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Channel: AFRIQUE REDACTION . L'information en continu ! Afrique au cœur de l’actualité...Infos News sur la RDC, les brèves de la dernière minute. Synthèse sur l’actu internationale. rdcongo-kinshasa, Nord et Sud KIVU, Kinshasa, Bas Congo, Dongo, Equateur, Maniema, Lubumbashi, les deux Kasai. Rédacteur en Chef : BONGOS Roger
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Tshala MUANA : Les « Bana Congo », ne sont pas des Congolais mais, des bandits !

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Créé le 05-03-2011 à 04 h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le samedi 05 -03-2011 à  11 h10 | PAR : AFRIQUE REDACTION

 

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La chanteuse (Traitre et collabo ) Tshala Muana ne décolère pas après le sabotage à Paris, il y a quelques jours, du concert que devaient livrer Werrason et Papa Wemba à la salle Elysée Mont­martre.


Intervenant dimanche sur le plateau de l’émission Sons Dorés « sur Mi­rador TV, à côté de Reddy Amisi, Mamou Nationale » a fustigé avec véhémence le comportement de ces extrémistes congolais établis en Europe qui se font appeler « Bana Congo ». Ces derniers, on le sait, poussant l’intolérance à son comble, commettent des voies de fait graves, au péril de l’intégrité physique des victimes, sur leurs compatriotes musiciens qui vont se produire en Europe et qu’ils empêchent de ce faire.


Tshala Muana, crachant sa colère et son indignation, a crié : « Ce ne sont pas des Congolais mais, des bandits ! Leur comportement et leurs actes ignominieux relèvent du vandalisme pur, aux yeux de la chanteuse ».

 Pour la « Mamou nationale ». Si ces Bana Congo « sont réellement des opposants, ils doivent venir au pays faire leur opposition à l’image d’Etienne Tshisekedi et d’autres citoyens congolais.


La patronne du groupe « Dynastie Mutuashi » a vivement condamné les menaces et voies de fait sur Werrason et Papa Wemba, violences qui ont touché une danseuse de Wenge MMM blessée à la tête. Tshala Muana a appelé les autorités du pays à prendre à bras le corps ce problème, à en discuter avec leurs collègues européens pour trouver une solution heureuse.

L’auteur de « Malu » fait observer que sous tous les cieux, il y a toujours des artistes, des musiciens qui soutiennent des gouvernements, des politiciens. Pourquoi cela devrait-il pris pour un délit en Rd Congo de la, part de ces « Bana Congo » ?

Déjà victime, en son temps, de la barbare des tristement célèbres « Bana Congo », la « Mamou Nationale » a promis des représailles au pays contre ceux qui tenteraient encore de porter la main sur elle.

La piste Reddy Amisi

Estimant avec Tshala Muana que l’impunité ne devrait pas être observée au profit de ces seigneurs de l’intolérance et de la violence contre les musiciens congolais, le chanteur Reddy a préconisé que soient mises à contribution les autorités des municipalités européennes où les concerts menaces ont lieu.

Des interpellations devraient être opérées et les trouble-fête, déférés devant la justice face aux musiciens concernée.

Une chose est vraie, le Gouvernement qui a la charge de la sécurité de ses citoyens au pays et à l’étranger par le biais des autorités des Etats où se retrouvent ses ressortissants est interpellé.


Kale Ntondo/Visa


Les difficultés financières sont impitoyables - Elections 2011 : - présidentielle maintenue ; - législatives reportées ?

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Créé le 05-03-2011 à 04 h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le samedi 05 -03-2011 à  20 h10 | PAR : SALONGO 

 


Un nouveau pas vers la consolidation des pratiques démocratiques en République Démocratique du Congo4eudi 3 avril 2011. Le président de la Commission Electorale Indépendante, l’abbe Apollinaire Malu Malu, a rendu le tablier tant réclamé, avec une insistance aveugle par une frange de la classe politique nationale.

Les faits se sont déroutés dès 14 heures 30, au siège de l’ancienne commission électorale sur le boulevard du 30juin. Comme c’est d’usage, des allocutions ont été prononcées. Le patron sortant du processus électoral en RD Congo qui s’est félicité d’avoir mené le bateau à bon porta particulièrement remercié les partenaires nationaux et internationaux de la CEI. Ce prêtre catholique du diocèse de Beni-Butembo n’a pas loupé l‘occasion de relever que grâce à l’institution citoyenne qu’il a dirigée, le processus électoral est devenu une réalité, que son équipe et lui ont crédibilisé à suffisance, avant de souhaiter la bienvenue à l’équipe dirigeante de la Ceni.
Le pasteur Ngoy Mulunda, président de La Commission Electorale Nationale Indépendante (Ceni), peu disert, a remercié et félicité Malu Malu et son équipe pour le travail abattu, avant qu’il n’hésiterait pas à recourir à L’expérience avérée du président de la Cei en cas de problèmes. Remerciant l’équipe dirigeante sortante, Ngoy Mulunda a, notamment, invité ses pairs du bureau de la Ceni au respect des règles du jeu. Syndrome ivoirien oblige?
Reste que le président de La Ceni hérite non moins d’une institution en forte crise financière. Au cours d’une rencontre préliminaire, apprend-on de bonne source, l’abbé Malumalu a fait savoir qu’en raison des difficultés financières, il serait pratiquement impossible pour la Ceni d’organiser d’ici la fin de l’année les élections présidentielle et légisLatives. A moins, soutiendrait le prélat catholique, de retarder de 6 mois l’échéance de ces joutes électorales initialement prévue en octobre prochain. Parole d’une personnalité créditée d’une épaisse expérience en la matière.
Non seulement les partenaires même les plus crédibles  ne sont pas toujours prompts à concrétiser leurs promesses, mais la remise à jour du fichier électoral a de la peine à carburer. Le nouveau patron de l’institution citoyenne hérite ainsi d’un cadeau rocailleux sur lequel il peut laisser tomber ses dents. Quand bien même Ngoy Mulunda passe pour un habitué des situations difficiles et un fin négociateur dont le nom est associé à maints forums ayant conduit la Rdc à la situation de paix (fragile certes) actuelle. Cela justifie-t-il ‘‘assurance du pasteur à promettre des élections crédibles au peuple congolais.
Daniel Ngoy Mulunda a pris cet engagement le 03 mars 2011 ; le rendez-vous est pris pour novembre prochain.

Après fusillade à la Prison Centrale de Gemena La VSV en appel à l’humanisation des milieux carcéraux

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Créé le 05-03-2011 à 04 h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le samedi 05 -03-2011 à  20 h10 | PAR : REFERENCE PLUS 

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La Voix des Sans Voix pour les Droits de l’Homme (VSV) se dit vivement préoccupée par les conditions carcérales infrahumaines auxquelles sont soumis les prisonniers et autres détenus dans les milieux carcéraux RD Congolais. Cette ONG de défense des droits de L’Homme affirme que ces milieux carcéraux sont caractérisés entre autres par des cellules non aérées, l’exiguïté des cellules, la promiscuité favorisant la propagation des maladies contagieuses. l’odeur nauséabonde, le manque de nourriture, l’absence de prise en charge médicale, la présence des fûts ou sauts placés à coté des détenus et dans lesquels ils font leurs besoins physiologiques les exposant ainsi à des multiples maladies …

 

La VSV est rassurée que ces conditions carcérales sont souvent à la base de nombreux décès, révoltes et multiples évasions des détenus. L’un des derniers cas en date est l’évasion, jeudi 24 février 2011, vers 17h30, de vingt détenus de la Prison Centrale de Gemena dans la Province de l’Equateur, après qu’ils aient réussi à casser le portail métallique de ladite prison.

 

Ainsi, la VSV demande aux pouvoirs publics et aux forces de l‘ordre de respecter la constitution de la République démocratique du Congo en son alinéa 1 qui stipule “ la personne humaine est sacrée. L’Etat a l’obligation de la respecter et de la protéger “. La Voix des Sans Voix pour es Droits de l’Homme (VSV) a saisi de cette occasion pour réitérer sa demande au gouvernement RD Congolais pour l’humanisation urgente des conditions de détention en RDCongo par la mise oeuvre des réformes pénitentiaires recommandées par le Forum National (les assises pénitentiaires de Kinshasa) organisé du 17 au 21 juillet 2007 par le ministère de la Justice avec l’appui de la mission des l’organisation des Nations Unies au Congo (Menuc) et l‘Union Européenne (UE).

