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RDC: la Brigade d’intervention signera la fin de la guerre, estime le M23

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Crée le 17-04-2013 06H30 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le mercredi 17-04-2013 - 14H10 PAR : ARTV NEWS


 

Les casques bleus protégeant la zone de Munigi. Photo Monusco/Jonathan LorrillardL

Le déploiement de la Brigade d’intervention de la Monusco dans l’Est de la république démocratique du Congo (RDC) signera « la fin de la guerre » contre le régime du président Joseph Kabila, a déclaré mardi 16 avril à l’AFP le porte-parole militaire du Mouvement du 23 mars (M23), le lieutenant-colonel Vianney Kazarama. « Avec cette brigade, c’est la fin de la guerre: ou Kabila gagne, ou le M23 gagne », a-t-il souligné.  

«Nous attendons cette Brigade. Le monde chante cette Brigade, les Congolais chantent cette Brigade… On dirait que c’est le retour de Jésus», a affirmé le lieutenant-colonel Vianney Kazarama d’un ton ironique, selon l’AFP.

Après le vote jeudi 28 mars de la résolution qui crée la Brigade d’intervention de la Monusco, la rébellion du M23 avait désapprouvé l’envoi de cette force dans l’Est de la RDC, estimant que l’ONU avait levé une « option de guerre ». Le M23 a même promis de « riposter » en cas d’attaque.

La Brigade d’intervention de la Monusco est constituée de plus de trois mille hommes. Elle est dotée d’un mandat offensif et devra neutraliser les groupes armés opérant dans l’Est de la RDC.

Lundi, la ministre rwandaise a estimé qu’il fallait privilégier le volet politique pour résoudre les problèmes de l’Est de la RDC.

 « Nous ne pensons pas qu’une action militaire soit la solution aux problèmes dans l’Est de la RDC, donc nous considérons cette Brigade comme pouvant être un moyen de dissuasion, une présence nécessaire mais elle doit être complétée par d’autres aspects, et en premier lieu sur le volet politique du conflit », a déclaré Louise Mushikiwabo à la presse après avoir dirigé une réunion du conseil de sécurité sur la prévention des conflits en Afrique.

Le M23 a été crée en mai 2012. Il est constitué d’anciens militaires de l’armée congolaise issus de l’ancienne rébellion du CNDP de Bosco Ntaganda. Les rebelles réclament la pleine application de l’accord signé le 23 mars 2009 entre le gouvernement et le CNDP.

Cet accord prévoyait notamment d’intégrer les rebelles dans l’armée et la police et l’intégration des civils dans les institutions politiques du pays.

Le gouvernement et les rebelles sont en pourparlers depuis décembre dernier à Kampala après que ces derniers ont brièvement occupé la ville stratégique de Goma en novembre 2012.


Sud-Kivu: début du regroupement des Maï-Maï Yakutumba pour leur réintégration dans les FARDC

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Crée le 17-04-2013 06H30 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le mercredi 17-04-2013 - 14H10 PAR : ARTV NEWS

 

Un milicien Maï Maï exhibe les armes qu'il a dérobées à Kiwandja. ( Photo : AFP )

Le départ des combattants de la milice Yakutumba vers le centre de regroupement du territoire de Kabare (Sud-Kivu) a débuté, mardi 16 avril. Cinquante éléments de ce groupe venus de Misisi, à l’extrême sud du territoire de Fizi sont passés par la cité d’Uvira, mardi matin, vers le centre de regroupement de Nyamunyunyi, vers Bukavu. Selon des sources militaires sur place, il s’agit d’un premier convoi sur près de cinq cents éléments déjà prêts à intégrer l’armée régulière.  

Ces miliciens constituent la première vague d’éléments Maï-Maï sensibilisés à Misisi par leur chef, William Amuri, dit  Yakutumba. D’après des sources militaires, la tournée entreprise par Yakutumba devrait se poursuivre à Kilembwe, dans le secteur de Lulenge, avant de se clôturer dans le secteur de Ngandja.

Dans un entretien à Radio Okapi, ce major réfractaire autoproclamé général s’est dit déterminé à poursuivre le processus de regroupement de ses hommes. Il avait pris cet engagement lors de sa reddition aux Forces armées de la RDC (FARDC), dimanche 24 mars, dans la localité de Sebele, à 37 km au sud-est de Baraka (Fizi).

Il a déploré cependant l’insuffisance des moyens pour cette opération au regard de l’étendue du territoire de Fizi. Lorsqu’il s’est rendu aux FARDC, William Amuri avait demandé à la hiérarchie militaire de l’aider à sensibiliser ses hommes, éparpillés à travers ce territoire, à rejoindre les rangs des FARDC.

William Amuri avait servi dans l’armée nationale avec le grade de major avant de la déserter et de rejoindre le maquis. La branche armée de son mouvement, appelée «Alléluia», a livré bataille durant trois ans contre les troupes gouvernementales.

Elle est accusée de plusieurs exactions. En août 2012, par exemple, la milice avait attaqué des éleveurs civils et ont tué deux d’entre eux avant d’emporter plusieurs vaches dans la localité de Kikonde à Fizi.

En octobre 2011, les Maï Maï du chef Yakutumba avaient attaqué le véhicule de l’ONG Eben Ezer en provenance d’Uvira qui se dirigeait vers les hauts plateaux. Sept personnes avaient été tuées, trois autres blessés et quatre femmes enlevées.

Selon des sources militaires, le gros des combattants Yakutumba, estimés à cinq cents, se trouvent encore au site de rassemblement de Sebele, dans le territoire de Fizi.

Le chef milicien a, par ailleurs, demandé l’amnistie de son mouvement, le Parti d’action pour la reconstruction du Kongo – Force armée Alleluiya (Parc-Faal). Il souhaite également l’agrément du Parc-Faal au ministère de l’Intérieur comme parti politique.

Yakutumba plaide enfin pour la libération de plusieurs de ses sympathisants politiques détenus dans les prisons d’Uvira, de Bukavu, de Kalemie, de Lubumbashi et de Kinshasa

Aviation civile en RDC : le ministre des Transports attendu ce mercredi au Sénat

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Crée le 17-04-2013 06H30 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le mercredi 17-04-2013 - 14H10 PAR : ARTV NEWS


 

Crash de l'avion à Bukavu le 12/02/2012, Ph. Internet/Jack Musavuli

Le ministre des Transports, Justin Kalumba, est attendu ce mercredi 17 avril au Sénat pour répondre aux questions des élus sur neuf projets de loi sur l’aviation civile présentés la veille devant la même assemblée. Parmi ces lois, il y a la convention relative à l’aviation civile internationale, celle relative à l’unification de certaines règles du transport aérien, ainsi que la loi sur la réparation des dommages causés à des tiers par des aéronefs en plein vol.

