à des groupes terroristes armés et à une conspiration étrangère.

Parmi les hommes de confiance du président Denis sassou Ngoueso

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Créé le 23-05-2011 à 00h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le lundi    23- 05-2011 |  09h33 | AFRIQUE REDACTION  PAR : LE

OBSERVATEUR

Le Ministre Alain Akouala poursuit ses actions en faveur du développement Inde-Afrique

Les médias dénoncent la campagne de désinformation  menée contre lui

   Alain Akouala
Dans le cadre des journées culturelles organisée sur le Site du Mont Ngaliema par le projet Sesam, les journalistes congolais ont organisé un forum des médias dans le stand réservé à la presse.  Le débat a porté sur l'éthique et  la responsabilité dans le traitement des informations. Ils ont ainsi dénoncé la campagne de désinformation menée contre certains hommes politiques. Et le cas des attaques contre le ministre Alain Akouala a été longuement évoqué.  " Ceux qui colportent des informations visant à ternir l'image de marque du ministre Alain Akouala sont aujourd'hui confondus. Ils n'ont plus aucun argument pour mettre en pratique leur plan machiavélique de diabolisation. Les différentes actions menées sur terrain aussi bien au Congo- Brazzaville qu'à l'étranger par le ministre Alain Akouala sont la preuve  que le ministre akouala jouit toujours de la confiance du président Denis Sassou Nguesso ", a déclaré samedi dernier notre consœur Malu Mbela dans une émission télévisée Forum des médias organisée à l'occasion de la Journée cultuelle et de la presse au Mont Ngaliema.

 

Les journalistes congolais s'interrogent encore aujourd'hui sur la campagne d'intoxication menée par des gens sans foi ni morale contre ce cadre et digne fils de la République qui a fait ses preuves aussi bien sur la scène politique congolaise que  dans le monde diplomatique notamment lors des grandes conférences internationales. La dernière en date est le Conclave Inde-Afrique organisé à New Delhi, en Inde.    " Il faut dire que parmi les personnes engagées dans cette campagne de diabolisation contre le ministre Akouala se trouve M. prospère Mokabi Dawa, un ex DSP qui s'est réfugié à Brazzaville et qui se faisait passer pour un opérateur économique. M. Prospère qui a pourtant bénéficié des largesses et de la générosité du ministre Akouala durant son long séjour à Brazzaville.

Des sources concordantes affirment même que durant son séjour à Brazzaville,  Prosper Mokabi fut tombé gravement malade et sera même hospitalisé. Démuni, il sera pris en charge  par le ministre Akouala. Celui-ci se chargera de payer les frais de soins ", a affirmé le confrère Alexis de l'ACP.   Il est un fait que M. Prosper Mokabi  a trahi son bienfaiteur en rédigeant des articles à la fois imaginaires  et calomnieuses visant à ternir l'image de marque du ministre Akouala.   Habitués aux intrigues et aux coups bas, Prosper Mokabi  a du mal à se débarrasser de sa peau de traite. Il a profité de la bonne foi et de la générosité  du ministre Akouala pour faire du chantage et mener une campagne de désinformation contre un ministre jeune et qui n'a cessé de convaincre et de séduire aussi bien  au Congo Brazzaville qu'en Afrique et dans le monde.

 

Un coup d'épée dans l'eau

Fort heureusement son action ne sera qu'un coup d'épée dans l'eau car, au contraire ,M. Alain Akouala se verra confier d'autres missions beaucoup plus importantes par la haute hiérarchie du pays. C'est ainsi qu'il a porté haut l'étendard du Congo sur l'échiquier international lors du forum Inde- Afrique à New Delhi.

Au moment où se tient à Addis-Abeba, en Ethiopie, le deuxième forum du sommet inde-Afrique, le forum des journalistes congolais est  revenu sur les messages des dirigeants africains au conclave Inde-Afrique  qui s'est tenu du 28 au 29 avril 2011 à New Delhi. Membre influent dans la délégation congolaise, le ministre Alain Akouala a, au cours de son intervention au Conclave,   présenté des opportunités d'investissements et de développement  qu'offre le Congo Brazzaville aux investisseurs étrangers en général, des indiens en particulier. L'homme d'Etat congolais a aussi  fait savoir que la coopération entre l'Inde et l'Afrique est une expression de la coopération Sud-Sud.

 Aujourd'hui, l'on se rend compte qu' à la lumière de cette affaire, beaucoup d'observateurs se rendent comptent que M. Alain Akouala sort complètement blanchi  de cette affaire et jouit davantage de la confiance de  tous les dirigeants africains, à commencer par le président Denis Sassou Ngouessso dont la dernière visite en Côte d'ivoire aura été un franc succès au vu de l'accueil délirant et chaleureux auquel il a eu droit de la part des ivoiriens.