 

Tout en condamnant la banalisation de la vie humaine par certains éléments de la Police Nationale Congolaise (PNC), la VSV demande au gouvernement RD Congolais en général et au Vice-Premier ministre et ministre de l’Intérieur et Sécurité et au ministre de la Justice et des Droits humains en général, d’instruire les services compétents en vue de procéder à l’arrestation immédiate et sans condition des policiers impliqués dans la fusillade de la prison Centrale de Gemena et de veiller scrupuleusement au respect des normes minima de détention des Nations Unies en humanisant les conditions de détention dans ces milieux carcéraux.

  Dominique Kadimamuya

Après Tshisekedi, Ne Mwanda NSemi, Badibanga et Bofassa - Vers un partenariat politique entre Pay Pay et Kamerhe

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Créé le 05-03-2011 à 04 h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le samedi 05 -03-2011 à  20 h10 | PAR : LE PHARE 

 



La croisade que poursuit Vital Kamerhe semble avoir atteint une vitesse de croisière avec sa visite hier à Pierre Pay Pay que l’on ne peut plus présenter. Aux dires de l’hôte du président de l’UNC qui était accompagné par quatre membres de son directoire national, les entretiens qui ont duré plus d’une heure ont porté sur deux points. A savoir un projet de partenariat politique entre l’un des 32 candidats à l’élection présidentielle de 2006 et le nouveau-né de l’opposition politique pacifique.
Ensuite la nécessité de réfléchir sur les voies et moyens de la consolidation de l’union de l’opposition en prévision des échéances électorales qui sont prévues pour la fin de cette année en cours. Pour Pierre PAY PAY, apparemment flatté par cette visite à la Villa VAGHENI, son domicile privé de Binza Palais de Marbre, ceux qui ne veulent pas que le peuple congolais ait droit à des élections apaisées seront surpris par le vent qui souffle au Nord du continent parce qu’ils utilisent le terrorisme au lieu de se fonder sur les textes légaux et les principes universels des droits de l’homme.

A la question de savoir ce qu’il pense de la dernière mesure de libéraliser l’exploitation et le commerce des matières précieuses, celui que l’on surnomme P-3 a rappelé qu’en 1983, alors Gouverneur de la Banque Centrale, il avait convaincu le maréchal MOBUTU de libéraliser cette exploitation et es commerce des matières précieuses. Le pays en a tiré des dividendes énormes car seule la direction des matières précieuses, parie biais de ses succursales à travers le pays, qu’il avait installée à la Banque du Zaïre faisait des recettes de l’ordre de 50 millions de dollars Us par mois. Ainsi donc, s’est- il plaint, ceux qui ont pris cette mesure n’ont pas eu la gentillesse de relire son dossier présenté à ce sujet en 1983. Ce qui est grave, c’est que cette mesure d’interdiction d’exploitation et de commerce des matières précieuses dans le Kivu a été sélective car certains groupes ont continué à le faire au su et au vu de tout le monde. Ici, sans le dire, il a fait allusion au dernier coup en date avec l’affaire du Jet privé battant pavillon américain et provenant de Lagos au Nigeria et qui était venu prendre le colis de 425 kgrs d’or à Goma.

Vital Kamerhe met en garde l’AMP
 «Si les frères et soeurs de l’AMP pouvaient cesser de multiplier, des subterfuges pour contourner la blet la constitution, ils rendraient Un grand service à la nation et au monde» Vital KAMERHE réagissait à la rumeur selon laquelle la famille proche du chef de l’Etat prépare un projet de couplage de l’élection présidentielle avec les élections législatives. A son avis, c’est un signe évident que la peur s’est installée dans le camp au pouvoir actuel. En couplant les deux élections, ils cherchent à tricher et de ce fait ils se dédisent pour avoir modifié le mode de scrutin en tour unique or le couplage instaure le deuxième tour. «Joseph KABILA devrait se méfier des conseillers qui l’amènent dans une démarche suicidaire qui, en réalité, les protègent eux-mêmes », a-t-il noté. «Les signaux visibles de la peur ont apparu dès le retour triomphal d’Etienne TSHISEKEDI qu’ils croyaient mort. Ensuite ils ont minimise l’UNC jusqu’au jour de ma sortie et surtout de mon arrive a Goma et Bukavu. De même, l’AMP n’a pas de bilan et ses membres savent que le peuple est mécontent, d’où toutes ces tentatives de tricherie, qu’ils ne cessent de multiplier chaque jour.»
Le président de l’UNC a profité de la question sur la tentative de putsch de dimanche dernier pour déplorer la recrudescence de la violence qui pointe à l’horizon. « Qui joue avec le feu finit par se brûler et je mets en garde nos compatriotes de l’AMP, car le siège provincial de mon parti à Kindu a été incendie hier et il est temps pour mettre un terme ces pratiques qui n’honorent personne, mais qui risquent de déborder les leaders et ce sera incontrôlable. » En insistant sur le fait que « ceux qui croient que détruire un bâtiment de l’UNC est un acte précieux doivent revoir leur copie car l’UNC incarne une idée, une vision politique et le changement auquel le peuple congolais aspire. Il faut cesser avec les provocations », a-t-il souligné.
Vital KAMERHE n’a pas mâché ses mots pour dénoncer la décision de déclarer caduques les cartes d’électeur de 2005, carie temps qui reste ne pourra pas permettre à la CENI de procéder aux opérations de révisitation des fichiers électoraux, étant donné que ce sont les provinces les plus peuplées et denses qui n’ont pas été visitées par les agents de la CEI. Le président de l’UNC a lancé un appel pathétique au pouvoir en place pour des concertations avec toutes les forces vives de la nation en vue de trouver un compromis au sujet des questions qui fâchent, tel ce dossier de révisitation des fichiers électoraux.
Revenant sur sa visite auprès de son grand- frère, Vital KAMERHE a indiqué qu’il est venu échanger sur les voies et moyens de conjuguer les efforts de toutes les forces de l’opposition afin que les élections soient apaisées, voir comment opérer le choix des membres de la Cour Constitutionnelle et surtout ceux du Conseil Supérieur de l’Audiovisuel et de la Communication. Ce corps va jouer, un rôle capital pour la liberté de l’opinion au niveau des médias tant publics que privés.

Trafic ferroviaire entre la Gare centrale et l’aéroport de Ndjili - Les kuluna sèment l’insécurité à Kingabwa

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Créé le 05-03-2011 à 04 h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le samedi 05 -03-2011 à  20 h10 | PAR : LE PHARE 



Kinshasa plonge lentement, mais sûrement, dans la culture de « Kuluna », ces marginaux basés dans les grands quartiers de Kinshasa et qui agressent à l’arme blanche les paisibles citoyens, juste pour arracher quelque butin et imposer la loi de la force brutale.
On croyait ce phénomène éradiqué avec des vagues d’arrestation déjà opérées et de transfert de condamnés dans des prisons de l’intérieur du pays, force est de constater que les pépinières de ces délinquants pseudo-sportifs sont en pleine croissance et que ces criminels en herbe aussitôt leur première sortie réussie, deviennent opérationnels.

C’est dans ces milieux de marginaux que se recrutent les bandes des Kuluna qui envahissent les trains Urbains de Kinshasa assurant des liaisons quotidiennes entre l’aéroport international de Ndjili et la Gare centrale de Kinshasa. Le matin, ces délinquants embarquent par dizaines dans des wagons des passagers, les uns debout ou entassés sur des banquettes, les autres juchés sur les toitures jouant à l’équilibriste, pour joindre le centre-ville, soit pour chercher de l’emploi, ou pour opérer quelque larcin.
A bord de ces wagons bondés, la musique et le football sont au menu des conversations, tandis que des mégots de chanvre circulent souvent entre les doigts des toxicomanes invétérés. Des équipes des policiers de l’Onatra devant assurant la surveillance et le contrôle des tickets de voyage à bord, ne sont jamais parvenus à évacuer ou à discipliner ces criminels en puissance qui constituent de véritables bombes humaines.
Plusieurs incidents émaillent le trafic ferroviaire des trains urbains le matin, entre 6 et 8heures et le soir, vers 16 et 17 heures.