 Pour le ministre Justin Kalumba, ces projets de loi visent à doter la RDC d’instruments juridiques de droit international aérien.

Ils garantissent tant la protection des passagers et des aéronefs que l’indemnisation de victimes de crashes, notamment à travers la réparation des dommages causés à des propriétés privées, a-t-il affirmé.

La présentation de ces projets de loi mardi par le ministre des Transports a suscité beaucoup d’interrogations parmi les sénateurs.

«Comment ratifier ces lois quand la RDC ne dispose pas de compagnies aériennes nationales? Est-ce que tous les avions qui volent au Congo sont contrôlés et assurés par des services compétents?», se sont notamment interrogés les élus.

Ces derniers voulaient aussi savoir par qui et selon quels critères sont fixés les prix des billets d’avion. Ils voulaient également connaître le nombre d’aéroports dont le pays dispose ainsi que l’état dans lequel ils se trouvent.

Les sénateurs espèrent obtenir les réponses à ces questions ce mercredi, avant d’adopter les projets de loi présentés par le ministre.

«Il ne suffit pas d’adopter des lois»

Malgré les arguments du ministre Justin Kalumba, certains élus se sont d’ores et déjà montrés sceptiques quant à l’efficacité de ces lois.

Pour le sénateur Ramazani Baya, il ne suffit pas d’adopter des lois, « le plus important étant encore de les appliquer ». Ce qui, selon lui, reste difficile à cause de l’état d’abandon dans lequel se trouvent plusieurs aéroports en RDC.

«Nous pouvons adopter tous les textes que nous voulons, mais s’il n’ya pas la volonté de donner la priorité au transport aérien et de remettre en activité les aéroports, je crois que nous n’irons pas très loin», a-t-il affirmé.

Le sénateur s’est notamment interrogé sur «l’ambition du gouvernement en matière de relance d’une compagnie nationale».

«Nous avions Air-Congo, Air-Zaïre, et Lac qui, là aussi, est entrain de mourir de sa belle mort. Il y avait un personnel, une infrastructure, des pilotes, tout ce qu’il fallait. Et nous voyons des infrastructures de cette compagnie à travers tout le pays. Vous allez partout, ils ont des installations. Il faut que le gouvernement fasse montre d’une volonté de relancer ça. Apparemment, il n’y a absolument rien», a-t-il expliqué.

L’aviation congolaise a été marquée depuis 2007 par près de 150 accidents et incidents aériens, ayant causé quelque 214 morts et 40 blessés.

Au cours des premières assises de l’aéronautique civile congolaise ouvertes mercredi 10 avril à Kinshasa, le ministre des Transports a accusé l’Autorité de l’aviation civile (AAC) et la Régie de voies aériennes (RVA) d’avoir failli à leurs missions de contrôle technique et de développement des infrastructures aéroportuaires.

Depuis le 22 mars 2006, tous les transporteurs aériens certifiés par les autorités de la RDC sont repris sur la liste noire de l’Union européenne, et font l’objet d’une interdiction totale d’exploitation dans cet espace.

Au cours de ces assises, Justin Kalumba avait appelé tous les acteurs du secteur de l’aviation civile à concourir pour sortir la RDC de cette liste.

RDC : la résolution 2098, objet du ballet diplomatique au ministère des affaires étrangères

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Crée le 17-04-2013 06H30 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le mercredi 17-04-2013 - 14H40 PAR : LE POTENTIEL

 

Onze ambassadeurs de l’Union Européenne ont évoqué, lundi 15 avril à Kinshasa avec le ministre des Affaires étrangères, Coopération internationale et Francophonie, Raymond Tshibanda, les contours de l’accord-cadre sur la paix, la sécurité et le développement en RDC et la résolution 2098 du Conseil de sécurité sur le déploiement d’une brigade d’intervention dans l’Est de la RDC, selon les informations parvenues au Potentielonline mardi.


A ctte occasion, Raymond Tshibanda a examiné avec la délégation de ces 11 ambassadeurs de l’Union européenne, la situation sécuritaire dans l’Est de la RDC, la mise en œuvre de l’accord cadre sur la paix, la sécurité et la coopération pour la RDC et la région des Grands Lacs, signé à Addis–Abeba, le 24 février 2013.

Les préparatifs des réunions sur les Objectifs du millénaire sur développement durable(OMD) ont également été au menu de leurs entretiens.


L’Union européenne est non seulement attachée à la réussite de la mise en œuvre de l’accord-cadre d’Addis-Abeba, dans la forme et dans le fond, mais aussi préoccupée par la réforme du secteur de sécurité en RDC, selon l’ambassadeur Jean Michel Dumont.

Outre les ambassadeurs de l’Union Européenne, une délégation du Groupe de travail du Comité spécial des opérations de maintien de la paix des Nations unies, en séjour de travail du 11 au 17 avril 2013, conduite par le représentant permanent adjoint auprès de la Mission du Nigeria au Nations unies, l’ambassadeur Usman Sarki, a également échangé le même jour avec le chef de la diplomatie congolaise sur la résolution 2098 du Conseil de sécurité qui a été votée le 28 mars dernier à New York , et sur les mécanismes de mise en œuvre de cette résolution, tenant compte de la réalité sur le terrain.

Bien qu’aucune décision n’ait été annoncée à la presse, les mêmes matières, selon la même source, ont été abordées par le ministre Tshibanda et MM Herman Decroo et Wang Yingwu respectivement président honoraire du Sénat belge et ambassadeur de la République populaire de Chine en RDC. Mais avec l’ambassadeur de Chine, il a été surtout question de la coopération bilatérale entre la RDC et la Chine, dans les domaines de l’agriculture et de la santé publique.

C’est aussi sur le chapitre de la coopération bilatérale que le chef de la diplomatie congolaise a reçu successivement  avec les ambassadeurs Rigo Abed de Namibie en RDC, Yawo Adomayak du Togo et Ri Myong Chol, avant de s’entretenir avec le chargé d’affaires de l’ambassade des Etats Unis en RDC avec qui ils ont échangé sur la situation sécuritaire en RDC et en Afrique centrale.

