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Channel: AFRIQUE REDACTION . L'information en continu ! Afrique au cœur de l’actualité...Infos News sur la RDC, les brèves de la dernière minute. Synthèse sur l’actu internationale. rdcongo-kinshasa, Nord et Sud KIVU, Kinshasa, Bas Congo, Dongo, Equateur, Maniema, Lubumbashi, les deux Kasai. Rédacteur en Chef : BONGOS Roger
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Mgr Monsengwo choisi par le pape François pour travailler sur la réforme de la curie romaine

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Crée le 14-04-2013 13H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le di 14-04-2013 -13H20 PAR : RADIO OKAPI


 

Cardinal Laurent Mosengwo Pasinya. Radio Okapi/Ph. John Bompengo

L’archevêque de Kinshasa, Monseigneur Laurent Monsengwo fait parti des huit cardinaux  qui aideront le pape de l’église catholique dans le travail de la réforme de la curie romaine.  Le Pape François l’a annoncé ce samedi 13 avril. 

La curie romaine, le gouvernement du Vatican, est traité de pléthorique. Elle est composée d’une secrétairerie d’Etat, de neuf congrégations romaines, de trois tribunaux, de douze conseillers pontificaux, mais aussi de six commissions pontificales et d’autant d’instituts en tous genres. Le Vatican emploie près de trois milles personnes.

Ces membres seraient aussi cités dans des affaires de corruption et impliqués dans divers scandales d’où le besoin de réforme manifesté par les papes du XXè siècle.

Le secrétaire général de la Conférence Episcopale Nationale du Congo, l’Abbé Santedi a déclaré que « ce choix est un honneur pour l’église catholique de la RDC » car il est le seul africain dans le groupe de huit cardinaux.


Guinée : "Les électeurs sont convoqués le 30 juin pour les élections législatives" (Alpha Condé)

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Crée le 14-04-2013 14H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le dimanche 14-04-2013 -14H30 PAR : ARTV NEWS

 

 

 

CONAKRY  - Les élections législatives auront lieu le 30 juin en Guinée après avoir été repoussées à plusieurs reprises depuis plus de deux ans, selon un décret présidentiel dont l'AFP a eu connaissance dimanche.

Guinée : "Les électeurs sont convoqués le 30 juin pour les élections législatives" (Alpha Condé)

 

© AFP Kenzo Tribouillard. Le président guinéen Alpha Condé, en visite en France, donne une interview à l'AFP, le 3 juillet 2012


"Les électeurs sont convoqués le 30 juin pour les élections législatives", indique ce décret signé du président Alpha Condé.

Les législatives auraient dû se tenir dans les six mois suivant l'investiture en décembre 2010 du président Condé qui, un mois auparavant, était devenu le premier chef de l'Etat démocratiquement élu de Guinée, pays à l'histoire marquée par les violences politiques et militaires.

Faute de consensus avec l'opposition sur l'organisation d'un scrutin "libre et transparent", les législatives ont été maintes fois repoussées. La dernière date fixée au 12 mai n'a pu être être tenue en raison de violentes manifestations d'opposants qui ont fait neuf morts, dont un policier, et plus de 240 blessés.

Les dernières législatives en Guinée remontent à juin 2002, sous la présidence du général Lansana Conté, décédé en décembre 2008 après 24 ans au pouvoir.

C'est actuellement un Conseil national de transition (CNT, non élu) qui fait office de Parlement.

Le porte-parole du gouvernement, Albert Damantang Camara, a affirmé que l'organisation elle-même des élections est du ressort exclusif de la Commission électorale nationale indépendante (Céni) "qui nous dit aujourd'hui qu'elle est prête" pour un scrutin conduit "de manière libre, transparente et sécurisé".

"Le gouvernement n'a pas l'intention de s'immiscer dans les affaires de la Céni et ne le fera pas", a assuré M. Camara.

Il a précisé que le gouvernement avait demandé "le soutien" de l'ONU pour l'organisation de ces législatives et faciliter le dialogue avec l'opposition.

L'ONU "a répondu favorablement à cette demande et vient de nommer son représentant en Afrique de l'Ouest, Saïd Djinnit, pour servir de facilitateur dans ce dialogue entre le gouvernement et l'opposition", a dit M. Camara.

L'opposition, dont le principal dirigeant est Cellou Dalein Diallo, candidat battu par Alpha Condé à la présidentielle de 2010, dénonce le caractère "dictatorial" du régime et le soupçonne de vouloir préparer des fraudes pour obtenir la majorité à l'Assemblée nationale.

Elle dénonce en particulier le choix de l'opérateur technique sud-africain Way Mark chargé de la révision du fichier électoral, accusé de partialité.

"Toute la communauté internationale admet aujourd'hui que plus rien ne s'oppose au travail de l'opérateur Way Mark et qu'il est parfaitement en mesure d'assurer ce processus électoral", selon le porte-parole du gouvernement.

L'opposition réclame par ailleurs la libération de ses partisans arrêtés lors des manifestations de février-mars avant tout dialogue avec le gouvernement sur l'organisation des législatives.

Des centaines de Centrafricains, réfugiés au Cameroun, ont peur de rentrer

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Crée le 14-04-2013 14H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le dimanche 14-04-2013 -14H30 PAR : ARTV NEWS

 

 

 

NANDOUNGUE (Cameroun) (© 2013 AFP) - "J'ai peur d'être tué en rentrant dans mon pays", affirme Augustin Dolly-Debat, président de l'Association des réfugiés centrafricains de Nandoungué, village camerounais situé tout près de la frontière centrafricaine.

Des centaines de Centrafricains, réfugiés au Cameroun, ont peur de rentrer

 

© AFP Reinnier Kaze. Camp de réfugiés centrafricains à Nandoungué, au Cameroun, le 12 avril 2013.

 


Des centaines, voire des milliers, de Centrafricains ont traversé la frontière camerounaise pendant et après l'offensive de la coalition rebelle du Séléka qui a pris le pouvoir à Bangui le 24 mars.

Avec l'arrivée de ces civils, fonctionnaires et militaires centrafricains, "c'était la débandade totale ici", affirme Elie Mwanjo, sous-préfet par intérim de Garoua Boulaï, ville camerounaise située à la frontière.

Officiellement, plus de 900 réfugiés se sont présentés aux autorités de Garoua Boulaï, mais la presse camerounaise a évoqué le chiffre de 3.000 réfugiés au total.

Le Haut commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR) a installé un camp à Nandoungué, où séjournent 370 Centrafricains, dont 120 enfants et près de 200 femmes. Ils vivent dans une centaine de grandes tentes.

"Cinq personnes en moyenne occupent une tente", souligne un responsable local de la Croix Rouge, Flaubert Mvongo.

Assise sur un piquet en bois servant de chaise, une réfugiée, Berthe Selebiro, retrousse son pantalon et montre son genou qui porte encore des blessures, à peine cicatrisées, occasionnées par des chutes lors de sa fuite de Cantonnier, un village centrafricain voisin de la frontière.

"Il y avait des coups de feu partout. Des balles venaient vers nous. J'ai dû m'enfuir avec mes trois filles, en abandonnant tous mes effets dans ma maison", raconte-t-elle.

"Nous étions obligées de courir dans la forêt jusqu'à Garoua Boulaï. A un niveau, je me suis évanouie avant d'être ranimée", rapporte-t-elle, affirmant avoir eu la vie sauve "grâce à Dieu".

Pour elle, comme pour d'autres réfugiés, il n'est pas question de rentrer dans son pays.

"Je ne rentre pas, parce que la situation ne s'est pas améliorée au pays. Il y a des assassinats qui se perpétuent", affirme M. Dolly-Debat.

"Lorsque les rebelles du Séléka ont pris la capitale, ils ont promis la sécuriser mais ils n'ont rien fait. Le vandalisme s'est installé", explique M. Dolly-Debat, dont la maison a été pillée et détruite à Bangui, selon ses dires.

"Pour rien au monde, je ne peux retourner dans mon pays. J'ai envie de changer de nationalité. Tout ce que je veux, c'est vivre en paix avec ma famille", renchérit une autre réfugié, Narcisse Wandakama, 30 ans, réfugié au camp avec son épouse et leurs trois premiers enfants.

Assise sur une natte, l'épouse de cet aide mécanicien de Bangui tient entre ses bras leur dernier bébé, né dans le centre de santé de Nandoungué il y a quelques jours. A l'intérieur de la tente: une bassine, des seaux et bidons d'eau offerts par le HCR.

