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Léopards Football: Robert NOUZARET publie son top 22 pour affronter l’Ile Maurice

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Créé le 14-03-2011 à 09 h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le lundi 14 -03-2011 à  09h10 | AFRIQUE REDACTION

PAR : LA REPUBLIQUE



Treize professionnels, neuf locaux dont sept de Mazembe, retour de LUALUA et MBOKANI, adieu MUNTUBILE Santos et regroupement les 21-22 mars à Kinshasa. Voilà l’essentiel de la conférence de presse tenue le 11 mars au siège de la FECOFA par Robert NOUZARET pour la publication de la liste des sélectionnés des Léopards pour le match du 27 mars contre l’Ile Maurice à Kinshasa.

Pour ce match, le technicien français dira qu’il a retenu ses athlètes sur base de 5 critères :
le comportement des joueurs contre le Cameroun à Garoua lors de la deuxième journée,
leur temps de jeu dans leurs équipes respectives,
l’organisation du jeu,
les absences non justifiées aux convocations lors des deux précédents matches officiels
et enfin la motivation manifestée par les athlètes pour l’équipe nationale.
Sur cette liste, l’on relève le retour de Trésor LUALUA éloigné pour blessures et Dieumerci MBOKANI écarté pour mauvais comportement lors du match de Lubumbashi contre le Sénégal. Selon M. NOUZARET, MBOKANI s’était honorablement amendé.

Chez les nouveaux venus, l’on notera la présence de professionnels MULEMO et MUNUNGA déjà testés en matches amicaux ainsi que de l’excellent NIEMBA WALBI de V. Club.

La présence d’ILONGO NGASANYA n’a pas paru très justifiée aux yeux des sportifs à cause d’un long passage à vide à V. Club avant son atterrissage au DCMP. Plusieurs observateurs y voient un désir de calmer les supporteurs de Kinshasa qui protestaient il y a quelques temps suite à l’absence totale des joueurs kinois dans les sélections nationales où le TP Mazembe faisait le trop plein.

NOUZARET assisté d’OTIS NGOMA pour la circonstance répondra à une question sur MUNTUBILE Santos qu’il ne voulait plus de lui comme assistant. Le concerné s’en était trop pris à lui dans les médias alors qu’il passait son temps à entraîner un club au Congo-Brazzaville au moment où lui et OTIS mouillaient la chemise pour suivre les joueurs à retenir.

Il sied de rappeler enfin que le match du dimanche 27 mars compte pour la 3ème journée des éliminatoires des groupes de la CAN 2012. La RDC avait perdu par 2 à 4 contre le Sénégal à Lubumbashi avant de récolter un nul d’un but partout à Garoua contre le Cameroun.

Voici la liste de 22 élus :
Gardiens

KIDIABA Robert (Mazembe/RDC)
MANDANDA Parfait (Altay/Turquie)

Défenseurs


TSHIOLOLA TSHINYAMA (Lokeren/Belgique)
KIMUAKI Joël (Mazembe/RDC)
MULEMO Landry (Bucasport/Turquie)
KASUSULA Jean (Mazembe/RDC)
NIEMBA WALBI (V. Club/RDC)
MABIALA Larrys (Nice/France)
MONGONGU Cedric (Monaco/France)
MIHAYO KAZEMBE (Mazembe/RDC)

Milieus

MULUMBU YOUSSUF (West Bromwich)
MAKIADI Cedric (Fribourg/Allemagne)
MUNUNGA Joachim (Genclerbirligi/Turquie)
MATUMONA Zola (Mons/Belgique)
BEDI MBENZA (Mazembe/RDC)
ILONGO NGASANYA (DCMP)

Attaquants

KABANGU MULOTA (Mazembe/RDC)
DIBA ILUNGA (Najran/Arabie Saoudite)
MBOKANI BEZUA (Wolfsburg/Allemagne)
KALUYITUKA DIOKO (Mazembe/RDC)
KINKELA Christian (Ajaccio/France)
LUALUA Trésor (Nicosie/Turquie)


Révocation et démission des ministres - Le gouvernement Muzito se déplume

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Créé le 15-03-2011 à 09 h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le mardi 15 -03-2011 à  09h10 | AFRIQUE REDACTION

PAR : LE POTENTIEL

 

 




Les têtes ont commencé à tomber. L'une après l'autre pour des motifs spécifiques : Mobutu Nzanga, Biando, Undji, les premiers à quitter ou à être obligés de partir de l'Exécutif. La liste n'est pas exhaustive, dit-on. La série continue. Ainsi, le gouvernement Muzito est en train de se déplumer, rendant incontournable le remaniement

Mobutu Nzanga, Philippe Undji et Bernard Biando ne font plus partie du gouvernement. Les deux premiers ont été révoqués pour des raisons spécifiques tandis que le troisième, par solidarité à son chef, a eu le courage politique de démissionner.

Dans les salons huppés de la ville de Kinshasa où les rumeurs circulent avec une vitesse effroyable et souvent sont confirmées par la réalité des faits, l'on affirme que la liste n'est pas du tout exhaustive. D'autres têtes vont tomber, soit d'elles - mêmes (démission), soit décapitées (révocation).

Le gouvernement Muzito en train de se déplumer, ces révocation et démission facilitent le remaniement de l'Exécutif. Le fait en soi est même incontournable voire urgent, si l'on tient à préserver l'efficacité de l'action du gouvernement.

Il est un fait que tout se déroule à un moment crucial de la vie nationale. C'est-à-dire, à neuf mois de la fin de la présente législature qui sera marquée, au bout du tunnel, par l'organisation des élections générales : présidentielle, législative, et locale.

Au plan de la gouvernance, il s'agit de préserver les acquis du rétablissement du cadre macroéconomique après le satisfecit du FMI. Beaucoup de choses à faire en si peu de temps.

NI REPLATRAGE, NI SAUPOUDRAGE


La crainte de ce futur remaniement se situe justement dans ces deux faits. Dans ces départs, il y a bien sûr celui de Mobutu Nzanga qui suscite encore des commentaires. Selon le Pacte de l’AMP-UDEMO-PALU, les partenaires méritaient bien des égards et pour cette raison, Mobutu Nzanga occupait le poste de vice-Premier ministre. Poste créé pour le troisième partenaire de la majorité présidentielle.

Logiquement, la vice-primature ne peut plus exister, l'AMP ne disposant plus que de " 2 " partenaires : le PPRD et le Palu. Ce qui renforcerait l'autorité du Premier ministre. Mais si jamais d'autres alliés présentaient des revendications, l'on craint fort que l'on assiste à un tiraillement, signe annonciateur d'un replâtrage politique néfaste alors que l'on chercherait à faire baisser la tension. L'on pourrait observer le même engouement à d'autres postes ministériels. Un chantage est vite arrivé à l'approche de prochaines élections.

Ce que l'on peut également craindre, c'est la boulimie des postes ministériels qui engendrerait des frustrations. C'est-à-dire que les ténors de l'AMP pourraient se faire la part belle, placer leurs hommes à la tête de plusieurs ministères. Aujourd'hui que les élections sont à l'ordre du jour, la suite est facile à deviner.

EXERCICE DIFFICILE

En d'autres circonstances, la majorité au pouvoir ne se contenterait qu'à mettre en place un " gouvernement pour les élections ". Mais il est important de retenir que dans un premier temps, le gouvernement Muzito avait été chargé des " missions ". Notamment la paix, la reconstruction nationale… Missions qui doivent se poursuivre sans relâche. Aspect du problème qui ne peut être ignoré dans ce futur remaniement et influencera indubitablement le choix des hommes. Le ministre Undji n'a-t-il pas été révoqué pour incompétence ?

Le gouvernement Muzito avait été chargé ensuite de mettre tout en oeuvre pour atteindre le point d'achèvement afin de bénéficier du programme PPTE. Mission accomplie. Mais le plus dur est de respecter les engagements pris pour ne pas aliéner les efforts accomplis.

Le futur remaniement ne peut non plus ignorer cette exigence qui aura un impact sur l'organisation de futures élections. Il serait donc dangereux de s'adonner à un certain saupoudrage pour des raisons politiciennes.

De ce qui précède, le futur remaniement parait comme un exercice difficile pour le chef de l'Etat et le Premier ministre. D'abord, le temps ne joue plus en faveur de tous les partis ou formations politiques, et particulièrement l'AMP. Avec qui ira-t-elle aux élections ?

Question pertinente dans la mesure où c'est en ces instants précis que partenaires, alliés et sympathisants font souvent monter les enchères. Le pédantisme risque d'être un mauvais conseiller. Seule la dextérité peut conduire à un résultat positif.

Dolly Ibefo de la V.S.V. à la Cour militaire - Floribert Chebeya a été immolé pour les dossiers sensibles

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Créé le 15-03-2011 à 09 h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le mardi 15 -03-2011 à  09h10 | AFRIQUE REDACTION

PAR : LE POTENTIEL 

 



Dolly Ibefo de l'ONG " La Voix des Sans Voix " a révélé à la Cour militaire que les défenseurs des droits de l'homme sont menacés chaque jour, et Chebeya disait que des feux peuvent venir de sa coterie ou du pouvoir.

Sauf imprévu, c'est le jeudi 17 mars 2011 que la Cour militaire de Kinshasa/Gombe pourra clôturer l'instruction de l'affaire qui oppose le ministère public aux assassins présumés du défenseur des droits de l'Homme Floribert Chebeya Bahizire. A l'audience d'hier lundi 14 mars, elle a examiné les préventions de détournement d'armes et munitions de guerre, ainsi que celle de désertion mises à charge des prévenus Christian Ngoy Kenga-Kenga, Paul Mwilambue et Jacques Migabo qui sont en fuite. Sur ce dossier, ont comparu en qualité de renseignants, le général Kabulo Musaya Gilbert de l'Inspection générale de la police, le colonel Umbi de la Légion nationale de la police d'intervention rapide (PIR), le commissaire Mpoy wa Kabila du bataillon Simba ainsi que la colonelle Kamono, directeur des ressources humaines à l'Inspection générale de la police. Ensuite sont venus les détenus Christian Mosema et Elenge, réclamés par la défense pour confondre le Camerounais Gomer Martell. Et c'est le directeur exécutif de la V.S.V. Dolly Ibefo Mbunga qui a clôturé la liste.