Á la découverte des cultures des Grands Lacs

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Crée le 17-04-2013 06H30 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le mercredi 17-04-2013 - 14H40 PAR : LE POTENTIEL

 

 

L’association Solidarité Famille des Grands Lacs qui soutient les veuves, les orphelins et les personnes vulnérables de la région des grands lacs, répartie sur le Burundi, le Kénya, l’Ouganda, la république démocratique du Congo, le Rwanda et la Tanzanie, par le biais d’échanges et de parrainages organisait, samedi, pour la 4e année, une journée culturelle, à la salle Masqueliez, à Flers bourg.

Des peintures et des villages de cases africaines réalisés par la classe de CM2 de Caroline Zagorski de l’école Louise-de-Bettignies étaient exposés. Une projection des 50 œuvres du cinquantenaire du Burundi figurait au programme. En fin d’après-midi, des démonstrations de danses ont été proposées par le Memphys Country’s Club et en soirée des danses modernes, ragga, afro-américaines et danse party ont été exécutées par l’école de danse la Chrysalide.

L’ambassadeur du Burundi invité d’honneur

Un défilé de mode intergénérationnel des créations de Papa JM créations a précédé un repas exotique qui a réuni 80 convives, suivi d’une soirée dansante sonorisée par DJ Huvelle.

À 15 h, en présence du maire, Gérard Caudron, Gaspard Musavyarabona, ambassadeur du Burundi en France, au Portugal, en Espagne et à Monaco en résidence à Paris, a présidé une conférence-débat dont le thème était la coopération culturelle régionale dans la région des grands lacs.

Depuis les années 90, dans un souci de démocratie, les artistes ont pris une certaine place à travers les poèmes, chansons, danses… La conscience identitaire du peuple est devenue un élément incontournable du développement. La culture est devenue un élément de lien entre les groupes régionaux, mais aussi d’identité entre les partenaires régionaux. Un exemple : les tambours du Burundi, les danses massaïs en Tanzanie, les danses kényanes et les chansons rwandaises… Cette coopération était un facteur de prévention ou de résolution de conflits, et de culture de la paix. « Finalement, la culture véhicule des valeurs telles que la paix et la solidarité sont plus profitables que la guerre entre les peuples ! », a conclu Gaspard Musavyarabona.  P.L. (CLP)

AVEC FAUSSES PROMESSES D’ÉLECTRIFIER LE QUARTIER - N’Sele : Un jeune homme rançonne près de 4.000 Usd à la population

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Crée le 17-04-2013 06H30 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIOVNALE. Mis à jour le mercredi 17-04-2013 - 14H40 PAR : FORUM  DES AS



Secoué par la crise, un jeune homme répondant au nom de Demouto ne sait plus à quel Saint se vouer. Un bon matin, il décide de se taper de l'argent. Papier et stylo à la main, il fait la ronde du quartier à la récolte de l'argent avec des fausses promesses  de raccorder le quartier Mpasa I à N’Sele, en courant électrique. Au fil de temps, cela se révèle comme une escroquerie pure et simple dans la mesure où l'argent récolté lui a permis de renforcer sa boutique installée au niveau de l'Ecobanque.

    L'histoire se passe au quartier Mpasa I sur les avenues Bolia, Lihau et Baoko dans la commune de la N'Sele. Demouto n'est ni agent de la Snel, moins encore électricien. Mais il a su convaincre «ses futurs abonnés» que l'argent perçu servirait à l'achat des câbles électriques, poteaux et autres accessoires pour le raccordement du courant électrique du quartier.

    Selon notre source, les habitants ont eu à débourser un montant variant entre 80 et 120 dollars américains par parcelle. Et le montant total récolté par Demouto frôlerait 4 mille dollars américains !

    Après des mois, le quartier est resté toujours dans le noir. S'étant rendu compte qu'ils étaient l'objet d'une escroquerie, les habitants du quartier sont allés porter plainte au niveau du Parquet de Kinkole. Convoqué au Parquet, Demouto a reconnu qu'il avait effectivement réuni l'argent et celui-ci a servi à électrifier une partie du quartier. C’est au terme de la descente des préposés du Parquet que la population révélera qu'il n'a jamais raccordé le quartier et la partie qui est éclairée l'a été grâce à la SNEL.

    Selon les témoignages, l'argent rançonné a été placé dans le commerce. Sa boutique située au niveau de Ecobanque est actuellement pleine de marchandises. Pourtant, avant cette arnaque, elle était déjà en faillite.

    L'affaire suit son cours normal au Parquet de Kinkole. Les habitants n'attendent que la décision de la justice.

    Selon certains observateurs, les autorités de la SNEL doivent ouvrir l'œil et le bon. Des gens courent des rues, des quartiers et des communes de la Capitale à longueur des journées se substituant à la SNEL.

    Une fois qu'il y a coupure d'électricité, il suffit qu'on soit en mesure de tripoter, on passe des maisons en maisons pour récolter de l'argent afin de rétablir le courant. Comment les clients peuvent se cotiser pour acheter les câbles électriques alors qu'il est du devoir de la SNEL?        DB

Luis Gomes Sambo: « L’OMS est prête à accompagner la RDC dans le processus de réforme »

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Crée le 17-04-2013 06H30 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIOVNALE. Mis à jour le mercredi 17-04-2013 - 14H40 PAR : FORUM  DES AS

 

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) promet d’apporter à la RD Congo « l’appui technique requis » pour la préparation et l’organisation du processus de la réforme amorcé dans le secteur de la santé et renforcer le plaidoyer auprès des donateurs afin de les sensibiliser à contribuer davantage au financement des activités du secteur.


« Nous allons travailler ensemble avec le ministère de la Santé Publique dans ce processus de réforme afin de l’aider à organiser des services sanitaires de qualité et équitables dans le but d’améliorer l’accès universel aux soins de santé primaires, et de promouvoir le meilleur statut sanitaire possible pour les communautés congolaises », a indiqué le week-end dernier le directeur régional de l’OMS pour l’Afrique, Dr Luis Gomes Sambo.

Renforcement de la coopération

Selon le Bureau de coordination de l’ONU aux affaires humanitaires en RDC (OCHA-RDC), le séjour de Luis Gomes Sambo en terre congolaise était axé principalement, sur « le renforcement de la coopération entre l’OMS et la RDC, et l’appui technique qu’entend apporter l’OMS au processus de réforme amorcé par le gouvernement dans le secteur de la santé publique ».