Des boutiques et des maisons d’habitation pillées


Lundi dernier, à la suite d’une panne de train urbain à la hauteur de la société Ozacaf, les délinquants armés des pierres et autres objets contondants, sont descendus de wagons et envahis les boutiques et les maisons d’habitation des environs qu’ils ont pillées. Un témoin raconte qu’ils étaient nombreux à faire irruption dans les commerces, au point que les vendeurs n’ont pu opposer la moindre résistance. «Je les ai vus emporter des boîtes de lait et de sardine, des paquets de biscuits», a tenu à préciser un autre habitant de Kingabwa qui ajoute que d’autres Kuluna ont vidé les caisses des magasins.
Un père de famille surpris devant sa maison, par ces hordes des malfrats, entrain d’administrer des produits pharmaceutiques à son fils, a été molesté et ses quelques biens de valeur emportés par ces vandales.
Face à ces bandes menaçant avec des armes blanches, le poste de police « Les rails » avec ses effectifs insuffisants s’est vidé en un clin d’oeil. Heureusement, les inciviques n’ont pas saccagé les installations de ce poste. Ces pillages en série ont suscité la colère de jeunes garçons de Kingabwa qui ont réagi aussitôt par des jets de pierres sur ces inciviques.
Une demi-heure plus tard, une unité spécialisée de la police appelée en renfort est arrivée en” catastrophe sur le lieu des incidents. Déploiement des équipes dans tout le périmètre, tirs des coups de feu en l’air, les inciviques, ont été mis en déroute’.
On signale que quelques arrestations ont été opérées dans les rangs de ces hordes de malfaiteurs. Ces incidents ne sont pas les premiers du genre. Kingabwa a toujours été le théâtre des affrontements entre marginaux de ce quartier de Limete et ceux embarqués dans des trains urbains.
Il y a deux ans, à l’arrêt du train sur la 14ème rue, ces hors la loi avaient arraché Lin bébé des mains de sa mère et l’avaient emporté avec eux. On raconte qu’ils l’avaient jeté dans la rivière Ngwele. L’enfant est mort et le cadavre a été récupéré le lendemain de ce crime. C’est à la suite de ces incidents que le trafic ferroviaire fut suspendu. Le gouverneur de la ville indigné par le comportement marginal et criminel de ces Kuluna, fait une descente à Kingabwa pour réconforter les habitants de cette partie de la ville.
Il avait promis de renforcer la sécurité à chaque passage de train urbain à Kingabwa.
Pour ce faire, des réunions furent tenues avec les responsables de la société Onatra et l’Inspection provinciale de la police ville de Kinshasa.
Aujourd’hui, les Kuluna sont revenus en force et tentent de rééditer leurs sinistres exploits en semant l’insécurité à Kingabwa. La police du district de Tshangu devrait définir ses priorités. Car aujourd’hui, on lui reprocherait de s’intéresser plus aux conflits d’enfants et aux bagarres entre voisins ou entre bailleurs et locataires, qu’à sécuriser les arrêts de trains urbains où embarquent les délinquants.

Drame indicible à Binza Ma Campagne - Un fils Toto trouvé mort sur le toit du domicile familial

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Créé le 05-03-2011 à 04 h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le samedi 05 -03-2011 à  20 h10 | PAR : LE PHARE


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On ne saura jamais trouver des mots justes pour consoler la famille de Toto FURUME. Inconsolable, c’est le seul mot qui peut sortir des gorges de tous ceux qui, proches parents, amis et connaissances ont vécu le terrible drame qui a frappé dimanche dernier cette famille par la mort brutale de l’un de ses fils dont le corps a été retrouvé sans vie et en décomposition fort avancée sur le toit du domicile familial situé à Binza Ma Campagne.

Tout est allé très vite, comme dans un film de science fiction, dans une scène comparable à celles des fantômes hantant les châteaux en Ecosse. La veille, le père avait demandé à. ses enfants de faire une sorte de « Salongo» par le toilettage du jardin. Une fois ce travail terminé, les enfants se sont succédé dans la salle des bains pour se préparer à passer à table, a indiqué un ami de cette famille aujourd’hui éplorée. Quelque temps après on a entendu un cri strident et puis plus rien. On a fait le tour de la maison située aux environs d’un bar restaurant dénommé Saï Saï en face de l’ancien cabinet de Rager NKEMA Liloo à l’époque Conseiller Spécial du maréchal Mobutu en matière de sécurité. Pas de trace de Papy et c’est alors .que les parents ont commencé à s’inquiéter. On a lancé alors des appels en direction des amis, connaissances et proches parents jusqu’à saisir les différents commissariats de Police. Pas de trace de Papy FURUME, un jeune homme âgé de dix-sept ans.

Pendant près de deux jours, des recherches ont été lancées dans toutes les directions mais de manière discrète pour ne pas traumatiser ses frères et soeurs. Le jour suivant, l’un de ses frères a fait état des odeurs provenant, du toit, odeurs nauséabondes qui pouvaient provenir, selon lui, d’un chat ou rat d’égout qui aurait trouvé la mort sur le toit. Mais pour en avoir le coeur net et en finir avec ces odeurs,’ lé paternel a ordonné à l’un de ses fils de monter sur le toit pour le débarrasser de ces bestioles. Une fois sur Te toit, on a entendu des cris stridents et tout le monde est sorti de la maison pour en savoir ce qui se passait. «Papa, il y a le corps de Papy étendu et couvert des mouches », a crié celui qui venait de découvrir l’horrible réalité. C’est le branle-bas. On appelle les voisins qui viennent au cours.
Quelques temps après, la parcelle est envahie par des éléments de la Police, de l’ANR et du. Parquet de Grande Instance de la Gombe. Le corps en décomposition fort avancée, qui avait grossi démesuré-’ ment est descendu par des éléments de la Croix-Rouge et conduit à la morgue de la Clinique Ngaliema. Grâce au téléphone arabe, la nouvelle s’est répandue comme une tramée de poudre à travers toute la Commune de Ngaliema et ses alentours.

Suicide ou mort par électrocution ?

C’est alors que des questions ont commencé à fuser de partout. Papy a-t-il été électrocuté ? S’est-il suicidé ? On ne tardera pas à le savoir, car sur instruction du Procureur de la République, son corps a été confié à un médecin légiste pour des examens d’autopsie. En attendant, la famille de Toto FURUME se trouve dans le désarroi et la consternation. On s’interroge sur les mobiles de ce décès.

Mines de l'Est : la maffia est de retour

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Créé le 05-03-2011 à 04 h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le samedi 05 -03-2011 à  20 h10 | PAR : LE POTENTIEL 

 

RDC: au Katanga, des enfants quittent l'école pour travailler dans les mines

 


La confusion s'installe finalement dans les mines de l'Est où le gouvernement a promis de lever, le 10 mars 2011, la mesure d'interdiction qui frappe l'exploitation artisanale. Avouant, de ce fait, son incapacité à neutraliser les réseaux - semblables à l'hydre de la mythologie - qui opéraient autour de ces mines, elle rouvre la porte à la maffia. Qui est de retour, par la grande porte.

Septembre 2010 : Joseph Kabila, président de la République démocratique du Congo, est en tournée dans l'Est et y fait un constat amer. L'exploitation désordonnée des mines par divers groupes, généralement incontrôlés, est à la base des tensions récurrentes dans ces zones.

Dépité, il instruira le ministre des Mines, Martin Kabwelulu, qui fait partie aussi de la délégation de suspendre par voie d'arrêté toute forme d'exploitation minière au Maniema et dans les deux provinces du Kivu. Les termes du communiqué, qui rend compte de la suspension, sont suffisamment éloquents.

Le ministre des Mines y rappelle la conclusion à laquelle est arrivé le chef de l'Etat. La mesure entrera en vigueur dès sa publication " pour une durée indéterminée ", en attendant que l'ordre soit restauré dans les mines de l'Est. Par " ordre ", il s'agit pour le gouvernement de neutraliser tous les groupes maffieux qui opèrent dans ces zones minières.

Cette décision est motivée par le constat " amer " du chef de l'Etat qui estime que " l'exploitation minière dans cette partie du pays résulte du fait des activités des groupes mafieux qui confortent l'insécurité récurrente".