 Luc-Roger Mbala Bemba

Calendrier électoral de la RDC : G 1000 et l'Asadho jugent le délai court pour organiser des élections crédibles

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Créé le 23-05-2011 à 00h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le lundi    23- 05-2011 |  09h39| AFRIQUE REDACTION  PAR : LE

OBSERVATEUR

 " Rien ne sert de courir, il faut partir à point ", dit un adage. En ce qui concerne le calendrier électoral établi par la CENI, accepté par la majorité et l'opposition,  deux organisations de la société civile à savoir : G 1000 Synergie des forces sociales et l'Asadho, estiment que ce calendrier électoral  n'est pas réaliste  et pèche par la précipitation. Elles  soutiennent qu'il n'est pas bon  d'agir dans la précipitation afin d'éviter des désagréments au pays, notamment des élections bâclées débouchant sur  des résultats contestés. Cet argumentaire a été défendu le week-end dernier à la paroisse CEAC de la commune de Kasa-vubu au cours d'une conférence de presse  animée par Serge Gontcho et Jean Claude Katende, respectivement de G 1000 Synergie des forces sociales et Asadho. . Ces deux orateurs notent que la nécessite de respecter le délai constitutionnel dans la tenue des élections pourrait mener à l'organisation des élections bâclées. Au regard de tous les problèmes qui accompagnent la révision du fichier électoral ou l'enrôlement des électeurs, tout indique que les élections ne seront pas crédibles. Or des élections crédibles sont la gage d'une paix durable. Dans ce contexte, la société civile a un rôle important à jouer pour que les choses se passent de la bonne manière. Dans un communiqué remis à la presse, G 1000 synergies des forces sociales soutient que "  de nombreux observateurs nationaux et étrangers, s'appuyant sur des chiffres et des données techniques, ont affirmé l'impossibilité de tenir des élections avant le 6 décembre 2011, date du cinquième anniversaire de la prestation s de serment de l'actuel chef de l'Etat…   Bien que votant chaque année un budget pour les élections, le gouvernement ne l'a jamais exécuté, et cela sans explication "

Coalition " Publiez ce que vous payez/RDC"

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Créé le 23-05-2011 à 00h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le lundi    23- 05-2011 |  09h43| AFRIQUE REDACTION  PAR : LE

OBSERVATEUR

Un atelier des coalitions africaines prévu à Kinshasa

 M. Jean Claude Katende, coordonnateur national de la Coalition "Publiez ce que vous payez/RDC", a annoncé qu'il sentiendra à Kinshasa, du 24 au 27 mai 2011, un atelier régional regroupant 21 Coalitions  africaines de la campagne  "Publiez ce que vous payez". L'annonce a été faite au cours d'un point de presse qu'il a tenu le vendredi 20 mai au siège du Réseau des ressources naturelles (RRN) dans la commune de Barumbu. Dans sa communication, il a indiqué que lors de ces assises les participants vont examiner ce que les différents gouvernements ont réalisé avec les recettes générées par les ressources naturelles durant les 50 dernières années depuis leur accession à l'indépendance. Il sera également question de définir les défis à relever par les coalitions africaines et jeter les bases d'une gestion transparente des revenus des ressources naturelles.

 

A cette occasion, a-t-il renchéri, les participants vont aussi réfléchir sur les causes de la pauvreté qui frappe les populations dont les pays sont pourtant dotés d'énormes potentiaités. A ce propos, la plupart des analystes s'accordent à stigmatiser l'opacité qui a élu domicie dans la gestion des revenus des ressources naturelles. Les assises de Kinshasa se pencheront longuement sur cette question.

Une autre question à débattre au cours de l'atelier régional de Kinshasa est celle liée aux contrats conclus entre les gouvernements et leurs partenaires. Les  coalitions africaines de la campagne "Publiez ce que vous payez" soutiennent que tous ces contrats doivent être portés à la connaissance du public pour conaître les différents impôts et taxes y afférents. En RDC, par exemple, a indiqué le coordonnateur Katende, le grand combat de la société civile est celui de la transparence des différents partenariats conclus entre le gouvernement congolais et les exploitants des ressources naturelles.

Lors de l'atelier, les participants auront à changer leurs expériences et définir les actions à mener pour les 2 ou 3 ans à venir, et exeminer plusieurs autres questions notamment la mise en œuvre du processus de l'Initiative de la transparence dans les industries extractives (ITIE) en Afrique, voir comment passer de la transparence à la redevabilité, la gouvernance de la campagne au niveau africain,...

Quant à Joseph Williams du Bureaun international de la coalition basé à Londres, il s'est attardé sur le travail fait au niveau international. Selon lui, la coalition est globale. Aujourd'hui elle regroupe au total 600 organisations dans le monde. Le cœur de l'organisation réside dans les coalitions nationales qui sont à l'avant-garde de toutes les actions, a-t-il affirmé.

Pour lui, la coalition propose la transparence financière pour que les ressources nationales deviennent sources de développement, avant d'insister sur le fait que les ressources nationales de nos pays appartiennent aux peuples.

Parlant de l'ITIE, Joseph Williams a soutenu que sa mise en œuvre est une réponse à l'action de la coalition, avant de souhaiter que ce processus (ITIE) intègre dans son système les contrats conclus entre les gouvernements et leurs partenaires. Les chiffres à publier devraient être trimestriels ou annuels.

De son côté, M. José Bobia,  président du Conseil d'administrat de la coalition en RDC, a laissé entendre que le Réseau ressources naturelles (FFN) mène un combat pour senbiliser les communautés locales pour les amener à exiger des comptes au gouvernement. Le but de cette action, a-t-il argué, est d'instaurer la culture de la transparence parce que les populations doivent connaître l'affectation des revenus générés par les ressources naturelles.

Plusieurs pays africains sont attendues à ces assises notamment l'Angola, l'Algerie, la Côte d'Ivoire, le Nigeria, le Niger, le Congo-Brazza, le Mali, le Madagascar,…

Rombaut Ot.