"Nous n'avons presque rien pris en fuyant. Nous sommes partis de Bangui lorsque nous avons appris que les rebelles se rapprochaient de la capitale", affirme M. Wandakama.

"Mon épouse était presque à terme. Nous avons voyagé pendant quatre jours à bord d'un camion dans lequel il y avait au moins 50 personnes. C'était très dur et j'ai eu peur de perdre mon bébé", souligne-t-il.

Depuis fin mars, cinq réfugiées ont accouché mais il y a eu un mort né, selon M. Mvongo de la Croix-Rouge.

A l'entrée du camp, femmes et hommes portant leurs enfants ou les tenant par le bras font la queue devant une infirmière de la Croix-Rouge.

Yolande Mpassissa vaccine contre la rougeole des enfants de 9 mois à 15 ans dans le cadre d'une campagne de prévention lancée au camp "parce qu'il y avait une épidémie de rougeole en Centrafrique", explique M. Mvongo.

Avant les derniers troubles, le Cameroun accueillait déjà dans les régions de l'Est et de l'Adamaoua (nord) 87.243 réfugiés centrafricains regroupés dans divers villages, selon le HCR, conséquence des crises à répétition qui ont secoué le pays ces 30 dernières années.

Michel Djotodia désormais président de la République centrafricaine

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Crée le 14-04-2013 14H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le dimanche 14-04-2013 -14H30 PAR : ARTV NEWS

 

 

 

 

BANGUI  - Michel Djotodia, chef de la coalition rebelle qui a pris le pouvoir en Centrafrique le mois dernier en renversant le président François Bozizé, a été comme prévu élu président de la République lors de la première session du Conseil national de transition (CNT), formé par toutes les composantes politiques du pays, a constaté un journaliste de l'AFP.

Michel Djotodia désormais président de la République centrafricaine

 

© AFP/Archives Sia Kambou. Michel Djotodia, chef de la coalition rebelle du Séléka, le 29 mars 2013 à Bangui.

 


M. Djotodia, qui s'était autoproclamé président après la prise de Bangui le 24 mars par les rebelles du Séléka, était l'unique candidat. Il a été élu sous les applaudissements par acclamation, sans vote.

Selon une source diplomatique, son élection était un passage obligé pour "donner un peu de légitimité" à Michel Djotodia, avec "un habillage institutionnel", alors que ses hommes contrôlent le pays et la capitale.

Elu pour 18 mois, il aura la charge de conduire le pays vers des élections libres et démocratiques et une nouvelle constitution après les dix ans du régime Bozizé.

Il s'est engagé à respecter les accords signés en janvier à Libreville entre les composantes politiques de la Centrafrique et qui lui interdisent de révoquer le premier ministre Nicolas Tiangaye, issu de l'opposition à l'ancien président.

La mise en place du CNT était l'une des recommandations du sommet des chefs d'Etat d'Afrique centrale réunis à N'Djamena le 3 avril qui cherchait à normaliser la situation après la victoire militaire de la rébellion.

Ce Conseil est composé à la fois de membres du Séléka, de l'ancienne opposition au président déchu, de partisans de l'ancien régime, ainsi que d'anciens rebelles et personnalités de la société civile.

Vendredi soir, la radio avait annoncé que le CNT était passé de 97 à 105 membres, apparemment pour satisfaire des demandes de la société civile et de certains partis politiques. Ce chiffre de 105 correspond au nombre de députés dans l'ancienne assemblée nationale, alors que le CNT est appelé non seulement à légiférer mais aussi à jouer un rôle d'assemblée constituante.

Les partis politiques y comptent désormais 24 représentants (au lieu de 20 précédemment), et le Séléka a réduit son quota de 20 à 15 membres. Michel Djotodia figure parmi eux.

Les personnalités de la société civile, nommées par différentes organisations (jeunesse, femmes, patronat, syndicat etc...) composent l'essentiel du CST.

Le Conseil compte également de nombreux anciens ministres et députés, parmi lesquels l'ex-Premier ministre Enoch-Dérant Lakoué (1992-1993), Cyriaque Gondale, président du Parti national pour un Centrafrique nouveau (PNCN), ou l'ancien ministre de la Défense Jean-Jacques Demafouth, opposant emprisonné par le président Bozizé.

Corée du Nord: une belle leçon de morale aux superpuissants

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Crée le 14-04-2013 14H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le dimanche 14-04-2013 -14H30 PAR : ARTV NEWS

La Corée du Nord, ce pays décrit par les Américains et les Occidentaux, Japon compris, comme étant pauvre, au bord de la famine, n'ayant rien à offrir à son peuple, constitue depuis quelques jours une menace pour les USA, pour la stabilité du continent asiatique… et peut-être du monde entier.

 

Corée du Nord: une belle leçon de morale aux superpuissants
Aux dernières nouvelles, les USA sont allés jusqu'à reporter un essai balistique intercontinental, un Minuteman 3, missile balistique intercontinental à ogives nucléaires, depuis la base aérienne de Vandenberg en Californie, et ce «à cause des tensions autour de la question nucléaire avec la Corée du nord, selon un officiel américain en charge de la Défense.

Et puis quoi encore, les USA font marche arrière en raison d'une menace nord-coréenne, eux qui ont mis à plat tout ce qui bouge à travers le monde, de l'Irak à l'Afghanistan. Et qui n'a pas peur des américains ? Tout les pays du monde n'osent pas se frotter à l'oncle Sam de peur de subir des représailles, d'être humilié, de subir les affres et les foudres du drapeau étoilé de la super puissance mondiale. Il n'y a eu que l'ancienne URSS qui a pu créer un équilibre et «bloquer» les States afin de ne pas confondre ses intérêts et ceux du bloc des pays de l'Est.

Mais, depuis la chute du mur de Berlin, la désagrégation de l'URSS en petites républiques dont certaines ont choisi le parapluie occidental et américain, rien ne va plus, les américains règnent en maîtres à travers le monde, ils font la pluie et le beau temps, décident à la place des autres et ne font fi de quiconque et de qui que ce soit.

Jusqu'à une date tout à fait récente, qui aurait pu défier les américains ? Qui aurait pu aller jusqu'à les menacer ? Personne et vraiment personne ! Seule la Russie de Poutine et de Medvedev ose la mettre un tout petit peu au pied du mur, sans trop forcer, mais quand même dirions-nous.

A part la Russie, personne d'autre sauf à un degré moindre, la République populaire de Chine, beaucoup plus sur le plan économique, qui tient tête aux américains grâce à son économie forte, sinon rien, le reste se sont les alliés, ceux qui hochent la tête quand les américains parlent et ceux qui traînent derrière en suivant et en appliquant au mot ce que veulent faire les amerlocs.

Et là arrive le petit-fils de Kim Il Sung, un jeunot selon les politiciens et ceux qui n'ont pas accepté le fait qu'il tienne tête à la première puissance de guerre de la planète terre. Il dira deux mots en direction de l'Amérique qui l'agace depuis des années, comme elle l'a fait pour son père et pour son grand-père et aussi pour le peuple de la Corée du nord.

Les politiques américains veulent que le monde entier soit à leurs pieds, sur les genoux, ils n'admettent personne d'autre se mettre à leur hauteur et ce petit «monstre» de coréen du nord qui vient narguer le président d'un grand pays, n'a pas froid aux yeux de les affronter et de leur faire peur, et à toute la région. Beaucoup de gens ont également peur de voir une troisième guerre mondiale pointer son nez, et celle-là sera celle de l'arme nucléaire, la plus dévastatrice pour l'humanité.

Hé bien, figurez-vous mes amis que les américains qui ont reporté le lancement de leur missile ont dit qu'ils l'ont fait, selon une dépêche d'agence de presse internationale, «du fait d'inquiétudes sur le fait que cela "puisse être considéré comme exacerbant la crise en cours avec la Corée du Nord"». Il dira plus que cela, enregistrez s'il vous plait : «"Nous voulons éviter une mauvaise perception ou une manipulation"», et d'ajouter : «"nous nous sommes engagés à tester nos missiles balistiques intercontinentaux (ICBM) pour garantir un arsenal sûr, fiable et efficace"».