LE CHEF DE L'ETAT DENONCE


Plus grave. Le chef de l'Etat a, pour justifier la mesure de suspension, dénoncé " l'implication manifeste de certaines autorités locales, provinciales et nationales, tant civiles que militaires, dans l'exploitation illégale et le commerce illicite des substances minérales ". A son avis, l'exploitation minière dans l'Est de la RDC a été le fait des groupes maffieux dont les ramifications, selon lui, s'étendent bien au-delà des zones d'exploitation. Plus explicitement, jusqu'à Kinshasa où des autorités tant civiles que militaires tirent profit du commerce illicite des minerais de l'Est. C'est à cette maffia que le gouvernement avait décidé de s'attaquer, en décrétant la fin de la récréation dans les mines de l'Est.

Aujourd'hui que la réflexion se développe autour de la levée de cette mesure de suspension, il y a lieu de s'interroger sur ce qui a été réellement fait sur le terrain pour ne pas redonner de l'espace aux réseaux maffieux.

Sur ce point, le gouvernement, qui a annoncé pour le 10 mars 2011 la levée officielle de la mesure d'interdiction n'a donné aucune précision. Sur le terrain, des sources concordantes confirment l'intense activité des groupes armés autour des mines de l'Est.

Ainsi, malgré l'interdiction de l'exploitation artisanale, l'activité minière a continué à tourner dans les principales mines Le coltan, l'or et la cassitérite ont continué à être tirés du sous-sol en toute impunité et sous le regard complice des autorités politico-militaires censées garantir l'application de la mesure de suspension.

L'interception à Goma d'un avion étranger chargé d'expédier une cargaison d'or hors des frontières nationales en est une belle illustration. C'est la preuve que des groupes maffieux, ceux épinglés par le chef de l'Etat en septembre 2010, ont persisté dans leurs activités, narguant ouvertement l'autorité de l'Etat.

Dépouillé de son pouvoir de coercition, le gouvernement ne pouvait faire mieux que revenir sur sa décision, pour ne pas se couvrir indéfiniment d'opprobre.

Mais, le question qu'il faut se poser est celle de savoir si, entre la mesure de suspension de septembre 2010 et sa levée en mars 2011, des groupes maffieux, nommément identifiés, ou des personnalités (civiles, politiques et militaires) alimentant ces réseaux ont été mises hors d'état de nuire.

Pour l'heure, il est difficile de répondre à cette question, compte tenu de l'opacité délibérément entretenue en haut lieu autour de l'affaire de l'avion saisi à Goma.

Pire, avec la levée de la mesure de suspension, ils ont maintenant l'autorisation légale d'opérer en toute quiétude. Malheureusement, au détriment du pays qui ne tire pas profit de l'activité minière artisanale de l'Est.

LE REGNE DE LA PREDATION


Dans la plupart des cas, c'est une minorité qui se partage le butin, laissant le peuple périr dans une misère noire. Et la reprise de l'exploitation n'est qu'une façon de permettre aux groupes armés, qui opèrent dans les zones minières, de s'octroyer les moyens de se réarmer et d'entretenir leur mouvement.

Des études ont prouvé que les matières précieuses de l'Est de la RDC constituent la source principale de revenus pour les Forces démocratiques pour la libération du Rwanda (FDLR) depuis plus d'une décennie.

Mais, il n'y a pas que les rebelles rwandais qui tirent profit de l'exploitation des minerais. Certains éléments FARDC se sont détournés de leur mission (la traque des FDLR et la sécurisation de la population) et ont, à leur tour, érigé des barrières routières pour rançonner les exploitants artisanaux. D'autres n'hésitent pas à s'exercer à l'exploitation des carrés miniers par l'entremise des civils qu'ils utilisent.

C'est donc un cycle infernal qui rend incertain le retour de la paix et de la sécurité à l'Est de la RDC.

Le gouvernement ne se rend-il pas compte d'être en train d'affaiblir l'autorité de l'Etat ? Par conséquent, le peuple congolais doit ouvrir l'œil et le bon. Car, les défenseurs de la thèse de la balkanisation n'ont pas encore désarmé.

VICTOIRE ABSOLUE CONTRE LA FAMILLE DE L’IMPOSTEUR JOKA : LA MESSE EST DITE, WERRASON A BRUXELLES EST AUX ABOIS !

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Créé le 06-03-2011 à 04 h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le dimanche 06 -03-2011 à   03 h20 | PAR : AFRIQUE REDACTION 

 

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Les minutes de l’événement à Bruxelles

 

Werrason, un inculte fini a eu la réponse de son entêtement devant des combattants dans le froid, mais déterminé en découdre avec celui. La victoire est venue au bout de 3 heures d’affrontement, une bagarre rangée avec la police.

Chacun avait pris ses dispositions pour mater l’autre. Une unité cynophile de la police. 60 cars de policiers anti émeute, en tout, plus de 250 policiers déterminés à faire respecter l’ordre public.

Mon correspondant a pris des meilleures images, des moments forts...Une bataille rangée, gagnée à l'heure actuelle par les combattants..

 

23h45’ Une combattante, a une jambe fracturée, un autre, une grosse blessure à la tête...( blessure faite par un policier)

00 h02’ Werrason est coincé dans la salle avec ses 4 musiciens, il a peur de sortir...Henry MOVA, l'imbécile d'ambassadeur veut faire le forcing avec la police pour que celui joue, mais rien à faire...C'est l'échec total...( suite à cela un autre manifestant est blessé) à cause de cet ambassadeur..

00h 10’ Une barrage rangée avec la police…Les vitres des bâtiments ont volées en éclat, suite à l'agression d'un militant par la police...Les manifestants avaient aussi leurs bombes lacrymogènes...ça été lancée de partout...le calme est revenu..Ils sont toujours là...Ils ne cèdent pas d'un iota...Déterminés, vraiment quel plaisir de voir la conscience revenir...

00h 20’ Les maîtres karatekas et judokas de Werrason au départ ils étaient avec lui..Mais comme ils ont vu le sang des congolais, ils se sont rangés tous du coté des combattants...Donc c'est la victoire...Le concert est annulé !

Il faut saluer le travail formidable d'Henry MUKE... C'est important !

1h 45’ Demain, à Kinshasa  il y aura des terribles répercussions...Il faut continuer dans ce sens là...Le peuple comme c'est son opium, il sera en manque et la révolution commencera..

2h 01’ Je tiens à vous dire, qu'il fait froid..Les mamans ramènent du café et du pain aux manifestants..Le feu de camp est allumé ! La victoire !

450 COMBATTANTS déterminés  siègent l'endroit jusqu'à 4herues du matin.

Ce qui est intéressant, c'est cette symbiose entre congolais, ce vent de libération aura suffit à rassembler et fédérer nous enfants de la RDC. Je salue cette unité, cette force, enfin enfin mon peuple est debout et surtout uni !

 

Correspond de l’afriqueredaction.com à Bruxelles..3heures 10

 

KST. VANGU


Honoré NGBANDA révèle un plan macabre contre la RDC

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Créé le 06-03-2011 à 04 h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le dimanche 06 -03-2011 à  11h10 | PAR : AFRIQUE REDACTION 

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Pas plus tard qu’il y a une quinzaine de jours, nous avons réitéré le signal d’alerte que nous n’avons jamais cessé de lancer à l’intention de l’opinion tant nationale qu’internationale. Nous l’avions déjà annoncé : « l’heure est venu où les ennemis de notre chère et belle patrie vont chercher à passer à l’assaut final ».


L’attaque perpétrée le dimanche 27 février dernier à la résidence présidentielle du GLM à Kinshasa/Gombe, associée à toute la compagne d’intoxication qui s’en est suivie, ne peut, en rien, être prise pour un acte isolé. C’est justement cette action qui, pour « la Coalition Internationale pour la Déstabilisation de la République Démocratique du Congo (CIDC) », constituait l’assaut final. Ce, après avoir ensouillé des cuisants échecs dans le Grand Kivu, à l’Equateur et à Lubumbashi dans le Katanga.