Pour l'essentiel, Dolly Ibefo a dit à la Cour militaire que Floribert Chebeya a été assassiné pour s'être entêté à fouiner dans des dossiers sensibles tels que l'assassinat de Mzee Laurent-Désiré Kabila où la V.S.V. soutient que les vrais coupables courent toujours les rues, pendant que des innocents sont en prison. Il y a aussi le cas de l'assassinat de Mme Aimée Kabila, le massacre des adeptes de l'association politico-religieuse Bundu dia Kongo, sans oublier l'opposition des associations de défense des droits de l'Homme quant à l'arrivée du roi Albert II de Belgique en RDC pour les festivités du Cinquantenaire.

A cet effet, il a évoqué le cas de M. Marcellin Cisambo, actuel gouverneur du Sud-Kivu alors conseiller à la Présidence de la République, qui avait menacé Floribert Chebeya au Grand Hôtel Kinshasa en ces termes : "Nous sommes au courant, partout où tu passes, et qu'est-ce que tu dis ".

En entendant cela, Me Marie-André Mwila de la partie civile a déclaré à la Cour que Chebeya avait dit à sa femme qu'il se sentait menacé. L'avocat a fini par conclure : " Il vivait donc une menace permanente. Dans ce dossier, chacun a joué un rôle au niveau de l'Etat ".

Les Kasaïens honorent Ndaye Nkondo, 1er rapporteur de la CENI

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Créé le 15-03-2011 à 09 h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le mardi 15 -03-2011 à  09h10 | AFRIQUE REDACTION

PAR : LE POTENTIEL 

 



«Le choix de vos pairs députés, qui a fait de vous l’un des sept membres de la Commission électorale nationale indépendante (CENI), réconforte au plus haut point tous les fils et filles du Kasaï Occidental. » Cette phrase résume, à elle seule, l’ambiance et l’esprit de la fête de famille organisée le 13 mars 2011 à l’initiative et au domicile du Mwanangana (roi) des Bashilange, Emery Kalamba Wafuana, sénateur, au quartier cossu de Macampagne, à Kinshasa/Ngaliema.

Le prétexte pour ce rassemblement très particulier n’était autre que l’accueil du député Laurent Ndaye Nkondo Mulekelayi, récemment nommé 1er rapporteur de la CENI.

Originaire de la province du Kasaï Occidental, Laurent méritait bien les félicitations ainsi que les encouragements de la famille. Aussi les organisateurs avaient-ils misé sur la soirée du dimanche. Une soirée agrémentée par l’envoûtant solfège des Bayouda. Une soirée noyée dans des effluves de la mousse et du bon vin. Avec, cerise sur le gâteau, un service traiteur professionnel.

Les invités de marque, triés sur le volet, ont apprécié le mérite reconnu à l’homme du jour. Le présentateur l’a dit : « c’est grâce à vos atouts moraux, votre esprit de paix, votre capacité d’appréhender les problèmes et d’y trouver des solutions que vous faites l’unanimité parmi vos collègues. Et ce, pendant les années du conflit, à Sun City, à l’Assemblée de la transition, à l’Assemblée nationale des députés élus et, aujourd’hui, au sein de la Commission électorale nationale indépendante».

Dans sa courte réponse mais ô combien riche, le 1er rapporteur a exprimé sa gratitude envers les frères et sœurs. Il leur a révélé que « les charges de la CENI sont énormes, écrasantes, dans la mesure où l’institution a, dans son rôle, le devoir de faire respecter les choix effectivement opérés par le peuple congolais ». Face à cette obligation, Ndaye Nkondo a exhorté son auditoire à « accompagner la CENI à travers des observations pertinentes afin de la rendre performante dans l’intérêt de tous les Congolais ». C’est peut-être cette perception qui justifie la présence, à la soirée festive du dimanche, de Jacques Ndjoli, vice-président de l’institution.

Une fois de plus, le Mwanangana des Bashilange a tiré son épingle du jeu. La tradition a été respectée, elle qui veut que son palais honore dans la convivialité tout fils ou fille du Kasaï élevé dans la haute hiérarchie du pays.

RDC : Justice sélective

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Créé le 15-03-2011 à 09 h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le mardi 15 -03-2011 à  09h10 | AFRIQUE REDACTION

PAR : LE POTENTIEL 

 

L'annonce par le ministre de la Justice et des Droits humains du démarrage de la " deuxième phase de la tolérance zéro ", avec l'arrestation d'un membre du gouvernement central et de hauts magistrats, a été accueillie avec un certain scepticisme.


" Le principe pour le chef de l'Etat, c'est qu'il n'y ait pas d'intouchables. Personne n'est au-dessus de la loi, fût-il civil, militaire ou policier. C'est la deuxième phase de la tolérance zéro ", a affirmé Emmanuel Luzolo Bambi.

Parmi les " intouchables " accusés de " mégestion " ainsi que de " détournements des deniers publics " et de " corruption ", figurent le ministre du Développement rural, le ministre provincial des Infrastructures de l'Equateur, le président du Conseil d'administration et l'ADG de la Société nationale de loterie, deux magistrats, de hauts fonctionnaires des Finances et de l'administration douanière (DGDA).

Aux dires du ministre de la Justice, l'action du chef de l'Etat peut " s'étendre, rétroactivement, jusqu'à la gestion des affaires publiques en 2001 " du fait que " la prescription des poursuites pour les infractions de détournement des deniers publics en droit congolais est de dix ans ".

Par conséquent, les parlementaires feraient œuvre utile en dépoussiérant, au cours de leur session qui s'ouvre ce mardi 15 mars 2011, leurs rapports d'enquêtes sur le pillage des ressources de la RDC et la gestion des deniers publics.

" Que les membres du gouvernement de l'époque répondent de leurs actes. Il en est de même des bénéficiaires de ces paiements sans contre-partie ", conclut la Commission économique et financière de l'Assemblée nationale dans son " rapport relatif au contrôle de l'exécution de la loi de finances de l'exercice 2009, 1er semestre ".

En autres " anomalies constatées ", elle cite des " dépassements opérés en violation de la loi des finances ", un " paiement réalisé intégralement sans qu'aucune livraison ait eu lieu ", des " marchés " de ministères " attribués en violation de la loi ", un " ministre (qui) est passé outre l'observation de la chaîne de la dépense pour ordonner un deuxième paiement en dépassement de crédit de 1.093.780 USD " et un " ensemble de marchés (qui) est confié à une seule entreprise de gré à gré ".

" Au cours du premier semestre 2009, le gouvernement a transféré aux provinces un montant de 75.000.000.000 FC contre une prévision linéaire 102.435.370.598 FC pour le 1er semestre 2009 à titre des rémunérations payées dans le cadre du transfert des charges des secteurs à compétence exclusive des provinces (…). Dans les investissements sur ressources propres, les projets des provinces ont été financés pour un total de 27.531.773.490 FC contre une prévision linéaire de 100.000.000.000 FC, soit un taux d'exécution de 27,5% ", relève encore cette commission.

Si donc la " deuxième phase de la tolérance zéro " ne frappait pas " les membres du gouvernement de l'époque " et " les bénéficiaires de ces paiements sans contre-partie ", l'opinion publique serait tentée de penser à une justice sélective.

LES MANIFESTANTS DEVANT LE TRIBUNAL DE GRANDE INSTANCE DE PARIS AUJOURD'HUI

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Créé le 15-03-2011 à 09 h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le mardi 15 -03-2011 à  09h10 | AFRIQUE REDACTION

PAR : R.B

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Les Manifestants arrêtés injustement au Zénith de Paris lors de la manifestation contre le concert de Fally seront ce matin devant le Juge au tribunal de grande Instance de Paris. Je vous prie de venir assister ces vaillants patriotes qui ont besoin de votre soutien. Tous au Tribunal à 9 heures, avenue du Palais 75001 Paris, métro ci...te.
Roger BONGOS

8ème Coupe de la Confédération - DCMP s'envole pour Kampala

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Créé le 15-03-2011 à 09 h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le mardi 15 -03-2011 à  09h10 | AFRIQUE REDACTION

PAR : LE POTENTIEL 

 



Les Immaculés affrontent les Ougandais de Victors en 16èmes de finale de cette compétition interclubs de la Confédération africaine de football. DCMP devra donc ramener un résultat probant de Kampala afin d'aborder le match retour avec sérénité.

Le Daring club Motema Pembe a traversé, hier lundi 14 février, le fleuve pour Brazzaville avant de prendre un vol pour Kigali et joindre Kampala en Ouganda. Les Immaculés sont attendus ce dimanche 20 mars dans la capitale ougandais pour affronter l'équipe locale de Victors en match aller des 16èmes de finale de la 8ème édition de la Coupe de la Confédération.

Le team vert et blanc de la capitale congolaise se déplace avec un moral pas vraiment au zénith après leur défaite le dimanche 13 mars dernier au stade des Martyrs face à l'AS Dragons en match comptant pour la 10ème journée du championnat de l'Entente provinciale de football de Kinshasa (Epfkin). En fait, cette rencontre s'est arrêtée à la 79ème minute après l'envahissement du terrain par les supporters vert et blanc, contestant la décision de l'arbitre Sungu qui n'a pas accordé un penalty au DCMP. A ce moment-là, Dragons menait au tableau d'affichage sur la marque de deux buts à un.

Les Immaculés doivent donc se fortifier mentalement pour réaliser un résultat honorable à Kampala avant le match retour deux semaines plus tard. L'équipe est conduite par l'entraîneur Moke Adede, en attendant l'arrivée du coach belge Daniel Claesen, attendu dans les prochains jours à Kinshasa. Au tour préliminaire de la compétition, DCMP s'était débarrassé de l'équipe de KMKM du Zanzibar battue aussi bien sur sa pelouse (0-4 au match aller) qu'au stade des Martyrs à Kinshasa (0-2 match retour).

L'équipe s'est certes qualifiée pour les 16èmes de finale. Mais, la crise au sein de la direction du club n'a cessé de prendre des proportions inquiétantes. Le président de coordination, Antoine Musanganya, et le président chargé de la section football, Paul Kasembele, ne semblent plus regarder dans la même direction depuis un certain temps. Cette crise a occasionné le départ de l'entraîneur franco-serbe Lazar Milosevic pour Lupopo à Lubumbashi. Le coach belge Daniel Claesen longtemps annoncé à Kinshasa séjourne encore en Belgique. Il a été désigné pour reprendre le tablier rendu par Lazar Milosevic.