Il s’est félicité de la mise en œuvre, par le gouvernement congolais, du vaste programme de réforme de l’ensemble de l’administration publique et du secteur de la santé.

Cette réforme concerne notamment la mise à jour des textes légaux et réglementaires, la modernisation du cadre et des structures organiques, tels que définis par le Comité de stratégie de réforme du ministère de la Santé publique.

Dr Luis Gomes Sambo s’est également dit satisfait « d’apprendre que le ministère de la Santé publique allait convoquer, dans les prochains jours, une table ronde réunissant les différents partenaires dans le but de leur donner plus de détails au sujet du programme de réforme du système de santé en cours ».

Biens mal acquis au Sénégal: Karim Wade inculpé et en route vers la prison

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Crée le 18-04-2013 06H30 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le jeudi 18-04-2013 - 07H10 PAR : ARTV NEWS

DAKAR  - Karim Wade, fils de l'ancien président sénégalais Abdoulaye Wade dont il fut conseiller et ministre pendant dix ans, a été inculpé mercredi soir "d'enrichissement illicite" pour, ensuite, être incarcéré à Dakar.

Biens mal acquis au Sénégal: Karim Wade inculpé et en route vers la prison

 

© AFP Seyllou. Me Ciré Clédor Ly, avocat de Karim Wade, le 17 avril 2013 en conférence de presse à Dakar

 

 

 


Karim Wade "vient d'être inculpé pour enrichissement illicite et placé sous mandat de dépôt", a brièvement déclaré Me El Hadji Amadou Sall, un des avocats de Karim Wade qui était présenté devant la commission d'instruction de la Cour de répression de l'enrichissement illicite (CREI), une juridiction spéciale.

Selon des médias locaux, des préparatifs étaient en cours pour emmener Karim Wade, 44 ans, à Rebeus, la principale prison de Dakar, située dans le centre-ville, en bordure de mer.

Le fils de l'ex-président Wade avait été interpellé lundi soir par les gendarmes et placé en garde à vue, quelques heures après que ses avocats eurent remis au parquet spécial de la CREI des justificatifs de sa fortune évaluée par cette cour à 694 milliards de FCFA, plus d'un milliard d'euros.

Il avait été mis en demeure le 15 mars, après une audition par la CREI, de justifier dans un délai d'un mois de l'origine de ses avoirs qui proviendraient de sociétés dont l'ancien ministre serait le "propriétaire" ainsi que de "voitures", de "propriétés immobilières" et de comptes bancaires.

La CREI, créée en 1981 par l'ancien président Abdou Diouf et en sommeil pendant plusieurs années, a été réactivée par Macky Sall après son élection en mars 2012, après douze ans de pouvoir d'Abdoulaye Wade.

Le procureur de la CREI, Alioune Ndao, avait déclaré mardi avoir ordonné la détention du fils Wade car il n'a pas été "convaincu de la pertinence" de ses réponses sur l'origine de sa fortune.

Son adjoint avait ajouté que l'enquête avait permis de mettre à jour une "véritable ingénierie financière" mise en place par Karim Wade.

Selon la loi sénégalaise sur l'enrichissement illicite, "l'instruction du dossier ne peut excéder six mois".

"Le dossier devait être classé"

Les avocats de Karim Wade ont dénoncé mercredi, avant l'inculpation de leur client, une violation de la procédure, estimant que "le dossier devait être classé", selon l'un d'eux, Me Ciré Clédor Ly.

"La loi ne dit nulle part (que le procureur spécial) peut mettre (Karim Wade) aux arrêts après la mise en demeure" d'un mois, a-t-il dit.

Me Ly a en outre estimé que la CREI n'avait pas été "loyale" en confiant l'enquête préliminaire à une structure qui n'est "pas compétente et où il n'y avait que des gendarmes", alors que la loi dit que cette enquête doit être aussi menée par "une brigade spéciale composée de représentants des ministères de l'Economie et des finances, de l'Intérieur et de la Justice".

Il a également affirmé que "des pièces" du dossier d'accusation "n'ont pas été mises à disposition" des avocats par le procureur qui a également, selon lui, illégalement "contourné la Haute cour de justice", au profit de la commission d'instruction de la CREI pour juger Karim Wade.

La Haute cour de justice est une autre cour spéciale, chargée de juger les anciens ministres pour des faits commis dans l'exercice de leurs fonctions.

Selon ses avocats, Karim Wade n'est pas propriétaire des biens qu'on lui attribue et ne possède pas la fortune de 694 milliards de FCFA qui lui est prêtée. "On lui a même attribué des terrains immatriculés au nom de l'Etat" sénégalais, a indiqué Me Demba Ciré Bathily.

Les enquêtes pour enrichissement illicite visent plusieurs anciens responsables sénégalais, dont des ex-ministres, et ont été déclenchées par le président Sall.

Le parti de l'ex-président Wade, le Parti démocratique sénégalais (PDS), dénonce une "chasse aux sorcières" et a prévu d'organiser une manifestation à Dakar mardi pour soutenir Karim, qui de 2002 à 2012, a été conseiller spécial de son père, puis "super ministre" détenant plusieurs portefeuilles clés. Le président Wade voyait en lui son héritier naturel.


RDC : Le PAM organise une foire aux vivres en faveur des déplacées internes

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Crée le 18-04-2013 06H30 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le jeudi 18-04-2013 - 07H10 PAR : ARTV NEWS

KINSHASA - Le Programme alimentaire mondial (PAM) organie depuis mercredi une foire aux vivres à Rubaya, territoire de Masisi, en faveur de 40.000 personnes, dont les déplacés internes et leurs familles d'accueil, a indiqué Simplice Kpandji, porte-parole de l'équipe humanitaire de l'ONU, lors de la conférence de presse hebdomadaire de Nations unies tenue le 17 avril à Kinshasa.

 

 

 

"Cette assistance vise à répondre aux besoins alimentaires de la population déplacée de Kinigi, de Kibati et de Rubaya, suite aux affrontements armés entre les groupes d'auto-défense Maï Maï, Raïa Mutomboki et Nyatura", a indiqué M. Kpandji, ajoutant que " depuis le début des conflits en juillet 2012, la plupart de ces familles n'ont pas accès à leurs champs".

D'après lui, le PAM distribue des coupons alimentaires que les bénéficiaires échangent contre de la nourriture dans une foire organisée avec des commerçants venus de Sake, de Masisi, de Goma et de Rubaya.