Comme tout malfaiteur, ces imposteurs n’ont aucunement l’intention de débrayer. Epuisés mais poursuivant toujours, ils comptent passer au plan « B ». Après avoir installé la mégestion qui, sous le régime du feu le Maréchale, a mis notre pays à genoux et dans un isolement sans pareil, ce conglomérat d’ennemis de la RDC pense qu’il peut avoir aujourd’hui une recette magique pour ce géant au cœur de l’Afrique. Pire encore, cette CIDC qui, plus d’une décennie durant, a commandité la guerre de l’Est avec tout son cortège de malheur et calvaire vécues particulièrement, nos filles, nos sœurs et nos mères et nos jeunes hommes, veulent se faire passer pour des sauveurs de leurs victimes sans se préoccuper de près de dix millions d’âmes perdues en vain.

Ceux qui étaient emportés par la révolution populaire du 17 mai 1997, s’arrogent le culot de croire que les Jeunes patriotes du Grand Congo, les Femmes congolaises, les Officiers et militaires congolais, bref le peuple congolais dans sa diversité peut être prêt à suivre la voix de ces charlatans de mauvais augure.

Les compatriotes congolais doivent savoir que Ngbanda, Bongos, Apareco… à travers leur coalition n’ont aucun rêve heureux pour la RDC. Leur démarche est plus que jamais inscrite dans une dynamique tendant à déstabiliser notre pays et troubler l’ordre institutionnel que le peuple avait établi au prix d’énormes sacrifices lors des élections de 2006 et qu’il tend à renouveler d’ici novembre 2011.

Le Chef de l’Etat et Président de la République démocratique du Congo, Joseph Kabila Kabange, n’a jamais eu l’intention de s’éterniser au pouvoir. Les congolais doivent se le mettre à l’esprit. Il a, au cours de dix dernières années, réussi un pari fou : le rétablissement de l’ordre institutionnel entamé depuis les années 1960, la remise de la RDC à sa place dans le concert des nations et le renouement avec les institutions de Breton Wood, le lancement d’un ambitieux programme de reconstruction du pays à travers les « 5 Chantiers » de la république. De quoi lui attirer le gourou de tous les ennemis du peuple congolais.

Raison pour laquelle, tous les patriotes congolais, comme un seul Homme, jurent : « Qu’il en tombe mille à gauche, dix milles à droite, Joseph Kabila Kabange est hors atteinte ».

Jean-Luc SKAM

Bruxelles: Carton rouge pour Werrason, musicien de "Sima Ekoli" !

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Créé le 06-03-2011 à 04 h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le dimanche 06 -03-2011 à  11h10 | PAR : REVEIL FM 

 

 

 

Bruxelles: Carton rouge pour Werrason, musicien de "Sima Ekoli" !

Malgré le soutien avéré de Henri Mova Sankany, l'ambassadeur joséphiste du Benelux, Werrason n'a pu se produire à Bruxelles. Son concert prévu hier samedi 5 février 2011 dans la salle Noble à Bruxelles, capitale de l'Union européenne, a été purement annulé. Lorsqu'on se revendique homme de culture et on n'est incapable de lire les signes du temps, c'est qu'il ya quelque chose qui ne colle pas. En défiant les patriotes-résistants-combattants Werrason le musicien de "Sima Ekoli" s'est mis à dos une majorité des Congolais de l' étranger. En se comportant comme un loubard, un gangster menaçant, défiant, intimidant les patriotes-résistants-combattants, l'homme de la forêt a oublié qu'il était en ville et avait à faire aux Congolais civilisés et non pas de broussards. habitué à jouer sur des influences, se croyant au pays comme son accointance politique avec Joseph Kabila, son ami, est connue et que des Joséphistes, par ricochet sont devenus ses fanatiques, pour plaire à leur patron, Werrason "Sima Ekoli" avait un soutien de taille à Bruxelles: Henri Mova Sankany, le fameux ambassadeur, imbu de lui même,qui est incapable à délivrer des passeports biométriques aux Congolais, mais qui est venu au secours, d'un musicien du joséphisme.

En défiant, menaçant et insultant des patriotes-résistants-combattants, Werrason "Sima Ekoli" a creusé sa propre tombe musicale. Photo Réveil-FM, archives

Peine perdu. Bravant le froid, déterminé, débout comme un seul homme pour la défense d'une cause noble et juste, les patriotes-résistants-combattants n'ont cédé devant rien. Ils ne se sont pas laissés impressionner ni par les fourgons de la police belge, ni leurs chiens, encore moins leurs canons d'eau chaude ! C'est le concert de Werrason "Sima Ekoli" qui a été annulé. A lui de méditer sur son devenir. Voilà comment un musicien qui au lieu de "Solola Bien" a cru que "l'intervention rapide" de Mova Sankany allait sauver son concert.


S'il n'est pas malin pour se ressaisir et comprendre, les revendications des patriotes-résistants-combattants, Werrason "Sima Ekoli" va créer sa propre tombe musicale. Déjà qu'il est un faux chanteur, sa carrière est sur un fil de rasoir. C'est le public qui fait un artiste. Un artiste sans public est un artiste mort. Or ce sont les Congolais de l'étranger qui ont le pouvoir d'achat, ce sont eux qui consacrent les artistes Congolais qui se produisent en Europe, en Amérique. Ce sont encore eux qui estiment démocratiquement que l'heure n'est plus à la distraction, aux complaisances pendant que le Congo se meurt !

La musique du bruit, la musique de "Sima Ekoli" pendant que les femmes congolaises sont violées par des seigneurs de guerre, est un non sens pour la majorité de ceux qui acclamaient Werrason, il y a encore quelques années mais refusent aujourd'hui avec une conscience éclairée et en alerte d'être complice de la disparition du Congo, devenu un non-Etat, à cause des futilités werrasoniènne et des joséphistes.

Nord-Kivu : la circulation est libre mais toujours risquée

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Créé le11-03-2011 à 00 h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le vendredi 11 -03-2011 à  00h10 | AFRIQUE REDACTION

PAR : SYFIAGRANDS LACS



Il y a deux ans, jour pour jour, l’armée rwandaise quittait la RD Congo après l'action commune menée avec les troupes congolaises pour traquer les Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR). Aujourd'hui, sur les routes du Nord Kivu, transporteurs et passagers ne payent plus de taxes aux rebelles mais l'insécurité est toujours présente.
Depuis six mois, les habitants de Goma peuvent à nouveau apprécier les fromages et yaourts de Lushebere. Une région verdoyante et vallonnée du territoire de Masisi avec de superbes et luxueuses fermes entourées de pâturages à perte de vue. Cette contrée, à 80 km à l’ouest de Goma au Nord-Kivu, est connue pour ses produits laitiers. Des denrées qui étaient rares pendant la guerre qui a opposé les Forces armées de la RD Congo (FARDC) aux rebelles du Congrès national pour la défense du peuple (CNDP) de 2004 à 2009.
L'action commune des armées congolaise et rwandaise pour traquer les rebelles des FDLR, qui s'est arrêtée le 25 février 2009, a mis fin à la guerre, avec la transformation du CNDP en parti politique. La paix retrouvée a progressivement permis la suppression des taxes parallèles sur les routes du Nord-Kivu. Depuis lors, la capitale provinciale de la province est approvisionnée en légumes, produits laitiers et matériaux de construction en provenance de Masisi.
Les transporteurs sont les premiers bénéficiaires de cette libre circulation des personnes et des biens depuis la levée des barrières de Mushaki, à mi-chemin. Pendant la guerre, ce tronçon a été saucissonné entre les différentes forces en présence. C’est à Mushaki, l’ancienne position avancée du CNDP, que les rebelles prélevaient une taxe de 400 $ sur tout véhicule de commerçant alors que chaque passager s’acquittait d’une taxe de 10 à 15 $, par exemple, pour un sac de haricots. Selon un agent de l’Agence nationale de renseignements, ces taxes n’avaient que deux raisons d’être : "Alimenter la guerre et repérer les passagers espions".