Le week-end dernier à la Maison de France à Kinshasa

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Créé le 23-05-2011 à 00h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le lundi    23- 05-2011 |  09h49| AFRIQUE REDACTION  PAR : LE

OBSERVATEUR

La Banque mondiale a présenté les réalisations des projets financés dans la Province Orientale

Plusieurs notabilités et ressortissants de la Province Orientale se sont retrouvés à la Maison de France à Kinshasa/Gombe le samedi 21 mai pour assister à la présentation des réalisations des projets financés par la Banque mondiale dans la Province Orientale. Pour la mission résidente de la Banque, l'occasion a été propice pour présenter certes les projets, mais aussi d'écouter l'avis des bénéficiaires des projets financés dans la Province Orientale. Pour la circonstance, les coordonnateurs et le personnel des agences d'exécution des projets étaient au rendez-vous. La directrice des opérations de la Banque mondiale pour la RDC et le Congo, Françoise Marie Nelly, a pu répondre aux préoccupations des uns et des autres lors du débat. Les échanges ont été très instructifs.

 

 

Il ressort de cette rencontre que la Banque mondiale compte actuellement 17 projets actifs en RDC pour un montant d'environ 2 milliards de dollars US. Toutefois, la Province Orientale n'est concernée que par 9 projets sur les 17 actifs. A tout seigneur tout honneur, le Projet multisectoriel d'Urgence de réhabilitation et de reconstruction (PMURR), un des premiers projets financés après le réengagement de la banque en RDC en 2001, a été présenté en premier lieu. Il a été exécuté par le BCECO et le BCMI. Ce projet a eu comme objectif d'améliorer l'accès aux infrastructures de base de la population dans les zones couvertes. Dans la province Orientale, il y a eu entre autres 5 écoles réhabilitées en ce qui concerne les secteurs sociaux ; plusieurs projets communautaires, des projets de protection sociale présentés par des ONG,….Au démarrage du projet, celui-ci n'a concerné que la partie du pays sous contrôle du gouvernement. Plus tard vers 2005, il a été élargi jusque dans la partie sous contrôle de la rébellion.

Le Projet d'Urgence de Soutien au Processus de Réunification Economique et Sociale (PUSPRES) et le Projet de Réhabilitation Urbaine et Sociale (PURUS) exécutés en partie en Province Orientale, ont été présentés par le coordonnateur de l'UCOP, Tobie Chalondowa. Pour le PUSPRES, il y a eu 1700 Km de routes réhabilités notamment la route nationale N. 4 Kisangani-Beni. La remise en état de cette route a été une bonne opportunité pour les activités économiques et la circulation des personnes et de leurs biens pour les ressortissants de la Province Orientale. Les prix de certains produits ont été sensiblement réduits et la disponibilité des produits est garantie. En ce qui concerne le PURUS, dans la composante éducation il y a eu le paiement des frais de fonctionnement aux écoles éligibles de la Province Orientale pour un montant de 3,7 millions de dollars US.

L'Unité d'exécution du Programme National de Désarmement, Démobilisation et Réinsertion (PNDDR) a expliqué son action en Province Orientale. L'objectif du projet était de contribuer à la pacification du pays, promouvoir la sécurisation du territoire et favoriser la reconstruction et la relance économique. Le nombre de personnes prises en charge est de 20623 sur 25639 enregistrées en Province Orientale pour un total de financement de 8 944 800 dollars US. L'impact du PNDDR a été la sécurisation des élections et des populations, la contribution à la relance économique, l'intégration des démobilisés dans les communautés et la participation au développement à travers la réinsertion.

Entre autres, il a été question de l'expérience de la Province Orientale dans la mise en œuvre du Projet MAP de lutte contre le VIH sida. Ce projet est exécuté par le Projet Multisectoriel de Lutte contre le Sida. Dans la foulée, l'assistance a été conviée à suivre les réalisations du Projet d'Action Sociale d'Urgence (PASU) du Fonds Social de la RDC, du Projet d'Appui au Redressement du Secteur de l'Education (PARSE), du Projet d'Appui à l'Ouverture et l'Entretien des Routes(PRO ROUTES) et du Projet de Réhabilitation du Réseau des Parcs Nationaux (PREPAN) de la cellule de coopération Internationale et l'Institut Congolais pour la Conservation de la Nature (ICCN). Pour le résumé des résultats du PARSE en Province Orientale, par exemple, il y a eu 1 024 436 manuels distribués pour un montant de 1 731 088,95 dollars US ; 61 salles de classe réhabilitées pour 1 089 422 dollars US, 235 formateurs recyclés pour 18 841 dollars US ; 264 enseignants recyclés pour 9 996 dollars US et la viabilité des 93 institutions supérieures et universitaires pour 121 918 dollars US.

Enfin, après la présentation des réalisations de projets financés par la Banque mondiale au Bandundu et en Province Orientale, dans les semaines à venir la mission résidente va prolonger cet exercice de présentation avec les réalisations dans d'autres provinces de la RDC.

Didier Munsala Buakasa

 

Guillaume Soro restera au poste de Premier ministre

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Créé le 23-05-2011 à 00h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le lundi    23- 05-2011 | 10h03| AFRIQUE REDACTION  PAR :

AFRIQUINFOS

ABIDJAN (Xinhua) -- Le Premier ministre ivoirien Guillaume Soro sera reconduit dans ses fonctions, a annoncé dimanche le président Alassane Ouattara soulignant "l'excellence" de son travail.