Le montant des coupons, qui est de 36 dollars américains par ménage, correspond à la somme nécessaire pour acheter sur le marché local la quantité de nourriture que le bénéficiaire aurait pu recevoir en nature.

La distribution de vivres, qui a commencé le 10 avril dernier dans les camps de Mokoto(Masisi), de Bambu (Rusthuru) et de Muhanga, se poursuit cette semaine en faveur de plus de 222.800 personnes déplacées dans la province du Nord-Kivu.

Attaques des terroristes contre le siège du Premier ministre syrien à Damas

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Crée le 18-04-2013 06H30 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le jeudi 18-04-2013 - 07H10 PAR : SAHAR TV

Les terroristes armés, épaulés par l’Occident et ses alliés régionaux, se sont attaqués au siège du Premier ministre syrien et à l’ambassade d’Egypte à Damas. Monsieur Nadjaf-Ali Shahbâzi, expert des questions internationales, analyse cet attentat.

 

En dépit des efforts à l’échelle régionale et internationale pour régler la crise syrienne d’une manière politique, les mercenaires armés poursuivent leurs attaques aveugles contre les bâtiments d’Etat, les installations infrastructurelles et les zones d’habitation.
Dans la foulée, les terroristes armés, épaulés par l’Occident et ses alliés régionaux, se sont attaqués au siège du Premier ministre syrien et à l’ambassade d’Egypte à Damas où ils ont massacré un certain nombre de civils.
Attaquant les différents quartiers d’Alep, au nord, de Lattaquié, à l’ouest, et de Damas, les terroristes ont massacré nombre de civils et infligé de lourds dégâts aux installations infrastructurelles.
Pour sa part, l’armée régulière a annoncé, dans un communiqué, que ses forces avaient infligé de lourdes pertes aux terroristes pendant les opérations qu’elles avaient mené en 24 heures.
Les salafistes jordaniens ont confirmé, mardi, la mort d’une trentaine de  salafistes dans des affrontements les opposants aux soldats syriens.
Dans ce droit fil, un leader du groupe salafiste jordanien, lié au Front al-Nosra, a déclaré, sous l’anonymat, dans une interview à l’United Press, que le bilan des tués salafistes,  en Syrie, était de 12.000 personnes.  Il a ensuite souligné que les salafistes jordaniens étaient présents un peu partout en Syrie.
Le Front al-Nosra est un groupe salafiste qui s’est mis sur pied, fin 2011, sous la houlette de la Turquie, du Qatar et de l’Arabie saoudite.
Les actes terroristes, commis par ce groupe, l’ont mis sur la liste noire des Etats-Unis.
Par ailleurs, le quotidien belge, Le Soir, a révélé, citant les sources sécuritaires belges, la mort d’une douzaine de ressortissants belges dans les affrontements contre les soldats syriens.
Les sources officielles et sécuritaires de la Belgique avaient déjà fait part de la présence d’au moins 70 terroristes belges en Syrie qui se battaient, aux côtés des rebelles syriens, contre le gouvernement.
De son côté, le président tchéchène, Ramadan Qaderov, a regretté la présence des ressortissants tchéchènes aux côtés des terroristes en Syrie.
« Les terroristes tchéchènes seront arrêtés dès qu’ils regagneront leur pays », a martelé le président Qaderov qui a ensuite ajouté : « Les Tchéchènes qui luttent contre le gouvernement et le peuple syriens, sous la houlette des salafistes et des wahhabites, ne représentent nullement notre peuple et notre religion mais ils sont des mercenaires qui cherchent à piller les biens du peuple syrien ».
Dans le même temps, le ministère syrien des Affaires étrangères a dénoncé dans deux lettres envoyées, l’une à l’adresse du président du Conseil de sécurité de l’ONU et l’autre au secrétaire général de l’instance,  les actes terroristes des mercenaires en Syrie.  « Les terroristes ne se sentent engagés à aucun principe éthique et religieux. Ils détruisent les mosquées, les lieux de culte, les écoles, les centres d’enseignement, les bâtiments publics, voire les hôpitaux, souligne le ministère syrien dans ses lettres.
Le ministère syrien des Affaires étrangères a demandé au Conseil de sécurité de l’ONU de prendre une position ferme dans la lutte contre le terrorisme. « Il incombe au Conseil de sécurité d’annoncer explicitement et fermement que la communauté mondiale est résolue à éradiquer le terrorisme », a ajouté le ministère.
Les groupes terroristes, armés et financés par l’Occident et ses alliés régionaux, cherchent à renverser le gouvernement Assad depuis mars 2011 mais ils ne sont pas arrivés à leurs objectifs grâce à la résistance du peuple, des forces sécuritaires et des militaires de la Syrie.

Didier Drogba condamné à payer 1 millions d’euros en juin prochain pour sa maison ?

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Crée le 18-04-2013 12H30 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le jeudi 18-04-2013 - 13H10 PAR : ARTV NEWS

AJACCIO – Actuel sociétaire de Galatasaray contre près de 700.000 euros/mois, Didier Yves Tébily Drogba s’est engagé dans un bras de fer judiciaire contre une société française. Premier dénouement en juin prochain. (Par Edem Gadegbeku)

Didier Drogba condamné à payer 1 millions d’euros en juin prochain pour sa maison ?

 

CC BY ND Global Sports Forum. Didier Drogba

 


L’ancien attaquant de Marseille et de Chelsea, Drogba, serait-il un mauvais payeur ? C’est ce que argue Léonard Simoni, patron de la société « Acqua Nova », spécialisée dans le bâtiment. Le différend entre les deux parties remonte à 2009, quand la star ivoirienne a confié à cette société basée à Ajaccio (Corse, en France) d’importants travaux dans sa vaste demeure en construction à Abidjan (Côte d’Ivoire).

L’exécution de ce chantier vaut « 1,2 million d’euros », explique aujourd’hui M. Simoni qui précise n’avoir touché « que 800.000 euros pour cette tâche effectuée». En plus de la différence de 400 mille euros qu’il réclame, le sieur Simoni demande à toucher « 660.000 euros de dommages et intérêts », en dénonçant les conditions dans lesquelles le marché de la villa d’Abidjan lui a été retiré.