En attendant, le coach Adede Moke s'occupe de l'encadrement technico-tactique du club. A Kampala, il devra monter des stratégies tactiques pour un résultat souhaitable avant le match retour à Kinshasa. DCMP dispose des moyens pour ce faire, avec des joueurs comme le milieu de terrain relayeur Ilongo Ngasanya, rappelé par le sélectionneur Robert Nouzaret au sein des Léopards pour le match contre l'Île Maurice le 27 mars à Kinshasa ; il y a également des joueurs tels que le milieu offensif Nkanu Mbiyavanga, le gardien de but Matampi Vumi Ley, l'attaquant Bokota Labama qui effectue un début de saison remarquable avec Dcmp au championnat de l'Epfkin.

L'objectif du club est donc de ramener un résultat honorable afin d'aborder le match retour deux semaines plus tard dans la sérénité.

La NSCC préoccupée par l'organisation des élections dans le délai constitutionnel

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Créé le 15-03-2011 à 09 h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le mardi 15 -03-2011 à  09h10 | AFRIQUE REDACTION

PAR : LE POTENTIEL 


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Le coordonnateur national de la Nouvelle société civile congolaise (NSCC), Jonas Tshiombela Kabiena, a exprimé, hier lundi 14 mars, son inquiétude sur la tenue des élections en novembre prochain, conformément au délai prévu par la Constitution de la République démocratique du Congo.

Lors d'un point de presse qu'il a animé dans son bureau de Kasa-Vubu, cet acteur non étatique a estimé, pour sa part, qu'il est " techniquement difficile " pour que ces élections soient organisées avec succès et dans le délai constitutionnel.

De par son rôle d'avant-garde, la NSCC veut relancer le débat sur cette question de façon à aider les acteurs sociaux à réfléchir davantage pour trouver des solutions médianes aux différents sujets qui ont divisé les participants au forum de réflexion sur " Le processus électoral de 2011 en RDC ", organisé, il y a peu, à Pretoria, en Afrique du Sud.

Faisant la restitution de ce forum, Jonas Tshiombela a d'emblée précisé que cet atelier n'avait rien à avoir sur la conquête du pouvoir en RDC, ni sur le prolongement du mandat présidentiel, contrairement aux mauvaises interprétations faites sur ce forum.

Ont également pris part à ces assises, des représentants de la Majorité au pouvoir ainsi que ceux de l'Opposition parlementaire et extraparlementaire de la RDC. Cet atelier était organisé sous l'impulsion de l'Institut global in dialogue, basée en Afrique du Sud. Ce, dans le but de permettre aux 63 acteurs sociaux congolais qui y ont participé, de réfléchir sur les stratégies à monter pour organiser des élections libres, démocratiques et transparentes en RDC. Ce qui va épargner le pays d'éventuelles violences post électorales.

Jonas Tsiombela a aussi dégagé quelques points de convergence et de divergence évoqués lors de travaux de Pretoria. Abordant les points de convergence, il a indiqué que les participants ont, notamment reconnu les élections comme la seule voie légitime pour accéder au pouvoir ; insisté sur la neutralité des médias dans le traitement de l'information durant ce processus électoral ; le respect du délai constitutionnel dans lequel les élections doivent être organisées.

Par contre, les participants n'ont pas trouvé un terrain d'entente aux sujets notamment de la certification des résultats électoraux par la MONUSCO ; des mesures à prendre si jamais les élections étaient organisées au-delà du délai prévu par la Constitution.

Dans cette divergence d'idées, les participants se sont séparés en queue de poisson, nonobstant des recommandations formulées à l'endroit des uns et des autres.

BIENVENU IPAN


Udps: Beltchika parle de particularités du 29ème anniversaire !

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Créé le 15-03-2011 à 09 h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le mardi 15 -03-2011 à  09h10 | AFRIQUE REDACTION

PAR : LA PROSPERITE 



Allocution de clôture des journées commémoratives du 29ème Anniversaire de l’UDPS. Mesdames et Messieurs les représentants des missions diplomatiques, Mesdames et Messieurs les représentants des Partis frères et amis, Camarades Fondateurs, Camarades Co Fondateurs, Pionniers et Avant-gardistes, Camarades membres du Conseil National, Camarades membres du Comité Exécutif National, Chers invités, Camarades Notre premier devoir, en cet instant est celui de vous saluer et de vous exprimer notre gratitude pour votre présence à cette manifestation de clôture des journées commémoratives du 29ème anniversaire de l’UDPS ; à vous tous, nous disons donc merci. Le second est de vous expliquer la particularité de ce 29ème anniversaire dont nous avons reparti les manifestations en trois journées.

 

 

La journée du 15 février que nous avons symboliquement célébrée autour des cadres du Parti ; la journée du 22 février qui a été consacrée à un séminaire de formation des responsables des organes nationaux et de base, et enfin la journée de ce samedi 12 mars que nous clôturons par les manifestations détaillées dans le programme que nous avons rendu publique. Comme pour tout anniversaire, il revient à l’esprit de se souvenir du contexte et des conditions dans lesquels l’UDPS a vu le jour pour apprécier correctement la trajectoire de son évolution par rapport aux objectifs qu’elle s’était fixés. Cette tâche a été satisfaite par la communication du bref historique de l’UDPS qui vient d’être faite. Particularité du 29ème Anniversaire.

 

 


La particularité du 29ème anniversaire réside en : 1° la coïncidence de celui-ci avec la clarification, cette année, de la ligne politique du Parti par rapport aux objectifs lui assignés par son premier Congrès d’avril 2009, notamment la participation de l’UDPS aux élections à tous les niveaux. 2° la coïncidence de cet anniversaire d’avec les scrutins prévus en cette année électorale (2011). 3° la coïncidence enfin, de cet anniversaire ave la toute 1ère publication d’un ouvrage sur le Parti par le Parti, intitulé LIVRE BLANC SUR L’UDPS. Cette triple coïncidence nous incite a orienter notre propos de ce jour davantage vers l’avenir, c’est-à-dire vers les perspectives d’avenir de l’UDPS sur l’échiquier politique national aux regards des attentes nourries par le peuple congolais dans le cadre des élections annoncées et attendues.

 

 

Créée le 15 février 1982 par 13 valeureux compatriotes parlementaires avec d’autres non parlementaires ainsi qu’avec des millions des congolais, l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social est une formation politique d’opposition démocratique dont l’avènement, la résistance, le développement et l’encrage dans l’espace politique congolais est le fruit des sacrifices incommensurables consentis par les pères fondateurs et les premiers adhérents, en l’occurrence, les cofondateurs, pionniers, avant-gardistes de même qu’avec des milliers des combattants anonymes dont beaucoup ont payé de leur vie.

 


Contre vents et marées, ce combat a été relayé avec opiniâtreté par des millions d’autres compatriotes pour l’avènement de la démocratie et de l’Etat de droit, dans notre pays sous la houlette de l’UDPS jusqu’à la libéralisation des activités politiques et l’instauration du multipartisme par le régime, sous pression, en date du 24 avril 1990. A l’égard des uns et des autres, le moment n’est-il pas venu de reconnaître non seulement leurs mérites mais aussi et surtout, de s’inspirer de leur engagement et du sens élevé de leur abnégation, qui place au centre de leur action l’intérêt général et fonde la conscience de l’appartenance à l’œuvre collective qu’est l’UDPS aux antipodes d’une œuvre personnelle. De ce fait, l’UDPS est appelé à survivre aux pères fondateurs et à se pérenniser à travers les générations. Ce faisant, le sens de leur lutte prend de la hauteur et revêt une signification historique. Depuis sa création voilà 29 ans, l’UDPS n’a jamais participé à une quelconque compétition électorale, et pourtant, en tant que formation politique démocratique, il n’y a pas d’autres voies démocratiques que les élections pour accéder au pouvoir d’Etat. Quelques engagements pris au 1er Congrès d’avril 2009 face aux évidences… L’option prise au 1er Congrès d’avril 2009 de participer aux élections à tous les niveaux et l’engagement affirmé dans ce sens par la direction politique issue dudit 1er Congrès représentent une mesure de sauvegarde en vue d’éviter la réédition d’un comportement analogue à celui vécu lors des élections en 2006, dont les effets négatifs se font encore sentir à ce jour au sein du Parti et dans l’opinion publique. Le multipartisme étant devenu une caractéristique évidente de notre paysage politique, l’UDPS doit constater cette évidence, l’assumer et en tirer les conséquences résultantes d’un cadre démocratique. En d’autres termes, l’UDPS se doit d’afficher, dans cette compétition d’accéder démocratiquement au pouvoir, un comportement de respect envers d’autres formations politiques, bannissant la condescendance et cultivant la confiance réciproque. Ces diverses formations politiques ne sont ni ennemis entre elles ni ennemis de l’UDPS, mais elles sont plutôt des adversaires politiques, c’est-à-dire des partenaires politiques potentiels avec lesquels nous pouvons entretenir des dialogues et des consultations sur des questions d’intérêt national, en application du principe de l’esprit d’écoute, de tolérance et d’ouverture prôné par le 1er Congrès d’avril 2009. Une autre évidence est l’aspiration du peuple congolais au vrai changement justifié par l’étendue des calamités sociales et la profondeur de la déchéance humaine.

80% de la population adulte active est sans emploi. Chaque année des milliers des finalistes de l’enseignement supérieur viennent grossir ces cohortes sans perspective de trouver du travail. L’enseignement et l’éducation de base n’en laisse pas moins à désirer, et abandonnant sur la route des millions d’enfants et jeunes frustrés parce que n’ayant aucune qualification. L’indifférence, l’irresponsabilité, les comportements inciviques, la corruption, la concussion, les détournements, les complicités négatives et arbitraires, la famine, la misère et la précarité… sont autant des maux dont souffrent l’économie et la société Congolaise. Les perspectives d’ouverture au vrai changement : vision politique clair et programme de gouvernement comme préalables. Les perspectives heureuses susceptibles d’ouvrir le pays au vrai changement, à un autre destin que celui de la régression économique et de la déchéance sociale ne saurait être, ni dans une réédition des schèmes passés d’homme providence, ni dans l’éclat de l’habillage nouveau qu’on puisse leur prêter, ni encore dans des programmes improvisés et sans cohérence. La problématique générale de l’économie congolaise réside dans la survivance de la nature coloniale des pillages des ressources naturelles et de la dilapidation des ressources humaines du système économique congolais. Un tel système ne peut être porteur, en aucun cas, d’espoir pour quelque intérêt national que ce soit, et dans le meilleur des cas ne pourra que procurer des miettes à une infime minorité.