Quand est ce que les USA ont fait pareille marche arrière ? Qui se souvient de pareil revirement, même du temps de la guerre froide avec l'URSS, il n'y a jamais eu ça, sauf lors de la crise de Cuba ou il a été utilisé un soulier pour taper sur la table aux Nations unies. Seuls les navires soviétiques, dans le temps, avaient pu arrêter la belliqueuse attaque US contre le petit voisin cubain. Et depuis plus rien, même l'installation par les USA du parapluie nucléaire en Europe (pour faire barrage aux armes nucléaires de la Russie en cas d'attaque) n'a pas été inquiété par les russes, et les américains ont fait ce qu'ils ont voulu dans les ex pays de l'Est.

Hé bien chers amis, chers lecteurs, cette situation de guerre et de non-guerre a pour origine «un train de sanctions décidées par qui ? Par l'Organisation des Nations Unies (ONU) qui marche à la baguette américaine et occidentale en général, et on l'a vu à plusieurs reprises dans de nombreux cas quand les occidentaux veulent faire quelque chose qui va dans leurs intérêts, impliquent l'ONU pour que personne n'en trouve à redire, et le tour est joué !

Et là, l'ONU aurait été comme on dirait chez nous «Zaama exaspérée» par le dernier essai nucléaire de Pyongyang début février dernier. Serait-ce vrai s'il n'y avait pas la réaction du Japon en premier après les voisins du sud et bien sur les américains installé depuis le siècle dernier dans la péninsule coréenne et qui ont à l'œil tout ce qui bouge dans la région et aussi chez la RP de Chine.

Hé bien, les coréens du nord que l'occident prend pour des moins que rien alors qu'ils disposent de l'arme nucléaire et d'une armée et d'un peuple forts et disciplinés, ont réagi eux aussi aux manœuvres militaires américano-sud coréennes, en installant un autre missile de moyenne portée sur sa côte-est et eux également, pourquoi pas, menacent de frappes nucléaires tout objectif ennemi, US compris.

La Corée du nord est allée jusqu'à demander aux capitales du monde de retirer leurs personnels diplomatiques de leurs ambassades sous prétexte que celles-ci ne seront plus protégées, à la guerre comme à la guerre, même si les occidentaux ne semblent pas prendre au sérieux les menaces de Pyongyang, pensant qu'il s'agit de pressions devant les amener à avoir davantage peur, et si seulement ! .

Et là, le voisin sud-coréen est en train de souffler sur la braise, il donne aux américains et à l'occident toutes les infos possibles et imaginables sur ce qui se passe en Corée du nord. Le mouvement des troupes nord-coréennes, le déplacement des moyens matériels de Pyongyang, surtout les missiles qui peuvent causer des dégâts dans toute la région, Corée du sud, Japon et au-delà, soit jusqu'aux bases US se trouvant à portée de tirs.

La Corée du sud prend peur ou fait semblant pour rameuter les USA et tout l'occident afin que tous viennent à son secours en continuant à la protéger de ses voisins gênants et qui ne font pas son affaire et celles des américains qui avaient l'habitude de faire taire tout le monde, mais qui sont tombés devant un os plus dur qu'eux, n'ayant rien à perdre et tout à gagner devant le recul de tout ce monde et la peur bleue ou jaune qu'ils ont eu depuis le début de cette crise de la péninsule coréenne.

Il faut dire et reconnaître que ce coup de tête de la Corée du nord et de ses dirigeants a bel et bien fait le bonheur de beaucoup de gens, exacerbés par les humiliations des américains au reste du monde, notamment ceux qui n'épousent point leurs thèses, pas forcément les terroristes qu'ils ont formés pour faire peur au monde, mais beaucoup plus ceux qui ont une dent contre les USA pour avoir été vus comme moins que rien, une quantité négligeable, mais qui ont leur dignité et à laquelle ils y tiennent. C'est surtout le cas de l'Iran qui fait face depuis de très longues années au diktat des américains et c'est aussi le cas de beaucoup d'autres pays qui n'osent pas broncher devant l'ogre US de peur de subir ses foudres et d'être mis au ban des nations mal aimées et haies par ceux qui font les coqs après avoir pendant des siècles dépouillés les colonies de leurs richesses et patrimoine.

Le geste nord-coréen, même s'il menace la paix du monde, a le mérite d'avoir mis un terme même momentanée à l'hégémonie US, chose que nombre de pays et de peuples garderont en mémoire, pour peu que le monde retrouve ses équilibres.

Je pense chers amis lecteurs que ceci doit constituer une belle leçon de morale aux superpuissants pour savoir que plus petit qu'eux peut leur faire peur à condition qu'il possède les moyens de créer une catastrophe et un désastre mondial.

La Corée partagée en deux, l'un du nord et l'autre du sud, est le seul pays qui n'a pas connu de réunification au moment ou certains ont vu leurs sud et leurs nord se retrouver en un seul Etat, et ce par la faute de l'entêtement de l'occident et des USA qui veulent garder un œil et un pied sur cette région, au regard de son caractère stratégique.

Le Général Giap avait dit sa sentence à travers sa phrase historique que l'impérialisme est un mauvais élève. Pour ceux qui ne connaissent pas ce Général vietnamien, Giap a été un héros des deux guerres contre la France coloniale et contre les américains au siècle dernier.

Je crois qu'à travers la réaction des dirigeants nord-coréen, pour peu qu'ils n'aient pas raison, il est une nécessité que les grandes puissances, celles qui «commandent» aux destinées du monde au sein du Conseil de sécurité de l'ONU qu'ils utilisent pour servir leurs intérêts et seulement leurs intérêts, de réviser un tant soi peu leurs visions d'un monde injuste qu'ils continuent à sauvegarder, et qu'ils doivent se dire qu'un de ses quatre leur puissance disparaitra comme a disparue la puissance de Rome et de tous ceux qui ont imposé leur force sur le monde ancien. A bon entendeur salut !

http://www.lequotidien-oran.com/index.php?news=5181596 http://www.lequotidien-oran.com/index.php?news=5181596

Koffi Olomide adepte du diable ! ( 6 fois ) le chiffre six confirme par deux fois" la puissance du diable" ! (deux fois la bête)

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Crée le 14-04-2013 14H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le dimanche 14-04-2013 -16H30 PAR : ARTV NEWS

KOFFI-AVEC-LE-DIABLE.jpg

Les adeptes du diable sont ravis d'entendre dans la bouche de koffi Olomide que son prochain album qui sortir bientôt portera le nombre 666.

En suivant l'interview de Koffi Olomide à la 13 minutes on s'aperçoit que celui ci fait la promotion du mal à la lumière de la symbolique du diable qui est le 666, qui également i caractérise son appartenance à cette divinité diabolique.

Le nombre de la Bête ou chiffre de la Bête est contenu dans l'Apocalypse de Jean, au chapitre 13, verset 18. Le Coran met l'accent sur cet aspect de choses, et met en garde ceux qui seront trompés par la séduction de la bête.

Leur distraction de wenez ( marché) du bazar avec le déshonorable Zacharie BABABASWE, éclipse le souci fondamental que les patriotes Congolais ont avec le régime en place qui cherche des prétextes dans des complots imaginaires contre l'imposteur Joseph KABILA pour museler l'opposition, l’avènement de la vraie démocratie et personne s'en occupe. Ils nous pompent l'air avec leur niaiserie qui n'intéresse personne.

Un peuple incroyable, ces congolais, qui favorisent l'insignifiant à l’essentiel. La malédiction a plusieurs formes, celle de l'insouciance est aussi une malédiction. Un peuple maudit !

Et nous avons le président qu'on mérite, c'est aussi une malédiction....


Boycottons cet album et ceux qui se lanceront dans l'achat de cette œuvre du diable, seront de fait, complices !


Roger BONGOS

Voir le lien de l'interview de Koffi avec une qualité de son médiocre à la lumière de nos vies.

http://www.voiceofcongo.net/koffi-olomide-déclare-akomema-zacharie-bababaswe-ti-na-suka-eyindi

Angola : Edouardo Dos Santos dit non aux fausses églises, beaucoup sont suspendues !

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Crée le 14-04-2013 14H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le dimanche 14-04-2013 -14H30 PAR : RFI


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En Angola, le pouvoir vient de prendre des sanctions contre des églises évangéliques, notamment l’Eglise universelle du royaume de Dieu, qui doit suspendre ses activités pendant 60 jours. La mesure fait grand bruit car ce mouvement, venu du Brésil, rencontre un grand succès dans le pays.