L’axe de la mort

Cependant, les FDLR n'ont pas disparu, ils n'ont fait que se disperser. À Kisuma (l’ancienne ligne de front entre le CNDP et la coalition Pareco-FDLR sur l’axe Goma-Masisi), la peur et une lassitude sans nom se lisent sur les visages des passagers à cause des attaques fréquentes des FDLR pour les dévaliser. Mais, malgré cette situation sécuritaire encore incertaine, la circulation sur l’axe Goma-Masisi est très dense. Des passagers avec leurs bagages montent, chaque matin, sur le toit des camions bariolés, bourrés de marchandises pour se rendre à Masisi, "le grenier du Nord-Kivu".
Au-delà de la cité de Masisi en allant vers le territoire de Walikale, les civils sont encore victimes des représailles des FDLR pour "avoir collaboré avec les troupes rwandaises", déclare Juvénal Munubo, point focal au Nord-Kivu du Réseau de la société civile pour la réforme du secteur de la sécurité. C'est pourquoi, chaque vendredi à 14 heures, pour rejoindre le marché de Kibua, des centaines de paysans de plusieurs villages de Masisi, de Walikale et des commerçants venus de Goma et de sa région marchent à pied, entre Ouest-Masisi et Est-Walikale, encadrés par les jeeps des casques bleus de la mission de l’Onu. Le lendemain, à la même heure, ployant sous leurs biens, ils retournent à leur point de départ sous escorte onusienne. C'est la seule façon de se protéger des attaques des FDLR, car tout déplacement sans l'escorte des casques bleus fait courir un risque…

Procès Chebeya : controverse autour des relevés d’appels fournis par Vodacom

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Créé le11-03-2011 à 00 h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le vendredi 11 -03-2011 à  00h10 | AFRIQUE REDACTION

PAR : LE POTENTIEL

 


Malgré les explications de l’expert de la société de téléphonie cellulaire Vodacom sur le manque des relevés d’appels de certains protagonistes cités da ns l’affaire Chebeya, la partie civile argue que la fraude est manifeste.

Les renseignants continuent à faire leurs dépositions dans l’affaire qui oppose le ministère public aux assassins présumés de Floribert Chebeya Bahizire et Fidèle Bazana Edadi. Hier jeudi 10 mars, la Cour militaire de Kinshasa/Gombe a eu à entendre les explications de l’expert Marcellin Bokungu de Vodacom, ainsi que les déclarations des activistes des droits de l’Homme Robert Ilunga Numbi de L’ONG « Les amis de Nelson Mandela pour la défense des droits humains (ANMDH) » et Christopher Ngoyi Mutamba de L’ONG « Synergie Congo culture et développement humain (S.C.C.D.) », y compris celle de M. Christophe Mukalay Mulungu, conseiller en communication à l’Inspection générale de la police.

Pour l’essentiel, l’expert Marcellin Bokungu de Vodacom a expliqué que l’établissement des appels est une chose, mais leur génération en est une autre. Selon lui, un système peut ne pas envoyer toutes les données. Il a fini par dire à la Cour : « La partie civile doit comprendre qu’il peut arriver que des appels se perdent. Mais au niveau du réseau, ils sont envoyés tels quels ». Au sujet des appels émis de l’extérieur, il a déclaré que les partenaires donnent le numéro Usi, qui est le numéro interne de la carte SIM, mais non le numéro du téléphone.

Sur ce point, Me Kabengela Ilunga de la partie civile a fait remarquer que bien que Vodacom dise que pour la date du 27 mai 2010 à 17h00’’, il y aurait eu aucun appel entre le colonel Daniel Mukalay et le général John Numbi, cela n’est renseigné nulle part. Par contre, a-t-il souligné, le 21 mai, pendant que le général John Numbi est censé être à l’extérieur, il avait appelé le colonel Mukalay et ils ont causé pendant 426 secondes. L’avocat a précisé que c’est pour dire que le raisonnement tenu par Vodacom ne tient pas debout lorsqu’elle soutient que cela est dû au fait que John Numbi se trouvait en Zambie. Il a relevé que pour les dates du 18 et du 19 mai, c’est toujours le code 243 qui apparaît, mais on n’a aucun code d’un autre pays. Il a fini par lâcher : « C’est-à-dire que Vodacom connaît quelque chose sur ce que nous lui reprochons ». Me Kabengela a fini par annoncer que la partie civile dira les conséquences de droit contre Vodacom, car la fraude est manifeste.

De son côté, Me Richard Bondo a demandé si Vodacom peut avoir l’élégance de déposer à la Cour les données, afin qu’on puisse s’adresser à ces partenaires extérieurs. Mais l’expert Marcellin Bokungu a fait voir que les données des partenaires sont dans les documents déposés à la Cour. A ce sujet, Me Kabengela est revenu à la barre pour faire remarquer que les noms de ces partenaires n’apparaissent nulle part. Il a donc souhaité que l’on puisse les connaître. Là, l’expert a dit qu’il y a Vodacom Mozambique, Vodacom Afrique du Sud et Mobile Télécom. Non satisfait, Me Kabengela a souhaité que Vodacom donne les sites des partenaires, afin que la partie civile aille vérifier.

Valerie Amos tire la sonnette d’alarme « La situation humanitaire en RDC est une des plus sérieuses et des plus persistantes »

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Créé le11-03-2011 à 00 h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le vendredi 11 -03-2011 à  00h10 | AFRIQUE REDACTION

PAR : OBSERVATEUR

 



« La situation humanitaire en RDC est non seulement une des plus sérieuses dans le  monde, mais aussi une des plus persistantes. » Autrement, elle pourra également être des plus inquiétantes. Valerie Amos, secrétaire générale adjointe aux affaires humanitaires des Nations unies et coordonnatrice des secours d’urgence, a fait de ce SOS à l’issue de sa visite de 3 jours, du 8 au 10 mars, à Goma (Nord-Kivu) et à Dungu et à Bangadi, district du Haut-Uélé (Province Orientale), deux provinces parmi les plus affectées par les violences armées.    Valerie Amos a effectué une visite officielle de 3 jours en RDC dans deux provinces parmi les plus affectées par les violences armées pour se rendre compte de la réponse humanitaire et des besoins humanitaires nécessaires aux nombreuses personnes affectées les conflits de cette partie du pays.

            La secrétaire générale adjointe a fait remarquer dans sa déclaration finale que « des millions de personnes dans des zones de crise ont rarement connu la paix et la sécurité. Beaucoup vivent sans protection à la merci des groupes armés qui n’ont aucun égard pour les civils en violation des normes de base des droits internationaux et nationaux» parce qu’elle a estimé que «  la situation en RDC reçoit très peu d’attention qu’elle la mérite ».

            Elle a précisé que « sans assistance humanitaire, les personnes les plus vulnérables feraient face régulièrement à la faim et aux maladies. L’urgence est devenue chronique pendant que les indicateurs de développement se détériorent. Les maladies comme le choléra sont largement répandues dans plusieurs zones et les taux de malnutrition sont très élevés dans une grande partie du pays ». Pour elle, la pauvreté endémique, la migration causée par la détresse économique et les tensions ethniques nécessitent l’assistance humanitaire.

            Ainsi, a-t-elle affirmé que « les Nations unies et leurs partenaires continueront à appuyer les efforts du Gouvernement pour stabiliser la situation et promouvoir le développement ».

            En plus, compte tenu de l’ampleur de la violence et des abus actuels contre des civils innocents, particulièrement dans l’est du pays, Valerie Amos a appelé à « la nécessité de focaliser l’attention sur la mise en place des institutions clés – particulièrement dans le secteur de la justice – pour renforcer la règle du droit et stopper l’impunité. »

            La secrétaire générale adjointe aux affaires humanitaires des Nations unies et coordonnatrice des secours d’urgence a en outre appelé « à la recherche d’une solution régionale devant permettre le démantèlement des groupes armés d’opposition à l’Est, dont les FDLR et la LRA. »

            Paix, sécurité et stabilité, voilà les trois denrées rares qu’ont déjà des millions d’autres personnes, dont les populations congolaises ont grandement besoin.

            Comme pour apaiser les nombreux Congolais qui ont besoin de l’aide humanitaire, Valerie Amos, rassurante, a déclaré qu’ « au moment où d’autres crises surgissent à travers le monde, nous devons nous assurer que le peuple de la RDC n’est pas oublié ».

            En effet, en Libye, des milliers de personnes quittent le pays qui est en proie actuellement à des combats entre les anti-Kadhafi et les pro-Kadhafi coalisés avec les forces loyalistes. Ce qui  provoque plusieurs réfugiés qui ont déjà besoin de l’assistance humanitaire. Il y a également la Côte d’Ivoire en proie à une crise postélectorale qui a également besoin de l’aide humanitaire en faveur de nombreux Ivoiriens jetés dans la rue à cause des combats entre les pro-Ouattara et les pro-Gbagbo.