La solution relève prioritairement du politique où une contrainte légale au service d’une vision partagée quant aux priorités nationales intégrant l’intérêt bien compris de l’apport des capitaux extérieurs peut conduire à des changements salutaires en commençant par la mutation structurelle du système économique en place. C’est pourquoi, l’UDPS considère que le vrai changement devant répondre aux attentes du peuple passe par la possession d’une vision politique claire autour des questions ci-dessus exprimées, auxquelles s’ajoutent notamment : 1° l’amélioration générale du climat d’affaires par la simplification et adaptation aux besoins modernes de l’arsenal des lois et règlement régissant l’activité économique. 2° la dimension de la nouvelle diplomatie qualifiée d’ouverture et de responsabilité, tenant compte de la géopolitique régionale, continentale et internationale, qui offrirait les atouts dont dispose notre pays pour consolider les relations de bon voisinage avec tous les Etats limitrophes, de coopération mutuellement avantageuses et des garanties réciproques de sécurité qui permettrait à notre pays de jouer le rôle qui lui revient sur le plan régional, continental et international. Voilà pourquoi, la direction politique considère que l’année 2011 est celle qui prépare l’UDPS à accéder au pouvoir d’Etat. Aussi tout doit être orienté et organisé dans ce sens. Le mardi 22 mars prochain, en conformité avec nos statuts, est convoquée, à la permanence du Parti, la session ordinaire du Conseil National, qui examinera entre autres points, celui des grands axes à figurer dans le projet de programme de gouvernement qui sera endossé par le Congrès Extraordinaire du Parti, à tenir avant les élections. L’institut de formation des cadres est appelé à organiser une formation autour des axes constitutifs du projet de gouvernement avec les cadres des organes nationaux et de base. Cela leur permettra de disposer d’un outil de campagne électoral qui traduirait le contrat social que nous proposons au peuple et à partir duquel, il pourra nous juger au cours et à l’issu du mandat qu’il nous confiera.

C’est donc autour d’un programme respectant les attentes du peuple que ce dernier devra se retrouver et non autour des hommes, quelques soient par ailleurs leurs mérites personnelles passés. C’est aussi cela le vrai changement. La sortie de l’ouvrage de la direction politique sur le Parti, intitulé « LIVRE BLANC SUR L’UDPS » qui vient de vous être présenté, témoigne de l’esprit de changement dans la manière de gérer un parti politique. Nous souhaitons que les combattants et l’opinion en général s’en approprie et exploite à bon escient l’information qu’il contient. L’occasion faisant le larron, et cette journée étant principalement la leur, souffrez que nous puissions leur rendre exceptionnellement un hommage vibrant en disant : Vives les fondateurs ; Vives les cofondateurs ; Vives les pionniers et les avant-gardistes. Que le sens historique de l’ensemble de leur lutte et la sève qu’elle génère lesquels ont fait qu’aujourd’hui l’UDPS a pignon sur rue et une notoriété lui reconnue, ne tombent pas d’une manière ingrate dans l’oubli de l’histoire, mais que cela se pérennise plutôt à travers toutes les générations. Nous avons le devoir d’y veiller. BELTCHIKA KALUBYE François Xavier Le Secrétaire Permanent porte parole Et Président National a.i.

Marcel Ngoyi

A moins de deux semaines de la Can 2012 - Muntubile et Nouzaret révoqués ?

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Créé le 15-03-2011 à 09 h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le mardi 15 -03-2011 à  09h10 | AFRIQUE REDACTION

PAR : OBSERVATEUR 



Les violons ne semblent pas s’accorder entre le sélectionneur national de l’équipe A de la RD Congo, Robert Nouzaret, et son premier assistant, Jean Santos Muntubile. Le technicien français a, au cours de sa conférence de presse de vendredi dernier, déclaré qu’il ne travaillera plus avec le coach des Léopards locaux. Celui-ci a, dans sa réplique, exigé  un débat télévisé à la Radio télévision nationale congolaise avec son chef.

 Le coach Nouzaret déclare à la presse qu’il ne travaillera plus avec Muntubile au sein du staff technique des Léopards. Il le reproche de ne l’avoir pas informé de son contrat avec une équipe brazzavilloise, Etoile du Congo, et de le critiquer souvent dans la presse.

Dans une mise au point accordée aux professionnels des médias, l’ancien capitaine de l’équipe de la RD Congo a révélé que son titulaire l’en veut parce qu’il s’était opposé à son projet d’accompagner les Léopards à la dernière phase finale du Championnat d’Afrique des nations moyennant 10 000 dollars américains par match.

Le sélectionneur adjoint des Léopards promet d’organiser une conférence de presse afin dé déballer son titulaire et exige un débat contradictoire avec Nouzaret sur le plateau de la télévision nationale. Il promet également d’organiser une marche pour le départ de Nouzaret au cas où les Léopards ne se qualifiaient pas pour la Can Gabon – Guinée Equatoriale 2012.

Nous pensons qu’il est temps que le comité exécutif de la Fédération congolaise de football association et le ministre de la Jeunesse et des Sports réconcilient les deux techniciens avant notre prochain match contre l’Ile Maurice. Il est donc temps qu’on mette de l’ordre dans le staff technique des Léopards si nous  voulons que notre équipe aille loin dans cette compétition.

Jerry Kalemo   

Nzanga indigne de porter le nom Mobutu

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Créé le 15-03-2011 à 09 h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le mardi 15 -03-2011 à  09h10 | AFRIQUE REDACTION

PAR : CONGONEWS

 

 



Nzanga Mobutu fait l’objet des spéculations dans tous les sens depuis sa révocation du gouvernement. Hier encore, certains tabloïds kinois l’ont donné pour avoir rallié Vital Kamerhe mais l’intéressé lui-même continue à garder le mutisme. En réalité, le fils du Maréchal Mobutu vaut-il encore la peine des sollicitations? L’homme a fini de se déconsidérer, outre que presque personne ne lui accorde encore crédit quant au contrôle de l’électorat de la province de l’Equateur.
Dire qu’il n’a pas le sens de l’honneur ne traduit pas assez le comportement de ce fils à papa incapable de tirer les conséquences de ses propres contradictions avec ses partenaires et alliés politiques.
Ces contradictions, Nzanga les a étalées chez «CONGOINDEPENDANT», le site de Baudouin Amba Wethsi compté parmi les plus lus par les Rd-Congolais, quand il s’est permis de critiquer son propre gouvernement.
A la question du journaliste de savoir s’il n’était pas solidaire avec son gouvernement, Nzanga a répondu «vous me demandez d’être solidaire avec l’incurie ». Là où le journaliste lui a parlé de «gouvernement parallèle», l’ancien vice-premier ministre chargé du Travail et Prévoyance sociale a renchéri «gouvernement perpendiculaire». Pour qui conque comprend la politique et le politique, il ne peut s’attendre qu’à une démission de la part d’un dirigeant politique qui villipende sa propre famille politique dans des termes aussi durs. Le journaliste en était convaincu qu’il a demandé à Nzanga qu’est-ce qu’il attendait pour présenter sa démission? L’interviewé n’a pas trouvé quoi d’autre à dire que «nous sommes en Afrique». Pire, il est resté à Bruxelles pendant des mois sans daigner s’en justifier auprès de son Premier ministre.
Et le voilà qui débarque un certain 10 mars à l’aéroport de N’Djili avec idée d’aller reprendre son poste comme si de rien n’était. En fait, Nzanga avait été si naïf, si malléable pour se laisser persuader par des émissaires et autres courtisans que Joseph Kabila avait passé l’éponge.
C’est le contraire qu’il a vécu en se faisant révoquer le jour même de son retour.
Le lendemain, il réunissait son état-major d’urgence à sa cossue résidence, au bord du fleuve Congo. Pour dire quoi ou faire quoi? Quel ridicule de la part de ce fils dont beaucoup d’observateurs disent qu’il n’a de Mobutu que le nom. Pour le reste, c’est une « baudruche ». D’ailleurs, la plupart de ses proches le font passer, en privé, pour un « gros bébé » incapable de quitter le jupon de sa mère Bobi Ladawa. La pauvre, qu’est-ce qu’elle n’a pas fait pour ce fils prodigue qui se fait dépanner par Mam rajoute encore. Les élections de 2006 auront surpris le rejeton du Maréchal autant fauché. Ce qui a fait que son ralliement a été plus dictée par des raisons de survie.
Un ralliement qui avait fini de l’éloigner des siens qui ne lui ont jamais pardonné d’avoir composé avec le régime tombeur de son propre père. Il en a payé le prix durant toute la législature. A chaque commémoration du 16-17 janvier, Nzanga a dû se boucher les oreilles pour ne pas entendre les Kabilistes profaner la mémoire de Mobutu. Voilà qui s’appelle boire la calice jusqu’à la lie.
Quand un homme en arrive là, il vaut mieux... S’il avait démissionné de son propre chef, Nzanga se serait peut-être racheté un peu. Qui voudra bien de lui aujourd’hui avec l’opprobre qui lui colle à la peau? Puisque nous sommes en politique, son nom de famille peut toujours être capitalisé. Pourvu qu’il apprenne désormais ce que c’est un homme.

Matthieu Kepa

Le gouvernement donne un coup de pouce au chantier Education - Début des travaux de réhabilitation de l’UNIKIN

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Créé le 15-03-2011 à 09 h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le mardi 15 -03-2011 à  09h10 | AFRIQUE REDACTION

PAR : OBSERVATEUR 



Tout récemment, le gouvernement avait décidé de débloquer 11 millions de USD pour la réhabilitation de trois anciennes et grandes universités congolaises de Kinshasa (Unikin), de Lubumbashi (Unilu/Sud-Est) et de Kisangani (Unikis/Nord-Est).   Un protocole d’accord d’exécution des travaux avait été signé à Kinshasa par le Bureau central de coordination (BCECO) et les entreprises exécutantes, en présence des ministres congolais des Finances, Matata Ponyo, de l’Enseignement supérieur et universitaire, Léonard Mashako Mamba et celui des Infrastructures, travaux publics et reconstruction, Fridolin Kasweshi. Selon le ministre des Finances, les travaux qui devraient s’étaler sur 13 mois et s’inscrivent dans le cadre de la vision gouvernementale de réhabiliter ces universités pour les conformer aux standards internationaux. A ce temps, le ministre avait appelé le BCECO et les entreprises exécutantes à faire preuve de bonne expertise.