La sanction envers l'Eglise universelle du royaume de Dieu intervient après l’organisation par cette église d’une veillée de prière le 31 décembre à Luanda qui a tourné au drame. La veillée a eu un tel succès qu’elle a entraîné une bousculade qui a causé la mort de 16 personnes et fait une centaine de blessés.

Devant la vive émotion suscitée et les critiques dans les médias, le pouvoir a créé une commission pour mener une enquête. Conclusions : il y a eu des défaillances graves dans la sécurité de l’événement et l’Eglise a fait usage de publicité mensongère pour faire venir les fidèles. Le slogan de la veillée était : « Venez mettre fin à tous vos problèmes en cette fin d’année : chômage, maladie, disputes familiales… »

La sanction est tombée comme un couperet : l’église organisatrice est suspendue pendant deux mois et elle va faire l’objet d’une enquête judiciaire. Six autres églises, aux pratiques proches et non reconnues par le pouvoir, sont aussi suspendues.

Laisser couler pour faire oublier l’affaire

Cette décision a surpris tout le monde. Bon nombre de personnes avaient en effet parié sur l’absence de réaction du pouvoir. L’Eglise universelle du Royaume de Dieu dans le pays compte 400 000 fidèles, 230 temples et d’importants soutiens politiques et économiques. Son importance dans le pays laissait en effet envisager une certaine clémence. L’église incriminée semble elle-même avoir été un peu prise de cours : elle avait promis de donner sa position lors d’une conférence de presse, avant d’y renoncer. Depuis, elle observe un silence absolu.

Mais c’est surtout la justification utilisée qui fait débat. Beaucoup rappellent qu’il n’y a eu aucune sanction contre l’Eglise catholique après la visite du Pape en 2009, qui s’était aussi soldée par des décès malheureux de fidèles. L’actuelle sanction serait alors un moyen de contrecarrer le succès de l’Eglise brésilienne et plus largement des nouvelles églises évangéliques au profit du culte traditionnel catholique.

Parmi les catholiques, on récuse cette idée mais on est aussi dubitatif : la condamnation d’une publicité mensongère s’appuyant sur une croyance religieuse pourrait concerner n’importe quelle église et porter atteinte la liberté de religion. Pour d’autres enfin, la décision est un moyen pour le pouvoir de se déculpabiliser : en laissant les nouvelles églises se développer très fortement sans contrôle, il a sa part de responsabilité dans le drame. Il sanctionne maintenant pour essayer de se rattraper.

Vers un contrôle des églises évangéliques ?

Chacun attend le résultat de l’enquête préliminaire de la justice. En cas de classement de l’affaire, les choses reprendront leur cours et la décision du pouvoir passera sans doute pour un bon exercice de communication. Un procès voire une condamnation serait un coup dur pour l’Eglise et ses nombreux fidèles avec parmi eux des personnalités du pouvoir.

Au-delà, reste la question de l’enregistrement des églises évangéliques, toujours plus nombreuses, et celle du contrôle de leurs activités, souvent controversées. Le pouvoir a promis de mettre de l’ordre. Mais avec plus de 1 000 églises actives dans le pays, la tâche est considérable.

[ Video] Un iPhone à 12 millions d'euros, rien que ça !

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Crée le 16-04-2013 06H30 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le mardi 16-04-2013 - 06H30 PAR : ARTV NEWS

 

 

Un riche homme d'affaires chinois a commandé un iPhone 5 au prix de dix millions de livres sterling, soit douze millions d'euros, rapporte Le Parisien. La cause de ce prix exorbitant: l'appareil dispose d'une coque en or massif sertie de quelque 650 diamants. L'iPhone 5 "Black Diamond", avec sa coque de 135 grammes d'or 24 carats a été conçu par le célèbre designer de luxe Stuart Hughes. 600 diamants blancs sont incrustés autour du smartphone. Le logo de la marque, en or massif, est lui assorti de 53 diamants. Pour les plus "petites" bourses, le designer propose également une version plaqué or à 25.000 euros. Grand fan d'Apple, l'homme d'affaires chinois a tenu à garder l'anonymat.

 

 

 


TGI/Gombe : une affaire de loyer tourne au vinaigre

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Crée le 16-04-2013 06H30 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le mardi 16-04-2013 - 06H30 PAR : LE PHARE


Une affaire de loyers a fait couler encre et  salive entre un bailleur et son locataire, dans la commune de Kintambo. Le litige qui oppose les parties en cause porte sur le préavis sollicité par le bailleur Kabasele pour son locataire Afukele qui ne parvient plus à payer le loyer depuis une année. Au cours de ce procès, le plaignant Kabasele a fait savoir par le biais de son avocat que sa plainte concerne également un certain Kandolo et consorts, fonctionnaires de leur état, pour usurpation des pouvoirs, arrestation arbitraire, torture, etc. Ils auraient établit à l’insu du bourgmestre de Kntambo une lettre de  prolongation de préavis en faveur du locataire Afukele alors qu’ils qualité, a dit l’avocat-conseil de la partie civile au cours de l’audience publique lundi 15 avril 2013 au Tribunal de Grande Instance de la Gombe. C’est dans la chambre II que l’audience publique de cette cause sous RP 23.506 a eu lieu.  

 

            D’entrée de jeu, le tribunal, après avoir constaté que la procédure était régulière vis-vis de deux parties au procès, a accordé la parole à l’avocat du plaignant pour donner le motif de sa plainte. Prenant la parole, ce dernier  a indiqué que son client est propriétaire d’une parcelle  dans la commune de Kintambo.  Afukele est son locataire. Il a fait 12 mois sans payer le loyer. C’est ainsi que le bailleur avait saisi la commune pour obtenir un préavis. Mais curieusement, le locataire à son tour va obtenir la prolongation de préavis frauduleusemen. C’est ainsi que mécontent de ce comportement, il a cherché à voir le bourgmestre pour avoir des éclaircissements.Les cités l’ont menacé arbitrairement, sans justification. Pour ce motif il a demandé des dommages et intérêts de 25.000 dollars pour préjudice subis par son client.

            En réplique, l’avocat-conseil de la partie citée a indiqué que les faits pour lequel ses clients sont poursuivis ne sont pas établits en fait comme en droit dans la mesure où aucune preuve n’a été présentée pour attester ces accusations. Et dans la commission de toutes infractions mises à leurs charges nulle part la partie civile n’a indiqué le rôle joué par chacun. Cette action n’a pas sa raison d’être parce que pour qu’une infraction puisse avoir lieu il faut qu’il y ait des éléments matériel et moral. Mais dans le cas sous examen, ces infractions ne tiennent pas debout, a dit le même avocat. Il a demandé au tribunal de condamner  le plaignant au  paiement des dommages et intérêts de 100.000 $, ainsi qu’aux frais d’instances pour procès téméraire et vexatoire à l’endroit de ses clients. 

            Le ministère public, dans son avis a estimé qu’il y a infraction d’arrestation arbitraire dans, la mesure où la partie civile a été privée de tout mouvement et trainée par terre par la partie adverse.

Murka et (Mayonga, Stg Ifasic)

12 Défenseurs des Droits de l’Homme condamnés à 20 ans de prison RDC : une situation inadmissible

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Crée le 16-04-2013 00H30 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le mardi 16-04-2013 - 00H30 PAR : ARTV NEWS

 

 

 

 L’Association Africaine de défense des Droits de l’Homme, ASADHO en sigle, exprime sa vive déception face à la condamnation de 12 défenseurs des Droits de I’Homme à la peine de 20 ans de servitude pénale principale par le Tribunal de Grande Instance de la ville de Bandundu, en République Démocratique du Congo, en violation de toutes les garanties nationales et internationales relatives au procès juste et équitable.

Pour rappel, les 12 défenseurs des Droits de I’Homme, membres de I ‘Association pour la Défense des intérêts de la ville de Bandundu avaient été arrêtés le 26 mars 2013 sur l’ordre du Gouverneur de la Province de Bandundu, Monsieur Jean KAMISENDU KUTUKA, pour avoir appelé la population à participer à la manifestation pacifique projetée pour le 27 mars 2013 afin de protester contre la majoration des factures de consommation d’énergie électrique et d’eau.

Après leur arrestation, ils seront poursuivis pour association des malfaiteurs, racisme et tentative d’évasion devant le Tribunal de Grande Instance de la Ville de Bandundu, sous le RP 7963.