Guillaume Soro restera au poste de Premier ministre

"Guillaume Soro sera reconduit dans ses fonctions de Premier ministre et ministre de la Défense", a déclaré dimanche le nouveau président ivoirien dans une interview accordée à la télévision française France 24, insistant sur "l'excellence" du travail accompli.

Samedi à Yamoussoukro (centre, 230 km d'Abidjan), lors de son investiture officielle, Alassane Ouattara a annoncé la formation dans "les prochains jours" d'un gouvernement d'union nationale qui regrouperait toutes les formations politiques et la société civile dans un souci de réconciliation.

Guillaume soro, leader des Forces nouvelles (ex rébellion du nord) a été nommé, pour la première fois, Premier ministre en 2007 dans le cadre d'un partage du pouvoir décidé par l'accord politique de Ouagadougou.

L'accord a été signé entre le régime de Laurent Gbagbo et les Forces nouvelles qui ont tenté de le renverser en 2002, ouvrant en Côte d'Ivoire près de neuf ans de crise militaro-politique.

Lors de la campagne présidentielle pour l'élection du 28 novembre dernier censée mettre fin à la crise militaro-politique, Alassane Ouattara avait promis le poste de Premier ministre à son allié du Parti démocratique de Côte d'Ivoire (PDCI d'Henri Konan Bédié) dont le report des voix au second tour lui avait permis de l'emporter par 54% des voix.

La victoire d'Alassane Ouattara a été confisquée par le président sortant Laurent Gbagbo pendant cinq mois au cours desquels Guillaume Soro, qui a rejoint le camp Ouattara, a été nommé Premier ministre et ministre de la Défense dans le gouvernement parallèle à celui de Laurent Gbagbo.

Laurent Gbagbo, arrêté le 11 avril, a été défait après deux semaines de guerre dans Abidjan par l'armée de Guillaume Soro appuyée par les Casques bleus de l'Opération des Nations unies en Côte d'Ivoire (ONUCI) et les soldats français de la Force Licorne.

Alassane Ouattara a été investi officiellement samedi à Yamoussoukro en présence de 19 chefs d'Etat dont le président français Nicolas Sarkozy et le secrétaire général de l'Onu, Ban KI- moon, après avoir prêté serment devant le Conseil constitutionnel le 6 mai.


Le gouvernement ne négocie pas avec les rebelles rwandais

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Créé le 23-05-2011 à 00h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le lundi    23- 05-2011 | 10h09| AFRIQUE REDACTION  PAR : Xinhua

 

Le gouvernement de la République démocratique du Congo (RDC) n'a pas à négocier avec les rebelles hutus rwandais des Forces démocratiques pour la libération du Rwanda (FDLR).

Le gouvernement ne négocie pas avec les rebelles rwandais

 

Soldats de la RDC en 2001

C’est ce qu’a affirmé dimanche le ministre de la Communication et des Médias et porte-parole du gouvernement, Lambert Mende Omalanga, à la radio privée Top Congo à Kinshasa.

Réagissant aux allégations diffusées dans la presse étrangère, notamment à l'agence belge, sur des négociations secrètes entre le gouvernement de la RDC et les FDLR pour leur délocalisation vers l'ouest de la RDC, le ministre a fait savoir que les FDLR doivent quitter le sol congolais.

Selon lui, les éléments des FDLR qui se rendent sont rapatriés au Rwanda avec l'appui de la Mission des Nations Unies pour la stabilisation de la RDC (MONUSCO) et le HCR, mais pour ceux qui désirent rester en RDC, ils doivent être délocalisés loin de la frontière conformément aux lois internationales.

"Les FDLR ne sont plus nombreux comme il y a 3 ou 4 ans. Ce ne sont que des forces résiduelles", a affirmé M. Mende, avant de demander de faire confiance au gouvernement.

On rappelle que la situation sécuritaire dans l'est de la RDC reste préoccupante du fait de la réorganisation des rebelles des FDLR. Les positions militaires dégarnies sont aussitôt récupérés par les FDL qui opèrent en petits groupes, provoquant des déplacements des populations.

Basées dans l'est de la RDC en 1994, après le génocide perpétré au Rwanda, les FDLR pour la plupart, ont peur de regagner leur pays par peur des représailles.

RDC : Francis KALOMBO, un faussaire au secours de «Joseph KABILA» !

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Créé le 23-05-2011 à 00h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le lundi    23- 05-2011 | 10h09| AFRIQUE REDACTION  PAR : CANDIDE OKEKE


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Francis KALOMBO

 

 

 

 

Tombé en disgrâce depuis quelques temps, Francis Kalombo l’ancien garçon à tout faire de « Joseph Kabila » tente donc maladroitement de refaire surface et de s’attirer les faveurs de son chef.


Il n’a échappé à personne que depuis quelques temps les commémorations de la fameuse date du 17 mai 1997 qui célèbrent la prise du pouvoir en RDC par l’AFDL ont peu à peu perdu en faste. Au fil du temps, les congolais semblent être sortis de leur torpeur pour réaliser que tout compte fait ce jour là, le pays de Kimbangu et de Lumumba n’a pas vraiment progressé, il est juste passé d’une tyrannie à une autre encore plus féroce. Ce 17 mai 2011, en regardant l’état dans lequel se trouve notre pays aujourd’hui, nombreux sont ceux qui n’ont pas manqué de se rappeler l’effroyable constat et révélation fait par Laurent Désiré Kabila lorsqu’il a qualifié la plupart des cadres politiques et militaires arrivés avec lui de « conglomérat d’aventuriers » !