Aujourd’hui, c’est chose faite avec, depuis samedi 12 mars 2011, le lancement des travaux de réhabilitation de l’université de Kinshasa. Comme en pareilles circonstances, toute la crème invitée pour le coup d’envoi des travaux a répondu présent.

La première à prendre la parole était, sans fausse modestie, le recteur de l’Université de Kinshasa. Dans son mot de circonstance, Jean Berchamns Labana a d’abord souligné que l’Unikin a été créée depuis 56 ans. Portant donc le masque du vieillissement, elle attendait une intervention miraculeuse pour échapper à la ruine, à l’effondrement, voire à la disparition.

«Des plans de réhabilitation et de reconstruction se sont succédés, sans qu’aucune action concrète ne rejoigne les discours et les promesses répétées», a précisé le recteur de l’Unikin.

En outre, il a ajouté que  c’est l’entreprise SOGEDIE qui a gagné le marché et porte la responsabilité de réhabiliter le campus du Mont Amba. Jean Berchamns Labana a émis le vœu de voir les travaux se dérouler dans le timing prévu afin que le chronomètre de l’année académique en cours ne connaisse aucune perturbation.

«La sauvegarde du patrimoine existant, la construction de nouvelles infrastructures, l’équipement, l’éclairage, la sécurité et la compétitivité constituent autant d’urgences à réaliser avec priorité », a-t-il ajouté.

De son côté, Matondo Mbungu, directeur général du BCECO a convié la SOGEDIE et CERTAC à bien exécuter leurs travaux pour inscrire en lettre d’or leurs noms dans le processus de reconstruction de la RD-Congo.

Mis en œuvre de cinq chantiers

Matondo Mbungu a été clair dans son message. Pour lui, c’est «au terme d’un processus de recrutement compétitif et transparent, le BCECO a retenu la bureau d’études « Cabinet CERTAC » pour les études, le contrôle et la surveillance des travaux et l’entreprise SOGEDIE pour l’exécution des travaux répartis en deux lots distincts, à savoir la réhabilitation et la modernisation de la Faculté des Sciences, la modernisation de la Faculté des Sciences agronomiques.  Ces travaux qui se lancent officiellement aujourd’hui sont l’aboutissement d’un long processus entrepris sur recommandation du gouvernement aux fins de la concrétisation de la mise en œuvre  du volet Education des 5 chantiers initiés par le Chef de l’Etat. »

C’est ainsi qu’après le lancement officiel des travaux, le BCECO va procéder à l’organisation d’un atelier d’information technique sur le projet à l’intention des parties prenantes. Cet atelier, a ajouté le DG du BCECO, se centralisera sur la clarification de la répartition des rôles afin de mieux cerner les responsabilités des uns et des autres.

« Il sera aussi question pour le BCECO d’inviter les parties prenantes à plus de professionnalisme en organisant régulièrement des réunions techniques de chantiers au cours desquelles, toutes les informations utiles aux projets seront examinées et discutées entre les parties. Ceci aura comme effet de favoriser un bon climat de travail, d’une part, et de résoudre tant soit peu les problèmes qui se pourront se poser dans les chantiers », a ajouté Matondo Mbungu.

Comme mis en garde, il a conclu que le BCECO ne tolérera pas de retards et des déviations dans la qualité des travaux à réaliser et d’ajouter que le BCECO pilote le processus de préparation et d’exécution du projet de réhabilitation et de modernisation de l’UNIKIN, l’UNILU et l’UNIKIS.

De son côté, Léonard Mashako Mamba, ministre de l’ESU a souligné que les défis à relever sont immenses étant donné que le pays a accumulé trop de retard sur le plan de la construction et reconstruction de ses universités.

Selon Mashako, il est temps pour se conformer aux normes de NTIC. Il a souligné que les travaux de réhabilitation commencent par le premier bâtiment à être construit en 1954 sur le site UNIKIN, à savoir la Faculté des Sciences puis le dernier à y être bâti vers les années 1970 qui abrite la Faculté d’Agronomie et qui a été mal tenu. Le ministre de l’ESU et sa suite ont profité de cette occasion pour visiter la résidence du recteur incendiée lors des événements malheureux suite à la pendaison des deux étudiants à l’UNIKIN, en passant par la villa L. 18 qui servira de logement aux quatre professeurs de la Fac de Polytechnique jusqu’aux ouvrages construits pour lutter contre les érosions sur le campus.

Peu avant, c’étaient les jeunes universitaires


Un jour avant cette cérémonie de samedi 12 mars, l’opinion a assisté à la clôture de, vendredi 11 mars 2011, à la session de formation introductive à la gestion des projets en faveur des jeunes diplômés d’universités

 En effet, le 21 janvier 2011, à l’occasion de la cérémonie officielle de publication des résultats des tests de recrutement organisés par le ministère des Finances avec le concours du BCE Co, Matata Ponyo avait annoncé que les 54 récipiendaires des tests de recrutement allaient bénéficier d’une session de formation introductive à la gestion de projets, avant leur placement dans les agences d’exécution pour un démarrage effectif de leurs prestations. Un premier groupe de 27 jeunes a commencé cette formation. Des dispositions avaient été prises pour que le second groupe entame la même formation dans un délai de deux semaines ; ce qui devrait permettre d’accomplir la phase préliminaire des formations introductives au maximum sur une période d’un mois et demi. Ainsi, le premier groupe a commencé la session le 15 mars 2011 et le second le 1er avril, soit 15 jours plus tard.

Les jeunes universitaires ont été mis dans des conditions favorables au cours de leur formation. Néanmoins, le ministre des Finances a mis en garde les récipiendaires sur cinq volets. Il leur a premièrement rassuré qu’au terme des processus qui ont conduit à leur sélection, la prochaine étape est celle du démarrage effectif des prestations dans l’une des agences d’exécution des projets du gouvernement.  Matata Ponyo a poursuivi en déclarant qu’à l’issue d’une période probatoire de six mois, une évaluation non complaisante sera faite pour apprécier les prestations de chacun d’eux. Ceux pour qui le résultat ne sera pas concluant » seront obligés de nous quitter. Rien n’est donc joué d’avance. Sachez qu’il ne s’agit pas de réussir au test pour être performant, même si la plupart des fois c’est le cas. Au-delà de l’intelligence factuelle, il y a d’autres valeurs clés qui comptent dans le monde du travail, comme la disponibilité, l’humilité, l’assiduité «.

Par ailleurs, il a insisté sur le fait que le travail dans les agences d’exécution de projets devra s’inscrire dans un programme structuré, combinant leurs activités professionnelles au quotidien avec des formations à la carte, ciblées en fonction des métiers de gestion de projets choisis, et enfin un mécanisme adéquat d’évaluation des progrès.

Comme ces jeunes universitaires font partie de la minorité des privilégiés qui ont pu être recrutés de manière compétitive et transparente dans un lot de 1.700 candidatures reçues, c’est une chance à saisir pour démarrer leur carrière professionnelle dans un contexte qui leur garantie à la fois des conditions de rémunération nettement au-dessus de la moyenne nationale et de très larges possibilités de renforcement des capacités qui les aideront à consolider rapidement leur envergure professionnelle, »leur offrant du coup l’opportunité d’assumer plus rapidement que leurs collègues d’universités», des charges plus importantes, socialement plus valorisantes et financièrement mieux rémunérées.

Willy Kilapi

Badive défie les Combattants : Werrason - Papa WEMBA le 26 mars 2011 au Théâtre du Gymnase à Paris

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Créé le 15-03-2011 à 09 h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le mardi 15 -03-2011 à  09h10 | AFRIQUE REDACTION

PAR : KONGOTIMES 

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  Affiche concert - Werrason - Papa WEMBA le 26 mars 2011 au Théâtre du Gymnase

 


 

 

Badive qui veut se rattraper avec le concert manqué du 19 février de Werrason et Papa Wemba invite le public cette fois au Théâtre Gymnase le 26 mars et non à l’Elysée Montmartre où il a connu des difficultés.


Badive n’est pas fatigué malgré le coup fourré contre lui lors du concert entre Werrason et Papa Wemba qu’il voulait organiser à l’Elysée Montmartre le 19 février dans le cadre de la Saint Valentin. Dans une interview accordée à Digitalcongo.net, il invite les mélomanes au Théâtre Gymnase le 26 mars et annonce que de mesures sécuritaires sont prises pour la bonne tenue de cette messe culturelle. Selon Fula Mpungu qui dit ne pas faire la politique et qui est ouvert au dialogue, des poursuites judiciaires sont engagées contre certaines personnes identifiées comme meneurs de ces événements déplorables qui lui ont laissé échapper de grosses sommes d’argent.

MMC : Dans quelques jours on pourra compter un mois depuis les tristes événements de l’Elysée Montmartre où, un concert que vous avez organisé a été perturbé par un groupe de nos compatriotes. Quelle lecture faites-vous de ces événements

Badive : D’abord, je demande aux Congolais de bannir la haine, la critique, seulement négative. Que dirions-nous demain à nos enfants et arrières- enfants en ce qui concerne la culture, lorsque nous la détruisons.

Aujourd’hui on empêche l’organisation des concerts. Moi je considère que c’est là une façon d’étouffer les artistes, de mettre du sable dans la machine culturelle congolaise. Ces gens qui osent défier les artistes, ce sont le mêmes qui les adulent, qui consomment la musique de ces artistes. Ils le savent. Donc vous voyez, la musique n’a pas de couleur, de couleur politique et moins encore des frontières. Il y a des Européens qui apprécient la musique congolaise, pourtant, ils ne sont pas Congolais.


Tout comme il y a des mélomanes qui ont adulé et continuent à aduler Franco Luambo Makiadi quand bien même celui-ci a plusieurs fois chanté pour soutenir la propagande du président Mobutu, dictateur fut-il. Mais pour le cas de nos musiciens actuellement, peut-on prouver qu’ils soutiennent tel ou tel autre politicien au pays ?  Il est possible qu’ils le fassent. Et même s’ils le font, Ce n’est pas dans le cadre du business, dans le cadre de leur métier, dans le cadre purement professionnel ? Et ce n’est pas mon problème.