            Les 12 défenseurs des Droits de l’Homme ont été condamnés à 20 ans de servitude pénale principale ce vendredi 12 avril 2013.

            L’ASADHO relève que pendant toute la procédure, les juges ont subi plusieurs pressions de la part du Gouverneur de Province et de ses proches pour qu’ils condamnent les défenseurs des droits de l’Homme.

Lors de l’audience des plaidoiries, les prévenus qui avaient retiré leur confiance à leurs avocats soupçonnés d’être entrés en collision avec le Gouverneur de province, avaient sollicité le renvoi de l’audience à un jour, pour réorganiser leur défense, mais les juges ont catégoriquement refusé d’accéder à cette demande légitime, en violation du droit de la défense garanti par la constitution et le Pacte International relatif aux droits civils et politiques. Les juges ont condamné les prévenus à une peine lourde sans avoir entendu leurs moyens de défense.

            Elle condamne l’instrumentalisation de la justice par le Gouverneur de la province de Bandundu et rappelle que le fait pour une association légalement constituée d’appeler la population à prendre part à une manifestation pacifique ne peut être constitutif des infractions mises à la charge des prévenus.

Face à ce qui précède, I’ASADHO recommande :

Au Président de la Cour Suprême 

- De Diligenter une enquête sur la manière dont les juges qui ont connu de cette affaire se sont comportés.

- De veiller à ce que les juges d’appel respectent les droits fondamentaux des prévenus et les garanties d’un procès juste et équitable.

 

Au Gouverneur de la Province de Bandundu 

- De s’abstenir de tout acte de nature à porter atteinte à l’Independence des juges et à la liberté d’action des défenseurs des droits de l’Homme.

 

Aux juges de la Cour d’Appel de Bandundu 

 

- Relaxer les 12 défenseurs des Droits de l’Homme pour absence des faits infractionnels dans leur chef.

Fait à Kinshasa, le 15 avril 2013

 

ASADHO

Motion de défiance contre Matata : 41 des 137 signataires se rétractent

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Crée le 16-04-2013 06H30 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le mardi 16-04-2013 - 06H30 PAR :  Le Potentiel

Mayo Mambeke

 
Coup de semonce lundi 15 avril à l’Assemblée nationale où 41 des 137 signataires de la motion de défiance contre le Premier ministre Augustin Matata Ponyo ont retiré leurs signatures par des correspondances écrites, entrainant ipso facto le nombre des signatures en bloquant dans la foulée la procédure constitutionnelle.

Aux termes de l’article 146 de la Constitution, « une motion de défiance contre le gouvernement n’est recevable que si elle est signée par un quart de membres de l’Assemblée nationale » qui compte 500 députés, le quart représentant 125.
« Nous venons des vacances parlementaires. Nous avons trouvé que plus rien ne va à l’intérieur du pays malgré le discours folklorique du gouvernement. L’insécurité est généralisée à travers le pays. Le social ne marche bien qu’aux yeux du gouvernement. Le gouvernement Matata doit des explications claires et nettes », avait expliqué jeudi 11 avril l’initiateur de la motion Jean Baudouin Mayo (UNC, opposition), en déposant le document au bureau de l’Assemblée nationale.
« C’est notre motion à nous tous, ce n’est pas ma motion à moi seul. Nous sommes là pour suivre la gestion du pays pour dire que ça va ou ça ne va pas. C’est ça la motivation (de la motion)», avait-il souligné.
Débats passionnés, confirmation des signatures

Le rapporteur de l’Assemblée nationale ayant lu les lettres de retrait des 41 signataires, il s’en est suivi un véritable débat passionné entre les députés de la Majorité et ceux de l’opposition, après les regrets exprimés par l’initiateur de la motion de défiance.
Au finish, le président de l’Assemblée nationale Aubin Minaku a posé la question de savoir « qui valide les signatures » d’une motion. « Il faut respecter la procédure. Nous continuons la pratique des exercices législatifs de 2006 et 2011.  Pour les prochaines motions, le bureau (de l’Assemblée nationale) va valider les signatures (par rapport aux spécimens déposés au secrétariat) si vous estimez que c’est la compétence du bureau », a-t-il dit aux députés.

« Aujourd’hui, votre bureau a respecté le règlement intérieur. Le bureau ne fait que respecter le règlement intérieur. Et donc, nous allons - comme on le fait d’habitude - certifier les signatures quant à la procédure », a-t-il encore expliqué.

Le «Théâtre de chez-nous» au Palais du peuple !

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Crée le 16-04-2013 06H30 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le mardi 16-04-2013 - 06H30 PAR : LE PHARE

Les Congolais ont, encore une fois, assisté hier lundi à un spectacle indigne d’un pays qui se respecte, à travers les institutions républicaines.  A la place d’une plénière parlementaire, on a plutôt suivi une véritable pièce de théâtre bien propre à la RDC.

          Tout le monde attendait fiévreusement de connaître les griefs retenus contre le chef du gouvernement et la manière dont le débat allait se dérouler en marge de la motion de censure adressée au Premier ministre, par le député Jean Baudouin Mayo Mambeka.

          Malheureusement, ceux qui sont censés représenter le peuple ont préféré se livrer à sport dont il faudra trouver le nom dans l’avenir, poussant aux commentateurs à conclure qu’ils sont plutôt préoccupés par leurs intérêts égoïstes que la défense de l’intérêt général !

          Voilà ce qui convient pour qualifier l’attitude des députés qui ont fait volte-face en dernière minute, en renonçant à leurs signatures, sans fournir une explication susceptible de justifier leur décision. Pourtant, qu’ils avaient librement consenti à la démarche de leur collègue visant le contrôle de l’exécutif ou mieux la transparence dans la gestion des affaires publiques.

          En effet, sur les 137 signataires de la motion de censure contre Augustin Matata Ponyo, 41 ont fait un revirement spectaculaire en retirant leurs signatures par des correspondances au président de leur institution.

          Ce qui est le plus étonnant dans ce dossier, hormis l’effet de surprise, c’est lorsque les auteurs du désistement ne fournissent aucune explication quant à ce! Pire encore, certains parmi eux ne l’ont pas fait de leur gré. C’est la hiérarchie de leurs formations politiques ou plateformes qui a agi en leur nom, les obligeant ainsi à se plier. C’est le cas des députés de l’UNAFEC dont la lettre du président de leur parti adressée à Aubin Minaku a été lue en plénière.

 

Des députés aux mains liées

 

          Alors qu’une disposition de la constitution proclame l’indépendance du député vis-à-vis de son parti ou plateforme politique, le film vécu hier au Palais du peuple a surpris plus d’une personne.

          A l’analyse de leurs lettres au bureau, on constate que ceux qui ont jeté l’éponge l’auraient fait sur base des pressions subies ou moyennant la contrepartie en espèces sonnantes, d’après certains témoignages rapportés par des intervenants.

          Ce qui ouvre la voie à des commentaires en sens divers. Notamment d’aucuns pensent désormais qu’une bonne partie des députés, en particulier ceux de la famille politique régnante, qui siègent au Palais du peuple ne sont pas responsables des actes qu’ils posent. Tout leur serait dicté de l’extérieur, et qu’ils ne sont que simples exécutants des ordres.

          D’autres relèvent que les «Représentants du peuple», ne le sont que de nom. Ils représentent, en réalité, leurs propres intérêts. Enfin, le spectacle d’hier au Palais du peuple donne raison à ceux qui ont toujours fustigé le caractère nominatif de la majorité des députés qui siègent actuellement dans l’hémicycle de Lingwala.

C’est ici qu’il faut relancer le débat sur la responsabilité d’un élu, son statut de représentant du peuple et le relai de ses aspirations !

 

Insulte aux électeurs 

 

          En tout cas, le comportement affiché hier par les députés qui ont retiré leurs signatures a déçu même dans leur propre camp.

          Leur attitude frise la déconsidération envers les élus, du moins pour ceux qui étaient réellement élus.

Comment expliquer qu’un député, prétendument représentant du peuple, ne soit pas responsable des actes qu’il pose ? Ceux qui ont désisté ont-ils été forcés d’apposer leurs signatures sur le document ou l’avaient-ils fait manu militari ? La réponse ne peut être négative quand on sait que l’initiateur de la démarche est un député de l’opposition.

          Comment alors expliquer que quelqu’un ayant signé librement un document, après en avoir pris connaissance, puisse se résigner en dernière minute sans justification?