Son assassinat, avant qu’il n’ait réussi à se défaire des chaines de l’occupation dans laquelle il venait naïvement d’entrainer la RDC, n’a fait qu’accélérer ce processus. En 2001, vint au pouvoir le cheval de Troie rwandais, Hyppolite Kanambe alias « Joseph Kabila ».Son investiture a permis à ce dernier et ses complices d’atteindre une première étape décisive dans le plan d’occupation et de balkanisation de la RDC dont il est devenu le pilier. Mais, il a assez rapidement été démasqué par quelques congolais dont en premier lieu le Président national de l’APARECO Monsieur Honoré Ngbanda. Ce dernier apportera aux congolais plusieurs preuves de son imposture à travers différentes révélations dont essentiellement la publication d’un document officiel portant sa signature, document par lequel « Joseph Kabila » confirme lui-même qu’il s’appelle bien en réalité « Hyppolite Kanambe ». Depuis lors, l’imposteur fait tout et n’importe quoi pour faire oublier aux congolais ses véritables origines rwandaises.


C’est donc pour répondre à ce besoin désespéré que « Joseph Kabila » vient de s’affubler d’un drôle d’avocat. En effet, depuis quelques heures c’est son ancien garçon de course et « mukala » attitré devenu député, par la magie de la tricherie, qui est monté au créneau pour essayer de convaincre les congolais, et en particulier les « combattants » comme il le précise, que son mentor serait bien le fils biologique de Laurent Désiré Kabila et Sifa Mahanya. D’après lui, le fils de Kanambe ne serait pas rwandais comme l’affirment à la fois de nombreux congolais, Honoré Ngbanda en tête ou certains interlocuteurs étrangers et pas des moindres comme l’ancien Ministre belge Karel de Gucht, l’ancien député belge Patrick Cocriamont ou encore la journaliste belge Colette Braeckman qui a affirmé que la mère de celui qui préside actuellement la RDC est …Tutsi.

L’avocat du diable

L’occasion faisant le larron, à peine le calendrier électoral est-il annoncé voilà Francis Kalombo, qui signe son « grand » retour après une longue éclipse dans l’entourage d’Hyppolite Kanambe. Faut-il s’en étonner ? Certes non, car pour la plupart des collabos l’heure est au positionnement après l’annonce du calendrier du prochain scrutin électoral. C’est le moment rêvé pour beaucoup d’entre eux de s’adonner à la seule chose qui justifie véritablement leur présence aux côtés de « Joseph Kabila » : la pêche aux dollars ! S’enrichir à outrance, peu en importe les conséquences.

 


Tombé en disgrâce depuis quelques temps, Francis Kalombo l’ancien garçon à tout faire de « Kabila » tente donc maladroitement de refaire surface et de s’attirer les faveurs de son chef. Mais malheureusement pour ce collabo, L’oeil du patriote est là pour rappeler certains de ses faits d’armes et quelques unes des raisons pour lesquelles même « Kabila » qui s’applique pourtant à garder dans son cercle rapproché les congolais les plus cupides et les moins scrupuleux, avait jugé bon d’éloigner de lui ce triste individu.

 


Hyppolite Kanambe alias « Joseph Kabila » a fait la connaissance de Francis Kalombo bien avant d’être hissé à la tête de la RDC. Lorsqu’il arrive avec l’AFDL et débarque à Kinshasa comme un villageois déboussolé, le jeune Kadogo rwandais se laisse facilement prendre en main par ce kinois baratineur hors pair, capable de lui rendre des services aussi variés que peu avouables. Francis Kalombo « solution » (c’est son surnom) l’aidera à se procurer tout ce qu’il lui demandera : des filles mineures pour ses orgies, des vêtements un peu plus à la mode, de la drogue dont il n’arrive pas à se passer mais aussi et surtout des marabouts sensés lui assurer gloire et protection. Mais, au fil du temps, Kanambe apprendra à ses dépens que le dévouement de Francis Kalombo à son égard n’avait d’égal que sa cupidité et sa roublardise. Il finira donc par le chasser de son entourage après s’être rendu compte, entre autres, que « son ami » Francis avait tout simplement monté des stratagèmes pour mieux l’escroquer grâce aux marabouts qu’il lui ramenait. Mais cette entrée en disgrâce ne découragera pas pour autant ce spécialiste en affaire illicite qui ne s’arrêtera pas là dans ses forfaitures.

 


C’est ainsi qu’il continuera régulièrement à faire la Une des médias dans différents scandales dont celui de ses faux diplômes, relayé en 2010 par le journal Congo News. En effet, après enquête (cf article ci-dessous) sa candidature en tant qu’avocat a été refusée au barreau de Matete pour faux et usage de faux. Le journal écrira à ce sujet : « Le député AMP Francis KALOMBO, est un faussaire. La sentence a été prononcée au barreau de Matete devant laquelle l'intéressé avait présenté sa candidature pour une carrière d'avocat avec son diplôme de licence en droit de l'université libre de Kinshasa en appui. Un diplôme considéré comme un faux après une enquête de la commission d'admission du conseil de l'Ordre des avocats dirigée par Raoul Ngonga. L'enquête menée à l'Université Pédagogique Nationale , UPN, a révélé que l'étudiant KALOMBO Francis avait terminé la troisième année graduat avec mention "REFUSÉ" »(…) Paul MULAND/ Congo News/Juillet 2010.