La partie défenderesse dans cette procédure judiciaire en première instance, celle de Didier Drogba et son épouse, évoque pour sa part pour se défendre « l’amateurisme d’Acqua Nova et l’absence de documents contractuels entre les parties », tout en soulignant les « confortables avances perçues indûment par cette société » dans l’exécution du chantier abidjanais. Les Drogba réclament dans ce sens le paiement de 452 mille euros « pour trop-perçu sur les avances sur travaux » effectués par l’entreprise de M. Simoni. Par ailleurs, l’actuel joueur de Galatasaray dénue toute compétence au tribunal de Corse-du-Sud pour connaître ce différend judiciaire. L’affaire est pendante devant le tribunal de commerce d’Ajaccio et a été mis en délibéré jusqu’au 17 juin.

Centrafrique : Sommet régional à N'Djamena pour tenter de ramener le calme

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Centrafrique : Sommet régional à N'Djamena pour tenter de ramener le calme

. Michel Djotodia le 30 mars 2013 à Bangui

Le sommet, qui réunira l'ensemble des chefs d'Etat de la Communauté économique des Etats d'Afrique centrale (CEEAC) ainsi que le président sud-africain Jacob Zuma, doit "faire le bilan de l'évolution de la situation en Centrafrique" depuis les décisions prises lors du précédent sommet du 3 avril.

Ce sommet avait permis de trouver "l'habillage institutionnel" pour légitimer le nouveau président Michel Djotodia, chef du Séléka, tout en lui imposant de quitter le pouvoir à la fin d'une période de transition de 18 mois.

Il avait ouvert la voie à la reconnaissance du nouveau régime par la communauté internationale et à la reprise des aides économiques pour ce pays de 5 millions d'habitants parmi les plus pauvres de la planète.

Le sommet de jeudi doit aussi adopter une "déclaration dite de N'Djamena définissant la feuille de route de la transition avec les différentes étapes", selon une source tchadienne. Toutefois, si la question politique semble éclaircie, la situation du pays s'est considérablement dégradée depuis le 3 avril.

Les pillages n'ont pas cessé et des heurts ont eu lieu entre des hommes du Séléka et des habitants excédés par l'insécurité, ainsi qu'avec des milices partisanes de l'ancien régime du président François Bozizé. Une vingtaine de personnes sont mortes le week-end dernier et sept hommes du Séléka ont été tués en début de semaine.

Une source diplomatique craint même "une guerre civile" si l'actuelle anarchie perdure.

La position du Tchad, clé du sommet

Mardi, Michel Djotodia avait annoncé un renfort de 500 hommes à la police et 500 autres à la gendarmerie, ainsi que le casernement des combattants du Séléka. Ce casernement vise à retirer des rues les anciens rebelles, dont beaucoup n'hésitent pas à piller ou à se servir de leur force pour commettre des exactions. Il doit aussi permettre d'arrêter les individus armés se faisant passer pour des combattants du Séléka.

Mais les mesures de cantonnement des troupes ne sont pas suivies d'effet et le gouvernement a transmis à la Force multinationale d'Afrique centrale (Fomac) une demande de renfort de 1.000 hommes pour assurer la sécurité. Le Premier ministre Nicolas Tiangaye, issu de l'ancienne opposition, a aussi demandé le renfort de soldats français pour pacifier la capitale et l'arrière-pays.

Ces renforts devraient être débattus au sommet. De nombreux acteurs de la région se montrent sceptiques: "Qui a les hommes? Qui va payer? Qui va les entretenir?", s'interroge une source diplomatique d'Afrique centrale "lassée de toujours devoir aider le même pays".

La Fomac compte actuellement 500 militaires (120 Gabonais, 120 Camerounais, 120 Congolais, plus un contingent tchadien). Exception faite du Tchad, il n'est pas évident que les autres pays aient les moyens militaires de répondre favorablement à des renforts supplémentaires.

De même, il n'est pas sûr que la France, qui est en train de retirer ses troupes du Mali, ait la volonté d'engager plus que son contingent actuel d'environ 500 hommes en Centrafrique pour des opérations de police. Même si le chef de la diplomatie française Laurent Fabius a déclaré mercredi que la France était "disponible" pour aider au "retour de la stabilité". Sous réserve toutefois de "mettre en place des autorités légitimement reconnues, ce qui n'est pas le cas du président actuel".

Tous les regards sont tournés vers le Tchad et le président Idriss Deby Itno sans qui rien ne se fait en Centrafrique. Toutefois, la présence de l'armée tchadienne n'est pas forcément rassurante pour la population. Une partie des Centrafricains assimile les Tchadiens au Séléka et les accuse de participer aux exactions.

Il faudra aussi trouver une solution économique pour le pays ravagé par les pillages et où une partie du faible tissu économique a été détruit par les anciens rebelles. "La conjoncture économique mondiale n'est pas favorable", soulignait récemment un diplomate occidental, "mais sans argent rien n'est possible".

La situation sécuritaire est préoccupante au Nord-Kivu, selon l’ambassadeur de l’ONU Nicolas Chapdelaine

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Des déplacés fuient les affrontements entre FARDC et les rebelles du M23 à Rutshuru et se dirigent vers Goma (Juillet 2012)

A l’issue d’une mission de deux jours effectuée au Nord-Kivu, le diplomate canadien et membre du comité spécial de maintien de la paix de l’ONU, Nicolas Chapdelaine, a qualifié la situation humanitaire et sécuritaire dans cette province de « préoccupante », estimant qu’elle nécessite une action concertée de la communauté internationale. 

La délégation de l’ONU s’est rendue au Nord-Kivu pour se rendre compte du travail de la Monusco et des problèmes que connaissent les populations de cette province. Nicolas Chapdelaine a estimé qu’il y a encore de l’espoir pour l’avenir de la RDC, même si beaucoup de défis restent encore à relever.

Cette visite intervient au moment où la Monusco prépare le déploiement de la brigade d’intervention qui a reçu le mandat du conseil de sécurité pour neutraliser les groupes armés dans l’Est de la RDC.

« La Brigade d’intervention est un concept relativement nouveau pour les Nations Unies et c’est quelque chose qui est en réponse finalement à une situation qui est particulière au Congo. Il faut que la mise en œuvre de cette nouvelle partie du mandat de la Monusco se passe dans les meilleures conditions », a indiqué Nicolas Chapdelaine.

Le Conseil de sécurité des Nations unies a voté jeudi 28 mars la résolution 2098 créant la Brigade d’intervention de la Monusco. Composée de plus de trois mille hommes, cette force est dotée d’un mandat offensif pour traquer les groupes armés opérant en RDC. Son état-major sera basé à Goma et les préparatifs de son déploiement sont très avancés.