            Au cours de sa visite en RDC, la toute première qu’elle a effectuée au pays de Laurent-Désiré Kabila, Valerie Amos a dû rencontrer des autorités congolaises et les travailleurs humanitaires dans les provinces visitées. Il en a saisi l’occasion pour demandé que la protection des populations civiles soit une priorité et que la sécurité soit plus accrue dans les zones affectées par la LRA de l’Ougandais Joseph Kony dont les exactions ont déjà fait 2 000 civils depuis 2007 et enlevé près de 3 000 autres, dont 1 500 enfants.

            Voilà pourquoi elle a déclaré : « Nous pouvons sauver des vies en RDC, mais le conflit doit cesser ».   

Kléber Kungu

Malgré la guerre menée en Europe contre les artistes musiciens congolais - Fally Ipupa prêt à jouer au Zénith de Paris

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Créé le11-03-2011 à 00 h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le vendredi 11 -03-2011 à  00h10 | AFRIQUE REDACTION

PAR : OBSERVATEUR

 



Comme on le sait, le climat est vraiment malsain pour les artistes musiciens congolais, provenant de Kinshasa, désireux de se produire dans l’espace Schengen.  Des compatriotes de la diaspora, organisés dans une structure appelée Bana Congo, qui se dit être un mouvement de revendication politique,  serait à la base de cette attitude. Les derniers événements en date, à ce propos, demeurent entre autres les perturbations  et annulations des concerts que comptait livrer Werrason dans le cadre de sa tournée musicale dans l’espace Schengen. Les échos qui nous parviennent à ce sujet sont plus qu’inquiétants pour les rapports à venir entre nos artistes musiciens et une catégorie des Congolais de la diaspora.

Pourtant, c’est devant cette triste réalité que Fally Ipupa Dicaprio va devoir se trouver ce samedi 12 mars, à l’occasion du show qu’il livre au Zénith de Paris. Un concert de rattrapage qui aurait dû se produire normalement le 1er janvier, mais à défaut des visas pour ses musiciens, il avait été reporté.

Mais comble de malheur, ce concert intervient à un moment où il y a cette fronde qui n’est pas sincèrement de nature à lui faciliter les choses. De ce point de vue, ces « combattants » qui ne font pas dans la demi-mesure ne cessent d’exprimer leur sentiment s’agissant de ce concert de Fally dans des déclarations faites sur la chaîne de la RFI, au cours de l’émission « Couleurs tropicales » animée par Claudicya. Ils ont dit : « nous attendons de pied ferme Fally pour qui nous avons décrété une fatwa », une sanction usuelle dans le milieu islamique visant à pénaliser tout blasphémateur.

Confiant en son étoile, Fally semble plutôt disposé à les affronter. Il l’a dit dans la presse, sur un ton  conciliant en sollicitant l’indulgence de ces manifestants. « Je ne suis qu’un  simple musicien qui ne vit que de la musique qui représente toute ma fortune. Je n’ai rien à voir avec la politique, si tel pourrait être le cas qui serait à l’origine de cette fronde… », a-t-il laissé entendre.

Ses musiciens étaient déjà en possession des visas, il est certain que Fally effectuera cette tournée quitte à vivre cette réalité sur place, tout en souhaitant que des dispositions sécuritaires soient déjà prises.

Moriba

Mbandaka : les agents de la SCPT réclament 34 mois de salaire

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Créé le11-03-2011 à 00 h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le vendredi 11 -03-2011 à  00h10 | AFRIQUE REDACTION

PAR : LE REFERENCE PLUS

 


Les agents de Société commerciale des transports et des Ports (SCTP ex-Onatra) sont en grève à Mbandaka depuis le mardi 8 mars Cent quatre agents actifs de Mbandaka sont concernés par ce mouvement. Ils ont été rejoints par quatre cents retraités. Tous réclament trente-quatre mois de salaires non payés. Les salaires des retraités datent de époque où ils étaient encore en fonction, selon eux.
Ces agents ont paralysé toutes les activités au port public de la SCTP et au chantier naval de Boyera. Ils ont arraisonné depuis le lundi 7 mars au port de Mbandaka un bateau, M/B Lukamba, en provenance de Kinshasa à destination de Kisangani.
Les agents de l’entreprise ne veulent pas charger ni décharger le bateau jusqu’au paiement des leurs salaires.
Jean-Paul Kema, délégué syndical mandaté de l’Axe Fleuve, explique que les agents de la SCPT/Kinshasa sont régulièrement payés et vont en grève pour réclamer trois mois de salaire non payés alors que ceux de Mbandaka totalise trente-quatre mois.
Il affirme que malgré les multiples messages adressés à la hiérarchie à Kinshasa, ils ne reçoivent que des promesses.
« Nous devrions entrer en grève au mois de décembre, on nous a dit qu’après le déchargement d’un bateau qui devrait arriver, nous serons payés. Ça n’a pas été fait », a-t-il indiqué.


Sud-Kivu : l'insécurité grandit depuis la fermeture des carrés miniers

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Créé le11-03-2011 à 00 h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le vendredi 11 -03-2011 à  00h10 | AFRIQUE REDACTION

PAR : SYFIAGRANDSLACS

 

 



Depuis la fermeture des carrés miniers, il y a six mois, l’insécurité et les tracasseries ont repris de plus belle au Sud-Kivu, à l'est de la RD Congo. Excédée par l'impunité dont jouissent les bandits, la population a commencé à se faire justice elle-même.
"Depuis six mois, les radios annoncent chaque jour qu’une personne a été abattue la nuit précédente. Des enlèvements sont souvent signalés, de même que les cas des maisons défoncées et de biens emportés ou de personnes tuées dans leurs maisons", relève Moreau Tubibu, animateur au Groupe Jérémie, une association chrétienne de défense des Droits de l'homme.
Depuis la fermeture des carrés miniers au Nord et au Sud-Kivu par un décret présidentiel en septembre 2010, l’insécurité sur les axes routiers qui mènent de Bukavu vers les chefs-lieux des territoires s'est accrue. Ceux qui vivaient dans les carrés miniers - femmes et hommes, dont certains armés - se sont repliés dans les centres de négoce. "Les échauffourées entre civils et militaires sont devenues courantes", relève M. Tubibu. À Fizi, les habitants ont déserté le centre commercial et les villages pour se réfugier dans la forêt afin d’éviter des représailles de l’armée. Les échanges avec les villes se sont réduits. Ceux qui vivent dans les villages et ont un peu de bien ont commencé à se replier en ville.

Impunité et justice populaire

C'est à Kamanyola, Kiliba ou Fizi, au sud de la province, à Walungu, Mwenga et Bugobe à l’ouest, puis à Bushumba au nord que les alertes ont été les plus vives. Même le phénomène "kabanga" (le fait de tuer un humain avec une corde vendue très cher) a refait surface à Kalehe, Idjwi et Walungu pour se procurer de l’argent. Des débats radiodiffusés ont montré le caractère impopulaire de la fermeture des carrés miniers mais rien n'a changé et l'insécurité continue de battre son plein.
"Les hommes en armes, les policiers et les services publics sont devenus plus tracassiers qu’il y a six mois", constate Descates Mponge, secrétaire exécutif d'Action des chrétiens activistes des Droits de l’homme de Shabunda (ACADOHSA). Selon Éric Kajemba, de l'Observatoire gouvernance et paix (OGP), "les répercussions négatives de l’interdiction de l’exploitation artisanale des mines étaient prévisibles". Ceux qui avaient contracté des dettes dans les mines et ceux qui se sont endettés pour vendre des minerais sont tous incapables de rembourser dans les délais convenus. "Pire encore, les anciens voleurs et les délinquants, qui étaient devenus des creuseurs des mines, se sont retrouvés sans occupation", analyse Dieudonné Sango, de la Synergie des associations de lutte contre la corruption et l’impunité (SALCORI Sud-Kivu). "Ces durs, explique D. Sango, n’ont eu d’autre choix que de retourner à leur activité d’antan."