Cette affaire n’est pas sans rappeler celle de l’imposteur national en personne qui, appuyé par Vital Kamerhe, avait tenté de faire croire aux congolais qu’il était lui aussi diplômé d’une fictive université américaine : qui s’assemblent, se ressemblent !

Pourquoi les kabilistes craignent-ils le test ADN ?

C’est donc ce personnage sulfureux, sans foi ni loi, n’ayant aucun niveau intellectuel, qui a décidé de tenter d’engager un énième débat sur la nationalité de l’imposteur national son mentor. Mais, c’est à se demander si ce prétendu député sait ne fut-ce que lire tant il vient d’étaler son incurie en voulant défendre la main qui le nourrit. Où a-t-il lu que l’APARECO appelait « Hyppolite Kanambe » le père biologique de l’imposteur national ? C’est pourtant le seul nom qu’il n’a cessé de prononcer tout le long de sa « plaidoirie » confondant donc Adrien Kanambe et son fils Hyppolite. Ensuite il accuse l’APARECO de situer la mort de Kanambe père (celui que lui appelle Hyppolite) à l’année 1972 alors que Monsieur Mulopo membre du cabinet du président national de l’APARECO , qui a eu accès aux archives du PRP le parti politique de Laurent Désiré Kabila où il a évolué longuement, a clairement précisé dans sa dernière interview daté du 12 mars 2011 et très largement diffusé à Kinshasa que d’après celles-ci (les archives), Kanambe père a été précisément exécuté à la fin des années 80 après les deux guerres de Moba. Les premières investigations de l’APARECO situaient jusqu’alors ce décès à la fin des années 70 comme en attestent certains documents de l’APARECO et non à l’année 1972 comme avancé par Monsieur Kalombo.


Comment quelqu’un qui se dit « député national » et « professeur-assistant » à l’université peut-il venir offrir un tel spectacle de son incurie ? L’idiotie a-t-il été érigé en mode de gouvernement en RDC ? On en a froid dans le dos. Toute l’intervention de Francis Kalombo dans cette dernière émission produite par « Les amis de Wetshi » confirme une fois de plus qu’avec l’arrivée au pouvoir de « Joseph Kabila » la RDC a bel et bien sombré dans le règne de « l’idiocratie » !


Car, comment expliquer aussi que même lorsqu’ aujourd’hui la science fait d’immenses progrès et que l’on peut prouver sans équivoque la filiation d’un individu simplement à l’aide d’un test ADN , la bande d’ « idiocrates » qui dirigent la RDC se perd en gesticulations et en contradictions pour tenter d’expliquer aux congolais qu’un tel test n’est pas nécessaire, qu’il faut les croire sur parole, « Kabila n’est pas rwandais » !

Or, l’APARECO a recueilli aujourd’hui plusieurs témoignages, en plus de celui de Monsieur Léonard Mulopo, de personnes qui ont directement fréquenté la mère biologique rwandaise de celui qui se fait appeler « Joseph Kabila ». Parmi ces témoins d’autres l’ont même rencontré en présence d’Hyppolite Kanambe lui-même ! Qui est-ce que les Kabilistes espèrent-ils encore convaincre de leur « bonne foi » et par des simples paroles ou des simples photos probablement rafistolées grâce à la haute technologie de l’informatique ? On ne compte plus les innombrables « zones d’ombre » que compte le CV d’Hyppolite Kanambe. L’APARECO n’a cessé de les révéler aux congolais sur son site www.aparecordc.org . Nous n’avons pas été les seuls à les relayer au public. En voici un bel échantillon condensé dans cet article du site congoindependant qui date du 22 avril 2006 et qui prouve s’il le faut, à quel point les congolais ne sont plus dupes: http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=1410


Ainsi, tous les débats et autres spéculations ne sont donc plus de mise aujourd’hui, « Kabila » doit accepter de poser le seul acte qui permettra de trancher cette affaire en acceptant de pratiquer le test ADN. L’APARECO le met une fois de plus au défi d’accepter de pratiquer ce test pour prouver si Sifa Mahanya ou Laurent Désiré Kabila sont bien ses parents biologiques. Et si Francis Kalombo veut se rendre utile intelligemment, ne fut-ce qu’une seule fois pour son pays, alors qu’il persuade son « raïs » de se prêter à ce test. Autrement qu’il le veuille ou pas il continue à donner raison à Honoré Ngbanda et à l’APARECO : « Joseph Kabila » est un rwandais au service du Rwanda., et nous le combattrons jusqu’au bout !
Candide OKEKE

Canada Kamerhe échappe à la mort !

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Créé le 23-05-2011 à 00h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le lundi    23- 05-2011 | 11h39| AFRIQUE REDACTION  PAR : LA  PROSPERITE