 « Je pense que cette visite a été véritablement bénéfique pour que l’on puisse donner un peu plus de compréhension à nos collègues et aux membres de la communauté internationale qui se préoccupent des questions de maintien de la paix et en particulier de l’avenir de la Monusco », a-t-il poursuivi.

RDC : une nouvelle compagnie aérienne nationale est en gestation, selon le ministre des Transports

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Le ministre des Transports et Voies de communication de la RD Congo, Justin Kalumba Mwana Ngongo le 5/03/2013 à Kinshasa. Radio Okapi/Ph. John Bompengo

Une nouvelle compagnie aérienne nationale qui doit remplacer les Lignes aériennes congolaises (LAC) est en gestation. Le ministre des Transports et Voies de communication, Justin Kalumba l’a annoncé mercredi 17 avril au sénat. Justin Kalumba répondait aux questions des sénateurs sur le projet de ratification de neuf conventions internationales dans le secteur de transport aérien. 

La nouvelle compagnie aérienne nationale en gestation va remplacer Les Lignes aériennes congolaises (Lac) dont le processus de liquidation est en cours.

« Des contacts sont déjà en cours avec quelques grandes compagnies aériennes internationales sur les possibilités de nouer un partenariat public-privé sur cette question », a indiqué Justin Kalumba sans fournir plus de détails.

Par ailleurs, les experts des ministères du Portefeuille et des Transports et Voies de communication ainsi que ceux du Comité de pilotage de la réforme des entreprises publiques (Copirep) sont en train d élaborer les termes de référence pour le recrutement des consultants qui seront chargés de l’audit détaillée des Lac et de sa liquidation, a précisé le ministre des Transports.

« L’objectif ici est d’avoir une nouvelle compagnie avec un patrimoine sain. Qui ne peut pas faire l’objet de saisie de qui que ce soit » a-t-il expliqué.

Le but est aussi de contribuer à l’assainissement du secteur de l’aviation civile congolaise. La question a été au centre d’assises nationales tenues mercredi 10 avril dernier à Kinshasa. Au cours de ces assises, Justin Kalumba avait appelé tous les acteurs du secteur de l’aviation civile à faire sortir la RDC de la liste noire de l’Union européenne.

Tous les transporteurs aériens certifiés par les autorités de la RDC sont repris sur cette liste depuis le 22 mars 2006. Ils ne peuvent pas exploiter le ciel européen.

Le projet de ratification de neuf conventions internationales, pour lequel le ministre était invité, sera transmis à la commission des relations extérieures du sénat pour amélioration.

Doruma: les élèves risquent de rater les épreuves hors session de l’Examen d’Etat

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Crée le 18-04-2013 12H30 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le jeudi 18-04-2013 - 14H00 PAR : RADIO OKAPI

 

Des élèves finalistes se concertent devant un des centres d'examen d'Etat le 25/06/2012 à Kinshasa, lors du début des épreuves écrites. Radio Okapi/ Ph. John Bompengo

A quatre jours de la passation des épreuves hors session de l’Examen d’état édition 2013, l’inspecteur principal de la Province Orientale 3, Victor  Lusuka, affirme que les malles contenant les questionnaires ne sont pas encore arrivées à Doruma. Ces questionnaires doivent venir de Dungu, à environ 200 Km de Doruma. Victor  Lusuka craint que ces épreuves ne se déroulent pas dans cette partie de la province le 22 avril prochain comme prévu. 

« En ce qui concerne Doruma, ma crainte est que si la malle n’est pas amenée à temps, l’examen ne se passera pas à la date prévue », s’inquiète-t-il.

Victor  Lusuka affirme être encore plus inquiet pour la correction de ces examens. « Pire encore, si l’examen se passait et que les copies, spécialement celles des épreuves techniques qui sont corrigées à Kinshasa, ne rentraient pas à Isiro avant le 1er [mai], elles ne partiront pas le 3 [mai] avec le vol qui est retenu à cet effet [pour les ramener à Kinshasa]», explique-t-il.

Il réclame une intervention du gouvernement provincial pour assurer le transport des questionnaires.

« Il n’y a que deux possibilités : l’affrètement d’un avion qui est basé à Dungu. Il faut verser plus ou moins 3 000 dollars. Si c’est par convoi militaire [que les questionnaires vont venir], que les filières concernées soient rapidement contactées. Nous savons tous que les environs de Dungu sont encore fréquentés par les rebelles de la LRA », indique l’inspecteur principal de la Province Orientale 3.

En février dernier, les candidats autodidactes de l’Examen d’Etat de Doruma n’avaient pas reçu les questionnaires de leurs examens préliminaires.


Assemblée nationale : la question orale à la ministre de la Justice transformée en interpellation

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Une session de la nouvelle assemblée nationale de la RDC au Palais du Peuple Kinshasa, le 20/02/2012. Radio Okapi/Ph. Aimé-NZINGA

 

La question orale adressée à la ministre de la Justice par le député Crispin Mbindule a été transformée en interpellation mercredi 17 avril à l’Assemblée nationale. L’auteur de la question a estimé que les réponses de la ministre Wivine Mumba sur l’état actuel de la justice et des droits de l’homme en RDC n’étaient pas satisfaisantes.

 Répondant à cette question orale mercredi 10 avril, la ministre Mumba avait assuré que le gouvernement fournit des efforts «énormes» en vue de reformer la justice congolaise et d’améliorer les conditions carcérales.

Pour le député Crispin Mbindule, la ministre s’est limitée à exposer des «théories sur le droit, la justice et les droits de l’Homme».

«Nous voulions qu’elle nous fournisse des réponses pratiques. Nos prisons sont vraiment des mouroirs. Dans nos parquets, la population est maltraitée. Nous voulons des solutions. Quand nous posons des questions, ce n’est pas pour qu’elle vienne ici nous définir ce qu’est le droit, la justice ou les droit de l’Homm», a-t-il affirmé.

Dans sa question orale, Crispin Mbindule déplorait la corruption au sein de l’appareil judiciaire congolais, le non-respect du délai de détention préventive et le délabrement des prisons.

En réaction, la ministre de la Justice, Wivine Mumba Matipa, avait affirmé que la corruption en RDC était généralisée à «tout le corps social». Elle préconisait d’y apporter une «solution globale».