Voilà. Lorsqu’ils viennent ici en Europe, ce n’est pas dans ce même cadre qu’ils viennent. Lorsqu’ils pourraient leur arriver de soutenir ouvertement tel ou tel autre individu, est-ce qu’on peut le leur interdire ? Moi je pense que non. C’est la démocratie. Cependant ce qui serait incommode, c’est lorsqu’ils pourraient confondre leur métier à celui de politicien. Cela ne cadre pas. Il faut que l’on sache faire la part de choses.


En Europe, ils viennent aussi dans le cadre du business, égailler les mélomanes, notamment les Congolais. Et l’on peut dire sans se le cacher, beaucoup même parmi ceux qui manifestent contre eux le savent, ils sont fans de ces artistes. Et comme je l’ai dit tout à l’heure, ils apprécient la musique de Werrason, de Papa Wemba et autres qu’ils ont même dans leurs discothèques à la maison. Donc comme ils l’ont toujours fait, qu’ils viennent assister au concert que j’organise avec ces artistes, leurs compatriotes qu’ils aiment. Qu’ils viennent, c’est entre nous filles et fils du pays on peut toujours dialoguer. La violence n’arrange rien. Au contraire


C’est depuis longtemps que notre culture, très appréciée, existe. Il ne faut pas qu’on l’étouffe car les politiciens passent mais la culture va demeurer. Il faut bannir la haine. Je voudrai une fois de plus évoquer la musique de Luambo qui est mort il y a de cela 20 ans bientôt mais qui continue à émerveiller le public, même les générations nées après sa mort qui ne l’ont pas connu. Et puis nous devons savoir que les musiciens sont des responsables. Ils ont plusieurs charges. Ils ont sous leur responsabilité les enfants, des travailleurs, il est criminel de les empêcher de faire leur travail.

Est-ce qu’en tant qu’initiateur du concert raté du 19 février vous avez remboursé l’argent de ceux des mélomanes qui ont payé leurs billets pour accéder dans la salle de l’Elysée Montmartre où était prévu le concert le 19 février ?

Certains avaient été remboursé. A tous ceux qui ont payé l’entrée du concert raté du 19 février, je leur dis de garder jalousement leurs billets. Ce sont les mêmes qui leur permettront l’accès dans la salle le 26 mars au Théâtre Gymnase

Quelles sont alors les dispositions sécuritaires que vous avez alors prises pour éviter la répétition des événements du 19 février ou d’autres similaires qui lieu à Bruxelles où Werrason devait se produire le samedi  4 mars dernier ?

Toutes les dispositions sont prises pour le 26 mars et j’ai déposée une plainte contre certaines personnes que l’on a pu identifier lors des événements du 19 mars. Il y a de personnes qui seront interpellées et qui risquent de payer des dommages-intérêts. A la justice de faire son travail

Que dites- vous alors aux meneurs 

J’en ai identifié quelques uns. Je les connais. Si je cultivais à mon tour la haine comme le font certains d’entre eux, je leur dirai de me rembourser l’argent que j’ai dû dépenser pour organiser ce concert, car moi je ne leur ai rien fait de mal mais ils m’ont causé des pertes. Si ce sont les artistes musiciens qui leur ont causé du tort, qu’ils puissent alors les pardonner car eux aussi disent qu’ils ne se reprochent de rien. Ils disent qu’ils ne comprennent rien de ce qui leur arrive et sont prêts pour le dialogue. Ils sont prêts à répondre à leurs questions. S’il y a de remarques à leur faire, on peut le faire à travers leurs adresses e-mail ou encore leurs portables ou pourquoi pas les rencontrer directement. Mais au Théâtre du Gymnase le 26 mars, nous allons parler musique et non politique. Tous sont les bienvenus.

Est-ce que les musiciens programmés sont prêts à livrer le concert, quel est leur moral après ces multiples menaces, est-ce qu’ils seront à Paris jusqu’à la fin du mois pour attendre cette production ?

Ils sont prêts à jouer, pour non seulement le bonheur des mélomanes et pour la visibilité de notre culture et non pour autre chose comme d’aucuns pourront se l’imaginer.

Qu’est- ce que vous exigez alors à ces gens qui viennent perturber vos activités

D’abord, qu’ils n’oublient pas que les organisateurs des concerts, ce sont des opérateurs économiques. En organisant ces activités, ils cherchent à réaliser des bénéfices, à se retrouver. En ce qui me concerne, avec les ratés de Koffi Olomide, Werrason,  Papa Wemba et autres, j’ai perdu plus de 186.000 euros. Qui va me rembourser cet argent.

Et pour terminer.

Vous savez, même un huissier de justice avant de vous arrêter il vient vous aviser. Mais le 19 février j’ai été surpris. Qu’à cela ne tienne. Tout en pardonnant à tous ceux qui m’ont créé de ennuis, je présente toutes mes excuses à tous ceux qui ont payé et qui se sont déplacés pour assister à cet événement. On va se rattraper le 26 mars. Il n’ y a pas de souci on est ensemble… pour le triomphe de la musique congolaise.

B. Tsala T.


Que faites vous les Congolais de la diaspora ? Question d'un journaliste Camerounais !

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Créé le 15-03-2011 à 09 h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le mardi 15 -03-2011 à  09h10 | AFRIQUE REDACTION

PAR : ROGER BONGOS 

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LE TABLEAU SOMBRE DE LA COMMUNAUTÉ CONGOLAISE DE LA DIASPORA

L'éveil de conscience a du mal à pénétrer dans les foyers congolais de la diaspora. Comment ces Congolais peuvent-ils laisser leur patrie (pays) en ruine avec un tableau sombre sur les exactions commises au vu et au su de tous.

Et que ces mêmes Congolais oublient leurs priorités et ses lacent dans des antivaleurs qui caractérisent malheureusement leur état d'esprit.

Un journaliste Camerounais Jacky MOIFFO connaisseur et amoureux du Congo ouvre le couvercle de la communauté Congolaise et croyez moi, ça sent mauvais !
Suivez ce document exceptionnel, une interview qui nous interpelle tous.

 

 

 

 

Roger BONGOS

RDC : Affaire de visas refusés, JB MPIANA et Werrason boudent l'initiative de Félix WAZEKWA

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Créé le 15-03-2011 à 09 h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le mardi 15 -03-2011 à  09h10 | AFRIQUE REDACTION

PAR : SOFT INTERNATIONAL 

 

image Felix WEZAKWA

 

 

Félix Wazekwa par qui le scandale est arrivé, demande à ses collègues de se souder autour de cette affaire de visas refusés par la Maison Schengen.

Faire preuve d’amour et de solidarité, parler une même voix. Voilà l’appel que lance le chanteur Félix Wazekwa, condamné à 2 ans de prison avec sursis par la justice belge pour immigration clandestine sous le couvert de ses activités musicales.

Après les musiciens de son groupe qui devaient le rejoindre pour une production au Zénith de Paris, le 9 octobre dernier, la Maison Schengen de l’Ambassade de Belgique a refusé les visas aux musiciens de Fally Ipupa et ceux de Ferre Gola qui avaient programmé des concerts respectifs au Zénith de Paris, le 1er janvier 2011, et le 31 décembre 2010 ainsi que le 1er janvier 2011 à l’Olympia.

On se souviendra qu’à la suite de cela, une fronde est née à Kinshasa avec une mobilisation d’artistes musiciens, des mélomanes et de tant d’autres R-dCongolais contre la Maison Schengen.

Affaire de tous

Faisant quasiment bande à part, les chanteurs Werrason et JB Mpiana ont refusé de souscrire à ce mouvement de protestation.

Les deux poids-lourds du clan Wenge mais aussi de la scène musicale r-dcongolaise estiment qu’il n’y a pas lieu de généraliser l’affaire. Comme quoi, ceux à qui les visas ont été refusés, ne doivent que s’en prendre à eux-mêmes.

Dans une interview donnée à Paris, Félix Wazekwa s’est mis en porte à faux avec le « Roi de la forêt », et Bin Adam, sans cependant les citer nommément : « Certains musiciens pensent qu’ils n’ont pas de problème avec la Maison Schengen. Mais, ceux à qui on a refusé les visas ne savaient pas jusque-là qu’ils avaient un problème avec la chancellerie belge. On avait pensé que Félix Wazekwa serait la seule victime».

Le leader de Cultur’A Pays Vie se dit solidaire de Fally Ipupa et Ferre Gola. S’appuyant sur son propre cas, Wazekwa est d’avis qu’il y a anguille sous roche à la Maison Schengen ».

Et d’expliquer: « Dans mon cas, la chancellerie belge a dit que l’octroi des visas à mes musiciens pour le concert de Zénith de Paris était lié à mon procès en Belgique. Or, les choses se sont mieux passées avec la justice belge, mais l’on m’a refusé les visas ».

A ce propos, Félix Wazekwa estime que la mobilisation suscitée par les cas Fally Ipupa et Ferre Gola est plutôt tardive: « Elle aurait dû se constituer depuis le cas de Cultur’A Pays Vie au mois d’octobre 2010 ». Sans doute, pensait-on, que les choses s’arrêteraient au seul Félix Wazekwa ».

En réalité, relève-t-il, c’est une affaire qui frappe tous les R-dCongolais.

A titre d’exemple, le chanteur a évoqué le refus essuyé auprès de la Maison Schengen, par des malades demandeurs de soins médicaux en Europe et aussi par des candidats au regroupement familial.

A cet égard, Félix Wazekwa propose, s’agissant des musiciens, l’organisation des états généraux qui mettraient les musiciens en face des autorités du pays, mais aussi avec les ambassadeurs des pays de l’espace Schengen : « Ces pays ont chacun avec la R-dC des relations bilatérales.

Nous ne demandons pas une faveur de leur part mais nous revendiquons le même traitement que nous leur réservons ».

Wazekwa confirme son retour au pays en avril prochain, sans doute pour mettre en oeuvre son initiative.

Mais aussi pour se préparer déjà aux échéances qu’il s’est fixé pour 2011. Félix Wazekwa a séduit le phénoménal Zola pour un spectacle haut en couleurs à Paris. Maintenant que les ennuis judiciaires sont désormais derrière lui.