Au-delà de ces quelques questions résumant l’essentiel des préoccupations du public, on se demande également si certains députés n’éprouveraient-ils de difficultés pour la compréhension de la langue française dans laquelle sont rédigés les documents de travail qu’on leur remet.  Car, à suivre la lecture de certaines lettres de désistement, on constate que certains avaient signé par inadvertance.

          Si tel pouvait être le cas, une hypothèse d’ailleurs à exclure s’il faut s’en tenir aux conditions imposées aux candidats par la CENI, chaque député a un assistant qui est rémunéré par le Trésor. Et ce dernier qui tient le cabinet de l’élu, a le devoir d’éclairer la lanterne de son patron lorsque ce dernier éprouve des difficultés sur une matière.

 

De la hauteur messieurs les députés, s’il vous plait

 

          Un homme politique, par essence, est celui qui sait assumer la responsabilité de ses actes, même si ceux-ci ne bénéficieraient de l’adhésion du grand nombre.

          Mais, ce qui se passe en Rdc semble donner raison à un acteur politique africain qui avait fustigé la classe politique zaïroise. Le comportement de ceux qui sont censés représenter la nation et son peuple, qui reste marquer par une légèreté légendaire doublée d’irresponsabilité, suscite beaucoup d’inquiétudes. C’est comme si on ignorait que les séances du parlement sont suivies par tout le monde, Congolais comme étrangers, dont les diplomates accrédités en Rdc. En plus, les députés semblent ignorer qu’ils ont la charge de veiller à la bonne image du pays à l’extérieur par leur prestation.

          La majorité au pouvoir, par le bureau interposé, doit éviter de donner l’impression de vouloir à tout prix esquiver le débat sur des questions cruciales de la vie de la nation. Pourquoi étouffer le débat, à deux reprises, quand bien même tout le monde savait que cela n’allait pas donner le résultat voulu par les signataires? Car, personne n’ignore la manière mécanique dont cette majorité fonctionne lorsque la démarche émane du camp opposé.

          Les cas sont légion. On sait comment s’était terminée la motion de défiance contre le ministre d’Etat Nkulu Kilombo, celle contre le ministre Botshwali, ou encore le débat sur les contrats chinois. Du moins, on avait laissé le débat se dérouler et les intervenants n’avaient aucune contrainte pour dire ce qu’ils pensaient.

Messieurs les députés, voyez comment ça se passe ailleurs et adaptez-vous. Pour cela, il est temps que vous puissiez vous délier du diktat de vos familles politiques pour faire droit aux aspirations du peuple.

Dom  

JC Vuemba crie au scandale !

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Crée le 16-04-2013 06H30 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le mardi 16-04-2013 - 06H30 PAR : LE PHARE

          Réagissant à chaud aux péripéties ayant entouré le rejet de la motion de censure de son collège Mayo hier par la plénière de l’Assemblée Nationale, le député Jean-Claude Vuemba s’est dit scandalisé par le « spectacle insipide » qu’il venait de vivre. Choqué par le tralala offert au peuple congolais et au monde extérieur, l’élu de Kasangulu a fait savoir que le Bureau de la Chambre Basse du Parlement n’aurait pas dû convoquer la plénière, dès lors qu’il était acquis que 40 signataires de cette motion avaient pris la décision de désister.

          Selon le tout nouveau 1er Vice-Président du groupe parlementaire UDPS et Alliés, une dizaine de députés ont été approchés et soudoyés par un membre du Bureau de l’Assemblée Nationale, afin d’obtenir le retrait de leurs signatures. « Il s’agit d’une compromission grave pour des citoyens qui prétendent défendre les intérêts du peuple », a-t-il martelé.

          L’élu de Kasangulu a tenu à rappeler à tous que les sociétaires du groupe UDPS et Alliés restent attachés à la bonne gouvernance. Par conséquent, ils vont poursuivre leur combat contre les antivaleurs.

          Afin d’éviter des comédies du genre de celle du lundi 15 avril 2013, il propose un modus vivendi à l’Assemblée Nationale et au gouvernement, à savoir la présentation du Premier ministre tous les quinze jours ou une fois le mois devant les députés en vue de répondre régulièrement à leurs préoccupations.

                              Kimp

Louise Mushikiwabo : « Nous ne pensons pas qu’une action militaire soit la solution aux problèmes dans l’est de la RDC »

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Crée le 16-04-2013 06H30 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le mardi 16-04-2013 - 13H50 PAR : RADIO OKAPI

Madame Louise Mushikiwabo, Ministre des Affaires Etrangères et de la Coopération de la République du Rwanda le 19/06/2012 à Kinshasa, lors d’une visite officielle. Radio Okapi/ Ph. Yves Kumwamba

La brigade d’intervention que l’ONU va déployer dans l’est de la République démocratique du Congo (RDC) pourra avoir un rôle de “dissuasion”, mais le plus important est le processus politique, a déclaré lundi 15 avril la ministre rwandaise des Affaires étrangères, Louise Mushikiwabo. 

Nous ne pensons pas qu’une action militaire soit la solution aux problèmes dans l’est de la RDC, donc nous considérons cette brigade comme pouvant être un moyen de dissuasion, une présence nécessaire mais elle doit être complétée par d’autres aspects, et en premier lieu sur le volet politique du conflit“, a expliqué à la presse Louise Mushikiwabo qui venait de présider une réunion du Conseil de sécurité de l’ONU consacrée à la prévention des conflits en Afrique, rapporte l’AFP.

Le Conseil de sécurité de l’ONU a voté, fin mars, une résolution créant une brigade d’intervention au sein de sa mission en RDC. Cette force est chargée de lutter contre les groupes armés dans l’est dont le Mouvement du 23 mars (M23) créé en mars 2012 par d’ex-rebelles du CNDP intégrés dans l’armée avant de redevenir rebelles. Des experts de l’ONU ont accusé l’année dernière le Rwanda de soutenir militairement le M23, ce que Kigali dément.

Après le vote de la résolution du conseil de sécurité, Kinshasa a demandé au M23 de « s’auto-dissoudre » au risque d’être la cible de la brigade d’intervention. De son côté, le M23 a affirmé qu’il s’accordait “le droit de riposter” en cas d’attaque de la brigade.

Mme Mushikiwabo a renouvelé aussi devant les journalistes les critiques de Kigali contre la Cour pénale internationale (CPI), qui selon elle “pratique davantage la politique que la justice”. “L’époque où l’Afrique était montrée du doigt par l’Occident est révolue”, a-t-elle affirmé.

Critiques contre la CPI

Par ailleurs, dans son discours devant le Conseil, elle a soutenu dans son principe l’idée d’une justice internationale. Mais, a-t-elle précisé, le Rwanda “ne peut pas soutenir une Cour pénale internationale qui condamne certains crimes mais pas d’autres”, accusant la Cour “d’être l’objet de manipulations politiques”.

Les 15 pays membres du Conseil ont adopté à l’unanimité une déclaration très générale sur la prévention des conflits en Afrique qui ne mentionne pas la CPI, malgré l’insistance de plusieurs pays membres. Selon des diplomates, les sept pays du Conseil qui sont aussi parties à la CPI (Argentine, Australie, Royaume-Uni, France, Guatemala, Luxembourg) souhaitaient rendre hommage à l’action de la Cour mais le Rwanda, qui préside le Conseil en avril, s’y est opposé.

Quatre Congolais sont actuellement incarcérés dans le centre de détention de la Cour pénale internationale à La Haye.

Germain Katanga est poursuivi pour des crimes de guerre et des crimes contre l’humanité commis pendant la guerre civile de 2002 et 2003 en Ituri. Jean-Pierre Bemba, ancien vice-président de la RDC et sénateur, est poursuivi pour des crimes de guerre et des crimes contre l’humanité qu’auraient commis ses soldats en Centrafrique en 2002 et 2003 au moment où il dirigeait la rébellion du Mouvement de libération du Congo. Thomas Lubanga, premier condamné de l’histoire de la CPI, purge une peine de 14 ans de prison pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité. La Cour l’a reconnu coupable d’avoir enrôlé et fait participer des enfants aux combats. Bosco Ntaganda, qui a fait carrière dans plusieurs mouvements rebelles de l’est de la RDC, est détenu à la Haye depuis fin mars dernier après qu’il s’est rendu à l’ambassade américaine à Kigali le 18 mars. Le procureur l’accuse des mêmes crimes imputés à Thomas Lubanga. En 2002 et 2003, Bosco Ntaganda dirigeait les FPLC (Forces patriotiques pour la libération du Congo), la branche armée de la rébellion que dirigeait alors Thomas Lubanga.