La population se défend elle-même

Excédée par l’insécurité, la population patrouille pour assurer elle-même sa sécurité. Les voleurs qui sont capturés sont remis à la police "pour être sanctionnés conformément à la loi". Malheureusement, ils sont relâchés deux ou trois jours après, "parce que personne ne s’est plaint", justifie la police. "Pourtant, rappelle Descates Mponge, la police a comme mission, entre autres, de rechercher et de constater les infractions."
S'estimant trompés, les habitants se rendent de plus en plus souvent justice eux-mêmes. "Les jeunes du quartier ont lapidé à mort et brûlé le corps du bandit venu se dénoncer un jour après avoir tué notre fils", explique un membre de la famille de la victime. "Six cas de justice populaire viennent d’être enregistrés du 1er au 13 février au quartier Kasenga, à Uvira", déclare le président de la Société civile de cette ville. D'autres cas similaires ont été enregistrés à Bukavu les mois précédents.
Les villes de Mwenga et de Kamituga ont manifesté leur mécontentement par ‘trois journées ville morte’ au début du mois. "Nous avons organisé une marche de protestation des habitants de Kabare avec remise d’un mémorandum à l’administrateur du lieu pour dénoncer l’insécurité et les tracasseries dont nous sommes victimes", explique Justin Mwanawabene, le porte-parole de cette manifestation.

Kasaï occidental : les veuves ne veulent plus être héritées

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Créé le11-03-2011 à 00 h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le vendredi 11 -03-2011 à  00h10 | AFRIQUE REDACTION

PAR : SYFIA GRANDS LACS

 

 

A Kananga, en RD Congo, les femmes multiplient les initiatives pour mettre fin au lévirat, qui oblige une veuve à se remarier dans sa belle-famille au risque d'attraper le sida. "A la mort de mon mari, j’ai catégoriquement refusé de me remarier avec son frère, comme me l’imposait ma belle-famille. J’ai quitté la famille, laissant derrière moi mes cinq enfants mais je ne regrette pas ce sacrifice, raconte Élisabeth Bilonda de la mission Katende Mon prétendant de beau-frère était trafiquant à Tshikapa, une zone minière réputée pour la prévalence du vih-Sida. Je ne voulais en aucune façon risquer ma vie en cédant à cette coutume dépassée. "
D’autres ont eu moins de chance ou de courage qu'elle. "Je suis malade du sida. Je n’ai jamais commis d’adultère de ma vie. J’ai été contaminée par mon beau-frère que j’ai épousé à la mort de mon mari. J’avais cédé aux pressions, espérant protéger mes enfants. Je vais mourir et ils vont se retrouver orphelins de père et de mère", témoigne une jeune mère en phase terminale, la voix écrasée par les sanglots.

Pressions familiales

Pauline Tshiela, habitant aussi la mission de Katende, souligne pour sa part sur les raisons qui justifient cette pratique dégradante pour la femme. "Dans certains cas, sous le prétexte de casser les liens avec le défunt mari, la femme subit de fortes pressions pour entretenir des relations sexuelles secrètes avec un homme de la famille, seule condition pour qu’elle puisse se remarier ailleurs", explique-t-elle, dénonçant cette pratique comme dangereuse car elle peut être la voie de transmission des maladies sexuellement transmissibles comme le sida.
Selon le Dr Aubin Mpanda du Programme provincial de Lutte contre le Sida qui participait à une animation sur ce thème, le lévirat pourrait figurer parmi les pratiques favorisant la transmission de la pandémie, au même titre que la prostitution non protégée, les mariages précoces ou forcés, la promiscuité dans les habitations, le manque d’information et l’absence de dépistage. Aucune statistique n’est fournie pour confirmer le lien entre lévirat et sida mais de nombreux témoignages en font état.

Pour la dignité des femmes

"Quand une veuve se remarie, il y a toujours des risques de maltraitance pour ses enfants, de la part du beau-père. Mais cela ne suffit pas pour maintenir cette pratique d’antan. On ne peut pas continuer à suivre aveuglément ces coutumes rétrogrades. Beaucoup de personnes réfléchissent d’abord aux conséquences", explique Kalamba, chef coutumier dans un village voisin.
En effet, le lévirat est encore pratiqué dans beaucoup de villages du Kasaï occidental, les femmes prennent cependant de plus en plus le courage de revendiquer leur liberté de choix. Celles qui sont instruites et diplômées, surtout en droit, prennent des initiatives pour sensibiliser et faire circuler l’information sur les droits de la femme. "Nous devons protéger les femmes et les enfants contre ces coutumes dépassées. Dans notre pays, la Constitution prévoit l’égalité et la parité entre les hommes et les femmes mais ce que nous réclamons, c’est la justice au quotidien", confiait Marie Jeanne Tudimuene, le chef de la sous division de l’enseignement Kananga II, lors d’un séminaire sur le leadership féminin, organisé à l’occasion de la dernière journée internationale de la femme.
La tâche est ardue car il est difficile de lever toutes les croyances liées au lévirat. Même parmi les femmes instruites et informées, certaines se laissent prendre au piège de la tradition. "J’ai refusé de me remarier dans ma belle famille mais par peur, j’ai accepté d’avoir des relations sexuelles avec un membre de la famille, pour lever le deuil de mon mari. Selon la coutume, je risquais la mort ou la folie si je refusais. Mes études ne m’ont servi à rien dans cette affaire. Aujourd’hui, je regarde cette personne avec dégoût", confie une jeune médecin s’adressant à son amie avocate.
Pour maintenir la pression sur les jeunes femmes, quelques personnes âgées brandissent la sentence. "Pour nos ancêtres, on peut traverser un pont mais on ne peut pas transgresser les lois qui nous régissent. Ceux qui ne respectent pas les coutumes seront tôt ou tard punis, par la mort ou la folie", clame Mutombo, un vieux notable de 73 ans.

LA MAYONNAISE PREND ET LA DIASPORA CONGOLAISE DE PARIS EST EN EBULLITION

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Créé le 12-03-2011 à 09 h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le samedi 12 -03-2011 à  09h10 | AFRIQUE REDACTION

PAR : R.B 

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REX KAZADI, l’enfant de la deuxième génération parle de son pays


La boule de neige sur les actions des patriotes contre les concerts à Paris…Les amis de « Ubiquité –Man » auront du mourant à se faire ! Tshiala Muana (la péripatéticienne notoire) persona no grata en Europe vient de creuser sa tombe.. Fally aura une résistance farouche aujourd’hui, je ne souhaite pas être à sa place. Venez à la manif ACTII KABILA dégage ! Et la cerise sur le gâteau le soir avec le concert de Fally. Une journée remplie avec plein de rebondissement

RB.

 

 

KABILA ACT II MANIF A PARIS DÉGAGE! 2000 PERSONNES AVEC DES IMAGES TERRIBLES

Concert de Fally : Un bras de fer terrible au Zénith de Paris !

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Correspondant : Roger BONGOS

Fally a défié la communauté congolaise de Paris en maintenant son concert de tous les risques…

 

Il a résolument décidé sans un préalable avec la diaspora de se produire ce soir sous la protection des sociétés de sécurité secondées par la police anti émeute sous une grosse pression palpable dans le comportement de deux camps. Chacun campe sur sa détermination, l’un veut à tout prix jouer, l’autre veut capoter cette mascarade qui commence à bien faire.


Ce soir la diaspora est unie de telle façon que nous nous trouvons avec une brochette de combattants, patriotes, résistants venus de quatre coins de l’Europe avec un seul mot d’ordre, gagner le combat avec le frêle , humanoïde et androgyne de Fally.


Ce concert d’après les patriotes interrogés est un défi contre l’imposture instaurée en RDC avec l’aide complice des musiciens qui chantent la gloire de ces individus.


Il revêtirait un caractère particulier ce concert, compte tenu des enjeux issus de cette démonstration de force. Donc, pas de victoire pour Fally qui symbolisera la victoire  de l’occupation qui a déployée des moyens et pressions considérables pour que celui-ci gagne son pari.


Un appel est lancé aux Congolais et amis de Congolais vivant dans Paris et proches banlieues de se diriger tous comme un seul homme vers le Zénith pour barrer la route à Fally. La police encercle les manifestants, il faudra venir assister nos frères et sœurs compatriotes.

 


 

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