Fanny Neguesha tatoue son amour pour Balotelli

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Crée le 18-04-2013 06H30 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le jeudi 18-04-2013 - 14H10 PAR : ARTV NEWS

MILAN – Le mannequin belge, petite-amie de Super Mario a encore surpris en dévoilant son nouveau tatouage, véritable hymne à l'amour.

Fanny Neguesha tatoue son amour pour Balotelli

 

© negueshafirst (Instagram). Fanny Neghesa

Fanny Neguesha a véritablement Mario Balotelli dans la peau !

Nouvelle preuve de son amour, la belle vient de se faire tatouer  sur son bras : " Ton amour est celui... qui me donne envie d'aimer."

Visiblement, Fanny Neguesha a trouvé en Super Mario sa moitié.

Une déclaration d'amour qui a dû toucher le joueur de l'AC Milan qui a été suspendu pour trois matches après avoir tenu des propos injurieux envers un arbitre contre la Fiorentina. La dolce vita continue pour les deux jeunes tourtereaux.

Kenya : Six morts dans une attaque à l'arme à feu à Garissa

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Crée le 18-04-2013 06H30 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le jeudi 18-04-2013 - 22H10 PAR : ARTV NEWS

GARISSA  - Au moins six personnes ont été tuées et 10 autres grièvement blessées jeudi soir dans une nouvelle attaque dans un hôtel du nord du Kenya, a confirmé un responsable du gouvernement.

Kenya : Six morts dans une attaque à l'arme à feu à Garissa

 

CC BY Chking2. Centre de Garissa

Le Commissaire du comté de Garissa, Maalim Mohamed, a déclaré que quatre hommes armés étaient entrés dans un hôtel local où avait eu lieu une attaque il y a un an, et qu'ils avaient commencé à tirer au hasard, faisant au moins six morts et 10 blessés.

Les défunts soupaient à cet hôtel, baptisé Kwa Chege, lorsque l' attaque a eu lieu aux environs de 19h30 jeudi, a déclaré M. Maalim.

On ignore toujours qui a perpétré cette attaque.

"Il est encore trop tôt pour dire qui étaient les agresseurs ou quels étaient leurs mobiles. Il est malheureux de voir que nous continuons de perdre des vies innocentes. Nous poursuivrons ces personnes sans coeur et nous les arrêterons", a déclaré M. Maalim à Xinhua par téléphone.

Le Kenya attribue la recrudescence des attaques à la milice Al- Shebab.

Des dizaines d'officiers de sécurité, d'agents du gouvernement et de civils ont perdu la vie dans des attaques à l'arme à feu ou à la grenade visant des lieux très fréquentés.

La région du nord-est, frontalière de la Somalie en proie au conflit, a été la plus affectée par ces attaques.

Le gouvernement kenyan a déclaré que ces attentats et enlèvements menaçaient l'industrie touristique, qui est l'un des moteurs économiques du pays, et qui commençait à se remettre de son effondrement après les violences post-électorales qui ont fait plus de 1 200 morts il y a cinq ans.

Les militants d'Al-Shebab ont fait voeu de s'en prendre à Nairobi, qui avait déjà accueilli les longues négociations aboutissant à la signature d'une charte fédérale de la Somalie en 2005, lorsque le Kenya a décidé d'intervenir en Somalie pour en éradiquer les activistes.

Le président des Comores Ikililou Dhoinine, et à quand, ceux de nos présidents Africains ventripotents et vautours ?

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Le président des Comores Ikililou Dhoinine

 

 

 

 


MORONI  - Le président des Comores Ikililou Dhoinine a remis jeudi sa déclaration de patrimoine à la Commission nationale de prévention et de lutte contre la corruption (Cnplc).

Il s'agit pour le chef de l'Etat comorien de réaffirmer sa conviction personnelle sur la transparence dans la gestion des finances publiques, pour "sensibiliser, informer et éduquer pour l'assainissement des affaires de l'Etat" et "faire de l'année 2013, l'année de la bonne gouvernance", a-t-on indiqué.


Dans le cadre de la lutte contre la corruption, les Comores ont adopté une loi relative à la transparence des activités publiques selon laquelle tous les hauts responsables de l'Etat exposés à la corruption doivent faire une déclaration de son patrimoine, et à quand, ceux de nos présidents Africains ventripotents et vautours ?


La loi prévoit des sanctions financières et pénales d'une amende de 5 millions de francs comoriens (environ 13.300 dollars) et d'emprisonnement de 2 à 5 ans pour toute personne qui ne se soumettra pas à cette décision dans les délais fixés par le texte.

Guinée : Deux leaders de l'opposition interpellés et puis libérés lors d'une marche contre le blocage du processus électoral

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Crée le 18-04-2013 06H30 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le jeudi 18-04-2013 - 22H10 PAR : ARTV NEWS

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Aboubacar Sylla

 

 

 

 

CONAKRY  - Aboubacar Sylla, porte-parole de l'opposition et Charles Pascal Tolno, leader du Parti pour le progrès de la Guinée (PPG, parti de l'opposition) ont été interpellés et puis libérés dans quelques heures par les forces de l'ordre lors d'une marche contre le blocage du processus électoral, ce jeudi à Conakry, a confirmé le porte-parole du gouvernement.

 

"Deux leaders de l'opposition ont été interpellés pour avoir violé le cordon sécuritaire de la manifestation et entraîné des risques de débordement," a déclaré Damantang Albert Camara, porte- parole du gouvernement.

Selon des sources coordonnantes, les deux opposants ont été libérés suite à l'intervention du ministre des droits de l'homme et des libertés politiques, Kalifa Gassama Diaby.

La marche dite pacifique de l'opposition a été dispersée sur l'autoroute "Fidel Castro" pour contraindre les manifestants à emprunter la route "Prince" (fief de l'opposition), allant du carrefour Hamdallaye au stade "Héliport" de la Minière, où des discours de motivation et de sensibilisation ont été tenus par lesdits leaders.

Selon le porte-parole du gouvernement Albert Damantang Camara, le bilan à mi journée de la manifestation de l'opposition dite radicale fait état de plusieurs interpellations et de deux blessés admis à l'hôpital Donka et au Centre médical de Matam.

Il a attesté que pour assurer la protection des populations civiles, les autorités guinéennes ont déployé un dispositif de sécurité constitué de 4 000 hommes, dont 1 500 policiers et 2 500 gendarmes, qui ont été postés dans différents endroits de la ville de Conakry.

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