Daniel Cassison Mpoyi/Le Soft Interantional


Kabileries, barbouzeries contre des journalistes Congolais en France. Myra Ndjoku dans l'oeil du cyclone de Reporters Sans Frontières

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Créé le 16-03-2011 à 09 h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le mercredi 16 -03-2011 à  09h10 | AFRIQUE REDACTION

PAR : REVEIL FM


Par Freddy Mulongo
Connu pour ses barbouzeries, kabileries, frasques et dérapages Myra N'djoku le locataire du 32 cours Albert Ier dans le 8è arrondissement de Paris, est un ambassadeur en sursis. Que ses Tontons Macoutes fassent payer 10 euros aux Congolais pour entrer à l'ambassade est déjà extrêmement grave. Myra N'djoku a à son actif trois journalistes Congolais molestés, battus, fouettés, gazés...qui exercent leur métier en France. Que Myra N'djoku, ancien directeur de l'Agence National des Renseignements (ANR) bastonne, séquestre ou menace d'assassiner des Journalistes Congolais exerçant en France, cela devient très inquiétant et préoccupant !

Roger Bongo, ARTV, Ambroise Pierre, Responsable Afrique à Reporters Sans Frontières et Freddy Mulongo, Réveil-FM International

Reporters Sans Frontières, qui flaire le danger de voir un jour des journalistes professionnels Congolais assassinés en France, pour avoir exprimer librement leurs opinions, se constitue partie civile déjà pour les trois journalistes molestés par les Tontons Macoutes de Myra N'djoku. On commence souvent par la petite violence:coups de poings, fouets...et on finit par un crime.

Roger Bongos, responsable d'Afrique Rédaction TV (ARTV) a été sauvagement agressé à la gare du Nord lors de la venue en catimini à Paris, d'Olive Lembe Disita kabila, la first lady du Congo, le dimanche 13 février 2011. Il est la dernière victime connue et recensée de Myra N'djoku. Germain Olembe Mompia, journaliste Reporter d'images (JIR) a été agressé le 9 septembre 2010. Le confrère habite Annecy et était venu à Paris pour son attestation de célibat et autres papiers administratifs pour ses enfants. Après plusieurs va et vient Annecy-Paris-Annecy sans solution, en sortant de l'Ambassade faisant parler sa conscience, Germain Olembe Mompia voyant cette queue interminable avait braqué sa caméra pour laisser s'exprimer les compatriotes. Après quelques minutes de tournage, Myra Ndjoku a instruit son assistant, un certain « Colonnel » Espérant Kande (Tél. : 00 33 6 98 01 65 32), ce dernier a donné l'ordre aux Tontons Macoutes qui ont happé Germain Olembe Mompia, l'ont fait introduire manu militari au sein de l'ambassade, l'ont tabassé.

Par fourberie, on lui a intimé l'ordre de présenter des excuses filmées à Myra Ndjoku, l'ambassadeur. La supercherie n'a pas duré longtemps, il a été foutu à la porte de l'ambassade et sa caméra professionnelle confisquée est aujourd'hui utilisée par l'Ambassade. Où a-t-on déjà vu un bien confisqué être utilisé sans aucune autorisation du propriétaire ? N'est-ce pas un autre abus de pouvoir dont use et abuse Myra Ndjoku ?

Ce qui est arrivé à Gali Mukania le 19 Août 2010 à Paris, a dépassé l’entendement : il a d’abord été agressé devant l’ambassade de la RDC par l’un des agent de sécurité de l’ambassade, avant d’être attiré sournoisement à l’intérieur où il a été menacé purement et simplement à l’aide d’un revolver tenu par le « Colonnel » Espérant Kande, et ceci pendant que les deux vigiles de l’ambassade le rouaient de coups.

Gali Mukania a ensuite été séquestré pendant 8 heures au sein de l’ambassade, privé de soin alors qu’il était blessé et qu’il saignait. Et lorsque ses bourreaux se sont enfin décidés à le laisser rentrer chez lui , ils l’ont obligé à changer de chemise en lui en donnant une autre parce que la sienne était trop ensanglantée. Gali Mukania s’est aussitôt rendu à l’hôpital où il a eu droit à des points de suture.

Devant faire légaliser des documents, Gali Mukania, s’est rendu, lundi 16 août dernier, à la chancellerie de la mission diplomatique congolaise à Paris sise 32, Cour Albert 1er. Arrivé sur le lieu, Mukania trouve d’autres concitoyens qui s’agglutinaient à l’extérieur de l’ambassade attendant désespérément d’être reçu. «J’ai été choqué de voir des gens exposés sous la pluie, raconte-t-il. Il y avait non seulement des enfants à bas âge mais aussi des femmes enceintes. Des jeunes présents disaient avec une pointe de colère que ça toujours été comme ça!» Et de poursuivre : «L’ambassade de la RD Congo est située entre les ambassades du Brésil et celle d’Arabie Saoudite où vous ne verrez personnes à l’extérieur des bâtiments.» «Gali» sollicite sans succès une audience auprès de l’ambassadeur Myra Ndjoku afin de lui faire part de ce qu’il considère comme une «humiliation» infligée aux citoyens congolais devant leur propre ambassade.

Dans quel pays démocratique au monde utilise t-on les matériels confisqués sans aval des propriétaires ? La caméra professionnelle confisquée de notre confrère Germain Olembe Mompia est utilisée par le service média de l'ambassade sans son autorisation. Privé de son outil de travail, le confrère ne sait plus à quel Saint se vouer ! Pourquoi l'ambassade n'avait-elle pas retirer uniquement la cassette des images ?

Dimanche 8 juillet 2007 au cimetière de la Gombe (au centre-ville de Kinshasa) les membres du Comité exécutif de l’Observatoire de la Liberté de la Presse en Afrique (OLPA), réseau africain d’experts juristes et journalistes volontaires pour la défense et la promotion de la liberté de la presse, avaient déposé une gerbe des fleurs et s’étaient inclinés sur la tombe de l’illustre disparu, Louis Bapuwa Mwamba.

Myra N'djoku, ancien directeur général de l'Agence National des Renseignements (ANR) oublie vite. Il a oublié qu'il est énormément cité dans le rapport de l'assassinat de notre confrère Louis Bapuwa Mwamba. Résidant en France depuis plusieurs années, Louis Bapuwa Mwamba rédigeait des articles de réflexion qu’il faisait publier dans les journaux de Kinshasa. Pour servir son pays qu'il aimait tant il avait décidé de rentrer au Congo. Son dernier article intitulé « Pourquoi la transition est-elle bloquée au Congo » a été publié dans Le Phare n°2875 du 6 juillet 2006. Dans la nuit du 7 au 8 juillet 2006, une bande d’hommes armés en tenue civile s’étaient pointés, vers 3 heures du matin, au domicile du journaliste sis quartier Malandi n°31/C, dans la commune de Matete (Est-Kinshasa). Dans l’empressement, les assaillants avaient tiré des balles sur Bapuwa qui s’est renversé sur-le-champ, atteint à la jambe droite, avant que s’en suive la mort à la suite d’une très forte hémorragie. Ils avaient emporté une somme de 600 dollars Us en plus d’un téléphone portable. La victime avait été, auparavant, l’objet des menaces des personnes non autrement identifiées. Le corps du journaliste - 64 ans et père de quatre enfants - gisant dans le sang, avait été acheminé à la morgue de l’hôpital Saint Joseph de Kinshasa-Limete.

A l'époque malgré plusieurs garanties de sécurité données par les autorités congolaises, trois journalistes professionnels étaient assassinés :Franck Ngyke Kangundu et son épouse, Louis Bapuwa Mwamba, Serge Maheshe en moins de 19 mois ! Les commanditaires d'assassinats de nos confrères courent toujours, certains sont mêmedans les institutions congolaises. A Paris, les enfants de Louis Bapuwa Mwamba sont décidés à trainer Myra N'djoku, ambassadeur plénipotentiaire de la République démocratique du Congo devant la justice française. Reporters Sans Frontières ne souhaite pas l'assassinat d'un journaliste Congolais en France avant d'agir. Mieux vaut prévenir que guérir dit-on !
Les journalistes professionnels Congolais qui prennent de jours en jours au sérieux de menaces de mort qui pleuvent, un Collectif des Journalistes-Reporters-Internautes de l'Espace Schengen est entrain de se mettre en place.

Pour tout contact:

Roger Bongos: rogerbongos @yahoo.fr

Freddy Mulongo: freddy. mulongo@reveil-fm.com

Nord-Kivu : les militaires interdits d'exploitation minière

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Créé le 16-03-2011 à 09 h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le mercredi 16 -03-2011 à  09h10 | AFRIQUE REDACTION

PAR : LES DEPECHES DE BRAZZAVILLE

 



La décision du chef de l'État a été renouvelée par le gouverneur Julien Paluku en séjour à Walikale. La mesure présidentielle est formelle et surtout sans appel : les hommes en arme ne doivent plus jamais se livrer à l'exploitation minière ; tout contrevenant serait simplement passible à des sanctions exemplaires. En effet, selon le gouverneur de cette province, la décision de la reprise de l'exploitation minière ne concerne que les civils et non les militaires et policiers. L'autorité provinciale a rappelé à ces derniers leurs missions traditionnelles d'assurer la protection et l'intégrité du territoire national et la sécurisation des personnes et de leurs biens. Il a, en outre, interpellé les responsables de l'armée et de la police, en vue de mettre fin à la tracasserie dont sont victimes les populations.

Ainsi, rapporte l'Agence congolaise de presse, la mise en application de la décision de la reprise de l'exploitation minière dans cette zone et l'insécurité persistante dans ce territoire ont-elles constitué des points essentiels dans l'agenda du gouverneur Julien Paluku.

Parmi les motivations de la décision du chef de l'État de lever les mesures contre l'exploitation minière figure, d'après le gouverneur du Nord-Kivu, la volonté de faire bénéficier les populations de cette activité notamment par des projets de développement. « Les operateurs miniers réfractaires aux dispositions prises se verront ravir leurs certificats d'exploitation », a précisé l'autorité provinciale.

La population, de son côté, renseigne la source, attend voir des projets de développement promis se concrétiser dans ce territoire considéré comme renfermant le plus de minerais dans la province.

Un message de paix


Tout au long de son parcours, Julien Paluku a lancé un message de paix et d'espoir en l'avènement de la sécurité.