Il aurait reçu, en pleine figure, des jets de fruits ou encore d’œufs gâtés alors qu’il prenait la parole, le samedi 21 mai 2011, à l’Hôtel Delta, devant les Congolais de Montréal, au Canada, pour présenter un livre qu’il vient de faire éditer. Se faisant passer pour des ‘‘Résistants’’, les agresseurs de Kamerhe lui reprochent le fait qu’il ait annoncé sa candidature à la présidentielle 2011, estimant, selon eux, qu’il n’y a qu’un candidat unique de l’Opposition politique congolaise, à savoir, Tshisekedi Etienne wa Mulumba, leader de l’Udps. L’élu de Bukavu n’a eu de vie sauve que grâce à l’intervention rapide de la police de Montréal qui l’a sorti par la petite porte, juste au moment où ces fameux résistants faisaient mouvement vers lui… Sans doute qu’il a échappé à un lynchage mortel ! Pour une fausse note, c’en est vraiment une pour la démocratie naissante en RD. Congo. A bas la violence ! Jets de fruits pourris, œufs et autres. Tel est le cocktail Molotov que des Congolais de Montréal, au Canada, se faisant passer pour des Résistants, ont réservé à Vital Kamerhe, le Président de l’Union pour la Nation Congolaise, UNC. Devant les compatriotes de Montréal, l’ancien speaker de la Chambre basse du Parlement prenait juste la parole, le samedi 21 mai 2011, dans le magnifique cadre de l’Hôtel DELTA, pour présenter une publication qu’il venait de faire éditer. Transfuge de la majorité présidentielle où d’aucuns l’appelaient ‘‘l’Attaquant de Pointe’’, l’élu de Bukavu aurait, semble-t-il, commis le péché d’annoncer sa candidature à la présidentielle 2011 dans un milieu acquis au lider maximo, Etienne Tshisekedi wa Mulumba, là même où ‘‘Tshisekedi For President’’, une organisation de soutien à la candidature du Président National de l’Udps s’apprête à mener une campagne à l’Obama, par la collecte de fonds auprès de tout congolais soucieux du changement radical dans son pays. Le pire a été évité de juste grâce à l’intervention rapide de la police de Montréal qui a vite fait d’évacuer, par la petite porte, le propagandiste du Raïs en 2006, en le soustrayant d’un lynchage. L’intolérance Ce triste épisode n’est pas le premier pour le Président de l’UNC. A en croire nos sources, Vital Kamerhe a failli, également, laissé sa peau à Bruxelles, la Capitale belge où les ‘‘Bana Congo’’ sont plus que déterminés à soutenir la seule candidature du sphinx de Limete et n’entendent nullement laisser s’exprimer un probable trouble-fête. Pour certains observateurs de l’agora politique de la RD-Congo, c’est tout simplement de l’intolérance. La loi, soutiennent-ils, autorise tout congolais remplissant les conditions, de poser sa candidature à tous les niveaux de la sphère électorale. Qu’il soit présidentiel, législatif national, provincial ou municipal ou encore local. Bien plus, enchaînent-ils, aucun consensus n’a jusque-là pas encore été trouvé pour la présentation d’un candidat commun de l’opposition, les concertations se poursuivant encore. Et donc, en qualité de Président d’un Parti Politique, Vital Kamerhe a le droit, lui reconnu par la Constitution, de poser sa candidature à la magistrature suprême si l’UNC en décide ainsi. Kamerhe, encore des efforts à fournir Qu’à cela ne tienne, le Président de l’UNC a beaucoup d’efforts à fournir ou, mieux, du chemin à parcourir, pour convaincre ses pairs de l’opposition, et surtout la population. C’est tout à fait normal quand on sait que l’homme a été l’un des pivots du régime en place. Il est tout aussi normal que dans une présidentielle à un seul tour, que les partisans de l’alternance surveillent, de loin ou de près, les mouvements de quiconque tenterait de disperser les voix de l’opposition et, ainsi, faire une passe en or au candidat de la majorité. Kamerhe qui est sans cesse soupçonné de faire le jeu du pouvoir a, selon toute vraisemblance, du pain sur la planche. Jouer franc jeu A ce que l’on sache, Kamerhe n’est pas l’unique congolais, outre Etienne Tshisekedi, à annoncer sa candidature à la magistrature suprême. Lisanga Bonganga, Eugène Diomi Ndongala, Kakiese, pour ne citer que ceux-là, se disent prêts pour le sprint final. Le problème, ce qu’aussi longtemps que les leaders de l’opposition ne se retrouveront pas autour d’une table pour lever l’option final, en se rassurant les uns les autres, la méfiance va planer, partant, les surprises seront au rendez-vous du 28 novembre prochain. Un outsider, quel qu’il soit, peut toujours faire mal, surtout s’il est de la trempe de Kamerhe Vital qui est capable, même à Aketi, de glaner quelques voix. Certes, l’opposition ne peut pas, à l’heure qu’il, dévoiler ses stratégiques et tactiques, mais cela n’exclu nullement qu’un vent de l’unité souffle de plus en plus au sein des forces du changement. Et plus le temps passe, mieux la méfiance s’installe, les ambitions de moins en moins étouffées. Agresser, molester, dénigrer ou lyncher ne suffira pas pour rassurer.

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Nouveau parti de l’Opposition Le Monadep derrière Etienne Tshisekedi !