Co-accusé avec Germain Katanga, Matthieu Ngudjolo est le premier acquitté de la Cour pénale internationale. Actuellement détenu dans un centre de demandeur d’asiles aux Pays, il pourrait revenir devant les juges de la CPI, la procureure Fatou Bensouda ayant demandé l’annulation de son acquittement et un procès en appel.

CHEF DE FILE DU PRINCIPAL PARTI DE LA MAJORITÉ DOUBLE D’UN BRILLANT CONSTITUTIONNALISTE - Motion ratée contre Matata : Boshasb clôt les débats !

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Crée le 16-04-2013 06H30 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le mardi 16-04-2013 - 14H30 PAR : FORUM  DES AS



Comme ce bon vin qu’on sert à la fin, Evariste Boshab a été le dernier intervenant hier à l’occasion du débat sur la motion de censure contre le Premier ministre.  Certes, il  ne pouvait échapper à personne  que Evariste Boshab n’est pas n’importe quel député. L’élu de Mweka est, en effet, le chef de file du principal parti de la Majorité parlementaire. Et lorsqu’il prend la parole, c’est la vérité du Pouvoir qu’il déverse. Il va de soi qu’il ne pouvait pas non plus échapper à personne que le député Boshab est un vieil initié des arcanes du perchoir.  Pour y avoir trôné.

    Mais, hier, tout ce pedigree politique s’est comme effacé face à l’envergure scientifique du professeur spécialiste particulièrement au fait du droit constitutionnel. Comme un argument venu d’ailleurs, Evariste Boshab a évoqué le vœu du droit et le temps du droit. Manière pour ce docteur en droit et avocat très à cheval sur la procédure d’indiquer que la marge entre  le vœu et l’intention réelle, le  temps de préparation d’une action et le moment où l’action est engagée. En d’autres termes, c’est avec le début de l’action que commence le temps du droit. Et donc, pour la motion de censure,  le temps du droit  n’est pas à confondre avec le vœu du droit. La controverse sur l’effectivité des signatures des uns et des autres venait trouver de prendre fin.  Applaudissements dans la salle.  Une éclaircie a traversé l’Hémicycle qui  sombrait  dans la grisaille. Le Prof a parlé.  A partir de cet instant, les quolibets lancés par certains députés de l’opposition devenaient anecdotiques.

    Incidemment, même l’accusation loufoque selon laquelle le PPRD aurait élaboré la motion contre le Premier ministre s’est effondrée comme un château de cartes. Un démenti grandeur nature.  Quasi silencieux depuis le début de la législature, Evariste Boshab est resté égal à lui-même. A savoir que cet homme ne parle sur des sujets sérieux que lorsqu’il a à dire.  j.N  


Sylvestre Didier MAVOUENZELA chef d'entreprise averti et aguerri au service de la chambre de commerce de Pointe Noire.

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Crée le 16-04-2013 13H30 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le mardi 16-04-2013 - 13H30 PAR : ARTV NEWS

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Sylvestre Didier MAVOUENZELA

 

 

 

 

Pointe-Noire, la vitrine de l'industrialisation du Congo-Brazzaville s'ouvre vers des partenariats décomplexés Nord-Sud à la lumière de l’expertise de sa chambre de commerce créé le 15 mars 1947, et a subie depuis, de multiples mutations.

 

Véritable hub économique de la république du Congo du fait de son activité pétrolière, la capitale du centre Ouest de l'Afrique, donne un regard averti sur la façade atlantique avec son port international.

 

Sylvetre Didier Mavouenzela, Président de la dite chambre depuis décembre 1999, a développé un concept innovant qui donne accès à des solutions internet pour une meilleure visibilité, en mettant à la disposition des partenaires un portail e-busness, tous secteurs confondus, palette d'informations pratiques pour amorcer des actions du développement et de la dynamisation économique.

 

A l'heure d’une mondialisation galopante, tous les yeux sont tournés vers l'Afrique et ses matières premières. Le pays représente des nombreux atouts dans différents secteurs. Le président de la République, Son Excellence Denis Sassou Nguesso a amorcé un virage à 180° pour la modernisation de son pays, à la lumière de son dernière séjour en France et la rencontre du patronat français au MEDEF, sans oublier la visite historique du Président chinois Xi Jinping à Brazzaville.

 

Dans son discours devant le patronat français, Denis Sassou Nguesso, Président de la République, a exhorté les entreprises françaises à venir investir dans plusieurs domaines encore non exploités ; (le train est bien sur les rails, il a même démarré et on arrivera à bon port).

 

Cette impulsion est relayée par la chambre du commerce de Pointe-Noire qui a la lourde responsabilité de rassurer les potentiels investisseurs, dans le cadre d'un climat des affaires et d’une offre pays ;« Aujourd’hui on a une économie pétro dépendante et donc on souhaite sortir de cette dépendance en diversifiant l’économie. L’un des secteurs choisi est l’agriculture, tout au moins l’agro-industrie car ce secteur va permettre à ce que la croissance profite au plus grand nb car aujourd’hui avec le pétrole qui constitue le gros de la croissance au Congo, il n’utile pas une forte population de main d’œuvre. L’agriculture ferait appel à une  main d’œuvre plus importante et donc contribuer à la distribution des fruits de la croissance à un plus grand nombre de congolais. »

 

Afin de mieux attirer les entreprises étrangères, le pays ambitionne la création de trois zones économiques spéciales tournées vers l’exportation qui bénéficieraient d’avantages fiscaux et douaniers. Elles abriteront des activités de transformation des ressources naturelles congolaises.



Celle de Ouesso, située près de la zone forestière sera consacrée aux métiers du bois. Celle de Oyo est de son côté proche des terres arables et sera donc spécialisée dans l’industrie agricole. La dernière celle de Pointe Noire, sera tournée vers l’industrie des mines et du pétrole. Des atouts majeurs selon le rapport Doing Business à faire oublier un climat des affaires complexe.

Les entreprises congolaises seront présentes du 20 au 22 avril 2013 à la convention Africa-Euro dans le cadre de la promotion du savoir faire qui aura lieu à Rouen, département de la Seine-Maritime.

 

Le 28 au 30 mai 2013, Point-Noire et les Ponténégrins accueilleront, la quatrième édition du forum Green Business en Afrique, regroupant des entreprises de la région et également celles du Nord. Véritable opportunité de faire des rencontres B to B et B to C, qui couronneront le succès de cette initiative d'envergure.

 

 

 

Roger BONGOS

Centrafrique : Le président déchu Bozizé demande une enquête internationale

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Crée le 16-04-2013 06H30 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le mardi 16-04-2013 - 14H30 PAR : ARTV-NEWS 

Centrafrique : Le président déchu Bozizé demande une enquête internationale Le président centrafricain François Bozizé à Bangui, le 8 janvier 2013

"Des éléments de la rébellion et des mercenaires étrangers (...) se livrent à des attaques planifiées contre les propriétés privées, les églises chrétiennes et les édifices publics", affirme le texte de la "cellule de communication" de l'ancien président réfugié au Cameroun.

La "population centrafricaine est totalement en proie aux pires exactions", souligne le texte, concluant que François Bozizé demande à "la communauté internationale" de "diligenter le plus rapidement possible une enquête approfondie afin de faire toute la lumière sur ce qui s'est réellement passé, déterminer les responsabilités et engager des poursuites nécessaires contre les commanditaires".

Le président déchu a également démenti les propos du nouvel homme fort de Bangui Michel Djotodia, qui avait accusé dimanche soir les partisans de Bozizé de vouloir "une guerre civile" et d'avoir tué des éléments Séléka.

M. Bozizé "tient à apporter un démenti catégorique à ces affirmations grossières" destinées à "justifier leur incapacité à ramener la paix et la sécurité sur l'ensemble du territoire national", lit-on dans le communiqué.

Le Séléka peine à établir l'ordre dans Bangui depuis la fuite de François Bozizé. Les pillages par des hommes de l'ancienne rébellion ou de bandits se poursuivent et les violences ont fait près de 20 morts à Bangui ce weekend, alors que les habitants, excédés, vivent dans la peur.