Aux groupes armés, il a recommandé la cessation de leurs actions sur le territoire congolais. Il les a appelés à regagner leur pays qu'ils ont abandonné il y a près de deux décennies. Aux ressortissants de Walikale, favorables aux groupes armés ou de connivence avec ces derniers, il les a exhortés de rejoindre l'armée loyaliste.

Le gouverneur de province a enfin décidé de mettre fin aux barrières illicites aussi bien qu'à la tracasserie policière et administrative à Njingala et Mubi, deux centres de négoce situés au Nord de ce territoire.

Lucien Dianzenza


Photo : Julien Paluku s'adressant à la population

UDPS : François-Xavier Beltchika parle de derniers réglages avant les élections

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Créé le 16-03-2011 à 09 h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le mercredi 16 -03-2011 à  09h10 | AFRIQUE REDACTION

PAR : LES DE PECHES DE BRAZZAVILLE

 



La session ordinaire du conseil national convoquée dès le 22 mars jettera les bases du programme de gouvernement de sa formation politique avant son endossement par le Congrès extraordinaire. Dans son allocution de clôture des journées commémoratives du 29ème anniversaire de l'Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), le 12 mars, François-Xavier Beltchika, président national ad intérim de ce parti politique a fait mention de derniers réglages avant d'aborder les élections générales. La question sera au centre de la prochaine session ordinaire du conseil national dont l'ouverture est fixée au 22 mars.

À en croire le président Beltchika, cette session « examinera, entre autres points, celui des grands axes à figurer dans le projet de programme de gouvernement qui sera endossé par le Congrès extraordinaire du parti à tenir avant les élections ». En rapport avec cet objectif, l'institut de formation des cadres est appelé à organiser une formation autour des axes constitutifs du projet de gouvernement avec les responsables des organes nationaux et de base. Cela leur permettra, a-t-il ajouté, de disposer d'un outil de campagne électoral fidèle au contrat social que l'UDPS voudrait proposer au peuple congolais.

Le président a.i de l'UDPS précise, à cet effet, que le peuple congolais doit se retrouver autour d'un programme conforme aux attentes et non autour des hommes, quels que soient leurs mérites personnels passés. « C'est aussi cela le vrai changement », a-t-il déclaré. Ce changement passe par une vision politique claire notamment autour de l'amélioration générale du climat des affaires par la simplification et l'adaptation aux besoins modernes de l'arsenal des lois et règlement régissant l'activité économique. C'est même devenu une urgence eu égard aux maux dont souffrent l'économie et la société congolaise.

Selon François-Xavier Beltchika, le vrai changement devra aussi s'articuler autour de la dimension de la nouvelle diplomatie qualifiée d'ouverture et de responsabilité. Elle tiendra compte de la géopolitique régionale, continentale et internationale. Les atouts subséquents comme dividendes de cette nouvelle diplomatie aideraient le pays à consolider ses relations de bon voisinage avec tous les États limitrophes. Il en résulterait une avantageuse coopération mutuelle et des garanties réciproques de sécurité. Ainsi la RDC jouerait-elle son véritable rôle sur le plan régional, continental et international.

L'intéressé a rappelé que l'UDPS, absente lors des élections de 2006, a pris l'engagement, à l'issue du 1er Congrès d'avril 2009, de participer activement aux échéances en cours à tous les niveaux. Force lui est donc d'afficher un comportement respectueux envers d'autres formations politiques par la culture de la confiance réciproque, loin de toute condescendance.

Le 29ème anniversaire de l'UDPS a été commémoré en trois phases. La journée du 15 février symboliquement célébrée autour des cadres du parti, celle du 22 février consacrée à un séminaire de formation des responsables des organes nationaux et de base et le 12 mars réservé à la clôture. Cet anniversaire a coïncidé avec la clarification, cette année, de la ligne politique du parti par rapport aux objectifs lui assignés par son premier Congrès d'avril 2009, notamment la participation de l'UDPS aux élections à tous les niveaux. Il coïncide enfin avec les scrutins prévus dès novembre avec la toute première publication d'un ouvrage sur le parti, intitulé « Livre blanc sur l'UDPS ».

Jules Tambwe Itagali

Limitation de l'âge des candidats à la présidentielle - Evariste Boshab parle d'humour de mauvais goût

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Créé le 16-03-2011 à 09 h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le mercredi 16 -03-2011 à  09h10 | AFRIQUE REDACTION

PAR : OBSERVATEUR

 



Mettant à profit son discours prononcé hier mardi 15 mars 2011, à l'occasion de l'ouverture de la session ordinaire de l'Assemblée nationale, la toute dernière de la 1ère législature de la 3ème république, le président de la chambre basse, Evariste Boshab ne s'est pas empêché de porter un démenti formel sur des soupçons qui pèsent sur son institution. Ainsi que l'opinion le sait déjà, ces soupçons portent sur une éventuelle modification de la loi électorale de 2006 dans le sens d'y insérer une disposition qui exclurait des candidats président de la république ayant atteint l'âge de 70 ans, dans la perspective de l'élection présidentielle prévue cette année.

Pour le président de l'Assemblée nationale, il s'agit là d'un humour de mauvais goût, mieux cette caricature de bas étage qui ne peut que honnir ceux qui l'ont inventé,a fait le tour du monde, par la magie des notes diplomatiques, à la recherche du sensationnel… dira-t-il. Une telle entreprise, a indiqué Evariste Boshab, frise tout simplement l'ignorance des dispositions de la constitution qui, rappelle-t-il, instituent les minima et non les maxima en matière électorale s'agissant de l'âge pour briguer un mandat, mais aussi et surtout poursuit-t-il, d'un négativisme mortifère l'édification d'un Etat de droit. Voilà de quoi apaiser le président de l'UDPS Etienne Tshisekedi wa Mulumba que d'aucuns pensaient viser par la modification de la loi électorale évoquée ci haut.

Abordant le chapitre relatif au travail qui attend les députés pendant la présente session, le président de l'Assemblée nationale a indiqué que cette dernière s'annonce laborieuse en ce qu'elle comporte selon lui, plusieurs défis à relever en termes de matières importantes à traiter. Il a cité à titre d'exemple, les matières ayant rapport avec la reforme judiciaire, la réforme des FARDC et de la Police nationale congolaise ainsi que la loi électorale.

Aussi, le président de la chambre basse a invité les députés à s'imposer une discipline et une méthode de travail basées sur une gestion rationnelle du temps : " Eu égard au caractère urgent que revêt bon nombre des textes à examiner, si nous ne nous imposons une discipline chronologique stricte,si nous laissons la porte ouverte à des débats interminables et à des incidents des séances,alors nous marquerons le pas et serons coupables demain, aux yeux du peuple,d'avoir ralenti la marche de toute la nation… ", a prévenu Boshab.

Réagissant pour sa part au discours du président de l'Assemblée nationale, le député de l'opposition Clément Kanku s'est dit déçu. Pour lui, il n'y a rien de nouveau dans ce discours. L'honorable Kanku ne croit pas non plus au démenti apporté par Boshab sur les soupçons tendant à exclure certains candidats de la course à la présidentielle : " Ils avaient promis de ne jamais réviser la constitution, mais ils ont fini par la réviser ; et nous avons dénoncé. Le pouvoir actuel a un bilan négatif que même s'ils veulent faire un cafouillage au niveau de la loi électorale, ils sont toujours capables de le faire ", a déclaré Clément Kanku. Aussi, face à ce doute, on est encore loin de sortir de l'auberge. Les regards restent donc tournés du côté de l'Assemblée nationale.

Freddy Longangu

Décentralisation ? Patience

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Créé le 16-03-2011 à 09 h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |  ACTUALITE | RDC | Mis à jour le mercredi 16 -03-2011 à  09h10 | AFRIQUE REDACTION

PAR : LE POTENTIEL

 


La décentralisation est une option levée dans la Constitution pour une meilleure gestion des provinces. L'objectif était de rapprocher davantage les centres des décisions des administrés. Mais, la mise en œuvre de cette politique est confrontée à des pesanteurs de tous ordres : politique, juridique, administratif, logistique,… Aussi, le président du Sénat a-t-il relevé, lors de son message à l'ouverture de la dernière session de son institution pour la présente législature, qu'il faut dix ans pour réaliser ce vaste programme.

"Avec l'appui des partenaires, le gouvernement dispose d'un cadre stratégique de mise en œuvre de la décentralisation. Au plan chronologique, ce cadre s'étend sur une période de dix ans", fait remarquer Léon Kengo Wa Dondo. La programmation est ainsi faite : "entre 2009 et 2014, il s'agit de créer les conditions politiques, juridiques, budgétaires et financières nécessaires à un fonctionnement optimal des provinces et des Entités territoriales décentralisées. Entre 2015 et 2019, le gouvernement vise l'approfondissement de la décentralisation fiscale et financière, le développement des capacités managériales et de gestion des services provinciaux et locaux, le développement de la coopération interprovinciale ainsi que l'ancrage des pratiques participatives dans la conduite des affaires publiques".

Des difficultés, Léon Kengo Wa Dondo les égrènent: "il sied cependant de noter que l'installation de nouvelles provinces, l'organisation des élections locales ainsi que le fonctionnement régulier de la conférence des gouverneurs prévus, dans la première phase, peinent à se matérialiser". L'argent étant le nerf de la guerre, le différend qui divise le gouvernement central et les provinces, à savoir la retenue à la source de 40% constitue également un écueil à la marche de la décentralisation. "De même, la retenue à la source des 40% des recettes à caractère national ainsi que la mise en place de la caisse de péréquation restent des objectifs à atteindre", souligne le président du Sénat.

Toutefois, Kengo Wa Dondo regrette que le respect des dispositions constitutionnelles ne soient pas toujours appliquées. "Tant aux plans politique, administratif, financier que technique, il est souhaitable que le degré d'autonomie accordée aux provinces et aux Entités administratives décentralisées ne soit minoré, ni méconnu", a martelé le président du Sénat. Il a mis en garde contre le régionalisme politique, lequel " n'est ni un refuge pour les tendances centralisatrices, ni une licence pour les velléités sécessionnistes".

"La RDC étant une et indivisible, l'exercice de l'autonomie doit être compatible autant avec les intérêts du pouvoir central qu'avec ceux des pouvoirs provinciaux et locaux". En attendant, il faut s'armer de patience pour atteindre les objectifs de la décentralisation.

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