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Le Mouvement National pour la Démocratie et le Progrès est là. C’est un tout nouveau parti politique de l’Opposition dont l’arrêté d’agrément n°053/2011 porte la signature de Lumanu Bwana N’Sefu, depuis le 12 mai dernier. Ses fondateurs, trois personnalités connues, en ont été notifiés, le 13 mai 2011. Tshimbela Muzungu Valentin, Mayala Matsanga Ressuscité et Enyeka Bowanga Lawanga Michy sont ceux-là qui ont juré de créer le Monap dans la perspective d’œuvrer pour l’avènement d’une société plus juste, d’une nation puissante et d’un Etat où la démocratie et le social feraient bon ménage, pour l’intérêt du peuple congolais. Le Mouvement National pour la Démocratie et le Progrès est, en effet, un des partis politiques progressistes qui vient à point nommé, pour tonifier l’Opposition politique congolaise. Il va certainement allonger la liste de partis engagés dans la lutte pour le véritable changement. Le Monadep est pour une candidature unique, pour l’ensemble de l’Opposition. Aussitôt né, il serait prêt à intégrer la dynamique qui soutient Etienne Tshisekedi wa Mulumba, dans sa détermination à conquérir le fauteuil présidentiel, à l’issue des joutes électorales fixées au 28 novembre prochain. « Bâtir avec Dieu, une Nation Puissante », telle est la devise de ce parti dont l’emblème est constitué de l’aigle, de l’épée et de la pyramide. Parti politique ayant un grand programme de société, le Monadep entend combattre tous les maux qui accablent les congolais, entre autres, la faim, les maladies et l’analphabétisme. En vue d’accroître le nombre de ceux qui vont voter en faveur du potentiel candidat commun de l’Opposition, le Monadep est déterminé à travailler d’arrache-pied. Dans ses visées, le Monadep croit en la lutte contre la paupérisation du peuple, la promotion des valeurs d’humanisme et de la démocratie telles que l’amour du prochain et de la patrie, le nationalisme équilibré et l’amour de la vérité, de la justice et du travail bien fait, la culture de la tolérance, de la démocratie et de l’alternance politique; la gestion transparente de la chose publique et vigilance accrue pour les intérêts du peuple, le partage équitable et concret des revenus nationaux; l’égalité des droits et chances pour tous et la fraternité entre les peuples. Le Monadep entend promouvoir les droits de l’homme et la dignité humaine, le pluralisme politique, syndical, associatif et confessionnel libre; la solidarité sociale incitative; la liberté de religion, de pensée, d’expression etc. Le Monadep s’engage, en outre, à lutter sans relâche pour le progrès de tous et reste constamment attentif aux intérêts des travailleurs, des paysans, des fonctionnaires, des hommes des métiers et de chômeurs intellectuels ou non, tout homme et toute femme a une bouche et a droit à la vie et à la jouissance des richesses de son pays. Ce qui a manqué en RDC, soutient ce projet de société. Du point de vue de la devise du parti. Monadep adopte pour une devise bien réfléchie que voici; « bâtir avec Dieu une nation puissante ». De l’idéologie: ce parti tire son idéologie de la conception universelle de la social-démocratie basée sur le sens africain et l’idéal inspiré par le panafricanisme. De la doctrine du parti Le Monadep fonde sa doctrine sur les principes de valeurs morales internationalement admises et démocratiques basées sur la solidarité, maillon faible du nationalisme équilibré. Un parti d’avant-gardiste en RDC et qui a besoin de l’adhésion massive de beaucoup de membres afin de réfléchir autrement et renverser les tendances qui attirent le plus souvent, les Congolaises et Congolais aux pratiques des anti-valeurs.

La Pros.

Libye : l’Otan détruit plusieurs navires de Kadhafi

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Créé le 23-05-2011 à 00h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le lundi    23- 05-2011 | 14h25| AFRIQUE REDACTION  PAR : LE  POTENTIEL 


Les avions de l’Organisation du Traité de l’Atlantique Nord (Otan) ont détruit plusieurs navires de l’armée libyenne. Cependant, l’Union africaine, qui continue à défendre l’idée d’un compromis politique, a convoqué une réunion spéciale sur la Libye.

Dans la nuit de jeudi à vendredi, des avions de l’Otan ont coulé huit navires de guerre des forces gouvernementales lors d’attaques coordonnées dans les ports de Tripoli, Al-Khums et Syrte, a , à en croire l’AFP, annoncé l’Organisation du Traité de l’Atlantique Nord.

« Vu le recours de plus en plus fréquent à la force navale, l’Otan n’avait pas d’autres choix que de prendre des mesures décisives pour protéger les populations civiles de Libye et les forces de l’Otan en mer », a déclaré l’amiral Russ Harding, commandant adjoint de l’opération «Protecteur unifié» de l’Otan en Libye.

« Tous les vaisseaux ciblés la nuit dernière étaient des navires de guerre, sans usage civil », a-t-il assuré.

Des avions britanniques participant à l’attaque ont détruit deux corvettes et une base de construction de bateaux pneumatiques utilisés par le régime pour poser des mines, a précisé le ministère britannique de la Défense.

L’Alliance Atlantique a également bombardé ces derniers jours plusieurs centres de commandement à Tripoli, a déclaré à Bruxelles le lieutenant-colonel britannique Mike Bracken, porte-parole de l’Alliance Atlantique. « Cela a réduit la capacité de Kadhafi de donner des ordres à ses troupes. Cela a également gêné sa liberté de mouvement », a-t-il assuré.

UNION AFRICAINE

L’Union africaine (UA) a annoncé vendredi qu’elle tiendrait un sommet extraordinaire consacré en particulier au conflit en Libye, les 25 et 26 mai à son siège d’Addis Abeba. Tripoli avait sollicité ce sommet en avril afin de trouver une solution africaine à la crise.

L’UA, qui manifeste de plus en plus ouvertement ses réserves à l’égard des opérations de l’Otan en Libye. L’organisation panafricaine continue à soutenir l’idée d’un compromis politique comme la meilleure solution de sortie de crise en Libye. Car, elle éviterait à ce pays de nombreuses pertes et vies humaines ainsi que des destructions méchantes des sites stratégiques.

PEK

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