Centrafrique : Le Premier ministre demande l'aide de Paris pour sécuriser le pays

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Crée le 17-04-2013 06H30 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le mercredi 17-04-2013 - 14H10 PAR : ARTV NEWS

Centrafrique : Le Premier ministre demande l'aide de Paris pour sécuriser le pays

  Le Premier ministre centrafricain Nicolas Tiangaye et un soldat de la Fomac le 29 mars 2013 à Bangui

"Face à cette situation grave, je sollicite l'appui de nos partenaires au premier rang desquels la Fomac et la France, en tant que forces impartiales, pour la conduite des opérations de sécurisation de la ville de Bangui et toutes les régions de notre pays", a déclaré M. Tiangaye, issu de l'ancienne opposition au président déchu François Bozizé.

Pendant le week-end, une vingtaine de personnes ont trouvé la mort dans des heurts entre anciens rebelles et habitants de deux quartiers de la capitale, selon des témoins.

"De nombreuses familles ont été atteintes dans leur chair, en connaissant des pertes en vies humaines et des pillages de tous ordres. Ces faits affectent la cohésion sociale et tendent à rompre le pacte de l'unité nationale gravée dans notre devise", a déploré M. Tiangaye.

Le Premier ministre a également appelé "tous les représentants des pouvoirs publics, ainsi que les présidents des délégations spéciales de Bangui, les chefs de quartiers, les chefs des villages, les leaders d'opinion" à s'impliquer pour "la sensibilisation de la population autour de la recherche des idéaux de paix, de sécurité et d'unité nationale".

Le Séléka peine à établir l'ordre dans Bangui depuis sa prise de la ville le 24 mars et la fuite de François Bozizé. De nombreux habitants y vivent dans la peur des pillages et de l'insécurité.

Mardi, le nouveau président de transition Michel Djotodia, chef du Séléka, a annoncé un renfort de 500 hommes à la police et 500 autres à la gendarmerie, ainsi que le casernement des combattants du Séléka.

Le porte-parole du gouvernement, Crépin Mboli-Goumba, a demandé aux pays d'Afrique centrale d'envoyer 1.000 soldats pour aider au rétablissement de l'ordre dans le pays. Le sujet devrait être débattu au sommet extraordinaire de N'Djamena jeudi consacré à la Centrafrique.

Sud-Kivu: 90 femmes et filles victimes de viols ont été soignées à l’hôpital de Panzi

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Crée le 17-04-2013 06H30 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le mercredi 17-04-2013 - 07H10 PAR : RADIOOKAPI

Dr Denis Mukwege, gynécologue rendu célèbre mondialement pour les soins administrés aux femmes victimes des violences sexuelles dans les provinces du Nord et Sud Kivu en RDC. Photo Facebook Page de We want 2013 Nobel Peace Prize for Dr Denis Mukwege (Octobre 2012)Dr Denis Mukwege, gynécologue rendu célèbre mondialement pour les soins administrés aux femmes victimes des violences sexuelles dans les provinces du Nord et Sud Kivu en RDC. Photo Facebook Page de We want 2013 Nobel Peace Prize for Dr Denis Mukwege (Octobre 2012)

 

Quatre vingt-dix femmes et filles victimes de violences sexuelles liées à la guerre ont quitté mardi 16 avril la Cité de la Joie de Panzi, au Sud-Kivu, où elles ont été accueillies après avoir été soignées à l’hôpital de Panzi pendant 6 mois des traumatismes physiques et psychologiques qu’elles avaient subis. Elles regagnent leurs localités d’origine au Sud-Kivu et au Nord-Kivu.

 

Le Dr Denis Mukwege, président de la Fondation Panzi, qui gère la Cité de la joie, a encouragé ces femmes et filles à «lutter contre toute forme de violence». Il s’est dit satisfait « du changement qui s’est produit dans la vie de ces femmes».

«Quand elles sont arrivées ici, elles n’avaient pas le courage de nous regarder dans les yeux. Il y en a qui ne savaient même pas marcher. Il y en a que j’ai accueillies à l’hôpital, paralysées. Mais quand je les vois danser, je compte sur elles. Si nous avons échoué au sommet, nous pouvons réussir à la base», a-t-il affirmé.

L’une de ces femmes, Wakubenga Georgette, s’est dit satisfaite et reconnaissante de cet encadrement.

«Nous avons la joie et nous savons que nous sommes capables de faire quelque chose dans notre communauté», a-t-elle affirmé.

Pour Christine Deschriver, responsable l’ONG V-Day, qui a assuré l’encadrement de ces femmes, il revient maintenant au pouvoir public de les prendre en charge dans leurs milieux d’origine.

«Je sais que tout est urgent tout est prioritaire au Congo, mais ils doivent mettre ça en tête de liste parce que trop, c’est trop. Aujourd’hui, on a des enfants même de deux ans [qui sont violés]. C’est inadmissible, c’est insupportable», a-t-elle affirmé.

Un autre groupe de victimes de violences sexuelles arrivera dans deux semaines dans la Cité de la Joie de Panzi, pour la 4e session de ce projet

La CPI lance les travaux de construction de ses locaux permanents

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Crée le 17-04-2013 06H30 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le mercredi 17-04-2013 - 07H10 PAR : ARTV NEWS

 

At the groundbreaking ceremony for the ICC’s new premises on 16 April 2013, from left to right: the Mayor of The Hague, Mr Jozias Johannes van Aartsen; the ASP Vice-President, Ambassador Markus Börlin; the ICC President, Judge Sang-Hyun Song; and the Secr
A la cérémonie tenue lors du lancement des travaux de construction des locaux permanents de la CPI, le 16 avril 2013, de gauche à droite : M. Jozias Johannes van Aartsen, maire de La Haye, Monsieur l’Ambassadeur Markus Börlin, Vice-président de l’Assemblée des États parties, le juge Sang-Hyun Song, Président de la CPI, et Mme Renée Jones Bos, Secrétaire général du Ministère néerlandais des affaires étrangères © ICC-CPI

La Cour pénale internationale (CPI) vient de lancer les travaux de construction de ses locaux permanents à La Haye (Pays-Bas) au cours d’une cérémonie qui a eu lieu ce mardi 16 avril 2013.

Cette cérémonie, qui était organisée par le Comité de contrôle chargé de la supervision du projet au nom de l’Assemblée des États parties, s’est déroulée en présence de quatre invités officiels : Monsieur l’Ambassadeur Markus Börlin, Vice-président de l’Assemblée des États parties, le juge Sang-Hyun Song, Président de la CPI, M. Jozias Johannes van Aartsen, maire de La Haye, et Mme Renée Jones Bos, Secrétaire général du Ministère néerlandais des affaires étrangères.

Dans son discours liminaire, le Président du Comité de contrôle, M. Roberto Bellelli, a déclaré que « cette étape marque un point de non-retour sur le chemin de la justice pénale internationale […], la transition […] vers l’édification d’un monument durable dans le paysage des relations internationales […], d’une structure permanente et visible dont les fondations sont en train d’être creusées dans le sol de La Haye, sur la base de cette relation qui unit cette ville et la CPI dans le souci commun de renforcer la paix et la justice ».

« Dans un peu plus de deux ans, la CPI siégera dans un ensemble de bâtiments emblématiques qui renverront à leurs visiteurs une image forte de la Cour : celle d’une auguste institution établie pour combattre l’impunité en rendant la justice dans le respect de la primauté du droit », a fait observer Monsieur l’ambassadeur Börlin.

« Une institution d’envergure mondiale mérite des locaux de premier ordre ; et je suis ravi de pouvoir dire que c’est ce que nous construisons ici », a déclaré le Président Song.

« Cet été, sera célébré le centenaire du Palais de la paix, symbole de La Haye en tant que capitale internationale de la paix et de la justice. Près d’un siècle après que le Palais de la paix a ouvert ses portes, débutent les travaux de construction de ce qui a été présenté comme le "Palais de la paix" du XXIe siècle : la Cour pénale internationale » a déclaré le maire de La Haye, M. Van Aartsen.

« Le nouveau bâtiment de la CPI deviendra un site remarquable aux Pays-Bas et nous sommes fiers de l'avoir sur notre territoire. Notre engagement en faveur de la CPI va de pair avec notre vocation à la promotion du droit international et est profondément ancré dans l'histoire néerlandaise, qui se reflète notamment dans la Constitution néerlandaise », a déclaré le Secrétaire général du Ministère des Affaires étrangères, Mme Jones-Bos.

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